16
Voir les derniers messages
Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.
18
Partenariats / Devenir notre partenaire
« le: samedi 01 décembre 2018, 22:01:11 »
Bonjour à vous !
Si vous avez un forum, un blog, ou, plus généralement, un site Internet, sachez que LGJ est ouvert à un partenariat avec vous !
Pour vous déclarer, rien de plus simple : postez à la suite de ce message, ou, à défaut, faites un compte pour nous envoyer votre candidature par MP. Précisez évidemment le lien de votre site, une brève description de ce dernier, puis nous délibérerons au sein du Staff pour accepter votre candidature.
En étant partenaire de LGJ, nous vous offrons la possibilité d'avoir un topic dans cette section pour présenter votre forum, et d'avoir un bouton dans la liste de nos partenaires visible sur la droite de notre page principale.
En retour, vous vous engagez évidemment à assurer la diffusion de notre forum, notamment en diffusant notre fiche dans l'espace dédié aux partenariats sur votre forum.
Vous pourrez trouver la fiche au lien suivant ==> Fiche de partenariat !
Je vous remercie ^^
19
Archives publiques / Notre fiche de partenariat
« le: samedi 01 décembre 2018, 21:59:27 »Bonjour à vous !
Vous trouverez ci-joint notre fiche de partenariat, à utiliser pour tous nos partenaires à l'endroit dédié aux partenariats sur votre forum :
https://lgj.forum-rpg.net/partenaires/self/
Vous trouverez ci-joint notre fiche de partenariat, à utiliser pour tous nos partenaires à l'endroit dédié aux partenariats sur votre forum :
https://lgj.forum-rpg.net/partenaires/self/
Code: [Sélectionner]
[iframe=492,777]http://lgj.forum-rpg.net/partenaires/self/[/iframe]20
One Shot / Autochtones [PV]
« le: dimanche 25 novembre 2018, 00:28:07 »« <La Pluie-Tempête gronde, No-Lan’’ !>
- <Les Oracles l’ont prédit, Su-Leth’, et elle sera forte, cette fois, les Sacres sont en colère.[/color]> »
Depuis la falaise, No-Lan’’ et Su-Leth’ contemplaient le Néant Bleu. Le Bout du Connu, les Terres Profondes Inconnues, comme on les appelait encore. Un endroit interdit, la limite du monde connu, et des Tribus. Su-Leth’ sentait la tempête qui grondait dans l’air. Les Esprits-Du-Haut s’étaient d’ailleurs voilés à l’approche de la colère de Tempête. Su-Leth’ n’aimait pas spécialement ça, car, en terminant sa garde, il aimait bien lever la tête vers les hauteurs. Quand le Puissant-Protecteur se couchait, les Esprits-Du-Haut jaillissaient, et il s’adressait alors à ses parents. Ils étaient morts il y a de nombreuses années, lors d’une lutte avec la tribu des Sâkhthei. Depuis, les Oracles avaient proclamé la paix entre les peuples, mais Su-Leth’ continuait à veiller. Il était encore un jeune homme dans son clan, il n’avait donné naissance qu’à un enfant, contrairement à No-Lan’’, qui, avec deux enfants à son actif, portait deux particules supplémentaires à son nom.
Su-Leth’ se redressa lentement. Il portait sur lui son arc avec son carquois, et avait abattu une biche aujourd’hui. Il surveillait les environs, comme à son habitude, et avait vainement tenté de traquer un loup. Pour avoir le droit d’enfanter l’une des Oracles, il fallait leur apporter un présent digne de ce nom, et il optait pour une fourrure de loup, car les Oracles en portaient régulièrement. Su-Leth’ ne pouvait qu’espérer que la prochaine journée serait prolifique.
« <Rentrons avant que Pluie-Tempête ne se réveille...>
- <Voilà enfin une sage parole venant de ta bouche !> »
No-Lan’’ et Su-Leth’ rentrèrent donc. Et la nuit fut effectivement violente. Le courroux de Pluie-Tempête se déchaîna furieusement, si bien que, lorsque le duo approcha du village, les Oracles avaient ordonné aux villageois de se regrouper dans l’une des grottes au centre de l’île. Femmes belles et fortes, les Oracles étaient reconnaissables aux oripeaux qu’elle portait sur le corps. Elles guidèrent la tribu, mais, le temps qu’ils rejoignent les grottes, la Tempête s’abattit sur eux. Plusieurs arbres tombèrent, car Pluie-Tempête lança sur eux ses Flèches Blanches, des flèches qui déchiraient les hauteurs.
« <Les Esprits se battent avec Pluie-Tempête...> commenta sobrement Su-Leth’.
- <Dépêche-toi, Su-Leth’, ou Pluie-Tempête te touchera !> » la sermonna une Oracle.
Le valeureux chasseur-cueilleur acquiesça, et s’abrita dans la grotte.
Quand la bataille entre Pluie-Tempête et les Esprits cessèrent, Su-Leth’ se tenait prêt. Comme toujours, il espérait que l’Esprit de son père avait survécu à cette guerre. Plusieurs des tentes du village avaient été détruits, arrachés par le vent, et l’eau s’égouttait partout. Su-Leth’, To-Peth’’’, et Na-Tim (qui était encore vierge, n’ayant accompli aucun exploit justifiant de pouvoir s’offrir à une Oracle), décidèrent alors de se rendre aux embarcadères, afin de vérifier que les bateaux et les filets de pêche étaient toujours intacts. C’était honnêtement peu probable, mais il fallait vérifier l’étendue des dégâts. Les pêcheurs ne quittaient jamais la Terre de vue. Ceux qui partaient trop loin disparaissaient pour de bon dans les méandres des Terres-Profondes. Il ne fallait jamais aller au-delà du Bout-Du-Connu, sous peine de disparaître, d’être aspiré, et de rejoindre les Tréfonds. Cette perspective horrifiait Su-Leth’, car les Oracles disaient qu’il était impossible pour elles d’accomplir les rituels permettant aux morts de rejoindre les Esprits.
Su-Leth’ mena la marche, descendant un sentier serpentant entre des falaises, pour rejoindre la plage. Il y avait des bouts de bois fracassés partout, mais aussi d’autres curieux objets. Su-leth’ vit notamment une sorte de plaque argentée qui brillait, partiellement recouverte de sable, et la saisit en l’observant.
« <Qu’est-ce que ceci ?> »
Il n’avait jamais vu un objet de ce type, et entendit soudain Na-Tim les appeler.
« <Il y a quelqu’un !!> »
Su-Leth’ se rapprocha rapidement. Il avait toujours son arc, mais sortit plutôt le glaive qu’il tenait à sa ceinture, et qu’il avait confectionné lui-même. Il rejoignit Na-Tim, qui avait pointé sa lance, et désignait de la pointe un corps étalé sur le sol, sur une grande plaque blanche, similaire au morceau que Su-Leth’ avait vu. Une étrange femme aux cheveux de feu dans une tenue tout aussi étrange. Ses cheveux de feu interpellèrent toutefois Su-Leth’.
