Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Serenos I Aeslingr

Pages: 1 ... 161 162 [163]
2431
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 29 juin 2010, 21:03:45 »
Tiens -_- Ca me rappelle quelqu'un, cha è-é

*Continue quand même ses câlins*

^w^ Barf, quand on est aussi froide que toi et qu'on crève de chaud, y'a pas mieux ^w^

15h04

2432
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 29 juin 2010, 20:58:45 »
*Câlin à Kira*

L'est grognon mais il t'adore =3  Ca va passer *le sait, lui, l'est pas fou*

15h

2433
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 29 juin 2010, 20:46:42 »
è_é tant que tu ne t'en sers pas contre moi, y'a pas de mal.

*Serre ses pouvoirs et artéfacts contre lui*

(>è_é<)

14h47

2434
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 29 juin 2010, 20:39:21 »
-_- Voilà une femme que je ne fréquenterai pas.

*Va plutôt dans les bras de sa traitresse bien-aimée, tiens*

14h40

2435
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 29 juin 2010, 20:36:06 »
*Regarde Béatrice et hausse les épaules*

C,est moi ou ce pouvoir, j'le sens pas trop?

14h36

2436
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 29 juin 2010, 20:31:35 »
*Enferme Xenom dans un bocal*

Parfait; en manque de denrées, tu crèves.

14h32

2437
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 29 juin 2010, 19:33:38 »
Ouais -_- Elle n'a jamais voulu du mien, alors...

*Recommence à bouder.*

13h34

2438
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 29 juin 2010, 19:11:21 »
Ah ben ca c'est pas cool  :(

13h12

2439
Je tremblais de rage, là, immobilise par mes liens. Mes mains voulaient enlacer son cou et l’étrangler jusqu’à ce que la vie disparaisse de ces beaux yeux noirs, jusqu’à lui broyer la nuque et la regarder mourir. Je la haissais à un point que je ne me croyais même pas capable d’haïr une personne, une femme de surcroît. Mais tout bascula lorsque son regard changea. Elle semblait sur le point de pleurer alors qu’elle se défendait de ma rage, comme si j’étais en position de la mettre dans cet état, comme si j’étais l’homme le plus cruel qui n’ait jamais existé, un ingrat et un tricheur. Elle avait l’air d’une femme enceinte devant son mari qui lui annonçait qu’il la quittait, comme s’accrochant à moi pour que je ne lui en veuille pas. JE fermai les yeux et je tentai d’ignorer cela, mais elle me connaissait, elle savait que je n’étais pas hargneux. Elle savait que je pourrais fléchir, mais il fallait que je conserve mon attitude, il fallait que je l’ignore, que j’ignore ces yeux-là. De l’amour? Non mais comme si une femme comme elle avait besoin d’amour, comme si une femme comme elle pouvait en ressentir. Une femme capable de trahir l’homme qu’elle « aime » ne l’aime pas.

Les bracelets de fer disparaissent, la faiblesse de la libération me prend et je tombe au sol, nu. Le sol est froid, le sol est propre, le sol est blanc. Je n’ai pas envie de me relever, j’ai simplement envie de m’endormir contre ce sol, de dormir comme je m’en suis empêché pendant si longtemps, dormir comme j’aurais dû le faire, comme tous les humains, alors que je n’en étais qu’à peine capable. Une heure de sommeil m’aurait suffi, simplement une heure, pour que je n’ai plus à penser à tout ce que cette femme représentait à mes yeux. Une amante extraordinaire, une confidente attentive, une amie sans égale et une femme intelligente… pourquoi en étions-nous là? Pourquoi m’a-t-elle trahi? Pourquoi fallait-il que je la haïsse tant, maintenant que je n’ai plus rien? Rien pour moi, rien pour qui que ce soit. J’étais seul, et bien seul.  Je pourrais aussi bien tout oublier et me soumettre à cette femme pour l’éternité, devenir son animal de compagnie, ou alors partir dès que mes pouvoirs me seront rendus. Mais finalement, je posai le plat de ma main droite sur le sol et je poussai pour me redresser. Mes muscles étaient atrocement douloureux, comme s’ils n’avaient pas servi pendant des années, de longues et sombres années. Je poussai un grognement de douleur avant d’agripper ces vêtements qu’elle m’avait donnés… et je me rendis compte qu’il s’agissait d’une tenue de la terre. Ne connaissant pas les styles, j’aurais dit punk ou gothique, je ne sais pas. Je mis d’abord le débardeur, le pantalon, jeans comme ils les appellent là-bas, laissant l’ouverture inférieure du vêtement supérieur se glisser dans celle du pantalon, refermant celui-ci-dessus avec une ceinture noire. Par-dessus, je passai un tee-shirt noir et enfin la veste. Je remarquai enfin que mes cheveux avaient été coupés. Je ne passai pas un seul commentaire à ce sujet. J’étais habillé, au moins, et elle me laissait tranquille.

