Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Gnöle.

Pages: [1]
1
Cela faisait environ six mois que les clochards avaient fuis le pont de la quatre voies. Gnöle ne comprenait pas vraiment pourquoi. A la vérité, c'était assez obscur pour elle. Pourtant, elle ne les avait même pas mangé... Ils l'avaient vu, et puis il étaient tous partis en courant. Drôle de bêtes, ces hommes.  En faite, ils sont même incompréhensibles. Dès qu'on va vers eux pour leur témoigner de l'amour, ils se braquent. Et puis il fuit. Enfin, pour cette fois, Gnöle ne leur en voulait pas. Partis comme des voleurs, il lui avait laisser un grand carton, immense, comme ceux qu'il utilisait pour mettre les grands GRANDS écrans plats. Avec des couvertures dedans. Et puis il y avait aussi une drôle de boisson, dedans. C'était chaud et froid. Ça piquait la gorge. Et puis ça avait une odeur de désinfectant. Bref, il y avait deux trois bouteilles de boissons.
Gnöle avait pensé à ramener une table, mais bon. C'était lourd et elle n'avait pas les sièges qui vont avec. Cependant, au bout d'une semaine dans cette minuscule bâtisse qui était la sienne, elle se sentie bien seule, s'ennuyant presque. Elle décida donc d'aller se chercher de l'occupation.
Durant ses longues recherches de nourritures en ville, fouillant dans les poubelles et autres décharges, elle découvrit plein de trésors.
Très vite, son carton "Sony" fut plein de livres, qu'elle s'était finalement résignée à ne plus manger. Ce n'était pas assez nourrissant.
Elle rangea donc soigneusement les ouvrages à la gauche de son lit, et, comble du bonheur, elle avait même dénichée une bougie et des amulettes. Et puis petit à petit, les livres de lui suffirent plus.
Elle adopta donc une souris (qu'elle s'était à nouveau résignée à ne pas manger, même si c'était aussi nourrissant qu'une barre en fer), à qui elle offra un petit nid, une cage, laissée sur le trottoir par des déménageurs inattentifs (et dont le gout du pantalon était fameux, elle dû se l'avouer). La porte toujours ouverte, Gnöle avait enfin de la compagnie. Cependant et assez vite, Gnöle comprit que les souris étaient intellectuellement limitée, et puis aussi qu'elle aimait faire des trou dans le carton. Alors, la mort dans l' âme, plutôt que de fermer sa cage et de lui prendre sa liberté, elle alla la déposer devant la porte où elle avait "emprunté" la cage, et sonna. La porte s'ouvrit et une femme, d'environ trente ans, l'observa. Tenant la cage dans sa gueule, par quelques barreaux, Gnöle fit quelques mouvements de tête en direction de la femme. Celle ci resta muette et tomba finalement dans les pommes, ce que notre peluche traduisit comme une invitation à entrer.
N'ayant pas trop le temps, très poliment elle dit qu'elle refusait et déposa la cage dans le corridor avant de  repartie.

Et maintenant, elle était à nouveau seule.Elle réfléchissait. Pourquoi, pourquoi, pourquoi? Qu'est ce qu'elle avait fait pour être si seule... Elle ne voulait qu'un peu d'amour, aussi minime soit-il. Se lover contre une autre présence. Discuter avec quelqu'un, que celui ci la prenne dans ses bras, même qu'il se moque d'elle! Une larme de cristal coula le long de sa joue en tissus, mais elle gardait malgré tout ce sourire qu'elle ne pouvait faire disparaitre. Et puis, ses oreilles se mouvèrent. Mais, serait ce un glissement, ou un bruit? Oui, quelqu'un approche!
D'un bond, Gnöle se leva de son lit (qui n'était autre qu'un simple drap) et sorti, sous le pont. Il pleuvait à grosses gouttes. La terre semblait de la gadoue, et le fleuve qui obligeait l'autoroute à passer sur un pont semblait habiter. Mouvant sa tête de gauche à droite, Gnöle chercha fébrilement un invité à accueillir...

2
Prélude / Re : Gnöle? [fini]
« le: lundi 29 juin 2009, 18:56:15 »
Gnole!
*lèche Daclusia au visage*


[trad': je fais comme je veux maman!]

Gniiii...

[trad: Merfi pour la bienvenue! ^^]

3
Prélude / Re : Gnöle? [fini]
« le: lundi 29 juin 2009, 12:26:34 »
Gnerci!
Gnole!


[trad': Merci beaucoup de m'accueillir ainsi, j'ai donc fait à la souris mon avatar, en attendant de le scanner. Sur ceux, j'implore le grand admin de bien vouloir m'adder... Merci par avance.]

