Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Kyli

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Les contrées du Chaos / Re : La Deuxième Alraune [Saune & Kyli]
« le: vendredi 05 janvier 2018, 18:08:05 »
Qui aurait pu croire que venir rencontrer ma petite sœur et l’intégrer à notre famille pourrait conduire à un tel débordement de luxure ? Bien sûr je ne m’attendais pas à ce que nos retrouvailles se fassent sans montrer à Saune à quel point il était merveilleux de faire l’amour avec notre mère, mais là les choses étaient allées si loin. Nous étions toutes les trois suspendues au-dessus du sol, retenues par les poignets et les chevilles, et des tentacules nous suçaient et nous pénétraient par tous les orifices possibles. Tous nos fluides étaient recyclés en un super mélange aphrodisiaque tombant du ciel et recouvrant nos corps fiévreux. J’avalais la moindre goutte qui passait à ma portée, et cela me rendait toujours plus chaude. Autour de nous, les animaux de la forêt copulaient joyeusement. Cerfs, loups, écureuils… personne n’échappait aux phéromones. C’était une véritable orgie explosive.

Ce spectacle m’aurait sans doute émue si je n’avais pas été aussi absorbée par la vue de ma petite sœur en proie aux tentacules. La voir prendre son pied de la sorte attisa mon propre désir, et puisque nos corps étaient déjà collés l’un contre l’autre, je n’eus aucun mal à approcher mon visage du sien pour l’embrasser. Nous partageâmes un baiser sensuel et sulfureux, nos langues se battaient presque ensemble pour voir qui réussirait à dominer l’autre. Ce baiser s’entrecoupa de plusieurs pauses pour que je puisse récupérer le précieux liquide qui tombait au-dessus de nos têtes et que je le partage avec Saune. Si mes mains n’avaient pas été bloquées par les tentacules, je l’aurais sûrement pelotée, pincée, fessée et masturbée jusqu’à m’en faire rougir les doigts. Mais nous devions nous contenter de nos langues.

« Aahh… Saune… ma petite sœur… adorée… haaannn… »

Je fus tellement plongée dans nos ébats que je ne remarquai même pas qu’au sol, quelque chose se passait. Le mélange de nos fluides, après avoir glissé le long de nos corps, finissait sa course sur le sol, formant une grande flaque blanche partiellement absorbée par la végétation. Au milieu de cette flaque, des bourgeons commencèrent à se former, et quelques grands animaux qui n’avaient pas pu trouver de partenaire pour faire l’amour s’approchèrent pour venir boire le liquide et manger certains de ces bourgeons. Après quelques lampées, ils paraissaient encore plus en manque qu’avant, et ils tournèrent leur intérêt vers nous, tentant de nous atteindre alors que nous étions suspendus au-dessus du sol et hors de leur portée. Les mâles nous observaient, moi et maman, leurs sexes tendus à l’extrême, et les femelles ne détachaient plus leur regard de Saune et de sa verge végétale.

Il y avait fort à parier que, si nous descendions, ces bêtes sauvages se jetteraient sur nous pour soulager leur tension.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Réunion familiale [Kyli - Harleen Quinzel]
« le: vendredi 05 janvier 2018, 18:06:48 »
Pour une première fois, Robin s’en sortait plutôt bien jusqu’à présent. Sa langue reflétait certes sa maladresse de débutant, mais il m’avait bien léché bien et avait quand même réussi à atteindre plusieurs fois mon clitoris, provoquant des sursauts dans mon plaisir, ajoutant une pointe de surprise dans ce cunni. Quand il eut fini de déguster ma mouille, je l’aidai à se relever pour partager un nouveau baiser, cette fois bien plus sauvage. Je pus sentir toute la fougue de mon amant à travers ce baiser, sans compter le fait que ses mains ne voulaient plus se décoller de mes fesses. A ce moment, je sentis qu’il était prêt à passer aux choses sérieuses. Sa queue était dure et bien dressée sous l’effet de ma cyprine aphrodisiaque, à tel point qu’elle commença à me faire envie dès que je posai les yeux dessus. Mais avant de franchir un pas de plus dans l’intimité, j’eus envie de voir jusqu’où je pouvais aller avec ce charmant garçon.

« Dis moi… maintenant qu’on est amis… tu veux bien me dire… ton prénom ? Parce que j’en ai… un peu assez… de tout le temps t’appeler Robin. »

En attendant qu’il se décide, je continuai à jouer avec lui. Mes mains filèrent le long de son corps, caressant sa belle peau un peu rêche et ses muscles. C’était bien différent de ce qu’on pouvait ressentir en caressant la peau d’une fille, mais pas désagréable pour autant. Mes doigts glissèrent sur son visage, ses pectoraux, ses abdos, près de son sexe sans pour autant le toucher, son dos, et finalement s’arrêtèrent sur ses fesses pour les peloter comme il s’amusait à peloter les miennes. Encore une fois, le contraste entre la nouveauté et mes habitudes me frappa. Quand je touchais des fesses de fille, je savais à quoi m’attendre : deux belles bosses moelleuses à souhait, un peau douce et des petits gémissements. Là, les bosses étaient plutôt fermes et musclées, la peau n’était pas très douce, et Robin ne couina pas beaucoup. Malgré ça, je continuai à pétrir ces petites fesses, espérant obtenir une meilleure réaction.

