Les contrées du Chaos / Re : Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]
« le: Aujourd'hui à 01:13:12 »« Je suppose que ça pourrait être embêtant pour vous. J’en déduis que la sexualité dans votre village est un sujet assez tabou… ? »
En bref, que ce village a l’air terriblement ennuyant. Ou que beaucoup jouent les prudes alors qu’ils ne le sont pas. En tout cas en la voyant elle, je suis sûre que beaucoup dans son village ont envie de lui passer dessus. Mais pour une fois je suis de bonne humeur alors je lui accorde son souhait, qui n’a de toute manière rien de gênant si ce n’est de repousser notre partie de jambe en l’air d’à peine quelques minutes.
Et… elle vient de m’embrasser ? Ok, là je suis surprise. C’est très rare que quelqu’un m’embrasse, sans doute parce qu’en général je prends ce qu’on refuse de me donner… je lui souris, et me met donc à la suivre dans un coin qu’elle juge plus sûr. Je crois que je n’ai jamais eu une partenaire sexuelle aussi enjouée. J’en suis à me demander si je ne vais pas l’embarquer avec moi cette petite… surtout qu’elle parle sans détours.
« Vraiment ? Il va falloir rendre ce moment mémorable alors, que vous vous en souveniez longtemps… »
Maintenant qu’elle a trouvé le coin parfait pour nos ébats, elle prend position. Aucune subtilité ici : elle se met à quatre pattes, m’offrant une vue splendide sur ses fesses et un accès direct à son intimité que je meurs d’envie de combler. Je me mets à genoux derrière elle, et pose mon membre raidit entre ses fesses. Mes mains se posent sur celles-ci et les écartent, et je me déhanche lentement pour me masturber avec. Quelle douceur… et les fluides du mimic aident clairement, lubrifiant ses instruments du plaisir.
« Vous avez un corps magnifique. Irrésistible même. Dans d’autres circonstances, j’aurais tout fait pour coucher avec vous aussi. »
Avec ou sans son consentement, mais ça c’est un détail. Du moins pour moi. Mais puisqu’aujourd’hui je l’ai pour moi seule et qu’elle est plus que volontaire, je vais me montrer un minimum tendre. Je recule mes hanches et fait glisser mon pénis contre ses lèvres intimes, appuyant lentement… et ce, jusqu’à commencer à la pénétrer. L’intérieur est chaud, très chaud même, sans doute grâce à l’aphrodisiaque. Mais il est aussi très accueillant, et je m’y glisse avec une certaine facilité malgré ma taille.
Mes mains tenant désormais ses hanches, je murmure avec amusement :
« Vous avez raison, je ne le regrette vraiment pas… »