Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Virginie

Pages: [1] 2 3
1
Tout en bredouillant ses excuses, Virginie ramassait les habits tombés au sol. Pour sa part, la lycéenne portait l'uniforme scolaire, une jupe à carreau écossais, bleue et plutôt courte, lui arrivant un peu plus haut que mi-cuisse, de longs bas noirs montant presque jusque sa jupe, et un petit foulard bleu marine noué en cravate autour du cou, qui ne dissimulait pas grand chose du décolleté qu'offrait son chemisier blanc déboutonné en haut.

Dans la confusion, elle n'avait même pas encore jeté un coup d'oeil à la personne qu'elle venait de renverser. Et lorsqu'elle leva les yeux vers elle, l'adolescente ne pût s'empêcher de regarder avec fascination la robe de la jeune femme. *Waouh, c'est une très belle robe qu'elle porte ! Elle ne vient clairement pas d'un magasin de prêt-à-porter. Ce doit même être une robe de grand couturier...? Hum, elle est très moulante en tout cas, un peu trop je crois, on dirait qu'elle va remonter jusqu'à sa culotte... mais... HEIN !?*

La victime de sa maladresse l'aidait gentiment à ramasser ses affaires, et alors qu'elle s'était tournée pour prendre ceux derrière elle, Virginie pût avoir un bel aperçu de sa robe si moulante qui remontait jusque ses fesses, de la culotte qu'elle portait en dessous... et du gros paquet qui la déformait !
 
« Mais qu'est-ce que... » se dit-elle, à haute-voix sans s'en rendre compte.
 
Elle n'eut pas le temps d'analyser la situation, ni même de s'assurer qu'elle n'avait pas halluciné. La jeune femme l'entraina rapidement dans la cabine et referma la porte, sans lui laisser l'occasion de réfléchir ou de rétorquer, tout en la poussant vers le fond. A leur droite se trouvait un banc en bois, où l'on pouvait poser les vêtements en cours d'essayage, avec une penderie au dessus, tandis qu'à leur gauche se trouvait un miroir. La femme au regard améthyste bâillonnait Virginie d'une main, tout en la plaquant contre le mur, comme si un démon les poursuivait et qu'elles devaient à tout prix rester discrètes. Mais l'adolescente ne se débattait, et ne faisait aucun bruit. Elle était encore un peu sonnée par la situation, tout était allé très vite. C'était si soudain !
 
*Woh, woh, woh, qu'est-ce qu'il se passe ?*, songea-t-elle. *Pourquoi est-ce qu'on était là ? C'est quoi son problème ? Elle est fâchée parce que je l'ai bousculé ? Ou elle veut se cacher ? Qu'est-ce qui lui prends ?*. Tant de pensées qui lui venaient en tête, mais elles ne tardèrent pas à passer au second plan lorsqu'elle se rappela de ce qu'elle avait vu plus tôt. *Attends, mais tout à l'heure, j'avais pas rêvé. Entre ses cuisses, elle a... C'était bien un pénis que j'avais vu ? Cette bosse massive qui déformait sa culotte ? C'est un homme !? Mais, non, elle ressemble à une femme. Et elle a de beaux seins aussi. Pourtant... wow, il ou elle était quand même sacrément bien membré. Hum, mais c'est quoi ce délire !?*

Tout cela la perturbait beaucoup. Leur corps étaient toujours plaqué l'un contre leur, elle était très tentée de bouger un peu son genoux pour venir le lever entre les jambes de l'inconnue, afin de vérifier qu'elle n'avait pas halluciné. Mais elle n'osa pas. Et lorsque la jeune femme la libéra enfin, elle préféra garder toutes ces pensées pour elle. Virginie se disait qu'elle aurait l'air vraiment ridicule avec ses fausses affirmations et ses tentatives pour les prouver, si ce n'était pas vrai. Déjà que la situation était suffisamment embarrassante en soi.

« Je, hum, tout va bien ? Qu'est-ce qu'on fait ici ? C'est à cause de tout à l'heure ? Je suis vraiment désolée de vous avoir renverser, je ne vous avais pas vu en sortant de la cabine. Vous ne m'en voulez pas, j'espère ? » Elle enchaina innocemment, sans transition. « C'est une très belle robe que vous portez ! Superbe. Elle vous va bien ! Vous l'avez acheté où ? D'ailleurs merci d'avoir ramassé mes articles. Hum, je peux les ravoir ? »

2
C'était une journée d'école ordinaire, pour Virginie. Les cours s'étaient succédé, et comme à son habitude, la jeune fille n'avait pas été très attentive. Elle préférait largement discuter des derniers potins du lycée avec sa voisine, que d'écouter les explications sur l'ère Kamakura du japon féodale de son professeur, qui avait l'air lui-même assez vieux pour l'avoir vécu. Pouvait-on vraiment lui en vouloir ?

Elle poussa un soupir de soulagement lorsque la sonnerie retentit, annonçant la fin de son dernier cours de la journée. * Ah, enfin ! *, songeait-elle. Elle rangea rapidement ses affaires et suivit le flot d'élève hors de la salle, pendant que le professeur s'époumonait en essayant de leurs donner des devoirs. Virginie aurait tout le loisir d'y penser la semaine prochaine, mais pour l'heure, un peu de liberté lui ferait le plus grand bien !

Elle rentrait chez elle à pied, en compagnie de sa voisine de table, et de deux trois autre amies. Le trajet était agréable, les cinq copines discutaient joyeusement, et riaient, se mettant à jour sur qui sortait avec qui, ou qui ne sortait plus avec qui, et se moquant du manque de gouts vestimentaire qu'elles avaient remarqué aujourd'hui. C'était d'ailleurs à ce moment qu'elles passèrent devant une vitrine H&M, et Virginie tomba sur un joli top violet satiné aux épaules asymétrique, qui lui tapa tout de suite dans l'oeil.