« Ça te plaît mon grand ? Quand je te tripote le cul comme tu le fais avec moi ? »

Après quelques minutes de caresses, je sentis que son sexe était au bord de l’explosion, alors je me décidai à lui offrir ce dont il avait le plus besoin dans cette situation : un endroit où mettre sa queue. Je m’assis sur la couchette de ma cage de verre et écartai grand les jambes pour bien le laisser voir ce qui l’attendait.

« Viens mon tout beau… viens te loger en moi pour apaiser ton feu intérieur. »

Pauvre garçon. Il ne se rendait peut-être même pas compte que j’étais en train de l’hypnotiser avec mes charmes et d’en faire un gentil toutou obéissant. Dès qu’il aurait joui en moi, je le tiendrais pour de bon, et cette perspective… me faisait frémir.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Réunion familiale [Kyli - Harleen Quinzel]
« le: jeudi 30 novembre 2017, 22:21:10 »
Jouir avait permis à Robin de se vider un peu la tête et d'arrêter de se poser trop de questions. A ma demande, il se mit à genoux devant moi et baissa ma culotte jusqu'à la moitié de mes cuisses avant d'aller coller son nez près de ma fente intime. Maman m'avait expliqué que nos fluides intimes avaient des effets aphrodisiaques, mais que notre biologie nous en protégeait. Par contre, pour humain, à plus forte raison un jeune homme en proie aux affres de la puberté, le parfum et le goût sucré de ma mouille avaient de quoi le rendre fou. Il se mit à lécher ma fleur intime, et le contact avec sa langue m'arracha un premier soupir.

« Aahh... oui... »

Au début, il se contenta de me lécher à la surface, mais avec le temps, il prit confiance et glissa sa langue plus loin dans mon intimité, ses mains prenant appui sur mes fesses, les malaxant et les pressant. Il était énergique et en même temps très doux, c'était délicieux.

« Hhhmmm... oui... Robin... continue... comme ça. »

Pendant un bref moment, ce plaisir me fit oublier tous les soucis qui m'assaillaient depuis le début de la soirée. Maman prisonnière, Jason et Harvest à ma poursuite, Batman et tata Harley qui faisaient de leur mieux pour les débusquer... Tout ça me sembla loin pendant un instant, et même si la douleur et l'angoisse ne partirent pas, elles furent moins fortes. Je laissai mon corps se relâcher sous les coups de langue incessants de mon amant, mes deux mains posées sur sa tête pour le faire lécher le plus loin possible.

Les minutes qui suivirent furent rythmées par mes gémissements, les spasmes de plaisir traversant mon corps, et les bruits humides de léchouilles contre ma vulve. Finalement, à force d'insister, Robin me fit jouir, et ma mouille jaillit de mon antre dans un cri.

« AAHH ! »

Pour ne pas qu'il soit tenté de s'éloigner lors de mon éjaculation féminine, j'appuyai mes mains contre sa tête pour le garder près de ma fente.

« Haaa... allez... Robin... tu dois... tout boire... »

Goûter ma cyprine allait sûrement l'exciter encore plus qu'il ne l'était déjà, et c'était exactement le but que je recherchais : le rendre ivre de plaisir jusqu'à ce qu'il ne puisse plus s'arrêter de me faire l'amour. Ce n'était pas qu'une question de plaisir, je voulais lui montrer une bonne fois pour toutes que satisfaire ses besoins physiques n'était pas une preuve de faiblesse, et le voir ravaler son petit air suffisant. Mais je crois qu'intérieurement, je cherchai surtout un bon prétexte pour chasser la crainte qui me rongeait le cœur.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Réunion familiale [Kyli - Harleen Quinzel]
« le: dimanche 05 novembre 2017, 16:33:46 »
Robin était nerveux, et je le comprenais très bien, je l’étais aussi. J’avais déjà fait l’amour plein de fois, mais il allait être mon premier garçon, c’était une étape importante. Maman m’avait expliqué quels étaient les meilleurs moyens de satisfaire un homme, mais tout était resté très théorique, la j’étais en plein dans la pratique, face à un jeune homme qui était prêt à perdre sa virginité avec moi. Après quelques caresses et baisers timides, il accepta de retirer le reste de ses vêtements. Il enleva son pantalon, et je me retrouvai nez à nez avec son érection naissante qui formait une belle bosse sous son caleçon. Pendant un instant, je me demandai si ça le faisait souffrir, mais plutôt que de me questionner, je préférai agir.

« Alors… j’y vais… d’accord ? »

Je pris l’élastique du sous-vêtement à deux mains et je le baissai jusqu’à ses chevilles, laissant son sexe à l’air libre. Dès que je le vis, je réalisai qu’il était bien plus petit que les verges végétales que maman créaient grâce à ses pouvoirs, mais c’était aussi à ça que je voyais qu’il était totalement naturel. Évidemment, après avoir été complètement déshabillé, Robin était plutôt nerveux, il n’osait même plus me regarder. Du coup, je décidai de prendre les choses en main. Et sans mauvais jeu de mots, puisque je pris son sexe déjà tendu en main pour le masturber.

