Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Pages: [1] 2 3 ... 9
1
Puisqu’elle devait passer le plus clair de son temps seule dans cette grande maison, tandis que son mari était toujours par monts et par vaux, je n’aurais pas été surpris d’apprendre que la sublime Tenshi Kazama avait un amant, ou deux. Belle comme elle était, pour ne pas choisir un autre adjectif moins flatteur, elle n’aurait eu, c’est sûr, aucun mal à se trouver quelqu’un.

Je ne m’attendais cependant pas à ce que ce quelqu’un puisse être moi et encore moins alors que son mari n’était qu’à quelques mètres de là. Qu’elle puisse se sentir délaissée en l’absence de son mari est une chose… vouloir le tromper alors qu’il est à côté, c’en est une autre. Tenshi n’était donc pas seulement une femme délaissée : elle était également insatisfaite.

« Mmmmh… »

Venant de m’annoncer très clairement ce dont elle avait envie là maintenant, la belle rousse s’était d’un coup faite pressante et très directe. S’étendant en avant comme l’aurait fait un félin, avec grâce, mais sans aucune pudeur toutefois, elle en venait à écraser son buste tout contre le comptoir de la cuisine… et se mettait à onduler des hanches.

Son cul appuyant fort contre mes hanches, elle frottait ma grosse bite tout contre sa raie. Bien vite, elle fit remonter sa jupe, découvrant le bas de son corps comme pour rendre plus explicite sa requête… des fois qu’il reste comme un doute. Voilà un spectacle inattendu… mais bigrement torride.

Incapable de bouger, je jetait des coups d’œil à droite à gauche, priant pour que son mari ne remonte pas de son bureau pour nous surprendre dans une telle position.

« Oh… j-je… waw. Je pense pas qu’on devrait… »

C’était la réponse la plus attendue, la plus normale qui soit dans une situation comme celle-ci, avais-je supposé. Seulement, quand bien même je venais de prononcer ces mots, il restait dur… très dur, de résister à une telle proposition. La vue que m’offrait Tenshi sur son corps était sans pareille… à couper le souffle… et à réveiller les morts.

Ainsi frictionné entre ses deux grosses fesses moelleuses et chaudes, il ne fallut évidemment pas longtemps à mon sexe pour se mettre à raidir et à gonfler, jusqu’à doubler de volume.

À l’étroit dans mon pantalon, tout contre son gros cul, j’aurais eu du mal à lui faire croire qu’elle ne m’intéressait pas.
La situation était tellement… bizarre, tellement soudaine, qu’il me fallut tenter de détendre cette atmosphère si chargée, en cherchant à blaguer.

« Cela dit… si c’est comme ça, alors je vous offrirai des fleurs plus souvent. »

Je lui adressais un sourire amusé alors qu’elle s’était tournée vers moi, sexy et soumise, ne demandant qu’à se faire sauter par derrière sur ce comptoir… mais ce n’était pas pour autant comme si je me refusais à elle. Je crois bien que j’avais envie de le faire, parce ç’aurait été la bonne chose à faire sans doute… mais à la voir comme ça… comment ne pas sauter sur pareille occasion ?

Bandant comme un taureau sous mon pantalon, la queue posée sur son gros cul jusque dans le milieu de son dos, je me mis à me frotter à elle à mon tour, tamponnant ses fesses en douceur, comme pour mimer la levrette qu’elle devait espérer.

Arquant le dos, je me penchais au-dessus d’elle, une main sur le comptoir, et dégageait une mèche de son oreille pour murmurer.

« J’en ai très envie aussi. Mais… et votre mari ? »

Déposant un baiser dans son cou, je me mis à y souffler chaudement, alors que j’imposais plus encore ma massive érection tout contre son gros postérieur. Je venais je crois, d’accepter ses avances, mais le plus dur restait encore à venir… nous retenir assez pour ne pas éveiller les soupçons d’Itake qui travaillait en bas.

Résolu à prendre du plaisir, mais à en donner surtout, l’une de mes mains vint enfin se poser sur le cul de Tenshi, l’attrapant fermement.

Comme si je venais de mettre la main sur l’un des plus beaux trésors que compte cette planète, je me mis à masser langoureusement sa grosse fesse, traçant de grands cercles dessus, la pétrissant avec envie.

« S’il ne vous satisfait pas comme il faut… alors je vais le faire. Assumer la charge de ses devoirs conjugaux… à la place de votre mari. »

Penché plus encore, je déposais mes lèvres au coin de siennes, puis m’écarta à peine pour me mettre à genoux derrière elle, le visage face à cet énorme cul que la plantureuse femme au foyer ondulait toujours.

« Votre cul est parfait… »

Humant la douce odeur de fraise émanant d’entre ses cuisses, j’en vins à me mordre les lèvres d’envie.

Attrapant son gros cul, j’enfonçais ma tête contre sa raie et me mettais à couvrir son postérieur de baisers, de coups de langues envieux.

Et, tirant doucement sur la ficelle de son string, je découvrais enfin son sexe. Sortant ma langue de ma bouche, je lui assénais alors une grande léchouille du bas vers le haut… puis recommençais, m’apprêtant à brouter sa belle petite chatte.

