Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Gabriel Valmy

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Gabriel Valmy

Pages: 1 [2] 3 4 ... 103
16
Centre-ville de Seikusu / Protéger une starlette [Pv]
« le: jeudi 14 janvier 2016, 17:29:53 »
« Pitié, tout sauf ça ! » [/i][/color]

Qui pouvait bien supplier de la sorte ? Bon, vous me direz, au cœur d’un commissariat, les plaidoyers de la sorte étaient légions, surtout quand Gabriel était de l’autre côté de la table d’interrogatoire. Ses méthodes étaient peu conventionnelles, certes, mais elles étaient surtout un peu trop violentes… et ça lui causait des problèmes, régulièrement. Trop souvent peut-être…

C’était d’ailleurs pour ça qu’il était installé ici, le Gabriel, non pas dans la salle d’interrogatoire, mais dans le bureau du capitaine. Honnêtement, sa situation n’était pas reluisante. Okay, il avait un bon taux de réussite entre ses arrestations et ses mises en inculpation, mais le problème c’était que ses arrestations étaient souvent invalidées à cause d’abus de pouvoir, ou, la plupart des temps, de violence policière. On faisait plus sexy comme résultat… il regarda, horrifié, son chef qui se tenait derrière son bureau métallique. Gabriel était resté debout et attendait qu’on réfute ce qu’on venait de lui dire. Mis à pied… ça il l’aurait accepté. Un nouvel équipier, oui, il s’en serait bien vite débarrassé, mais pas ce genre de mission à la con ! Non, non, non !

« Allez, chef… je ferai n’importe quoi… » [/i][/color]

Ouais, il ferait n’importe quoi ! mais pas ces missions de garde du corps…

Résumons un peu :  une starlette de bas-étage dont le nom échappait à Gabriel, qui ne connaissait même pas son existence avant aujourd’hui, avait reçu quelques courriers qui l’avaient inquiétée pour sa sécurité… fan encombrant, pervers détraqué, psychopathe, les possibilités ne manquaient pas, et devant la menace, les forces de police avaient décidé d’offrir une protection rapprochée…

« Gabriel, c’est non négociable. Voilà l’adresse. Allez-y, prenez vos fonctions et ne la laissez seule sous aucun prétexte tant que nous n’aurons pas tout vérifié ! » [/i][/color]

Gabriel soupira et se résigna. Il sortit du bureau en claquant si fort la porte que le verre se fissura. Il alla jusqu’à son bureau, prit son arme dans son tiroir, vérifia le tranchant de son couteau, mit son trench et sortit pour rejoindre sa moto. L’adresse, il ne la connaissait pas plus que sa « protégée », mais d’un autre côté, il n’avait pas vraiment le choix…. Alors il se renseigna au passage pour finalement se diriger à la hâte vers son objectif.

Le trajet lui prit vingt bonnes minutes. Et quand il arriva, il ne prit même pas la peine d’observer les alentours. Il sonna à l’interphone et quand on décrocha, se présenta.

« Lieutenant Gabriel Valmy, police. Je suis celui chargé de votre sécurité. Ouvrez. » [/i][/color]

Un ton sec, pas de s’il vous plait, pas de bonjour. En même temps, il se faisait chier ici, il ne voulait pas être ici, et il y était quand même… il se forçait. Alors elle prendrait sa frustration dans la tronche.

17
Complexe d'études secondaires et supérieures / erreur
« le: jeudi 14 janvier 2016, 17:27:32 »
erreur

18
Les alentours de la ville / Re : Tiens, c'est quoi ça ? [Pv]
« le: mercredi 13 janvier 2016, 06:29:38 »
Oh, déçue qu’il l’ait jetée par la fenêtre ? Peut-être … il était juste sûr qu’elle ne chercherait plus à revendiquer le fait qu’elle n’avait pas à lui obéir. De toute manière, bon gré et mal gré elle avait obéi, et elle était complètement nue, si vite déshabillée face à lui, face à ses représentation… il éclata de rire avec ses paroles. Il avait un exemple frappant du contraste entre les paroles et les actes avec elle, elle protestait en obéissant, voilà quelque chose qui lui faisait monter un très grand sourire aux lèvres ! Il eut un air goguenard alors qu’elle se retrouvait, les yeux larmoyants. Il attendit. Elle n’était pas vilainement foutue, bien au contraire, même, elle était équipée de grosses mamelles que l’on aurait pu croire pleines de lait. Et quand elle se tourna pour pouvoir observer la rue en dessous, la rue sur laquelle elle allait devoir se pencher, exposer ses nibards de vraie vache à lait pour aboyer comme une chienne...

Enfin, elle se mit à aboyer et se pencher à la fenêtre, d’abord doucement. Il hésita à la reprendre, mais elle sembla l’avoir senti puisqu’elle recommença, criant presque. Depuis un coin de la fenêtre, il regarda les passants s’arrêter et regarder en l’air, les yeux ronds, que faisait cette blonde ainsi penchée à sa fenêtre. Gabriel se plaça derrière elle pour finalement lui palper la croupe nue, lui écarter les fesses pour voir l’état de son œillet, et enfin passer sa main entre ses cuisses.

« Tu n’es pas vilaine… je suis sûr qu’une fois bien préparée tu seras la plus grande salope de la ville, grâce à maître Gabriel…. Je suis sûr que tu me remercieras…. Et tu verras, après avoir gouté à la grosse queue bien dure d’un vrai mâle dans tes trous, tu verras que ta maitresse ne vaut rien…. Aboie une fois pour confirmer, et deux fois si tu as une question ! »

Il ricana et laissa la main qui venait de lui fouiller l’entrecuisse remonter le long de son ventre pour venir lui malmener un sein…. Il fit subir le même sort à l’autre avant de finalement venir lui saisir son collier et la tirer en arrière et peu importe si elle en était un peu étranglée…. Il lui tapota la joue avant de finalement lui détacher son collier et de le regarder…. Bof, il ne le trouvait pas extra. Il le fourra dans la poche de son trench et ensuite il lui donna de nouveaux ordres.