« Essaie de te détendre… ce sera plus facile pour nous deux. »

Sa verge chaude tremblait et tressautait sous mes doigts, il couinait et gémissait sous mes caresses. C’était amusant de voir une personne aussi fière et obsédée par le contrôle se laisser aller au plaisir de la chair entre les mains d’une fille qu’il qualifiait de vile tentatrice il y a moins de cinq minutes. Plus je le masturbais, plus je comprenais pourquoi maman m’avait dit que le plaisir était une arme, et que les hommes y étaient plus sensibles. La tentation avait transformé ce garçon si sérieux et si droit jusqu’à le faire tomber dans mes bras, qui sait ce dont il aurait été capable maintenant. Il fallait que je continue à l’exciter.

« Alors Robin… ça te plaît ? »

Il ne me répondit que par des gémissements et des paroles hésitantes, mais je sentis bien qu’il était heureux. Peu à peu, le plaisir monta en moi aussi, et je cessai de le masturber pour passer à la vitesse supérieure en mettant son sexe dans ma bouche. Ce n’était pas la première fois que je suçai une verge, du coup je sus exactement comment lui faire plaisir, mais je n’avais pas prévu qu’il y serait aussi sensible. En moins d’une minute, il atteignit l’orgasme et envoya quelques jets de sperme dans ma bouche. J’avalai tout avec plaisir, puis je me relevai pour caresser son visage et l’embrasser tendrement. Je commençai à ressentir une certaine affection pour lui.

« Tu vois… c’est ça le sexe… des contacts humains… du plaisir… du lâcher-prise. Parfois, ç’a du bon de se laisser aller.
Et maintenant que je t’ai fait plaisir… c’est à ton tour. »


Je collai mon corps contre le sien et je murmurai à son oreille.

« J’ai encore ma petite culotte… que dirais-tu de me l’enlever ? »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Réunion familiale [Kyli - Harleen Quinzel]
« le: mercredi 18 octobre 2017, 21:40:28 »
Faire l'amour avec un garçon... Maman m'avait bien dit que ça m'arriverait tôt ou tard. Mais à la façon dont elle me parlait des hommes, j'avais imaginé cette première fois comme un moment romantique, avec un garçon hypnotisé par mon charme et peut-être par mes spores. Jamais je n'aurai cru faire ça dans une cage de verre avec un garçon bouffi d’orgueil pendant que ma mère était aux griffes d'un fou furieux et d'un monstre végétal. Comme quoi, la vie est parfois étrange. Après un premier baiser marqué, Robin continua à vouloir me faire croire qu'il était maître de la situation, comme quoi il n'était plus ''un petit garçon'', mais je voyais bien qu'il était aussi perdu que moi. Au moins, il reconnaissait enfin qu'il n'arriverait pas à contrôler ses pulsions en restant abstinent. Nous partageâmes un deuxième baiser bien appuyé, je sentis mon corps trembler sous la puissance qui émanait de lui. Une fois nos lèvres séparées, il m'avoua ne pas être sur de ce qu'il devait faire. Puisque j'en savais plus que lui sur le sujet, je tentai de lui donner des indications.

« Oui... il faudrait... que tu te déshabilles. »

Je ne savais pas encore si je devais être impatiente ou inquiète à l'idée de le voir nu, mais c'était de toute façon trop tard pour reculer, alors autant essayer d'y prendre du plaisir. Il commença par enlever sa cape et le haut de son costume, dévoilant un torse mince mais malgré tout bien bâti, avec des muscles finement dessinés dans sa chair. En le voyant, je ne pus m'empêcher de poser mes mains sur ses pectoraux. Après avoir pris l'habitude de toucher des seins à cet endroit, sentir une chair plus raide et une peau moins douce me paraissait moins agréable au toucher. Malgré tout, ça restait une sensation plaisante, et une première découverte sympathique.

« Wouah... tes muscles sont... magnifiques... »

Un petit compliment ne pouvait pas faire de mal. Avant que nous puissions vraiment faire l'amour ensemble, il fallait qu'on se détende tous les deux.

« Bon... je suppose... que c'est à moi ? »

J'étais angoissée à l'idée de me dévoiler à un garçon, mais sans doute pas autant qu'il l'était en sachant qu'il allait bientôt perdre sa virginité. Mon soutien-gorge végétal tenait grâce à une ficelle nouée dans mon dos et autour de mon cou. Je détachai le nœud dans mon dos en un geste rapide et, alors que j'allai enlever l'autre nœud, une idée me vint, et je me mis dos à mon amant.

« Tu veux essayer... de me l'enlever ? Ça t'aidera... à prendre les choses en main. »

Il fallait bien que je le mette en confiance. Une fois mon soutien-gorge tombé, je me retournai pour lui faire face, couvrant encore ma poitrine.

« Tu es prêt ? »

Je déglutis en lui montrant finalement mes seins nus. Je n'osai plus bouger, comme s'il allait me sauter dessus comme une bête féroce, mais il fallait bien qu'on fasse quelque chose. Et comme je savais qu'il ne ferait pas le premier pas...

« Bon... on pourrait commencer... par se caresser... pour s'exciter un peu... d'accord ? »

Joignant le geste à la parole, je me collai près de lui, plaquant mes seins contre son torse, frottant mon corps contre le sien. Sentir mes tétons contre sa musculature me fit agréablement frissonner, m'encourageant à continuer. Peu à peu, notre câlin devint plus audacieux, plus confiant. Nos mains s'aventurèrent sur le corps de l'autre, je repris certaines de mes habitudes de sexe lesbien et j'allai caresser ses fesses. Elles n'étaient pas bombées et moelleuses comme des fesses de fille, mais elles étaient bien fermes et musclées, agréables à peloter. Malgré ça, je n'en abusais pas, de peur d'aller trop vite pour lui.

