Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Nami

Pages: [1]
1
Même ce sein à découvert ne semblait pas contenter Bando. Pour beaucoup d'hommes, cette vision aurait suffit à les faire jouir même dans leurs sommeils les plus profonds. Et combien avaient imaginer une telle situation ? Se satisfaisant simplement de leur imagination ? Bando intriguait la jeune femme. Et puis, le savoir en train de la reluquer compliquait la concentration de la jeune femme. Pour la défense du jeune homme, la situation n'était pas non plus idéale. Devoir jouir au plus vite, ramollir ce puissant sexe pour pouvoir retourner à son poste sous peine d'un terrible châtiment... Oui, cela ne devait pas aider pour lâcher prise. L'exploratrice le trouvait un peu ridicule à secouer ainsi son long bâton. Elle était aussi curieuse de cette situation et de ce drôle de jeune homme, qui devait pourtant être un peu plus âgé qu'elle et était pourtant maladroit pour les choses de la chair. Même si elle ne pouvait pas en dire davantage. Une fois, elle avait laissé Usopp se secouer en elle. Le pauvre n’avait pas tenu longtemps mais avait l’air tellement satisfait ensuite qu’elle avait pu obtenir, en échange, un bâton de combat aux propriétés magiques. Celui-ci s’était malheureusement brisé quelques temps plus tard…

Cette situation pouvait s’avérer être une expérience intéressante pour comprendre le fonctionnement des hommes. Et surtout évaluer son pouvoir sur eux. Ce que l’on appelait dans le jardin le Happiness Punch.

-   Non, tu ne peux pas, lui répondit elle en s’amusant intérieurement de sa réaction. Ne sais-tu pas que c’est très grossier de demander cela à une dame ? Tu es vraiment un pervers. Sais-tu que la plupart des hommes n’ont pas eu cette chance d’en voir autant ?

L’homme parut surpris de sa réaction. Intéressant.

-   Mais tu es mon allié après tout, dans cette drôle de situation. Alors…

Elle se leva et, gênée par sa propre audace, les jours toujours rouges, fit tomber sa serviette. La honte de cette nudité lui fit couvrir un sein mais elle se ravisa. Elle était une aventurière. Elle ne devait pas s’arrêter à de telles choses. La survie et le pouvoir le nécessitaient. Bando pouvait désormais tout voir de son corps. Plus aucune censure. Ses seins ronds et fermes. Ses mamelons roses. Son ventre. Ses cuisses. Ses fesses rondes. Son pubis immaculé et, enfin, sa vulve, imberbe et si douce, si chaude.

-   Tu peux faire ce que tu veux… juste, dit elle, redevenant la Nami hésitante et maladroite, évite de me pénétrer avec ce… avec ton… enfin, tu vois ?, Dit-elle timidement en montrant du doigt la verge virile de l’homme.

Nami pensait avoir le contrôle mais il ne lui avait pas fallu grand-chose pour perdre de son assurance. Dans quoi s’était elle jetée ? Être une femme au temps des pirates n’aidait pas pour trouver sa place. Elle avait perdu toute son assurance et regrettait quelque peu la proposition très osée qu’elle venait de faire. Elle reprit du courage en se rappelant ce qu’ils risquaient si on les trouvait ainsi.

-   Est-ce que… il y a une position que tu préfères ?

Le voyant surpris et désarçonné, elle trembla de panique.

-   Heu… c’était bien ce que tu voulais non ? Alors réagit, j’ai l’air d’une idiote et c’est très gênant…


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Il s’en était fallu de peu. Curieux de voir comment les hommes pouvaient se laisser manipuler face à peu d’aplomb. Bando avait réussi à la tirer d’un mauvais pas. Il s’avérait plutôt utile comme allié. Elle craignait pourtant qu’il ne soit un poids au début. Elle qui était plutôt solitaire et ne donner que rarement sa confiance. C’est ce qui faisait qu’elle était aussi douée pour les missions d’infiltration. Après tout, dès son plus jeune âge elle avait dû prendre de terribles décisions sans s’appuyer sur les autres. Certes, une part d’elle hésitait encore à abandonner Bando au moment de prendre la mer avec le navire… mais une autre repoussait un peu plus cette idée.

Prendre un verre ou aller manger ? Cette proposition la désarçonna quelque peu. Elle avait laissé le jeune homme profiter de ses charmes la veille. Était-ce une façon détournée d’en redemander ?

-   Mmh… je pense que nous devrions d’abord faire un tour dans la cité et relever des failles. Nous ne réussirons pas à être crédible sinon. Je pense que Gartrub et ses lieutenants ont déjà une vague idée de ce qu’ils recherchent. Tout ne doit pas reposer sur deux presque inconnus. Mais si tu veux, après, j’irai bien m’acheter de nouveaux vêtements, lui dit elle avec son plus beau sourire.

D’autant qu’elle n’avait plus d’argent sur elle. Bando, lui, devait sûrement en avoir pour lui proposer un verre. Alors autant profiter de sa générosité. Mais d’abord , continuer d’explorer cette cité. Elle était sérieuse quand elle disait craindre que Gartrub et ses lieutenants aient déjà étudié le lieu. Elle avait bien étudié son profil avant de se lancer dans cette mission après l’avoir accepté.

La cité était découpée en trois quartiers. Celui des militaires, celui des marchands d’esclave, et celui des marchands d’objets. Lequel se trouvait où ? Ça, s’était ‘a bonne question. Hier soir, elle observait les cartes lorsqu’elle avait dû se dénuder pour satisfaire Bando et lui éviter une sacré correction. En conséquence, elle n’avait retenu que vaguement les cartes des différentes cités qui étaient considérées par le Gouvernement Mondial comme de potentielles cibles. S’il y a bien un quartier à analyser, c’était celui des marchands communs. Celui-ci était très protégé mais pas autant que celui des marchands d’esclaves. Ces derniers essayaient parfois de s’échapper. Mal leur en prenait. Mais par où était-ce ?, Se demanda Nami en arrivant devant une intersection, toujours accompagnée de Bando. Sur son passage, hommes et femmes se retournaient, lui jetant un regard scrutateur, pervers, imaginant des scènes où il pourrait s'amuser avec elle, mais aussi d’étude, essayant d’évaluer la somme astronomique qu’une aussi jolie femme aux cheveux rouges et aux courbes si attrayantes pouvait valoir.