« Elle vient des Tréfonds !> » s’exclama Na-Tim, paniqué.
Il s’apprêtait à attaquer quand Su-Leth’ le stoppa.
« <Non ! Regarde ses cheveux ! Les cheveux de feu !> »
Réalisant son erreur, Na-Tim le regarda, surpris.
« <Tu... Tu veux dire que... ?> »
Su-Leth’ hocha doucement la tête.
« <Elle ne vient pas des Tréfonds, elle vient du Dessus ! Elle descend des Esprits !> »
To-Peth’’’ restait légèrement en retrait, mais acquiesça également, bien qu’un peu plus sceptique que Su-Leth’ sur cette étrangère...
Enfin, il était à noter que les trois hommes étaient nus, attendant le réveil de l’Envoyée...
- <Les Oracles l’ont prédit, Su-Leth’, et elle sera forte, cette fois, les Sacres sont en colère.[/color]> »
Depuis la falaise, No-Lan’’ et Su-Leth’ contemplaient le Néant Bleu. Le Bout du Connu, les Terres Profondes Inconnues, comme on les appelait encore. Un endroit interdit, la limite du monde connu, et des Tribus. Su-Leth’ sentait la tempête qui grondait dans l’air. Les Esprits-Du-Haut s’étaient d’ailleurs voilés à l’approche de la colère de Tempête. Su-Leth’ n’aimait pas spécialement ça, car, en terminant sa garde, il aimait bien lever la tête vers les hauteurs. Quand le Puissant-Protecteur se couchait, les Esprits-Du-Haut jaillissaient, et il s’adressait alors à ses parents. Ils étaient morts il y a de nombreuses années, lors d’une lutte avec la tribu des Sâkhthei. Depuis, les Oracles avaient proclamé la paix entre les peuples, mais Su-Leth’ continuait à veiller. Il était encore un jeune homme dans son clan, il n’avait donné naissance qu’à un enfant, contrairement à No-Lan’’, qui, avec deux enfants à son actif, portait deux particules supplémentaires à son nom.
Su-Leth’ se redressa lentement. Il portait sur lui son arc avec son carquois, et avait abattu une biche aujourd’hui. Il surveillait les environs, comme à son habitude, et avait vainement tenté de traquer un loup. Pour avoir le droit d’enfanter l’une des Oracles, il fallait leur apporter un présent digne de ce nom, et il optait pour une fourrure de loup, car les Oracles en portaient régulièrement. Su-Leth’ ne pouvait qu’espérer que la prochaine journée serait prolifique.
« <Rentrons avant que Pluie-Tempête ne se réveille...>
- <Voilà enfin une sage parole venant de ta bouche !> »
No-Lan’’ et Su-Leth’ rentrèrent donc. Et la nuit fut effectivement violente. Le courroux de Pluie-Tempête se déchaîna furieusement, si bien que, lorsque le duo approcha du village, les Oracles avaient ordonné aux villageois de se regrouper dans l’une des grottes au centre de l’île. Femmes belles et fortes, les Oracles étaient reconnaissables aux oripeaux qu’elle portait sur le corps. Elles guidèrent la tribu, mais, le temps qu’ils rejoignent les grottes, la Tempête s’abattit sur eux. Plusieurs arbres tombèrent, car Pluie-Tempête lança sur eux ses Flèches Blanches, des flèches qui déchiraient les hauteurs.
« <Les Esprits se battent avec Pluie-Tempête...> commenta sobrement Su-Leth’.
- <Dépêche-toi, Su-Leth’, ou Pluie-Tempête te touchera !> » la sermonna une Oracle.
Le valeureux chasseur-cueilleur acquiesça, et s’abrita dans la grotte.
Quand la bataille entre Pluie-Tempête et les Esprits cessèrent, Su-Leth’ se tenait prêt. Comme toujours, il espérait que l’Esprit de son père avait survécu à cette guerre. Plusieurs des tentes du village avaient été détruits, arrachés par le vent, et l’eau s’égouttait partout. Su-Leth’, To-Peth’’’, et Na-Tim (qui était encore vierge, n’ayant accompli aucun exploit justifiant de pouvoir s’offrir à une Oracle), décidèrent alors de se rendre aux embarcadères, afin de vérifier que les bateaux et les filets de pêche étaient toujours intacts. C’était honnêtement peu probable, mais il fallait vérifier l’étendue des dégâts. Les pêcheurs ne quittaient jamais la Terre de vue. Ceux qui partaient trop loin disparaissaient pour de bon dans les méandres des Terres-Profondes. Il ne fallait jamais aller au-delà du Bout-Du-Connu, sous peine de disparaître, d’être aspiré, et de rejoindre les Tréfonds. Cette perspective horrifiait Su-Leth’, car les Oracles disaient qu’il était impossible pour elles d’accomplir les rituels permettant aux morts de rejoindre les Esprits.
Su-Leth’ mena la marche, descendant un sentier serpentant entre des falaises, pour rejoindre la plage. Il y avait des bouts de bois fracassés partout, mais aussi d’autres curieux objets. Su-leth’ vit notamment une sorte de plaque argentée qui brillait, partiellement recouverte de sable, et la saisit en l’observant.
« <Qu’est-ce que ceci ?> »
Il n’avait jamais vu un objet de ce type, et entendit soudain Na-Tim les appeler.
« <Il y a quelqu’un !!> »
Su-Leth’ se rapprocha rapidement. Il avait toujours son arc, mais sortit plutôt le glaive qu’il tenait à sa ceinture, et qu’il avait confectionné lui-même. Il rejoignit Na-Tim, qui avait pointé sa lance, et désignait de la pointe un corps étalé sur le sol, sur une grande plaque blanche, similaire au morceau que Su-Leth’ avait vu. Une étrange femme aux cheveux de feu dans une tenue tout aussi étrange. Ses cheveux de feu interpellèrent toutefois Su-Leth’.
« Elle vient des Tréfonds !> » s’exclama Na-Tim, paniqué.
Il s’apprêtait à attaquer quand Su-Leth’ le stoppa.
« <Non ! Regarde ses cheveux ! Les cheveux de feu !> »
Réalisant son erreur, Na-Tim le regarda, surpris.
« <Tu... Tu veux dire que... ?> »
Su-Leth’ hocha doucement la tête.
« <Elle ne vient pas des Tréfonds, elle vient du Dessus ! Elle descend des Esprits !> »
To-Peth’’’ restait légèrement en retrait, mais acquiesça également, bien qu’un peu plus sceptique que Su-Leth’ sur cette étrangère...
Enfin, il était à noter que les trois hommes étaient nus, attendant le réveil de l’Envoyée...
21
One Shot / La Corruption De Jill Valentine [PV]
« le: dimanche 18 novembre 2018, 21:00:54 »La Corruption De Jill Valentine
Chapitre 1
Le Piège du Zenobia
Au milieu de la Mer Méditerranée
L’hélicoptère de combat avait du mal à avancer au milieu de la tempête. Des nuages lourds entouraient l’hélicoptère, qui avait toutefois fini par retrouver le signal du navire.