2
Ayant réussi à esquiver le regard inquisiteur de monsieur Kazama -à qui je donnerai bien raison d’être aussi jaloux-, je me satisfais amplement de ce sourire que m’offre sa femme à la vue des fleurs que je lui tend. Je ne m’attendais à rien en retour de ce cadeau toutefois, j’avoue avoir été traversé par un bien drôle sentiment en la sachant touchée par mon attention.

Puisque je savais son mari souvent absent, je me doutais bien que Tenshi devait parfois se sentir délaissée. Aussi, quand bien même je ne cherchais pas le moins du monde à faire de la concurrence à Itake, je me trouvais bien content d’être celui de nous deux à lui faire plaisir ce soir.

Par-dessus la table, elle m’adressa un baiser chaleureux, plus appuyé encore que le précédent, même si elle n’eût pas à se coller à moi cette fois… et fut bien vite remise à sa place par son mari, qui lui jeta un regard fermé et autoritaire.

Elle se recula et je fis vite de même pour ne pas froisser mon hôte, me rasseyant dans le canapé.

« Ça me fait plaisir. Je suis content qu’elles vous plaisent. J’avais pensé trouver quelque chose pour décorer votre maison mais… comme je n’étais pas entré jusqu’ici, je ne savais pas trop ce qui s’accorderait bien à vos murs ou… ou bien ce qui pourrait vous manquer ici. »

Reprenant cette conversation qu’il cherchait encore à monopoliser là où elle s’était arrêtée, le maître de maison sembla vite s’emporter, comme à son habitude dès lors qu’il se mettait à parler de son métier. Son air autoritaire disparut en un éclair, remplacé par son habituelle passion. Perdu dans ses pensées alors qu’il m’expliquait des choses que j’avais encore bien du mal à comprendre, je crois bien qu’il ne prêta pas la moindre attention à ce que j’eus sous les yeux les secondes qui suivirent.

Je ne crois pas non plus qu’il remarqua que je ne le regardais plus lui… mais le cul de sa femme. Je me mordis fort les lèvres pour ne rien dire, ni même pousser un soupir.

À moins d’un mètre de moi, face au petit meuble qui collait au bout du canapé sur lequel j’étais assis, se tenait Tenshi, à genoux, en train de farfouiller à la recherche d’un vase dans lequel mettre ses roses. Ses fesses, bien trop larges pour une si petite jupe, et dans une telle position surtout, débordaient par le bas du petit vêtement… pour le plus grand plaisir d’yeux curieux tels que les miens.

J’ignorais quelle intense pratique sportive l’avait façonnée ainsi, mais merde : quel beau cul ! Quel énooooooorme boule ! De partout, la belle miss Kazama semblait taillée comme une déesse. Appuyé sur ces talons aiguilles qui rendaient la jeune femme plus sexy encore, son pétard dodu et rebondi à souhait ondulait très légèrement de gauche à droite, en un léger mouvement de balancier dû à l’intensité de ces recherches qu’elle menait. Putain qu’elle était bonne dans son petit string…

Ça va sans dire, j’eus bien du mal à reprendre le fil de la conversation après ça.
Me tournant vers Itake, je me contenta d’acquiescer, comme si j’avais tout écouté et compris de ce qu’il avait bien pu me dire pendant que je reluquais sa femme, avant qu’elle ne nous quitte pour rejoindre la cuisine.

Le téléphone du mari se mettant à sonner, je me fis tout petit dès lors que j’entendis le ton monter. Monsieur Kazama parlait boulot et n’avait vraiment pas l’air content… Discrètement, j’observais alors Tenshi, affairée par-dessus le comptoir et attendais patiemment, un peu gêné.

Bien vite, l’air plus furieux qu’agacé, l’avocat raccroche pour nous annoncer, à sa femme comme à moi, qu’il doit prendre congé et s’absenter un moment, pour travailler… encore. Précipitamment, je me lève.

« Je vous en prie, ce n’est pas grave. On peut remettre ça à un autre jour si vous voulez ? Ça ne me gêne pas. »

M’invitant à rester malgré tout, vu le mal que sa femme s’est donnée pour tout préparer, Itake m’adresse une nouvelle tape amicale sur l’épaule, avant de prendre la direction des escaliers menant à son grand bureau, installé au sous-sol.

Alors que me voilà debout, seul, en plein milieu du salon, j’acquiesce et obtempère sans problème quand la belle madame Kazama m’appelle pour me demander de l’aide en cuisine.

« Oui, bien sûr, avec plaisir. J’arrive. »

Adressant un nouveau sourire à la jeune femme, je me décide à la rejoindre, sans manquer de la reluquer un peu, tandis qu’elle se cambre si bien, sur le côté de ce comptoir, qui délimite la cuisine ouverte de la partie salon.

Je rentre mon ventre, pour passer entre elle et le mur dans mon dos… mais elle recule. Je baisse les yeux et contemple alors son gros cul, qui bouge et rebondit doucement tout en tamponnant mon bas ventre.

Me voilà coincé entre elle et le mur, à sentir cette grosse bosse molle, qui court de mon pubis jusqu’à mi-cuisse, écarter ses fesses dodues pour que la forme de mon sexe s’imprime dans sa raie. Ce n’est pas non plus comme si elle s’appuyait vraiment tout contre moi… mais c’est déjà bien pour m’empêcher de bouger.

Si je me déplaçais, elle pourrait penser que je cherche délibérément à me frotter à elle.
Évidemment que ça me fait envie. Mais quand même !