À l’intersection, elle pouvait prendre à droite ou à gauche. Mince. Elle n’avait aucune idée du chemin à prendre. Elle se creusait les méninges mais la seule image qui lui revenait était le gland dégoulinant de semence de Bando. Elle pouvait encore sentir l’odeur chaude de sa semence. Elle en sentait presque le contact chaud sur son corps. Comment était-ce possible d’imaginer cela aussi bien ?! C’est alors qu’elle se passa une main dans les cheveux. Quelque chose de gluant. Elle porta la main à son nez. Berk ! Du sperme. Des hommes rigolaient depuis le toit d’un immeuble.

-   Touchée !
-   En plein dans le mille !

Une chance sur deux. Et elle s’était trompée. C’était l’entrée du quartier des esclaves. Quelle horreur ! Elle n’eut pas le temps de se nettoyer qu’un garde la tira vers lui en l’attrapant par ce soutien-gorge de fortune, l’arrachant du même coup, libérant sa poitrine qui sursauta. Nami ne put réagir qu’on l’attrapa par les mains tandis qu’elle sentit une poigne se saisir de son bikini et… le descendre. Elle était nue devant une horde de marchands et de gardes d’esclave.

-   Jolie marchandise, dit l’un d’eux en pressant un de ses seins.

Nali libéra une de ses mains qu’elle lui envoya en pleine figure.

-   Et vigoureuse avec ça. Tu vas valoir ton pesant d’or, petite chienne.

Pat désespoir, elle voulut se retourner pour voir Bando et lui demander de l’aide . Mais une rangée de soldats les séparèrent, faisant fi de son agitation qui les excitait encore davantage à la vue du mouvement de ses seins. L’un d’eux jeta un tissu rouge avec un chiffre en or à Bando. Le numéro désigné pour Nami, l’esclave. Lorsqu’elle serait vendue, il pourrait récupérer la somme avec ce papier.

-   Allez, suis-nous femelle, direction le marché.

-   Bando, cria t elle alors qu’il disparaissait à sa vue.

Elle était dans une très mauvaise situation. Qu’est-ce que les esclavagistes allaient faire d’elle ? Bando réussirait il à trouver un moyen de la secourir ? Trouverait elle un moyen de s’enfuir ? Et Bando découvrirait il des failles dans cette cité ?

2
Une princesse à escorter

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Nami plongea dans l’eau de la rivière. Elle apprécia le contact de l’eau glacé sur son corps, de l’apesanteur plus légère de ses lourds seins, ballotant au rythme du courant. En face d’elle, la princesse se déshabilla avec un peu de pudeur. avant de se mettre à l'eau. Sa poitrine n’était pas aussi proéminente que celle de Nami mais restait d’une taille plus que généreuse. Ses mamelons étaient tout aussi roses que ceux de Nami et, comme les siens, durcissait à vue d’œil avec la fraîcheur de l’eau. Son pubis était immaculé. Une peau douce et légère, comme l’était celle de la navigatrice, et que de nombreux hommes rêvaient de parcourir, jusqu’à descendre à ce qu’elle avait de plus précieux, des lèvres humides et chaudes qui ne s’ouvriraient que pour l’élu.

La princesse s’enfonça dans l’eau jusqu’au menton. Les deux femmes avaient navigué plusieurs jours à bord d’un navire, se faisant passer pour des marchandes. Une couverture. En vérité, Nami était missionnée par le Gouvernement mondial d’escorter la princesse Zelda en toute discrétion. Il y avait eu un coup d’état dans son royaume ; une péninsule composée de plusieurs îles. L’île principale avait été attaquée par des mercenaires et un général renégat du royaume d’Hyrule. Le combat était toujours vif sur plusieurs îles. Zelda avait refusé de quitter son royaume. Elle se retrouvait désormais sur une île où elle devrait trouver l’appui de plusieurs compagnons d’armes qui avaient combattus aux côtés de son père et de Link. Link… même ce puissant chevalier, seul à avoir pris Zelda, un jour, à l’arrière d’un bosquet quand il n’y tenait plus, prenant seulement le temps de baisser son pantalon et de la saisir, avait été capturé.

Pendant le voyage, la princesse et Nami avaient été les seules femmes du navire. Il avait été très compliqué pour les deux femmes d’avoir un peu d’intimité. Les hommes n’avaient pas hésité à surgir dans la chambre de Nami alors qu’elle était à peine réveillée et à demi-nue, ou à les épier quand elles se changeaient.

Désormais, elles étaient seules. Le navire les avait laissés à bon port et elles devaient traverser l’île pour arriver à destination. Une tâche pas si aisée. Nami maîtrisait bien les océans. Il en allait autrement sur terre. Toutefois, la récompense promise par le Gouvernement mondial l’avait fort tenté. Ils l’avaient choisi car elle avait déjà fait des missions d’infiltrations, plus ou moins réussies car il faut dire qu’avec un tel physique, cela n’était toujours pas évident. Il faut dire qu’elle faisait un certain effet aux hommes, et parfois aussi aux femmes, bien que cela ne la sensibilisait pas. L’argent était plus important. Mais elle devait apprendre à gérer son charme pour se tirer de certaines situations.

Soudain, quelque chose secoua l’eau et les cheveux flamboyants de Nami. Une flèche venait de passer par-dessus la rivière, frôlant la jeune femme, et se planta, toujours vibrante, dans le tronc d’un arbre.

- Princesse, sortez de l’eau, vite !

Les deux femmes étaient éloignées l’une de l’autre, chacune proches d’une rive opposée, et leurs vêtements loin d’eux. Elles avaient baissé leur attention. Et elles risquaient de le payer.