Je la suivis. De toute façon, je n’avais que ça, du temps. Du temps… et qu’est-ce que je pourrais bien faire de ce temps? Machiner des centaines de moyens de lui faire la peau? Je n’avais pas vraiment la tête à cela. Tout ce que je savais, c’était que je ne voulais pas rester avec cette femme pour le reste de l’éternité, surtout pas après qu’elle m’ait prit mes biens les plus chers et mes amis les plus proches. Par sa faute, je n’avais plus rien, et encore plus enrageant était la réalité qui s’imposait à mon esprit. « Je n’ai plus qu’elle… je n’ai plus qu’elle qui me comprend… elle qui sait ce que je suis… » et suite à ces pensées, je sentis la haine envers moi-même grandir davantage, menaçant presque de hurler ma colère contre ce monde merdique. J’étais heureux avant tout cela, et maintenant, tel un prince déshérité, j’étais tombé dans une disgrâce inimaginable. Je la regardai encore une fois.

-Vous pensez à une nouvelle manière de me torturer l’esprit ou c’est vraiment du souci qui se dépeint sur votre visage? Lancai-je toujours avec la même froideur… pour cacher mon inquiétude.

2440
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 29 juin 2010, 08:22:56 »
\o/ Missy!

*Serre la copine*

^w^

02h24

2441
Prélude / Re : Michel
« le: mardi 29 juin 2010, 08:22:00 »
è_é T'es pas drôle, Xenom

2442
Prélude / Re : Michel
« le: mardi 29 juin 2010, 06:08:45 »
*Lucifer ricane et fait sortir une aile noir hors du dos de son hôte*

*Kamui grommelle et fait un salut à Michel*

Bienvenue... *A quand même envie de l'étriper* Amuse-toi bien...

2443
Je fixai Mélisende avec froideur. Cette femme me dégoûtait. Je n’arrivais pas à croire que je lui ai fait confiance, et aujourd’hui, je me demandais comment j’ai fait, alors que la lumière la dévoilait au grand jour. Pour elle, serments et promesses ou engagements avaient autant de signification qu’une affiche sur laquelle était imprimé le visage de Nicolas Sarkozy, qui était hideux, d’ailleurs. Je me reprochai ma faiblesse, et surtout la colère qui m’habitait. Je n’avais de réprimandes à faire qu’à moi-même, et pas à elle, qui avait agi de cette manière car je ne l’aurais jamais soupçonnée de me trahir. Elle ouvrit une nouvelle fois la bouche, pour souligner la piètre qualité de mon hygiène à ce moment-là puis elle avait sifflé une petite terranide, ce qui accrut encore plus mon dégoût pour elle. Les esclaves… comme si ces pauvres petites avaient besoin de cela en plus de la discrimination sous laquelle elles vivaient. La magicienne agrippa mes vêtements et me les arracha sur le corps, et mes liens m’empêchèrent de la heurter de mon torse pour protester contre ce geste, et elle prit une éponge et se mit à laver mon corps, de ses mains chaudes et câlines. Je savais qu’elle faisait cela uniquement pour allumer mon corps, mais l’envie n’était pas là, mais alors pas du tout.  Même le fait qu’elle m’ait guéri ne calma pas mon courroux. Lorsqu’elle me demanda comment je me sentais, je crachai à ses pieds avec mépris, lui adressant un regard narquois, avec le sourire arrogant qui l’accompagnait.

