Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Iki Ota

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Cela faisait déjà un bon moment qu’il la bourrait sans retenue et il fallait bien qu’il finisse par jouir tellement le moment était torride et puissant. Il n’avait laissé aucune place à la subtilité et avait tout du long pilonner comme un forcené l’intimité de la jeune fille qui semblait être totalement accro à ça elle aussi. Il s’était redressé à force de lui tirer les cheveux mais il n’avait pas perdu en amplitude  d’action et il lui avait jouit à l’intérieur sans se poser de question.

Il se déversait en elle mais contrairement à la dernière où il s’était arrêté petit à petit après lui avoir jouit dans le cul, il ne s’arrêta pas de la limer comme un fou furieux. Le seul moment où il lui laissa une seconde de répit fut lorsqu’il la lâcha pour la retourner de nouveau dos contre le mur de la douche et il s’était presser contre elle pour la faire tenir alors qu’il lui soulevait les jambes, une fois ceci fait, il avait recommencer à la pilonner en profondeur :

« Je vais te remplir comme une bonne grosse salope puisque c’est ce que tu demande. Je vais te baiser tous les jours jusqu’à ce que tu devienne grosse. »

Entre langage salace pour s’exciter et promesse il n’y avait qu’un pas qu’il franchissait allégrement, il avait déjà engrosser des lycéennes et il se fichait bien de savoir ce qui arrivait ensuite pour elles. Dans tous les cas, il était toujours en train de se déverser dans la petite Mathilde dans cette nouvelle position. Il la ravagerait entièrement et dans toute les position possible même si pour cela il fallait se vider pour tout une semaine.

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Le proviseur se lâchait complètement et ne se souciait lus de savoir s’il lui faisait mal ou pas et même si c’était le cas, ça faisait partie de la chose avoir mal pour encore mieux ressentir le plaisir que ses assauts répétés provoquaient :

« Ah ouai, t’aime ça qu’on te traite comme une chienne. T’ai qu’une grosse salope qui aime qu’on lui parle mal, ça t’excite de te faire dominer par un vrai mâle. »

La main qui pressait sur son dos glissa pour aller lui décrocher une immense fessée qui claqua bruyamment :

« Hein que t’aime ça ? »

Il enchaîna avec série de fessées plus violente les une que les autres allant jusqu’à lui rougir les fesses. Pour le coup, il ne lui avait pas demander son avis et ne savait pas si elle aimait aller jusqu’à ce point là dans les rapports de domination mais c’était un peu tard de montrer un signe de refus alors qu’il lui claquait les fesses aussi vite qu’il lui pilonnait sa minette avide de sexe.

Il y allait tellement fort qu’il finissait tout de même par se sentir venir mais il ne ralentit pas pour autant, il la lâcherait pas avant de lu a voir fait exploser le ventre à force de la remplir

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Il avait  décider de ne lui laisser aucun moment de répit, après tout elle aurait tout le temps qui lui faudrait après pour se reposer alors pourquoi la laisser souffler alors qu’il pouvait continuer à lui marteler l’intimité pour la faire crier encore et encore jusqu’à la faire jouir de nouveau. Il ne savait pas qu’elle était ses performances avec les autres hommes mais le proviseur n’était pas du genre à se contenter de la seconde place et chacun de ses rapports se devait de rester graver à vie dans la tête de sa partenaire, qu’ils soient consentis ou pas.

Il allait et venait avec toujours la même puissance et comme à chaque fois, les bruits faisait parties intégrante de sa manière de faire, ses bourses claquait à chaque coup de butoir alors que son sexe agissait comme un bélier frappant les profondeur de son intimité pour forcer le chemin encore plus. Une de ses mains quitta les hanches de la jeune fille pour lui agripper les cheveux avec force et il les tira pour la relever alors qu’en même temps son autre main se posait à plat sur son dos pour pousser et l’empêcher de trop se redresser. Et puisque dans cette position, il ne pouvait plus la tirer à lui pour qu’elle s’empale, il commença à bouger de lui même pour la marteler encore plus férocement :

« Hm, oui. Vas y crie. Dis des choses sales. »

Il n’avait pas besoin d’être encourager mais il trouvait cela amusant et ça lui permettait de se donner encore plus à fond.