Après quelques minutes à sa chauffer, ma mouille commençait à couler le long de mes cuisses, et j'étais prête à parier qu'il devait avoir une sérieuse érection sous son pantalon. Comme j'étais chauffée, je me sentis plus audacieuse et je me risquai à lui parler de front.

« Dis... tu veux... qu'on enlève le bas aussi ? »

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Les contrées du Chaos / Re : La Deuxième Alraune [Saune & Kyli]
« le: mercredi 11 octobre 2017, 18:49:46 »
Quand je vis le regard de Saune et que je sentis les battements de son cœur dans sa poitrine, je compris qu'elle avait un grand besoin d'amour à combler. Je m'écartai donc un peu d'elle avec l'intention de lancer mes tentacules à l'assaut de son corps, mais maman me grilla la politesse et fit sortir des tentacules sous son contrôle pour nous attraper. Un autour de chaque cheville et chaque poignet pour bien nous maintenir, et même un unique qui s'enroula autour de nos deux ventres pour coller nos corps l'un contre l'autre. La verge tendue de ma petite sœur caressa brièvement mon corps avant qu'un tentacule-bouche ne vienne l'aspirer. L'extrémité de ce dernier se dédoubla pour créer une tête phallique qui vint se loger entre mes cuisses. Pour compléter le tableau, des tentacules-bouches se posèrent sur nos seins pour lécher et sucer nos tétons. Mais alors que je croyais être déjà au summum, maman en rajouta une couche : des tentacules-seringues vinrent se planter dans nos cous pour nous injecter la substance qui permettait à Ivy de remplir ses seins de lait. D'un seul coup, je sentis un plaisir et une chaleur indescriptible envahir ma poitrine, comme si on tirait sur mes seins tout en les pressant. Je pouvais sentir le lait irriguer mes canaux lactifères et faire enfler mes globes jusqu'à ce que à en devienne douloureux. Mais très vite, la douleur laissa place à un plaisir immense. Se faire pomper le lait par les bouches collées sur mes tétons distillait en moi d'incroyables vagues de plaisir, c'était une sensation vraiment délicieuse, et ça devait être encore meilleure pour ma cadette avec ses gros seins.

« Aaahhh... oui... hhhmmm... c'est trop bon... OOOUUUIII ! »

Cerise sur le gâteau, le lait aspiré de nos poitrines remontait jusqu'à une ouverture au-dessus de nos têtes, nous offrant une belle douche laiteuse. Je l'ignorais à ce moment, mais il y avait aussi tous nos fluides intimes. Ce mélange de liquides aphrodisiaques et sucrés formait un cocktail détonant, chaque goutte que j'avalais me rendait plus chaude et plus sensible.

« Aahh... aaahhh... haaannn... »

Je ne parlais même plus, j'économisais mon souffle pour les cris, les soupirs, et pour avaler les liquides qui me tombaient sur la tête. J'étais devenue complètement ivre d'amour, je n'arrivais pas à penser à autre chose qu'au plaisir qui noyait mon corps et à mon envie d'en vouloir plus. Parfois, je jetais un coup d’œil à mère ou ma petite sœur, imaginant les orgies de famille auxquelles nous allions pouvoir nous livrer dans l'avenir. Avec nos pouvoirs combinés, on pourrait même pousser tout le quartier à s'ébattre comme des animaux en chaleur. Tant de possibilités... mais la seule chose sur laquelle je pouvais encore me concentrer, c'était le besoin d'avaler plus de ce super cocktail aphrodisiaque.

En-dessous de nous, certains animaux faisaient des pauses dans leur copulation pour venir goûter aux fluides qui tombaient sur le sol de la forêt. Et évidemment, après un ou deux gorgées, les mâles retournaient démonter les femelles avec leurs sexes durs comme la pierre, et les femelles se jetaient sur les mâles pour se faire chevaucher. C'était maintenant toute la forêt qui célébrait avec nous la naissance de ma petite sœur, Saune.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Réunion familiale [Kyli - Harleen Quinzel]
« le: mercredi 20 septembre 2017, 08:37:58 »
Après tout ce que j'avais fait à Robin, ce baiser était vraiment sorti de nulle part. A l'entendre, il ne pouvait plus me sortir de sa tête, et je sentais ses mains caresser mes hanches. Il avait l'air perdu, un peu hébété, et ses joues étaient toutes rouges.

« Robin je... je suis désolée. »

Ce fut tout ce qui me vint à l'esprit. Sans le vouloir, j'avais réveillé un tel niveau de désir chez ce garçon qu'il avait maintenant envie de moi. Même s'il ne l'avait pas dit, ça se voyait sur son visage.

« Je ne voulais pas... que ça aille si loin. Je te demande pardon. »

Je me demandai si j'avais le droit de le repousser après l'avoir autant excité. Il ne voulait pas me lâcher, et ses mains étaient assez agréables à sentir contre ma peau. Sa prise était ferme sans être trop douloureuse, ça me changeait du contact avec des femmes. Je ne savais pas quoi faire.

