Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Dylan E. Ellison

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Les alentours de la ville / Re : Take me away | PV
« le: mercredi 11 décembre 2013, 20:47:34 »
Wow… Dylan s’efforce de retrouver le souffle, le visage couverte de filet laiteux. Agenouillée devant Stephen, sa bouche enveloppe une dernière fois le gland, en soutenant la base. Elle déglutit bruyamment et abandonna finalement sa verge qui pointait encore d’excitation. Son membre était propre et ne reluisait plus que de salive. Dylan souriait intérieurement, satisfaite. Elle vacillait légèrement, l’endorphine déferlant dans son corps. Une chance, son bel amant l’aida à se relever. Une fois debout, Dylan retira ses lunettes partiellement enduites de foutre et plongea son regard perdu dans ceux de Connor. Elle n’avait plus la force de parler et se tenait maladroitement sur ses jambes. Le texan lui servait d’appuie, pendant qu’elle reprenait ses esprits.


Derrière, John leur indiqua où ils pourront trouver la salle de bain. Dylan ne tardera sans doute pas à rejoindre ladite pièce, histoire de nettoyer son visage et se rafraîchir. Leur hôte tira une autre latte de sa cigarette et exprima sa fatigue, comptant bientôt se retirer pour sa chambre. La nipponne avait la tête tournée vers lui, s’abreuvant de son regard. Mhhh… Quel délice ! Cette expérience aura été l’une des plus folles pour la psychologue. L’une des plus lubriques. Sa faculté de régénérescence l’aidait à se remettre rapidement des efforts, comme celui fournis par son bassin, mais la férocité de Stephen marquera son petit cul pour un long moment.


Merci John… C’est très aimable à toi. Sa voix était légèrement enrouée par les cris qu’elle avait époumonés.


Sur ce, le maître de maison éteignit sa cigarette d’un air lénifié, mais la braise ne semblait pas vouloir quitter ses yeux. Il se dirigea vers le couloir pour rejoindre sa chambre, tout en leur lançant que le canapé était convertible en lit. Il disparut dans le couloir et Dylan ramena ses yeux vers Stephen, les yeux à demi-clos. Ils s’observèrent un instant, tandis que le salon précédemment chargé de tension sexuelle, garait le calme pour le reste de la nuit. Un mince sourire arqua finalement les lèvres de la psy. Stephen défit le canapé, dépliant un assez grand lit pour qu’ils le partagent.


Je dois nettoyer ça, si tu permets… Fait-elle faiblement, avec une onze d’amusement.


Elle contourna le grand mâle sans éviter d’effleurer son magnifique fessier du bout de son index. Elle marcha en trainant des pieds, mais rien ne venait enlever la beauté de sa nudité. Une fois dans le couloir principal, elle prit la deuxième porte. La salle de bain était spacieuse, décorée comme le reste de l’appartement. Elle contenait une grande cabine de douche et une grande baignoire. Sauf que Dylan était trop fatiguée pour vouloir en profiter et elle se contenta d’asperger son visage d’eau fraîche. L’image de sa figure souillée de sperme était loin d’être charmante, malgré le fait que ça l’amusait un peu. Après quelques minutes à se débarbouiller, elle ressortit des toilettes, un peu mieux rafraîchie.


Dylan… Tiens. 


John l’interpella juste derrière elle. Il avait enfilé un boxer qui moulait bien sa taille et une mine contente ravissait son visage. Il tendit des draps propres à la jeune femme.


Oh, merci. Dylan prit le tout, en les collants contre sa nudité, lui donnant un air intimidé. Mais c’était loin d’être le cas.


Merci à vous plutôt.


Il s’approcha d’elle et déposa un baiser dans sa chevelure. Dylan frémit, dissimulant un sourire derrière les draps et s’éloigna en lui souhaitant une bonne nuit. Une fois auprès de Stephen, elle se permit de couvrir ce dernier avec un des draps. Le climat de la pièce était plutôt frais, mais avec son compagnon qui s’avérait être un vrai fourneau, elle n’avait pas à s’inquiéter. D’ailleurs, elle s’allongea sur le flanc, près de lui, la cuisse et le bras étreignant son torse. Sa tête reposait sur l’épaule saillant de Stephen.


T’es une vraie bête tu sais… Murmura-t-elle, après quelques secondes de silence alors que ses doigts caressaient gentiment le pectoral du boxeur.


L’esprit embrumé, elle se rendit compte que l’effet de l’alcool s’était dissipé, n’étant affecté que par celui de l’après-baise. C’était bon. Elle murmura une bonne nuit après quoi, elle ferma les yeux, se laissant gagner par le sommeil…

______________________________________

Oh merde… Des rayons de lumière traversait la fente d’un volet mal fermé et agressa les yeux de Dylan. Un peu perdue, elle roula lentement vers Stephen qui était encore plongé dans son sommeil. Sa bouche pâteuse lui rappela l’amer sentiment du lendemain de veille. Elle n’avait pas la moindre idée de l’heure qu’il pouvait être. Néanmoins, elle se leva, un drap entourant son buste. Elle dirigea sa carcasse chétive vers la salle de bain en laissant Stephen dormir.

L’appartement était silencieux et Dylan conclut qu’elle était la première à se réveiller. Elle bu un verre d’eau, s’aspergea le visage par la suite. Ceci suffit à la ravigoter, même si elle avait envie d’un café et d’une bonne douche, songeant également qu’il faudra retourner chercher la voiture. Sur le chemin, une note posée sur la table près du canapé attira son attention :

Citer
Désolée de vous abandonner comme ça, mais j’ai oublié de vous mentionner que j’avais une répétition importante aujourd’hui. Ce soir, je donne un spectacle. Voici l’adresse ainsi que deux billets… À vous de voir si vous voulez venir.

P.S Faites comme chez vous. Servez-vous dans le frigo si vous avez faim.
J.

Dylan regarda un long moment la note, tenant un verre d’eau et le drap contre elle. À son avis, John leur accordait un peu trop facilement sa confiance, mais ça devait être normal après tout. Les images de la veille la frappèrent subitement, celles de l’ébat déchaîné dont elle a été « victime ». Son bas-ventre se tortilla, la sensation de l’orgasme intense encore frais dans son être. Son regard se tourna vers Stephen, examinant son visage fort bien dessiné. Elle se mordit doucement la lèvre inférieure, ne pouvant s’empêcher de rougir. Elle réalisait à quel point il était bel homme. Sans doute plus que le sosie de ses fantasmes. Un profond soupire gonfla sa poitrine et s’approcha de lui, trouvant cruel de devoir briser l’instant paisible.

Hey… Assise sur le rebord du lit, elle joignit sa paume vers son flanc qu’elle caressa doucereusement. Il faudrait que tu te lèves, il est… Ah oui, l'heure... Elle chercha du regard une horloge et perçut un afficheur numérique posée sur une des tables du salon. Merde… Il était passé onze heures.

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Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: mercredi 11 décembre 2013, 18:14:01 »
Mon VDD est un ennemi de ma poitrine. ::)

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Les alentours de la ville / Re : Take me away | PV
« le: dimanche 08 décembre 2013, 18:29:58 »
Oh… Les cuisses de la belle étaient soudainement manipulées par son beau diable qui les gardait bien écarté tout en imposant son propre rythme. Elle raffolait de cette prise diablement sexy autour de son bassin. Elle permettait à Connor de pousser plus loin en elle tout en laissant à John le loisir de l’embrasser et tenir son visage entre ses mains. La psy était solidement suspendue entre les deux masses musculaires de ses partenaires, sans qu’on enlève à ses hanches la liberté de se mouvoir, onduler comme lui ordonnait Stephen.


La passion qui les unissait eut raison de la métisse. Les entraves phalliques furent comprimées dans la pression de son orgasme maintenu par leurs coïts continus et fermes. Dylan criait sa jouissance, possédée par sa force et son degré d’intensité. La verge qui coulissait dans son vagin déversait sa mouille en dehors de ses parois seulement en la bourrant de sa grosseur.  Plus il la pénétrait, plus elle mouillait. John se consentait à la ramoner plus vite, à la baiser plus fort au fil du plaisir de Dylan. L’esprit enivré par l’extase, la jeune femme semblait engourdit par lui, animant ses plaintes et ses mouvements qu’elle exposait sans gêne. 