Raclant ma gorge doucement, pour que ne pas que cela sorte de la cuisine, je tente de rentrer mon ventre encore un peu.

« Pardon. Il va juste falloir que je passe… »

Et ce serait bien que je passe vite, avant de me mettre à bander comme un âne.

3
Je suppose qu’Itake m’attendait de pied ferme. Aussitôt avais-je appuyé sur la sonnette que monsieur Kazama en personne était venu m’ouvrir, visiblement très heureux de me revoir après des semaines passées à l’étranger.

Heureux également, je lui adressais bien sûr un sourire franc, mais allez savoir pourquoi, je demeurais un peu déçu. Pour je ne sais quelle raison, je crois bien que c’est sa femme que je m’attendais à voir sur le seuil de cette porte. Dans la journée, je m’étais même perdu un moment à me demander comment elle serait habillée ce soir.

Cette petite mais ridicule déception m’étant passée, je ne manquais pas de remettre à mon voisin la bouteille de scotch que j’avais achetée pour lui, tant pour le remercier de son invitation que pour m’avoir prêté ce livre, que je m’empressais également de lui rendre.

Je me débarrassais rapidement de mes chaussures et de mon veston de costume, pour prendre la suite de mon hôte, seulement vêtu désormais que d’une chemise de soie sombre et d’un pantalon de tissu fin, de couleur blanc, retenu solidement sur mes hanches par une ceinture de cuir ornée d’une belle boucle en argent, mais sous lequel je ne portais rien, puisqu’il m’était impossible de trouver un dessous « à ma taille ». Je m’étais évidemment douté que l’on pourrait aisément voir à travers mais ne m’en étais pas vraiment inquiété. Il faudrait pour cela de sacrés jeux de lumières et de mauvais concours de circonstances tout de même.

Suivant monsieur Kazama jusqu’au salon, je détaille de mes yeux ces pièces et ensembles de pièces que l’on traverse, sans lui cacher un seul instant comme je suis impressionné. J’étais allé dans son bureau une fois, mais jusqu’ici, jamais n’avais-je eu l’occasion de faire le tour du propriétaire. Si d’extérieur le petit pavillon ne payait pas de mine, force est de constater que l’intérieur, lui, était richement décoré… et avec goût de surcroît. Tenshi devait passer des heures et des heures à tout bien astiquer chaque jour, il n’y avait pas la moindre poussière nulle part.

Quand on parle d’elle, d’ailleurs…

Je faillis sursauter, n’ayant pas vue la maîtresse de maison sortir de l’espace de cuisine ouverte pour nous rejoindre. Madame Kazama m’apparut ainsi d’un coup et je me tendis comme un fil, surpris que j’étais de la voir débouler comme ça. Et dans pareille tenue !
Je savais Itake très fier de sa femme et particulièrement confiant mais pas au point de la laisser m’accueillir avec un tel décolleté sans rien dire.

La belle et grande rousse avait quand même fait fort : une petite jupe noire, particulièrement courte, moulait ses larges hanches et, enfoncée sous celle-ci, Tenshi ne portait en guise de haut qu’un joli chemisier blanc… qu’elle n’avait toutefois pas fermé. Enfin, seul un ou deux boutons l’étaient, juste au-dessus de son ventre. Le reste du vêtement restait quant à lui grand ouvert, dévoilant plus qu’il n’en fallait de ces deux énormes lolos, d’une taille et d’une rondeur tout à fait inédites.

Puisque j’en voyais tant, en l’espace d’une seconde à peine, sachez qu’il paraissait tout aussi évident que l’hôtesse de maison ne portait rien non plus sous sa petite chemise.

Mes joues se fardant de rouge dès que je l’aperçus, je fis de mon mieux pour la regarder dans les yeux… et dans les yeux seulement, alors qu’elle s’approchait déjà d’un pas, le sourire aux lèvres.

« Oh… Madame Kazama, bonsoir. »

Et, sans me laisser un instant de répit, ma délicieuse voisine mariée s’empressa de presser son corps tout contre le mien pour glisser ses lèvres sur ma joue… tout comme elle l’avait déjà fait une fois, quatre mois auparavant.
À travers la soie de ma chemise, je pus sentir ses deux gros seins contre mon corps. Mon dieu ce qu’ils sont lourds…

C’est impressionnant… et, magnifique, du point de vue d’un amateur de belles poitrines tel que moi. Elle devait faire un bonnet G… ou même H, quelque chose comme ça. Je n’osais pas essayer de l’imaginer maintenant mais, wow… quel spectacle ce devait être.

« Wow. Vous… êtes ravissante ce soir. »

Me sentant attendu par Itake, son mari, je reprenais le fil de mes pensées aussi vite que je l’avais perdu et m’écartais de Tenshi pour suivre le couple jusqu’à l’endroit où nous devions prendre l’apéritif tous ensemble. Troublé, j’en avais même oublié d’offrir mon bouquet de roses à mon hôte de ce soir. C’est dire.

Cela ne m’empêcha évidemment pas de lui répondre alors que je prenais place face aux Kazama, sur ce grand canapé de cuir beige, devant leur grande table basse.