« Vous êtes prêtes ? On est au-dessus du navire ! » hurla le pilote.
La radio sautait souvent avec le centre de commandement. Cette mission était extrêmement risquée, et, dans l’absolu, il aurait fallu l’annuler. Le BSAA avait sous-estimé la tempête, et celle-ci s’était violemment déchaînée alors qu’ils approchaient du Queen Zenobia. Immobilisé, le yacht de luxe avait émis un signal de détresse qui s’était recoupé avec les satellites du BSAA, qui avaient détecté des traces de bio-activité sur le Zenobia. Le Bioterrorism Security Assessment Alliance, abrégé BSAA, était une organisation disposant d’un mandat de l’ONU, une force militaire internationale développée suite aux évènements de Raccoon City, une ancienne grande métropole américaine qui avait été rayée de la carte après une invasion de zombies. Raccoon City avait changé le monde. Des expériences génétiques menées par une super-entreprise, Umbrella Corporation. Umbrella avait tout fait pour maquiller les évènements de Raccoon City, et, quand la vérité avait éclaté au grand jour, des vagues d’indignation mondiale avaient émergé.
Umbrella avait été dissoute, ses laboratoires fermées, mais la firme avait continué à survivre, plusieurs de ses cadres ayant vendu à d’autres groupes dans le monde leurs formules, permettant de transformer des humains en monstres, des zombies. Organisations terroristes, États dictatoriaux... Le monde était entré dans une nouvelle époque, celle du bio-terrorisme, et le BSAA avait ainsi vu le jour. Il comprenait notamment des rescapés de Raccoon City, et menait des missions d’un bout à l’autre du globe.
Le Queen Zenobia était un yacht de luxe, disposant d’une technologie solaire permettant d’alimenter ses moteurs. Il effectuait alors une croisière le long du Bassin méditerranéen : Espagne, France, Maroc, Italie, Grèce, Chypre... Le yacht se trouvait alors à proximité de Chypre quand un signal d’urgence avait été émis de ce dernier.
La porte latérale de l’hélicoptère s’ouvrit, et un vent violent surprit les deux femmes prêtes à embarquer. Le pilote, fort heureusement, rétablit l’hélicoptère.
« SAUTEZ ! SAUTEZ VITE !! »
Le pilote s’était abaissé autant que possible, et les deux femmes sautèrent dans le vide. Un tel saut pouvait être suicidaire, mais, face à la menace bio-terroriste, le BSAA avait choisi de ne pas attendre. Il y avait sûrement des gens à sauver là-dessous. Rapidement, les parachutes se déclenchèrent, et le vent perturba les deux femmes.
Fort heureusement, elles se posèrent sur le pont principal sans trop d’encombre, et regardèrent autour d’elles, sortant leurs pistolets...
« La zone est sécurisée, pas d’infectés !
- La tempête reprend, je ne vais pas pouvoir rester longtemps !
- Retourne à la base, Jim, on s’occupe du reste.
- N’oubliez pas les ordres, ne jouez pas aux héroïnes ! Les renforts arriveront dès que la tempête se sera levée ! »
Si les deux femmes avaient suivi le protocole à la lettre, avec cette forte tempête, elles auraient dû rebrousser chemin. Mais Jill Valentine était l’une des survivantes de Raccoon City. Elle avait donc refusé de suivre le protocole, et avait choisi de poursuivre la mission. Sa coéquipière, Jessica Sherawat, avait également accepté, n’ayant pas froid aux yeux non plus.
« On y va, Jill ! »
Les deux femmes traversèrent le pont principal. Le Zenobia comprenait plusieurs ponts, dont une piscine en hauteur, mais, vu les vents violents agitant le navire, les deux femmes préfèrent ouvrir la première porte disponible. Elles rejoignirent ainsi un couloir, où elles purent commencer à souffler, tout en constatant que l’électricité était coupée.
« Les moteurs sont totalement à l’arrêt, nota Jessica. On devrait aller vers le pont de commandement. »
Jill acquiesça doucement.
« On reste ensemble, j’ai un mauvais pressentiment... »
Jessica s’avança la première, les deux femmes s’éclairant à l’aide des torches de leurs pistolets...
...Sans savoir ce qui allait leur arriver.
22
Archives publiques / [Consultation populaire] Création d'un statut VIP
« le: lundi 05 novembre 2018, 20:39:07 »Bonjour à tous,
Comme le savent ceux qui ont lu mon programme, j’envisage de mettre en place sur le forum un statut particulier, destiné à récompenser les membres actifs pour leur participation sur le forum (c’était ma première partie), un « statut VIP ».
Même avant cela, certaines réflexions du Staff cherchaient à fidéliser davantage les membres du forum, autour d’un système d’achievements.
J’ai déjà eu l’occasion de voir ce statut implanté sur un autre forum, où il a plutôt bien marché, ce pour quoi je souhaite le mettre en place sur LGJ. Notre forum compte en effet plusieurs membres présents depuis un certain temps, et qui sont régulièrement actifs. Ces membres, qui forment le « cœur » du forum, sont pour moi importants, car je considère qu’ils cimentent un peu le forum, et permettent à ce dernier, malgré le poids des années, de vivre encore.
Mon souhait est donc de voir reconnaître à ces membres une sorte de gratification, de récompense pour leur fidélité et leur participation au forum. Au-delà de la seule récompense, il s’agit aussi de leur offrir l’opportunité de s’impliquer davantage dans le forum, en permettant à ces membres, hélas souvent discrets, d’avoir l’occasion de s’investir. À terme, j’espère ainsi, en les fidélisant, permettre d’organiser des events et de pouvoir les mener à bien.
En effet, les précédents tentatives du Staff d’organiser des events ont souvent échoué par un défaut d’activité des membres s’inscrivant en dernier. C’est quelque chose que je souhaite corriger.
Vous l’aurez compris, le principe de cette mesure est d’introduire un statut particulier, à mi-chemin entre celui du Staff et celui du membre-lambda.
Ce statut fonctionne sur le pur volontariat, c’est-à-dire que les membres éligibles à ce statut, mais qui ne voudront pas l’avoir, pourront le refuser.
Pour l’heure, le Staff reste assez partagé sur l’adoption de ce statut, certains membres de l’équipe craignant des abus ou des dérives, des accusations de népotisme, ou même une certaine forme de dénigrement des membres qui ne seraient pas éligibles à ce statut.
S’agissant d’un statut entraînant des conséquences certaines pour le forum, il est de bon aloi d’inviter les membres à se prononcer.
Comme pour l’adoption du règlement Discord, il y aura deux temps :
Ce planning prévisionnel est modulable en fonction du degré de participation des membres au débat public.
S’agissant des modalités pratiques du statut :
Les conditions d’exécution sont modulables, et je vous invite à nous dire :
- Premièrement : ce que vous pensez du statut,
-Deuxièmement : si ces modalités vous conviennent, et de nous proposer vos éventuelles idées pour améliorer l’ensemble.
Je vous en remercie !