3
Cette situation était décidément très étrange. Surtout gênante.

Nami avait accepté de laisser Bando à l’intérieur de la tente. Elle se serait sentit coupable qu’il arrive quelque chose à son seul potentiel allié dans cette aventure. D’autant qu’elle ne se sentait pas en danger en sa compagnie. D’autres n’auraient pas hésité à lui sauter dessus, sans prendre le temps d’ôter sa légère serviette blanche, et marteler ses fesses en faisant fi de ses cris. Là, le jeune homme, certes un peu plus grand que lui, avait surtout l’air d’un pervers maladroit. Nami était toujours surprise de faire autant cet effet. Mais à ce point-là… Quand elle vit son sexe sortir de son pantalon, elle ne put s’empêcher d’avoir un haut-le-cœur. Comment était-ce possible d’avoir un tel objet entre les jambes ?

Bien qu’elle ne soit pas sensible à Bando, elle était néanmoins curieuse de voir un tel individu ainsi membré. Elle était terriblement curieuse de savoir comment il avait pû en être doté. Pendant son étude de la biologie et des océans, elle avait croisé des dessins de nombreuses créatures et n’avait jamais vu un homme ainsi équipé.

Toujours vêtue de sa serviette, elle s’assit à son bureau pour prendre des notes et étudier les cartes du territoire afin de faciliter au mieux leur évasion. Elle estimait que les chances d’y arriver étaient… très faibles. Surtout que Bando ne paraissait pas avoir de compétences particulières. Enfin, peut-être en avait-il ?

- Dis-moi, Bando, est-ce que tu as des talents qui pourrait nous… Oh, oups.

Elle grimaça, rougit et se cacha le visage, en détournant les yeux. Cet empoté était en train de secouer son pénis pour tenter, peut-être, après tout, elle n’y connaissait rien, de l’apaiser. Mais, à part jeter quelques goutelletes, dont Nami préférait ignorer l’origine, cela ne faisait pas grand effet. Son braquemart était gorgé de sang, parcouru de veines saillantes, dressé comme si sa vie en dépendait. Un peu plus et on pourrait croire qu’il essayait de faire tenir la tente juste avec son engin. Ce qui, en considération de ses dimensions, n’aurait pas été très étonnant…

Et le temps continuait de passer. Elle craignait que les gardes de Gartrub ne déboulent d’un instant à l’autre ; que l’alarme soit donné car Bando avait disparu, ou que Sonle débarque comme il l’avait fait plus tôt. Dans ce cas, ils seraient foutus. Voir un blanc-bec jouer avec son chibre à côté d’une Nami presque nue… Ils penseraient qu’ils auraient des relations. Comme si elle pouvait se prendre un tel engin. Même à deux mains, elle doutait de pouvoir le soulever.

Et l’horloge tournait. Et son sexe restait toujours aussi raidit comme un gourdin.

En désespoir de cause, et parce que Nami voulait plus que tout se sortir de cette situation, si possible avec la jolie récompense promise, elle devait faire des choses à mesure de ce désespoir.

- Je ne fais pas ça par désir… Mais je ne veux pas être piégée à cause d’une stupide érection.

Après une vague hésitation, Nami attrapa un de ses seins et le dévoila à la vue de Bando.

- Si… si ça peut t’aider, dit-elle toujours rougissante, sans oser regarder son camarade d’aventure. Mais fais vite s’il te plaît.

Sans croiser son regard, elle se remit au travail, tentant de se concentrer pour oublier cette terrible situation. Bando pouvait désormais admirer ce que peu d’hommes avaient vu, et pourtant beaucoup en avaient rêvés. Une Nami dont la plupart des charmes était à découvert. Mais, qu’il ne pouvait toucher. Le jeune homme pouvait seulement observer ce sein libre gigoter doucement à chacun de ses mouvements quand elle écrivait et regarder ce tissu se dérober progressivement de ses fesses et de son entre-jambe.

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Nami n’avait même pas eu le temps de bouger ni de se débattre qu’elle s’était retrouvée à demi-nue. Son haut arraché, déchiré entre les mains de Sonle, et son jean baissé. Elle tenta, par réflexe, de couvrir ses seins proéminents mais l’homme-poisson lui saisit les bras de force, faisant sursauter sa poitrine désormais à la vue de tous.

- N’essaie même pas de cacher ça, ma jolie, c’est ta valeur marchande.

A côté, les hommes commencèrent à rire et à lancer des propos injurieux.

Nami dû partir ainsi. La tête haute malgré tout. Ses seins gigotant à chacun de ses mouvements. Elle fermait les poings de colère en essayant de se concentrer sur autre chose que sa situation.

Heureusement, Bando eu la courtoisie d’arracher sa chemise pour en faire un bandeau. Otant ses charmes à la vue des badauds qui se dirigeaient vers la cité.

De hauts remparts entouraient la cité. On la réputait imprenable. Du moins de l’extérieur.

- Mon plan ? Je n’en ai aucun Bando. Juste ne pas me faire acheter. C’est déjà beaucoup. On trouve la moindre possible faille, même un mur fissuré, puis on attend la fin de journée et on rentre. Comme ça, Sonle aura l’impression qu’on a bien fait notre travail.

L’entrée de la porte fut plus stressant que Nami ne l’aurait cru. En la voyant ainsi vêtue, les gardes ne purent s’empêcher de l’arrêter, ne jetant qu’un vague intérêt à Bando.

- Une esclave, ça ? Après, c’est vrai qu’elle en a tout l’air ce drôle de bandeau déchiré sur la poitrine. Mais toi, tu es son maître c’est ça ?

Ils lorgnaient de près Bando, surveillant le moindre de ses faits et gestes. Il était vrai que l’homme n’avait pas trop l’attitude d’un vil marchand d’esclave, dépourvu de scrupules.

- Et tu n’as même pas de chaîne pour la tenir en place ? C’est vraiment curieux…

- Si tu es vraiment son maître, lança un homme au regard mauvais, alors donne un ordre à cette garce. Dis-lui d’enlever ce drôle de tissu, de se déshabiller complètement, ou plus si tu veux, demanda-t-il en attrapant Nami par le visage.

Elle lui jetait des éclairs à travers les yeux et aurait aimé lui en collé une. Mais ce n’était vraiment pas le moment. A leurs yeux, elle était une esclave. Le moindre geste, et sa punition serait terrible.