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Il lui sourit en la regardant dans les yeux alors qu’elle faisait de même après s’être retrouvé à genoux après que le fist intensif qu’il lui avait prodigué l’ait fait flancher. En la regardant, il se demandait comment il allait enchaîner, dans cette position il aurait bien aimer se faire sucer pour  faire une petite pause et lui donner le temps de se remettre. Mais d’un autre coté il pouvait très bien continuer et ne lui laisser aucun répit et c’est au final ce qu’il décida de faire.

Il alla se positionner derrière elle pour lui agripper les hanches et la soulever, la forçant et se relever  malgré ses jambes encore tremblante. Il se frotta un peu à son entrejambe avant de poser son gland entre ses lèvres intimes et c’est à ce moment qu’il aurait du commencer ses va et vient mais au lieu de ça c’est ses hanches qu’il tira puisement pour la faire s’empaler d’un coup sec. Et c’était donc sans bouger son bassin qu’il la pénétra avec toujours la même ferveur, se servant de sa force pour la faire glisser sur son pieu. Le chemin déjà grandement préparé par le fist et ses orgasmes rendait les pénétrations plus fluides et rapides :

« Hm, ah, je suis content d’avoir garder ce chemin et de ne pas l’avoir exploré la dernière fois, les sensation n’en sont que plus jouissives. »

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Il adorait entendre ses partenaire crier, entendre à quel point elle prenaient leur pied à subir ses assauts toujours aussi brutaux. Que ce soit de pur douleur ou de plaisir, il se délectait de ces hurlements, il n’y avait rien de plus jouissif. Et il se montra encore plus insistant lorsqu’elle s’était mis à crier, il voulait la pousser à bout, la faire perdre pied et qu’elle se sente incroyablement vide lorsqu’il se retirerait. De plus en plus vite et de plus en plus fort, il ressaierait sa prise sur elle pour ne pas qu’elle s’écroule sous l’effet qu’il lui procurait.

Il la sentit jouir en se faisant inonder le bras de son jus de plaisir mais il ne s’arrêta pas tout de suite, continuant ses coups de poings profond, chacun de ses mouvement provoquait des éclaboussures et le bruit qui allait avec. Malgré qu’elle continue de crier et qu’elle ait déjà jouit, il ne s’arrêta pas, continuant de la fister toujours plus fort jusqu’à ce qu’il fasse l’une des choses les plus frustrante possible, il se retira d’un coup.

Il sourit en la regardant avant de relâcher sa prise et lui embrasser le ventre avant de remonter lentement en même temps qu’il se relevait, jusqu’à de nouveau l’embrasser sur les lèvres :

« Tu ne t’attendais pas à ça hein ? »

Il la caresse avec sa main recouverte de son jus de plaisir, c’était une bonne entrée en matière pour la préparer à la suite de ce qu’il avait prévu, il se montrerait encore plus brute que la dernière fois.

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C’était dans ce délicat mélange de plaisir et de douleur que le vieil homme aimait opérer, il ne faisait que jongler avec l’un et l’autre pour qu’au final sa partenaire se souvienne à quelle point elle aurait aimé se faire traiter de la sorte. Le proviseur n’avait aucune limite ne s’interdisait rien lorsqu’il était question de sexe, c’est pourquoi il continua de la fister brutalement en la retenant toujours. Il avait tout de même sentit que le choc l’avait fait vaciller et il voulait juste qu’elle ressente tout ce qu’il avait à lui proposer.

A force d’y aller comme une brute, chaque coup de bélier contre le fond de l’intimité de la jeune formait une légère déformation au niveau de son bas ventre et l’on pouvait suivre le chemin du poing. Ses rapides va et vient constant laissait place à de profond assaut brusque et ponctuel au cours du quel il ressortait son poing avant de le faire entrer de nouveau d’un coup et de le faire s’écraser en l’enfonçant jusqu’à ce qu’il ne puisse plus avancer. On pouvait vraiment parler de défoncer quand il agissait ainsi et il ne détournait pas son regard d’elle alors qu’il continuait encore et encore.

En vérité, il comprenait bien qu’elle retienne ses gémissements mais lui voulait les entendre, il voulait l’entendre crier, hurler de plaisir et il ne s’arrêterait pas avant qu’elle se lâche complètement et s’il fallait faire entrer le deuxième poing, il le ferait avec plaisir, il allait la rendre folle alors que pour le moment il n’avait fait qu’utiliser sa bouche et ses mains.