« (…) Mon mari n’arrête pas de me parler de vous. »

« Ah oui ? En bien j’espère. Oui, à vrai dire, ça fait un moment que je voulais vous inviter à dîner à la maison, avec la permission de votre mari bien sûr... pour que l'on puisse faire connaissance. Mais vous aviez l'air occupée, je ne voulais pas vous déranger. »

Esquissant un sourire, je me mettais à mon aise, les jambes grandes écartées, le dos vers l’arrière.
Réfléchissant un instant, je fis mine de compter sur mes doigts. C’est vrai que ça commençait à faire un moment que je vivais ici. Je ne m’en étais même pas rendu compte.

« Si je ne dis pas de bêtises, ça va bientôt faire cinq ans. Oui c’est ça, ça fera cinq ans cet été. Quand j’ai acheté la maison, le parc n’était pas aussi fréquenté qu’aujourd’hui. C’était très calme… j’avais l’impression d’avoir un jardin gigantesque pour moi tout seul. C’était sympa. »

Tenshi se pencha un tout petit peu vers l’avant pour me tendre un plat et je me servis en lui adressant un sourire…

« Merci. »

…avant de remarquer une fois de plus son décolleté béant… sa grosse poitrine tout simplement parfaite, qui ballotait au rythme de ses mouvements.

D’un mouvement vif, je me tournais vers monsieur Kazama, de peur qu’il pense que j’étais en train de mater son épouse.

« Haha, oui… oui je comprends. J’imagine aussi que ce n’est pas un métier facile. Ça ne doit pas être évident pour vous, au jour le jour. Au moins, vous pouvez être rassuré, c’est une formidable épouse que vous avez. Vous savez, je la vois souvent depuis ma fenêtre le matin. Même très tôt… tous les jours, elle s’occupe de tout. Enfin ça en a l’air. C’est quelqu’un de responsable en qui vous pouvez avoir confiance… ça saute aux yeux. »

M’étant peut-être un peu trop étendu sur le canapé, je remarquais alors comme il était facile de voir comme était grosse la bosse se dessinant sous mon pantalon de lin. Je n’avais pas le moindre début d’érection, non, toutefois, même ainsi, une si grosse chose dans un pantalon si fin… ça se voyait. Avec une vue pareille sur les lolos de Tenshi, il était fort probable que je finisse par me faire remarquer, si je restais ainsi…

Aussi, décidais-je de me redresser, croisant une jambe par-dessus l’autre.

Ma position ayant changé, je pus voir, une seconde à peine, entre les larges cuisses de celle qui me faisait face ce soir, sous sa si provocante mini-jupe noire… Une fois de plus, je me dépêcha de regarder ailleurs, mais cette seule seconde avait suffi. Pour l’avoir déjà vu pendre dehors, sur son fil à linge, je savais très bien quel string la sulfureuse bombe portait ce soir…

Ç’en était trop !
Une fois de plus, voilà que je me mis à rougir. J’eus peur que monsieur Kazama vienne me demander pourquoi.

Bien vite, je trouvais une parade pour expliquer ma gêne.
Me tournant sur ma droite, je me saisissais enfin du somptueux bouquet de roses que j’avais oublié d’offrir et le tendais à Tenshi, par-dessus la table.

« Oh, excusez-moi, j’ai failli oublier. Madame Kazama… c’est pour vous. J’espère qu’elles vous plairont. »

Le bouquet passant un bref instant à hauteur de ma tête, je pus respirer une courte seconde en sachant qu’Itake ne pourrait me voir, alors que la gravité attirait irrémédiablement mon regard sur les beaux et gros nibards de sa femme.

Bien sûr, je fis au mieux pour rester discret pour ne pas, non plus, me faire remarquer par l’intéressée elle-même.

Des roses rouges. Symbole de passion et de sensualité.
Je ne l’avais pas fait exprès, mais que voilà des fleurs qui lui convenaient bien…

4
Voilà enfin que le printemps revient. Il était temps.

Assis sur le large canapé du bow window (ou fenêtre arquée) au premier étage de chez moi, à moitié adossé tout contre la fenêtre, je lis un peu, comme je le fais tous les matins, très tôt, tout en sirotant mon café.

Comme souvent, mon regard se perd parfois ailleurs et je débranche totalement, l’espace de quelques secondes à peine, pour regarder dehors. Ainsi je remarque aujourd’hui que, s’il fait bien beau, et déjà chaud pour la saison, un petit vent se lève toutefois. De nombreux pétales colorés qui volent ça et là attirent mon regard et, curieux, je les suis, alors que les voilà qui défilent par-dessus la petite clôture de bois qui sépare mon jardin de celui des Kazama, mes voisins.

Sur leur fil à linge sont étendus chemises blanches, pantalons et vestes de costumes en grand nombre. Il n’y a pas de doute à avoir, Monsieur Kazama est rentré. Non pas que j’en doutais vraiment, puisque je suis invité à me joindre à lui pour le dîner de ce soir, mais on ne sait jamais. En grand ténor du barreau qu’il est, il est un homme occupé et ainsi, il nous est déjà arrivé de devoir reporter de telles entrevues.

Voilà bien un an, peut-être deux, que le couple s’est installé dans la grande maison jouxtant la mienne et pourtant, je ne l’ai croisé, lui, que bien peu souvent. De ce que j’en savais, son travail était tel qu’il lui fallait se déplacer à l’étranger fréquemment.