- Voir, demande lui-même plus à cette chienne, qu’on voit à quel point elle t’obéit. Et alors on te laissera rejoindre le quartier des marchands d’esclave. Ce joli lot ne manquera pas de les ravir…

Nami continuait de serrer le poing. Elle détestait la passivité de cette situation. Elle n’avait aucune arme et dépendait de l’adresse d’un homme qu’elle ne connaissait que depuis quelques heures. Allait-il bien jouer son rôle pour les gardes ? Ou tout faire capoter ?

4
La serviette de Nami était petite. D’ordinaire, comme il n’y avait pas de femmes, c’était suffisant pour les hommes qui les enroulaient simplement autour de leur taille. La plupart, même, n’en avaient que faire et de baladaient nu, sans aucune pudeur. Nami, elle, peinait à l’enrouleur autour d’elle, compte tenu de la largeur de sa poitrine et de la forme ronde de ses fesses, que lui enviaient tant de femmes et que désiraient tant d’hommes. Malgré cela, elle préférait néanmoins en porter une, le temps de sécher avant de s’habiller , et par crainte qu’un homme-poisson ou qu’elle autre créature ne déboule et ne décide de croire en une ouverture en la voyant nue. Elle avait déjà bien du mal à résister à leurs assauts quand elle était habillée. Nue, ils la prendraient sans ménagement à même le sol. Ainsi, elle avait beaucoup de mal à tout cacher et devait faire un choix dans ce qu’elle préservait de la vue d’éventuels voyeurs mais elle n'avait guère le choix. Sa croupe était ainsi le plus souvent exposée. Ronde et ferme, que certains pourraient prendre comme une offrande.

Mais si elle s’attendait à voir quelqu’un surgir par l’entrée de la tente, elle ne s’attendait pas à ce que quelqu’un… soit déjà là !

-   Que… ?

Prise de surprise, elle sentit sa serviette glisser. Paniquée, elle ne sut la retenir. Son regard était figé sur l’énorme bâton tenu par l’homme. Son cœur manqua un battement quand elle comprit que c’était son pénis, prêt à exploser et à répandre sa semence sur elle, le pantalon prêt à craquer.

De sa poitrine à son ventre plat jusqu’à son vagin aux lèvres sublimes, tout était exposé et à portée de main. Des fruits précieux ne demandant qu’à être saisis. Et comme c’est toujours dans ses moments que s’enchaînent les catastrophes, Nami glissa en voulant rattraper sa serviette. Ses mouvements brusques ne faisaient que secouer sa lourde poitrine, l’arc du pénis de l’inconnu devenant à chaque fois encore plus démesuré qu’il n’était pourtant possible.

Alors qu’elle s’attendait à ce qu’il lui saute dessus, l’inconnu prononça des mots d’excuse en tentant, sans grand succès, de ne pas la reluquer. Prise de court, Nami oublia un moment là position dans laquelle elle se retrouvait. L’énorme pénis gorgé de sang devant elle la rappela à l’ordre. Elle s’enroula de nouveau de sa serviette, oubliant qu’il était impossible de tout couvrir, laissant un de ses seins toujours visible, empêchant l’inconnu de pouvoir totalement reprendre ses esprits.

L’homme , le dénommé Bando, était donc lui aussi un infiltré. Pour le malheur ou le bonheur de Nami ? Elle acquiesça en l’écoutant , trop surprise de cette révélation qui pouvait changer ses plans. Bien sûr qu’elle ne dirait rien. Et si demain ils étaient en mission ensemble, cela pourrait peut-être l’aider dans sa quête.

-   D’accord… Je vais te faire confiance. Je dois savoir quelle est la prochaine cible de Gartrub et son équipage. Je ne partirai pas avant. Alors si tu veux fuir, tu connais ma condition. Et… dis moi… ça ne te fais pas mal ?, Demanda Nami, curieuse et le rouge aux joues en pointant du doigt le pieu en érection de son interlocuteur.


Le lendemain, Nami et Bando rejoignirent Sonle et quelques hommes de confiance de cet homme-poisson. Il leur expliqua la mission du jour : participer à une mission de reconnaissance de la prochaine cible de Gartrub. Nami exulta intérieurement. Elle aurait aimé fuir dès à présent, même s’il lui manquait encore la clé pour libéré son navire. Mais Sonle ne dit rien sur la destination. Ils la decouvriraient lors de cette mission. Pas avant.

-   Ah, et, Nami. Gartrub a changé d’avis. Ton choix vestimentaire, c’est pour ce soir.

Super… jamais une bonne nouvelle sans son lot de malheur dans ce camp…

Ils prirent donc un petit navire pour quitter l’île. Après quelques heures de navigation lors desquelles Nami évita de croiser le regard de Bando pour ne pas démasquer leur alliance, l’exploratrice réfléchissait sur la décision prise pour tenter de deviner leur destination.

Celle-ci lui devint rapidement évidente : Alverton. Une cité marchande prospère. Mais aussi très surveillée. Quelques coups de canon ne suffiraient pas pour y pénétrer. Les murs étaient gigantesques. Car il y avait beaucoup à protéger. De nombreuses caravanes marchandes y faisaient halte avec de précieuses marchandises.

-   Nami, c’est l’heure de jouer ton rôle, dit Sonle avec son terrifiant regard lubrique.
-   Heu… Sonle, de quoi tu parles ?

Il rit aux éclats.

-   Pourquoi tu crois qu’on t’a engagé, toi et Bando ? Deux inconnus ? Car nous, on est déjà trop connus ici. Et tu sais ce qui fera baisser la garde des soldats de cette cité ? Une jolie esclave. Alors voilà le topo : Bando, tu es un marchand d’esclave et Nami, tu es l’esclave. Vous allez dans la cité et vous me noter tous les points faibles. Murs trop fragiles, gardes absents… et vous revenez avant la tombée de la nuit, que Nami ne manque pas à sa danse pour pour l’équipage ou pour Gartrub de ce soir. Et n’essayez pas de vous enfuir. Je sais que ton bateau t’es très précieux Nami. Au moindre pépin, j’envoie un pigeon prévenir mes hommes restés là-bas. Ils couleront ton navire et toutes les cartes qu’il contient.

Nami se tendit d’un coup.

-   Maintenant, place à l’action. Mais avant, Nami, il va falloir arranger cette tenue qui ne fait pas très esclave…
Sans qu’elle n’ait le temps de réagir, il tira sur son bikini , faisant surgir et bondir sa lourde poitrine.