-Tant que je verrai votre visage devant le mien, je n’aurai qu’une envie terrible de nausée, la provoquai-je avec haine.

Je la détestais. Je la détestais à un tel point. Moi qui aimait à un point presque innocent la douceur et la gentillesse, même avec mes propres prisonniers, je ne parvenais pas à trouver la bonté nécessaire pour lui adresser la moindre parole doté de politesse et de douceur. Je me sentais trahi jusqu’aux tréfonds de mon être, j’avais, sottement, cru qu’une espèce de lien nous unissait, que nous nuits dans les bras l’un de l’autre avait créé une espèce de complicité entre nous. Espèce d’abruti…  Ne jamais faire confiance à une mage noire qui recherche le pouvoir. Non mais qu’est-ce que je croyais? Qu’elle finirait par ressentir des émotions pour moi? Que nous finirions par nous aimer, alors que nos buts respectifs sont si différents? Nous n’avions rien en commun. Rien. Pas même nos passions pour la magie. J’aimais protéger les gens, elle les écrase pour augmenter ses pouvoirs, et elle abuse d’eux, et les hommes qui en savent plus qu’elle, elle les séduit pour leurs arracher leurs secrets. Je sentais mon cœur battre dans mes oreilles, et fortement d’ailleurs. Combien de temps a-t-elle fidèlement servi mon fief? Dix ans? Dix ans… oui. Dix ans. Dix longues années. Je la regardai avec colère. Comment avait-elle pu me faire cela? Faire cela à mon fief, aux gens qui ont partagé sa vie sur une si longue période. « Dix ans pendant lesquels les hommes, femmes et enfants venaient la voir pour demander des soins ou des conseils pour améliorer leurs conditions de vie, dix ans pendant lesquels j’ai partagé son lit. Nous étions tous deux immortels et pourtant, nous trouvions toujours un moyen de pimenter nos rencontres. En tous, nous avons passé un an complet ensemble, car nous nous voyions après mes excursions dans des territoires dangereux à la recherche de reliques magiques. Que je fus sot. Que je fus sot…

2444
Prélude / Kamui Nefraet nos Vaer (Valithé)
« le: jeudi 24 juin 2010, 17:59:58 »
(Si j'ai omis de faire citation d'une personne, faites signe, je corrigerai l'histoire)

Nom :
Nefraet nos Vaer

Prénom:
Kamui

Age :
Inconnu

Sexe :
Homme.

Race :
Mi-Démon, Mi-Humain. Il est également possédé par les ombres.

Orientation sexuelle:
Bisexuel, bien qu'une préférence pour les femmes.

Description physique :
Dans la force de l’âge, formé par un entrainement militaire plutôt rigoureux, bien que loin de procurer une musculature de titan, le corps de Kamui est plutôt fermement musclé, mais menu. Ses bras sont longs et accueillants, bien forts et sont habiletés à exécuter des gestes ma foi élégants et souples, que ce soit au sabre, à l’arme à feu ou simplement aux doux touchés des caresses. Ses jambes sont solides et lui procurent un avantage de stabilité au combat d’escrime et une célérité impressionnante lorsqu’il doit faire un repli stratégique ou une simple fuite. Il pèse environ 60 kilos pour une mesure en hauteur d’un mètre quatre-vingt, quatre-vingt un si on compte ses cheveux noirs. Eh oui, ces épines noires et blanches sur son crâne sont bel et bien des cheveux, pas des clous disposés n’importe comment sur sa tête. Ses quelques mèches blanches sont naturelles, bien que des gens puissent être persuadés du contraire, simplement causée par l’existence des ombres au fond de lui-même. Son visage est fin,  doté d’un nez plutôt discret, mais bien existant, mais d’une pâleur inquiétante, comme s’il avait saigné toutes les nuits. Ses yeux bleus pétillent d’intelligence et de sagesse, bien que d’une colère bien souligné par des légères cernes. Il est généralement vêtu d'une cape à capuchon brune et poussiéreuse qui empêche les gens de voir son visage. Sous cette cape, il porte une cotte de maille et des jambières recouvrant ses jambes, bien qu'elle n'offre aucune protection dans les interstices.