Spoiler: Top (cliquer pour montrer/cacher)

Elle leur proposa alors une petite séance shopping avant de rentrer chez elles. L'idée était attrayante, mais elles finirent par refuser. Elles avaient déjà fait des folies la semaine dernière, et ne pouvait pas se permettre de remettre ça. Virginie, elle, n'avait malheureusement pas pu participer à cette razia, étant tombée malade à ce moment là. Un peu déçue, elle leur proposa alors de simplement l'accompagner, ce à quoi elles répondirent que la tentation serait trop forte , et qu'elles avaient déjà assez fait chauffer la carte bleue la dernière fois. La jolie brune fit la moue, contrariée. Elle se tourna vers la vitrine, quelques instants, et finit par craquer. Après avoir dit au revoir à ses copines, lycéenne entra dans le magasin. Faire du shopping toute seule était certes moins marrant, mais quand même sympa !

Virginie passa une bonne demi-heure à parcourir les rayons, et à prendre toutes les belles choses qui lui tombaient sous la main. Jupes, jeans, tops, gilets, tout y passait. Lorsqu'elle eu les bras remplis d'article, elle se dirigea vers les cabines d'essayage. Chacune des tenues qu'elle enfilait lui allait à ravir, mais elle commença à songer que ça faisait peut-être un peu trop pour son porte-monnaie, malheureusement, et qu'elle ne pourrait pas tout prendre. Elle passa alors une bonne dizaines de minutes supplémentaires à les essayer et réessayer, mais le choix était difficile. Virginie avait fini par opter pour le top qu'elle avait vu en premier, ainsi qu'un ensemble pyjamas gris assez simple mais tout doux pour lequel elle avait également craqué, et un jean noir classique, assez moulant au niveau des fesses et pas trop au niveau des jambes.

Spoiler: Pyjama (cliquer pour montrer/cacher)

Ses vêtements choisis, elle quitta la cabine, les bras pleins. Mais elle en sortit un peu trop vite, et n’eut pas le temps d'esquiver une autre femme qui passait juste à coté. Elle la heurta de plein fouet, et toutes deux tombèrent à la renverse.

« Ouch ! Oh excusez-moi, je ne vous avez pas vu, je suis vraiment désolée... »

Confuse et gênée, Virginie rougit et bredouilla des excuses, tandis qu'elle ramassait ses articles qui jonchaient le sol.

3
Salles de cours et bibliothèque / Re : Un premiers cours , inoubliable
« le: mardi 15 novembre 2011, 18:46:10 »
Les yeux entrouverts, Virginie suivait du regards les gestes un peu paniqués de Jinsha. Il fouillait l'armoire à pharmacie, en quête d'un remède à mon malaise, mais se rendit vite compte qu'il ne pouvait pas faire grand chose. Rien d'étonnant à ça, vue qu'elle faisait semblant du début à la fin ... Ce qui commençait à sérieusement la faire culpabiliser.

Elle se sentait même assez mal à l'aise, pas autant que ce qu'elle imitait, mais suffisamment pour la faire hésiter à révéler son subterfuge, ce qui l’inquiéta un peu. Comment réagirait-il ? Il serait furieux après elle, elle en était certaine, et elle ne tenait pas du tout à ce que ça arrive ! Peut être même qu'il refuserait de lui adresser la parole, détournant son regard, la méprisant autant qu'elle l'avait mené en bateau, et cette pensée l'attrista profondément ... Elle voulait bien s'entendre avec lui, pour une raison qu'elle ignorait pour l'instant, mais elle ne pouvait le nier. Perdre sa sympathie ... elle aurait beaucoup de mal à le supporter.

Elle était tiraillée entre deux alternatives, dans lesquelles elle serait perdante d'une manière ou d'une autre, dans les deux cas. Alors qu'elle réfléchissait à ce qu'elle pourrait faire, Jinsha s'approcha d'elle et posa doucement sa main sur son front, ce qui la tira de ses pensées, et la fit frissonner. Leur regard se croisèrent quelques instants, et chacun semblait perdu, ailleurs, immobiles durant ce moment plein de tendresse et de romantisme. Gênée, les joues rosées, elle ne put maintenir plus longtemps son regard, et baissa les yeux, tout comme lui ...

Virginie frémit subitement lorsqu'il caressa ses cheveux, dans un geste affectueux. Cette sensation, c'était si doux ... C'en était trop, elle ne pouvait plus le laisser plus longtemps dans l'ignorance. La lycéenne se redressa brusquement, et embrassa fougueusement Jinsha, enlaçant son cou dans une douce étreinte. La seconde qui suivit, elle le relâcha tout aussi vivement, visiblement gênée par sa réaction plus encore que le lycéen ne l'avait été. Penaude, elle finit par lui avouer, le regard fuyant.

Je suis désolée, je ... en réalité, je ne suis pas vraiment malade ...

Tentant tant bien que mal de se justifier, elle ajouta.

C'était le seul moyen que j'ai trouvé pour ... pour ... pour que l'on ai un petit moment d'intimité, rien que nous deux ...

4
Le soleil s'était caché derriere de grands arbres, ceux du parc qui se trouvait non loin de là. Dissimulé par leurs feuilles, il offrait un jeu d'ombre et de lumière assez agréable à regarder, d'autant plus que le vent en agitait vaguement les branches, ajoutant une touche de vie à ce spectacle. Au delà, le ciel était vide de toute présence nuageuse, affichant un bleu azur à perte de vue. Un vrai ciel d'été, qui donnait follement envie de sortir, se balader, prendre l'air ... se détendre et profiter de sa liberté, quoi. Mais certainement pas d'écouter son prof de bio rabâcher des histoires de chromosomes et de génotype sans queues ni têtes !

Virginie sentit sa voisine la tapoter accidentellement avec son coude, et elle détacha son regard de la fenêtre, abrégeant sa rêverie. Le professeur Alan poursuivait inlassablement son cours, dos à la classe pour pouvoir écrire au tableau les mots clés et parfois compliqués qu'il utilisait. Et sur ce chapitre, il y en avait énormément, à croire que c'était fait exprès pour emm.. enquiquiner le monde ! Dans un bâillement d'ennui, elle se tourna légèrement et regarda ce qu'Ayame faisait.