Nous nous étions entrevus une ou deux fois dehors, en sortant de nos maisons au même moment, par le plus grand des hasards, puis avions fini par nous recroiser, tout aussi hasardeusement, dans le grand parc bordant notre quartier alors que lui allait courir, très tôt le matin, avant de partir travailler. Cela étant arrivé plus d’une fois en un court laps de temps, j’avais fini par me joindre à lui et m’étais ainsi mis à courir quotidiennement, au moins pendant quelques semaines.

Comme il était d’un naturel a priori calme et tranquille et qu’il ne m’apparut jamais non plus comme antipathique, j’eus très vite fini par sympathiser avec Monsieur Kazama, quand bien même je ne l’avais pas vu très souvent. Puisqu’il était de bonne famille et de très bonne éducation, il était très cultivé et cela aidait. Nous discutions d’à peu près tout et rien, d’Art, de littérature, comme d’économie.

Je notais toutefois ceci : quand bien même Monsieur Kazama était un homme intelligent et renseigné sur de très nombreux sujets, les nouveautés, les plaisirs contemporains et tout ce qui touchait aux modes d’aujourd’hui semblaient hors de son domaine d’expertise.

J’en avais conclu qu’il ne devait pas sortir beaucoup, trop accaparé qu’il était par ce travail qui occupait tout son temps. S’il connaissait un peu la littérature classique par exemple, il ne savait cependant rien des romans, ou bien des films et acteurs du moment. Si il avait reconnu en moi quelqu’un capable de lui tenir la conversation, j’étais toutefois certain que jamais, ô grand jamais, il n’avait lu le moindre de mes livres. Je n’étais pas non plus sûr que ceux-ci l’auraient intéressé, d’ailleurs.

Au moins avait-il eu la gentillesse, quand je le lui avais demandé, d’éclairer ma lanterne sur quelques points épineux touchant au système juridique. Comme à mon habitude, je me souhaitais précis et pointilleux lors de l’écriture de l’un de mes livres et, fort heureusement pour moi, Monsieur Kazama accepta de prendre sur son précieux temps pour éclaircir avec moi ces points sur lesquels je butais alors.

Il y a trois ou quatre mois, en plein milieu de l’hiver, mon avocat de voisin m’avait ainsi invité, pour la toute première fois, à partager un verre avec lui, à son domicile. Nous nous étions alors installés dans son luxueux bureau et avions discuté pendant des heures, autour d’un scotch hors de prix, qu’il s’était fait une joie de partager avec moi. Animé d’une passion sans bornes alors que je ne cessais de l’interroger sur son domaine, l’expert ne tarda pas à m’ensevelir sous un flot d’informations dans lequel je faillis me noyer.

Pour m’aider un peu, il me prêta quelques-uns de ses lires, un exemplaire récent du code pénal, que je me promettais de lui rendre lors du dîner de ce soir.

Me levant un instant de mon canapé, j’allais chercher le dit exemplaire et m’en allais vite le poser dans l’entrée, juste à côté de la porte, avant de l’oublier. Ceci fait, je remontais aussitôt pour reprendre ma place, pour me remettre à lire.

Encore une fois, une baisse d’attention vint vite me cueillir. Observant les vêtements de Monsieur Kazama qui pendaient au vent, sur le fil à linge, je me remémorais un peu.

C’est lors de cette toute première visite que Monsieur Kazama me présenta Tenshi, son épouse. Bien sûr, je n’eus vraiment l’occasion de passer du temps en sa compagnie, puisque son mari et moi discutions dans son bureau mais… alors que nous nous adressions la parole pour la première fois -alors qu’elle était jusqu’ici restée très discrète, quand bien même nous vivions côte à côte-, sa présence ne put que me marquer… comme au fer rouge, pour ainsi dire.

Comment vous l’expliquer…
Puisqu’il m’était déjà arrivé de la croiser, je savais pertinemment que Monsieur Kazama était marié à une véritable beauté. J’avais remarqué comme ses courbes étaient affolantes, vertigineuses même mais… la voir de près, l’entendre et lui parler, ne serait-ce qu’un tout petit peu, m’avait fait un effet bien différent ce soir là.

Pour ne rien vous cacher, je m’étais mis à bander, quand elle était entrée dans la pièce pour nous saluer et pour se présenter à moi. J’avais eu du mal à la regarder droit dans les yeux et, lorsqu’elle vint s’approcher de moi pour embrasser ma joue, mon sang n’avait fait qu’un tour. Nous avions partagé un regard après que, j’en suis sûr, elle m’avait surpris en train de mater ses larges fesses alors qu’elle sortait pour nous laisser et… je suis presque aussi certain qu’elle avait compris, à mes gestes nerveux, qu’elle m’avait donnée une érection.

Gêné qu’on puisse penser de moi que je convoite la femme d’un autre, je n’avais pas tenté de venir à sa rencontre en l’absence de son mari. Ainsi, hormis les quelques politesses habituelles, elle et moi ne nous étions pas non plus adressé la parole depuis.

Et pourtant, sans avoir d’idée derrière la tête (enfin pas trop, j’évitais), il m’était souvent venu l’envie d’aller à sa rencontre. Parce que, pour le peu que nous nous étions parlé déjà, la jeune femme, d’à peu près mon âge, m’avait semblé très douce et sympathique, mais aussi parce qu’en plus d’habiter à deux pas de chez moi, je m’étais souvent demandé si celle-ci ne se sentait pas trop seule.