4
Prélude / Re : Gnöle? [fini]
« le: dimanche 28 juin 2009, 20:45:41 »
GNÖLLLEEE!!!

*Love love*

*Se colle à Roger puis se tourne vers Sandji en lui assénant un coup de langue bien baveux*


Gnole!

[traduction: C'est une joie immense que de vous savoir avec moi dans ce forum où, je le crois sincèrement, nous allons bien nous amuser. Quelqu'un accepterais de m'heberger?]

5
Prélude / Re : Gnöle? [fini]
« le: dimanche 28 juin 2009, 18:12:42 »
Et voila la présentation fini... Excusez l'absent d'avatar pour l'instant, il arrivera. promis.

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Prélude / Gnöle? [fini]
« le: lundi 22 juin 2009, 14:57:33 »
Nom/Prenom/Surnom : Gnöle (se prononce, Gnôle.)

Age :Euh... Vieux, ça, c'est sûr. De là à en dire plus...

Sexe : Femelle, d'après le timbre de la voix.

Race: Peluche (?!)

Orientation sexuelle:... Un peu tout le monde.

Description physique : A la vérité, Gnöle ne ressemble de manière véritablement à personne. Pourquoi? Sans doute est ce dû au fait  qu'elle n'est ni humaine, ni vampire, ni lycante. Elle n'est même pas extraterrestre. Sa peau n'est pas unicouleur et toujours douce. Non en vérité... Gnöle est une peluche vivante. Sa tête, rouge et de la forme d'un oeuf, est attachée à son corps noir et rouge cousu par un long cou composé de deux types de tissus( un rouge à point vert, et un autres rayé vert et rouge), lui aussi cousu. Sur cette fameuse tête, les yeux de Gnöle sont d'un bleu profond et délicat, mais cachés par deux énormes boutons vert qui l'empêche presque de voir clair. Presque, j'ai dis. Ses oreilles sont deux vulgaires morceaux de tissus verts coupés en pointes et retroussés vers l'arrière. Elle les bougent très rarement, pour mieux entendre ce qui l'entoure. Sa bouche (oui, elle en a une) est cousu comme un sourire de l'ange. Elle ne l'ouvre que pour manger, parler ou sourire. Mais lorsqu'elle l'ouvre, on peut voir... Une trentaine de dents de requins parfaitement blanches et très bien entretenue. Sa longue langue baveuse et rose ainsi que son gosier son tout ce qu'il y a de plus organiques, tout comme l'intérieur de son corps. Sans la queue, Gnöle fait plus ou moins 70 centimètres de hauts pour 90 de long, et 30 de large.

En parlant de corps, laisser moi vous parler à présent de son petit corps. Comme dit précédemment, Gnöle possède un long coup, un corps rond, mais saviez vous qu'elle se mouvait sur quatre pattes et qu'elle possèdait une queue d'environ six mètres? Et bien oui! Gnöle est ainsi. Ses pattes ont la forme de petits menhirs à l'envers, et accrochés à son abdomen rond. Au faite, les menhirs sont eux aussi rouge. Enfin, sa longue queue (pas de perversion, allons) est aussi fine que celle d'un marsupilami, avec un mélange d'un peu tout les tissus qui recouvrent son corps et possèdent à peu de chose près les mêmes capacités.
Seulement, et comme ce serait trop facile, Gnöle se transforme parfois, lorsque la lune est bien ronde. Elle devient alors une charmante jeune fille, aux yeux bleus... Brunette, les cheveux courts, accompagné de quelques dread locks multicolors. Sa peau est blanche comme un lys, et son petit nez aquilin ajoute à ses grand yeux, sans parler de sa bouche fine et rosé. Elle ressemblerait presque à une jeune fille... Seulement, ce visage si agréable est souillé de deux cicatrices: La première est située juste au dessus son oeil gauche, et l'autre relie l'extrémité droite de sa bouche à son oreille droite, formant... Une moitié de sourire de l'ange. Etonnant non? Pour le reste, son corps est celui d'une jeune fille, c'est à dire avec de petits seins ronds (95D), une taille fine et svelte, et surtout... Un joli petit fessier, surmontant de longues jambes fines et musclés, qui elles même surmonte des chevilles délicates et des pieds qui ne sont évidemment pas des palmes....
Je crois que on a fait le tour?

