Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Alexandre Dowell

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Centre-ville de Seikusu / Re : Une offre qu'on ne peut pas refuser [Skyler]
« le: mardi 25 septembre 2018, 13:06:38 »
Le bureau d’Alexandre était spacieux et agréable, moderne et sophistiqué. Une série de granes baies vitrées donnaient sur l’extérieur, et le vampire avait, outre son bureau, un coin salon avec un canapé et une série de fauteuils. Le vampire portait une tenue très professionnelle, un costume blanc avec une chemise et une cravate. Une tenue impeccable, faite sur mesure. Skyler devait se sentir comme un petit poucet pénétrant dans une grande forêt. Le cabinet Dowell s’étalait sur plusieurs étages, avec une série de bureaux multiples. C’était un cabinet généraliste dissocié en une série de départements : département immobilier, département administratif, affaires pénales... Alexandre avait de nombreux associés, et son cabinet disposait de bureaux secondaires ouverts à l’étranger. Dans les salles d’attente, il y avait d’ailleurs une mappemonde montrant les différents pays où le glorieux cabinet s’était développé. Le cabinet Dowell était encore loin d’avoir l’influence de Baker McKenzie, un cabinet d’avocat international mondialement connu qui avait notamment eu Christine Lagarde pour le présider, mais Alexandre s’en sortait pas mal. Au milieu de clients fortunés, d’hommes d’affaires, de politiciens, de banques et de grosses entreprises, Skyler était vraiment dans un autre monde.

Une délicieuse secrétaire en tailleur serré conduisit Skyler à la salle d’attente de « Maître Dowell », l’invitant à attendre. Quelques minutes après, la porte s’ouvrit, et Skyler put voir Alexandre, qui lui sourit légèrement. Il la salua à la Japonaise, se courbant légèrement en avant.

« Pile à l’heure, Skyler ! J’aime la ponctualité, vous savez. »

Il s’écarta, et laissa la jeune femme passer, puis la conduisit dans son fameux grand bureau. Là, Alexandre ferma la porte, souriant ensuite légèrement devant le kimono de la femme.

« Et bien, vous êtes toute charmante, Miss Skyler. Je vous proposerai bien un verre, mais... Je crois que vous n’avez pas encore l’âge requis. »

Alexandre se déplaça doucement, et, même malgré l’air conditionné circulant dans son bureau, retira sa veste. En chemise, il s’assit sur le fauteuil, et invita de la main Skyler à en faire de même. Le contrat était là, posé sur la table.

« Évidemment, vous n’avez pas à signer tout de suite, accordez-vous le temps de la réflexion. En sus, ce contrat de management et de sponsorisation prévoit que le cabinet Dowell, dont je suis le représentant, assure les inscriptions à différents championnats et tournois. Nous prenons en charge le coût des frais d’inscription, nous nous chargeons de la publicité, des différents frais et autres taxes... Financièrement, nous partageons, vous et moi, les gains escomptés. Si une prime vous rapporte... Je ne sais pas, disons... 10 000 dollars, le cabinet récupère un pourcentage de 33% des gains là-dessus. »

Le chiffre était assez honnête, vu que le contrat prévoyait aussi la prise en charge des frais réels de Skyler : indemnités kilométriques de déplacement, frais de restaurant, frais d’hôtellerie... Et elle conservait en plus ses gains ! C’était à se demander où était le piège... Alexandre se releva alors, apportant un jus de fruits, à défaut d’un liquide plus alcoolisé.

« En retour, je compte sur vous pour assurer la promotion de différents projets qui sont également financés par notre cabinet. Ne le prenez pas mal, mais vous êtes plutôt photogénique... Parfaite pour des campagnes promotionnelles. Rassurez-vous, je ne propose rien de choquant, mais... Assurer la promotion d’un lycée, par exemple, participer à différents clubs sportifs, ce genre de choses... »

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Centre-ville de Seikusu / Femme de main [Natacha Landefeld]
« le: lundi 24 septembre 2018, 01:13:09 »
Suite du RP « Laisse et muselière »

Quartier de la Toussaint

« Le Japon a la politique la plus stricte au monde en matière de prohibition des armes à feu. Rien à voir avec les Français, qui n’agissent qu’à travers les mots. Les armes à feu sont très rares dans l’archipel, et leur usage est très sévèrement réglementé. Naturellement, ceci a aussi pour conséquence que le trafic d’armes à feu est assez fréquent, et que la police a du mal à lutter contre ça. Vois-tu, il existe encore des organisations occultes qui conservent un certain sens de l’honneur, et n’ont guère envie de voir le quartier de la Toussaint se transformer en une zone de guerre urbaine. »

L’élégante berline noire roulait lentement le long de ce quartier. Alexandre était assis à côté de la femme à qui il tenait ce discours. Le vampire portait un costume anthracite assez élégant. Il était attendu à une soirée de gala, mais, avant ça, il avait une nouvelle mission à confier à sa jeune exécutrice. À sa gauche, Natacha portait, elle aussi, un élégant costume sombre. Un véritable look de femme fatale, avec des lunettes sombres posées sur son nez, ses cheveux noués en une queue-de-cheval sévère. Une femme fatale, qui avait bien mérité sa place à côté du vampire.

Il y a quelques mois, Natacha avait attaqué Alexandre dans le parc. Elle était alors une lycanthrope incapable de contrôler ses pulsions. Alexandre avait réussi à la capturer, puis avait ensuite choisi de la dresser. Après des débuts houleux, la femme avait finalement accepté de lui obéir, de le servir, dès lors que le vampire ne cherchait pas inutilement à l’humilier, et veillait à bien la former. Natacha n’avait pas beaucoup d’attache sur Terre, et il avait ainsi pu l’entraîner en secret pendant de nombreuses semaines. Elle avait appris le combat au corps-à-corps, ainsi que les arts martiaux. Cet entraînement servait aussi à lui permettre de contrôler son organisme, et elle avait ainsi une plus grande maîtrise de sa forme de Lycane. Régulièrement, Alexandre l’avait aussi laissé agir sous cette forme. Elle avait d’abord commencé en étant jetée dans une grotte remplie de goules et de monstres, où elle se transformait pour les massacrer. En déchaînant sa violence, Alexandre avait progressivement pu établir une relation avec la Natacha lycane, jusqu’à ce qu’elle lui obéisse.

Le plus difficile avait été de l’amener à contrôler sa mutation, de l’amener à se transformer spontanément en Lycane. Il y avait encore du travail à faire, mais Alexandre avait décidé que la formation était terminée. Honnête avec elle, il lui avait expliqué que, sur Terre, son cabinet d’avocat était en affaire avec de multiples clients redoutables. Outre la gestion de la Fondation Mishima, Alexandre était aussi l’avocat des Guramu, le plus puissant clan yakuza de la ville. Pour l’heure, il n’avait pas encore pris le risque de lâcher Natacha en Lycane, mais l’avait utilisé comme femme à tout faire. Pour l’heure, Natacha avait participé à une activité spécifique aux Yakuzas : le sōkaiya. Ce terme désignait l’utilisation par les entreprises de Yakuzas dans les conseils d’administration pour étouffer les contestations de certains actionnaires. Les Yakuzas garantissaient ainsi le wa, à savoir une assemblée générale qui se tiendrait paisiblement, sans fioriture. Les Yakuzas de ce type officiaient aussi dans les assemblées générales de copropriétaires, et les Guramu étaient d’ailleurs présents dans bon nombre d’entre eux. Ils empêchaient ainsi les votes pour rénover des bâtiments usés dans les quartiers populaires de la Toussaint.