- Mais ... qu'est ce que tu fais ?
- Attends tu va voir, on va bien se marrer !
- C'est un avion que t'es en train de plier ?
- Ouais, un avion en papier.
- Attend, t'es sérieuse ? C'est un jeu pour les enfants !
- N'importe quoi, pfff, sois pas rabat-joie !
- Ouais, ouais, ouais ... enfin, fait gaffe à pas te faire choper quand même.

Avec des gestes vifs et précis, Ayame finit la conception de son avion. C'était loin d’être une œuvre d'art, mais ça pouvait planer, et c'était tout ce qu'elle voulait. Le faire planer et se marrer ... Virginie détourna le regard et se remit à contempler le ciel dégagé, à travers la fenêtre. La joue posé sur la paume de sa main, le regard perdu au delà de l'horizon, elle semblait profondément rêveuse ... Ainsi, elle ne remarqua pas qu'Ayame avait finalement lancé l'avion, visant un camarade à l'autre bout de classe. Le soucis, c'était que la trajectoire dévia "légèrement" de ce qu'elle avait prévu. L'avion réalisa un virage inattendu, pour finalement changer de cible. Et bien sur, il fallait que ça atterrisse sur la tête du professeur ...

Virginie ne s'en rendit compte qu'après avoir été tiré de ses songes par la réprimande d'Alan ... qui lui était adressée ! Elle se tourna vivement, et ouvrit de grand yeux outrés en entendant sa remarque. Elle protesta vivement, clamant son innocence, mais sans beaucoup de succès. D'un autre coté, elle était l'une des seules à avoir eu le regard ailleurs pendant la scène, ce qui faisait d'elle la suspecte privilégiée ... Voyant qu'elle n'arriverait pas à lui faire entendre raison, elle se renfrogna et s'enfonça dans sa chaise, les bras croisés, boudeuse, pendant qu'Ayame riait doucement de son malheur. Quelle peste !

5
Virginie écoutait avec beaucoup d'attention la réponse du médecin, les bras sagement croisés dans son dos. Et c'était avec une certaine déception qu'elle accueillit son verdict. Il ne comptait pas enfreindre les règles ... bien qu'il comptait réduire la durée au strict minimum, ce qui était très appréciable. Virginie gratifia sa remarque d'un sourire ravi, contente de voir que le médecin était également de son avis. Et le professionnalisme dont il faisait preuve la rassura un peu, aussi. Bah oui, comment se fier à un médecin qui distribuait des certificats à tour de bras, sans même effectuer les vérifications les plus basiques ?

Alors ... j'ai 17 ans, je dois mesurer 167cm, pour 58 kilo, environ ... enfin, il me semble ... je suppose que l'on peut prendre les mesures maintenant, n'est ce pas ?

La lycéenne s'approcha un peu du bureau, et laissa le médecin la mesurer, avant de la faire monter sur la balance. Les valeurs prises concordaient avec ce qu'elle prévoyait, elle ne s'était même pas trompée ! Les manières sympathiques du docteur la mettaient un peu plus en confiance, et réduisait de beaucoup l’appréhension dont elle faisait preuve quelques minutes plus tôt. Souriante, elle attendit patiemment la suite des événements, que l'homme ne manquerait pas de lui indiquer.

Son sourire s'effaça un peu, exprimant la gêne qu'elle éprouva lorsqu'il lui annonça qu'elle devrait se déshabiller et enfiler une nouvelle tenue plus adapté, qu'il alla chercher. Elle se sentait un peu mal à l'aise, mais réprima bien vite son embarras. C'était le genre de chose qu'elle allait devoir surmonter à la gym, de toute façon. Cependant, elle ne put s’empêcher de rougir de plus belle quand elle vit les vêtements disponibles. Le seul choix qui s'offrait à elle était un maillot de bain étonnement petit, et un ensemble de gym dont le haut semblait en assez mauvais état. C'était assez léger, comme habits, vraiment très léger même. Cela dit, c'était quand même mieux que de poursuivre l'examen médical en sous-vêtements ...

Ah, oui je vois ... c'est dommage, j'ai pas beaucoup de chance aujourd'hui on dirait ...

Virginie inspira un grand coup, comme pour se donner du courage, et finit par choisir la tenue de gym qu'il lui tendait. Encore un peu gênée par ce qu'elle allait faire, elle attendit timidement que le médecin lui tourne le dos, afin de la laisser se dévêtir tranquillement. Elle ôta tout d'abord sa robe, par le haut, et la déposa sur le dossier de sa chaise. Se retrouver en culotte et soutient-gorge en présence de l'inconnu ne la mettait pas très à l'aise, et elle se pressa d'enfiler le mini-short qui moulait les courbes fermes de son fessier, et le haut blanc duquel il manquait un gros morceau de tissu. Il était moulant lui aussi, et tellement court que sa poitrine généreuse le relevait jusqu'au niveau du bas de son soutient-gorge, dévoilant ainsi la totalité de ce que si se trouvait plus bas, la douceur de sa peau, son ventre plat, ses hanches alléchantes ...

Vo-voila, monsieur ...

Si l'on exceptait ses joues qui se teintaient progressivement de rouge vif, ainsi que le timbre de sa voix, timide et hésitant, Virginie semblait être assez sereine ... ce qu'elle n'était assurément pas. Gênée, elle attendait avec beaucoup d'impatience la suite de l'examen médical.

