Dortoirs et douches / Re : Douche collective (Pv: Virginie)
« le: mardi 18 octobre 2011, 20:24:42 »-Tu as la peau très douce, Virginie. Tu es si jolie.... Je t'envie presque...
Autant je pouvais être un peu rose avant, autant là j'étais carrément devenue rouge vif sous l'effet du compliment charmeur de cette fille aux cheveux bleus. J'étais profondément gênée, non pas par la remarque en elle même, mais par mon état d'excitation qui avait décuplé en l'entendant. Était-ce cette adolescente qui me stimulait autant ? Je ne savais plus quoi penser, et faisait des efforts surhumains pour ne pas laisser mes mains me soulager. Ou bien la soulager elle ... mais à quoi pouvais-je bien penser !?
-Que dirais-tu après cette douche que l'on travaille ensemble, il y a un exercice que je n'arrive pas à trop pratiquer en ce moment et je suis sûr que tu pourrais m'aider. Je conduirai dans mon dortoir qu'on puisse prendre toutes les affaires utiles à cette tâche.
Je ne savais que répondre, toujours hébétée par son précédant compliment, et mes pensées encore occupées par mon bas ventre qui devenait de plus en plus sensible. Je bafouillais un bref "Oui, bien sur", troublée à l'idée de me retrouver seule à seule avec elle, dans sa chambre. Une idée en effet assez troublante, mais pas déplaisante... Je sentais bien que je ne pourrais pas tenir plus longtemps, j'avais une furieuse envie de me laisser aller.
A la demande de ma partenaire de douche, je commençais à lui savonner le dos, comme elle avait eu la gentillesse de le faire pour moi. Mes mains savonnaient doucement son dos, j'avais du mal à me concentrer autre chose que sur sa peau soyeuse qui m'attirait étrangement. Mes doigts descendaient doucement le long de son dos, jusqu'à atteindre sa cambrure, puis je continuais sur les cotés, mes mains se rejoignant ainsi sur son ventre au niveau de son nombril. Mon excitation était devenu incontrôlable, a tel point que je me fichais complétement de ce qu'elle pouvait penser de moi maintenant, le plaisir était le seul mot que j'avais en tête !
Une main continuait ses doux mouvements, remontant jusqu'à s'emparer de l'un des deux galbes de chairs de la lycéenne, que je massais avec une tendresse sensuelle, le pressant entre mes doigts. L'autre main était venu s'occuper de mon intimité qui bouillonnait d'impatience depuis déjà trop longtemps, que je caressais avec ferveur. Ma respiration était devenu haletante, mon souffle chaud chatouillait la nuque d'Azul. Je ne remarquais pas les regards lascifs lancés par les autres filles autour de nous, ni leurs mains qui caressaient ostensiblement la poitrine de leurs copines.
J'ai envie de toi, Azul ... j'ai tellement envie, là, maintenant ...
Je ne me contrôlais plus, je ne pensais plus, je me fichais complétement des conséquences de mes actes. J'entendais près de moi des gémissements érotiques, et un bref coup d'oeil aux alentours me fit comprendre que les autres filles avaient elles aussi succombées à leurs pulsions, et n'hésitaient pas à les satisfaire aux yeux de tous, parfois même avec leurs voisines. Loin de me perturber ou de me freiner, cela m'excitait encore plus, beaucoup plus même...