Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lana Dubravka

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Centre-ville de Seikusu / Besoin vital... Besoin mortel (PV Alex Sanderson)
« le: mercredi 11 juillet 2018, 13:07:14 »
Sans doute sera-ce une journée sans nectar. Heureusement, je sais doser mes besoin, et je sens quand le manque va bientôt se manifester. Ça ne m’est heureusement arrivé que très rarement de souffrir du manque à me jeter sur le premier humain qui passe, fut-ce au mépris du risque. Mais mon corps se tordait tellement de douleur, qu’il me fallait à tout prix l’abreuver.

J’aime autant quand se prépare toutefois le prélèvement. Je ne sais si c’est un vice, mais j’apprécie d’autant plus, quand je cumule cela avec le plaisir sexuel. Inutile de me traîner chez un psy ! Je ne suis plus tout à fait humaine ; il ne pourrait pas comprendre, mais, au contraire, risquerait de m’attirer par son nectar.

Voilà deux jeunes qui entrent, à présent. Costume impeccable, voix discrètes, mes pensées s’envolent. Un plan à trois, leurs deux sexes en moi, leurs deux nectars alternés, une vraie orgie !
Mais je redescends brutalement sur terre, quand un « Bonjour » interrompt mon rêve. Je déteste ça ! Surtout quand un mièvre « ça ne vous dérange pas (…) » y fait suite. Là, je vomis ça, carrément.

Je quitte mon rêve, j’ouvre les yeux, furieuse. Je ne l’ai même pas entendu arriver, celui-là. Et que ses potes le surnomment Nick, je m’en tape. Par contre, son alliance, il ne peut pas la cacher, comme tous ces individus qui trompent bobonne en cachette. Tiens, je leur rendrais presque service, à ces épouses délaissées, à les débarrasser de leur mari volage, peu performant, et moche.

Celui-là, dès le premier regard, n’est pas tout à fait dans la même catégorie. Il pense peut-être aussi mal que ces goujats, il va peut-être même me faire le coup du « nous sommes un couple libéré » ou du « je vais quitter ma femme ». Mais, sa vie privée, je m’en moque, si les billets sont là, et si le nectar est bon. De toutes façons, il ne la reverra plus, sa femme, alors…

N’empêche qu’un mec qui me tend la main, surtout élégant dans la trentaine, presque beau gosse en fait, ça n’arrive pas tous les jours. En général, c’est plutôt le lourdaud genre « c’est combien pour la totale ? ». Sauf quand c’est moi qui susurre un délicat « laisse tomber tes dossiers, l’hôtel est juste à côté », en laissant suffisamment remonter ma jupe pour deviner la naissance d’un bas.

Celui-là, il est mignon, tous comptes faits, et j’imagine déjà ces jolis traits se crisper de stupeur et de douleur, alors que la mort emporte cette enveloppe charnelle, et que je jouis enfin de m’abreuver. Quoique, s’il n’est pas trop moche ici, il ne doit pas être trop mauvais au lit, et ce serait agréable de faire coup double, une bonne baise et une bonne saignée.

N’empêche que c’est mal barré, parce qu’un joli mec qui vous tend la paluche, genre « salut pote, on boit une bière », n’est pas forcément à l’image d’un amant fougueux qui ne demande qu’à se révéler. Non, décidément, même lui, il n’arrive pas à me dérider de cet étrange manque, à la fois de sexe et de sang. J’en ai assez de sans cesse devoir chercher une nouvelle source !

«  Ben oui, pas besoin de me demander ! Le bar est à tout le monde, même qu’il y a plein de place loin de moi. ». Au moins, c’est clair. Je ne suis ni Mère Térésa ni Ménie Grégoire. Je ne suis là ni pour l’écouter, ni pour le consoler, et encore moins poser sa tête sur mes seins, alors qu’il verse ses larmes de crocodile !

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Zone Sous-Marine / Telle est prise qui... (PV Desmina)
« le: mercredi 11 juillet 2018, 11:04:17 »
C’est vraiment désagréable d’avoir déployé tant d’efforts, pour non seulement ne pas trouver victime à disposition, par victime j’entends quelqu’un qui soit digne de la mort que je lui offre, mais aussi pour voir tous les regards masculins se détourner au premier talon qui claque. J’espère seulement que ce sera une vieille rombière, maquillée comme un tableau volée, en vulgaire manteau en peau de léopard, avec des bagouzes plein les doigts, et le teint vitreux des quasi-mortes juste revenues de l’Enfer. Au moins, ça va vite refroidir les ardeurs de ces mâles d’opérette, et ça ne risque pas davantage de susciter le moindre trouble en moi. Affamée oui, morte de faim non ! Mais la curiosité est plus forte que moi, et je tourne aussi mon regard dans la même direction.