« Va me chercher une ceinture, tu dois bien avoir une ceinture marronne et assez large ? Si oui dépêche-toi, sinon tu gouteras à la mienne ! Tu vas apprendre ce que c’est qu’n vrai maître. Tu as compris ? Si oui, aboie de nouveau une fois, et rajoute donc bien maitre Gabriel quand tu t’adresses à moi, ce sera le début, ma petite chienne, mon petit vide couilles personnel, mon petit sac à foutre, ma vache à lait… »

Elle ne voulait pas qu’il frappe de nouveau, n’est-ce pas ? Car oui, c’était bien ce qu’elle risquait à ne pas obéir, à ne pas agir ! Il comptait bien lui montrer exactement qui commandait, et ce qu’il y gagnerait comme ce qu’elle pourrait y perdre… en tout cas si elle obéissait promptement, il en profiterait pour chercher son téléphone, et, s’il n’était pas verrouillé, en récupérer le numéro au même titre qu’il effacerait complètement son répertoire, le vidant complètement, rendant le téléphone vierge, mais encore fallait-il qu’il ait accès à son téléphone, et qu’il ait le code… et dans le pire des cas, il le lui demanderait ! et elle savait désormais ce qu’elle risquait à ne pas le contenter, n’est-ce pas.

19
Elle se débattait fort peu par rapport à ce qu’il aurait pu imaginer…. Elle semblait déjà résignée à obéir…. Les pressions sur son bras ne firent pas arrêter Gabriel, même si c’était complètement débile selon lui de tenter d’agir de la sorte… ou d’agir d’une autre sorte qui allait contre Gabriel, bien sûr !  Il lui fit un petit sourire qui montrait qu’elle était bien tombée… il lui caressa doucement les cheveux de ses doigts bien mouillés par le nectar de la lycéenne ! il comptait encore jouer longtemps avec elle !  Il lui caressa à nouveau, mais cette fois, la joue, avec une extrême douceur…

« Je vois… je te plains ma pauvre… tes amants étaient bien mal membrés…. Est-ce que c’est l’un d’eux qui t’a appris à prendre en gorge une queue ? Car tu as encore plein de progrès à faire…. Nous travaillerons ça ! et beaucoup d’autres choses encore, comme ton élasticité, l’écartement de tes trous, et bien d’autres encore ! J’ai bien envie de voir tout ça…. Et comment tu me trouve au niveau taille du gourdin ? »

Il espérait être flatté, vous vous en doutez-bien ! au fond, sa bouche était plutôt efficace, trouvait-il, il ne lui manquait pas grande chose…. Enfin, si, peut être in piercing sur la langue, pour quand elle suce… ça serait sans doute bien plus sympathique, il la forcerait peut-être à se rajouter ça …. Il verrait quand ils en arriveraient là… il hésita un court instant avant de finalement regarder de manière plus précise la jeune femme….

« Et donc tu es vierge du cul ? On va changer ça, ne t’en fais pas ! Et tu finiras peut-être même par subir un vrai gang bang, voir un fist, ou, si tu es assez souple du cul, un double fist… je t’offrirais des godes pour que tu t’entraines de ton côté…. Tu verras, avec le temps tu comprendras très vite à quel point tu peux te montrer salope et chienne, car si tu ne l’es pas, tu finiras par le devenir…. Je ne me fais aucune illusion là-dessus… »

Il lui sourit et la saisi par les cheveux, sans tirer, juste histoire de lui incliner la tête selon le bon angle, histoire qu’elle le regarde droit dans les yeux alors qu’il la ceinturait pour finalement attendre comme ça, calé contre elle, sa queue à l’air, contre le ventre plat de la lycéenne… il attendit un peu avant de finalement regarder davantage la jeune femme  et lui saisit un anneau mammaire et jouer un peu dessus avant de la plaquer contre le mur et lui saisir les cuisses pour la soulever en les écartant avec l’objectif évident de ‘empaler sans douceur sur son braquemart. Mais pas par devant…. Ses mains avaient reculé sur ses fesses pour les écarter alors qu’il lui tenait les miches écartées, elle était face à lui, et de cette manière, elle ne devrait pas être en mesure de lui cacher le moment où elle se sentirait écartelée pour la première fois !

« Pendant que je t’encule, je veux entendre toutes les idées les plus perverses qui te viennent à l’idée, et les surnoms sexuels que tu mériterais de recevoir…. Plus c’est dégradant, plus à ça sera apprécié… la violence des pénétrations dépendra de tes réponses… enfin…. Pour les suivantes… »

Lui laissant le dos contre la paroi en béton (pas crépie, heureusement), il l’empalant, faisant en sorte de ne pas trop la déchirer…. Il avait été moins violent que ce que l’on pourrait imaginer, ou moins qu’elle aurait pu envisager…. Il ne voulait pas la porter après… il haussa les épaules et la laissa ainsi, enfoncée sur son braquemart, attendant la première réponse pour envoyer un autre coup de rein, variable en intensité selon si la réponse lui plaisait ou pas…

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

20
Pour Gabriel Valmy, David Velázquez était un pourri, mais l’étant lui-même, d’une certaine manière, il pouvait se fier à lui. Ils ne bossaient pas dans la même section. Gabriel changeait en permanence, mais Velázquez était au mœurs, en général… donc ils ne se croisaient pas beaucoup, mais il buvait putain de bien !  Niveau compagnon de cuite, il était du genre de ceux avec qui il picolait sévère ! Et il y avait cette histoire… une plainte déposée… une putain de plainte ! et coup sur coup, il venait de tomber pour corruption via un dossier internet… saloperie ! Il espérait trouver qui était responsable et lui mettre son poing dans la gueule !  Après tout, le prochain à tomber pouvait être Gabriel…

Et faute de remonter jusqu’au cyber justicier, il avait pu au moins connaitre le nom de la personne qui portait plainte… une informaticienne, une sous-traitante qui venait réparer les PCs qu’il faisait déconner… et elle était justement en train de vérifier le parc informatique, aussi il avait pu l’observer, et il voulait aller lui parler, histoire de voir s’il n’y avait pas quelque chose à en tirer, histoire de voir s’il pouvait pas lui donner une petite leçon, et s’il l’avait dit à voix haute, plusieurs autres l’auraient accompagné…

Il n’avait eu aucune difficulté à retrouver son adresse, ni même à retrouver son nom, il avait donc décidé d’aller la voir un soir, après le taff, histoire qu’il puisse prendre son temps… il arriva devant le lieu d’habitation et trouva la porte d’entrée. Il resta silencieux un certain temps avant de finalement sonner et tambouriner violemment à la porte.