Natacha s’en sortait pour l’heure plutôt bien, et bénéficiait ainsi d’un travail assez flexible, avec un revenu fixe, et la possibilité d’avoir des primes.

« Nous y voilà. »

La voiture s’arrêta devant la devanture d’un magasin. Il faisait nuit, mais l’épicerie était encore ouverte.

« Il est temps de passer pour toi aux choses sérieuses, Natacha. Ce commerçant s’acquitte régulièrement de la protection due auprès des Guramu, mais a trahi la confiance du clan. Vois-tu, la Mafia russe est en guerre ouverte contre les Guramu. Nous avons que les Kroes, l’une des familles du clan des Petrovski, dispose quelque part d’un entrepôt clandestin d’armes à feu. Ce commerçant dispose d’une arme à feu qu’il a acheté auprès des Petrovski. Je veux que tu lui rappelles qu’il aurait dû immédiatement signaler à ses protecteurs l’identité de son fournisseur, et que tu en profites pour obtenir l’identité de son fournisseur. Je peux compter sur toi pour obtenir satisfaction, et pour lui rappeler que les Guramu sont le seul clan qui contrôle véritablement les activités occultes de cette ville ? »

Utiliser une femme pour ce genre de choses était très inhabituel. On pouvait dire tout ce qu’on voulait sur Alexandre, mais il ne partageait pas le sexisme imbécile de la plupart des mafias, et surtout des Yakuzas. Il estimait donc Natacha tout à fait apte pour accomplir cette mission...

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Le parc et son sous-bois / Re : Laisse et muselière [Alexandre Dowell]
« le: lundi 10 septembre 2018, 01:31:44 »
La prise de conscience... Comme quand un alcoolique prenait conscience qu’il avait un problème. Comme lorsqu’Alexandre avait compris qu’il ne pouvait lutter contre ses pulsions, et qu’il devait donc les accepter. Tôt ou tard, ce moment arrivait, et, pour Natacha, il était venu. Là, contre lui, dans cette cabine de douche, la jeune femme acceptait ce qu’elle était, sa nature violente, lycanthropique, instable... Elle se souvenait de la rage qu’elle avait eu, de sa puissance, de sa fureur... Et tout ça la faisait réfléchir. Et Alexandre n’arrangeait rien, en continuant à la pénétrer, à lui faire l’amour. C’était aussi une manière de la pousser dans ses derniers retranchements, et de voir ce qui allait sortir, ce qui allait dominer chez elle. Et il ne fut donc pas déçu. Alexandre sourit doucement, et la serra contre lui, tout en continuant à la prendre.

« Là, Natacha, là... »

Parler en faisant l’amour était un exercice toujours assez compliqué, même quand on avait, comme Alexandre, une certaine expérience en la matière. Il parla donc moins, et embrassa Natacha, lui faisant encore l’amour... Sans y aller de manière excessivement violente, mais en voulant juste lui faire plaisir. Il voulait lui montrer que rien ne changeait pour lui, qu’il n’allait pas juste cesser de coucher avec elle parce qu’elle avait admis avoir besoin d’aide. Petit à petit, l’eau se stoppa, tandis que l’homme continuait à la prendre, embrassant son cou, mordillant sa chair, se délectant des hurlements qu’elle poussait, des couinements, des coups sourds contre la porte en verre, tandis que le corps de Natacha filait encore d’avant en arrière.

Alexandre se concentrait donc, la prenant encore, sans relâche, avec cette énergie et cette fougue incroyable propre aux vampires. Dieu, qu’il semblait inépuisable ! Il la prenait longuement, retournant l’embrasser, pinçant ses seins, encore et encore... Jusqu’à ce que les deux amants ne s’abandonnent au plaisir suprême. Il se relâcha en elle, et, grâce à ses instincts sanguins, la sentit également jouir. La femme goûta à nouveau au bonheur suprême, infini, puis le vampire la reposa au sol.

« C’est très bien, Natacha... Nous allons avoir du travail, toi et moi. »

Il sortit de la douche avec elle, et récupéra une simple chemise de nuit, donnant à la femme une nuisette élégante, une lingerie fine en dentelle.

« Heureusement, j’ai plusieurs chambres en stock, tu as ravagé la mienne... Mais c’était prévu. Au moins, tu sais à quoi tu ressembles dans cet état maintenant, n’est-ce pas ? »

Alexandre s’avança avec elle, retournant dans les dédales de son manoir, tenant une chandelle à la main, puis ouvrit finalement une porte. Il y avait là une élégante chambre, avec une fenêtre donnant vue sur des jardins.

« Je te laisse te reposer, Natacha... Demain, il faudra parler plus sérieusement de tes pouvoirs, et de tes capacités à les contrôler. Désolé par contre, il n’y a pas le WiFi ici. »

Après toute cette orgie, cette tornade de sexe, de douleur, cette vague, Natacha allait enfin pouvoir goûter au repos... Le vampire ne comptait pas la harceler continuellement, et estimait que le moment était parfait pour qu’elle reprenne ses esprits, et qu’elle comprenne qu’elle n’était pas une prisonnière dans ce manoir... Plus une sorte d’invitée forcée. Alexandre referma la porte derrière lui.

En réalité, lui aussi allait devoir réfléchir à la suite, et à ce qu’il allait faire de cette bombe à retardement...

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Le parc et son sous-bois / Re : Laisse et muselière [Alexandre Dowell]
« le: samedi 08 septembre 2018, 15:24:08 »
Merci… Ce mot, ce bref mot que Natacha glissa dans un soupir, il aurait pu ne pas l’entendre. Il aurait pu l’éviter sous le ronflement de l’eau, sous leurs frémissements respectifs… Mais il l’entendit. Quelque chose venait de se passer. Une étape décisive avait été franchie dans cette chambre. Elle qui le détestait, qui le haïssait, elle voyait maintenant qu’il avait tenu sa parole. Certes, il l’avait séquestré, torturé et violé, mais il avait réussi à faire régresser sa lycanthropie. Natacha était sortie de son état autrement qu’en tombant dans le coma, et elle semblait maintenant prendre enfin conscience, non seulement de sa dangerosité, mais aussi du pouvoir que le vampire pouvait exercer sur elle. Il avait réussi à la ramener à son état normal… Non sans difficulté. En réalité, Alexandre n’était guère convaincu de pouvoir y arriver de nouveau, et il devait bien admettre qu’il avait risqué sa vie ce soir.

*Cette puissance, cette sauvagerie… Elle aurait pu me démembrer sur place.*

Encore une fois, le vampire se demandait si Natacha méritait les risques qu’il prenait pour elle. Cette femme était dangereuse, sauvage, et, même si elle accusait le coup, elle retrouverait vite de son mordant. Or, Alexandre ne pouvait ignorer le fait que sa magie ne fonctionnerait pas à chaque fois sur la Lycane. Son organisme allait s’y habituer. Et lui, qu’avait-il à y gagner ? Au-delà du simple défi personnel, que faire de cette femme ensuite ? Il n’avait pour l’heure aucune réponse sérieuse, et sentit Natacha l’embrasser.

