Le Palais Infernal / Re : L'Âme du Démon [Pv Malk]
« le: vendredi 08 février 2019, 12:41:05 »Trisha reprend ses esprits et constate avec dégoût et horreur le sort que lui a réservé son maître. Avant qu'un nouveau démon ne vienne lui saisir le visage pour l'obliger à sucer sa grosse queue, elle lance a Sylvanas un regard plein de haine et de rencoeur. Mais la Haute Elfe n'a pas oubliée ce que la succube a fait subir à son frère et elle lui rend son regard avec mépris. Leur contact intense se brise finalement quand Trisha pousse un gargouillement répugnant en avalant difficilement la bite monstrueuse du démon inférieur en plissant les yeux de douleur.
Sylvanas se serait volontiers réjouie de cette vue, la prenant comme une forme de victoire sur la violeuse de son frère, mais le démon majeur accapare à nouveau son attention en lui soufflant au visage une alêne su méphitique qu'elle en a des nausées. La chaleur ardente de son expiration lui arrache même quelques larmes avant de les sécher littéralement sur ses joues comme si elle se trouvait face à une soufflerie de toilettes publiques terriennes. Mais le calvaire ne fait que commencer. Il saisit la laisse reliée à son collier d'esclave et la tirant vers lui avec brutalité. Incapable de faire de grandes enjambées à causes des chaines attachés à ses chevilles, Sylvanas tombe à genou et est obligée de le suivre en marchant à quatre patte jusqu'à son trône. Le géant s'installe dans son trône immense et la traîne sur la roche lisse de son repaire jusqu'à ce que son visage frôle l'estrade sur lequel il se trouve. Fière et hautaine, la Haute Elfe essai de se redresser pour lui faire face, mais le démon est plus rapide. Elle sent le poids de son pied se poser sur sa chevelure d'or et la maintenir au plus bas, le nez a quelques millimètres du sol crasseux.
- Et bien soit… Sylvanas de Coursevent, gardienne indéfectible de Lune Argent ! Digne héritières du savoir elfique et tout le reste…
J'ai bien entendu tes dire. Ainsi donc la mort de tes proches ne te fera pas plier. Qu'il en soit ainsi.
Je décrète alors que nul maux n’entraînant la mort ne leur sera fait. Leur torture seront toujours calculé et je me porte garant qu'ils seront soignés et nourrit ! Tu as ma parole… ils vivront, et toi avec… Combien de temps vivent les elfes !? Hahahahahaha…
Indéfiniment...
Se dit intérieurement la Générale des Forestier en réprimant un nouveau frisson d'horreur. Cela ne fait aucun doute dans sa tête, elle doit résister, elle doit tenir et sauver sa famille, même si pour cela, c'est elle qui doit mourir. Elle ne veux même pas imaginer le sort qui leur est destiné si elle ne trouve pas un moyen de s'échapper. Elle commence à réfléchir à un moyen de se libérer de ses liens quand elle sent le poids sur sa tête s'alourdir. Elle pousse un gémissement d'effort en tentant de résister mais le démon est trop fort et la joue de la jeune femme vient se poser sur la dalle du sol pour qu'il puisse y prendre appui. Il aurait sans doute pu lui broyer la tête ou même lui écraser le visage, mais il n'en fait rien, il la soumet juste suffisamment pour l'humilier mais pas pour abîmer ses traits si parfaits. Après tout, il serait dommage de défigurer une si belle esclave...
- Que l'on m'apporte la plus jeune elfe !
- Non Monstre je Arglll...
Sylvanas n'a pas le temps de finir sa phrase, le démon tire sur sa laisse et la pend au bout de son bras. Le visage de la superbe jeune femme rougit instantanément alors qu'elle se met à gesticuler comme un poisson au bout d'une ligne, la bouche grande ouverte dans l'espoir d'aspirer quelques atomes d’oxygène. Les bras attachés dans le dos et les chevilles liées entre elle, elle ressemble plus a un ver qui se tortille sur un hameçon, a ceci près que cela met en valeur ses formes généreuses. Son cul, ses hanches et ses seins ondulent au rythme de ses coups de pieds frénétiques et désespéré, sa peau dorée par le soleil brille à la lueur des torche alors qu'une fine pellicule de sueur froide la recouvre.
Pendant ce temps, les deux gardes envoyés vers les geôles reviennent avec ce que leur maître leur a demandé. Attachée au bout d'un laisse fermement sanglé à un collier étrangleur, Vereesa, la plus jeune des sœurs de Sylvanas avance d'un pas maladroit. Comme pour sa grande sœur, son armure de combat lui a été retiré plaque par plaque pour ne conserver que les éléments les plus sexy, offrant à tout les regards la vue de son corps nu, de ses seins ravissants et de sa vulve encore vierge. Comme Sylvanas, la jeune femme est encore intacte, elle n'a jamais fait l'expérience du plaisir charnel avec un homme. On lui a lié les bras dans le dos pour la rendre totalement innofensive, un masque couvre ses yeux et un bâillon l’empêche de parler. L'ensemble lui donne l'aspect du parfait outil de plaisir, qui n'a aucun droit autre que celui d'avancer quand on tire sur sa laisse et de se plier aux ordres de ses Maîtres.
Malk sait que sa succube, Trisha, a déjà quelques projets en tête pour faire craquer Sylvanas en jouant avec ses soeurs, mais d'après ce qu'il peut voir, les servantes de sa belle démone se sont déjà un peu amusés avec elle. La jeune femme tremble comme une victime d'agression sexuelle que l'on viendrait à peine de sauver de son calvaire. Ses tétons gonflés et luisant de salive pointent fièrement sur ses seins, ses cuisses et ses fesses portent déjà quelques zébrures roses laissées par les coups d'une badine de cuir. Enfin sa démarche droite et douloureuse ne laissent aucun mystère sur la nature de l'objet qui dépasse de son anus. C'est un god de bonne taille, enfoncé et maintenu par une bande de chatterton noir pour lui assouplir le muscle anal et rendre ses futurs sodomies plus agréables pour ses violeurs, il est vrai qu'il n'y a rien de plus désagréable qu'un cul dans lequel on ne peut pas entrer sans se labourer le gland...
Quand les gardent arrive au niveau du trône, juste en dessous de là ou gesticule désespérément Sylvanas, le regard de celle-ci se pose sur sa petite sœur. Étranglé presque au point d'en perdre conscience, elle ouvre grand la bouche dans un cris silencieux d'horreur et d'indignation, avant de se remettre à se débattre de plus belle pour se libérer et libérer sa sœur.