Bureau de la direction et infirmerie / Re : Examen de routine [PV Mélinda Warren]
« le: lundi 29 juillet 2013, 08:36:00 »« Ma pauvre infirmière se sentira-t-elle sale, elle aussi ? Ne t’inquiète pas, Yukie, tu vas comprendre que ma réputation n’est pas usurpée ici... Je te baiserai bien fort, car je dois bien admettre que tu es très douée... Et que j’adore me taper des infirmières... Surtout quand elles sont bien roulées comme toi... »
Oh que oui, elle se sentait sale. Ou en tout cas, elle voulait être nettoyée. Elle aussi voulait goûter à ce plaisir intense, cette extraordinaire sensation de la langue d'une autre plongée dans son intimité, le petit muscle tout chaud remuant en elle, la mettant dans une situation de délicieux supplice. Le fait que Mélinda commence soudainement à la tutoyer et à l'appeler par son prénom la surprit quelque peu, mais elle l'accepta sans trop de peine. Le fait de savoir qu'elle aimait coucher avec des infirmières n'était peut-être pas indispensable, mais en l'occurrence elle pensa qu'il s'agissait surement d'un compliment relativement maladroit.
Elle parlait de sa réputation... Yukie ne savait pas à quoi elle faisait référence. Étant nouvelle dans l'établissement, tout ce qu'elle connaissait de Mélinda était ce qui se trouvait sur sa fiche, et ce que lui en avaient dit certains collègues. Soit, une tir-au-flanc qui risquait fort de ne pas se présenter. Au lieu de ça, elle avait affaire à une véritable petite nymphomane qui, au jugé de ses paroles, c'était certainement envoyée en l'air avec la moitié du lycée. Au moins. Et puis "Je te baiserai bien fort". C'était plutôt étrange de dire ça. Pendant une fraction de seconde elle ferma les yeux et parcourut en un temps record un grand nombre de sites internet. Résultats de la recherche ; Mélinda pouvait soit être une futanari – perspective écartée vu l'absence de sexe masculin entre ses cuisses – soit maîtriser des rudiments de Magie Rose, ce qui était plus improbable encore. Le contact avec les humains lui avait appris que selon la croyance populaire, la magie n'existait pas.
Elle était donc assez interloquée par les paroles de la lycéenne, et décida donc de découvrir les réponses à toutes ses questions par l'action, et non le dialogue. Elle mordilla légèrement le doigt de Mélinda puis plaça ses mains dans son dos, la pressant contre sa lourde poitrine qu'elle lui offrit avec un sourire franc.
« Oh oui... J'ai tellement hâte que tu me fasses sauvagement l'amour... En attendant, je veux que tu te régales de mes seins. Viens, ma belle... Mon corps t'appartient ! »