L’eau ruisselait sur eux. Elle était chaude, bouillante, un délice pour le vampire. Ses longs cheveux tombaient en cascade derrière son dos, quelques mèches sauvages glissant sur ses épaules, que Natacha écarta en embrassant son cou. Il la maintenait toujours contre lui, et prit conscience, quand elle l’embrassa sur les lèvres, de son état d’excitation. Son sexe s’était redressé, ou peut-être avait-il toujours conservé cette roideur, cette dureté… Toujours est-il que les baisers balayèrent les interrogations qu’il avait, au profit de sensations plus naturelles, plus extrêmes, et moins enclines aux questionnements.

Sa main glissa le long du dos de la femme, et s’appuya sur l’arrière de sa cuisse, puis il la souleva alors, pliant les jambes de Natacha autour de son bassin, son autre main restant sur le haut de son corps.

« Natacha… » soupira-t-il.

Elle était belle… L’eau la magnifiait peut-être, ou il était lui aussi dans un état secondaire, mais la suite naturelle vint rapidement. Sa main sur sa cuisse se déplaça pour attraper son propre sexe, et il la pénétra ensuite, tout en se décalant un peu, plaquant Natacha contre la vitre de la douche.

« Natacha ! »

Il grogna doucement, avant de poser sa main sur ses fesses, en appui, pinçant sa chair, et retourna l’embrasser, tout en continuant à la pénétrer. Le jet d’eau de la douche fusait sur le dos du vampire, et la vitre tremblait doucement sous ses coups de reins, moulant depuis l’extérieur les formes de Natacha.

Alexandre avait envie de croire que leur relation venait de prendre un nouveau tournant… Et que les choses étaient désormais susceptibles de s’améliorer entre eux.

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Dictature d'Ashnard / Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]
« le: lundi 27 août 2018, 00:54:52 »
« Oh, bien sûr, Emhyr a de la famille... L’arbre généalogique des Emreis plonge ses racines dans les profondeurs de l’Empire. C’est l’une des familles fondatrices, et j’ai moi-même embauché quelques généalogistes pour essayer de retrouver leurs racines profondes. »

Terria semblait se plaire à cette idée, celle de séduire Emhyr. Mais pensait-elle vraiment qu’Alexandre allait l’envoyer si rapidement dans la cour des grands ? Elle était sa concubine, mais serait aussi sa prisonnière, tant qu’il n’aurait pas la certitude de ses intentions. Pour l’heure, en tout cas, il profitait pleinement, et, tandis que la jeune femme lui avait posé des questions, elle alla se glisser entre ses cuisses, le long de son corps, approchant ses lèvres de son sexe. Le vampire avait déjà joui, mais, face à une telle femme, la gourmandise était la bienvenue. Frissonnant doucement, l’homme la regarda faire, embrassant son membre, le léchant, s’y frottant doucement, tout en lui demandant davantage d’informations.

Mais, finalement, qu’est-ce qu’Alexandre savait de la famille d’Emhyr ? Il avait déjà pris de gros risques en dévoilant à la jeune femme tout ce qu’il savait, en lui dévoilant ses intentions et ses ambitions. Si Emhyr l’apprenait... Et, même s’il comptait enquêter sur elle, son instinct lui soufflait que Terria était sincère. C’était peut-être une réaction puérile, mais le vampire avait appris à se fier à ses premières impressions. Il sentait chez cette sensuelle jeune femme de l’ambition, l’envie d’aller plus loin, de s’imposer, d’améliorer sa position, d’asseoir son influence. Et, si elle disait vrai, elle aurait pour elle l’indéniable avantage de ne pas être connue des réseaux d’espionnage. La soupçonner en deviendrait donc d’autant plus difficile.

« Emhyr... Emhyr a un frère, Coehoorn var Emreis. Un jeune Maréchal prodigieux... Emhyr a réussi à redresser la maison Emreis grâce à lui, grâce à ses campagnes militaires. Tu vois, avoir le soutien de l’armée au sein de l’Empire est un gage d’efficacité et de puissance. Coehoorn... Hm... Il est très apprécié des militaires. »

Le Maréchal était véritablement un génie, un homme qui avait réussi avec brio ses classes militaires, et n’avait pas à en rougir. Pendant ce temps, la jeune femme venait à prendre sa virilité en bouche, ses fins et délicats doigts glissant sur ses testicules, le caressant tendrement, sensuellement, arrachant au corps d’Alexandre une multitude de frissons. La sensation était délectable, toujours aussi agréable, d’autant qu’il sentait la passion dans le corps de cette femme.

Mais, si la Flamme Blanche était redoutable, on pouvait en dire autant de son frère, qui était aussi dur que lui, et encore plus incorruptible. Fort heureusement, Alexandre connaissait une brèche éventuelle.

« Ma sœur... Ma sœur connaît l’une des sœurs d’Emhyr. Et on dit qu’elle aime bien visiter les maisons closes, et qu’elle est plutôt proche d’Emhyr. Hmmm... Mais... Crois bien que les Emreis ne se laissent pas approcher si facilement, ma belle. »

Tout en parlant, Alexandre serra les cheveux de la femme, accompagnant par ce biais ses mouvements sur sa queue.

« Ah, tu es douée, en tout cas, bon sang... »

Ça, il ne pouvait clairement pas dire l’inverse !

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Le parc et son sous-bois / Re : Laisse et muselière [Alexandre Dowell]
« le: lundi 27 août 2018, 00:45:49 »
Les gardes étaient habitués à ce que les séances nocturnes d’Alexandre Dowell soient très audibles. Ils conservaient donc un certain stoïcisme. Pour autant, ils avaient été informés du caractère très particulier de l’amante de ce soir. Ce n’était pas l’une de ces humaines que le vampire ramenait de la Terre pour s’abreuver de son corps, ni l’une de ces démones de la capitale, ou encore l’une de ses concubines habituelles. Alexandre jouait un jeu particulièrement dangereux avec une terrible Lycane, un jeu auquel il n’était pas habitué et à l’issue incertaine. Alors, quand ils entendirent le mobilier se briser, et des hurlements inhumains, des rugissements bestiaux, les gardes n’hésitèrent pas. La porte s’ouvrit brusquement, et les hommes en armure jaillirent.
 
Ils virent le lit du Maître s’envoler, et se fracasser contre le mur, tandis que leur Maître, en sang, se tenait à l’opposé d’une Lycane furieuse. Yeux écarquillés, rouges, le corps poilu, Natacha s’était pleinement transformée, et avait au passage dévasté le mobilier. Les gardes d’Alexandre portaient des armures noires complètes, élégantes et souples, et leurs yeux se mirent à rougeoyer, signe qu’ils avaient subi quelques mutations vampiriques. Alexandre leva toutefois la main vers eux, leur intimant de rester stoïques. Les gardes se figèrent donc, nerveux, sans trop savoir quel pied danser. Alexandre ne voulait pas prendre le risque d’agresser la femme, et de la voir perdre totalement les plombs. Il avait tenté un rituel qu’il ne maîtrisait pas, qu’il n’avait encore jamais eu l’occasion d’expérimenter. Et…
 
*Je joue clairement avec le feu…*

Et, au milieu du chaos, des broderies déchirées, des meubles brisés, Natacha commença à se calmer. Elle respirait lourdement, le souffle fort, et reprit alors, progressivement, apparence humaine, à genoux. Nerveusement, les gardes qui avaient sorti leurs épées de leurs fourreaux, se regardaient entre eux.
 
Alexandre se releva alors, un silence troublant succédant au chaos provoqué par la rage furibonde de la Lycane. Il se rapprocha d’elle, évitant les décombres, et récupéra un drap propre de couleur rouge dans un meuble enfoncé. Il se pencha ensuite vers la jeune femme, et enroula le fin drap autour d’elle.
 