John allait s’abandonner également. Ou plutôt, il ne pouvait faire autrement que de se laisser aller à la jouissance. Il en tremblait, en grognait. Sa verge vibrait dans l’étau de chair serrée et humide de Dylan. Son visage exprimait cette ferveur totale propre à l’épanouissement de son gourdin. Ses gémissements et souffles se mêlent à ceux de la psy. Le musicien explose en elle, déversant par des jets puissants et longs tout son sperme. Stephen se retira entre temps, abandonnant son bassin en convulsion, remplit par le foutre de John qui achevait de jouir. Ce dernier retenait toujours Dylan contre lui revenant en elle une dernière et longue fois. Son membre se retira tout aussi lentement. Il n’y avait plus qu’un filet de liquide séminal qui reliait leur sexe et celui du musicien n’avait pas encore perdu de sa vigueur ni de son volume, offrant une belle vue à la métisse affalée délicatement au sol.


Une main appuyée sur le plancher, Dylan était à demi-consciente encore sous la joute du plaisir, par tant de sexe. Une langue furtive vient laper une dernière fois le musicien qui en frémit totalement, mais il recula, ne voulant rien rater de la finale imminente. Entre le beau guide et sa protégée.


La nipponne aurait aimé le goûter encore… Mais Stephen l’interpella, la voulant près de son membre, la bouche ouverte. Dylan le fixait avec dévotion en s’exécutant, la langue déployée, offerte. Son ventre et son petit trou étaient toujours marqués par la compression des deux verges massives et les soubresauts évacuaient lentement l’orgasme.


Le gland reluisant flottait par-dessus sa langue. Dylan léchait le frein et glissait autour de la couronne, avec  gourmandise afin de propulser Connor vers ce qu’il convoitait. Un premier jet de sperme s’extirpa de son membre qui vint s’écraser sur ses lunettes et sa joue. D’autre suivit, plus ample et épais, recouvrant en partie le beau visage de la psychologue. Elle n’avait jamais fait jouir un homme de la sorte. La quantité de sperme que Stephen déversait sur la jeune femme était démesurée, phénoménale. Un surhomme… Elle le laissa jouir dans sa bouche, tenant son barreau de chair qu’elle branla avec passion. Son regard était remplit de désir, de chaleur. Sa langue, son palais, l’intérieur de sa bouche était couvert de foutre qu’elle fit disparaître par petite gorgée…


John se tenait à l’écart, observant le spectacle d’un regard prédateur. Il s’alluma une cigarette, sourire aux lèvres. Sa nudité ne le gênait pas, ni même son érection qui s’éteignait doucement. Encore à demi-essoufflé, il avait un air satisfait.


Ta petite-amie est une vraie déesse… Aspira-t-il dans une bouffée de cigarette. 

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Les alentours de la ville / Re : Take me away | PV
« le: dimanche 01 décembre 2013, 00:07:13 »
Dylan grognait son plaisir, toujours autour de ses deux amants. La bestialité du moment s’intensifiait au gré de l’éminence plaisante qui l’emportait alors qu’elle cognait autant son intérieur pelvien. John se démontrait sévère, mesquin tout en lui avouant qu’il ne performait pas intégralement en elle. Le fourbe. Il s’enfonça sèchement, jusqu’à la garde. Dylan répondait à ses assauts par des plaintes, dans chaque venu et retrait. Stephen bougeait parallèlement derrière elle, mouvant de plus en plus vite, ne démontrant aucune vergogne à la pilonner furieusement. Les souffles des deux mâles lui enveloppaient la nuque et les cheveux qu’elle inhala fortement pour s’en exciter davantage. Elle ne parvenait pas à maintenir ses cris qui outrepassaient ses lèvres.


Les impacts des deux verges alternaient en rythme, mais elle secouait la jeune femme d’un galvanisant plaisir qui semblait venir de partout. S’en était presque insupportable pour elle. Les plaintes ne suffisaient plus à soulager la pression qu’exerçait à l’intérieur d’elle. Les cris se mirent à pleuvoir résonnant dans toute la pièce, dans tout l’appartement, enrouant pratiquement la voix de la Japonaise. Cette sensation était sans pareille. Bourrée d’une façon vile, indécente, le plaisir était indescriptible, mais bel et bien présente. Son corps répondait par des soubresauts involontaires, dû au faite qu’elle était emplie entièrement des deux orifices. Heureusement que la mouille abondait. Elle était une source précieuse qui aidait dans la prouesse des deux hommes.


Mhhh… Je n’en peux plus.


C’était presque un murmure. Une nouvelle vague s’était emparée de son corps, cassant sa voix pour un couinement. Effectivement, elle n’en pouvait plus. Elle n’en pouvait plus de ce flot de plaisir virulent qui meurtrissait sa croupe, dans le delta de ses cuisses.  Un regard croisa celui de John. Les lèvres de la psy formaient un O parfait qui libéra un profond soupire rempli d’aise. Elle semblait vouloir dire quelque chose, mais les courants qui tiraillaient ses entrailles coupèrent sa voix. En même temps, elle avait envie de le dire. Leur admettre qu’elle aimait ça. Elle se sentait telle une reine, choyée par l’abondante délectation des deux mâles.


Hum… ?


C’est bon… exprime-t-elle enfin. Mais en japonais.


John rit doucement, enfonçant une nouvelle fois son gourdin en elle, mais stoppant tout mouvement de la part de ses hanches. Sa tête planait au-dessus de Dylan qui haletait, la pénétration dans son petit trou n’ayant pas cessé. John se démontra oppressant, plongeant son regard dans la métisse. Leurs fronts se touchaient presque. Il ondula faiblement son gland et picora ses lèvres d’un rapide baiser. Il s’adressa aussitôt :


Redis-moi ça, mais en anglais cette fois…


Il l’attisait. Stephen s’offrait son petit cul pendant ce temps et permit à la jeune femme de se concentrer sur les perceptions que lui offrait son chibre. Il coulissait sa large queue jusqu’à ce qu’elle sente son aine claquer ses fesses. Son dos fondait sur les aspérités parfaites et puissantes de son corps. Comme ça lui manquait de le toucher. Elle aurait aimé lui réserver d’autre attention, quelques caresses et d’autres baiser, mais elle lui offrait déjà beaucoup. L’entrée interdite qui confinait son énorme verge dans une étroitesse sans précédant.


C’est bon ! Continue…


Une pointe de frustration froissa ces mots. John affiche un sourire satisfait, appréciant l’accent japonais qui altérait la phrase. Il posa ses lèvres charnues sur les siennes, lui donnant un baiser langoureux et furieux. Sa langue dansait avec celle de la psy lorsqu’il quitta ses parois intimes pour y revenir avec un puissant coup. Dylan entremêlait ses doigts dans ses longs cheveux, pendant qu’il poussait son gland dans son ventre. Puis ses mains vinrent autour de son beau visage pour les maintenir pendant que leurs bouches s’affolaient. John redoubla d’effort dans ses allées et venues en parfaite accord avec ceux du beau diable.


T’es encore plus étroite dis donc… fit-il remarquer, en arrêtant le baiser.


Elle le contempla un instant, d’un regard brûlant. Une profonde inspiration emplit ses poumons. Son corps pantelant allait bientôt atteindre un autre niveau d’extase. Les mouvements qui martelaient fougueusement son bassin auguraient l’engagement vers la jouissance. Les convulsions dans son abdomen s’intensifient autour des barreaux de chair. Dylan jouit. Les coups de butoir l’expédient dans la torsade d’un orgasme divin et fulgurant.

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Blabla / Re : Trombinoscope
« le: mercredi 27 novembre 2013, 15:33:20 »
Héhé... :$

Merciii <3

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Blabla / Re : Trombinoscope
« le: mercredi 27 novembre 2013, 03:56:01 »
Je n'ai pas l'habitude de flooder mais bon... Des gens me connaissent pareil.

Eh oui. Presque comme Dylan.

Be your own hero.
(Je veux devenir maquilleuse en effet spéciaux pour les films. Mais je m'amuse surtout avec mon maquillage.)

EDIT : Vous avez tous des têtes (et fesses) très cool !

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Les alentours de la ville / Re : Take me away | PV
« le: mardi 26 novembre 2013, 20:58:40 »
Le corps de Dylan était entièrement offert aux deux hommes qui la prenaient sans aucun ménagement. Chaque orifice emplit, elle nageait dans un torrent de fureur façonné par ses deux amants qui faisait tout pour la rendre folle tout en comblant leur soif de plaisir. Dylan démontrait toujours cette ténacité à la fois hors commun et surprenant, encaissant chaque coup puissant qui la limait par des plaintes jouissives. Sans aucun doute, elle adorait cette expérience. Elle adorait être l’objet de plaisir de ces deux mâles. Son esprit se brouillait sous le flot d’excitation.