Caractère : Le caractère de Gnöle se résume en deux mots: Amour et Calin. Gnöle est un peu comme un tube d'euphorisant. Elle ne distribue que de l'amour, un amour profond et doux, un peu baveux parfois. Lorsqu'on la rejette, ou qu'elle se sent seul, elle ne le dis pas, ne le montre pas. Sauf lorsqu'elle est seule. Gnöle se pose de nombreuses questions, et observe pour obtenir les réponses. Mais soyons franc malgré tout; ça première question, celle qu'elle se pose très souvent, c'est "Est ce que ça se mange?" et la réponse la plus commune se trouve être "oui". Si l'on enlève ce défaut, la bête est tout à fait envisageable comme compagnie.
Sous sa forme humaine, Gnöle est très silencieuse, parfois souriante (selon son humeur) et surtout... Elle a un coup de pied et des prises de son propre art de combat fabuleux. Aussi! Elle aime rire...

Histoire :
"Je ne sais si je dois en rire ou en pleurer. Peut être les deux, qui sait... Pas moi en tout cas. En cette instant, je ne vois que le noir et le blanc. Et ce que je vois ne me touche pas. La balle dans le chargeur de son arme non plus. Elle y est encore. Le côté théâtral, sur le sommet d'un building, le vent, la pleine lune qui m'englobe et doit donner à cet homme l'impression que je suis la sainte d'un vitrail d'église me laisse plutôt froide. Alors qu'est ce qui fait, qu'est ce qui me touche, là maintenant, et me donne envie de lâcher un larme sur mon existence...?
Pourquoi est ce seulement maintenant que je comprend, en regardant le ciel... Que tout ce que j'ai dis, fait, pensé... Ce n'est pas simplement Moi. C'est ces gens que j'aimais, que je protégeais, qui riait avec moi mais aussi ceux à qui j'ai fais du mal, que j'ai fais pleurer...  Si je disparais, est ce que les gens que je faisais rire pleureront et ne m'aimeront plus?
Si je disparais, est ce que les gens que j'ai fais pleurer se mettront à rire à nouveau...?
Pourquoi tout ça ne prend son sens maintenant, que je me rend enfin compte que tout ça avait un sens que tout était lié... Et que je ne savais ou ne voulait pas savoir. Alors que dois je faire? Dois je me défendre, en sachant pertinemment que je mourrais, ou bien dois je laisser enfin ma vie de souffrance s'envoler et ne devenir qu'un souvenir... Une poussière, une goutte de sang qui ne m'appartiendra même pas.
Alors je lève les yeux et enlève mon masque. Il ne tuera pas Hellhoney. Elle est un symbole, elle ne doit jamais disparaitre. Les monstres ont peur d'elle, parce qu'elle est plus monstrueuse qu'eux.
Mon masque qui fixe ses ennemis avec un air impassible atterri à côté de mon pied gauche. Mes cheveux volent au vents tels une armée de serpents lorsque je l'enlève, et  redevienne des dreadlocks sans vie. Mon visage sourit. Je me nomme Elhone, j'ai vingt ans... Et ce soir je meurs.
Je ne sais pas vraiment si ce que j'ai fais étais bien ou mal. Je sais juste que je l'ai fais.
Un pas en arrière. L'homme en costume devant moi semble sérieux. C'est donc ça, le code des tueurs à gages... Et dire que c'est des gens comme eux que j'ai combattue jusqu'ici. Les gouttes d'eau coulent le long de mon bras, que je replis sur mon ventre. Mes épées enchainées sont encore dans leur fourreau. Puissions nous vivre éternellement...
Un autre pas en arrière. Je sens mon talon cogner dans la bordure. Il semble contrarié. Visiblement, le contrat ne marche plus si il ne peut pas ramener mon corps, ou une partie de celui ci.


"La tête, sans doute?"

Ma question semble lui retourner les tripes. Les gens du milieu n'aime pas les voix d'enfant. Je n'y peux rien, si mes cordes vocales n'ont toujours pas muées. Néanmoins, ça fait toujours son petit effet. Il déglutit et tente de rester impassible.

"Non. Il te veut vivante. Avance vers moi..."

Il y a à nouveau un silence, et je monte sur la butte qui sépare le béton du vide. Qui est ce "il", je ne le sais pas. Mais si il y a bien quelque chose qu'"il" n'obtiendra pas, c'est de me tuer lui même.

"Tu connais la blague du pauvre con qui dit non...?"