« Viens, Natacha… » décréta-t-il d’une voix douce.
 
Il se releva avec elle. Natacha semblait être totalement vidée, et le vampire sortit, l’emmenant doucement, la tenant délicatement par les épaules. Natacha grelottait et tremblait, et leurs pas ensanglantés les accompagnèrent. Le vampire rejoignit la plus proche salle de bains. Même si Ashnard était une société médiévale, et avait un niveau de technologie datant de cette époque, il existait tout de même quelques ingéniosités… Comme un système de tuyauterie moderne avec une chaufferie centrale. Un luxe réservé à l’aristocratie impériale.
 
La salle de bains comprenait un grand bassin, mais aussi, fait encore plus anachronique, une cabine de douche. Alexandre retira le drap de Natacha, et fila dans la douche avec elle, puis l’enclencha. Une simple pression de vapeur enclencha la chaudière, et l’eau chaude afflua sur eux deux. Ses mains caressaient le corps de Natacha, et, rapidement, l’eau balaya la grande majorité du sang, avant qu’il ne la serre contre lui. Difficile d’imaginer l’état d’esprit de la femme, qui ressortait juste d’une transformation qu’elle ne pouvait désormais nier.
 
Au bout de plusieurs minutes, Alexandre finit par intervenir, déposant un bref baiser sur le front de la femme :
 
« Je te l’ai dit, Natacha… Je veille sur toi. »

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Dictature d'Ashnard / Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]
« le: dimanche 19 août 2018, 22:08:49 »
Indéniablement, cette lectrice avérée était une amante et une femme redoutable. Alexandre devait même admettre en son for intérieur être assez surpris. Il ne s’était pas attendu à ce que Terria se montre si entreprenante, surtout qu’il la connaissait depuis moins d’une journée. Or, en moins d’une journée, il lui avait déjà avoué son plus grand désir, celui d’être un Conseiller Impérial. Réaliste, Alexandre savait qu’il n’avait aucune chance d’être Empereur, mais briguer un siège au Conseil Impérial n’était pas pour lui déplaire. Il en avait la carrure et l’expérience, et c’était quelque chose qu’il convoitait depuis des années. La prudence étant mère de sûreté, il ne comptait toutefois pas se servir de Terria avant d’avoir réalisé une enquête sur elle. Il devait découvrir d’où elle venait, afin de s’assurer qu’elle n’était pas une espionne envoyée chez lui pour le séduire et le tromper. Sans doute était-il paranoïaque, mais c’était là la rançon du pouvoir. En attendant, il avait joué avec les seins de la femme, léchant le vin glissant dessus, une liqueur qui donnait à sa peau une lueur cuivrée et un goût qui, effectivement, était délicieux.

*Au moins, elle est une compagne exceptionnelle au lit...*

Avait-il des raisons de la soupçonner de duplicité ? En soi, non... Et c’était bien là le problème. Une femme inconnue, belle à se damner et cultivée, qui le rejoignait si spontanément, lui, un vampire ashnardien... Tout ça semblait presque trop beau pour être vrai, comme si Terria était un diamant sans la moindre aspérité, sans le moindre défaut, un cristal pur et magnifique... Un joyau qui devait donc nécessiter, forcément, une forte prudence... Prudence qu’il était pour le moment incapable de faire. Quel homme pouvait se prétendre prudent quand il avait son chibre planté dans les cuisses d’une femme comme elle, et frottait son visage contre ses seins ?

La femme resta encore juchée sur lui, tout en manifestant encore sa curiosité, et récupéra une rose, la glissant entre ses dents. Un geste innocent, presque puéril, mais qui agit comme un petit coup de fouet sur le sexe d’Alexandre, provoquant un frisson qui le fit doucement trembler. Elle contenait son orgasme, et Alexandre y vit une faille. Ses mains saisirent la femme à la taille, et il la renversa, inversant les rôles.

L’homme retourna au-dessus d’elle, le visage de Terria s’écrasant sur l’oreiller, et le vampire alla longuement l’embrasser, rose ou pas. Ses lèvres se collèrent à la sienne, et, tout en l’embrassant, ses dents cassèrent la rose en deux, permettant à sa langue de filer dans la bouche de la femme, tandis que leurs mains se serraient les uns contre les autres, et qu’il se mouvait en elle, remuant longuement. Malgré la question qu’elle venait de lui poser, le vampire commença par assouvir ses pulsions, et la pénétra longuement, déplaçant sa main pour jouer avec les seins de la femme. Pendant un moment, Alexandre ne pensa à rien d’autre qu’au sexe, forniquant furieusement avec cette femme. Il ne la relâcha que quand les deux amants s’éprirent l’un de l’autre, et jouirent de leur plaisir, se répandant l’un en l’autre. Un superbe orgasme traversa le corps du vampire, qui se détendit ensuite à côté d’elle.

C’était comme si le temps n’avait plus aucune emprise sur lui. Il se retrouva allongé sur le flanc, à côté d’elle, ses jambes se frottant aux siennes, et, tout en caressant son visage, se décida à lui en dire davantage :

« Le Conseil Impérial est la plus puissante institution de l’Empire, Terria. C’est une structure suprême, qu’il n’est pas facile d’y rejoindre. Les candidats sont nombreux, et le Conseil est presque entièrement phagocyté par le plus influent d’entre eux... Emhyr var Emreis. »

Un simple humain, mais qui, grâce à son frère, le Maréchal Coehoorn var Emreis, un génie militaire sans précédent, bénéficiait du soutien indéfectible de l’armée.

« La Flamme Blanche, comme on l’appelle, est l’homme le plus proche de l’Empereur Mordret. Il est d’ailleurs appelé à devenir l’Empereur. Les var Emreis et les Dowell ne sont pas des amis intimes. Pour devenir Conseiller Impérial, il faut obtenir le soutien d’Emhyr. »

Et la chose n’était pas facile, car l’esprit d’Emhyr n’était pas facile à sonder. Il avait reçu de nombreux instructeurs pour protéger son esprit, et même pour se prémunir des vampires en masquant ses pulsions sanguines à l’aide de techniques de relaxation et de concentration, ainsi que d’élixirs très puissants, développés par l’Archimage Samara, qui gravitait autour d’Emhyr.

Perdu dans ses pensées, Alexandre se coucha sur le dos, observant le plafond, avant de poursuivre :

« L’Empire a changé en quelques siècles. Les simples exploits militaires sont maintenant insuffisants, il faut savoir courtiser, séduire, parler bien... Faire de la politique, ce dont j’ai une sainte horreur. »

Pour toutes ces raisons, le vampire n’était pas totalement assuré de rejoindre un jour le Conseil Impérial. Mais qui sait ? Il se retourna vers elle, et l’embrassa brièvement.

« Toute aide est la bienvenue, Terria, mais ne crois pas que tes cuisses, aussi ravissantes soient-elles, suffiront à convaincre la Flamme Blanche. Les var Emreis ont le cœur dur, crois-moi. »

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Le parc et son sous-bois / Re : Laisse et muselière [Alexandre Dowell]
« le: dimanche 19 août 2018, 21:59:53 »
Quand on jouait avec le feu, il fallait s’attendre à ce que l’incendie explose. Et le brasier était là, devant Alexandre, au bout de sa queue. Il était prévisible que Natacha finisse par perdre le contrôle. Il l’avait capturé, torturé, violé, et, maintenant, elle laissait sa passion s’exprimer, du sexe sauvage et bestial, sanglant et cruel, où le sang se mélangeait au stupre. Les instincts primaires de Natacha se réveillaient, tout comme Alexandre. Lui aussi avait de plus en plus de mal à réprimer ses pulsions. Ses yeux viraient au rouge, et ses canines avaient poussé, tandis que tout son corps semblait devenir plus sensible, le sang circulant dans ses veines plus rapidement. Pour autant, même malgré cela, il se retrouva cloué sur le lit par la main de Natacha, qui avait arraché sans difficulté l’un des bouts du lit. Les yeux de la femme étaient devenus plus bestiaux, et ses grognements étaient désormais bestiaux. Sa force avait cru, et ses ongles étaient devenues des griffes mortelles, acérées.