6
Virginie marchait faiblement dans les rues de Seikusu, sans même regarder où elle allait, les larmes aux yeux. A moins que ce ne soit les gênantes gouttes de pluies, qui s'abattaient sur son visage profondément affligé ? Sans doute les deux ... Toujours est-il qu'elle errait, sans but, dans les rues de la ville, que le soleil éclairait de moins en moins à mesure qu'il déclinait. Bientôt, très bientôt même, la lycéenne devra retourner à l'internat, si elle ne voulait pas rester bloquée dehors pour le reste de la nuit. Mais elle n'y pensait pas du tout. Dans l’immédiat, c'était loin d’être son plus gros souci ...

Quelques heures auparavant, elle avait fait une bêtise. Une grosse bêtise, même. Ignorant les mises en garde que sa conscience lui prêchait, elle n'écouta que son désir, cette intense sensation qui la poussait parfois à faire des folies. Et à s'envoyer en l'air avec un surveillant du lycée dans l'enceinte même de l'établissement, par exemple ... Ce qu'elle avait fait tout à l'heure, et qu'elle regrettait énormément maintenant. Elle détestait ses moments là, où elle perdait le contrôle de ses actes, et n'écoutait que ses instincts les plus primitifs au détriment de la moral ou du bon sens. Même si c'était tellement agréable de se laisser aller ...

Elle continuait à marchait, inconsciemment, jusqu'à ce qu'elle se rende compte que ses pas l'ont mené devant une église. Malgré le fait que ses parents étaient de confessions chrétiennes, elle ne s'était jamais vraiment intéressée à la religion. Peut être était-ce pour ça qu'elle avait si peu de volonté quand cela concernait le vice charnel ? Même si c'était un état passager, elle était désespérée, et serait prête à faire n'importe quoi pour changer ...

Elle entra timidement dans ce bâtiment sacré, sans grande conviction, mais avec la détermination de celle qui n'avait rien a perdre. C'était la première fois qu'elle entrait dans un lieu comme celui-ci, et il était tel qu'elle se l'imaginait. Au fond se tenait un autel, au dessus d'une estrade, sans doute le lieu depuis lequel le prêtre prêchait. Sur le chemin qui y menait, des bancs étaient disposées à droite et à gauche, sur lesquels des gens étaient assis et priaient. C'étaient les seules personnes qu'elle voyait pour le moment, et elle ne tenait pas à les déranger pendant leurs prières.

Confuse, Virginie ne savait pas vraiment quoi faire, et regarda longuement l'ensemble de l’intérieur, debout près de l'entrée, avant de se décider à s'asseoir sur le banc le plus proche. Elle cherchait des yeux quelqu'un à qui parler, ne serait-ce que pour se renseigner un peu sur la démarche à suivre, avoir un peu d'aide, mais il semblerait que personne ne soit libre et enclin à être dérangé. Elle baissa alors la tête, joignit ses mains devant son visage, ferma les yeux, et commença à prier à voix basse, avec ferveur et dévotion. Faisant abstraction de ce qui l'entourait, elle commença à prier Dieu, de lui pardonner ses écarts, de lui donner la force de résister face aux tentations, de l'aider à surmonter sa faiblesse ... Une larme, discrète, perla doucement sur sa joue ...

7
Virginie regardait le policier, impuissante et dépitée. Elle était comme piégée par cet homme, qui disposait d'un indéniable avantage sur elle, et elle ne pouvait rien y faire. Il avait non seulement ignoré sa demande, qui était tout de même raisonnable, mais il l'avait en plus accompagné d'un large sourire. On aurait dit un sadique, qui se plaisait à la tourmenter ...

Alors qu'elle commençait à réfléchir sur un moyen de s'échapper, elle sentit l'homme lui passer les menottes ! Elle n'avait plus aucun moyen de s'échapper ... Elle regardait autour d'elle, légèrement paniquée, elle ne savait plus quoi faire et refusait de le laisser être le maitre de la situation. Le policier la força à entrer dans sa voiture, qu'il gara dans un cul-de-sac à l’abri des regards indiscrets, avant d'en faire de même avec celle de Virginie. Ils étaient maintenant seul, en tête à tête, et elle se rendait compte que même si l'idée de se soumettre à l'autorité du flic lui déplaisait, elle n'avait pas vraiment le choix ...

Il libéra peu de temps après la lycéenne, qui semblait entraver ses mouvements, avant de sortir une cigarette de son paquet. Il lui en proposa une, avant d'allumer la sienne et de lui indiquer où est-ce qu'il rangeait ses bières. Il pensait vraiment qu'elle allait sagement lui obéir ? Elle n'était pas sa serveuse !

Non merci, je ne fume pas. Et je ne bois pas non plus, alors si vous voulez une bière faudra aller la chercher vous même !

Elle réfléchit quelques instants. C'était louche, cette affaire là ... Il conservait de l'alcool dans sa voiture ? Et dans l’immédiat, était-il sobre ou ivre ? Elle laissa ses réflexions de coté pour le moment, préférant se concentrer sur une tentative pour échapper à l’inévitable. C'était pas gagné ... Elle était tellement impatiente que tout cela cesse, qu'elle puisse rentrer chez elle sans encombre ! Mais cet homme froid et égoïste préférait la garder avec lui, pour lui tenir compagnie ... Quelle fripouille !

« Après, je dirai bien que si vous êtes sage on pourra négocier un départ plus tôt, mais n’espérez pas passer peu de temps ici. »

Ses yeux écarquillèrent aussitôt, illuminés par une lueur d'espoir. Elle allait peut être pouvoir s'en tirer ! Mais son optimisme se refroidit bien vite lorsqu'elle entendit qu'il lui faudrait négocier. C'était en effet trop beau pour être vrai, surtout si elle continuait à être aussi froide avec lui. Et elle se demandait bien ce qu'ils pourraient "négocier" ... De toute façon, la première chose à faire était surement de lui faire plaisir, étant donné que c'était lui qui tirait les rennes, à commencer par faire preuve d'un peu plus d’obéissance ...

A contrecœur, elle lui tendit les papiers demandés. Elle était impatiente d'en finir au plus vite !