« Police, ouvrez ! »

21
Les alentours de la ville / Re : Les Délices de Xanadu [Gabriel Valmy]
« le: mercredi 13 janvier 2016, 06:24:21 »
Il y avait des lieux où Gabriel devait aller, un lieu où le flic ripoux savait qu’il ne serait pas vraiment le bienvenu… et le Madame Xanadu en était un parfait exemple… il était sûr qu’il serait foutu de se faire descendre en entrant s’il arrivait au mauvais moment… et quelque chose lui disait qu’ici, ce serait toujours le mauvais moment sauf s’il y était invité… et aujourd’hui, il était invité… il n’en menait pas large, croyez-le !  Il ne pouvait pas s’empêcher d’avoir un frisson, un abominable frisson glacial… il regarda la devanture… elle était lumineuse dans le noir et il attendait d’avoir le courage de faire ce qu’il devait… enfin, non il ne devait rien… en théorie…

Il rentra la tête dans les épaules et se força à franchir le pas pour faire le tour du bâtiment et toquer à la porte de service… on lui avait dit de passer par là, pour plus de discrétion… il n’y croyait pas vraiment, mais bon, c’était à la demande de Ryo Shinden, son contact chez le clan Guramu… un mec qu’il avait envie de tarter mais qui le fournissait en blé de manière plus qu’impressionnante ! Bon, en échange, étrangement, des PCs du poste plantaient, des dossiers passaient sous la pile, des pièces disparaissaient, des rapports rendaient au non-lieu… il soupira de nouveau avant qu’on ne lui ouvre, finalement.

Il s’agissait d’un homme plus que balèze, un vrai gorille, et Gabriel, qui ne se considérait pas comme chétif, avait l’impression d’être tout petit, pour un japonais, c’était un exploit… Gabriel voulu entrer mais le garde du corps l’en empêcha :

« Armes… »

Gabriel soupira et retira son flingue de service et posa le chargeur, après avoir montré que la chambre état vide dans sa main. Il rangea son flingue. Le colosse fit un nouveau geste de la main et Gabriel soupira pour y poser son arme. Il n’aimait pas l’idée qu’on lui prenne son flingue, même déchargé… il s’attendait à ce qu’on le laisse entrer mais toujours pas… putain, il était toujours pas convaincu ? Gabriel dégaina son couteau et le lui remit avant de finalement se baisser et mettre dans la pogne du grand singe son petit flingue de cheville.

« C’est bon maintenant ? »

Il grogna et le fouilla méticuleusement… un peu trop selon Gabriel, mais avait-il le choix ? Pas vraiment. Il se laissa faire en lançant un regard mauvais au colosse avant de finalement inspirer et suivre le gars dans les lieux. On le fit monter dans un ascenseur et on y entra une clef, et sans appuyer sur un bouton. Une sécurité courante pour aller aux étages réservés ou interdits. Aussi ne sut-il pas si on descendait on si on montait, puis on le fit marcher dans un couloir jusqu’à atteindre un bureau. Le garde du corps toqua et s’effaça quand une voix glaciale de femme dit de faire entrer son invité.

Gabriel pénétra dans le bureau et senti la forte odeur de musc lié aux deux énormes de chiens qui paressaient derrière le bureau, de part et d’autre de la jeune femme en rouge qui se tenait assise derrière le bureau. Gabriel porta une main à sa tête dans une sorte de salut nonchalant.

« M’dame »

Elle ne prononça pas un mot et semblait glaciale. Il préféra donc éviter les ennuis. Elle lui fit signe de s’asseoir. Il avait bien une idée de la raison pour laquelle il venait, mais il voulait éviter les ennuis… il regarda un peu plus la pièce alors qu’elle l’invitait à s’asseoir sur un fauteuil. Il obéit sans même y penser. Il avait compris une chose :  il ne voulait pas la voir lui en vouloir…. Il retint un soupire, et attendit qu’elle prenne la parole.

« Lieutenant Valmy. J’ai appris par un de nos contacts communs que vous étiez un homme intelligent… qui saviez où était votre intérêt… »

Gabriel ne dit rien, il préféra attendre car ses paroles n’invitaient pas à la moindre réponse…

« Je pense que vous savez plus ou moins pourquoi vous êtes là…. Nous avons eu un problème de… confidentialité… une personne utile doit être remplacée… et voyez-vous je pensais à vous… vous êtes un homme comme il nous en faut et contre de… menus services… je suis sûre que nous pourrions trouver un accord… »

Gabriel n’avait pas froid aux yeux et il savait par avance qu’elle lui demandait des services dans le cadre de ses fonctions, il ne poserait pas de questions. C’était ainsi que cela se passait en règle générale. Il attendit quelques instants avant de poser la seule question qui avait de l’importance.

« Et quelle est votre offre ? »

Voilà bien la seule question qui avait le droit d’être posée par Gabriel. Et comme un déclencheur, la porte s’ouvrit sur une jolie jeune femme, non, pas jolie, carrément canon ! Il ouvrit et sourit avant de la reluquer sans vergogne… surtout que la tenue mettait carrément en valeur ses courbes au point qu’il ne s’agissait plus de suggestif, mais carrément du montré sans être montré…

Il ne put s’empêcher de siffler. Si c’était elle, il voulait bien envisager des choses intéressantes… et si c’était une diversion, elle était particulièrement réussie !