*C’est l’heure du grand jeu, Alexandre !*

Natacha luttait contre ses pulsions, ce qui, en soi, voulait dire beaucoup. Était-ce aussi pour ça qu’Alexandre avait voulu la pousser dans ses derniers retranchements ? Pour voir ce qu’elle ferait ? Si elle luttait contre sa transformation, n’était-ce pas, fondamentalement, la preuve qu’elle s’était attachée à lui ? Ou que, à défaut d’affection, elle savait qu’elle avait besoinde lui ? Alexandre sourit lentement, mais n’avait pas le temps de célébrer sa victoire. Il se concentra alors, et mordilla sa main, faisant couler son sang, puis banda ses muscles, et posa son pouce ensanglanté sur le front de la femme, tout en croisant son regard.

La magie pulsait en lui, et il parla dans une langue inconnue, ancienne, mais que Natacha, en son for intérieur, devrait reconnaître. La langue des vampires, où chaque mot était chargé de magie.

« Obéis-moi, Louve ! »

Insuffisant en tant que telle. Alexandre n’aurait jamais invité une Lycane dans son lit sans se renseigner sur les moyens de les contrôler. N’avait-il pas dit à Natacha que, jadis, les vampires contrôlaient les Lycans ? Il y avait diverses façons de procéder, mais il y en avait une qui était imparable, car elle jouait sur la nature voisine de leurs mutations, et sur leur sang. Alexandre avait recouvert le corps de Natacha de son sang, ce qui lui offrait un lien pour pratiquer un rituel... Sans compter leurs rapports sexuels. Mais, pour ça, il fallait encore tracer sur son front un sceau bien particulier.

Alexandre se redressa donc, sentant encore Natacha hurler, ses griffes déchirant les couvertures, la Lycane en elle cherchant à se réveiller. Avec son pouce, Alexandre traça alors un cercle sur son front, puis le barra d’un trait en diagonale.

« Mon sang est en toi ! Tu es mienne, Louve ! » vociféra-t-il.

Le vampire n’avait encore jamais eu l’occasion de pratiquer ce sort. Est-ce qu’il fonctionnerait ? Pour l’heure, Natacha continuait à se débattre sous lui, et sa masse devenait encore plus épaisse. Alexandre serra les dents, avant d’être repoussé, et tomba du lit. Il sentit ensuite Natacha lui bondir dessus, et vit ses yeux luire, d’un jaune vif, tandis que sa fourrure commençait à pointer,

« Je t’ordonne de te calmer, Louve ! JE T’ORDONNE DE TE CALMER !! »

Après tout, Alexandre appliquait un rituel ancestral, qu’il n’avait jamais pratiqué, et dans des circonstances qui n’étaient sûrement pas conformes à la tenue d’un rituel. Bien réussi, ce rituel permettait aux vampires de commander instinctivement aux loups, en utilisant leur partie lycanthrope. Mais, avec Natacha, sa partie lycanthropique était complètement sauvage. Est-ce qu’Alexandre réussirait à se faire obéir ?

« Allez, Natacha..., dit-il alors dans un langage commun. Reprends le contrôle ! »

Couché sous elle, Alexandre ne donnait pas chair de sa peau en cas de problèmes, mais, si jamais il se mettait à perdre trop de sang, ses gardes interviendraient... Il fallait juste espérer qu’ils le fassent à temps !

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Le parc et son sous-bois / Re : Laisse et muselière [Alexandre Dowell]
« le: lundi 13 août 2018, 00:57:50 »
Il la provoquait, bien sûr. Natacha était comme le feu, un torrent ardent qui ne demandait qu’à se libérer, qu’à sortir pour se développer. Il la provoquait donc, et l résultat attendu fut à la hauteur de ses espérances. Les ongles de Natacha se transformèrent en griffes, et le sang se mit à gicler. Alexandre poussa un hurlement de douleur, mais aussi de plaisir. Vu de l’extérieur de sa chambre, les gardes surveillant la porte se retournèrent brièvement en entendant les cris de douleur de leur Maître, mais choisirent de ne pas intervenir, comme s’ils étaient habitués à ce genre de choses. Alexandre ricana ensuite, et la femme le gifla violemment, avant de le griffer encore, perforant sa chair, traçant des sillons, menaçant ensuite l’homme de lui défigurer le visage. Pour seule réponse, Alexandre serra ses doigts sur le cul de la femme, malmenant ce dernier. Il aimait effectivement son postérieur, et il avait pu sentir les délicieuses ondulations sanguines de son amante quand il avait commencé à pétrir ce dernier. Visiblement, celle-ci avait un attrait pour l’anal que le pernicieux vampire comptait bien explorer.

Mais, pour l’heure, place au sang, aux griffes, et aux grognements. Les pupilles d’Alexandre avaient viré au rouge, et de magnifiques canines vampiriques pointaient désormais dans sa bouche. Ses mains se crispaient encore sur le corps de Natacha, et il lui répondit finalement, en souriant toujours malicieusement :

« Vois-tu… Des cicatrices sur mon torse, hmmm… ? Ma peau… Ma peau se soigne bien mieux que la peau d’un humain, ma chérie. Mais… Évite tout de même de m’arracher les yeux. »

Comme Alexandre le lui avait déjà dit, le sang ne dérangeait nullement les vampires, pas plus que la douleur. C’était même l’inverse. Le sexe entre vampires, le véritable sexe vampirique, se devait d’être dans le sang et le stupre. Douleur et plaisir ne faisaient qu’un dans le sexe, et un vampire atteignait toujours la quintessence de cette fusion. Le sexe devenait autant une séance de plaisir qu’un duel acharné, effréné, indiscernable d’une séance de torture, mais délicieusement jouissif. Alexandre laissait encore Natacha jouer, lorsqu’il banda les muscles, et se redressa brusquement.

Sa main se saisit des cheveux de la femme, et son torse ensanglanté se colla au sein, son sang glissant sur la peau de Natacha, sur ses seins, sur son cou, sur son ventre… Sa bouche en sang lécha le cou de la femme, et il la mordilla dans le creux, non pas pour ponctionner son sang, mais pour l’avaler dans sa bouche. Il en contint une gorgée, et embrassa la femme avec, le partageant. Difficile de dire si la Lycane allait autant aimer le sang que lui, mas… Elle était une prédatrice, après tout. Une tueuse qui aimait dévorer ses proies, et boire leur sang tout en mangeant leurs entrailles. Alexandre jouait avec le feu avec elle, en stimulant ainsi ses instincts guerriers, prenant le risque de la voir libérer sa colère, et de le déchiqueter sur place… Mais que serait la vie sans un brin de dangerosité, et sans un zeste de folie ?

Poussant en avant, il faillit renverser Natacha, mais se retrouva à nouveau plaquée sur le lit, qui ruisselait de sang. Natacha ressemblait alors à une furie guerrière, couverte de sang des lèvres aux cuisses.