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Il aimait l’entendre pousser de petits gémissement étouffés et cela le poussait à y aller encore plus franchement, il se plaisait également à voir ses jambes trembler sous ses assauts répétés. Il la regarda en souriant lorsqu’il sentit ses mains se poser ses épaules pour se retenir et ne put que se réjouir en l’entendant dire qu’elle voulait aller jusqu’au bout.

Pour la retenir encore plus efficacement que simplement ses mains sur ses épaules il la ceintura de son bras libre tout en se pressant contre elle, elle en aurait besoin si juste trois doigts suffisait déjà à la faire flancher de la sorte. Il lui embrassa le ventre en arrêtant ses va et vient avec ses doigts mais c’était mieux pour préparer la suite car sa main se referma et ce n’était plus trois doigt qui commençait à aller et venir en elle mais tout le poing du vieil homme. Il la fistait allègrement avec force et vigueur, chaque aller était semblable à un coup de poing venant s’écraser au tréfonds de son intimité alors qu’il s’y engouffrait avec puissance, écartant ses parois vaginales sans le moindre tact.

Comme s’il ne savait pas prendre son temps, il avait directement attaquer en donnant tout ce qu’il avait et son poing disparaissait en elle en s’infiltrant jusqu’au poignet et encore plusieurs centimètre en plus.

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Le propre d’une relation de dominant -dominé c’était bien qu’il y avait un dominant et un dominé qui chacun prenait plaisir à joué son rôle, il fallait cependant bien savoir quel était notre rôle pour ne pas se sentir frustré. Ces deux là connaissaient très bien le leur et c’est pourquoi il prenait autant de plaisir ensemble. Le vieux proviseur savaient comment donner du plaisir et il s’appliquait pour qu’il soit optimal.

Ses coups de langue se faisaient insistant tant lorsqu’il léchait l’extérieur que lorsqu’il s’infiltrait à l’intérieur pour la faire remuer dans tous les sens, il s’amusait également à lui mordiller son petit bouton de plaisir le faisant assez fort pour que ça fasse légèrement mal. Il agit de la sorte pendant un bon moment avant de s’arrêter de nouveau pour ne pas finir par lasser sa partenaire. Bien qu’il retire sa tête de l’entrejambe de la demoiselle, il ne se releva pas et ce sont ces doigts qui revinrent à la charge. De nouveau il inséra trois doigts en elle mais cette fois-ci il était das une meilleure position pour y aller vraiment comme un fou et ce sont des va et vient brut et rapide qui commencèrent en même temps qu’il tournait la main pour donner un effet de rotation à la pénétration :

« Est-ce que tu veux que j’aille vraiment au bout des choses ? Ça risque de faire un peu mal même si je te prépare déjà bien là. »

C’était extrêmement rate qu’il pose ce genre de question à une partenaire et même si une réponse négative ne l’empêcherait pas de le faire quand même, il préférait s’assurer qu’elle était toujours prête à subir tous ses assauts.

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Il n’y avait pas de raison pour qu’il ait changé de manière de faire surtout que la dernière fois elle avait aimé se faire malmener par un proviseur dominateur agissant avec brutalité. Il allait lui montrer ce qu’il était capable de faire quand il s’occupait de l’entrejambe de ses amantes et pour cela il n’avait même pas besoin d’utiliser son sexe pour le moment. Il se contentait de la doigter avec vigueur, trois doigt d’un coup ça pouvait sembler beaucoup mais c’était une bonne mise en bouche.

Il continua quelque minutes à faire aller et venir ses doigt en elle pendant que son autre main s’occupait  de ses seins alors qu’elle était toujours dos à lui. Il finit par retirer ses doigts de son intimité, ils étaient déjà bien mouillés et ça le faisait sourire alors qu’il les portait à sa bouche :

« Retourne toi que je puisse te regarder pendant que je te fais du bien. »

Il attend qu’elle se retourne avant de l’embrasser brièvement sur les lèvres puis il se mit à genoux devant elle, l’avantage d’une fille grande comme elle l’était, c’est qu’il se retrouvait pile à la bonne hauteur et il porta sa bouche contre son intimité et il commença littéralement à la dévorer. Il embrassait, mordait et léchant allégrement ce qu’il avait à portée, s’occupant autant de son clitoris que de l’intérieur. Il lui tenait les jambes, sa tête presser tout contre elle pour lui montrer que même s’il était en dessous, il était toujours le maître et qu’il contrôlait son plaisir.