Oui, oui, bien sur ... Tenez, les voilà, monsieur l'agent ... s'il vous plait, je serais aussi sage que vous le voudrez, mais je ne peux vraiment pas rester aussi longtemps ... s'il vous plait !

8
Virginie montait tranquillement les escaliers qui menaient à l'infirmerie, non sans éprouver une certaine appréhension. Ou plutôt, un certain agacement. Elle qui pensait qu'elle aurait pu se passer de cette visite, c'était raté ...

En fait, à la demande de son professeur de sport, elle devait apporter un certificat médical valide pour pouvoir être inscrite à la gymnastique. C'était des séances extra-scolaires, auxquelles elle aimerait bien participer ... mais elle aimerait aussi éviter d'avoir à passer ces examens médicaux fastidieux et inutiles. Elle était apte à pratiquer, elle le savait ... Et malgré le fait qu'elle comprenait la nécessité d'avoir une garantie écrite concernant son état de santé, elle ne pouvait s’empêcher d'en soupirer de lassitude.

Tant pis, elle devait le faire, et elle espérait que le temps passera suffisamment vite. Le bon coté des choses, c'était que le médecin du lycée pouvait délivrer ce genre de document, et qu'elle n'aurait pas à aller en consulter un à l’extérieur, en ville. En plus, ça lui permettrait de s'arranger pour passer pendant l'un de ses cours, lui évitant ainsi l'ennui mortel d'une de ses heures de maths. Un peu léger quand même, pour un bon coté, mais bon c'était mieux que rien ...

Elle arriva enfin jusqu'à la porte de l'infirmerie. Malgré qu'elle soit à l’intérieur du bâtiment, elle sentit une surprenante brise la faire frissonner, à travers le tissu blanc et léger de sa robe. Au moment où elle leva sa main pour frapper à la porte, elle entendit des bruits étranges de l'autre coté. Comme si ... quelqu'un était tombé ? Elle attendit quelques instants, se demandant si elle avait réellement entendu quelque chose ou si ce n'était que le fruit de son imagination ... Elle en vint finalement à la conclusion que ce n'était sans doute rien, et elle frappa a la porte, avant d'entrer dans la salle, souriante.

Bonjour, Docteur !

Après l'avoir salué d'une légère courbette, comme il était d'usage au japon, elle poursuivit.

J'aimerais pouvoir assister aux cours de gymnastique, mais pour ça j'aurais besoin d'un certificat medical ... Vous pourriez m'en donner un, s'il vous plait ?

Virginie fit la moue, pensive. Elle se demandait s'il valait mieux qu'elle en reste là, ou qu'elle tente de sauter les étapes des différents examens auxquels elle devrait être soumise. Elle n'avait rien à perdre à essayer, après tout.

Je sais que pour ça vous devez me faire passer différents tests et m'examiner en détail, mais ... enfin, vous voyez, je sais que je suis apte à pratiquer la gym, alors on gagnerait tout les deux du temps si l'on omettait ces étapes un peu superflues, vous ne pensez pas ?

9
Salles de cours et bibliothèque / Re : Un premiers cours , inoubliable
« le: jeudi 10 novembre 2011, 19:01:33 »
Allongée sur le sol, elle entendit clairement le cri apeuré d'une de mes camarades de classe, sans doute choquée de me voir perdre connaissance. De plus, le professeur s'était tu, suivi par l'ensemble de la classe, avant qu'un vague brouhaha d'angoisse ne commence à s’élever un peu partout. Virginie souriait intérieurement, son manège était des plus crédible, et tout marchait comme sur des roulettes.

Elle sentit soudain les bras de Jinsha la soulever de terre, et la serrer contre lui. Elle avait l'impression d’être un bébé qui se fait bercer, c'était assez amusant. Surtout lorsqu'il commença à courir en portant Virginie, avec un sang froid et une détermination qu'elle ne pouvait qu'admirer. Elle en vint même à se sentir un peu coupable de lui faire croire qu'elle était inconsciente ... Mais elle ne pouvait pas faire marche arrière de toute façon, alors elle tenta de ne plus y penser.

C'est avec un certain soulagement qu'ils arrivèrent enfin à l'infirmerie ... pour se rendre compte qu'elle était en fait vide ! Ce qui ne semblait pas prendre le jeune homme au dépourvu, qui la déposa avec douceur sur le lit le plus proche. S'installant à ses cotés, il tenta de reprendre contact avec elle, mais sans succès. Elle feignait toujours l'inconscience, et ne répondait pas à ses appels, malgré l'angoisse et le désespoir qu'elle percevait dans sa voix. Il devait certainement beaucoup s’inquiéter à son sujet ...

Cependant, l'attention qu'il semblait lui porter était vraiment agréable, une telle bienveillance à son égard la faisait fondre de satisfaction ... Dont elle fut tirée lorsqu'elle l'entendit composer un numéro de téléphone, à coté d'elle, ce qui commença à la faire légèrement paniquer. Que comptait-il faire, appeler l’hôpital ? Non, il ne fallait pas, cela ne devait pas prendre une telle ampleur ! Elle réfléchit à toute allure, tenta de trouver un moyen de le faire cesser, en évitant si possible de lui avouer qu'elle faisait semblant ...

Virginie ouvrit progressivement les yeux, avec difficulté, comme si elle venait de sortir d'un long coma. Elle vit Jinsha, concentré sur le numéro qu'il tapait sur son téléphone. Elle n'avait plus le choix ... Subitement, elle se mit à tousser, assez fort, comme si elle venait de boire la tasse. Alternant entre crise de toux et hoquet, elle souffla d'une voix faible.

Jinsha, je ... j'ai du mal à respirer ...