-   Ah, depuis le temps que j’attendais de faire ça.

-   Mais ça ne va pas Sonle ? S’énerva Nami qui tenta de couvrir ses larges seins…

-   Attention Nami, n’oublie pas ton navire. Et maintenant, on va réfléchir à comment tu vas t’habiller , ou non, pour bien entrer dans ton rôle d’esclave .

5
Nami défit son pantalon. Elle le posa ensuite au sol, près des lingeries offertes par Graturb. Un frisson secoua son corps, faisant trembler sa prodigieuse poitrine, dressant ses tétons roses et secouant ses jolies fesses rondes, à peine dissimulées à la vue par le bas de son bikini, seul vêtement restant sur son corps.

Quelle sordide situation. Elle ne voyait pas comment la résoudre. À partir de demain soir, elle n’aurait plus que deux jours pour la mener à bien. Elle avait envie de fuir et de laisser tout cela derrière elle. Mais s’il n’y avait que l’argent comme récompense. Certes, c’était déjà beaucoup. Et Nami pouvait faire beaucoup pour cet or sonnant et trébuchant, mais peut-être pas se faire prendre par un homme-poisson, dont en plus on connaissait les mensurations hors-normes. Mais il y avait aussi des vies à protéger. Alensir, Orzon et Goppe étaient les trois cibles potentielles. Chacune contenait plusieurs milliers d’habitants . Et les hommes de Gartrub étaient connus pour n'avoir aucune pitié. La cité qu’ils attaqueraient serait rayée de la carte.

Pour connaître la cible, Nami devrait participer à une réunion entre les principaux lieutenants de Gartrub ou au moins soutirer cette information à l’un d’eux . Chose complexe. Ils ne parlaient pas d’autant que Gartrub était paranoïaque et craignait les agents de Gouvernement mondial. Il valait mieux pour Nami ne pas être démasquée. La sentence serait terrible. Elle songeait aussi que des notes pouvaient traîner dans la tente du seigneur homme-poisson. Peut-être trouverait-elle le fameux nom.

Et s’il n’y avait que cela… Nami devait aussi préparer sa fuite. Son bateau était attaché dans une crique de l’île, assez loin du campement. Or, des gardes la surveillait et une chaîne avait été remontée pour empêcher les bateaux d’entrer et de sortir. Si elle voulait fuir, elle n’aurait d’autres choix que de la baisser.

Cela faisait beaucoup d’enjeux pour l’une des premières missions d’une toute jeune exploratrice du Gouvernement mondial… et avec cela le risque de passer un sale moment entre les mains d’un homme-poisson sanguinaire ou de tout son équipage… elle en trembla encore rien que d’y penser. D’autant que ceux-ci étaient de sacré pervers. Elle avait demandé à changer de tente car, pour la première, les ombres de son corps se dessinaient à travers la toile, la nuit, éclairée par la lueur des torches. Toute une foule s’amassait ainsi chaque soir pour espérer la reluquer. Gartrub avait bien voulu accepter ce changement mais il n’oubliait pas chacun des services qu’il lui rendait pour la faire payer plus tard…

Nami enleva aussi le bas de son bikini, même si un étranger sentiment pesait toujours sur ses épaules. Celui qu’elle n’était pas seule… Le choc sûrement de cette discussion avec Gartrub. Elle dévoila son entre-jambe que rêvaient de visiter de nombreux hommes. Complètement imberbe. Des lèvres roses et fines. Une beauté à nulle autre pareil, un fruit que l’on rêvait de goûter. Et s’immergea entièrement dans l’eau chaude du bain et ses vapeurs… juste à temps avant que Sonle, un homme-poisson, premier lieutenant de Gartrub, n’ouvre grand la toile de sa tente pour y pénétrer.

-   Ah, Nami ! Oh, je ne regrette pas d’être venu te voir…et tu toute nue dans cette eau fumante ? Oh mais j’imagine que oui…, dit-il en plongeant sa main dans l’eau chaude.

-   Sonle, qu’est ce que tu me veux ?!, s’énerva l’exploratrice en tentant de repousser sa main qui se posa solidement sur la cuisse nue de Nami.

-   Moi ?! Mais rien du tout… enfin si. Tout d’abord, il se leva et… défit son pantalon, révélant un énorme sexe, à semi-dresse, pas encore totalement en érection mais déjà dur comme un bâton. J’ai appris la proposition de notre seigneur, Nami. Et vois-tu, son sexe est bien plus gros que le mien. C’est comme ça chez les hommes poissons, ça définit aussi la hiérarchie. Et tu as vu comme le mien est déjà énorme ?!, Dit-il en le prenant en main et le secouant sous le visage de Nami qui fronça le nez. Alors imagine celui de Gartrub ! Vas-y, tu peux toucher.

-   Glaps, non merci.

Il se mit à rire. Décidément, l’imprévisibilité des hommes de Gartrub et de Gartrub lui-même était effrayante et allait compliquer sa tâche. Et qu’est ce qu’il lui voulait, celui-là ?!

Tout ça pour te dire, j’ai entendu parler du choix que te proposait notre s
-   eigneur. Je te conseille, mais tu fais comme tu veux, de choisir l’équipage . Promis, on s’occupera gentiment de toi, tu n’auras presque pas l’impression qu’on est passé par là, dit-il en remontant sa main palmée le long de la cuisse de Nami qui frissonna. Alors que si c’est Gartrub…

Nami arrêta sa main avant qu’elle ne plonge vers son intimité.

-   … Tu la sentiras bien passer. Alors que moi… je serai doux, promis.

Il se redressa, enleva sa main, son sexe rebondissant devant le visage de Nami.

-   Ah, et, deuxième chose, dit-il alors qu’il venait de remettre son pantalon et s’apprêtait à partir. Demain, j’ai une petite mission pour toi et un bleu, un dénommé Bando. J’aurai besoin que tu gardes un œil sur lui. Je m’en méfie un peu. Mais toi, je n’ai pas de raison de me méfier, hein ?

-   Pour qui me prends-tu ? Ne t’en fais pas, je l’aurai à l’œil.