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La semaine précédente il n’avait effectivement pas explorer l’intimité de la jeune fille pour se concentrer sur une sodomie brute mais aujourd’hui il comptait bien s’occuper de sa petite minette comme il se devait de le faire. Il ne fallait pas tout montrer d’un coup, c’était pour ça qu’il n’avait pas fait la totale la dernière fois mais il ne doutait pas qu’elle allait beaucoup aimer ce qu’il avait prévu aujourd’hui.

Comme pour la première fois, il ne passa pas par quatre chemin et commença directement à prendre possession de son corps. Une de ses mains lâcha la poitrine de la jeune fille pour venir lui caresser l’entrejambe quelque instant avant d’y enfoncer trois doigts d’un coup afin de commencer à la doigter énergiquement. Il adorait sentir ses doigts écarter les parois vaginales de la lycéenne, l’eau qui coulait sur eux faisait joliment claquer lorsque qu’il s’enfonçait jusqu’à la base des doigts un peu fort et que sa paume se retrouver à frapper contre son entrejambe :

« Hm, ici aussi ça à l’air délicieux. Je vais te dévorer. »

La main qui s’occupait de sa poitrine lui serra férocement le seins qu’il tenait avant de prendre son téton entre deux doigts et de tirer dessus avec insistance. Personne ne les surprendrait ici et il était plus tôt que la dernière fois alors ils avaient tout leur temps pour prendre leur pied.

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Le proviseur était la seule personne du lycée à pouvoir s’introduire partout dans l’enceinte des lieux même dans des pièces plus ou moins cachées qui se révélaient parfois bien utile pour s’amuser. Il lui était donc très aisé de s’introduire dans les vestiaires des filles du gymnase. Il n’avait pas prévenu car il aimait faire ça par surprise, après tout lorsqu’il sa proie n’était pas consentante il ne prévenait pas non plus alors pourquoi le faire même si Mathilde était d’accord pour s’amuser.

Il lui sourit mais ne lui répondit pas lorsqu’elle lui fit part de son impatience, il se contenta de se presser contre son dos alors que ses mains se cramponnaient à ses seins pour les malaxer avec force. Sa bouche pris le chemin de son cou pour le mordiller et le lécher en l’embrassant parfois :

« J’aime me faire attendre, le plaisir n’en est que meilleur, n’est-ce pas ? »

Son sexe se tendait et il pouvait désormais faire de petit va est vient pour se frotter contre son intimité. L’eau qui coulait sur eux ne le dérangeait pas, il avait toujours aimer faire ça sous la douche la seule différence ici c’était que le carrelage froid des mur remplaçait les parois vitrées des douches personnelles.

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Malgré son coté brutal et dominateur, Iki Ota pouvait également se montrer attentionné et doux mais ce n’était pas une des facettes de sa personnalité qu’il montrait à tout le monde, en vérité il ne la montrait qu’avec ses petites filles. Évidement comme toutes les femmes, ses petites filles avaient connu ou connaîtront la perversité de leur grand-père.  Peut être que Mathilde lui rappelait ses petites-filles pour qu’il se montre aussi tactile après l’acte mais en vérité il n’en était rien. Il avait aimé et était comblé après avoir couché avec elle alors elle avait bien le droit à un peu de considération et de douceur, il n’était pas un monstre quand même. Il lui avait sourit avant de la laisser partir, ils allaient se revoir très vite.


La semaine qui avait suivi n’avait pas été différente pour le proviseur, aussi délicieuse son aventure avec Mathilde ait été, il ne se satisfaisait pas d’une seule conquête remarquable. C’était un prédateur et il ne pouvait s’empêcher de chasser les proies les plus fragiles qui se trouvait sur son territoire alors il avait continuer comme à son habitude.  Cependant, même s’il ne pouvait pas arrêter de s’en prendre à toutes les filles qui passaient sous son emprise, il n’en avait pas oublier la belle plante qui l’avait tant combler.

Il savait qu’elle se trouverait au gymnase car comme à son habitude elle était la dernière à en sortir, bien après tous les autres. Il s’y était donc rendu et en faisant le tour il pu bel et bien se rendre compte qu’il n’y avait plus personne mais que le bruit des douches des vestiaires des filles coulaient. Que ce soit Mathilde ou une autre, ce n’était pas grave même si évidemment il était venu pour elle pas pour une autre, il ne pris que le temps de vérifier que c’était bien elle pour se dévêtir complètement avant de la rejoindre sous la douche

Il profita qu’elle soit dos à l’entrée pour s’approcher sans faire un bruit afin de se coller à elle, il l’attrapa par les hanches avant de faire remonter ses mains jusqu’à ses seins qu’il pelota directement, sans rien dire.