22
Les alentours de la ville / Re : Emménagement et cohabitation [Gaby]
« le: jeudi 08 octobre 2015, 21:10:38 »
Gabriel n’avait pas pour habitude de ne pas jouer les « mâles » dominants, à ma limite du bestial… mais là… là il ressemblait à un gros chat qui voulait se caler, roulé en boule sur les genoux de la personne qu’il affectionnait, tout simplement !  Il lui fit un petit sourire ravi alors qu’elle confirmait tout à fait ce qu’elle lui disait. Il n’aimait pas des masses l’expression, mais le fait était là, il kiffait sa race. Mais ce n’était pas juste l’impression de lui remplir l’entrecuisse, c’était… ben en fait il savait pas pourquoi, mais c’était différent. Sans qu’il ne comprenne pourquoi, ou sans qu’il veuille chercher à comprendre pourquoi, d’ailleurs… en fait, il se contentait de ce statu quo : il n’avait pas besoin de savoir et il savourait la situation ainsi, comme elle se présentait. Il n’avait pas besoin de plus.

« T’as même pas idée… » [/b][/i]

Il continuait à jouer avec son corps autant que possible, de mille et une manières, cherchant à multiplier les baisers un peu partout, comme pour les petites morsures légères, toujours à la recherche de points plus sensible, savourant l’étau de son entrecuisse avec tous ses sens, lâchant finalement son petit bouton de rose pour l’enlacer, oui, il était possessif, à outrance… chose paradoxal dans la mesure où il estimait n’appartenait à personne… enfin, c’était ce qu’il pensait avant… maintenant si on lui demandait… ben, il resterait sans doute comme un con à buguer… Enfin bon, la question ne se posait pas, n’est-ce pas…

« En même temps, qui te fait croire que je te laisserai me quitter ? Tu es toute à moi… non ? » [/b][/i]

Bon, d’un autre côté, lui aussi il rendait les armes face à elle, alors qu’importe sa réponse ! Ses reins, son bassin bougeaient dans une lenteur presque exaspérante pour elle, peut-être mais il voulait savourer ça. Il voulait ressentir chaque contact aussi longtemps et aussi intensément que possible ! Lentement, ses mains se détachaient de sa taille, l’une d’entre elle venant doucement serre ses mains, portant lesdites mains à ses lèvres pour les embrasser doucement, lui mordiller les doigts, jouer avec, cessant tout mouvement en elle, sortant même d’elle pour doucement la faire descendre de son perchoir. Ça pouvait sembler bête mais… il y avait un sacré espace à couvrir, non ? »

« J’en ai marre de me taper tout le travail, même si le travail est une beauté comme toi… à toi de bouger un peu ! » [/b][/i]

Il lui fit un clin d’œil avant de l’entrainer dans une étreinte, se laissant presque tomber en arrière sur le sol, sans n’en avoir rien à foutre. Même pas mal ! Il voulait lui aussi qu’on s’occupe de lui, et ne pas être seulement celui qui s’occupe d’elle. Envie légitime, non ? »

23
Les états d’âmes de la lycéenne, il s’en foutait !  Qu’elle s’étouffe à le sucer bien profondément n’était pas dans son intérêt certes, mais il était là pour se faire plaisir et surtout,  profiter de la salacité, de la lubricité que la jeune fille avait pu manifester en  compagnie de cette véritable forêt de queues qu’elle avait eu à sucer il n’y avait pas si longtemps… elle avait su se montrer plus que douée et il la revoyait encore en train de retirer le sperme qui lui avait maculé les lèvres, le visage… rien qu’à ce souvenir, il triquait encore plus, si c’était possible !

Bon et sinon, comment elle s’en sortait ? Pas si mal que ça compte tenu de la monstruosité qu’elle devait se forcer à avaler, d’abord avec son aide, quitte à résister, et ensuite, de manière bien moins pratique pour elle : elle n’avait aucune aide, elle devait se démerder toute seule, et c’était là que les choses commençaient à devenir intéressantes ! Elle devait désormais s‘appliquer à le faire toute seule… il voulait de nouveau sentir ses lèvres le long de sa verge, son gland violer le sanctuaire de sa gorge, il avait adoré passer en force et maintenant, il comptait adorer le fait qu’elle s’empale toute seule là-dessus…

Son commentaire sur le fait qu’il n’était qu’un sal pervers, qu’il était dégoûtant le fit ricaner. Il ne dit rien, attendant le meilleur moment pour parler ou pour agir… pour le moment, il voulait voir ce qu’elle valait vraiment avec sa bouche. Il avait hâte de voir à quel point elle allait s’investir… à quel point elle allait se retrouver capable de gober sa queue épaisse… il plongea son regard sur elle, attendant qu’elle le fasse et attendant de la voir se fouiller  les cuisses…

Il avait estimé que trois doigts était un bon score, et une bonne préparation. Pourquoi ? Parce qu’il ne se limiterait pas à jouer de manière soft et simple avec elle… il oserait tout ou presque !  il lui fit un clin d’œil lubrique alors qu’il la regardait commencer… elle était très bien, très docile, très soumise… il lui mit une petite tape sur la tête avant de finalement la voir commencer à se doigter en enfonçant la queue aussi loin que possible, petit à petit, se montrant plus appliquée qu’il ne l’avait espéré, alors que les doigts prenaient un à un possession de son intimité… au final, elle arriver à tout faire…. Et plus encore, elle couinait doucement. Elle aimait ça en fait, n’est-ce pas ? Il ricana.

« Putain, j’’adore quand tu te montres une petite salope aussi appliquée… au fond tu n’es que ça, une petite chienne bien salope et bien chaude, non ? Allez, plus loin… » [/b][/i]

Il attendait qu’elle le fasse, jusqu’à sentir son nez contre son pubis poilu, jusqu’à sentir le choc de son menton contre la peau de ses bourses bien pleines de ce qu’il lui réservait dans la gueule. Il lui fit un léger sourire en coin, savourant chaque centimètre gagné, chaque millimètre qu’elle gobait en plus ! Il soupirait de plaisir et adorait ce qu’elle lui faisait, quitte à s’étouffer, quitte à se déboiter la mâchoire !

« Bravo, brave fille, tu es une bonne chienne !  Tu auras droit à une récompense après ! » [/b][/i]

Il lui sourit avant de la regarder s’occuper des bourses, savourant le fait qu’elle ne s’arrête pas. Qu’elle prenne ce genre de petites initiatives, non sans demander si ça lui convenait. Pour peu, il aurait cru qu’elle avait déjà été dressée par quelqu’un avant qu’il ne lui tombe dessus… ou alors c’était exactement ça… il ne put néanmoins s’empêcher de lui faire une petite remarque, l’éloignant de son appareil génital avant de lui mettre une petite tape sur la mâchoire. 0 peine de quoi rosir, et encore !