Comme le savent ceux qui ont lu mon programme, j’envisage de mettre en place sur le forum un statut particulier, destiné à récompenser les membres actifs pour leur participation sur le forum (c’était ma première partie), un « statut VIP ».
Même avant cela, certaines réflexions du Staff cherchaient à fidéliser davantage les membres du forum, autour d’un système d’achievements.
J’ai déjà eu l’occasion de voir ce statut implanté sur un autre forum, où il a plutôt bien marché, ce pour quoi je souhaite le mettre en place sur LGJ. Notre forum compte en effet plusieurs membres présents depuis un certain temps, et qui sont régulièrement actifs. Ces membres, qui forment le « cœur » du forum, sont pour moi importants, car je considère qu’ils cimentent un peu le forum, et permettent à ce dernier, malgré le poids des années, de vivre encore.
Mon souhait est donc de voir reconnaître à ces membres une sorte de gratification, de récompense pour leur fidélité et leur participation au forum. Au-delà de la seule récompense, il s’agit aussi de leur offrir l’opportunité de s’impliquer davantage dans le forum, en permettant à ces membres, hélas souvent discrets, d’avoir l’occasion de s’investir. À terme, j’espère ainsi, en les fidélisant, permettre d’organiser des events et de pouvoir les mener à bien.
En effet, les précédents tentatives du Staff d’organiser des events ont souvent échoué par un défaut d’activité des membres s’inscrivant en dernier. C’est quelque chose que je souhaite corriger.
Vous l’aurez compris, le principe de cette mesure est d’introduire un statut particulier, à mi-chemin entre celui du Staff et celui du membre-lambda.
Ce statut fonctionne sur le pur volontariat, c’est-à-dire que les membres éligibles à ce statut, mais qui ne voudront pas l’avoir, pourront le refuser.
Pour l’heure, le Staff reste assez partagé sur l’adoption de ce statut, certains membres de l’équipe craignant des abus ou des dérives, des accusations de népotisme, ou même une certaine forme de dénigrement des membres qui ne seraient pas éligibles à ce statut.
S’agissant d’un statut entraînant des conséquences certaines pour le forum, il est de bon aloi d’inviter les membres à se prononcer.
Comme pour l’adoption du règlement Discord, il y aura deux temps :
- Un débat public qui aura lieu du Lundi 5 Novembre 2018 au Vendredi 9 Novembre 2018,
- Un vote qui aura lieu du Samedi 10 Novembre 2018 au Dimanche 11 Novembre 2018.
Ce planning prévisionnel est modulable en fonction du degré de participation des membres au débat public.
S’agissant des modalités pratiques du statut :
- Il n’y a pas de candidature spontanée. C’est le Staff qui, en fonction des activités des uns et des autres, estimera quelles sont les recrues éligibles à ce statut. Chaque profil fera l’objet d’une discussion au sein du Staff, puis, en cas de décision favorable, le membre sera invité en privé à indiquer s’il est d’accord ou non pour recevoir le statut. En cas de réponse favorable, une annonce publique sera faite ;
- Concernant les critères d’appréciation, il faudra que le membre ait une activité régulière et stable depuis une certaine durée. Bien qu’elle joue, l’ancienneté du membre n’est pas un critère décisif. Nous tiendrons compte surtout d’une activité stable et régulière, que nous apprécions à travers le temps (ce qui nécessite malgré tout une certaine ancienneté).
- Le membre éligible à ce statut pourra participer aux conversations générales du Staff, soit toutes les discussions ayant trait aux projets de réforme et aux orientations du forum. Lui seront en revanche interdites toutes les conversations sensibles, celles impliquant la vie privée des membres, les sanctions à prendre, et ce genre de choses.
Les conditions d’exécution sont modulables, et je vous invite à nous dire :
- Premièrement : ce que vous pensez du statut,
-Deuxièmement : si ces modalités vous conviennent, et de nous proposer vos éventuelles idées pour améliorer l’ensemble.
Je vous en remercie !
23
One Shot / Autorité scolaire [PV]
« le: jeudi 01 novembre 2018, 18:42:00 »Seisaku Orochi était un professeur exerçant au lycée de Mishima, où il enseignait le français. Un poste important, car le test Senta, qui désignait un test d’admission d’élèves par les universités, incluait un poste important sur les langues étrangères. Orochi était donc un professeur important, et les élèves de dernière année au lycée en avaient pleinement conscience. C’était une situation dont l’homme profitait fortement. Orochi n’était en effet pas un professeur très respectueux des règles et des codes sociaux. Pour le dire autrement, il était un pervers. Il avait dû quitter Tokyo après un scandale sexuel impliquant une élève avec qui il entretenait une relation adultérine. Suite à un divorce et à un scandale, il s’était retrouvé à Seikusu, où il avait été embauché à Mishima. Célibataire depuis, Orochi cherchait parmi ses élèves de nouvelles proies, et en avait trouvé une, il y a quelques semaines, qui avait le profil idéal.
Natsuki Mishiro était une jeune lycéenne assez talentueuse, et très discrète. Elle était aussi très respectueuse des règles, et tellement soucieuse d’être discrète qu’elle ne demandait même pas la permission d’aller aux toilettes quand elle avait envie de faire ses besoins naturels. Elle était plutôt belle, assez intelligente, éduquée à l’ancienne. Un profil idéal pour Orochi, qui avait commencé à la cuisiner, à la préparer. Lorsqu’il donnait des exercices et faisait le tour de la classe, il se mettait derrière la jeune fille, et n’hésitait pas à caresser ses épaules, à la palper, feignant une erreur... Mais constatant que la jeune femme ne bronchait pas. Finalement, Orochi avait pris un risque énorme hier... Et avait posé une main sur les fesses de la jeune fille, en la retenant à la sortie de la classe.
Ils étaient alors seuls, et il lui avait redonné sa copie, la félicitant pour sa dissertation en français, et en avait alors profité pour caresser son cul. Sa main s’était glissée sous sa minijupe, et, en souriant, il avait malaxé son postérieur, tout en lui faisant sentir, contre son corps, la bosse de sa queue. Orochi était resté comme ça pendant suffisamment longtemps pour qu’aucun doute ne soit possible, puis il avait ensuite laissé l’adolescente filer.
Ils avaient désormais un nouveau cours, et, comme il s’y attendait, personne n’était venu le voir. La jeune femme baissait la tête en le voyant, mais n’en avait parlé à personne.
*Elle n’a aucun véritable ami, et elle est bien trop timide pour en parler aux autorités... Parfait !*
Le fait est qu’Orochi commençait à bander de plus en plus en pensant à cette femme. Sans être un pédophile, Orochi s’était toujours vu comme une sorte de pédéraste moderne, appréciant le contact des adolescents. À l’origine, le terme désignait, en Grèce, une relation entre un homme âgé et un éphèbe. Orochi y adaptait sa propre situation, et avait bien des idées avec cette jeune fille. Et, maintenant qu’il était sûr qu’elle ne dirait rien, il allait pouvoir véritablement commencer sa préparation.