John semblait déverser toute la ferveur contenue durant la soirée en Dylan que cette dernière en oubliait presque qu’elle se faisait prendre par le sosie de son acteur fétiche. Parfois, elle ne pouvait s’empêcher d’imaginer l’acteur en question qui la baisait de la sorte, réalisant ainsi l’un de ses nombreux fantasmes. Secrètement, ceci l’excitait d’un cran et l’amenait plus haut dans les sommets de l’extase. Car John se démontrait tel qu’elle aurait imaginé les ébats avec Jason Momoa : vigoureux et bestial. Il cognait  sur ses fesses, tout en tenant fermement ses hanches, ramonant l’intérieur de sa petite chatte. L’une de ses grandes mains remontait souvent le long du corps de la jeune femme, glissant ses pouces près de sa colonne vertébrale jusqu’à faire atteindre de ses doigts les seins délicats qui bougeaient au gré de ses propres mouvements. La sueur commençait à perlé sur son corps saillant de muscles et ses cheveux couvrait en partie son visage endurci par l’effort. C’est d’une voix chaude qu’il prévient à Dylan de ce qui l’attendait.


Le Texan et le musicien étaient complices, dressant par de simples gestes et regards leur directive sur la nipponne. John préparait de façon vile son petit trou pendant que Stephen comblait la bouche de Dylan en la lui baisant littéralement, forçant son gland vers la gorge. La salive jaillissait ainsi que le pré-sperme qui s’écrasait conte la langue de la psychologue quand ce n’était pas directement dans le fond de sa bouche. Il ne lui laissait aucune rémission. Néanmoins, elle endurait. Ses mains partaient de part et d’autre sur Stephen, tenant ses bras, son torse, le bas de son dos y parsemant des marques d’éraflure produit par ses ongles. Une douce vengeance à la cruauté de ses ondulations.


De long sillon de mouille coulait entre ses cuisses, signe qu’elle aimait se faire prendre ainsi par les deux mâles. Le doigt épais de leur hôte s’introduit le plus loin possible dans son orifice chaud et étroit, aidé simplement par la cyprine. Le boxeur quant à lui retira subitement sa verge reluisante de salive hors de la bouche de Dylan. Sa longue queue tressautait. L’avait-elle presque fait jouir ? C’était possible, en voyant le liquide séminal abondé de son gland. John se retira également de son corps vacillant, dans un long soupire de la part de la psy. Elle s’époumonait tout en se mettant droite, l’air étourdi. Mais John s’assura de la réceptionner à l’aide de son buste imposant et de ses mains. Il attrapa ses seins qu’il malmenait sauvagement et fouilla son corps, massant les courbes appétissant de sa douce amante.


Il plongea ses doigts dans sa vulve trempée de mouille. Stephen se joint à eux, s’enfouissant à son tour dans le petit trou serré de la métisse. Ses doigts épais étiraient ses parois interdites voulant sûrement l’habituer à une grosseur beaucoup plus importante. Dylan se fit pivoter sur elle-même, se retrouvant face à John, face à la grandeur de sa carrure et de son beau visage. Il enfouit ses lèvres dans le creux de son cou, l’explorant de sa langue encombrante et douce. Derrière elle, c’était au tour de son beau diable de profiter de son petit cul. Leur hôte dévala ses grandes mains sur Dylan pour agripper l’arrière de ses cuisses et la souleva tel une délicate plume et fragile. Suspendu à son torse basané et turgescent, il offrait sa croupe à Stephan. Les fesses écartées, la psy sentit le gland brûlant et couvert de salive contre l’entrée de son cul. Dans un long mouvement, il écarta l’entrée de son anus en soufflant quelques mots dans l’oreille de la jeune femme. Un cri s’extirpa de ses poumons en tenant les épaules de John. La douleur pouvait se lire dans l’expression de son visage, en mixte avec l’extase.


Putain ! grogna-t-elle entre ses dents.


C’est à ce moment que John positionna son long chibre au-dessus de la chatte liquéfié de la Japonaise et la pénétra sèchement. L’intensité des deux hommes à pénétrer la jeune femme contrastait. John la pilonnait sauvagement alors que Stephen préférait prendre le temps à habituer son orifice étroit à son énorme verge. Ses allés et venues s’allongeaient déformant l’entrée anale de la demoiselle qui ne cessait de couiner entre eux. Quelques jurons involontaires se déployaient de sa gorge et Dylan fermait quelques instants les yeux, se décidant à se laisser guider par leurs adresses. Ses muscles se détendaient doucement, abatant son visage sur l’épaule du musicien, mordillant sa chair avec appétence. Une sensation galvanisante réchauffait son être, pulsant vers son esprit. Mixé d’un plaisir honteux et lubrique, elle voyageait dans son corps frêle, menée par ses amants.


Non, c’est trop… Soupira-t-elle, presque inconsciemment.


Son étreinte autour de John se resserra tendrement, cherchant le réconfort absolu. Son visage toisa le sien, croulante sous les coups damnables qui martelaient son bassin. D’un regard larmoyant, elle plongea son regard dans celui de John, empreint de supplice et de désir. Leurs souffles s’entremêlaient. John sourit affectueusement, en roulant des hanches, bougeant son sexe en Dylan pour accroître son plaisir.


Mais tu aimes ça… Admet-le.


Perdue entre deux vagues, elle ne parvint pas à l’admettre. Une longue plainte résonna dans la pièce, suivit d’un autre. Elle ne cessait de gémir, de hurler lorsque ses deux beaux amants heurtaient le tréfonds de ses entrailles simultanément.         

38
Les alentours de la ville / Re : Take me away | PV
« le: lundi 25 novembre 2013, 19:37:21 »
Dylan enfournait le membre de son beau diable de plus en plus profondément. Ses genoux écrasaient ses vêtements au sol, amoindrissant la douleur que pourrait provoquer le plancher de bois sur son épiderme et ses os ce qui l’aidait à performer longuement. Sa bouche ne s’épuisait pas non plus, suçant avec dextérité Stephen qui lui laissait les rennes sur son barreau de chair.  Ses lèvres gourmandes glissaient sensuellement sur toute sa chair, accompagnée par sa langue joueuse pour amplifier le plaisir de son amant. La cadence de ses mouvements était irrégulière, usant par moment toute sa fougue pour enfouir profondément son gland en bouche, puis y assener des va et vient courtes et rapides. Elle alternait avec des mouvements plus ample qui partait du gland jusqu’à la base de son chibre qui reluisait de plus en plus de salive. John profitait de sa main habile qui vint masser ses bourses pleines et tendres.


Mais bientôt, le musicien retira la main de la psychologue pour rapprocher son gland de son visage. Il dessina un sillon de pré-sperme et de salive sur la joue de la jeune femme frôlant la monture de ses lunettes. Il patientait après l’attention de Dylan, branlant impétueusement sa queue devant elle. Stephen ôta son membre de sa petite bouche, l’élevant pour qu’elle accède à ses bourses. La métisse les dévora goulument sans une ombre d’hésitation, les aspirants comme si elle s’en abreuvait. Ses yeux brillaient vers Connor. Elle était flattée de le mettre dans cet état second, de même que leur hôte qui grogna de plaisir au contact de ses bourses sur ses lèvres pulpeuses. Animé d’une sauvagerie naissante, il agrippa les hanches de la jeune femme, l’obligeant à hisser son bassin sur ses jambes, mais en gardant sa tête penchée sur la verge de Stephen. Après quelques mots, son gland franchit la barrière de ses grandes lèvres et se planta dans le ventre de la psychologue.


MHHHH… Un gémissement vibra dans sa gorge, bloqué par le membre puissant de Stephen.