Alors oui, celle-ci semblait commander à tout va et les livreurs s’accumulaient à sa porte pour lui livrer des colis, presque chaque jour mais, en y repensant… en repensant à son mari, qui ne semblait pas aimer tant que ça sortir et s’amuser (et ça, seulement quand il n’était pas absent, en plus), voilà qu’il m’était arrivé de penser à la belle Madame Kazama. Je songeais plusieurs fois à l’inviter prendre un café, ne serait-ce que pour discuter un peu… mais à chaque fois, de peur que mes intentions soient mal interprétées, je m’étais ravisé.

Au moins gardions nous contact de vue, nous saluant d’un geste timide de la main quand nous nous apercevions. Dehors, ou depuis nos fenêtres.

Oserais-je même l’avouer ? Discrète la plupart du temps, Tenshi Kazama l’est un peu moins, quand son mari n’est pas là.
Exit les lessives en intérieur, les costumes et les cravates : quand Monsieur Kazama n’est pas là, sa femme s’en donne à coeur joie.

Évidemment, puisque notre lotissement est entouré de bois, personne ne voit rien, ou presque et seule ma maison partage un vis-à-vis avec celle du couple, mais sait-elle au moins que je les vois pendre moi, ses nuisettes, ses strings et ses guêpières de dentelle, quand elle les suspend juste sous ma fenêtre ? Voilà des dessous bien affriolants que je vois pendre là des mois durant mais qui, étrangement, disparaissent quand Monsieur Kazama est dans les parages.

Je n’accuserai personne et me tairais évidemment sur tout cela mais, se pourrait-il que la jeune femme au foyer le fasse exprès, par ennui ?
Tout comme j’avais remarqué que ses beaux dessous disparaissaient de ses lessives quotidiennes quand son mari était de retour pour quelques jours, j’avais également remarqué comme la jeune femme semblait passer plus de temps de ce côté de la maison, celui faisant face à mes fenêtres, quand son homme était absent.

Je fis évidemment semblant de rien à chaque fois que je l’eus croisée dehors pour lui dire bonjour, mais combien de fois, quand Monsieur Kazama n’était pas là, avais-je pu voir la sulfureuse rouquine astiquer le parquet, seulement vêtue d’un t-shirt et d’un string ? Ou bien faire la cuisine, couverte d’un tablier pour seul vêtement ?

Je m’étais bien retenu d’acheter une paire de jumelles pour la mater ces derniers mois mais, quand bien même cela n’était pas bien, je m’avouais, en tant qu’homme, et faible pour cela, qu’il m’était arrivé de m’en mordre les doigts de ne pas l’avoir fait.

Incapable de me concentrer, je ferme mon livre, puis m’éloigne de cette maudite fenêtre.



Le soir venu.
Il est à peine dix-neuf heures et les lampadaires bordant l’allée de maisons s’allument à peine.

Les bras chargés d’une bouteille de scotch haut de gamme achetée pour l’occasion et d’un large bouquet de roses rouges, que j’avais payées le prix fort en fin d’après-midi, je passais le petit portail de chez moi et ne faisais que quelques mètres à peine dans une direction, pour enfin passer celui de Monsieur et Madame Kazama.

Je n’avais bien sûr pas oublié l’exemplaire du code pénal qu’il fallait que je rende à son propriétaire, mais avais dû me résoudre à le mettre dans une poche du veston qui recouvrait ma chemise sombre.

Terminant tranquillement ma cigarette, le sourire aux lèvres, j’écrasais mon mégot dans l’élégant cendrier d’extérieur trônant près de la porte de la maison, puis me décida à appuyer sur la sonnette sans plus tarder.

Craignant de sentir trop fort la cigarette, je sortais de mon veston un petit flacon de parfum, et m’en aspergeais un peu le cou et les poignets. Je n’y pensais pas sur le moment, mais Madame Kazama m’avait beaucoup complimenté à son sujet, cette fois où elle m’avait fait la bise, dans le bureau de son mari. Je ne sais plus ce qu’elle m’avait dit exactement… mais je suis sûr que c’était quelque chose comme « attirant », ou bien « sexy ».

Tout cela ne me revenait pas sur l’instant, mais cela me reviendrait sans doute plus tard : Tenshi aimait beaucoup cette odeur. Vraiment beaucoup.

5
Bon retour à toi  :)

6
Prélude / Re : Femme au foyer Lubrique - TENSHI KAZAMA - (100%)
« le: jeudi 21 mars 2024, 17:48:17 »
Oh... Hum.

Bienvenue  ::)

7
Le parc et son sous-bois / Re : Buffet à volonté ? (PV Anastasya)
« le: jeudi 24 août 2023, 21:51:56 »
Que l’on soit timide ou pas, il fallait reconnaître qu’il y avait quelque chose de très excitant à entendre une femme nous dire ainsi qu’elle adorait notre queue. Ça l’était encore plus venant de la part d’une poupée comme celle-ci, dotée de seins comme si peu en étaient dotées. De véritables pares-chocs bien ronds et lourds, devant peser chacun au moins quelques kilos…

Pour un type comme moi, qui raffolait et fantasmait depuis toujours sur pareils nichons, c’était là le traquenard parfait.

Obnubilé par ces deux gigantesques obus, j’oubliais presque que je faisais là appel aux services d’une prostituée pour la toute première fois de ma vie, et rares étaient les inquiétudes qui m’habitaient encore… Comme la pute qu’elle était, je m’attendais presque à l’entendre vouer un véritable culte à ma bite, à l’entendre me dire tout un tas de choses salaces pour m’inciter à la baiser plus et plus encore, de sorte à me soutirer le maximum de blé… et à vrai dire, je commençais même à espérer qu’elle le fasse.