Il acquiesça et sortit.

Nami souffla. À chaque fois qu’elle faisait face à un lieutenant de Gartrub ou à Gartrub lui-même, elle avait toujours peur d’être démasquée.

Elle profita de la douce chaleur du bain, oubliant pour un instant ses soucis, puis pris une serviette qu’elle enroula autour de son corps, cachant ses courbes harmonieuses. C’est alors qu’elle vit… une silhouette cachée dans sa tente !

6
Prélude / Re : Nami l'exploratrice [Vanéalidée !]
« le: vendredi 12 août 2022, 15:35:21 »
Merci ^^

7
Une infiltration (très) risquée


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La nuit venait de tomber sur le campement des bandits de la main noire. Un résidu de mercenaires, pirates ou soldats devenus hors-la-loi. Ce mélange des origines valait aussi pour les races. Il y avait aussi bien des humains, des elfes, quelques nains et même des hommes-poissons. Le chef de ce groupe, Graturb, était d’ailleurs un représentant de cette espèce. Ce sanguinaire seigneur de guerre, était devenu haï et banni par son propre clan. Il avait massacré la plupart des siens lors d’une dispute anodine dont on perdait même la cause.

Ce soir, il était d’humeur joyeuse. Chose rare. Cela ne rassurait pas Nami pour autant. L’exploratrice vivait parmi ces bandits depuis quelques jours. Ils l’avaient recruté, intrigués par ses compétences pour le vol. « La chatte voleuse ». Tel était sa réputation. Ce qu’ils ignoraient était que Nami était en réalité une agente du Gouvernement mondial. La mission était périlleuse mais on lui avait promis une très jolie coquette somme. Argument qui n’avait pas manqué de la convaincre. Autre poids, on lui avait minimisé les risques et, surtout, l’attrait de Graturb pour les jolies femmes. Pour les officiers du Gouvernement mondial, Nami était un pion dont le charme, c’est-à-dire ses courbes et sa plantureuse poitrine, pouvait baisser la vigilance du seigneur homme-poisson.

- Ah, Nami. Ma chatte préférée, rugit l’orc en la voyant entrer sous sa tente. Tu m’as fait attendre. Comment se passe ton séjour chez nous ? Encore bravo pour le vol de ce talisman chez les pirates du nord. Une très belle réussite.

- Merci, mais tout le mérite ne me revient pas. J’ai eu beaucoup d’aide de la part de tes brigands.

- Ne sois pas modeste voyons. Et pour te remercier, voici un cadeau, dit-il en lui lançant quelque chose.

L’exploratrice rattrapa le présent en plein vol. Elle le déplia et… son cœur se mit à battre à tout rompre dans sa poitrine, paniqué, en voyant que c’était de la lingerie. Très fine.

- Heu… C’est très gentil Graturb mais j’ai déjà mes propres vêtements vois-tu.

Le rouge lui était monté aux joues et elle avait du mal à trouver ses mots.

- Allons Nami. Tu ne pensais pas que j’allais laisser un si joli corps pénétrer dans mon camp sans que j’en profite un peu. Tu sais comment sont les hommes-poissons, dit-il en se levant de toute sa hauteur. La gent féminine ne nous laisse pas indifférent.

- Vraiment Graturb, c’est adorable, mais heu… Je crains d’avoir un peu froid ainsi vêtue.

- Ecoute Nami, dit-il en se penchant vers elle, son haleine était fétide et sentait le poisson pourri. Sois tu mets cette tenue, tu danses pour moi et je te fais sauter sur mes genoux, soit, tu mets cette autre tenue, dit-il en lui en montrant une autre. Et cette fois-ci, ce n’est pas devant moi que tu danseras mais devant tous mes hommes, ivres, et pendant toute la nuit. Et crois-moi, s’ils ne te cassent pas les pattes arrière après ce spectacle et que tu peux encore marcher, tu auras eu beaucoup de chance.

Une lueur mauvaise brillait dans son regard. Il se redressa en lui souriant :

- Mais je ne suis pas un monstre. Tu as trois jours pour décider. Va, maintenant. Et prépare-toi à danser, ma chatte voleuse.

Sur le chemin du retour, Nami fulminait. Depuis son arrivée, elle devait déjà supporter les regards insistants des brigands mais ce faux choix que lui proposer l’homme-poisson était bien pire. Les officiers du Gouvernement mondial avaient bien élucidé cette possibilité en lui présentant cette mission. Les deux vêtements sous le bras, elle ouvrit la tente d’un geste rageur en repoussant un elfe qui lui faisait de l’œil.

En vérifiant qu’elle était seule, elle se saisit d’un escargophone qu’on lui avait discrètement fournit pour qu’elle puisse contacter ses supérieurs en cas d’urgence. Et c’était le cas.

- Vous comprenez, leur dit-elle après avoir résumé le choix cornélien qu’elle devait affronter, je dois arrêter cette mission.

- Hors de question, lui répondit-on de l’autre bout du fil. Vous devez découvrir quelle cité les hommes de Gartrub prévoient d’attaquer afin que nous lui tendions un piège. Et, après discussion avec mes camarades officiers, nous vous conseillons peut-être la danse devant les brigands. Peut-être se montreront-ils plutôt doux ? Et la tenue est très jolie.

Sur ce, ils raccrochèrent sans laisser à Nami le temps de répondre.

- Quelle bande de crétins, vociféra-t-elle.

Ainsi, son temps était compté. Elle avait trois jours pour trouver la future cible de Gartrub. Restait un autre problème : comment fuir de ce camp ultra-surveillé ?

Elle décida de laisser ses inquiétudes pour demain. Un bain d’eau chaude fumant avait été installé dans sa tente. Elle commença à se déshabiller, faisant surgir sa prodigieuse poitrine de son bikini… sans se douter un instant que quelqu’un la regardait et avait tout entendu de sa discussion avec ses supérieurs.