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Il avait pu se faire plaisir comme il aimait le faire et en plus c’était avec quelqu’un qui lui correspondait parfaitement et qui aimait recevoir de la manière avec laquelle il donnait et c’était jouissif. Il regardait la jeune fille allongée et lui porta une main sur le crâne pour la caresser tranquillement pendant qu’il soufflait de plaisir, se remettant de cette session de sexe intense. C’était la première fois qu’il le faisait avec elle mais elle pouvait être sûre et certaines que ce ne serait pas la dernière fois, il avait bien trop pris son pied pour que ce soit quelque chose d’unique :

« C’était extraordinaire et je pense que nous nous reverrons très souvent, ma belle. »

Il la tire un peu vers lui pour qu’elle pose sa tête sur ses genoux et la regarde en passant ses caresses sur son corps nu et encore tout transi de plaisir :

« Mais tu sais ce qui est vraiment jouissif ? C’est quand ce n’est pas prévu. Je sais que tu es toujours la dernière à quitter les vestiaires au gymnase, alors pourquoi ne viendrais-je pas te prendre dans les douches ? Je ne te dis pas quand par contre, peut être demain, la semaine dernière ou dans trois mois quand tu auras oublier, qui sais. »

Il aimait beaucoup son idée et il espérait qu’elle aussi même si en vérité même si elle refusait, il ferait ce qu’il veut quand il le voudrait.

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Le vieil homme n’était pas qu’un violeur de lycéenne ou un adepte des prostitués, il était avant tout un homme de charme et séducteur dans l’âme. Son charisme naturel était un atout certain mais il connaissait autant de technique pour faire tourner la tête des femmes que pour les briser et il prenait autant de plaisir à faire les deux. Charmer une élève n’était pas très difficile en réalité, il y avait encore beaucoup ce fantasme de la figure d’autorité et d’homme mûr et il prenait un malin plaisir à jouer également à ce jeu. Pour Mathilde, il avait juste fait cela dans le feu de l’action, un peu de tendresse ne faisait pas de mal surtout avec ce qu’il s’apprêtait à faire.

Il y allait vraiment comme un forcené dans faire d’arrêt, il allait et venait encore et encore avec une puissance inouïe s’il ne la tenait pas, elle aurait sûrement beaucoup de mal à suivre le mouvement. Mais même s’il était très endurant, c’était la deuxième fois qu’il sollicitait son corps de la sorte et il se sentir venir plus vite que lors de la sodomie qui avait précédé, cependant il ne perdis pas l’occasion de s’engouffrer jusqu’au fond de la gorge de la jeune fille pour jouir une seconde fois et l’abreuver de sa semence. Il se retira un peu plus vite cette fois-ci alors qu’il n’avait pas fini de se vider et une partie de son éjaculation se retrouva sur le visage de sa partenaire.

Il lui sourit et s’essaya de nouveau à sa place en la regardant.

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Lorsqu’un dominateur rencontrait une partenaire qui aimait se faire dominer, c’était là que le plaisir prenait forme dans on expression la plus pure, le proviseur se délectait de la jeune fille qui semblait être totalement en phase avec ce qu’il proposait, c’était une partenaire de premier choix et il y avait tant à lui faire découvrir.

Il la laissa donc s’asseoir en la suivant du regard et il lui caresse la joue et lui embrasse le front avant de se mettre lui aussi en position. Se positionnant debout au dessus de sa tête, une jambe de chaque coté de la banquette, il lui repris la gorge à deux main cette fois ci pour la maintenir et bien l’aligner de manière à pouvoir s’enfiler dans sa bouche sans obstacle et ce qu’il fit.

Sans lui demander si elle était prête, il s’enfonça dans sa bouche et sa gorge d’un coup sec jusqu’à lui écraser ses bourses contre les lèvres avant de commencer des va et vient avec autant de vigueur et de puissance que lorsqu’il lui labourait l’anus. Au fur et à mesure que les claquement de peau contre de ses testicules contre le visage de la lycéenne se faisait de plus en plus fort, le proviseur resserrait son étreinte sur sa gorge. Évidemment il ne serrait pas au point de l’étrangler mais il y mettait tout de même assez de force pour quelle sente la pression sur sa trachée. Il se déchaînait en lui baisant littéralement la gueule. 

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