Je n’aurais pas dû ! J’en reste bouche bée, comme ces mateurs. S’ils doivent en avoir le phallus qui se prend soudain de passion, moi je reste subjuguée. Rien à dire, rien à changer, juste admirer la grâce parfaite, le charme absolue, la beauté divine. Elle est parfaite ; oui, la perfection existe, là, sous mes yeux. Sa chevelure est flamboyante, sa robe dessine une silhouette « absolue » ; tout, même le moindre détail, est au diapason. Mais l’étrangeté est cette façon de marcher avec fermeté en martelant bien le sol de ses talons, des chaussures de grand luxe à n’en pas douter, tout en semblant comme aérienne. Oui, c’est ça, elle semble flotter, planer au dessus de l’endroit, presque irréelle en fait. Je sais que je ne peux plus me targuer d’être tout à fait humaine, mais, là, c’est un étrange sentiment qui m’étreint.

Pourtant, elle semble si humaine, lorsqu’elle demande sa chambre. D’ailleurs, le vieux Norbert en garde un calme olympien. Lui qui en a tant vu, ne semble même pas subjugué, comme s’il était blasé. Je l’ai toujours adoré, Norbert ; il est parfait dans son activité. Il parle peu, il observe beaucoup. Je ne doute pas qu’il connaisse les raisons de ma venue ici, enfin il doit me prendre pour une escort girl ou un truc comme ça. Mais, même s’il a remarque que mes clients partaient tous avec discrétion, après avoir passé la nuit voire moins avec moi, il sait garder cette discrétion qui sied à son emploi. Je crois que, même en manque, je ne voudrais pas m’abreuver de son nectar.

Il ne sourcille même pas à cette voix cristalline, étrange elle aussi, comme si elle était à la fois de la plus pure pureté sonore que recherchent tous les musiciens, mais aussi comme si elle était d’ailleurs, un endroit où la voix est tout autre. J’ai un étrange pressentiment, une alerte qui me dit qu’il y a quelque chose de trop dans cette perfection absolue. Mais, quand je l’entends s’affranchir de l’argent, ça abaisse mes réserves. Et, quand je sais qu’elle s’offre la meilleure suite, ça enlève tout scrupule. Belle et riche, dans un cadre somptueux, c’est à la fois la conviction d’un compte bancaire revigoré, d’une nuit qui sera intense en émotions, d’un nectar qui me fera jouir rien qu’en coulant lentement dans mon corps.

En croisant son regard qui parcourt la salle, je ressens le même frisson, que lorsque mon cœur s’arrêta de battre, avant de revenir au monde sans être moi-même. Il y a quelque chose, en elle, qui ma fascine, mais aussi qui me brûle. Elle est hautaine et méprisante, mais elle me dévisage sans retenue. Elle a une robe qui doit faire gonfler les pantalons de tous les hommes présents, mais elle s’en moque. Moi, j’ai mes raisons pour être ici. Mais elle ? Je sens un piège, mais je n’arrive pas à le formuler. Avec Stevan, tout était si simple ; on était semblable, on s’aimait, on ne se posait aucune question. Mais là ? Malgré tout le soin apporté à m’apprêter, j’ai l’impression d’être uns souillon, guère loin d’elle.

Preuve de mon infériorité, voilà le gros adipeux lourdaud qui arrive au bar, titubant je ne sais si c’est à cause de sa brioche ou du whisky de mauvais goût qui empeste dans son haleine. Ils devraient interdire ce genre d’individu, ici, même s’il a du fric ! Toujours est-il qu’il me tourne dos, en s’insinuant entre nous deux, mais que je l’entends quand même dire « Vous êtes seule, Madame ? ». Avec la voix éraillée et vacillante qu’il a, il ne ferait même pas mouiller la plus en manque des salope. Alors, quand il poursuit par un « Moi oui, et on peut monter dans ma chambre », je ne peux m’empêcher d’esquisser un sourire moqueur, tout en finissant ce délicieux Champagne, et en regardant discrètement ce que Dame Perfection va faire.