10
Les alentours de la ville / Re : ~ Folle nuit au bar ~ (Pv)
« le: vendredi 04 novembre 2011, 21:30:57 »
N'ayant plus la tête sur les épaules depuis déjà quelque temps, en proie aux effets entêtant de l'alcool, Virginie ne se souciait plus de rien. Elle continuait à se déhancher sans retenue, avec toute la folie dont l'adolescence l'avait gâtée. Ses seins ballotaient librement aux rythmes des mouvements de son bassins, visiblement heureux d'avoir quitté leur étroite prison de tissu et de dentelle, pendant qu'elle embrassait du regard l'ensemble des hommes qui ne perdaient pas une miette du spectacle alléchant qu'elle leur offrait.

L'un d'eux d'ailleurs ne tarda pas à s'approcher d'elle, si excité qu'il ne pouvait plus contenir son envie de toucher cette stripteaseuse du moment, sans doute. Mais avant qu'il n'atteigne sa cible, un puissant coup de poing le percuta et il s'étala de tout son long sur le sol, sous les rires moqueurs des autres spectateurs, qui retournèrent ensuite leur attention sur le fessier galbé que Virginie leur présentait, en le caressant sensuellement à travers sa jupe qu'elle remontait peu à peu. Les cris et sifflements fusaient, de même que les encouragements tantôt pudique et tantôt salace. Des réactions qui la motivaient à pousser le bouchon un peu plus loin...

Dit donc, monsieur, c'est pas très gentil ça...

Dit-elle, à peine quelques instants plus tard, montrant d'un signe de tête l'homme qui ne s'était toujours pas relevé depuis tout à l'heure. Malgré tout, la jeune femme n'était pas complétement déconnectée de la réalité, et avait très bien entendu et assimilé la remarque du boxeur. Elle s'accroupit alors devant lui, le regardant droit dans les yeux, un sourire amusé sur le visage. Elle n'avait pas remarqué que dans cette position, tout le monde avait une vue époustouflante sur ce qui se trouvait entre ses cuisses, un string noir qui épousait les formes de son intimité, un peu trop fin pour la dissimuler entièrement. De toute façon, ce n'était pas ce qui allait la déranger... Elle lui chuchota alors, faiblement, pour éviter d’être entendue.

D'autre moyen ? Je demande à voir...

Elle finit sa tirade en lui adressant un clin d'oeil complice, toujours le sourire aux lèvres. C'est à ce moment là qu'elle entendit un autre homme s'exprimer de vive voix, un peu plus loin, acquiesçant et renchérissant même à ce qu'il venait de dire. Virginie ouvrit la bouche, comme pour demander quelque chose, puis se ravisa. Elle tenta ensuite de descendre, mais chaussée dans ses escarpins elle avait déjà assez de mal à tenir en équilibre, et elle finit par s’écrouler lamentablement. Sa chute fut bien amortie, elle tomba en effet sur l'homme aux poings d'acier à qui elle parlait quelques instants plus tôt, qui était assis sur une chaise. Sa poitrine toujours nue se retrouva juste au niveau de sa tête, qu'elle entourait presque, tandis que ses cuisses se trouvait de part et d'autre des hanches de l'homme. Une position des plus suggestives, qui soutira de nouveaux cris aux hommes du bar.

La première chose qu'elle remarqua fut qu'il était... dur. Pas par rapport à sa virilité, enfin pas vraiment, mais en général. Il semblait en effet étonnement musclé, plus que ce à quoi elle s'attendait, ce qui la surprit un peu, agréablement à vrai dire. Avec une simplicité d'esprit affolante, elle gloussa :

Houps, désolée, hihihi !

Avant d'ajouter sur un ton un peu plus sérieux, mais toujours aussi espiègle.

Effectivement, je crois bien qu'il est temps pour moi que l'on me place en lieu sûr... Pourriez-vous m'y accompagner, messieurs ? Je doute d’être en mesure d'y parvenir seule...

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Le parc et son sous-bois / Re : La belle et la bête ♥
« le: vendredi 04 novembre 2011, 21:24:54 »
Virginie se trouvait toujours à quatre pattes après être tombée, exhibant ainsi à son agresseur monstrueux une vue splendide sur l'ensemble de sa croupe. On aurait dit qu'elle la lui offrait, qu'elle réclamait qu'il s'en occupe... mais il n'en était rien. Elle n'eut pas le temps de se lever que déjà l'homme-loup fondit sur elle, écrasant ses chevilles sous ses pattes velues. Prendre la fuite ? Inutile d'y songer, maintenant. Elle poussa un perçant cri de surprise paniquée lorsque son sous-vêtement fut arraché d'un simple coup de griffe, qui érafla la chair dodue de ses fesses au passage, et la fit intensément frémir...

Le museau humide de la bête vint effleurer la fleur de féminité de la jeune brune, ce qui lui soutira un nouveau cri et de nouveaux frissons, pour les même raisons que précédemment, en plus du fait que cela stimulait agréablement ses sens... Mais ce n'était pas une raison pour qu'elle se laisse faire ! Pendant qu'il continua de humer l'intimité dénudée qu'il avait sous le nez, Virginie tentait de se débattre de son emprise, jouant des hanches et des genoux pour lui faire lâcher prise. Sans succès, elle était prise au piège...

Pitié, n... non... laisse moi...

Une plainte chuchotée, presque inaudible, comme les dernières volonté d'une suppliciée. Peu avant qu'elle ne commence à gémir, un puissant râle qui résonna tout autour d'eux dans la foret. Suivi d'un autre, qu'elle parvint cette fois ci à atténuer en se mordant les lèvres. La langue de l'homme-loup avait quitté sa prison de crocs aiguisés, pour venir goutter à la douceur de ces autres lèvres qu'il reniflait quelques instants plus tôt. Une succession de gémissements étouffés suivirent chacun de ses intenses coups de langue qui harcelaient son intimité. Virginie continuait de se débattre, mais avec beaucoup moins de zèle, sa combattivité étant fortement attendri par l'excitation qui se diffusait peu à peu dans l'ensemble de son corps, qui la faisait gémir et haleter, qui la faisait frémir et chanceler... C'était tellement doux, tellement bon, qu'elle était perdue, et ne pouvait plus réfléchir correctement.