*Je l’ai choisi avec soin, pour éviter qu’elle ne me dénonce, comme cette salope d’Asuka à Tokyo... Je vais la jouer finement, mais tu es à moi, gamine !*
Il exultait avant le début du cours, et, dès que Natsuki entra, il posa sa main sur son épaule, et lui parla d’une voix dure et froide, professionnelle :
« Tu viendras me voir à la fin du cours, Michiro-san. »
Il relâcha ensuite son épaule, et fit son cours comme si de rien n’était...
...En fantasmant à l’idée de ce qu’il avait préparé pour cette jeune femme innocente !
Natsuki Mishiro était une jeune lycéenne assez talentueuse, et très discrète. Elle était aussi très respectueuse des règles, et tellement soucieuse d’être discrète qu’elle ne demandait même pas la permission d’aller aux toilettes quand elle avait envie de faire ses besoins naturels. Elle était plutôt belle, assez intelligente, éduquée à l’ancienne. Un profil idéal pour Orochi, qui avait commencé à la cuisiner, à la préparer. Lorsqu’il donnait des exercices et faisait le tour de la classe, il se mettait derrière la jeune fille, et n’hésitait pas à caresser ses épaules, à la palper, feignant une erreur... Mais constatant que la jeune femme ne bronchait pas. Finalement, Orochi avait pris un risque énorme hier... Et avait posé une main sur les fesses de la jeune fille, en la retenant à la sortie de la classe.
Ils étaient alors seuls, et il lui avait redonné sa copie, la félicitant pour sa dissertation en français, et en avait alors profité pour caresser son cul. Sa main s’était glissée sous sa minijupe, et, en souriant, il avait malaxé son postérieur, tout en lui faisant sentir, contre son corps, la bosse de sa queue. Orochi était resté comme ça pendant suffisamment longtemps pour qu’aucun doute ne soit possible, puis il avait ensuite laissé l’adolescente filer.
Ils avaient désormais un nouveau cours, et, comme il s’y attendait, personne n’était venu le voir. La jeune femme baissait la tête en le voyant, mais n’en avait parlé à personne.
*Elle n’a aucun véritable ami, et elle est bien trop timide pour en parler aux autorités... Parfait !*
Le fait est qu’Orochi commençait à bander de plus en plus en pensant à cette femme. Sans être un pédophile, Orochi s’était toujours vu comme une sorte de pédéraste moderne, appréciant le contact des adolescents. À l’origine, le terme désignait, en Grèce, une relation entre un homme âgé et un éphèbe. Orochi y adaptait sa propre situation, et avait bien des idées avec cette jeune fille. Et, maintenant qu’il était sûr qu’elle ne dirait rien, il allait pouvoir véritablement commencer sa préparation.
*Je l’ai choisi avec soin, pour éviter qu’elle ne me dénonce, comme cette salope d’Asuka à Tokyo... Je vais la jouer finement, mais tu es à moi, gamine !*
Il exultait avant le début du cours, et, dès que Natsuki entra, il posa sa main sur son épaule, et lui parla d’une voix dure et froide, professionnelle :
« Tu viendras me voir à la fin du cours, Michiro-san. »
Il relâcha ensuite son épaule, et fit son cours comme si de rien n’était...
...En fantasmant à l’idée de ce qu’il avait préparé pour cette jeune femme innocente !
24
One Shot / The Stepford Wives [PV]
« le: lundi 29 octobre 2018, 01:01:10 »« C’est là ! Un vrai décor de carte postale, hein, les filles ? »
À l’arrière du SUV, les trois filles de Joana Eberhart et de Bobbie Eberhart, Laura, Clara et Sarah, acquiescèrent vivement. Du haut de ses six ans, Laura était la plus grande du trio. Trois enfants que le couple Eberhart avait obtenu auprès de la clinique CT Fertility, une clinique présente dans le Nord-Est des États-Unis, et notamment à New Haven, l’une des plus grandes métropoles de l’État du Connecticut, pratiquant la gestation pour autrui, que les deux femmes avaient utilisé pour avoir leurs trois filles.
Le Connecticut était historiquement le deuxième État des États-Unis à avoir reconnu, en 2008, le mariage homosexuel. Joana et Bobbie étaient mariées depuis presque huit ans, maintenant. Les deux jeunes femmes filaient le parfait amour, et s’étaient connues à l’université d’Hartford, la capitale du Connecticut. Joana y faisait des études de journalisme (qui avaient finalement fait d’elle une photographe), et Bobbie suivait les siennes. Elles s’étaient rencontrées à une soirée étudiante arrosée, et, depuis lors, filaient le parfait amour. Vivant auparavant à New Haven, elles avaient fini par déménager, et par rejoindre un petit village plus tranquille, où le prix de l’immobilier n’était pas très élevé, et où Joana avait trouvé une annonce immobilière en faisant de longues recherches sur des annonces en ligne de particuliers. Il n’y avait bizarrement aucune agence immobilière professionnelle pour le village de Stepford.
Situé le long d’un lac, Stepford avait l’apparence d’un pur village traditionnel de la région, avec des arbres partout, et une seule route y menant. Un véritable paysage de carte postal, et un dépaysement total par rapport à New Haven, d’où elles venaient. Située dans l’aire métropolitaine de New York, New Haven était une ville moins sûre que dans le temps, et en tout cas plus polluée. Pour Bobbie, qui était assez écolo’, et ressemblait parfois à une hippie moderne, il était impensable d’élever leurs filles là-bas. Bobbie avait toujours souhaité un endroit plus tranquille, ce qui avait été rendu possible quand Joana, qui travaillait comme photographe au New Haven Register, un journal local, avait été licenciée.
Elles étaient donc parties à la recherche d’une maison, et Joana espérait bien retrouver du boulot à Stepford. Elle se voyait déjà postuler auprès de la mairie pour être la photographe officielle de la commune. Il était peu probable que Stepford ait un journal local, mais, à défaut, elle pouvait postuler près de Stamford, qui était proche de Stepford, voire Norwalk. Elle avait donc des pistes, et, pour leurs filles, Stepford se trouvait à proximité du Ward Pound Ridge Reservation, une magnifique réserve naturelle. Bref, il y avait tout pour plaire ici !
Les anciens propriétaires n’habitaient pas à Stepford. C’était une maison en indivision suite au décès de la mère, et les héritiers avaient mis la maison en vente. Pour les accueillir, il y aurait normalement la femme de ménage des lieux. Les héritiers avaient expliqué que cette femme, Martha, était une spécialité locale, une femme de ménage qui agissait dans beaucoup de maisons, et travaillait pour les services communaux. Elle avait donc les clefs. Ce qui embêtait un peu Joana, c’était de n’avoir jamais rencontré les héritiers, mais ceux-ci vivaient à des endroits assez éloignés : Floride, Californie, Texas... La vente avait été régularisée par un cabinet d’avocat new-yorkais, mais avait été assez expéditive. Joana et Bobbie avaient eu l’occasion de visiter les lieux avant de l’acheter, et avaient eu un coup de cœur pour cette maison.