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Centre-ville de Seikusu / Besoin vital... Besoin mortel (PV Alex Sanderson)
« le: mardi 10 juillet 2018, 22:57:07 »
Juste un petit ruban noir et argenté dans les cheveux, dernière touche d'élégance. Je me regarde dans le miroir de mon dressing. Le bustier noir est parfaitement ajusté, et laisse à peine deviner la naissance de mes seins, ainsi bien mis en valeur. La jupe noire à mi-cuisses est sobre, apanage de femme élégante, assortie dans ce côté sombre aux bas et aux escarpins, qui font partie de l'image discrète que je veux, en ces conditions. Certes, les bas sont agrafés à un porte-jarretelles noir lui aussi, et la jupe cache une culotte sobre mais dont la dentelle est juste révélatrice, mais tout cela demeure de bon goût et sans ostentation. Noir, toute de noir vêtue, peut-être ne suis-je plus qu'une veuve noire, depuis que j'ai tué l'amour de ma vie ?

Je ferme la porte à double tour. Mon petit studio, au centre de Seikusu, me suffit, simplement parce qu'il m'offre un très grand dressing, qui m'aide à peaufiner mes tenues de « scène ». Et il a l'avantage d'être à quelques minutes à pieds, de mes deux « scènes » justement, le Cosy Blue et l'Oeillet rose.

Le Cosy Blue demeure mon petit café attitré. Etrange boutique, au cœur du quartier central de Seikusu,  là où se négocient beaucoup d'affaires qui rythment la vie de la cité, à la fois au dehors comme une bonbonnière rose malgré son Blue de nom, et vieux style anglais à l'intérieur comme on ne saurait imaginer. Savourer un café, négligemment installée dans un fauteuil club au cuir noir patiné, observer à travers les volutes parfumées ces hommes d'affaires pressés qui croient que leur vie dépend du contrat qu'ils négocient.

Leur vie ? Si fragile, si imprévisible. Il leur suffit de croiser mon regard, pour que leur vie bascule.

L'homme d'affaire est si prévisible ! Seul, loin de chez lui, il est à l'affût de tout ce qui porte jupon. Avec moi, il ne peut être que comblé, car je soigne toujours ce qui est sous ma jupe stricte, pour les affoler avant de leur dévoiler mon trésor.

L'homme d'affaire est si banal, le regard fuyant pour juste un coup d'oeil, le regard fuyant pour mieux regarder si ce sont des bas ou des collants, le regard acquiesçant à l'oeillade qui lui indique « Tu viens, chéri ? ».

L'homme d'affaires est si goujat, payant la chambre de l'hôtel L'oeillet rose, tout proche, en espèces, après qu'il ait enfin compris que la galanterie demeure malgré l'égalité des sexes, après avoir fait semblant de ne pas comprendre pourquoi celle qu'il suit a des besoins financiers.

L'homme d'affaires est si prévisible, il en veut pour son argent, il a les mains baladeuses et l'impatience grotesque, il roule des yeux quand j'ôte ma jupe et grogne quand mes lèvres enserrent son sexe, il se croit amant inégalable lorsqu'il ahane dans ma totale indifférence.

L'homme d'affaires est faillible, il se fait toujours surprendre lorsque j'attaque sa carotide, tranchante et fatale. L'homme d'affaires ne fera plus d'affaires, lorsque je jette par le vide-ordures ce corps qui m'a nourrie de son précieux nectar.

L'homme d'affaires ne me sert qu'à assurer mes besoins vitaux en sang, mais, parfois, quand le manque est trop criant, je dois me contenter de ce qui me passe sous la main, un SDF qui ne manquera à personne, une lycéenne en fugue qu'on ne retrouvera jamais, et d'autres auxquels j'offre de prolonger leur vie en faisant couler leur sang dans mes propres veines.

Quand j'entre dans le Cosy Blue, le calme me saisit, par rapport à l'animation au dehors, à ces étudiantes qui piaillent, à ces jeunes qui se déhanchent, à ces familles qui se chamaillent. À l'intérieur, tout est si calme. Un bref salut au barman, le rituel est toujours le même, moka d'Ethiopie, torréfaction très fine, ni sucre ni biscuit. Il le sait, il me l'apporte.