« Vous êtes satisfait j’espère, Monsieur… je tiens au respect que tu me dois… et vu comment tu as obéi et vu comment tu t’es appliquée jusqu’à présent, je suis sûr que l’on t’a déjà appris à obéir bien gentiment et à témoigner le respect dû à tes supérieurs, non ? » [/b][/i]

Il lui fit un léger sourire avant de la saisir par le collier pour la forcer à se lever et sans lui donner le temps de réagir, il glissa sa main entre ses cuisses entrant dans le fameux abricot sans douceur avec deux doigts  pour la trifouiller un peu. Difficile de ne pas remarquer sa moiteur, n’est-ce pas ? Il joua un peu au passage avec l’anneau qui ornait sa fleur, tirant même un peu dessus avant de reprendre sa parole, un éclat joueur dans le regard.

« Raconte-moi un peu… qu’est-ce que tu as pris de plus gros dans tes trous… je veux dire, dans ton cul et dans ta chatte ? Raconte-moi un peu, que je décide de la suite des évènements… dans tous les cas, je sais désormais une chose : tu vas adorer… déjà que tu as adoré te faire déboiter la gueule… je te jure que tu vas crier, tellement tu vas adorer te faire complètement déformer les trous !  Et ensuite, je suis sûr que tu me remercieras et me supplieras de recommencer, n’est-ce pas ? La nuit est longue et il va bien falloir t’occuper… » [/b][/i]

Il lui fit un nouveau clin d’œil salace, attendant ses réponses. Ayant hâte, un peu, il se demandait à quel point elle avait pu être salope...

« En fait, c’est surtout pour savoir à quel point tu es salope que je veux cette réponse, mais c’est aussi pour voir un peu ce que tu es capable d’endurer… histoire de voir ce que je vais pouvoir faire de toi… une chose est sûre, tu t’en souviendras…. » [/b][/i]

Il lui  caressa la joue, y essuyant les larmes.

24
C'était, trouvait Gabriel, une sacrée journée. Retrouver un vieux pote, tomber sur une nana qui agissait en vraie garce et se retrouver dans une soudaine position de force vis à vis de cette nana, il était ravi de constater que même si elle semblait avoir une forme personnelle d'arrogance, elle devait s'incliner, et céder. Et ça, c'était beau… Gabriel adorait ce genre de moments où une autre personne devait abandonner dignité et  tout le reste…

À leur demande, elle précisa un peu sa pensée… sa liste de clients comme strip teaseuse ? Bien sûr, évidemment, elle avait accès à toutes les données, elle devait le faire à son compte, sans intermédiaire, sans données protégées, rien… logique !  Derrière cette raillerie silencieuse, il y avait qu'une seule et unique chose : une forme d'incompréhension. En somme, il avait du mal à gober ça… par contre, son pote, lui, acquiesçait comme s'il y croyait. Gabriel leva les yeux au ciel, et alors qu'elle finissait de parler, sugar commença à répondre.

« Voilà qui est pas mal… nous allons pouv... » [/b][/i]

Gabriel lui avait posé la main sur l'épaule et avait assez serré pour qu'il glapisse de douleur, pas fort, mais assez pour qu'il s'arrête de parler. Il trouvait cela trop et pas assez en même temps !  Il lui fit un petit sourire  avec un clin d'œil espiègle qui cachait bien le fait qu'il voulait clairement jouer à ses dépens… il choisit bien ses mots avant de les prononcer.

« Et j'imagine que l'on doit te croire sur parole, non ? Voilà qui me semble bien peu recommandé… après tout, qui t'empêche de nous doubler ?  Personne à ma connaissance ! Quant à ton corps, je suppose que l'on doit croire la qualité sur parole aussi ? Non pas que je remette tes qualités physiques en doute, mais… non, en fait, carrément, tu as beau avoir un beau visage, tu as déjà eu un chiard, non ? Alors les seins qui pendent, les vergetures, la grossesse qui te reste dans les cuisses… tu comprendras que ça ne plaide pas en ta faveur, n'est-ce pas ? » [/b][/i]

Il sourit et ajouta.

« Tu vois, il y a autre chose que je voudrais comprendre… tu connais le nom, le prénom, les coordonnées de tous tes clients, sans être jamais passée par un intermédiaire ou un club ? Sans jamais avoir rien eu de similaire ? Sans aucune protection de ces gens contre les problèmes que tu pourrais leur causer ? Ça me semble un peu gros, non ? » [/b][/i]

Voilà, tout était dit. Ou presque...

« Tu comprendras donc qu'il va falloir tester la marchandise avant de définir précisément l'accord... » [/b][/i]

Sugar se contenta d'opiner du chef. Au fond, elle ne négociait pas avec Sugar, mais avec Gabriel. La petite frappe s'en remettait à son ancien chef de bande. À tort, peut-être, ou à raison, qui sait, dans tous les cas, Gabriel plongea ses yeux dans ceux de la quémandeuse et attendit. Qu'attendait-il ? Qu'elle montre un minimum qu'elle convenait à ce qu'elle proposait, peut être… après, difficile pour elle de garantir ce qu'elle proposait, non ?


25
Le quartier de la Toussaint / Re : Une soirée mouvementée (Gabriel)
« le: jeudi 08 octobre 2015, 21:06:53 »
Gabriel était fidèle à lui-même ! Toujours la même dégaine, effet pas rasé de la semaine, cheveux en bataille, air blasé d'un homme qui a eu peu de pot, et surtout, surtout, un bon verre d'alcool à la main ; En l'occurrence, une sorte de cocktail spécial avec des fruits bizarres qu'il ne connaissait pas… oh et puis il s'en foutait ! Ah, si, il y avait une petite chose qui changeait pas mal de d'habitude !  Vous savez, il avait les pompes de biker, le jean délavé par le soleil et par les intempéries et son trench coat en cuir renforcé aux épaules et au bras, mais cette fois, attention, il avait mis une chemise… ouais, c'était du Callie tout craché, ça… le faire craquer et lui changer deux ou trois éléments de sa garde-robe, lui faire un sourire à faire fondre un diamant et, après avoir glissé entre deux scènes plus chaudes qu'un porno haut de gamme de légers commentaires comme quoi ça lui irait bien, il se retrouvait ainsi, avec une chemise sur le dos en lieu et place de son éternel tee-shirt !