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One Shot / Aventure 1 : Nami et le gang des pirates [Takumi Umezawa]
« le: jeudi 11 août 2022, 14:29:49 »
Nami et le gang des pirates

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Nami réajusta le turban cachant ses cheveux et le bas de son visage. Seuls ses yeux verts ressortaient. Avec ce large vêtement ample, de couleur bleu, impossible de reconnaître la jeune exploratrice du royaume du Chirobi. C’était l’objectif. L’île où elle allait mettre pied d’ici quelques encablures était interdite aux femmes. La raison ? De tout temps, cette île était renommée pour la perversité de ses habitants. Si bien que, depuis plusieurs décennies, plus aucune femme n’y mettait les pieds.

Sauf Nami. Déguisée afin de cacher ses attributs féminins, elle avait accepté de s’y rendre. En échange, la guilde des mariniers du royaume lui promettait une jolie récompense, sonnante et trébuchante. Certes, cela aurait été moins risqué d’y envoyer un homme. Mais Nami avait des qualités que peu d’autres mariniers possédaient. Habile en vol et très agile, elle était à même d’accomplir la mission commandité par les hautes sphères des explorateurs de Chirobi. Un gang de pirates contrôlait l’île depuis peu. Ils avaient mis la main sur plusieurs trésors grâce à leurs raids successifs. L’un d’eux en particulier avait attiré l’attention des agents royaux. Un parchemin ancestral que l’on pensait oublier. Celui-ci serait capable de transformer n’importe qui en puissant guerrier géant. Les ravages que cela pourrait causer entre de mauvaises mains seraient terribles. Heureusement, toujours d’après les informateurs, pour l’heure les pirates n’auraient pas découvert la puissance de ce vieux parchemin. Mais cela ne saurait tarder. Nami avait donc pour mission de s’infiltrer sur l’île , de localiser le parchemin et de le récupérer ou le détruire.

Le petit bateau à voile de la navigatrice heurta le ponton du port de l’île. Plusieurs bateaux y étaient amarrés. La plupart en mauvais état. Après tout, c’était un port de pirates. Un pavillon revenait souvent. Celui-ci avait un tentacule en plus d’une tête de mort. C’était le pavillon du gang de pirate régnant sur l’île. Le gouvernement mondial savait peu de choses d’eux , si ce n’était quelques légendes ou rumeurs. Ils seraient sanguinaires, comme beaucoup de pirates, et une créature pu un homme étrange, selon les versions, les accompagnerait.

Après avoir mis pied à terre, Nami paya l’homme chargé de surveiller les navires et de récupérer les taxes. Elle lui glissa les pièces sans le regarder et en continuant d’allonger le pas. Son pire ennemi était son opulente poitrine. Comme souvent en présence d’hommes. Elle craignait que son balancement ne soit pas suffisamment dissimulé sous cette tenue. Mais l’homme ne regarda pas où, en tout cas, ne fit rien pour l’arrêter et Nami quitta le port.

Arrivée sur la place principale de l’île , elle déglutit. Une statue trônait au milieu de la place. Elle montrait une femme dont le haut était arraché par un homme, révélant ses deux seins à la vue de tous les badauds. « Quel mauvais goût », se dit l’aventurière en regrettant d’avoir accepté cette mission. Même son compagnon de voyage, Sanji, ne serait pas allé jusque là. Quoique…

Ignorant les multiples sollicitations, on lui proposa même un calendrier des femmes de la Marine les plus sexys et un catalogue des plus beaux tours de poitrine de l’océan, où elle fut rassurée de ne pas y figurer, elle arriva dans une petite ruelle, à l’abri des regards. Ce n’était pas toujours facile de ne pas répondre et elle tentait, lorsqu’on l’accostait, de faire comprendre qu’elle ne pouvait pas parler.

À l’abri des regards dans cette ruelle, elle grimpa pour arriver jusque sur le toit plat du bâtiment. Seule sur cette plateforme, elle sortit une longue-vue de son sac et observa les environs. Elle n’avait aucun indice et le problème de la communication n’allait pas faciliter les choses. Heureusement, à force d’observation , elle remarqua de nombreux drapeaux de l’emblème du gang des pirates sur ce qui devait être un ancien palais. Avec un peu de chance, ce quartier général était aussi le lieu où ils rassemblaient leurs trésors.

D’un pas décidé, elle descendit de son perchoir et regagnit la terre ferme dans cette direction.

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Prélude / Re : Nami l'exploratrice [Vanéalidée !]
« le: mercredi 10 août 2022, 22:09:20 »
Merci à vous deux :)

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Prélude / Re : Nami l'exploratrice [Vanéalidée !]
« le: mercredi 10 août 2022, 18:21:49 »
Merci beaucoup et merci pour ce compliment Clad ;)

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Prélude / Re : Nami l'exploratrice [Anéa]
« le: mercredi 10 août 2022, 17:30:30 »
J'ai rajouté du contenu, c'est de la bonne longueur ? :)

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Prélude / Re : Nami l'exploratrice
« le: mercredi 10 août 2022, 10:41:48 »
Merci à tous les deux ;)

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Prélude / Nami l'exploratrice [Vanéalidée !]
« le: mercredi 10 août 2022, 09:43:06 »
Nami l'exploratrice

L’auberge des navigateurs était remplie. Pirates, corsaires, explorateurs… C’était l’un des rares endroits du royaume de Chibova à être neutre.

L’une des tables attirait particulièrement l’attention. Les nouveaux explorateurs du roi étaient célébrés. Après plusieurs années de long labeur au sein de l’académie des explorateurs, ils pouvaient désormais naviguer sur les mers de Chibova et au-delà. Il y avait parmi eux les corsaires, chargés de combattre au nom du roi ; les pirates, combattant sans drapeau, et les explorateurs pour découvrir de nouveaux territoires.

Nami était l’une de ces navigatrices. Âgée d’une vingtaine d’années, elle avait brillamment excellé dans les domaines de la météorologie et du maniement du navire. Elle fêtait ainsi avec ses camarades de promotion la réussite de ces études. Dès demain, ils vogueraient chacun à bord de leur navire pour mener leurs missions et goûter à l’aventure .


Physique

-   Oh, Nami, attention !, cria Suan, un guerrier aux cheveux bleus comme l’océan, qui perdait l’équilibre avec toutes les pintes qu’il avait pris.

L’une d’elle se renversa sur la navigatrice.

-   Suan !

-   Ne t’en fais pas, ce n’est que de l’eau oooooh.