En attendant, j'ai jeté un coup d'oeil à la salle. Le vieux tout sec, à la vitrine, m'a l'air trop coincé; non seulement il ne doit pas être sujet à la gaudriole, mais il doit y avoir trop peu de nectar dans ce corps décharné. Le gros bedonnant, justement, est gros et bedonnant, et ça va avoir du mal à m'aider à faire semblant d'être excitée. La belle blonde, à la cinquantaine très classe, me tenterait bien ; son sang doit être aussi délicat qu'elle, et, rien que d'imaginer nos seins pressés l'un contre l'autre, tandis que se déverse en moi la vie qui part d'elle, me procure une délicieuse chaleur entre les jambes. Mais je n'ai pas l'air de lui faire le moindre effet.

La chasse commence très mal !

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Le coin du chalant / L'amour du sang
« le: lundi 09 juillet 2018, 23:51:15 »
Liste des trames en cours :

Telle est prise qui... (avec Desmina)
http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=21325.0

Besoin vital... Besoin mortel (avec Alex Sanderson)
http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=21329.0

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Zone Sous-Marine / Telle est prise qui... (PV Desmina)
« le: lundi 09 juillet 2018, 23:26:26 »
J'aime quand remontent lentement mes bas Cervin au long de mes jambes. Eux seuls savent mettre en valeur mes longues et jolies jambes. Et je les accroche avec délice au porte-jarretelles noir, que le livreur m'a apporté juste à temps. Il devait savoir ce que contenait le colis, vu l'oeillade qu'il m'a lancée. Mais rien pour lui ! Ce soir, je chasse à l'Hôtel de la Baie de Seikusu, et le scénario est déjà établi : repérage du riche voyageur d'affaires, présence insistante dans son environnement, conclure la transaction financière, l'accompagner dans sa chambre, lui faire connaître l'extase suprême de la queue et de la carotide qui se vident en même temps, et rejoindre ma propre chambre, comme si de rien n'était, pour m'allonger et laisser ce nectar prendre possession de mon corps.

Je vérifie mon image dans le miroir ; les Louboutin noires vernies sont mon péché mignon, et la marque d'une femme de goût. Ça aide à faire craquer l'industriel de passage, qui ne veut pas d'une vulgaire prostituée de bas étage. Quand mes talons claquent sur le marbre d'entrée de l'hôtel de la Baie de Seikusu, le vieux riche repère le son, repère sa proie. Pauvre imbécile, qui ne sait pas que, en fait, je l'ai déjà désigné comme ma propre proie, et qu'il tombera dans mes filets à coup sûr.

La robe noire est faite d'un bustier qui relève à merveille mes seins pour en faire une arrogante poitrine, et d'une jupe à taille droite, descendant à mi-cuisses, pour évoquer sans jamais la trahir, la présence de bas noirs. Le miroir me confirme l'absence du moindre pli incongru. Tout un art, car, quand je rends en voiture à l'Hôtel de la Baie de Seikusu, je dois faire attention même à cela. Seule la perfection bourgeoise, alliée à la plus vulgaire féminité, attire le riche chaland qui veut s'encanailler en note de frais. Voilà d'ailleurs pourquoi je ne porte aucun sous-vêtement.

Pas que l'homme d'ailleurs, car il m'est arrivé d'avoir quelques femmes dans mes éphémère clientes. Mais, pas de différence ! C'est si excitant quand leur cri de jouissance se confond avec leur cri, mi-surprise mi-douleur, alors que leur carotide m'abreuve, et que leur sexe ruisselle en même temps. Quel beau tableau que celles qui m'offrent ainsi deux nectars de valeur, les ultimes dons avant que leur corps ne soit qu'inerte. Je dirais même que lécher leur sexe encore trempé, après avoir comblé mon besoin de leur sang chaud, a quelque chose de magique.

Je pense encore à ce cocktail aux vertus et aux senteurs incomparables, quand je pousse la porte de l'Hôtel de la Baie de Seikusu. Rituel immuable, mes talons claquent, pour annoncer ma présence. Samuel, le portier, aimerait bien me sauter, mais il est si vulgaire dans ses allusions, que même son sang doit puer. Mario le barman rêve de moi, il me l'a dit, mais il ignore que son rêve pourrait virer au cauchemar. Bref, pas de petit personnel pour m'amuser, ce soir.