Vous n’avez certainement pas idée de comment il peut être difficile de trouver une femme prête, ou capable de tout, lorsque l’on est outillé comme je le suis. Le faire étant déjà parfois compliqué, alors tenter quelques fantaisies… je ne vous en parle pas.

Alors se dire que peut-être que, si j’y mets le montant nécessaire, cette véritable bombe fera tout ce que je veux de mon sexe… je serais presque tenté de dire que c’est une aubaine !

La matant en cachant au mieux ma honte, j’observe bouche-bée son déhanché, lorsqu’elle vient à se débarrasser de ses bas pour me laisser reluquer le petit string qui marque son énorme cul.

« Ok… waw. »

L’instant dure trop peu longtemps. À peine ai-je l’impression d’avoir eu le temps de mater comme il faut que la belle inconnue revient aussitôt à la charge. J’écarte bien les jambes, qu’elle reprenne une place confortable, et replace un temps ma tête au creux de ses seins.

Mais après avoir vu un truc pareil… je ne peux m’en empêcher. Glissant mes gros doigts sur ses belles fesses nues, je m’y agrippe bien en sentant qu’elle installe entre elles mon gros chibre, et me courbe un peu vers l’avant pour voir ça. Putain… son cul est si gros que refermer ses fesses sur un mandrin large d’une bonne dizaine de centimètres ne lui est même pas difficile. De telles mensurations… c’est hors compet !

« Ha-haaaan… oooh… »

Dans un profond soupir d’extase, je retombe vers l’arrière pour m’installer confortablement au creux du canapé lorsque je sens ses mains serrer ses deux grosses fesses pour bien les refermer autour de mon sexe. Doucement elle ondule, monte puis descend… son cul me serre si bien que j’ai déjà la sensation d’être en elle. Difficile d’hésiter à l’idée de la baiser après un truc pareil… Elle m’en donne tellement envie.

Comme un affamé, mes lèvres se scellent au large mamelon qu’elle me tend et presse tout contre ma bouche. Je tords, mordille et suce goulûment tout ce qu’il m’est donné sans rechigner… gourmand. Mes mains viennent prendre la place des siennes sur son postérieur et je le presse, tandis qu’elle n’a de cesse de se limer la raie.

D’un doigt bien trop aventureux, j’écarte la ficelle de son dessous et entreprends de continuer, au creux de sa raie nue. Je lime lentement, tapote de mes doigts pour faire claquer son cul puis… sans même que je n’y prête vraiment attention, voilà que je la fait sauter sur mes genoux, enfonçant par à-coups ces quarante centimètres de viande entre ses fesses.

« MMH MmmMmmMmmmmMmmMmMMMMMh… »

Hésitant toutefois encore à l’idée d’aller trop loin, je gardais pour moi ma folle envie d’aller l’enculer à quatre pattes sur le carrelage de la cuisine. L queue mille fois trop raide… j’osais toutefois ouvrir les hostilités d’une toute autre façon.

« Haa… haaa… est-ce que… est-ce que je peux te demander une bonne fellation ? Sans… capote… s’il n’y a pas un supplément hors de prix pour ça. »

À dire vrai, même le triple XL me mettait mal à l’aise… alors supplément ou pas, il faudra bien se faire une raison.

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Le parc et son sous-bois / Re : Vagues au lac (PV Vexanna)
« le: mercredi 23 août 2023, 16:53:56 »
Quelle délicieuse sensation que celle-ci !
Moi qui n’avais rien prévu d’autre de mon après-midi qu’un peu de repos bien mérité, au beau milieu du grand lac de la ville, me voilà les doigts enfoncés dans les grosses fesses d’une parfaite inconnue, le pantalon sur les chevilles et ma queue ridiculement grosse enfournée à demi dans sa petite chatte trempée.

À ce compte-là, il fallait reconnaître comme il était étrange qu’une femme aussi encline à sauter sur le premier venu, comme cela avait été mon cas, puisse être aussi étroite. Avais-je réussi à l’enfiler sur une bonne quinzaine de centimètres que je peinais désormais à faire le moindre mouvement supplémentaire.

Autant avait-elle beau gémir fort et ruisseler comme une véritable fontaine, autant mes mains qui poussaient sur ses fesses ne semblaient m’être d’aucun véritable secours.

« Hhhnnn… haa »

Malgré tout, malgré cette légère frustration qui me mettait sens dessus dessous, bourrer ainsi son petit sexe me comblait déjà d’extase et de plaisir. Son étroitesse me comprimant si fort, j’étais aux anges, ainsi enveloppé au creux de son petit nid douillet. Elle n’était pas en reste non plus, et cela n’attisait qu’encore plus l’ardent désir qui s’était emparé de mon bas-ventre.

Me mordant les lèvres face au spectacle de son corps bien fait, ondulant tout contre le mien, je me laissa faire sans peine et me délecta même de la sentir m’agripper soudain si fort. M’empoignant comme une désespérée, elle se tordit d’un coup, comme prise d’une transe des plus intenses, et je compris que le seul fait d’avoir pu la pénétrer jusqu’ici avait suffi à la faire jouir. Quel pied… sans vouloir me jeter de fleurs, je devais toutefois m’avouer bienheureux de savoir qu’à elle seule, ma queue lui faisait un tel effet.