 
C’était si bon. John s’était enfoncé entièrement en elle pour souder son corps au sien. Il la possédait tout entier. Il percuta son aine sur les fesses arrondies de son amante avant d’entamer des roulements de hanches. Il se mit à la baiser plus franchement, maintenant solidement ses hanches. Chaque coup de rein devint un pur plaisir et la transportait chaque fois un peu plus loin dans sa quête de sensation. La férocité des assauts enflammait son bas-ventre et rebondissait dans son être, faisant bercer ses seins au même titre que sa tête. Dû au plaisir qui la tiraillait elle parvint difficilement à sucer Stephen, emporté par la carence de la sauvagerie. Elle avait peur de le mordre, étant loin d’être habitué par ce genre d’expérience. Ses mains étaient posées de part et d’autre sur le torse du boxeur, tentant de reprendre le rythme et la vigueur.


Le bassin de la jeune femme claquait fermement contre celui de John qui la prenait inlassablement, ramonant les aspérités de son vagin étroit. La position raffermissait son intimité et la sensation autour de ce barreau de chair. Elle en perdait le souffle. Elle libéra soudainement sa bouche, criant presque son extase et emplit ensuite ses poumons d’une longue inspiration, d’air frais remplit du parfum de mâle. Ses lèvres s’amortirent sur l’aine de Stephen qu’elle couvrit de salive.


Bon sang… Je vais mourir. Murmura-t-elle, d’un visage marqué par l’extase houleux.


Sa langue léchait l’aine inébranlable de son beau diable. Sa souplesse était mise à l’épreuve, ainsi que son endurance, sa résistance au plaisir saugrenu. Ses mains glissèrent sur les hanches de son beau diable, effleurant son fessier du bout de ses doigts. Elle ramena sa bouche au-dessus du gland de Stephen, l’engobant en étouffant sa voix plaintive. Elle fit comprendre à son amant de pousser sa verge dans sa bouche, qu’il prenne le contrôle. Des yeux clos, elle se concentra, désirant maximiser la jouissance de son compagnon de voyage.


La chanson avait terminé depuis un moment déjà. Mais Dylan n’écoutait plus la musique. Seuls les grognements de ses amants retenaient son attention. Ils enveloppaient tous deux la doctoresse d'une chaleur immuable transsudant d’une exhortation des plus allègres qui fleurissait à mesure de leur martèlement phallique. Cela se ressentait dans la poigne ferme que Dylan exerça sur les fesses de Stephen, l’incitant à bourrer sa cavité buccale de sa large queue. John quant à lui, se mit à frotter son petit orifice du bout de son pouce, préalablement humecté de sa propre mouille. Il glissait par moment sur la raie de ses fesses, absorbé  et rêveur, tout en ayant ralentit ses va et vient. Son gland bougeait en elle pour entretenir son plaisir. Soudain, il enfonça son index à l’intérieur happant la jeune nipponne d’un long frémissement. Son corps chancelait de cette visite -loin d’être nouvelle pour elle-.


On t’a déjà visité ici… Visiblement… Tu as l’air d’aimer ça.

39
Les alentours de la ville / Re : Take me away | PV
« le: vendredi 22 novembre 2013, 23:14:51 »
John fouillait éperdument le sexe da la psychologue. Sa bouche était partout à la fois. Même son petit trou reçu la visite de cette langue furtive. Les mains robustes malaxaient vigoureusement les fesses tendres de la jeune femme, amplifiant grandement son plaisir. Dylan ne se contrôlait plus. Elle perdait l’esprit, le souffle, ne faisant que gémir son extase quand le baiser s’interrompait. À quelques reprises, elle faillit mordre les lèvres charnues de son beau diable. Visiblement ses gestes étaient animées par le plaisir qu’elle recevait. Ses baisers dévalaient odieusement le corps sculpté du boxeur, y laissant des marques de salive ou de succion tandis qu’elle offrait sa croupe plus explicitement à John.


Je crois t’avoir démontré un sacré appétit hier, hum… ?


Elle fit comprendre à leur compagnon musicien qu’elle et Stephen étaient des amis qui soutirait des bénéfices. John riait contre son petit cul, assénant de nombreux coup de langue à l’entrée de son intimité avec insistance, la pénétrant presque. La cyprine abondait. Le beau musicien en récolta sur la pulpe de son pouce et le guida tranquillement vers son petit trou. Il y dessina de petit cercle, sans s’aventurer plus loin se contentant de la faire languir. Sauf que Dylan en quémandait, essayant de remuer ses hanches pour plus de sensation, l’encourageant à y aller plus franchement. Mais John était beaucoup trop fort, maintenant solidement sa croupe pour être le seul maître de son plaisir. Au bout de quelques minutes et presque par surprise, la douce fut subitement secouée par son premier orgasme. Trop alléchant pour la retenir, trop exquise pour l’éviter, elle ne put le contenir. Il transperça vivement son être suivit de soubresauts subits. La bouche habile de John aura eut raison de la chatte sensible de la psychologue qui eut peine à se remettre.


Loin d’en avoir terminé, Stephen se mit à se déshabiller, dénudant également Dylan. Elle hoquetait toujours de plaisir lorsque John récolta les gorgées de mouille qui coulait de sa chair rosé puis il embrassa une dernière fois son petit orifice avant de se redresser. À son tour, il ôta tous ses vêtements. Il colla doucement son torse brûlant contre le dos de la psy. Elle n’avait pas encore vu son pénis, ni son corps nus. Mais John lui fit deviner aisément l’allure de ses atouts. Ses abdominaux étaient fermes et imposante, défendant bien contre le corps de Stephen. Son chibre se mit à glisser entre ses fesses, regorgé de mouille et de salive, stimulant son petit trou. Sa taille était impressionnante. Son beau diable suçait le bout de ses seins dressés d’excitation, tel des friandises, ce qui mit bien vite la jeune nippone en appétit. John lui offrait le choix, demandant près de son oreille ce qu’elle désirait. Peu importe son choix, elle devra à présent assouvir ses deux mâles et leurs verges fièrement dressés.


J’ai d’abord envie de vous goûter…


Dylan pivota doucement vers le musicien, attrapant son visage pour l’embrasser langoureusement, goûtant enfin ses lèvres couvertes de sa propre excitation. L’une de ses mains glissa vers son torse, savourant sa force dilatée et dure. Elle ne laissa pas Stephen en reste, guidant son autre main vers sa verge, commençant lentement à le masturber. John profita longuement de sa petite bouche, insérant sa langue pour l’en bourrer de saveur salivante. La fougue du baiser transparaissait son désir d’y engouffrer son mandrin.


Enfin, elle se mit à genoux entre eux, en les regardant à tour de rôle d’un regard pénétrant. Dû à sa petitesse, elle garda ses cuisses hissées sur la longueur de son buste, permettant à sa bouche d’être au bon niveau, à la portée de ces chairs imposantes. Chaque main était occupée par un barreau de chair qui frétillant d’impatience et Dylan débuta enfin par happer l’un des glands, puis à tour de rôle, offrant un généreux coup de langue. Mais elle jouait avec le feu. John se démontra le premier à s’en irriter, donnant un coup de rein afin d’obliger la jeune femme à le prendre. Ses mains attrapèrent le sommet de son crâne et son menton, ramenant le joli visage de la métisse vers lui et engouffra son membre dans sa cavité buccale étroite. Il grogna, forçant un peu Dylan à l’avaler presque totalement. Il relâcha la pression en gémissant, faisant coulisser sa verge hors de la bouche de la belle avant de recommencer, agrippant les cheveux de son amante.


Mmmhhh… Comme ta bouche est étroite.


Il ondula langoureusement du bassin, glissant son gland profondément entre les joues de Dylan. Pendant ce temps, elle continuait à masturber vigoureusement Stephen. Aidé de sa salive, son chibre filait naturellement entre ses doigts fins. Elle massa également ses bourses, les pressant délicatement. John s’assouvit rudement son envie de lui faire goûter sa colonne de chair, écrasant des valses de pré-sperme sur la langue de son amante, signe évocateur d’une excitation sans équivoque. Il finit par délaisser la bouche de la psy, à regret, mais voulant partager cette bouche à Stephen.


Occupe-toi de ton ami, mais continue de caresser ma queue. 


Obéissante, la métisse attrapa le chibre colossal du musicien. D’une taille démesuré, il lui remplissait bien sa main, comme celui du boxeur, mais légèrement tordu sur le côté. Il devait avantager certaine sensation. Tout en l’évaluant par des caresses, Dylan se tourna enfin vers Stephen. Il avait déjà visité sa petite bouche, mais elle le sentait tout aussi impatient, tout aussi excité. La tête relevée vers le sien, elle s’approcha de son magnifique phallus où perlait le liquide séminal. Sa langue glissa du frein jusqu’au sommet du gland avant que ses lèvres ne fassent disparaître le bout de sa verge. Elle commence à l’avaler, enfonçant son dard profondément, jusqu’à la base. Sa tête imprime de long va et vient, prenant une bonne partie de son membre en bouche.   