Bon, il l'admettait quand Callie avait le dos tourné : ça ne lui allait pas si mal. Mais hors de question de le reconnaître à voix haute ! Jamais !  Plutôt boire de l'acide ! Bon, oka, peut-être pas descendre à ce point… il dirait peut être que c'était pas mal avant… et la texture était très agréable ! Enfin bon, qu'importe, penchons-nous sur d'autres détails loin d'être dénués d'importance. Pourquoi était-il là au juste ? Une question qui est sans doute sur toutes les lèvres. Que faisait un flic, une racaille comme lui, ici. Ben, primo parce que c'était son quartier, deuxio parce qu'on lui avait dit qu'on se rinçait bien la bouche ici, et tertio trimo, parce qu'il était ici incognito suite à un tuyau anonyme !

Question de drogues, alors il était en couverture ici, comme un simple usager et s’il ne devrait pas être en train de picoler, il le faisait quand même !  Et tant pis pour les conséquences ! Il sourit, amusé, en entendant dans on oreillette une voix toute simple lui disant qu’il ne devrait pas faire ça… mentalement, il s'entendit insulter copieusement l'équipe en back-up. Il enfila son verre et le reposa sur le comptoir, c'était une merde infâme… alors il commanda un whisky et se tourna pour observer un peu le genre de morceaux de viande qu'il y avait dans le lieu… il y avait du bon… comme il y avait du mauvais… comme d'hab' quoi !

Il avait son verre à la main alors qu'il  échangeait un ou deux mots à peine poli avec son voisin de droite, il ne vit pas la jeune femme le bousculer, et même lui faire renverser le verre de whisky sur la chemise noire, il jura comme un véritable charretier avant de finalement regarder la personne qui lui avait fait faire cette bourde, la foudroyant du regard.

« Non mais tu pourrais pas faire attention !  Espèce de gourde ! » [/b][/i]

Ensuite il se tut. Elle était plutôt jolie, elle était même très belle, et il ne doutait pas qu'avec sa proposition d'un verre, ça pouvait être la moindre des choses, mais bon. Il grogna, grommela même son assentiment alors qu'il rajoutait.

« Encore heureux… un bon whisky... » [/b][/i]

Il se voyait déjà un peu boire à l’œil ce soir, avec en sus possibilité de prolongation horizontale (ou verticale) après. Elle n’était pas vilaine, en plus, pas de quoi concurrencer Callie, mais bon, pas mal du tout dans son genre !

26
préférait mettre de côté… ce n’était pas son genre, de base, mais alors pas du tout ! Alors autant vous dire que l'entendre réclamer d'y aller plus fort lui allait tout à fait, lui allait entièrement ! Il était ravi de l'entendre réclamer qu'il lui laboure les entrailles  à coups de reins. Car à force, c'était de cela  qu'il s'agissait, lui maintenir les hanches comme possible  malgré la douleur de son bras pendant qu'il allait et venait en elle, qu'il savourait l'étroitesse de moins en moins pressante de son fondement.

« Hm ! Tu vois !  Je fais. Respecter. La loi ! » [/b][/i]

Il continuait à aller de venir, brutalement, presque comme si son objectif était de lui « briser » les reins sous ses assauts. Il lui sourit, se penchant encore sur elle alors qu'il culminait en elle, savourant la sensation de la fouiller jusqu'à la garde pour lui mordre la nuque, lui mordre les épaules, laissant des traces de dents qui disparaîtraient vite, sauf une qui était plus rouge que les autres... un petit souvenir alors qu'il lui susurrait au gré de nouveaux coups de boutoir :

« Et. Et tu aimes. Bien. Payer. Ton du… à la société ! » [/b][/i]

Il savourait chaque petite chose, mais la sentir changer, se tendre, se mettre à crier au lieu de gémir, voilà qui était des plus ravissant à son avis, entendre par là que ça le ravissait, bien sûr ! Il lui fit un nouveau sourire avant de finalement sentir l'afflux de sensations qui annonçait, criait au monde sa propre jouissance, il  la ceintura brusquement, collant son bassin contre lui, son dos contre son torse, son autre main lui saisissant le sein, le serrant presque convulsivement, alors qu'il ne tiendrait vraiment plus longtemps, c'était là une question de secondes, de coups de reins, et pour finir, il semblait avoir décidé d'être encore plus violent, encore plus brutal étant donné la manière qu'il avait de faire les choses…

Ce ne fut pas long à venir. Alors qu'il émettait un grognement et une sorte de gémissement rauque, il jouit dans son fondement, la capote faisant obstacle au remplissage, vous vous en doutez bien ! Et se retira d'elle, la laissant s'effondrer au sol si elle n'avait pas la force de tenir sur ses genoux. Il ne la libéra pas de l'entrave des menottes sur ses poignets. Pas le courage… il se contenta  de retirer maladroitement – il avait les doigts un peu gourds et fatigués par cette séance d'amusement – son préservatif. Mais il ne le ferma pas avant de le jeter négligemment dans la poubelle qui n'était pas trop loin, non, il le garda à la main et se traîna, à quatre (enfin trois) pattes, à côté de la belle brune pour finalement lui mettre la capote pleine sous le nez.

« Il y a une dernière tâche à accomplir pour redevenir une bonne fille... » [/b][/i]

Il commença à faire glisser le liquide séminal vers le sol, à elle de se renverser pour avoir la bouche en dessous, à tendre assez la langue, ou à elle de lécher le sol, peu importe !