« Robin... crois moi, tu n'as pas envie de faire ça avec moi. C'est juste un désir primaire et impulsif. Si tu cèdes, une fois que ce sera terminé... tu le regretteras. »

Honnêtement, je ne savais pas si j'avais envie de faire ça avec lui, mais reculer maintenant aurait été vraiment trop bête. Maman m'avait toujours appris que, une fois le désir attisé, il n'était plus possible de le calmer autrement que par le sexe. Et vu l'état dans lequel était Robin, je sentis au fond de moi qu'il n'allait pas renoncer. Alors autant aller jusqu'au bout.

« Maintenant que je t'ai mis en garde... fais ce que tu veux. Mon corps... est tout à toi. »

Si j'avais été face à une fille, je n'aurais jamais reculé ou hésité, mais là, c'était un garçon. Mes joues se teintèrent de rouge et ma voix devint plus faible.

« Sois gentil... s'il te plaît. C'est ma première fois... avec un garçon. »

J'en oubliais presque que ça devait être sa première fois à lui aussi.

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Les contrées du Chaos / Re : La Deuxième Alraune [Saune & Kyli]
« le: jeudi 07 septembre 2017, 17:08:29 »
D’après maman, la différence de proportions entre moi et Saune venaient effectivement de la différence de temps de gestation dans la chrysalide. Bien sûr j’enviais ses courbes plus généreuses que les miennes, mais en voyant comment ma petite sœur réagit en m’entendant poser la question, et en repensant à tout ce qu’elle avait du vivre en étant seule tout ce temps, je me dis que ça n’en valait pas la peine. Si quelqu’un avait des raisons d’être jalouse ici, ç’aurait plutôt été Saune.

« Oui petite sœur, j’aimerais avoir une aussi belle poitrine que toi. Mais ce n’est pas grave tu sais. Je préfère avoir cette belle poitrine sur ton corps, et en profiter avec toi, plutôt que de l’avoir sur mon corps et ne pas pouvoir en faire profiter ma petite sœur chérie. »

Après tout, le temps pourrait bien faire grandir son corps pour qu’il devienne aussi beau que celui de sa mère ou aussi rond que celui de sa sœur, mais voir la famille s’agrandir… c’était un cadeau qui n’avait pas de prix.

En quelques instants, je sentis le corps de ma cadette s’abandonner complètement au plaisir, et son sexe masculin se vider dans la bouche de notre mère. Elle se sentit triste de ne pas avoir pu tenir aussi longtemps que moi ou maman dans les mêmes conditions, mais ça nous était égal, le plus important pour nous était qu’elle soit là, avec nous, et qu’elle se sente enfin comme un membre de notre famille.

« T’en fais pas sœurette, après un peu d’entraînement, tu seras aussi forte et endurante que nous deux. »

Faire l’amour en famille était une expérience incroyable, et nous en avions déjà toutes bien profité, mais je savais qu’on pouvait faire encore mieux. Et c’est en voyant les animaux s’ébattre et forniquer autour de nous que j’eus une grande idée.

« Maman, Saune, regardez. On dirait que nos amis de la forêt aiment nous observer jouer. Alors donnons leur un spectacle qu’ils ne sont pas prêts d’oublier. »

Je fis émerger du sol des tas de tentacules végétaux. Certains avaient une extrémité normale, certains étaient en forme de bouche, d’autres étaient phalliques. L’idéal pour une bonne baise de groupe.

« Regarde bien Saune. Maman et moi, on va te montrer comment faire l’amour avec des tentacules. »

J’envoyai deux tentacules bouches se coller contre les tétons de maman pour les aspirer goulûment, tandis que des tas de petites langues à l’intérieur léchaient ces pointes roses et tendues. Quatre tentacules normaux glissèrent alors le long de ses poignets et de ses chevilles pour la suspendre au-dessus du sol, bras et jambes en croix. Un tentacule phallique alla caresser ses lèvres et se fraya un chemin dans sa bouche. Et pendant que ma cadette observait, frémissant de désir, je me glissai dans son dos, mes mains contre ses hanches.

« Oui Saune… ça te plaît pas vrai ? Tu en veux aussi ? »

Lentement, un tentacule bouche approcha de son entrejambe, se frottant contre sa queue toute dure, attendant son approbation pour la sucer. Quant à moi, j’attendais que maman contre-attaque en m’envoyant ses tentacules, et pour patienter, je caressai le beau cul de ma sœur.

Bon sang… ce que j’ai envie de lui donner une fessée.

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Les contrées du Chaos / Re : La Deuxième Alraune [Saune & Kyli]
« le: samedi 02 septembre 2017, 18:32:50 »
Ôter la virginité de la queue de ma petite sœur avait été véritablement délicieux, et j’étais très honorée d’avoir été la première à pouvoir y goûter. A voir la tête que faisait Saune, elle aussi avait adoré ça. Maintenant, c’était au tour de maman de se faire plaisir avec ce sexe turgescent. Saune avoua que son cœur battait très fort pour nous, ce que maman identifia sans mal à de l’amour pour sa famille. J’étais heureuse de voir qu’elle commençait à se faire à notre présence, et que même si les choses n’avaient pas très bien commencé entre nous, nous étions maintenant en bonne entente.

Maman se pencha en avant pour embrasser le ventre de ma sœur au niveau du nombril, une main jouant avec sa belle queue en érection, avant de venir la lécher et l’embrasser pour chauffer la demoiselle. Moi j’étais derrière, observant en silence les mouvements souples et presque félins de ma mère, excitée par le spectacle. Je ne pouvais pas rester sans rien faire, alors je me suis approchée de Saune par derrière, et je l’ai enlacée doucement, serrant ma poitrine contre son dos. J’approchai ma bouche de son oreille pour y murmurer.