Caractère :
Plutôt gentil et agréable, il n'est pas du genre à se fâcher sans raison, mais il peut réagir facilement sans réfléchir quand quelque chose vient déranger ce calme relatif. Il est imprévisible et on ne sait jamais, jamais, comment il réagira à chaque question. C'est un musicien dans l'âme et il adore particulièrement jouer de la musique, surtout des instruments à cordes, tels la guitare, le luth et la harpe. Doté d'une grande sensibilité ainsi que d'un talent impressionnant pour trouver les mots à mettre dans un poème, il arrive aisément à charmer les femmes avec les mots qu'il glisse dans ses vers. Il est compréhensif, et n'importe qui peut rechercher de la gentillesse ou du réconfort auprès de lui et il n'hésitera pas à faire des pieds et des mains pour faire en sorte que la situation d'une personne très malheureuse parvienne à s'améliorer. On dira de lui qu'il est un protecteur de la veuve et de l'orphelin, mais il est très sélectif dans les gens qu'il protège. Il sait faire un plus un, et comme il sait qu'en tuant le mari d'une certaine femme pour la protéger de sa violence, il condamnerait cette même femme à vivre dans la rue, sans le moindre support autre que le sien, ce qui ferait de lui son garant, chose qu'il ne peut malheureusement permettre. Il n'agit que par nécessité ou ivresse du moment, mais jamais sans calculer d'abord les répercussions de ses actes. Il est affreusement méfiant et ne fera jamais confiance à qui que ce soit avant des lunes.

Histoire:
Au milieu de la place publique de la Ville-État de Nexus, un jeune barde s’installe. Il a un capuchon sur la tête et un luth accroché à son dos. Au centre du quartier marchand coulait une magnifique fontaine, dont les reflets lumineux donnaient l’impression que le quartier était sous-marin. Le conteur et chanteur s’assoit avec élégance, sourit et passe la courroie de cuir retenant le luth par-dessus sa tête et l’installe sur ses genoux. Déjà, un petit public d’enfants et de jeunes parents viennent l’entourer. Doucement, il pinça la premier corde de son luth puis entame une mélodie répétitive pour accompagner son histoire et il prit la parole, laissant sa voix chantante et amicale parcourir son infantile public.

«Laissez-moi vous raconter une histoire, l’histoire de l’homme qui fut et qui n’est peut-être plus. Il serait sous votre nez que vous ne le reconnaîtriez pas. Seul son nom ne sera probablement jamais oublié, mais c’est en écoutant cette histoire que vous le reconnaîtrez. Attention, mes petits, cette histoire n’est pas un conte pour les enfants, mais si vous voulez, écoutez bien.

Le jeune homme vint au monde le 12 août, on ne sait plus en quelle année, mais il est né ce jour-là dans la ville de Seikusu, dans un autre monde, d’un père originaire des enfers et une mère humaine franchement bête, et très soumise. Il était l’ainé d’une génération de 4 enfants. Tout d’abord lui-même, puis sa sœur cadette, son frère cadet et la benjamine, qui était le fruit de l’incestueux et dénaturé viol de la sœur ainée par leur père. Entouré d’esclaves depuis sa naissance, et surtout étant la cible préférée de son père, il dût vivre avec les mauvais traitements, physiques comme psychiques, de ce bourreau toujours un peu saoul. La douleur était part de sa vie depuis la naissance, et graduellement, ses souffrances s’étaient endormie. Lentement, mais sûrement, la douleur désertait ses sens, ses nerfs ne ressentaient plus la brûlure du fer rouge, la douleur du fouet, la violence des coups. Son père le massacrait dès qu’il en avait l’occasion. Ce fut l’enfer pendant quatorze années, avant que, volant une grande somme dans le coffre-fort de la fortune familiale, il ne prenne la porte en douce, laissant derrière lui des servantes martyrisées, violées et battues à longueur de journée, peu importe la raison, se promettant de revenir un jour pour les secourir, ainsi que sa petite sœur, cette sœur qu’il aimait tant.