« Il y aura un peu de travaux à faire, avait expliqué Martha lors de la visite, la tapisserie est décollée par endroits. Madame Hampscher n’entretenait plus son bien, avec son arthrite, mais il était impensable de la mettre en maison de retraite. Si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je comptais faire appel aux services de Joe Mason. C’est un artisan local, il pourra vous fournir un devis de remise en état, et vous pourrez emménager dans une maison propre avec des peintures refaites. »
Les femmes avaient acquiescé, et avaient reçu diverses photos pendant que le cabinet d’avocat procédait à toutes les formalités de vente, et qu’elles-mêmes obtenaient un crédit immobilier pour financer l’achat de la maison.
Elles rejoignirent ainsi la rue abritant leur nouvelle maison.
« Ça y est, c’est là ! »
Et les filles ne manquèrent pas de s’esclaffer de joie. Après leur appartement de New Haven, cette belle maison avec un jardin était un rêve ! Laura espérait bien, d’ailleurs, avoir enfin le droit de pouvoir avoir un chien, ce que ses Mamans avaient toujours refusé dans leur appartement.
Une vie nouvelle s’offrait à elles !
À l’arrière du SUV, les trois filles de Joana Eberhart et de Bobbie Eberhart, Laura, Clara et Sarah, acquiescèrent vivement. Du haut de ses six ans, Laura était la plus grande du trio. Trois enfants que le couple Eberhart avait obtenu auprès de la clinique CT Fertility, une clinique présente dans le Nord-Est des États-Unis, et notamment à New Haven, l’une des plus grandes métropoles de l’État du Connecticut, pratiquant la gestation pour autrui, que les deux femmes avaient utilisé pour avoir leurs trois filles.
Le Connecticut était historiquement le deuxième État des États-Unis à avoir reconnu, en 2008, le mariage homosexuel. Joana et Bobbie étaient mariées depuis presque huit ans, maintenant. Les deux jeunes femmes filaient le parfait amour, et s’étaient connues à l’université d’Hartford, la capitale du Connecticut. Joana y faisait des études de journalisme (qui avaient finalement fait d’elle une photographe), et Bobbie suivait les siennes. Elles s’étaient rencontrées à une soirée étudiante arrosée, et, depuis lors, filaient le parfait amour. Vivant auparavant à New Haven, elles avaient fini par déménager, et par rejoindre un petit village plus tranquille, où le prix de l’immobilier n’était pas très élevé, et où Joana avait trouvé une annonce immobilière en faisant de longues recherches sur des annonces en ligne de particuliers. Il n’y avait bizarrement aucune agence immobilière professionnelle pour le village de Stepford.
Situé le long d’un lac, Stepford avait l’apparence d’un pur village traditionnel de la région, avec des arbres partout, et une seule route y menant. Un véritable paysage de carte postal, et un dépaysement total par rapport à New Haven, d’où elles venaient. Située dans l’aire métropolitaine de New York, New Haven était une ville moins sûre que dans le temps, et en tout cas plus polluée. Pour Bobbie, qui était assez écolo’, et ressemblait parfois à une hippie moderne, il était impensable d’élever leurs filles là-bas. Bobbie avait toujours souhaité un endroit plus tranquille, ce qui avait été rendu possible quand Joana, qui travaillait comme photographe au New Haven Register, un journal local, avait été licenciée.
Elles étaient donc parties à la recherche d’une maison, et Joana espérait bien retrouver du boulot à Stepford. Elle se voyait déjà postuler auprès de la mairie pour être la photographe officielle de la commune. Il était peu probable que Stepford ait un journal local, mais, à défaut, elle pouvait postuler près de Stamford, qui était proche de Stepford, voire Norwalk. Elle avait donc des pistes, et, pour leurs filles, Stepford se trouvait à proximité du Ward Pound Ridge Reservation, une magnifique réserve naturelle. Bref, il y avait tout pour plaire ici !
Les anciens propriétaires n’habitaient pas à Stepford. C’était une maison en indivision suite au décès de la mère, et les héritiers avaient mis la maison en vente. Pour les accueillir, il y aurait normalement la femme de ménage des lieux. Les héritiers avaient expliqué que cette femme, Martha, était une spécialité locale, une femme de ménage qui agissait dans beaucoup de maisons, et travaillait pour les services communaux. Elle avait donc les clefs. Ce qui embêtait un peu Joana, c’était de n’avoir jamais rencontré les héritiers, mais ceux-ci vivaient à des endroits assez éloignés : Floride, Californie, Texas... La vente avait été régularisée par un cabinet d’avocat new-yorkais, mais avait été assez expéditive. Joana et Bobbie avaient eu l’occasion de visiter les lieux avant de l’acheter, et avaient eu un coup de cœur pour cette maison.
« Il y aura un peu de travaux à faire, avait expliqué Martha lors de la visite, la tapisserie est décollée par endroits. Madame Hampscher n’entretenait plus son bien, avec son arthrite, mais il était impensable de la mettre en maison de retraite. Si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je comptais faire appel aux services de Joe Mason. C’est un artisan local, il pourra vous fournir un devis de remise en état, et vous pourrez emménager dans une maison propre avec des peintures refaites. »
Les femmes avaient acquiescé, et avaient reçu diverses photos pendant que le cabinet d’avocat procédait à toutes les formalités de vente, et qu’elles-mêmes obtenaient un crédit immobilier pour financer l’achat de la maison.
Elles rejoignirent ainsi la rue abritant leur nouvelle maison.
« Ça y est, c’est là ! »
Et les filles ne manquèrent pas de s’esclaffer de joie. Après leur appartement de New Haven, cette belle maison avec un jardin était un rêve ! Laura espérait bien, d’ailleurs, avoir enfin le droit de pouvoir avoir un chien, ce que ses Mamans avaient toujours refusé dans leur appartement.
Une vie nouvelle s’offrait à elles !
25
Archives publiques / Assemblée Générale du 21 Octobre 2018
« le: dimanche 21 octobre 2018, 21:33:19 »
.
26
One Shot / An American Family [PV]
« le: samedi 20 octobre 2018, 14:22:10 »Ashley Sanders était très impatiente à l’idée de revoir son grand-père, Michael Sanders. La mère d’Ashley, Rebecca, avait élevé seule sa fille, sans jamais vraiment lui dire ce qui était arrivé à son père. Ashley avait ainsi passé ses premières années à la ferme de Grand-Père, une petite ferme perdue dans l’Iowa. Sa mère et elle vivaient à la capitale de l’Iowa, Des Moines, et il leur fallait quelques heures pour rejoindre la ferme. Papy, comme l’appelait simplement Ashley, tenait une exploitation agricole où Ashley avait grandi, avant de rejoindre Des Moines pour le travail. Elle avait emmené Ashley avec elle, mais, à défaut d’un véritable père, Ashley avait toujours vu en Papy un substitut paternel. De plus, elle aimait beaucoup la vie à la campagne, et y allait donc régulièrement, et presque toujours lors des vacances scolaires.