« Hhhmmm… tu aimes ça petite sœur ? »

Ça paraissait évident, mais je voulais quand même être sûre.

« Eh bien ça, c’est de l’amour physique. »

Puis je posai une de mes mains sur sa poitrine, à l’emplacement de son cœur.

« Et le bruit que fait ton cœur, c’est de l’amour sentimental. »

Et pour lui apprendre la différence, rien de tel qu’une bonne démonstration. Mes mains se posèrent contre ses deux magnifiques seins et se mirent à les peloter allègrement. Sentir cette chair moelleuse et chaude sous mes doigts, avec au milieu ces petites pointes tendues par le désir, c’était tellement bon. Mais une chose me turlupinait malgré tout.

« Dis maman… puisque c’est moi la grande sœur, pourquoi est-ce que c’est Saune qui a la plus grosse poitrine ? »

Elle devait bien faire au moins un bonnet de plus que moi. Je n’étais pas jalouse ou fâchée, je trouvais juste ça bizarre. Peut-être que son corps était resté plus longtemps dans la chrysalide, et qu’elle avait reçu plus de nutriments, ou alors c’était juste le hasard des hormones.

Tout autour de nous, les animaux qui s’étaient attroupés pour nous observer ne restaient pas de marbre face à notre démonstration de luxure, et certains couples commençaient même à s’accoupler. En plus de redonner vie et grandeur à la flore, nous contribuions aussi à repeupler la faune de la forêt, même si c’était sans le vouloir.

40
Je voyais bien que j’avais mis Damian mal à l’aise, et c’était en partie volontaire, mais en voyant comment il réagissait dès que j’ouvrais la bouche, je compris que j’étais allée un peu trop loin.

« Écoute… si je t’ai vexé, je suis désolée. C’est juste que… ma mère m’a élevée en m’expliquant qu’il ne fallait pas que j’ai honte de ma beauté ou de mes désirs, contrairement aux humains qui n’osent jamais les admettre. »

D’ailleurs il le disait lui-même, il trouvait indigne ce qu’il ressentait.

« Ça n’a rien d’indigne. C’est une chose qu’on ne peut pas contrôler, et qui peut être aussi bonne que mauvaise si on sait comment l’aborder. Moi, je fais face à mes désirs, ainsi ils ne prennent jamais le pas sur ma réflexion et ma logique. Toi, à l’inverse, tu cherches à les refouler parce que tu crois qu’ils sont dangereux. »

Maman avait bien fait mon éducation sur ce sujet-là. En tant que future sauveuse qui devait rendre la Terre à la Nature, elle m’avait expliqué de long en large ce que j’avais à savoir sur mes pouvoirs et la façon de les utiliser. Contrôler les humains en jouant sur leurs pulsions était l’une des choses que je devais apprendre à faire.

Tout à coup, Damian décida de sortir de la cellule, prétextant la fatigue, mais je ne pus le laisser partir sans avoir mis cette histoire au clair. Je le pris dans mes bras, ma poitrine plaquée contre son dos.

« S’il te plaît… reste un peu avec moi. J’ai besoin de quelqu’un… pour me rassurer. »

Et là, ce n’était pas pour me jouer de lui, j’avais vraiment peur. Même en sachant Batman et tata Harley sur les traces de Plant Master, je ne pouvais pas m’empêcher de penser au pire, à tout ce qui pourrait arriver à maman si ce fou de Jason n’obtenait pas ce qu’il voulait de moi. J’étais effrayée, et avoir de la compagnie avec moi m’aidait à me calmer.

« Je sais que tu as peur de ce que tu ressens… mais je peux t’assurer que ce n’est rien d’autre que de l’excitation bestiale. Tu n’es attirée par moi que parce que tu m’as vue en sous-vêtements. Il n’y a rien d’émotionnel. La preuve… »

Je le forçai à se retourner, et je posai délicatement mes lèvres contre les siennes, lui offrant ce qui devait sans doute être son premier baiser. Et encore, ce n’était même pas un vrai baiser, juste un contact léger entre nos bouches respectives.

« Voilà. Tu vois, il ne s’est rien passé. »

Mais là, à ma grande surprise, il me prit par les épaules et m’embrassa à nouveau, avec plus de fougue cette fois, même si ça restait un baiser sans la langue. Quand il se retira, il avait le souffle lourd, et moi j’étais assez confuse.

« Robin… qu’est ce qui t’arrive ? »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Réunion familiale [Kyli - Harleen Quinzel]
« le: mardi 18 juillet 2017, 21:46:33 »
C’est quand Damian parla de me rejoindre dans ma cellule que je compris que je l’avais mal jugée : son besoin de contrôle et son arrogance allaient jusqu’à enfreindre les règles les plus simples. Même si l’entrée était dotée d’un sas pour que je reste toujours coupée du Green, je n’arrivais pas à croire qu’il allait vraiment entrer.

« Cette cellule est parfaitement étanche. S’il y avait la moindre fissure, je le sentirais. »

Mais cette tête de mule refusa de m’écouter en vint quand même me rejoindre dans mon petit abri pour inspecter les murs à la recherche d’une brèche qui n’existait pas.