Trois ans plus tard, il fit la connaissance d’une nymphe, qui s’était cachée sous un pseudonyme, alors qu’il était de colle dans une classe de japonais. Cette nymphe exerçait déjà, de sa sensuelle personne, une fascination grandissante pour le jeune homme qui n’avait encore jamais expérimenté la sexualité, et elle parvint à faire de lui son esclave d’une nuit, faisant de lui tout ce qu’elle voulait. Pour ne pas dire qu’il devint temporairement obsédé par cette fille, il voulut toujours en savoir plus sur elle, depuis qu’elle disparut après cette même première nuit. Il ne la rencontra que plus tard, alors qu’il veillait sur une piscine municipale, mais elle s’était présentée sous une autre forme et avait entreprit de séduire la jeune femme qui était entrée par effraction dans l’établissement, où ils avaient été rejoints par un homme, qui était en fait un dieu recherchant sa Marque. Le jeune homme quitta les deux femmes après que celles-ci aient clairement démontré leur désintérêt pour les deux autres hommes qui assistaient à cet événement.

À sa première visite sur notre monde, Terra, il fit la rencontre, en traversant les cruelles landes dévastées, d'une belle Terranide recherchant comme lui la vengeance pour un être qui l'a mit dans ce monde merdique. Ils ont fait connaissance, puis une chose en menant à une autre, les choses les précipitèrent dans les bras l'un de l'autre. Ce fut une nuit douce et chaude, tout à fait le contraire de ce qu'il avait vécu auparavant. Cette terranide était une femme tendre et leur amitié... Kevin, s'il te plait, t'as quinze ans, je ne t'apprends rien... m'enfin, leur amitié prit un tournant important et ils se firent de multiples promesses de support dans leurs buts respectifs. Il dût néanmoins retourner chez lui, la quittant quelques semaines plus tard.

Il revint alors à son appartement et rassembla ses affaires. Après tout, l’école louait des chambres dans l’établissement où il pourrait s’installer pour moins cher encore. Une fois installé, plusieurs mois passèrent avant qu’il ne fasse la rencontre de son premier amour. Elle venait d’arriver à l’école, elle était un peu plus vieille que lui de quelques mois et elle entra dans sa vie suite à une décision administrative plutôt imprévue, mais très vite, l’amour s’était installé entre les deux nouveaux colocataires. Les mois qui suivirent ont été très agréables pour le jeune homme, avant que le destin ne frappe malheureusement à sa porte.