Du haut de ses seize ans, Ashley avait donc rejoint Papy pour les vacances de Noël. Elles allaient fêter Noël avec Papy, ce qui ravissait beaucoup Ashley ! Mais, avant ça, Rebecca devait rester encore à Des Moines, où elle avait beaucoup d’heures supplémentaires à son travail. Ashley n’était toutefois nullement inquiète, et avait donc pris le bus depuis Des Moines jusqu’à la plus proche gare routière de la ferme de Papy, qui la reçut dans son pick-up. Elle lui raconta le contenu de sa semaine, qu’elle avait eu d’excellentes notes.
« Je devrais avoir les félicitations pour ce trimestre ! » rayonnait Ashley.
Elle avait un téléphone portable, écrivant à ses copines. Ashley avait eu ses premières floraisons il y a de cela des mois, et elle était maintenant une jeune adolescente avec un corps mûr, proportionné. Elle indiqua donc à son grand-père, quand il le lui demanda, que les garçons commençaient à lui tourner autour, mais qu’elle n’avait pas de petit-copain. En fait... Ashley cherchait surtout à savoir qui était vraiment son père, mais sa mère refusait toujours de lui dire. Et Papy ne voulait rien lâcher non plus ! Ashley s’était imaginée quantité d’idées folles. Son père pouvait être un simple camarade de promotion qui l’avait abandonné dès qu’il avait mis en cloque sa copine (car Rebecca avait eu Ashley alors qu’elle était au lycée), mais elle l’imaginait aussi être une espèce d’espion, de guerrier protecteur mort au combat... Le truc, c’est que sa mère ne lâchait pas le morceau ! Les deux se disputaient parfois, mais Ashley restait, somme toute, une élève assez studieuse, et très disciplinée... Même si sa mère avait appris par inadvertance qu’un garçon, Peter, lui tournait autour, et que sa jeune fille n’y était pas totalement insensible.
La ferme de Papy apparut ensuite à l’orée d’une forêt. Elle était assez isolée, avec un silo, plusieurs hangars, des champs, un poulailler... Avant, il y avait beaucoup de personnel à l’intérieur, mais, avec la crise, son grand-père travaillait seul, embauchant parfois des intérimaires. Ashley l’aidait aussi quand elle venait là, dans la mesure de ses moyens. Elle savait traire les quelques vaches laitières, par exemple.
Grand-Père lui fit donc passer une bonne journée à travailler avec lui, mais c’était surtout le lendemain qu’Ashley allait faire une découverte. Les vêtements dans la penderie de sa chambre étaient trop petits pour elle, car elle avait gagné un léger tour de poitrine. Elle se rendit donc dans une autre chambre, avec une penderie plus grande, où il y avait les anciens habits de sa mère... Mais, tandis que la jeune fille cherchait, elle tomba sur une grosse boîte.
*Qu’est-ce que c’est que ça ?*
Espérant y trouver une tenue quelconque, elle l’ouvrit sans se méfier... Et écarquilla les yeux en voyant, à l’intérieur, un assortiment d’objets incongrus, une série de sex toys, de strap-ons, de vibromasseurs, et de harnais en latex, avec des cordes... Incrédule, Ashley observait cette surprenant collection en n’y comprenant rien.
Qu’est-ce que tout ça fichait ici ? Dans l’ancienne chambre de sa mère ?!
Du haut de ses seize ans, Ashley avait donc rejoint Papy pour les vacances de Noël. Elles allaient fêter Noël avec Papy, ce qui ravissait beaucoup Ashley ! Mais, avant ça, Rebecca devait rester encore à Des Moines, où elle avait beaucoup d’heures supplémentaires à son travail. Ashley n’était toutefois nullement inquiète, et avait donc pris le bus depuis Des Moines jusqu’à la plus proche gare routière de la ferme de Papy, qui la reçut dans son pick-up. Elle lui raconta le contenu de sa semaine, qu’elle avait eu d’excellentes notes.
« Je devrais avoir les félicitations pour ce trimestre ! » rayonnait Ashley.
Elle avait un téléphone portable, écrivant à ses copines. Ashley avait eu ses premières floraisons il y a de cela des mois, et elle était maintenant une jeune adolescente avec un corps mûr, proportionné. Elle indiqua donc à son grand-père, quand il le lui demanda, que les garçons commençaient à lui tourner autour, mais qu’elle n’avait pas de petit-copain. En fait... Ashley cherchait surtout à savoir qui était vraiment son père, mais sa mère refusait toujours de lui dire. Et Papy ne voulait rien lâcher non plus ! Ashley s’était imaginée quantité d’idées folles. Son père pouvait être un simple camarade de promotion qui l’avait abandonné dès qu’il avait mis en cloque sa copine (car Rebecca avait eu Ashley alors qu’elle était au lycée), mais elle l’imaginait aussi être une espèce d’espion, de guerrier protecteur mort au combat... Le truc, c’est que sa mère ne lâchait pas le morceau ! Les deux se disputaient parfois, mais Ashley restait, somme toute, une élève assez studieuse, et très disciplinée... Même si sa mère avait appris par inadvertance qu’un garçon, Peter, lui tournait autour, et que sa jeune fille n’y était pas totalement insensible.
La ferme de Papy apparut ensuite à l’orée d’une forêt. Elle était assez isolée, avec un silo, plusieurs hangars, des champs, un poulailler... Avant, il y avait beaucoup de personnel à l’intérieur, mais, avec la crise, son grand-père travaillait seul, embauchant parfois des intérimaires. Ashley l’aidait aussi quand elle venait là, dans la mesure de ses moyens. Elle savait traire les quelques vaches laitières, par exemple.
Grand-Père lui fit donc passer une bonne journée à travailler avec lui, mais c’était surtout le lendemain qu’Ashley allait faire une découverte. Les vêtements dans la penderie de sa chambre étaient trop petits pour elle, car elle avait gagné un léger tour de poitrine. Elle se rendit donc dans une autre chambre, avec une penderie plus grande, où il y avait les anciens habits de sa mère... Mais, tandis que la jeune fille cherchait, elle tomba sur une grosse boîte.
*Qu’est-ce que c’est que ça ?*
Espérant y trouver une tenue quelconque, elle l’ouvrit sans se méfier... Et écarquilla les yeux en voyant, à l’intérieur, un assortiment d’objets incongrus, une série de sex toys, de strap-ons, de vibromasseurs, et de harnais en latex, avec des cordes... Incrédule, Ashley observait cette surprenant collection en n’y comprenant rien.
Qu’est-ce que tout ça fichait ici ? Dans l’ancienne chambre de sa mère ?!
27
Archives publiques / LGJ et ses drôles de dames ! [Nouveaux Modos]
« le: samedi 13 octobre 2018, 11:08:05 »
Bonjour à tous,
En ces temps de remaniement gouvernemental difficile, le Staff de LGJ est fier d'accueillir trois nouveaux Modérateurs qui viendront épauler notre équipe.