« Un vampire ne peut pas transformer un Lycan en vampire, Natacha… Pendant longtemps, on a cru que c’était une immunité naturelle, mais… Hmmm… Je crois que Lycans et vampires sont en réalité bien trop proches les uns des autres pour se confondre. »

Magnifique. Sauvage, bestiale, sanglante… Natacha était tout simplement magnifique. Une beauté de sang qui dansait sur lui, et lui offrait un aller direct vers le plus pourpre des nirvanas.

Magnifique.

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Le parc et son sous-bois / Re : Laisse et muselière [Alexandre Dowell]
« le: mercredi 08 août 2018, 17:54:46 »
Alexandre sourit devant cette femme, cette forte tête. Natacha était une tête brûlée, une Lycane qui n’en faisait qu’à sa tête, mais, face au désir, face à ce plaisir ancestral et intense, elle ne pouvait plus lutter. Alors, plutôt que de feindre, de prétendre pouvoir résister, elle opta pour la contre-attaque. Bandant ses muscles, puisant dans ses pouvoirs, elle repoussa violemment Alexandre. Le vampire s’écroula au milieu du lit, et sentit ensuite Natacha bondir sur lui, se dressant sur son corps, le phallus du vampire disparaissant dans le corps de la femme. Un long soupir traversa ses lèvres, et il posa ses mains sur les hanches de la femme. Il sentait sa doucereuse peau, en sueur, et celle-ci le gifla alors. Une première claque qui fit pencher sa tête sur le côté, puis une autre, tandis qu’elle lui affirmait qu’il allait en falloir plus pour lui « passer la muselière »

Le vampire, en retour, esquissa un léger sourire, et l’observa lentement, sentant le corps de la femme danser sur le sien.

« Ah oui ? Et bien, tu envisages déjà le collier, ma chère... Et tes gifles, elles manquent de vigueur, on dirait des caresses... Tu as envie de léchouilles ? »

Maintenant qu’elle le chevauchait, c’était à elle d’agir, à elle de remuer son petit corps pour danser sur son sexe. Lui, de son côté, il remonta sa main, et gifla fortement le cul de la femme, arrachant à Natacha de nouvelles crispations. Si elle avait effleuré ses joues avec de petites tapettes, lui la gifla sérieusement. Alexandre esquissa un nouveau sourire, et remonta ensuite son autre main, griffant le dos de la femme. Il se tortilla ensuite doucement sur place, afin de pouvoir mieux voir la femme, et déplaça sa main. Celle-ci se posa ensuite sur son sein, pinçant le téton, jouant avec son sein, et l’autre resta posée sur son cul, caressant doucement ce dernier.

Il malaxait son fessier, et soupira une nouvelle fois.

« En tout cas, j’admets que le spectacle que tu m’offres est magnifique, ma chérie... Continue donc à danser sur moi, là... Tu penses encore pouvoir gagner, Natacha ? Tu es une Lycane, je suis un vampire... Ton rôle est de m’obéir, hum... »

Le vampire la provoquait pleinement, afin de l’amener à se relâcher, à danser furieusement sur lui, et à se surpasser.

« Allez, petite, montre-moi si tu es une Louve ou une chatte... ! »

Et, une fois n’est pas coutume, il griffa encore ses fesses.

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Dictature d'Ashnard / Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]
« le: jeudi 02 août 2018, 10:46:42 »
Toujours allongé sous Terria, Alexandre était probablement au meilleur endroit du monde : sous le corps d’une belle femme, la verge nichée en elle. Il récitait mentalement ses contrôles. Pour réussir à maîtriser ses pulsions, Alexandre s’était entouré de spécialistes en la matière. Sur Terra, ils étaient plutôt nombreux, et il s’était rapproché du culte de Lust, la Déesse de la Luxure. Des prêtresses avaient formé l’homme, le maintenant en état d’érection pendant des heures, lui demandant de faire des parties d’échecs avec elles pendant qu’une femme le suçait. Une longue formation, éreintante, dont le but avait été de contrôler et de canaliser ses pulsions, en sachant bien qu’il n’avait aucun moyen de les éteindre. Il avait donc appris, et tout cela se concrétisait avec des femmes comme Terria. Clairement, la femme aurait du mal à le prendre en défaut, même s’il ne pouvait que reconnaître son talent.

Pour le dire simplement, il avait appris auprès des prêtresses de Lust à voir l’érection comme une fin en soi, et non comme un moyen. Dans l’acte sexuel, on cherchait toujours l’orgasme, ce moment libérateur où le sexe expulsait sous une forme liquide un plaisir incandescent et inouï. L’érection était donc vue comme une étape transitoire. Au sein du culte de Lust, on avait appris à Alexandre à aimer cette situation. Évidemment, la tâche n’était pas facile, car une érection était douloureuse. Ce n’était pas, à la base, du plaisir, mais une frustration, une frustration qui, plus elle durait, rendait le plaisir final intense et fort. Alexandre avait tout simplement appris à éprouver du plaisir dans cette douleur, ce qui était facilité par le fait qu’il était un vampire, et donc apte à aimer la douleur.

Restant sous le corps de Terria, il la laissa s’amuser avec Annabelle. La jeune servante n’avait rien à voir avec le profil de ses concubines. Celles-ci étaient des femmes fortes, autoritaires, disposant d’un indéniable talent. Annabelle, inversement, était une humaine loyale, qui avait grandi dans les villes sous sa protection. Elle était entrée à son service lors de son mariage. Alexandre avait demandé à exercer sur elle le droit de cuissage, et en avait profité pour l’embaucher ensuite. Loyale et dévouée, elle le vénérait, et adorait quand il la mordait. Elle avait déjà eu deux enfants, et était suffisamment intelligente pour qu’Alexandre daigne s’attacher ses services.

Terria congédia Annabelle après avoir récupéré l’alcool, et celle-ci s’inclina poliment avant de partir… Non sans qu’Alexandre ne se concentre un peu, observant ses cuisses… Et usa de sa magie rouge pour modifier le flux sanguin en elle. Annabelle sursauta discrètement, retenant à grand peine un soupir en sentant le désir éclater en elle. Alexandre reporta ensuite son attention sur Terria, un demi-sourire sur les lèvres.

« Tu aimes te faire obéir, hein ? »

Il remua très légèrement, et la vit approcher la carafe de ses seins. Elle lui demanda alors des informations complémentaires sur son clan, et sur les liens entre le clan et le Conseil Impérial, tandis qu’Alexandre observait, comme fasciné, la pointe de sa généreuse poitrine. Cette femme était vraiment très belle, et elle put sentir une bosse remonter en elle, la queue du vampire retournant se loger dans son intimité, une délicieuse érection pointant en elle.

De fait, ses mains se mirent à pincer les hanches de la femme, tandis qu’un long soupir traversait le corps du vampire.

« Et bien… Je confesse qu’aucun membre du clan Dowell n’a encore été Empereur, mais ma maison a régulièrement pu avoir des Conseillers Impériaux… Hmmm… L’un d’eux va justement partir d’ici quelques mois à la retraite, et j’espère bien pouvoir le remplacer. J’ai d’ailleurs de bons soutiens sur place. »

C’était aussi pour ça, d’ailleurs, qu’il venait fréquemment au sein de la capitale. Malgré toutes ses compétences personnelles, il était impossible de rejoindre le Conseil Impérial, plus haute institution politique impériale, sans avoir des soutiens actifs au sein du gouvernement.