Je regarde enfin cette homme en face. Jusqu'ici, je ne faisais qu'observer les alentours, le ciel, tout le reste. Ses yeux verts ainsi que ses cheveux noirs coupés aux joues me rappelle un héros de jeu vidéo. Je ne sais trop si il va tirer, tellement il a l'air tendu, alors que mon sourire élargi le toise avec une forme de révolte. Le mouvement des muscles de ma joue droite étire mes fils et montre une partie à vif de mes chairs. Mon sourire de l'ange. Voyons voir si j'ai les ailes qui vont avec...
Ecartant mes bras, toujours le sourire aux lèvres, je me laisse tomber en arrière.
Ma chute commence lentement... J'entends qui s'éloigne le cris de l'homme qui voit sa prime disparaitre. "non", qu'il beugle. Jusqu'au bout, je me serais fendue la gueule. Jusqu'au bout...
Je prend de la vitesse et change de position. Le sol est maintenant face à moi. Mes yeux pleurent, sans doute à cause de la vitesse. J'ai si froid... Tout est flou... Je me retourne à nouveau, regarde le ciel. Je ne suis pas un ange... Je ne volerais jamais.
Je ne vois aucune image de ma vie passée. Ils mentaient. Tous. Tout ça, c'est du vent. l' Existence, le Destin, les Rêves... L' Amour. Tout ça est absurde. Tout ça doit être absurde... Un millième de seconde avant que mon corps touche le sol, je comprends que c'est faux et qu'il y a quelques minutes encore, je comprenais tout ça. Je regrette d'avoir toujours menti, aussi bien aux autres qu'à moi-même.
Le choc me semble moins fort que je ne l'aurais cru. En moins d'une seconde, mes côtes, ma colonne et mes organes vitaux ainsi que ma cervelle sont broyer par le choc. Je n'ai qu'à peine eu le temps de souffrir... Et je continue ma chute sous le béton.
Il fait sombre. Sombre... Non, il fait noir. Tout noir. Partout. Je tombe plus doucement... Mon âme s'enfonce... Je me recroqueville en position foetale. Mes jambes s'intègrent à mon ventre, mes bras et ma tête font de même. Je ne suis plus qu'une boule d'énergie cosmique qui se balade dans le noir. Il n'y a plus de haut, de bas, d'à droite ou d'à gauche. Plus de temps... Juste du silence.
Où est le paradis promis? L'amour tant espéré une fois que tout est fini? Mince alors, moi qui... Hey, un instant... Que ce passe-t-il?
 Et puis je remonte. Quoi? Mais je suis morte, non? La boule d'energie que je suis prend une autre forme. Ma tête devient pointue, j'ai une queue... Un cou fin et immense... C'est quoi cette histoire...? Je perds tout et revient sur le même plan d'existence. Mes yeux s'ouvrent.


"Gn..."
"OUI OUI OUI! Ca à marcher! IL est vivant!"

"Il"? Allons bon, c'est quoi cette histoire... Ou est ce que je suis? Des ustensiles... une table de travail pour chirugien... Et deux idiots qui reste silencieux derrière leur masque. Je m'observe alors. Mon cou est si élastique que je peux voir ma queue d'environ trois mètres de long. Bah merde alors. Je suis vivante... Et c'est quoi ce truc dans ma cervelle. Un euphorisant? Bordel, ce que j'ai faim... Et ce que je suis amoureuse de ces deux personnes!

"Gnöle!"

Bah, c'est quoi ce bruit? Je ne reconnais pas ma voix... Alors c'est ça que je suis devenue... Une peluche qui dit "Gnöle". C'est amusant. Mieux encore... Je suis en vie... Mais... Qui suis-je? Quelques bribes de souvenirs... Les autres ont disparu.

Il y a quelques mois où ces gens me gardent. Ils sont tellement gentils! Puis, il me laisse sortir. Seule. Dehors. J'ai faim... J'ai froid... Au secours... A l'aide... Aidez moi...

Aimez moi...


Situation de départ : Hum, Gnöle est vierge. Tout simplement parce qu'elle n'a pas de sexe. Sauf bien sûr les nuits de pleine lune. Elle n'est cependant pas effarouchée, et surtout pas complexée. Cependant, elle ne compte pas faire "sa première fois" avec n'importe qui. Voilà

Autres : Se débrouille très bien en nounou, faire les courses, promener son humain de compagnie, faire la cuisine et avaler la commode du fond sont tout à fait à sa portée.

Comment avez vous connu le forum: ... Si je vous dis Agrou, vous voyez, oh grand admin?

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous?Si oui lesquels:
Je pourrais en parler sur d'autres forums, ma foi.

J'ajouterais que je finirais l'avatar demain, et que je finirais quand.. Euh... Je pourrais. Après le bac, je suppose.

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