C'est le cœur rempli de fierté, l'esprit débordant d'une joie immense, que je vous annonce que notre équipe comprendra désormais :
Ces nouveaux Modérateurs viennent renforcer notre équipe qui s'est amenuisée après le départ de plusieurs d'entre eux, qui n'étaient malheureusement pas assez actifs pour pouvoir rester au sein de notre équipe.
Je souhaite en tout cas la bienvenue à nos nouveaux Modérateurs, et je compte sur vous pour leur faire un triomphe !
En ces temps de remaniement gouvernemental difficile, le Staff de LGJ est fier d'accueillir trois nouveaux Modérateurs qui viendront épauler notre équipe.
C'est le cœur rempli de fierté, l'esprit débordant d'une joie immense, que je vous annonce que notre équipe comprendra désormais :
- Anéa, dont l'ancienneté et la sympathie sauront rejaillir dans vos cœurs,
- Koya Breathless, qui ne nous a jamais vraiment quitté, telle une force de l'ombre aspirant à la lumière,
- Desmina, qui rejoint la Modération pour la première fois, et qui aura donc le droit à un bizutage en bonne et due forme.
Ces nouveaux Modérateurs viennent renforcer notre équipe qui s'est amenuisée après le départ de plusieurs d'entre eux, qui n'étaient malheureusement pas assez actifs pour pouvoir rester au sein de notre équipe.
Je souhaite en tout cas la bienvenue à nos nouveaux Modérateurs, et je compte sur vous pour leur faire un triomphe !
28
Dictature d'Ashnard / Preux Chevalier [Link]
« le: lundi 08 octobre 2018, 00:56:22 »Ce RP est la suite du RP « Le Guerrier Et La Princesse »
Il y a quelques jours, Alice avait fait une rencontre singulière, en croisant à Sylvandell un preux guerrier venant des lointaines contrées d’Hyrule, Link. Ressemblant à s’y méprendre à un elfe, la réputation du jeune homme n’était pas inconnue à Alice, car elle avait eu la chance de croiser la Princesse Zelda* auparavant. Toutefois, Link n’avait pas semblé particulièrement pressé de retourner à Hyrule, et les deux en avaient surtout profité pour faire... Très intimement connaissance. En fait, ils avaient baisé dès le premier soir comme des animaux en rut dans une auberge. Link avait témoigné de sa constitution surnaturelle, vraisemblablement liée au fait qu’il était le porteur de la Triforce... Ou que le corps de la belle blonde l’excitait particulièrement. Ils avaient en tout cas couché jusqu’à l’aube, où Link avait déclaré avoir le coup de foudre pour Alice. Un aveu touchant et émouvant, mais qui avait aussi inquiété la jeune Princesse, celle-ci lui expliquant que sa main était déjà promise à quelqu’un d’autre, Melendil.
Son futur époux était toutefois en formation militaire, ce qui fait que lui et Link n’avaient pas pu se croiser. Leur fin de soirée (ou début de matinée) s’était en effet terminée par la promesse de nouvelles séances plus chaudes. Le masque de la jeune Princesse était tombé en une soirée, révélant, sous son innocence et sa naïveté apparente, une femme bien plus mûre, et bien plus épanouie sexuellement... Au point qu’elle avait proposé d’inviter Link dans son lit conjugal, afin d’avoir les deux beaux amants rien que pour elle. Mais Link avait surtout retenu les informations d’Alice sur la situation professionnelle de sa meilleure amie, une vampire dirigeant un harem de luxe : Mélinda Warren. Et, curieusement, l’idée de se rendre dans ce harem avait beaucoup plu à Link.
La jeune Alice ne pouvait toutefois pas se rendre instantanément au harem, et plusieurs jours avaient donc passé, le temps qu’elle dégage un créneau, et qu’elle demande à Mélinda de l’accueillir. La vampire avait évidemment accepté, et, pendant ce temps, Link avait rejoint les forces militaires sylvandines. Il était un très bon combattant, mais, pour devenir chevalier de Sylvandell, il fallait faire ses preuves. Alice ne pouvait pas le parachuter instantanément, mais avait transféré soin dossier aux instances militaires chargées des promotions. Link était rapidement devenu écuyer, et ses rencontres avec Alice s’étaient estompées, le temps pour lui d’apprendre les us et coutumes de l’armée sylvandine, les techniques de combat, ce genre de choses. Il avait ainsi appris que l’armée de Sylvandell, plutôt petite, comprenait deux corps d’élite : la Commanderie Noire, un corps d’élite remontant aux origines du royaume, et les dragonniers, des soldats ayant la capacité de chevaucher les dragons.
Tout ça, Link l’avait appris, et, au vu de ses talents, il avait rapidement été promu chevalier. Lui et Alice avaient fait l’amour une bonne partie de la nuit pour célébrer ça, et elle lui avait alors annoncé que, pour le féliciter, elle avait réservé plusieurs jours au harem.
Un chariot les amenait donc. Le duo approchait de la capitale, une grande cité concentrique entourée par un énorme rempart. Alice observa la cité par la fenêtre, puis reporta son attention sur Link, en lui souriant doucement.
« Tu n’as jamais été à la capitale, hein ? »
C’était une question purement rhétorique. Link commençait à découvrir Ashnard, et Alice était là pour l’accompagner.
« Tu as intérêt à ne pas me quitter trop souvent, c’est bien plus grand que Sylvandell... »
La capitale n’était pas aussi vaste que Nexus, mais elle était dominée par l’immense Palais Impérial, au centre de la ville, dont les hautes tours dominaient toute la ville. Elle se retourna vers lui, et l’embrassa doucement sur les lèvres.
« Je suis sûre que Mélinda va t’adorer, mon preux chevalier... »
* : Cf. RP « Le siège d’Hyrule ».
29
Archives publiques / [Contexte avancé] Les personnages-systèmes
« le: samedi 29 septembre 2018, 13:05:02 »
.
30
Le coin du chalant / [One-shot] La corruption de Jill Valentine
« le: dimanche 23 septembre 2018, 14:08:31 »Bonjour à tous,
Depuis quelques temps, j'ai envie de faire un OS particulier, inspiré de "Resident Evil 5" et du traitement réservé à l'un des personnages de la saga de jeux vidéos dans ce jeu : Jill Valentine. Dans ce jeu, Jill est capturée par des ennemis, et est transformée en une femme tueuse décérébrée agissant pour le compte de vils criminels développant des virus génétiques transformant les humains en zombies.
Cet OS raconterait tout simplement la corruption (avec un fort penchant sexuel, bien évidemment) de Jill Valentine.
C'est un grand classique des hentaïs autour de Resident Evil, mais, comme c'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures confitures, je cherche donc un partenaire, soit pour jouer Jill, soit pour jouer ceux qui la tourmenteront : Albert Wesker et la plantureuse Excella Gionne.
Si cela vous intéresse, n'hésitez pas à m'envoyer un MP ou à répondre à ce topic ^^
Bonus : pour voir un peu à quoi ressemblera ce RP, vous pouvez lire au lien suivant un hentaï qui traite du sujet !