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Les alentours de la ville / Re : Take me away | PV
« le: jeudi 21 novembre 2013, 02:30:21 »
Dylan se dévergondait dans ses déhanchements lascifs et assurés. Ses cheveux brossaient l’air, couvrant en partie son visage réjoui par la musique. Les yeux semi-ouverts, elle se laissait transporter par le rythme envoûtant. À aucun moment, elle n’avait cru plonger les deux hommes dans l’ambiance tant convoitée, celle où ils pourraient s’élancer librement à leur pulsion. Très vite, elle découvrait la puissance des mains du guitariste, qui alternait entre ses hanches et son ventre, prenant parfois le contrôle de ses mouvements. Son dos effleurait le torse puissant de John, dont la respiration se rependait près de son oreille. Le cœur de la psy se mit à battre à tout rompe dans sa poitrine, appréhendant la chose dans laquelle ils s’aventuraient tous les trois. Stephen ne faisait que le confirmer, positionné juste devant eux. Les deux hommes la prétendaient bonne danseuse…


John affirmait ses propos et demanda à Stephen s’il désirait prendre le relais. Faisant signe que non, il se fit simple spectateur de leur danse charnel. Le musicien pressa davantage les fesses de la jeune femme contre son aine, où s’érigeait lentement son membre. La bosse laissait prédire sa grosseur, car Dylan pouvait le sentir frotter entre ses fesses. Elle devinait aisément combien il devait être durement comprimé dans son pantalon, tandis qu’elle ne cessait de bouger sensuellement contre lui. Son désir était fébrile, à en juger de la manière qu’il respirait derrière elle, la façon dont sa langue venait attraper son lobe d’oreille. Des milliers de frissons courraient dans tout son corps, dévalant son cou, jusqu’à l’arrière de son dos. Nul ne sait à quel point elle était sensible à cet endroit quand on savait comment s’y prendre.   


La chanson arriva à la partie du solo. La guitare électrique déchaînait un son enivrant, voir voluptueuse. Ses ondulations se mirent à ralentir, abandonnant ses hanches aux mains épaisses de son beau musicien. Il la bougeait comme il le désirait, comprimant leur corps solidement pour ne faire qu’un. D’un visage serein et atteinte par l’alcool, l’envie à la débauche, elle regarda Stephen qui s’approcha. À sa hauteur, elle se redressa vers lui sans le toucher, humant silencieusement sa respiration. Une aura de chaleur s’émanait de son corps, venant effleurer son visage. Leurs lèvres se touchent enfin. Son beau diable s’introduit dans sa petite bouche, insérant sa langue presque avec force. Ils partagèrent un long et passionnant baiser. Dylan était presque immobile, hormis son bassin qui subissait les ondoiements fiévreux de John.   


Quand Stephen interrompit leur embrassade, il adressa quelques mots à son compagnon qui demandèrent s’il appréciait les fesses galbés de la jeune femme. Chose à laquelle John répondit par un baiser sur la nuque de Dylan, venant ensuite lui glisser à l’oreille :


C’est vrai que tu as un sacré petit cul…


La crudité des mots firent rougir les joues de la psychologue, mais elle recevait ouvertement les propos, l’excitant d’un cran. Elle se sentait désirée. Deux beaux mâles qui lui offriront conjointement du plaisir à l’en faire hurler.


Stephen empoigna de ses mains robustes sa petite poitrine, les malaxant. Des courants électriques s’évaporèrent sous sa peau, connectant son intimité qui commençait doucement à détrempé. Il venait de partout, de son fessier, ses seins, sa bouche, sa nuque. Les deux mâles sollicitaient un flot de sensation qui recouvrait entièrement la psychologue.


Je dirais que la danse est beaucoup plus intéressante à trois…


Sa respiration s’interrompit subitement. Son short en jeans venait de tomber lourdement au sol. John pouvait à présent faire sentir son chibre seulement à travers la fine culotte noire de la psychologue. Un gémissement fuit entre ses lèvres. La pression de son gourdin écartait les galbes parfaits de ses fesses. John, tout en embrassant sa nuque, glissa sa chemise à carreau le long de ses bras pour l’envoyer au sol comme son jean.  Dylan était à présent en sous-vêtement et en débardeur noir avec des brettelles minces. Elle laissait les rênes au musicien, qui continuait son exploration. Ses lèvres charnues embrassaient le haut de son dos et il écarta son bassin du sien. Ses mains fermes agrippèrent ses fesses, tandis qu’il dévalait son dos avec de baiser appuyé et mouillé. Parfois ses doigts s’aventuraient loin entre ses cuisses, allant effleurer le tissu de sa culotte couverte de moiteur ardent. Elle sentit qu’il s’agenouilla derrière elle. Son visage au niveau de son bassin. Son souffle suffisait à galvaniser son corps qui en frémissait entièrement. John se mit à forcer la jeune femme à relever les fesses vers lui, guidée par sa poigne féroce. Il tira doucement le tissu de son sous-vêtement le long de ses jambes. Dylan se mit à gémir, emporté par une excitation sans précédant.


Elle regardait Stephen, tout en l’embrassant avec ferveur. Après quelques secondes à contempler son petit cul et à les masser sans vergogne, John enfouit son visage entre ses fesses. Sa langue vint récolter la cyprine, tout en ouvrant ses lèvres intimes. Ses mains écartaient sa chair arrondi afin de mieux accéder à sa chatte qu’il recouvrait de salive. Dylan se raidis contre Stephen, pendant que John dévorait son sexe à pleine bouche. Les mains fines de la nippone se mirent à glisser vers le pantalon de son beau diable,  desserrant sa ceinture. Son regard brillait de plaisir. Elle humecta ses lèvres, tout en dégrafant le jean de Stephen.


Tu te joins à nous ?


Elle tira sur l’ourlet de son t-shirt pour la lui retirer. Elle voulait voir son corps, l’étreinte et sentir sa peau d’acier couverte de velours sur la sienne. Tout en embrassant son torse, ses doigts cherchèrent à extirper sa verge de son boxer. Sa langue couvrait les sillons de ses muscles, happant le téton, alors qu’elle tend plus ses fesses vers John. Ce dernier continuait à embrasser son bassin, explorant inlassablement l’intérieur de ses fesses. 

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Les alentours de la ville / Re : Take me away | PV
« le: dimanche 17 novembre 2013, 21:46:00 »
En quelques heures, le couple avait réussi à se trouver un nouveau compagnon pour la soirée, mais également un endroit où dormir pour la nuit et ce gratuitement. Dylan n’avait pas l’habitude d’être confronté à autant d’imprévu en si peu de temps, poussée à aller au-delà de sa gêne et abandonner son côté réservé. Hier, c’était sa colère et son angoisse que Stephen avait parvenu à ôter et aujourd’hui, c’était ce sentiment de perte de contrôle sur le voyage, son incrédulité qui était mise à l’épreuve. Mais après l’invitation de John, elle sentait reprendre le dessus sur la situation. Elle avait arrangé les choses malgré l’inattendu, tous ça en ayant prit les devants. Au fond, son voyage prenait de plus en plus les allures d’un road trip. Un vrai, où il fallait subir les flots de l’aventure.


Mais la nuit promettait bien plus pour les trois. La tension qui s’installait dans la tablée témoignait une connivence qui penchait plus loin qu’une simple hospitalité d’un soir. Il fallait seulement observer l’air des deux hommes dans leurs échanges de regard, puis celui de Dylan face à John et Stephen. Elle assimilait leurs images pour les reproduire dans ses pensées, les voyant déjà se battre pour la satisfaire charnellement. Elle se plaisait à imaginer être l’objet de désir des deux mâles. Même si encore, elle n’osait pas interpréter cela comme le moment final de leur soirée. Elle était simplement tendue par son appétit qu’elle se demandait si son esprit lui jouait des tours.