Ca... Aaaaah... ça suffit... Laisse moi tranquille !

Dans un ultime effort de volonté, elle se cambra et poussa en arrière avec ses hanches, enfonçant le museau de l'animal plus en avant dans son intimité. Virginie poussa un énorme cri de plaisir, qu'elle ne parvint pas à refréner même en se mordant férocement la lèvre inférieur. Surpris, la bête se recula brièvement, relâchant légèrement la pression sur les chevilles de la jeune femme, tout juste ce qu'elle espérait. Elle effectua une roulade en avant, et profita de l'élan de son mouvement pour assener un puissant coup de talon sur la mâchoire de son agresseur ! Virginie pensait qu'il devait sans doute être étonnée de son agressivité, et sonné par le choc reçu, mais elle ne prit pas la peine de le vérifier et se releva avant de courir, courir le plus loin possible, le plus vite possible, sans se retourner. Elle ne pensait qu'à une chose : échapper aux griffes de ce monstre.

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Au volant de sa voiture, Virginie roulait tranquillement sur les routes de Seikusu. Une simple balade, comme elle en faisait régulièrement ces dernières semaines. Le permis de conduire fraîchement obtenu, elle prenait beaucoup de plaisir à rouler, en totale liberté. C'en était même à la limite grisant. En plus, ça lui permettait de se parfaire, et d'affiner ses réflexes de conductrices, alors pourquoi se priver ? Peut être parce qu'elle n'avait pas de voiture, en fait...

Elle était actuellement au volant de la voiture de sa mère, qu'elle lui empruntait souvent, et parfois sans son aval, comme c'était le cas aujourd'hui... Le mobile de Virginie, rangé dans son sac à main, sonna soudainement, ce qui la surprit quelque peu. Elle y plongea sa main et fouilla, afin de le récupérer, alternant avec précautions les coups d'oeil entre le sac et la route, mais elle ne remarqua pas que le feu tricolore était passé au rouge...

Han ! Zut !

Elle avait grillé inconsciemment le feu au moment où une voiture arrivait, et elle l'avait malheureusement emboutie. C'était tout de même assez léger, pas de quoi s'affoler, en théorie. Le problème était que ce n'était pas sa voiture ! Paniquée, elle sortit en trombe du véhicule, voulant s'assurer qu'il n'était pas accidenté, et elle fut profondément soulagée de voir que la sienne n'avait visiblement rien... Un soulagement de courte durée.

« Police, papiers s’il vous plait ! »

Elle ouvrit de grand yeux, surprise et très contrariée. C'était une voiture de police qu'elle avait abîmé ! La panique la gagna à nouveau, ennuyée à l'idée d'avoir une amende, un retrait de permis... Ou pire encore ?

Je suis vraiment, vraiment, VRAIMENT désolée monsieur l'agent !

Il lui présenta un alcotest, dans lequel elle souffla sans poser de question, docile. Elle était sobre, et n'avait rien à cacher, sans compter qu'il valait mieux ne pas contrarier le policier. Mais même malgré ça, il lui annonça qu'elle resterait encore quatre heures avec lui...

Qua... Quatre heures ??!!!

Elle ne pouvait pas se permettre de rester autant de temps avec lui, pas en sachant que sa mère risquait de rentrer dans moins de deux heures. Et elle devait déposer sa voiture devant chez elle avant cette échéance, ou bien ça allait chauffer pour elle ! Virginie était quand même dans de beaux draps, là...

S'il vous plait ! Je ne peux pas rester aussi longtemps avec vous... j'ai beaucoup de choses à faire, et, ma famille m'attend...

Elle lui adressa un regard peiné, implorant, comme pour mieux l'attendrir et lui faire abandonner cette idée de la garder aussi longtemps. Ou tout du moins réduire le délais, c'était l'essentiel. Ses excuses n'étaient que des mensonges éhontés, mais elle tenait à tout prix à éviter d'arriver en retard chez elle, vraiment...

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Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Une nuit au lycée ...
« le: vendredi 21 octobre 2011, 20:03:50 »
Mes lèvres poursuivaient leur tache, celle d'offrir à ce lycéen un agréable moment, non mieux, un intense moment de plaisir, et elles s'y attelaient avec un enthousiasme enivrant. Sa verge luisante et humide glissait sans problème dans ma bouche, qui alternait entre descente et montée sur toute sa longueur, à un rythme impétueux. Mes lèvres ne restaient jamais en place, constamment en mouvement, stimulant sans cesse la sensibilité du jeune homme. Ma langue s'enroulait autour de son délicieux membre, que je léchais à chacun de mes mouvements avec une envie folle ! Je me permis de ralentir la cadence lorsque sa langue se mit à s'agiter elle aussi, léchant mon intimité excitée.

Mmmmh ...

Quelle sensation agréable ... Sa langue caressait avec soin la frontière qui séparait mes deux lèvres vaginales, doucement, c'était très excitant ! Il la franchissait de temps à autre, brièvement, léchant plus en profondeur mon intimité avant de se retirer en douceur, pour mieux me faire languir. Je profitais de chacune de ses intrusions pour me déhancher sous ses yeux, et apprécier au mieux les fabuleuses sensations de sa langue dans mon intimité, j'en devenais folle !

De plus en plus excitée, je continuais à déguster son membre avec plus de fougue, accélérant davantage le rythme de mes va et viens. Mes lèvres glissaient sur sa verge, que je suçotais avidement, quand soudain un étonnant incident me freina dans mon élan. J'étais venue à bout de l’endurance du jeune homme plus vite que je ne pensais, et sa semence avait subitement jaillit de son sexe excité. J'avais été prise par surprise ... mais ce n'était pas désagréable. C'était même vraiment plaisant... Son liquide chaud et doux avait inondé ma bouche, et je repris lentement la fellation, tout en avalant au fur et à mesure ce savoureux nectar ...