Il partit en arrière en saignant du nez à la vue de ce tee-shirt blanc devenu… transparent. Au contact de l’eau, le tissu collait à la somptueuse et généreuse poitrine de Nami, dévoilant ses courbes convoitées comme le plus grand des trésors par les pervers de tout le royaume. Elle bondit sur ses pieds, surprise par la fraîcheur du liquide. Sa poitrine bondit sous le choc. Impossible pour quiconque dans l’auberge de manquer ce spectacle. Plusieurs érections furent causées et cette scène allait occuper les rêves et fantasmes de beaucoup de ces spectateurs. Quelle chance pour eux. D’ordinaire, Nami portait un pantalon et un haut de bikini. Certes très séduisant mais qui otait à la vue les parties convoitées de sa poitrine.

Ses beaux cheveux roux et son corps svelte ne faisaient qu’ajouter à son charme et à ce désir de convoitise.

Le rouge lui monta au joue alors que même le joueur de flûte s’étaient arrêtés pour reluquer ses seins et ces deux tétons roses, dressés et durcis par le froid.


Tenues possibles :

Tenue de soirée

Tenue de soirée bis

Tenue de pirate osée

Tenue classique

... Et d'autres encore !


Caractère

-   Suan, tu pourrais être moins maladroit !

Le pauvre matelot virevolta sur lui-même. Nami n’y avait pas été de main morte en lui envoyant une baffe. Elle recouvrit aussitôt sa poitrine de ses mains, toujours aussi gênée d’être le centre de cette drôle d’attention .

-   Heu, bon, si vous pouviez… heu… Suan va payer sa tournée !

-   Et comment je n’ai pas…

-   Ça s’est ton problème Suan, lui murmura-t-elle à l’oreille . Je te ferai remarquer que tout le monde est en train de me mater par ta faute, alors si tu pouvais me filer un petit coup de main…

Les fêtards avaient déjà tourné leur attention vers l’aubergiste en réclamant à boire. Ils n’allaient pas manqué une telle occasion. Surtout qu’ils avaient des choses à raconter maintenant. Quelle poitrine, quel corps… il faudrait bien des litres de bière et d’hydromel pour rafraîchir leurs esprits qui tournaient à plein régime.

Nami soupira en claquant la porte de l’auberge derrière elle. La jeune femme avait du caractère. Elle avait été éduquée en compagnie de matelots et pirates, devenant une fière exploratrice. Mais les hommes, et parfois certaines femmes, n’étaient pas toujours faciles à gérer. En particulier leurs pulsions. Cela avait parfois été un avantage, parfois non. Surtout depuis que sa poitrine avait étonnamment grossi en à l’approche de ses vingt ans.

Rigoureuse et passionnée, elle avait fait ses preuves sur les bancs de l’école. Elle avait mit son rêve, explorer le monde, au service du royaume qui, en échange, lui en fournissait les moyens.


Histoire

La mésaventure de Nami avait fait le tour de la ville.
Heureusement pour elle, aujourd’hui elle prenait le large. Son navire était un simple bateau léger, ne pouvant guère transporter plus d’une ou deux personnes.

Toujours passionnée par la mer et surtout l’appel du lointain, elle s’inscrivit , dès qu’elle fut en âge, à l’académie marine de Chibova. Studieuse, elle décrocha rapidement les meilleures notes. Étant l’une des rares femmes, elle dû user de différents moyens pour se faire respecter, usant aussi bien de son charme que de son intelligence.

Elle fit aussi la rencontre d’un vieux loup de mer, plus habile pour dérober la bourse de son prochain que pour les nœuds de marin. Grâce à lui, elle renforça son habileté et sa discrétion. Un talent rare parmi les mariniers et qui l’a fit remarquer. On lui proposa ainsi rapidement des missions d’entraînement où elle devait s’infiltrer en territoire ennemi pour récupérer tel ou tel objet de valeur.

Pour l’heure , Nami n’a mené encore aucune mission royale mais elles ne manquent pas. Le royaume est confronté à de nombreux dangers : bandits, empires menaçants, hordes d’orcs, pirates… et à cela s’ajoute le désir d’aventure du royaume avec sa reine actuelle, Désira II. Jusqu’où les frontières seront-elles repoussées ? Quels vastes territoires seront découverts ? À Nami et son rêve de devenir la plus grande exploratrice de le découvrir…



Malheureusement, tout n’est jamais aussi simple que dans les livres. Au premier soir, une terrible tempête éclata. Nami dû faire face au déchaînement des océans. Son bateau se brisa sur la roche et elle n’eut d’autre choix que de l’abandonner en sautant à l’eau. Les vagues s’emparèrent d’elle, la malmènent et c’est inconsciente qu’elle arriva sur la plage.

Après avoir repris conscience, Nami fit le tour de la petite île où elle était tombée. Elle pensait être seule jusqu’à découvrir une vieille bicoque au milieu de la végétation. Un ancien pirate. Monsieur Tortue. Il avait avec lui une grande bibliothèque, rescapée du naufrage de son navire dont les résidus reposaient désormais au fond de l’océan . Tous ces livres regroupaient un savoir exceptionnel et oublié. Des cartes menant à des trésors perdus ou d’Ile à découvrir.

Mais le vieil homme était un malin. Plutôt que de laisser Nami jeter un œil, elle dû lui servir d’aide pendant toute une lune. Tâche d’autant plus ingrate que l’homme était un sacré pervers et ne manquait pas une occasion de la reluquer. Mais il tint sa promesse. Dans le même temps, Nami répara son bateau et pu reprendre la route de l’aventure. Si elle n’avait pu jeter qu’un bref regard aux livres, elle avait cependant profité du sommeil de Monsieur Tortue pour lui subtiliser l’un de ses ouvrages. « Les Mystères perdus de l’océan ». Le voyage pouvait commencer…


Teasing futures trames :

- Un individu doué du pouvoir de métamorphe se transforme en Nami pour faire des choses... disons... peu respectables avec son corps.

- Une princesse à escorter

- L'infiltration d'un camp de bandits

- Une île interdite aux femmes où Nami doit pourtant s'aventurer
....
Et plein d'autres aventures qui n'attendent que de prendre la mer !

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