Mais une heure s’écoula où ils discutèrent de tout et de rien, vidant verre après verre. Plus Dylan en savait sur John, plus elle avait envie de le découvrir sous d’autre aspect. Rien ne venait réduire son envie si parfaitement entretenu, qu’il serait triste qu’elle ne puisse l’assouvir. Ça n’allait pas tarder à devenir plus intéressant. John admit qu’il était fatigué. Il avait passé la journée à répéter avec son groupe pour un contrat de disque assez prometteur. Un sujet auquel Dylan ajouta qu’il aura peut-être l’occasion de venir au Japon pour une tournée. Mais trêve de bavardage, elle se sentait également fatiguée par sa journée. Ses hanches et ses fesses étaient encore raidis, de même que le bas de son dos… Elle songera à demander un massage à Stephen, s’il n’est pas trop crevé.


D’ailleurs, ils s’entendirent tous ensemble pour se rendre à l’appartement du musicien. La jeune femme acquiesça alors qu’elle termina d’une traite son verre. Une douce euphorie engourdissait sa conscience et ses sens. Elle ne pouvait échapper à la légère ivresse qui l’enveloppait. Mais une main remarquablement chaude et suave se mit à palper son épaule et descendit ensuite vers ses omoplates. Ce contact l’électrisa. Le visage levé vers le beau musicien, ils troquèrent un long regard qui en disait beaucoup. Une fois debout, elle distingua l’imposante taille qui la jaugeait. Il mesurait pratiquement comme Stephen et l’imposante carrure qui encadrait ses épaules était tout aussi distincte.


Elle s’éloigna des deux hommes, cherchant à calmer ses ardeurs d’un cran. Elles virevoltaient dans son ventre, prête à l’entraîner dans une ascension purement charnel. À l’extérieur, il faisait nuit et frais. Prenant une bonne inspiration, elle sentit soudainement une main caresser sa cuisse.  Cette fois c’était Stephen qui voulait s’assurer qu’elle n’avait pas froid. En se retournant vers lui, la distance de leur buste était minime. Le grand boxeur n’aurait eu qu’à tirer davantage la psychologue vers lui pour que cette dernière prenne cela comme une invitation à un baiser. Mais ils n’en firent rien. Pas toute suite. Ils se souriaient mutuellement.


Non… J’ai même plutôt chaud.


Cinq minutes de marche les séparaient du bar et l’appartement de John. Ils arrivèrent au pied d’un grand immeuble avec de grandes fenêtres. Leur hôte leur ouvrit la porte du rez-de-chaussée et montèrent au troisième qui abritait son appartement. Ce dernier était gigantesque et occupait l’étage en entier. On devinait facilement que John gagnait bien sa vie de musicien pour se permettre autant d’espace. L’intérieur en disait autant. Décoré de manière sobre et alternative, il dégageait une ambiance assurant la créativité. Le salon était muni de grand meuble en cuire et d’un écran plat fixer au mur. Un système de son ornait l’un des murs reliant plusieurs speakers disposés dans chaque coin de la pièce. Ça devait être idéal pour organiser des soirées ou répéter avec un groupe.


John les invita à s’installer dans le salon, tandis qu’il se dirigea vers la cuisine. Sans plus attendre, Stephen attira Dylan vers le grand canapé où ils s’installèrent. La jeune femme pouvait sentir la fébrilité de son compagnon de voyage, alors qu’il se mit à caresser l’intérieur de ses cuisses. La psychologue frissonna, plongeant son regard dans le sien. Elle reconnaissait en lui le beau diable qui l’avait tant fait jouir la veille. Il s’approchait encore, venant lui susurrer à l’oreille qu’il savait ce qu’elle voulait. Le souffle de la psy s’alourdit. Elle ne pouvait croire ce qu’elle entendait. Stephen l’encourageait littéralement à attiser John. D’abord, légèrement honteuse d’avoir été ainsi démasquée, elle fut doucement contrainte d’admettre que c’était un désir qu’elle avait refoulé toute la soirée. Mais comment atteindre le but… ?


Si jamais il refusait, que si cette impression que John partageait la même idée se révélait être fausse, elle pourra au moins compter sur Stephen par la suite…


Tenez.


John était revenu de la cuisine, 3 bouteilles de bière qu’il traînait entre ses doigts. Dylan en prit une et le décapsula. Elle bu quelques gorgées, ravalant par le fait même son embarras.


C’est un très bel appartement en tout cas… Tu y vis seul ? Autant s’assurer qu’il est bien célibataire.


Oui. La journée, mes amis, ou les membres de mon groupe, viennent souvent traîner ici durant des heures. Je suis rarement seul on va dire.


Dylan sourit et quitta le confort du canapé pour s’approcher des disques, entassé sur un meuble. Il en avait une panoplie, plus grande que la collection de la jeune femme. Rapidement rejoint par John, il caressa doucement l’arrière de son bras.


Tu aimes bien le vynile.



Dylan adorait ça. Elle pouvait lui nommer chaque disque qu’elle possédait. Mais elle se contenta de faire oui de la tête tout en plongeant son regard dans le sien. John attrapa un vinyle au hasard et s’approcha de son système de son qui disposait d’un tourne-disque. Après quelques secondes, un son granuleux se fait entendre, suivi d’un roulement de tambour. C’était le début d’I put a spell on you, reprise par creedence clearwater revival. Le rythme était propice aux déhanchements et entraîna tranquillement Dylan dans une danse assez lente. Sa tête entama de long mouvement qui emportait ses cheveux. Ses pieds suivaient la cadence, le reste de son corps suivait le son des instruments. Ses hanches se mirent à onduler gracieusement alors qu’elle invita du regard Stephen, sourire aux lèvres. Loin de vouloir jouer la séductrice, elle était plutôt obnubilée par la chanson. Les haut-parleurs diffusaient un volume assez haut, mais rien ne les empêchait de bien s’entendre.


Ça ne gênera pas ton ami si je me joins à toi… ?


Des mains glissèrent sur ses hanches, frôlant ses fesses et se refermèrent contre son ventre. Dylan frissonna à l’appuie de son dos contre ce corps immense qui accompagnait ses mouvements. Malgré que John ne dansait pas vraiment. Il profitait du frottement fessier de la jeune femme qui contractait sur son aine. Si ce n’était pas un début d’hostilité, comme disait Stephen, il n’aura pas fallut grand-chose pour les entamer… 

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Les alentours de la ville / Re : Take me away | PV
« le: samedi 16 novembre 2013, 22:12:20 »
Dylan n’avait rien à ajouter suite à la remarque de Stephen sur les rencontres. Oh oui, elle était servie. Sauf que quelque chose la titillait dans ces propos. On aurait dit qu’il sous-entendait autre chose. Mais peut-être était-ce l’alcool qui la rendait sensiblement susceptible aux idées érotiques. Elle se contenta d’afficher ce mince sourire qui recelait un oui, répondant au boxeur. John en faisait autant, souriant en montrant ses belles dents. Ses yeux brillaient derrière sa mine souriante. Il respirait une telle sensualité et de charme que Dylan osait à peine profiter pleinement sous risque d’exploser. Elle et ses ovaires.


Mais Dylan fondit littéralement suite au commentaire sur son hybridité. Il la trouvait jolie et considérait Stephen chanceux. Elle rougit, riant doucement. Son regard se porta sur Stephen avec un air qui semblait demander s’il avait bien entendu, mais de manière tout aussi espiègle. Il affirma d’un signe de tête, une réponse qui alla à John.


Bande de charmeur… Un franc sourire accompagnait ses propos, les yeux baissés.


Le contact de leur jambe éveilla un désir ludique chez elle. Discrètement, elle monta sa jambe, mais frôla plus franchement celui de son guide. Elle grimpa jusque là où la pointe de son pied lui permit, c’est-à-dire entre ses cuisses. Il ne faudrait qu’une poussée délicate pour qu’elle atteigne la bosse à travers son pantalon. Mais joueuse, elle resta là un instant, mimant d’étirer son pied qui pela presque son chibre, puis finit par reposer sa jambe. Entre temps, John leur expliqua qu’il était musicien et qu’il avait toujours vécu à Nashville. Soudain, il prit un ton plus sérieux et leur demanda dans quel hôtel ils logeaient, si c’était celui qui était à quarante minutes du bar. Dylan fit mine de rien saisir, mais elle comprit bien vite qu’aucun hôtel ne se trouvait à proximité et que les taxis et bus étaient rares dans la ville. Nashville avait beau être une belle place, mais niveau possibilité de s’y loger sans réservation s’avérait être ardu et risqué. Mais les road trips amenaient nécessairement des imprévus. 