Après en avoir terminé, je relevais lentement ma tête, jusqu'à finir par lécher le sommet de son membre vigoureux. Un sourire discret éclaira mon visage, qu'il ne pouvait pas voir, tandis que je léchais le reste de sa semence qui s'était échappée de la commissure de mes lèvres. Sa langue n'avait pas faibli, et poursuivait ses mouvements, caressant agréablement et sans retenue mon intimité. C'était très excitant ... ça l'était même trop ! Je n'en pouvais plus, sa langue ne me suffisait plus ... Le désir de sentir sa verge se faufiler en moi était de plus en plus intense, faisant naitre en moi un insupportable sentiment de frustration ! J’espérais qu'il soit encore assez en forme pour la suite ...

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Un premiers cours , inoubliable
« le: jeudi 20 octobre 2011, 17:41:02 »
Bien Maitresse.

La voix douce et suave de Jinsha parvint aux oreilles de la lycéenne, qui n'attendait que ça. Les joues du jeune homme était devenu légèrement rose, au moins autant que ceux de Virginie. C'était la première fois que quelqu'un la traitait ainsi, et elle en était un peu gênée. Mais ce n'était pas désagréable du tout, au contraire. Elle se sentait supérieure, elle se sentait comme une princesse que son prince charmant venait servir, et c'était une situation très plaisante. Elle fut encore plus gênée lorsqu'il prit sa main pour l'embrasser, avec un romantisme rare, avant d'ajouter sur le même ton doux qu'elle appréciait.

Que désirez vous aujourd'hui Maitresse?

Ce qu'elle désirait ? Cette question la tira des nuages sur lesquels elle s'était installée. Virginie se mit à réfléchir concernant ce qu'elle souhaitait. Elle n'y avait jamais songé, et ne savait pas vraiment comment pouvoir profiter au mieux d'une telle situation. A moins que ...

Ses paupières se mirent à battre frénétiquement, et quelques secondes plus tard elle perdit l'équilibre et bascula de sa chaise, qui tomba au sol avec fracas, en même temps qu'elle. Elle n'avait pas vraiment perdu connaissance, mais faisait semblant à la perfection. Ce n'était pas la première fois qu'elle usait de ce stratagème, pour diverse raisons, et elle avait appris à peaufiner sa technique au fur et à mesure. Le plus dur, c'était de supporter le choc, et mais celui ci avait été plutôt léger, elle n'était pas tombée de très haut. La carrelage était néanmoins assez froid, et désagréable, mais c'était supportable. Autant que le fou rire qu'elle s'efforça de contenir en entendant une camarade crier nerveusement lorsqu'elle la vit étalée au sol.

Une princesse en détresse à sauver, quoi de plus charmant ? Et puis, cela abrégerait certainement le cours insipide qui avait lieu, ce qui était assez appréciable, autant pour elle que pour ses camarades. La cerise sur le gâteau ! Il restait à voir comment le serveur allait réagir face à une telle situation ...

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One Shot / Re : Cat and the Maiden (Virginie)
« le: jeudi 20 octobre 2011, 17:08:15 »
Le dieu félin avait répondu à leur provocation, avec un calme arrogant. Il se déplaçait à une vitesse inhumaine autour d'eux, évitant de s'éloigner des zones d'ombres pour mieux se dissimuler. Les griffes sorties, il ne leur ferait pas de cadeau ... Il était clair qu'en duel, Shykiotsume n'aurait eu aucune peine à terrasser son adversaire, la différence de puissance était visible. Mais là, c'était un groupe entier qu'il devait affronter. L'issue serait-elle différente ?

Espèce d'enfoiré ! Viens te battre en face si t'es un homme !

Shykiotsume n'avait pas attendu pour foncer sur l'un des hommes, et planter ses griffes dans sa nuque, la brisant sur le coup. Il était retourné dans l'ombre avant même que le corps sans vie ne s'effondre au sol, ce qui avait rendu les loubards encore plus furieux. Virginie était terrorisée, elle s'était cachée derriere le tas de sac, jetant parfois des coups d'oeil à la scène pour voir comment cela se présentait. Elle n'osait pas agir, et ne le pouvait de toute façon pas. Elle se sentait bien faible, et se contentait d'éviter d'attirer l'attention sur elle pour le moment.

-J'ai un meilleur marché à proposer ... demandez pardon pour m'avoir traité de bouffon et elle, de pute et je vous laisse la vie sauve.

Deux des voyous prirent des chaines en acier, longue de près de quatre mètres, qu'ils faisaient tournoyer autour d'eux, menaçant de frapper de plein fouet l'insolent terranide qui se jouait d'eux. Il était ainsi obligé de garder ses distances. Cependant, à chaque tentative pour se rapprocher les chaines ne faisait que le frôler, esquivées avec une grâce féline, surnaturelle. Mais il ne pouvait pas s'approcher de trop près pour autant. Trois autres avaient ramassé une épaisse barre de fer chacun, bien décidé à ne pas rester les mains vides. Ils restaient un peu en retrait, attendant le moment propice pour passer à tabac l'intrus qui avaient pénétré dans leur territoire.

Un hurlement retentit dans l’entrepôt, bien vite étouffé. Virginie venait de se retrouver nez à nez avec les deux hommes restants, et celui qui semblait être leur chef plaqua sa main contre la bouche de la jeune femme pour l’empêcher de crier à nouveau. Elle était toujours nue, et l'autre homme l'avait prise par derriere, son bras musclé entoura la taille de Virginie et la bloqua contre lui. Elle était impuissante, elle gesticulait dans tout les sens pour tenter de s'extirper, en vain, pendant que la deuxième main de l'homme commençait déjà à jouer avec sa poitrine généreuse. Après avoir calmé les réticences de la jeune femme d'une gifle retentissante, le chef cria suffisamment fort pour être entendu par tous.

Hey le bouffon, mate ça ! Tu ferais mieux d’arrêter de faire le malin, si tu veux pas qu'il arrive de bricole à ta gonzesse, si tu vois ce que je veux dire !

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