Alors qu’il allait se balader, un homme dénommé surnommé l’Alchimiste, ou bien une espèce de Dieu Ultime de quelque sorte, vienne chambouler sa paix enfin obtenu et l’emmena avec lui, presque de gré. Cependant, le déchirement qu’éprouva le jeune homme d’être séparé de sa compagne était si grand qu’il ne put que blâmer cet homme pour son malheur. Les mois étaient longs, et durs, et le pauvre homme-démon ne put que s’en peiner, encore et encore. L’Alchimiste n’était guère un homme de cœur, et encore moins de pitié, c’était un homme de logique, implacable et froid comme la glace. Il l’emmena dans son noir repère pour enseigner à son nouvel apprenti les secrets de l’Alchimie, ou plutôt pour le laisser apprendre lui-même ces sinistres secrets. C’est alors qu’apparut la splendide femme-Renard, qu’il flatta de compliments. Rusée, sombre et distante, mais désireuse d’être aimée, elle approcha cet homme, cet homme pour lequel elle avait sacrifié la fragile affection du Maître, sa confiance plus ou moins trahie malgré le talent de cet homme pour les arts occultes. Elle était belle et ses promesses étaient tentantes, et le jeune homme était avare, à cette époque. Elle lui demanda que deux choses, soit l’aimer et l’épouser. Ni une ni deux, ils étaient mariés et ils ont consommés le mariage l’instant suivant. Cependant, le nouvel alchimiste avait comprit une chose; on ne joue pas avec le Maître. Sa colère fut terrible. La Femme-Renard fut mutilée et dans son désir de devenir plus puissant, l’apprenti tenta de transformer ce qui ne peut être transformé; les ténèbres elles-mêmes. Son échec le priva du sommeil, de son humanité au grand complet, mais ses nouvelles capacités lui attirèrent les faveurs du Maître, qui lui accorda un enfant né de l’alchimie; un homuncule. Puis, une nuit, tout disparut. Tout. Lorsqu’il émergea de ses rêves éveillés, la Femme-Renard, son bébé et le Maître avaient tous disparus. Il sombra dans le désespoir et la noirceur pour deux longues années avant d’enfin désirer sortir de ce monde de ténèbres.

L’exposition à la lumière fut un premier contact assez… terrassant. Il ne parvint à soutenir bien longtemps la lumière et dû s’efforcer d’apprendre peu à peu à s’habituer à la vive lumière du soleil comme de la lune, ayant, depuis trois longues années, vécu dans le noir le plus total. Il prit alors la route vers la ville où nous nous trouvons en ce moment même; la ville-État de Nexus. Il a foulé le sol de la place publique et fit l’achat d’une esclave; la belle demoiselle était une femme terriblement soumise aux lois de ces êtres asservis par un être abject. Il tenta vainement de la séduire une première fois, puis il abandonna et il lui enseigna son nouvel art. Cependant, il lui avait ordonné de ne jamais faire de l’alchimie sans lui demander d’abord la permission de se servir de l'alchimie. Elle désobéit, malheureusement, et il l'avait grondée et, dans sa colère, il l'avait giflée. Elle l'avait très mal prit et fugua. Il partit donc à sa recherche, désespéré. Il fit une nouvelle fois la rencontre de la Terranide qu'il avait rencontrée dans les Landes Dévastées, ainsi qu'une petite demoiselle avec laquelle elle semblait partager... des émotions assez particulières. -Oui oui, les enfants, vous pouvez y aller, ce n'est pas une histoire pour vous.- Il se sépara et rencontra à nouveau l'école de cette ville et comprit alors que la luxure est très difficile à ignorer. Il fit la rencontre d'Hana, une belle et douce jeune femme aux étranges capacités; elle attirait les monstres. Et les monstres la désiraient, et elle les désirait aussi. Bon, je ne vous ferai pas le tableau des conquêtes, contentons-nous des pages importantes. Le protagoniste de cette histoire retrouva finalement sa servante, dans les terres éloignées de Tekhos, dans cette petite zone où les hommes n'étaient pas massacrés en grand nombre, entre les griffes d'un prêtre ayant passé un pacte avec les démons. Il tenta de la sauver, mais la menace de la mort de son aimée l'empêcha de porter son coup. Il dût ranger les armes et se laisser capturer. Il fut trainé dans les sous-sols d'une vieille église puis il fut maltraité, par la magie et les pouvoirs qu'il avait lui-même transmis à sa servante, soumise à une force autre que la sienne. Peu à peu, son corps désira devenir plus fort pour s'échapper et protéger son amante. Une femme, qui allait plus tard devenir sa plus proche amie, lui prit son sang et le déversa dans le ventre de la belle servante, augmentant encore le désespoir du pauvre jeune homme. Puis, elle lui demanda, alors qu'il avait perdu tout contrôle sur ses pouvoirs, prêt à tuer tous et chacun, de partir. Il en fut déboussolé. Il n'arrivait pas à croire que cela était arrivé. Il tenta de raisonner la jeune femme, mais elle resta sur ses positions. Refroidi par cette « trahison », si on peut l'appeler ainsi, il signa le pacte que le démon lui tendait, sous l'insistance de son épouse. Il partit ensuite.