Le vin commença alors à glisser entre les seins de la femme, et Alexandre, plantant son regard sur elle, releva la tête, et sortit sa langue, venant lécher sa peau, avalant le vin, remontant entre ses seins, glissant encore jusqu’à son cou, puis se retira, et alla embrasser chacun des seins, mordillant les tétons.

« Mon clan a jadis abrité des armées de Lycans, mais ceux-ci se sont révoltés. Depuis lors, nous avons pu récupérer bon nombre des forteresses que nous avons perdu, hmm… Mais certaines sont encore habitées par des monstres, hmmm… »

Il suçait ses seins, et avalait encore du vin, avant de le retenir dans sa bouche, partageant avec elle un baiser fruité, relâchant le vin dans les lèvres de la femme.

« Je dispose de soldats humains, mais aussi de goules, de quelques bataillons de Lycans, et de multiples vampires et Dhampirs, ainsi que d’autres monstres. Bien sûr, ça ne vaut pas les dragons de Sylvandell, mais… C’est tout de même impressionnant, sans parler de mes villes, hmm… De mes champs, de mes fermes… »

Le vampire retourna l’embrasser, mordillant ses lèvres.

« En quoi tout cela t’intéresse, ma belle ? »

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Le parc et son sous-bois / Re : Laisse et muselière [Alexandre Dowell]
« le: jeudi 02 août 2018, 10:26:15 »
Pensait-elle toujours pouvoir s’en sortir ? Arrivait-elle seulement à penser à quelque chose en ce moment ? Seul le sexe les dominait, une pensée vorace, omnipotente, qui les dominait totalement, l’un et l’autre. Alexandre s’y abandonnait pleinement, tout comme Natacha. Elle avait beau le haïr, le détester, souhaiter ardemment sa mort, elle ne pouvait pas lutter. Le plaisir croissait en elle, Alexandre pouvait le sentir. Il la besognait sèchement, heurtant le meuble bas, le mur, et sentait la femme approcher du point névralgique, du plaisir suprême. À ce stade, elle n’arrivait même plus à parler, et il la sentit jouir contre lui, le sang de Natacha culminant au point final.

« Hmmmm… !! » gronda-t-il profondément.

Contrairement à elle, Alexandre s’était entraîné, il savait donc comment réagir au mieux face au plaisir sexuel, il avait suivi de multiples formations pour se maîtriser… Autant que possible. De fait, Alexandre se mordilla la lèvre inférieure jusqu’au sang, sentant sa queue baigner dans la mouille de la femme. Natacha eut un vibrant orgasme, ses mains venant serrer sa gorge, après avoir battu l’air en vain, griffant le vide pour racler le mur. Elle jouit donc contre lui, un premier orgasme, et se détendit ensuite progressivement.

Espérait-elle du repos ? Que le vampire se serait assagi ? Dès que les muscles de Natacha se détendirent, Alexandre posa sa main sur la nuque de la femme, l’autre s’appuyant encore sur ses fesses. Leurs corps étaient en sueur, la chair claquait contre la chair, et Alexandre se sépara du meuble, maintenant Natacha contre lui… Puis poussa en avant et la renversa sur le lit. La femme tomba devant lui, et Alexandre l’observa silencieusement, sa queue dressée vers elle.

« Tu sais ce qu’on dit, Natacha, la première fois est toujours la plus difficile… Et le jour est encore loin d’être levé. »

Il était encore très loin d’en avoir fini avec elle. Alexandre rejoignit la jeune femme sur le lit, s’allongeant sur elle, et déposa un baiser sur ses lèvres, son membre turgescent et trempé caressant ses cuisses.

« Je n’en ai pas encore fini avec toi, rassure-toi… Et toi non plus, je le sens… Ton corps en veut plus, bien plus… »

Alexandre l’embrassa à nouveau, et serra sa main dans le creux de la sienne, plaquant ses lèvres tout en retournant la pénétrer. Son membre tendu se planta en elle, et il continua à la pénétrer, lentement, explorant sa fleur intime…

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Dictature d'Ashnard / Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]
« le: dimanche 22 juillet 2018, 23:01:14 »
Alexandre était confortablement couché sous Terria, sentant cette dernière danser sur lui. Un spectacle inouï, tout simplement, une danse exquise qui faisait vibrer le vampire. Ses mains se serrèrent sur les hanches de la femme, et il la laissa encore agir. Après tout, il lui avait donné le rôle actif, et il adorait la voir ainsi, à jouer avec son corps, à se dandiner sur place. Des formes magnifiques, un corps onctueux et savoureux, cette femme était vraiment parfaite ! Alexandre n’était pas en train de tomber amoureux, loin s’en faut, mais il appréciait clairement ce moment, cette séance délicieuse avec Terria. L’ancienne esclave, devenue désormais sa concubine, un poste important, dansait donc sur lui, et en profita pour lui demander de lui parler du clan.

Le vampire lui sourit doucement, ses mains retournant palper l’agréable cul de Terria. Il malaxait ses fesses, et, malgré la forte excitation qu’il avait, et son sexe perdu dans les cuisses de la femme, lui répondit :

« Pendant qu’on baise, hum... Ce n’est pas très courtois de parler de mes autres conquêtes, Terria, hmm... Mais, en ce qui concerne mon clan... Nous sommes... Un clan ashnardien âgé, et très bien implanté... Et, si tu me contentes bien, peut-être que je te dévoilerai un secret... »

Alexandre ne perdait jamais le nord. Il était un homme redoutable, un négociateur avisé, capable aussi bien d’être cruel que malicieux et manipulateur. Si Terria pensait pouvoir obtenir de lui des confidences intimes sur le lit, elle se trompait lourdement. Le vampire avait appris à contrôler, autant que possible, ses pulsions sexuelles, en les acceptant, et en cessant de vouloir lutter contre elles. De fait, il n’hésitait pas à utiliser sa magie pour pouvoir mieux gérer sa circulation sanguine, le taux d’adrénaline, et donc, en définitive, le désir sexuel. Il parvenait ainsi à réguler le moment de la jouissance, pour mieux satisfaire ses amantes. Et ça, Terria dut sans doute le sentir. Elle soupirait plus fortement que lui, mais, même malgré son contrôle sanguin, des plaques rouges et de la sueur se formaient également sur son torse. Ses doigts devenaient plus tendus, plus crispés. Impossible de pouvoir se contrôler à 100% dans ce genre de situations, car la passion était faite ainsi.

Le vampire retenait donc son souffle, toujours autant subjugué par la vision de ce corps qui dansait devant lui, de ces cheveux qui volaient au vent. Oh, quelle femme, quelle beauté ! Impressionnante, magistrale, toute en charisme ! Il la sentit s’abandonner finalement contre lui, et grogna longuement, fermant les yeux, sa verge recouverte de cette couche chaude de liquide... Le meilleur endroit au monde, indéniablement !

Terria reprit son souffle, et surprit alors Alexandre... En appelant d’une voix forte une domestique. Alexandre cligna doucement des yeux, avant que la porte ne s’ouvre. Il tourna la tête vers une jeune femme, Annabelle, qui rougit légèrement. Déguisée en bunny girl, Annabelle s’approcha lentement.

« Vous... Vous m’avez fait mander, Maître ? »

Alexandre observa Terria pendant quelques secondes, puis regarda encore Annabelle. Il était pris sur le fait, mais les serviteurs étaient habitués à ce que leur Maître soit en pleine action.