« Après avoir été enculée comme une chienne en chaleur, il faut finir les choses jusqu'au bout, c'est la moindre des choses, non ? » [/b][/i]

Il entendait par là récupérer tout le sperme, celui de la capote comme celui qui gouttait encore au bout de la hampe qui lui avait lacéré les entrailles…
Ouais, la secrétaire était sans doute un peu dans le cliché débile de celle-ci, même si elle était mignonne, elle n'était pas son type, sauf si il trouvait personne de mieux, auquel cas, lui dérider les conduits lui suffirait amplement pour se détendre un bon coup ! Mais bon, il doutait que ça ait jamais lieux, il tapait dans la gamme au-dessus en général… il ne se rabaissait pas à ce genre de fille si ce n'est en nécessité absolue ; Plutôt coucher avec cette femme qui l'accompagnait, et pourtant, a priori, ça ne le tentait pas plus que ça. Okay, elle était jolie mais bon, pas de quoi non plus lui faire dresser le chapiteau à sa simple vue, contrairement à d'autres, Callie ou Catie, pour ne pas les nommer.

Bref cessons de digresser, d'abord parce que la situation ne s'y prêtait pas., et ensuite parce qu'elle avait parlé de quelqu'un, une personne qu'il n'avait pas vu depuis des années et une personne qui avait été bonne avec lui, une sorte de clochard qui était un peu comme son grand-père, ça il s'en souvenait bien, il allait se planquer dans son conteneur désaffecté quand ça n'allait pas ! Et il était là, immuable, inchangé, adorable avec lui. Le bon papy que l'on voudrait tous avoir, même s'il n'avait rien de matériel à lui offrir, il lui avait tout donné, et Gabriel le savait. Qu'elle puisse le décrire lui fit douter. Il se mit à douter d'une chose, il se mit à douter qu'elle ne fasse que jouer la comédie quant à son don… il ne voulait pas trop y croire et pourtant… pourtant c'était foutrement troublant.

Il ne dit rien et resta silencieux, ses poings serrant le volant à s'en faire blanchir les phalanges alors qu'elle parlait….

Putain !

Il frappa le volant qui émit un bruit de klaxon, il avait frappé involontairement le klaxon avant de finalement  redémarrer, doucement. Pour qu'il roule doucement, il devait être sacrément perturbé… quand on le connaissait un peu, on le devinait…  finalement, quand il desserra les dents, il se contenta de deux mots, froids et clairs, des mots durs et bien plus sec qu'elle ne l'avait mérité.

« Ta gueule. » [/b][/i]

Il redémarra et alla se garer hors de la chaussée, sortit et alluma une clope, il avait besoin de se détendre et faute d'alcool, la nicotine suffirait peut être ? Il espérait, sinon, il grillerait tout le paquet, il verrait bien ! Mais là, il n'avait pas envie de parler, pas tout de suite. Il grilla une première clope à toute vitesse, comme s’il manquait d'air et qu'il en prenait d'un coup, de rapides goulées, et ce fut une fois la deuxième allumée qu'il parla, si elle était sortie avec lui.

« Mon père est un enculé fini doublé d'un ivrogne pas foutu de trouver sa bite pour pisser.  Et je n'ai pas de grand-père, quand on ne sait pas, on ne dit pas... » [/b][/i]

Il tenta de la foudroyer du regard, mais finalement il ne parvint qu'à lui donner un regard las et fatigué, comme si, en moins d'une trentaine d'année, il avait déjà l'impression d'avoir vécu trop de saloperies pour une vie entière ! Il avait bien donné sa part. Plus que sa part, même. Sur cette terre, il devait y avoir une putain de chanceux qui avait été ôté de sa part d'emmerdes, et peut être même plus d'un seul !

« Parfois, connaître un truc est une chose, mais le garder pour soi est une des rares sagesses que je connais, surtout quand elle concerne des pans de la vie des autres qui n'ont pas forcément envie de la partager. Je ne crois ni avoir parlé de tes dons de ta manière dont ils auraient pu influencer ta vie, ou autre… alors garde ce qui ne concerne pas l'enquête pour toi. Ne cherche pas à remuer la merde des autres inutilement. Surtout la mienne ou je te brise la mâchoire pour te forcer à te taire. » [/b][/i]

Il resta silencieux avant de lui lancer sur un ton qui semblait aussi sec que d'habitude mais qui avait les relents écœurants de la supplication pour qui aurait connu particulièrement bien Gabriel… d'un autre côté, rien que le s'il te plait mettait sur la voie, non ? Il soupira bruyamment et ne dit pas un mot sur le vieil homme. Qu'elle se mêle du tas de graisse qui lui servait de cul… bon, okay, c'était gratuit et méchant… et faux, aussi, mais bref.

« Allez, on y retourne. » [/b][/i]

Il retourna en bagnole et une fois tout le monde prêt, il reparti… il fallait vite boucler cette histoire ! D'abord parce qu'il le fallait, c'était son boulot, et ensuite parce que si elle commençait à sortir les squelettes du passé de Gabriel, il risquait vite de craquer nerveusement… elle l'avait déjà bien amoché comme ça, non ?

27
La douceur, la subtilité… deux mots qui laissaient un peu Gabriel dubitatif… ouais, ce n’était pas vraiment le genre de notions que Gabriel préférait mettre de côté… ce n’était pas son genre, de base, mais alors pas du tout ! Alors autant vous dire que l'entendre réclamer d'y aller plus fort lui allait tout à fait, lui allait entièrement ! Il était ravi de l'entendre réclamer qu'il lui laboure les entrailles  à coups de reins. Car à force, c'était de cela  qu'il s'agissait, lui maintenir les hanches comme possible  malgré la douleur de son bras pendant qu'il allait et venait en elle, qu'il savourait l'étroitesse de moins en moins pressante de son fondement.