« Je te dis que tu perds ton temps. S’il y avait la moindre ouverture, je serais toujours en connexion avec le Green, et Harvest me serait déjà tombée dessus. Le seul lien que j’ai encore avec la flore ici, c’est les odeurs de plante diffusées par la ventilation et mes sous-vêtements en feuilles. »

Mais cet imbécile ne m’écoutait même pas, c’était comme parler à un mur. Je retournai donc m’asseoir en le regardant inspecter les surfaces à la recherche d’une explication à sa récente montée de désir qui ne l’obligerait pas à se confronter à ce qu’il ressentait vraiment. Pour briser un peu l’ennui de cette opération, je décidai d’entamer la conversation et de continuer à jouer un peu avec lui.

« Tu sais… ce serait plus facile pour nous deux si tu reconnaissais simplement l’évidence, et que tu arrêtais de te ridiculiser.
Regarde, je vais même t’aider : tu as vu une jolie fille en sous-vêtements, tu as pu admirer la rondeur de ses courbes, du coup tu te sens… »


Mais il continua de m’ignorer et de faire son inspection, malgré l’évidence de la situation.

« Comme tu veux. Mais dis toi bien que tu ne te sortiras pas de cet état en essayant de le refouler. Le seul moyen pour que j’arrête d’avoir une influence sur toi, c’est d’affronter la situation la tête la première. Une fois que tu l’auras fait, je n’aurai plus rien pour te provoquer. »

En attendant de le voir réagir, je m’amusai de le voir tenter de son mieux de refréner son envie, de combattre son afflux de sang sous la ceinture, et sa focalisation sur cette fameuse brèche dans la prison.

« Et puis réfléchis une seconde : s’il y avait effectivement une brèche dans la cellule, et que je pouvais utiliser mes pouvoirs sur toi, pourquoi je ne l’ai pas fait lorsque tu es entré ? Tu peux combattre la logique, mais pas le bon sens. »

Cet âne finirait bien par devoir faire face à la réalité, mais il fallait quand même que je fasse attention à ne pas trop en faire pour ne pas le faire fuir. Sa compagnie m’aidait à me sentir mieux et à apaiser mon stress.

« Je m’excuse si tu as l’impression que j’en fais trop, mais je voudrais juste qu’on puisse passer un bon moment en attendant que cette histoire soit terminée. De toute façon, ce n’est pas comme si j’avais envie de faire quoi que ce soit avec toi… »

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Alors que je commençai à toucher les seins d’Hairi-chan, elle prit confiance en elle et osa venir toucher les miens. Je laissai échapper des petits couinements en sentant ses mains se poser contre ma poitrine. Si elle aimait ça autant que moi, alors nous passions toutes les deux un très bon moment. Mais à ma grande surprise, ce fut ma super copine qui décida de prendre les devants pour la suite, et elle enleva son soutien-gorge pour me laisser admirer la peau nue de ses seins. Tout de suite après, elle s’excusa maladroitement, pensant être allée trop vite.

« Mais non Hairi-chan, c’est parfait. »

Je me tournai pour lui montrer mon dos.

« Tiens, enlève le mien s’il te plaît. »

En un éclair, l’agrafe sauta et je me retrouvai seins nus à mon tour. Mais j’étais sûrement moins gênée qu’elle.

« Alors… est ce qu’ils te plaisent ? Parce que moi, en tout cas, j’adore les tiens. »

Sa poitrine semblait un peu plus rehaussée que la mienne, mais pas forcément plus grosse, en tout cas c’était très agréable à regarder.

Pendant plusieurs minutes, nous nous pelotâmes gentiment les seins comme deux jeunes filles découvrant leurs corps pour la première fois. Ce fut assez plaisant, mais mon corps d’alraune exigeait plus. Seulement, il fallait aussi que je garde en tête qu’Hairi-chan n’était qu’une humaine, et que c’était sa première fois, il fallait donc que je sois délicate. J’approchai timidement de son visage pour l’embrasser, puis je me retirai pour lui poser une question cruciale.

« Hairi-chan… euh… est ce que… toi aussi tu es… mouillée… en bas ? »

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Peut-être était-ce à cause de l'excitation que j'avais eu à renfiler les vêtements d'Hairi-chan, mais la lingerie que je portais était parfaite pour lui faire du charme. Jolie à regarder sans être trop provocante pour autant. Un soutien-gorge entièrement jaune qui rehaussait ma poitrine pour me faire un beau décolleté, et une culotte à pois un peu fantaisiste. Très vite, ma camarade suivit le mouvement en retirant son haut fleuri et sa jupe pour se mettre en sous-vêtements comme moi. Selon elle, c'était mieux comme ça.

« Je ne sais pas si c'est mieux, mais au moins c'est plus confortable. »

J'approchai doucement mes mains de sa peau et les posai sur ses épaules. Sur le moment, je n'osai pas les poser ailleurs.

« Je ne savais pas que j'avais d'aussi belles choses dans mon placard. »

Nous recommençâmes à nous embrasser avec plus de conviction, ma langue trouvait maintenant facilement le chemin vers la sienne. Ça devait lui faire bizarre vu que c'était la première fois qu'elle essayait d'embrasser de cette façon, mais moi c'était une chose à laquelle j'étais habituée depuis un moment. Du coup, je pus lui donner le plus de plaisir possible.

Après plusieurs minutes à l'embrasser tout en baladant mes mains sur sa peau nue, je décidai de passer à la vitesse supérieure.