« Annabelle, je te présente Terria... Ma nouvelle concubine. Tu dois obéir à ses ordres comme s’ils émanaient de ma propre bouche.
 -  Bien, Maître... » s’inclina poliment Annabelle, en rougissant légèrement.

Terria demanda ensuite du vin, de l’eau, et de la glace. Annabelle acquiesça, et fila ensuite préparer tout ça, laissant les deux amants ensemble. Alexandre renversa alors Terria, et se lova contre elle, venant l’embrasser tendrement, sa queue trempée, mais toujours tendue, caressant le bas-ventre de la femme.

« Tu prends goût au fait de commander à mes servantes, hein ? Je me demande bien ce que tu me prépares, Terria... »

Le vampire l’embrassa encore, bien décidé à la laisser agir, et à voir ce qu’elle lui réservait...

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Le parc et son sous-bois / Re : Laisse et muselière [Alexandre Dowell]
« le: dimanche 22 juillet 2018, 23:00:57 »
Il savait que la passion finirait par parler. C’était l’appel des corps, le langage de la chair, une force ancestrale, préhistorique, irrésistible. Il avait tenté de lutter contre cette force, de l’étouffer, de la contrôler. Alexandre avait compris qu’il faisait fausse route, car cette passion, cette force qui s’exprimait de manière pure à travers le sexe... Elle était présente partout. Elle stimulait le corps humain. Sans passion, l’humain n’était qu’une coquille vide, un être sans énergie... Et ça, Alexnadre ne le souhaitait pas. Il vivait donc avec cette passion, et la magie rouge était une puissante alliée. Quand on contrôlait son rythme sanguin, on pouvait faire bien des choses... Comme augmenter la concentration sanguine à hauteur de son sexe, ou modifier le taux d’adrénaline pour être encore plus performant. Partant de là, pouvait-on dire qu’Alexandre trichait ? Éventuellement. Il utilisait juste des capacités surnaturelles de manière consciente et inconsciente, tout comme Natacha le faisait. Après tout, sa constitution lycanthropique la rendait plus forte, sexuellement parlant, et plus passionnée... Et ça, le vampire le sentit dans le baiser fiévreux que la femme ne manqua pas de lui faire.

C’était un baiser plein de passion, un baiser trahissant le fait qu’elle était en train de céder, de s’abandonner à son plaisir profond. Après cet échange intense, où elle fit couler son sang en le mordant fort, elle lui demanda de cesser de parler, et de la baiser, tout simplement.

Un message bien reçu.

Le sexe d’Alexandre gonfla alors un peu, et le vampire poussa un grondement profond, déplaçant ses mains. Il les posa sur chacune des fesses de Natacha, et donna de solides coups de reins, sa queue gonflant en filant d’avant en arrière, emmenant avec elle le basisn de Natacha, avant qu’elle ne reparte en arrière, tapant le mur. Les doigts d’Alexandre se crispèrent, et ses griffes entaillèrent très superficiellement le cul de la femme, faisant néanmoins perler un peu de sang.

« Hmmm... ! »

Plus de mots, mais de l’action, des gestes. Avec le sang dans sa bouche, et l’usage de sa magie, ses pupilles avaient viré à un rouge écarlate, et ses canines pointaient. Il grogna encore, un grondement vampirique, et retourna embrasser la femme, avant de se déplacer. Une main restant sur ses fesses, l’autre empoigna ses cheveux, et il la déplaça, rejoignant un meuble à côté, sur laquelle trônait un pot de fleurs... Qui fut chassé sans vergogne par le doux fessier de Natacha, qui se posa sur la nappe recouvrant le petit meuble.

Alexandre continua ainsi à la bourrer, faisant fi du vase éclaté sur le sol, grognant à nouveau, sa queue lui faisant joyeusement mal. Elle avait en fait bien gonflé, tant et si bien qu’elle formait, grâce à la magie, une sorte de nœud à la base. Impossible pour lui, désormais, de se retirer d’elle sans jouir.

Et la nuit ne faisait que commencer...

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Le parc et son sous-bois / Re : Laisse et muselière [Alexandre Dowell]
« le: lundi 16 juillet 2018, 00:51:23 »
Trichait-il ? Peut-être… Sûrement, même ! Mais… Il aurait été réducteur et trompeur de limiter cela à la simple manipulation sanguine qu’il faisait. C’était plus un ajout, et, si cette femme ne ressentait vraiment aucun désir pour lui, elle serait incapable de ressentir du plaisir. La réalité était toute autre, et, tandis qu’Alexandre la pénétrait, il sourit doucement quand la femme le nargua, affirmant qu’elle n’éprouvait rien, avant de finir par soupirer quand le sexe du vampire s’enfonça durement et profondément en elle. Son membre chaud gonflait dans son corps, douloureux et jouissif. Une sensation très exquise. Et voir Natacha tenter de lutter contre ça était… Encore plus jouissif ! Il la pénétrait donc, se doutant de sa confusion, et ricana doucement.

« Tu n’écoutes pas, ma belle… Ta transformation en Lycan devrait pourtant t’amener à comprendre que le corps suit ses propres fonctions, et qu’on ne peut pas contrôler les pulsions du corps comme on le voudrait. »

Il continuait à la prendre, à la pénétrer. Le corps de Natacha rebondit encore contre le mur, les mains d’Alexandre se posant sur ses hanches, avant de filer plus loin, s’appuyant sur ses fesses, qu’il se mit à pincer. Le vampire faisait parler ses muscles pour maintenir la jeune femme contre son corps, tout en continuant à lui expliquer ce qu’elle ressentait :

« Je sens ton sang, je sens ton pouls qui s’agite, qui s’affole… Pourquoi chercher à nier l’évidence, Natacha ? Tu vois, c’est comme ça que ça fonctionne. Le corps… Le corps se moque de la raison, il ne réagit qu’à des réactions chimiques, et profite de chaque brèche de l’esprit pour s’immiscer là où il faut. Nous sommes tous… Esclaves de nos passions… »

C’était bien pour ça qu’Alexandre avait en lui une discipline de fer, rigoureuse et stricte, afin d’essayer, autant que possible, de contrôler les propres pulsions de son corps. Une lutte impossible, d’autant qu’il était trompeur d’opposer l’esprit et le corps. Il fallait que les deux coïncident.

« Des envies contradictoires, Natacha… Tu peux continuer à me détester, mais ton corps, lui, est vaincu. »

Il la prenait toujours, et pinça ses fesses au passage, avant d’aller l’embrasser, de force. Elle résistait encore, mais il sentait que sa colère s’amenuisait… Ou, plutôt, que ses réactions de colère ralentissaient, diminuaient, au fur et à mesure que le plaisir croissait en elle. Alexandre sentait son trouble, son désarroi, et s’en amusait fortement. La femme était encore prise contre le mur, le vampire déplaçant ses mains pour empoigner la nuque de la femme, sa sueur se mélangeant à la sienne, la chair claquant contre la chair. Il sentait l’intimité de la femme s’humidifier. Une délicieuse mouille, tandis que lui, imperturbable, continuait à lui faire l’amour.

Et c’était bon, c’était terriblement bon pour lui aussi ! Il avait beau également détester cette femme, son corps était vraiment magnifique… Pour Alexandre, c’était un plaisir infini que de continuer, encore et encore, à la baiser ainsi ! Et il comptait bien la pousser jusqu’à l’orgasme.

« Tu vas jouir, ma belle… Et jouir encore, c’est inévitable ! »

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