Qu’est-ce qu’ils allaient faire ? Déjà, c’était hors de question de campé ou dormir dans la voiture. Dylan avait peine à remarquer l’ouverture qui se présentait à eux et par John. Mais autant demander. Après tout, ça ne coûtait rien.

Tu ne connais pas un endroit tout près où on pourrait être hébergé ? Quitte à ce qu’on paie… J’avoue que nous sommes pas mal pris aux dépourvus.


John pourra alors remarquer leur manque de préparatifs face à leur venu. Mais qu’est-ce qu’il pouvait bien en faire ? Ça leur avait donné l’occasion de se rencontrer. Dylan regarda un instant Stephen. Il ne semblait aucunement dérangé, contrairement à elle. C’était à se demander ce qu’il avait en tête. Dylan revint sur John qui se mit à sourire.


Je n’habite pas très loin d’ici. Il m’arrive d’héberger des gens en voyages ici. Si ça vous dit, je vous propose de vous inviter chez moi. Ça ne vous coûtera rien… Excepté votre compagnie pour la soirée.


Son regard follement aguicheur brillait. Nul besoin de parole. Tout était dans sa façon de fixer la psychologue. Elle frémit encore. Après un rapide échange silencieux avec son compagnon, Dylan devina que ce serait mieux qu’ils acceptent.   


On ne voudrait pas gêner… Mais si tu proposes, c’est d’accord.


Elle humecta ses lèvres en plongeant son regard dans celui de John.

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Les alentours de la ville / Re : Take me away | PV
« le: samedi 16 novembre 2013, 03:34:44 »
Dylan ne pouvait dissimuler cette espèce d’émerveillement qui enjolivait ses yeux face au bel inconnu. Il ressemblait avec presque exactitude à l’acteur qui l’avait tant fait fantasmer, sauf à quelques différences près qui confirmait que ce n’était pas Jason Momoa. Par exemple la forme de son visage était légèrement plus allongée et ses lèvres étaient un peu plus  fournies. Mais son regard était distinctement la même et produisait un effet identique chez la psychologue... Elle en frémissait. Stephen ne paraissait pas gêné par la demande de l’inconnu en s’invitant à leur table. Il lui pria de prendre place avec eux et l’homme s’exécuta, frôlant de près le dos de Dylan lorsqu’il passa derrière elle. Ses joues s’empourprent. Il rependait son odeur d’homme dans son passage et venait remplir les narines de la jeune femme qui pinça ses lèvres. Il lui rappelait tant de chose, tant de sensation qui fourmillait dans son bas-ventre. C’était frais sous son épiderme. Un regard furtif vers Stephen, comme si elle avait projeté toutes ces images par ces mires et qu’il les avait reconnus. Elle se mit à sourire en prenant une lampée de whisky.


Le bel inconnu engagea de manière naturelle la conversation, leur demandant s’ils étaient un couple en vacances. Dylan se retient de rire, en lançant un regard complice à Stephen qui garda le silence. Elle comprit très vite qu’il lui laissait la parole et le maudit intérieurement, tentée de raconter un peu comme bon lui semblera… De son anglais, marqué de son accent japonais, elle articula doucement sans quitter des yeux le boxeur :


Disons que nous sommes deux amis très proches qui avons décidés de voir du pays…


Tournant son visage vers le bel homme, elle lui sourit. Ce dernier ne semblait pas saisir leur relation même après ces mots, mais après un haussement d’épaule il attesta. Il leur proposa une bouteille de Campari, pour accompagner leur bourbon. C’était un alcool moins fort, mais que Dylan n’avait encore jamais essayé. Tandis que le sosie attendait après la bouteille, la jeune femme observa son compagnon, essayant de sonder ce regard qui ne la quittait plus. Elle plissa des yeux, le défiant et tenta de lui faire comprendre qu’elle n’hésitera pas à dire n’importe quoi si on lui redonne l’occasion. Un jeu qui l’attirait et auquel elle espère voir Stephen contribuer. 


Dylan glissa son verre vers son voisin qui ajouta la boisson au bourbon. Le liquide prit une autre couleur, allant vers un ton écarlate. Ils trinquèrent tous les trois et Dylan goûta au cocktail. Dès la gorgée en bouche, elle devait admettre que le Campari rehaussait considérablement le goût. Une saveur d’orange caramélisée tournait sur sa langue. C’était doux et délicieux.


Leur nouveau compagnon leur demanda par la suite ce qui les amenait à Nashville.  Après quelques secondes de silence de la part de Stephen, Dylan décida de se lancer.


Ça fait longtemps que je voulais y venir. Mon grand ami que voilà est mon guide touristique et n’a pas cessé de m’en parler. Il y a fait ses études. C’est une charmante ville en tout cas.


Demi-sourire aux lèvres, ses yeux toisaient ce visage si attrayant. Dans son esprit se matérialisa tous les fantasmes qu’elle avait pu avoir de son acteur fétiche, les scénarios les plus érotiques, les plus prenants, frustrants ! Que seuls ses doigts avaient pu assouvir. Ô combien elle aurait donné cher pour profiter d’une seule nuit avec lui aussi invraisemblable que cela pouvait paraître. Mais un acteur venait s’ajouter dans ses passionnantes trames luxurieuses : Stephen. Le plaisir qu’elle imaginait recevoir de Jason Momoa mêlé à celui du boxeur -un plaisir qu’elle eut l’opportunité de goûter- c’était assez pour éveiller son envie. Ouf ! L’alcool n’était pas la seule chose qui l’enivrait en ce moment.


Je m’appelle John en passant. Il présenta sa main à Dylan qu’elle prit aussitôt. Moi, Dylan. Elle laissa Stephen le soin de se présenter.

La prise de sa grande main couvrait encore la sienne, plus petite. Il avait pratiquement la même carrure que le boxeur et elle se demanda ce qu’il devait faire pour conserver une telle silhouette. Après les présentations, John regarda longuement Dylan, un mince sourire étirant ses lèvres entourées de sa belle barbe. Il avait un regard tendre et pénétrant, au même titre que son beau ravisseur, mais adoucit d’une tendresse qui saisit totalement la jeune femme, troublée.   


Tu es Japonaise je parie !


Le sourire de la psy s’agrandit, supposant qu’il n’avait pas raté les formes amincis de ses yeux.


Métisse. Japonaise et Américaine. Mais oui, je vis au Japon… Tu fais quoi dans la vie ? Tu vis à Nashville ?


Elle reprit un coup de son cocktail en jetant un œil à Stephen. Son pied, délicatement, alla frôler la jambe du boxeur, alors qu’elle décroisait ses genoux. On ne pouvait pas réellement distinguer si elle l’avait fait intentionnellement ou si c’était par inadvertance. 

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Les alentours de la ville / Re : Take me away | PV
« le: jeudi 14 novembre 2013, 04:50:35 »
Boire les avait plutôt bien réussit. Ce regard que Stephen lui lançait en disait long, en plus d’être épouvantablement séduisant. Une bouffée de chaleur s’émana de ses joues, de son cou, précisément sur des régions sensibles de son corps. Dylan aurait tendance à dire que le fait de partager un lit avait facilité le rapprochement. Mais malgré ces prétextes, ils auraient fini de la même façon peu importe comment et rien n’empêcherait que ça se reproduise. Alcool ou non.


Elle ajusta ses lunettes sur son nez d’une touche de son index et regarda Stephen verser le bourbon dans les verres. Il répondit à ses questions sur Nashville, qu’il y avait vécu trois années avant de retourner boxer au Texas. C’est de là que lui venait cet accent typique. Pour la ville, il précisa qu’il ignorait s’il avait changé, mais que le pub était resté comme dans ses souvenirs. Les lèvres de la psychologue esquissèrent un sourire, ravie de voir qu’il semblait apprécier y revenir.


Le bourbon servit, il ne restait plus qu’à y goûter. Stephen leva son verre, suivi de Dylan. Elle inspira longuement, jusqu’à avoir assez de courage et souffla vite. La première gorgée fut atroce, brûlant sa langue et sa gorge, en plus d’avoir un goût très robuste. Elle pouvait sentir le liquide couler jusque dans son estomac, tandis qu’elle grimaçait en se tenant les lèvres. Elle esclaffa un rire en soufflant amplement pour dégager la chaleur de sa bouche, relâchant un « Ouf » plutôt révélateur. L’effet euphorique de l’alcool se manifesta très vite cependant. Dylan envisagea de boire assez tranquillement… Stephen poursuivit la conversation, orientant les questions sur la vie de la jeune femme à Seikusu.