« Hm ! Tu vois !  Je fais. Respecter. La loi ! » [/b][/i]

Il continuait à aller de venir, brutalement, presque comme si son objectif était de lui « briser » les reins sous ses assauts. Il lui sourit, se penchant encore sur elle alors qu'il culminait en elle, savourant la sensation de la fouiller jusqu'à la garde pour lui mordre la nuque, lui mordre les épaules, laissant des traces de dents qui disparaîtraient vite, sauf une qui était plus rouge que les autres... un petit souvenir alors qu'il lui susurrait au gré de nouveaux coups de boutoir :

« Et. Et tu aimes. Bien. Payer. Ton du… à la société ! » [/b][/i]

Il savourait chaque petite chose, mais la sentir changer, se tendre, se mettre à crier au lieu de gémir, voilà qui était des plus ravissant à son avis, entendre par là que ça le ravissait, bien sûr ! Il lui fit un nouveau sourire avant de finalement sentir l'afflux de sensations qui annonçait, criait au monde sa propre jouissance, il  la ceintura brusquement, collant son bassin contre lui, son dos contre son torse, son autre main lui saisissant le sein, le serrant presque convulsivement, alors qu'il ne tiendrait vraiment plus longtemps, c'était là une question de secondes, de coups de reins, et pour finir, il semblait avoir décidé d'être encore plus violent, encore plus brutal étant donné la manière qu'il avait de faire les choses…

Ce ne fut pas long à venir. Alors qu'il émettait un grognement et une sorte de gémissement rauque, il jouit dans son fondement, la capote faisant obstacle au remplissage, vous vous en doutez bien ! Et se retira d'elle, la laissant s'effondrer au sol si elle n'avait pas la force de tenir sur ses genoux. Il ne la libéra pas de l'entrave des menottes sur ses poignets. Pas le courage… il se contenta  de retirer maladroitement – il avait les doigts un peu gourds et fatigués par cette séance d'amusement – son préservatif. Mais il ne le ferma pas avant de le jeter négligemment dans la poubelle qui n'était pas trop loin, non, il le garda à la main et se traîna, à quatre (enfin trois) pattes, à côté de la belle brune pour finalement lui mettre la capote pleine sous le nez.

« Il y a une dernière tâche à accomplir pour redevenir une bonne fille... » [/b][/i]

Il commença à faire glisser le liquide séminal vers le sol, à elle de se renverser pour avoir la bouche en dessous, à tendre assez la langue, ou à elle de lécher le sol, peu importe !

« Après avoir été enculée comme une chienne en chaleur, il faut finir les choses jusqu'au bout, c'est la moindre des choses, non ? » [/b][/i]

Il entendait par là récupérer tout le sperme, celui de la capote comme celui qui gouttait encore au bout de la hampe qui lui avait lacéré les entrailles…

28
Gabriel était présent et ne semblait pas vouloir éviter de se faire remarquer ; Loin de là, même !  Il était du genre à se dire qu'il pouvait tout faire, n'importe où, n'importe quand, n'importe comment à n'importe qui !  Il sourit et regarda:la jeune femme qui le suivit avant de finalement avant de commencer à répondre à Sugar. Et sur un ton qui, de plus, ne plaisait ni à celui-ci, ni au ripoux juste derrière lui !   Il fronça les sourcils avant de sortir de sa ceinture  un opinel papillon avec lequel il se mit à jouer avec machinalement, une menace silencieuse… mais il se retint de prendre la parole pour rester silencieux… c'est Sugar qui prit la parole, particulièrement narquois.

« Résumons donc les choses… tu veux un coup de mai, en échange de dédommagement minimal,et ce coup de main vaut assez pour que tu viennes ici sans être accompagnée, comme pour un simple rendez-vous dans un parc… je dois avouer que je m'étonne que tu as un sacré culot ! »

IL se leva d'un bond, tendit le bras, pris la photo pour la regarder, puis le morceau de papier.  Il regarda les deux et haussa les épaules.

« C'est possible que je le sache, mais je ne sais toujours pas ce que j'y gagne… dans tous les cas, je te conseille d'appliquer ton propre conseil :  je te conseille de te la fermer quand tu ne sais pas à qui s'adresse… tu devrais apprendre à fermer ta jolie petite gueule d'ange. Ce mec, je lui dois la vie et plus d'une fois ! Ce mec, je donnerai ma vie pour lui… et s'il décidait de te rouer de coups, de te violer, puis de t’égorger en public que je le défendrai encore… quitte à faire en taule pour lui… alors c'est à toi, minette, de changer de ton ! »

Gabriel posa la main sur Sugar avant de finalement se racler la gorge et parler, calmement, mais avec une note de mépris.

« Merci, Sugar, c'est gentil de ta part, mais si je veux la faire changer de ton je n'ai pas besoin de toi, tu le sais... »

Il se tourna alors vers la quadragénaire.

« Bon, on va changer de registre. Tu veux des infos, de l'aide et tu as deux cerveaux pour en fournir, mais pour ça, il faut raquer, alors on attend une vraie proposition, pas juste une légère commission pour un truc qui compte assez pour toi car tu es là ! »

29
L'Art / Re : Galerie de la rousse ♥
« le: mardi 30 juin 2015, 15:41:38 »
Et ben !  Y a un sacré travail !  Ficelles de caleçon ! ^^

30
Il regarda la jeune femme et lui fit un sourire avant de finalement faire une moue déçue… bon sang, quelle erreur de la part de la jeune femme ! Il aurait adoré avoir cette possibilité :  malgré son âge avancé elle était encore foutrement bien conservée, la demoiselle… enfin, la dame… enfin, la poule tout simplement ! Bref, peu lui importait le nom qu'on lui donnait ! Il lui fit un sourire un petit sourire avant d'ouvrir la porte, faisant attention à ce que la jeune femme  laisse bien son sac derrière…

« Mais bien sur, poulette ! Allez, suis-moi ! »

Il ricana et se dirigea vers elle jusqu'à s'effacer pour lui présenter Sugar, assis sur une chaise, face au dossier. Impossible de se faire poignarder trop facilement ! Il détailla la femme du regard, appuyant son regard à certains endroits en particulier ! , vous vous en doutez bien ! Quoi de plus normal, elle était bien foutue !  Gabriel émit un léger reniflement méprisant !

« Allez, poulette, raconte donc à l'Anguille et Moi, Sugar, ce que tu veux, ma belle… et magne on a pas le temps de glander, alors j'espère que tu auras une bonne raison pour cette entrevue. Et aussi, j'espère que tu as un bon moyen de me convaincre de t'aider. Ouais, je sais pas ce que tu veux, mais on vient rarement vers moi pour exiger quelque chose… je me trompe peut être ? »

Il eut un air goguenard alors qu'il attendait en silence, et comme si cela ne suffisait pas, Valmy en mit une autre couche !

« Allez, accouche ! »

Pages: 1 [2] 3 4 ... 103