Car, ce soir, je chasse gros ; il me faut un gros poisson qui me rémunère bien pour se faire ponctionner le divin nectar, car j'ai repéré un tailleur magnifique, du fait main par un artiste, et je dois vite mettre une option dessus. Je m'assieds au bar, jambes croisées, pose classique et sans ostentation, pour scruter la salle. Seul l'adipeux, au fond, qui transpire sous sa veste terne, me fait un clin d'oeil vraiment repoussant ; mais là, même pour m'offrir trois tailleurs, c'est non. Hélas, pas le moindre autre mâle plus ou moins potable à l'horizon.

Mais tous les regards, même celui du vicieux visqueux, se  tournent soudain vers le hall. Placée comme je suis, je n'entends qu'un martèlement de talons. Eux, ils entendent et il voient, et ça va en faire tomber en crise d'apoplexie, si j'en juge leur fascination.

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Blabla / Horloge parlante
« le: lundi 09 juillet 2018, 17:01:44 »
17h00
Vous vous plaignez de la chaleur terrestre.
Mais connaissez-vous la chaleur de l'Enfer?
17h01

37
Blabla / J'offre mon corps à....dix
« le: lundi 09 juillet 2018, 09:39:51 »
Pourtant, un cinq à sept, en tête à tête avec moi, serait une belle source de plaisir, pour tout(e) non-buveur(se) de sang.

38
Blabla / J'offre mon corps à....dix
« le: lundi 09 juillet 2018, 07:43:45 »
"J'offre mon corps"
Une expression trop étroiste d'esprit.

Ce pourrait être:
"J'offre mon sang".

Ca me plairait davantage.

39
Le coin du chalant / L'amour du sang
« le: dimanche 08 juillet 2018, 08:08:06 »
Mon seul et unique amour est mort, après m'avoir abreuvée de son sang.

Je suis désormais en quête d'amour et de sang, du plaisir de l'un et de l'autre, ensemble.

Cela peut engendrer des trames, selon mes idées ou les vôtres.

Trame 1 Lana a trouvé un palliatif, pour s'abreuver sans être découverte. Devenue maîtresse SM la nuit, elle étanche sa soif du sang que laissent ses marques sur le corps de ses victimes, sans jamais les tuer, sans leur laisser avoir le moindre soupçon (social/hentai 100% féminin).

Trame 2 Le seul et grand amour de Lana est mort. Mais il peut y avoir un homme qui, de toute bonne foi et en toute inconscience, tombe amoureux d'elle, à ses risques et périls. Tout comme une femme, aussi innocente, pourrait vouloir lui redonner le bonheur d'être aimée (social/hentai).

Trame 3 Lana pourrait trouver son alter ego, homme ou femme, ayant le même besoin d'amour et de sang. Par une invraisemblable complicité, ils pourraient se repaître, ensemble, des mêmes victimes, et former un couple étrangement fusionnel (social/combat/hentai).

Si Lana vous inspire d'autres idées ou envies, la boite à MP vous attend.

40
Prélude / Une humaine devenue... autre chose. - { Validée }
« le: dimanche 08 juillet 2018, 07:45:49 »
Le goût du sang me manque; je reviens à vous, belle et fatale.

41
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 13 juillet 2015, 21:32:25 »
Joyeux Anniversaire SP Chou !

2132

42
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 11 juillet 2015, 14:28:53 »
A mon avis, t'as croisé un lièvre. :D

Il peuvent être très gros. Genre une petite dizaine de kilo.

1430

C'est dangereux ces bêtes là.

43
Blabla / Re : Re : Otaku land - Le paradis des gamers
« le: dimanche 05 juillet 2015, 22:37:52 »
Késseussé?

Un jeu de boules. Devrait y avoir pas mal d’intéressés en fait... :D

44
Blabla / Re : Otaku land - Le paradis des gamers
« le: dimanche 05 juillet 2015, 17:00:39 »
Est-on un gamer quand on joue à ça ?

http://agar.io/

45
Blabla / Re : LoL, The LGJ Side
« le: dimanche 05 juillet 2015, 12:10:51 »
T'es pas obligé de mettre un lien sur son nom et/ou son nom. Le mec à pas forcement envie d'être relié à un site de cul.

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