J’ai vécu à Tokyo tout au long de mes études. Dès que j’ai eu mon diplôme et ma maîtrise, j’ai immédiatement cherché un emploi. Faute de n’avoir rien trouvée, j’ai débuté dans un hôpital à Seikusu. J’ai ouvert mon cabinet il y a deux ans. C’est bien payé oui… C’est ce qui a permis de financer mon voyage ici. Elle sourit doucement quand Stephen lança qu’il faudrait peut-être qu’il passe la voir une fois rentrée. Le rouge frôlant ses joues elle enchaîna, limitant son sourire : Ouais, pourquoi pas… Je te laisserais mon numéro.


Ces mots n’auraient pas sortie la veille. Mais rendus où ils sont maintenant, elle pouvait considérer qu’elle avait assez confiance en lui. Ils continuèrent leurs échanges, banales, sans trop se soucier des gens autour d’eux, ni du temps. Dylan s’habitua de plus en plus au goût baraqué du bourbon, démontrant en même temps à son compagnon sa teneur à l’alcool. Elle se démontrait un peu plus joviale, mais on ne pouvait discerner la raison. Était-ce l’alcool ou son aise qui s’instaurait avec le boxeur ? Peut-être les deux. Néanmoins, elle réclama un deuxième verre lorsqu’elle finit son premier.


Il commence à avoir du monde…


Les places se font de plus en plus rares. Les voix s’étaient élevées d’un ton. La musique enchaînait les morceaux rythmés et entraînants. C’était une ambiance que la psychologue appréciait énormément. Mis à part la langue parlée, elle se sentait dans son monde, tel les bars qu’on retrouve à Seikusu. Elle se rendait compte qu’elle était bien.


Je commence à saisir le goût… Il est excellent.


Elle parlait de l’alcool. Elle en reprit une lampée, celui-là moins costaud par l’habitude… ou par l’engourdissement. Souriant un instant à Stephen, elle balaya d’un regard furtif dans son champ de vision et stoppa vers le bar par-dessus l’épaule du boxeur. Une personne déambulait parmi la foulée qui ne finissait pas de s’agrandir. Grand, cheveux mi-long et brun, un torse bien fourni et surtout un visage familier. Dylan se mit à le dévisager jusqu’à se souvenir de ce visage…


Attends, ce ne serait pas… Examinant toujours le type qui venait d’entrée dans le bar, elle se rendit finalement compte que ça ne pouvait pas être celui qu’elle pense. Stephen devait se demander de quoi elle parlait. Pardon ! C’est ce mec… Il m’a fait penser à un acteur pendant quelques secondes. Il jouait dans une série que j’aimais bien… Oh bon sang ! Il s’approche de nous.


En plus de s’approcher, il regardait dans leur direction. Il avait une peau ambrée et satinée. Quelques grains de beauté longeaient le bord d’un de ses yeux, telle une larme. Une barbe  coupée court renforçait cet aspect de mâle qu’il dégageait dans sa prestance. Ses traits rappelaient ceux des amérindiens, hawaïens en plus d’être très bel homme. Il portait un t-shirt noir qui moulait ses pectoraux et un jeans foncé. Par la grande surprise de Dylan, il s’adressa à eux et en Anglais.


Bonsoir ! Je ne veux pas vous déranger, mais je crois que c’est les seuls places de disponible… D’un mouvement de tête, il désigna les chaises à leur côté. Ça vous gêne si je me joins à vous ? 


Dylan n’arrivait pas à détacher ses yeux de ce visage, fort troublant. Elle dissimulait avec peine cet air ahuri et à la fois charmé. Intimidé par sa demande, mais également par la ressemblance flagrante de ce type avec l’acteur Jason Momoa. Parle ! Dis quelque chose ! Fais quelque chose ! Dylan !


Euhhh… Stephen ?


Un grand sourire vers lui pour signaler que ça ne lui dérangeait aucunement. Au contraire même !

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Les alentours de la ville / Re : Take me away | PV
« le: mercredi 13 novembre 2013, 04:11:57 »
Dylan sourit davantage à la remarque sur ses goûts musicaux. C’est vrai qu’elle avait surtout l’air d’écouter de la vielle musique des années 40 plus qu’autre chose. Mais il ne fallait pas toujours se fier aux apparences.



J’avoue… Il m’arrive d’écouter de la bonne musique…



Elle se mit à fredonner le refrain, tapotant ses doigts en rythme sur le volant. Stephen lui indiqua de prendre la prochaine sortie. Alors, Dylan emprunta aussitôt la voie de droite, en se plaçant entre deux voitures. La circulation était de plus en plus dense à mesure qu’ils s’approchaient de la ville. Elle était longée par une rivière, la Cumberland river qu’on pouvait apercevoir depuis l’interstate 40. La voiture emprunta la fameuse sortie et quitta enfin l’autoroute. Nashville n’était pas plus grande que New York, mais restait  impressionnante avec ses buildings qui s’élevaient au loin. Dylan devait s’avouer impatiente de s’y promener n’en pouvant plus de rester confiné devant le volant.



Stephen admit qu’il ne savait pas trop pour l’hôtel. Une réponse qui ne rassura pas trop la jeune femme. Elle aurait préférée qu’il lui suggère un endroit. Mais elle finit par se dire que cette ville ne risquerait pas de manquer de chambre, ni d’hôtel. Comme le disait son compagnon, tant qu’ils auraient de l’argent…



En effet… Sinon, il y a toujours les stations-services.



Elle lui jeta un bref regard, avisant qu’elle plaisantait. Évidemment, elle avait fait référence à son braquage qui avait précédé leur rencontre. Roulant toujours sous les directives de Stephen, ils s’enfoncèrent de plus en plus dans la ville. Lui, désirait l’amener dans un bar qu’il disait connaître. Ça tombait bien. Elle, désirait décompresser dans une ambiance cordiale avec de la bonne musique et de quoi agrémenter la soirée… Le soleil reflétait ses dernières lueurs sur les hauts des immeubles, tandis que Dylan stationnait la voiture près du bar. Après un bref étirement des gambettes et des bras, elle se jeta sur Stephen, serrant fermement son torse. Cette étreinte subite se termina sous le visage expressif de la psy exprimant son emballement d’être enfin arrivé.



J’avais mal au dos… On y va ? Le tout dit le plus sérieusement du monde.



Le bar se trouvait à une centaine de mètre du stationnement. Moyennement grand, il offrait une grande capacité pour la clientèle avec ses nombreuses tables en bois et les sièges surélevés qui bordaient le bar. Des mures aux couleurs foncés étaient rehaussées par plusieurs disques, photos autographiées de groupe et guitares, tous ça encadrés, ce qui rendait l’ambiance à la fois chaleureuse et vivante et rappelait l’aspect typique des pubs européens. Il y avait du monde ce soir-là. Ils prirent place à une table et un serveur vint rapidement prendre leur commande. Stephen commanda du bourbon dont le nom échappa à Dylan. Il y avait de la bonne musique, mais étouffait légèrement leur voix. Le serveur repartit. Le boxeur lui lança que si elle désirait lui faire plaisir, il faudrait qu’elle goûte au bourbon typique Texan. La métisse écarquilla légèrement les yeux, en signe de stupeur. Il allait la faire boire quelque chose qu’elle n’avait encore jamais bu.



Tu veux me saouler ? Lança-t-elle en riant. Très bien. Mais faudra s’arranger pour trouver un endroit où dormir tout près. Je crois avoir aperçu deux trois hôtels pas loin.



Elle appuya ses coudes sur la table et prit le temps d’observer les lieux. Les discutions des autres clients offraient un son ambiant propre au bar et se mêlaient à la musique. C’était assez bondé à cet-heure là. Étant donné que c’était le week-end, les lieux allaient se remplir d’heure en heure.  Dylan acheva le tour sur Stephen, qu’elle regarda un instant dans les yeux. Mais prise par l’image de la veille, celui de ses lèvres mouillées de sa langue, elle baissa le regard, troublée. Elle se racla la gorge pour prendre la parole.



Nashville est comme dans tes souvenirs ? Tu y as vécu combien de temps ?



Le serveur revint avec une bouteille et deux verres. En voyant le liquide ambré ornant la bouteille en verre, elle déglutit. La psy était tenace mais peut-être pas à ce point.

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