Et une année passa. Sa servante revint, totalement changée. Néanmoins, il resta sur ses positions et continua de l'aimer... et cela conduit malheureusement à sa nouvelle chute dans les ténèbres, car plusieurs mois plus tard, elle le quitta, et c'est en voulant la retenir qu'il fut pourfendu par une lance d'énergie divine, enduite de l'essence même de son amante. Il dût se laisser mourir une première fois et assister, impuissant, au départ de cette femme qu'il aimait tant. Il la revit encore une fois plus tard, et il succomba une nouvelle fois à son charme, et fut encore une fois séparé. La troisième et dernière fois, tout fut bel et bien finit. Elle mourut comme une mortelle et elle devint nul ne sait quoi après sa mort. Le feu qui l'animait mourut avec elle pendant un long moment avant qu'une femme, une humaine immortelle, vint dans sa vie. Il en tomba amoureux, et avec elle, il fonda un tout nouveau monde, ici, sur ces terres, celle que nous nommons les Terres Mortes de Meisa, puisque nul descendant de ce maître ne réapparut pour en prendre possessions et détruire la malédiction. Ils s'aimèrent et eurent deux enfants, miraculeusement. Apparemment, c'était la magie entre eux qui permit cela, mais rien n'a été prouvé. La vie était bonne et paisible, jusqu'au jour où cet homme mourut. -arrêtez de protester, l'histoire n'est pas finie, non mais.-

Les deux jeunes filles, magiciennes, ramenèrent leur père à la vie. Néanmoins, les événements voulurent qu'il perde la mémoire et qu'il hérite d'une mauvaise entité en lui. Il grandit auprès d'une famille aimante, avant d'être retrouvée par la femme qu'il avait épousé dans sa première vie et ses filles qui le kidnappèrent et le ramenèrent chez elles pour l'élever en parfait seigneur. Sa femme était distante et froide envers cette réincarnation de l'homme qu'elle avait pourtant aimé, car elle considérait qu'il l'avait abandonnée, et puisqu'il avait eu le culot de revenir, la voilà forcée de l'élever. Il grandit puis il fit la rencontre d'une belle et jolie magicienne. Elle était sensuelle et exotique, dotée d'une silhouette magnifique, mais d'un esprit qui, il s'en apercevra plus tard, n'avait rien de bien pur. Poussé une nouvelle fois dans les bras d'une femme dangereuse, il ne fit guère attention et lui accorda sa confiance. Il n'aurait d'ailleurs jamais dû le faire, car quelques semaines plus tard, son monde était en ruine. Il fit mourir la terre avant d'être capturé par l'ennemi qui était tombé sur lui comme la foudre et qui avait rasé tout ce qui avait été à lui. Il s'était promis vengeance et il l'obtiendrait, coute que coute. »

Le soleil commençait à s'endormir alors qu'enfin, le barde range son luth et laisse son public ébranlé, choqué, touché et rêveur derrière lui. Il agrippa la bride du cheval qu'il avait acheté plus tôt et le monta pour ensuite le lancer au galop vers la sortie de la Ville-État de Nexus.

Situation de départ; vous l'aurez compris, il n'est plus vierge.

Autres: Ses pouvoirs sont pour le moment plutôt inconnus. On le sait invocateur, magicien, maître d'épée de grand talent et surtout sa capacité intéressante de pouvoir disparaître littéralement dans les ombres.

Comment avez vous connu le forum?: Je laisse deviner -_-

Avez vous un moyen de faire connaître ce site autour de vous?: Non, m'dame...

Pour plus d'information sur ce perso; regardez les rp de Kamui Meisa. Merci de votre attention.

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