« Hairi-chan... je... je ne sais pas... comment te dire ça... mais.. j'ai très envie... de toucher tes... tes seins... »

J'alternai mon regard entre ses yeux et son décolleté, me retenant de me jeter tout de suite sur sa poitrine.

« Ça... ça ne te dérange pas... si j'y vais ? »

Déjà, mes mains glissaient doucement vers ses deux monts de chair pour aller les peloter sans pour autant enlever son soutien-gorge.

« Si tu veux... tu peux aussi... toucher les miens... »

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Hairi-chan me répondit sur le vif qu'elle voulait recommencer, et même qu'elle en voulait plus. Du moins, c'était ce que son ''ça'' signifiait pour moi. Ses petits chuchotements et ses doigts contre mes lèvres étaient diablement excitants. Impossible de dire si elle le faisait exprès, mais en tout cas elle devenait tentatrice.

« Hairi-chan... je... je serai ravie... de le faire... avec toi... mais tu es vraiment sûre... de vouloir le faire avec moi ? »

La première fois était une chose importante, et je voulais être sûre que ma super copine en mesurait la portée avant de se lancer. Et apparemment elle était prête, puisqu'elle me répondit avec un nouveau baiser, plus long et plus soigné. Je plaquai mes mains dans son dos pour la serrer contre moi, me retenant d'aller tout de suite peloter ses fesses même si j'en avais très envie. Timidement, j'ouvris le passage entre ses lèvres avec ma langue pour aller chercher la sienne, mais elle se sépara vite de mes lèvres.

« Ce... c'est juste un autre baiser. C'est ma mère... qui m'en a parlé... j'ai voulu essayer... »

Après tout, la première fois était l'occasion de découvrir des choses.

« J'espère que ça ne t'a pas déplu. »

Heureusement, elle semblait toujours heureuse et excitée à l'idée de continuer.

« Du coup, je profite de cette petite interruption pour te proposer de monter dans ma chambre. On sera mieux installées pour... tu sais... »

J'assurai vraiment dans mon rôle de jeune fille innocente. Je pris Hairi-chan par la main et la guidai jusqu'à ma chambre. Une fois la porte fermée, nous allâmes nous asseoir sur le matelas pour s'embrasser à nouveau, mais cette fois avec plus de conviction. La peur et le doute avaient de moins en moins de place entre nous, à tel point que j'osai même lui faire une demande assez gênante.

« Dis... Hairi-chan... j'ai un peu chaud... ça ne te gêne pas... si je me mets... en sous-vêtements ? »

Intérieurement, j'espérai non seulement qu'elle allait dire oui, mais aussi qu'elle aurait également envie de se déshabiller à son tour.

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Mais qu'est ce qui m'a pris, mais qu'est ce qui m'a pris, mais qu'est ce qui m'a pris ? J'ai été trop pressée... ça va tout gâcher entre nous.

C'était ce que je me répétais dans ma tête, convaincue d'avoir gâchée mes chances avec Hairi-chan. Je m'attendais à la voir s'en aller en courant, mais au lieu de ça, elle s'approcha de moi et colla sa bouche contre les miennes sans dire un mot. Surprise dans un premier temps, je me laissai peu à peu faire, savourant la douceur de ses lèvres, sa main contre ma cuisse et l'autre dans ma nuque pour me rapprocher d'elle. Le baiser était un peu maladroit, mais malgré tout très agréable. Quand elle rompit le contact, nous étions toutes les deux très embarrassées et un peu perdues. Ce n'était pourtant pas la première fois que j'embrassais une fille, mais là, pour une raison qui m'échappait... je me sentais perdue. Hairi-chan parla la première, et ce fut pour me dire qu'elle était désolée, et qu'elle voulait savoir si je lui en voulais. En entendant ça, je compris qu'il était urgent de réagir pour la rassurer, sinon j'allais la perdre pour de bon. Je pris tendrement sa main dans la mienne et je lui fis un bisou sur la joue.

« Je ne suis pas en colère. Au contraire... je suis très heureuse. J'avais peur... qu'en franchissant ce cap... avec toi... notre amitié soit gâchée pour toujours. Mais voilà... on s'est embrassées... et je t'aime toujours autant. »

Tandis que je caressais sa douce peau blanche et que je regardais ses belles joues rouges, je me sentis le besoin d'éclaircir un point.

« Hairi-chan... est-ce que... tu es amoureuse de moi ? »

Je voulais être sur de ses sentiments envers moi avant d'aller trop loin.

« Moi... je ne sais pas. Tu es ma meilleure amie... mais j'ignore si ce que je ressens pour toi... est plus que de l'amitié. »

Honnêtement, je n'arrivais pas à savoir ce que signifiait ce battement de cœur dans ma poitrine quand j'étais en compagnie d'Hairi-chan. Je savais juste qu'elle était pour moi une amie précieuse.

« En tout cas, tu embrasses très bien. »

Une petite remarque pour détendre l'atmosphère. Nous en avions toutes les deux besoin. Mais il fallait quand même que j'essaie de l'amener encore plus loin.

« Tu sais... si ce baiser t'a plu... on pourrait... recommencer... »

Je n'osai pas encore lui demander d'aller plus loin, ou de me suivre dans ma chambre. Un seul baiser avait déjà failli tout gâcher, maintenant il fallait que je la joue finaud.

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