Ainsi je ne doutais déjà plus que, avec un peu de bonne volonté, il ne me serait pas des plus difficiles de la rendre complètement folle. Son comportement profondément aguicheur m’ayant pas mal allumé, j’étais devenu bien curieux à l’idée de voir jusqu’où la luxure la mènerait.

Attendant quelques secondes à peine, qu’elle se remette un peu de ses émotions, je vins la regarder droit dans les yeux, légèrement amusé par sa réflexion. Ainsi donc cet orgasme soudain ne lui avait pas suffi ? Tant mieux pour moi… Après tout, j’avais, moi aussi, bien envie de me vider les couilles. Ç’aurait été horrible qu’elle se barre avant même de m’avoir laissé lui donner le moindre « vrai » coup de queue.

« Tu es bien sûre de toi ? »

Lui adressant un fin sourire plein de jeu et de défi, j’agrippais un peu plus fort ses deux grosses fesses moelleuses et m’arquait à peine vers l’avant pour doucement la faire toucher sol. Rampant presque au-dessus d’elle, sans jamais quitter son doux écrin, je l’allongeais au centre de la barque, les jambes bien écartées, et m’installais confortablement juste au-dessus, la queue bien enfoncée entre ses cuisses.

« Tout ce qu’il y a à faire… c’est d’enfoncer ce gros machiiin-nngggh… »

Une main remontant lentement contre sa fesse, je venais attraper l’une des jolies gambettes de l’inconnue pour la lever bien haut et écarter plus encore ses cuisses. Forçant de tout mon poids, les fesses serrées, je laissais mon énorme engin mener la danse, et bataillait pour l’imposer plus loin encore dans sa toute petite chatte.

À petits coups, millimètre par millimètre, je forçais le passage et bourrais l’énorme chibre tout chaud en elle. Le bas de son ventre commença à se déformer peu à peu, comme marqué d’une épaisse bosse sur son dessus, et je compris dans un profond soupir que nous avions fait la moitié du chemin. Presque vingt centimètres de viande trempée attendait encore son tour à l’extérieur, et commençait à s’impatienter…

« HMMMF!!! »

D’un long, très long mouvement, je me mis à reculer mon bassin. Centimètre après centimètres, j’extirpais tout doucement ma queue de son corps, pour lui laisser le temps d’en profiter pleinement… avant de revenir à la charge d’un coup sec, pour grappiller un tout petit peu de place en plus entre ses cuisses.

« HAN ! »

Desserrant l’étreinte de ma main, je laissais sa jambe reposer à sa place un instant. Ne pouvant rester ainsi, seulement à moitié en elle, j’ondulais doucement, à la recherche d’une idée… d’une position confortable, me permettant de la labourer comme elle me l’avait demandé… « comme jamais ».

« Tourne-toi. Allonge-toi sur le ventre et laisse-moi faire… si tu m’offres ton cul, je te promets de bien m’en occuper. »

Trop obnubilé par l’envie de faire claquer mes couilles contre ses deux énormes fesses, je ne m’étais même pas rendu compte que mon bassin n’avait su résister à l’envie. Tout seul, le voilà qui bougeait lentement, d’avant en arrière, pour offrir à la jeune femme de premiers mais énormes va-et-vient.

9
Les alentours de la ville / Re : Trêve hivernale (PV Shikimurami Nagata)
« le: dimanche 20 août 2023, 19:45:07 »
Quiconque pénètrerait à cet instant dans cette petite chambre à peine éclairée croirait surprendre deux amants en plein préliminaires, ou bien au tournage d’un porno, au vu de cette somme de mensurations hors-normes qui s’affairaient à se frotter les unes aux autres…

Mais quiconque serait arrivé jusqu’ici aurait sans doute été poussé par un élan certain de voyeurisme puisqu’il était vrai que, plus les minutes passaient, de plus en plus de bruit venait à résonner depuis cette petite chambrée.

Mon corps rendu brûlant par le spectacle improvisé de ces deux gigantesques seins nus pointant sous mes yeux, j’avouais sans peine ne plus vraiment savoir où j’en étais. Quand bien même mon hôte et moi étions sous l’emprise d’une force extérieure à notre volonté, il fallait bien croire que leurs manigances avaient su faire poindre en moi un désir qui m’était propre.

Mise comme à ma merci par les esprits malins qui hantaient la demeure, la belle tenancière de l’hôtel s’affolait nue, tout contre ma peau, et sa chaleur, comme le son cristallin de ses profonds gémissements ne cessaient d’attiser comme un brasier furieux jusqu’au plus profond de mes entrailles. Sans doute qu’une vie de labeur difficile et quotidien avait su raffermir ces muscles à l’apparence tendre, la belle demoiselle Nagata, en plus d’avoir été plus que gâtée par la nature, disposait de courbes à en faire rougir plus d’un.

Ainsi, à laisser ma peau frictionner contre pareille volupté, il m’en était chaque seconde plus difficile, de savoir si mes doigts cherchaient encore à lui porter secours, ou bien s’ils n’étaient plus que mus par l’envie de la toucher… et de lui faire du bien.

Las de ne trouver nulle part l’objet de sa torture, peut-être avais-je bel et bien fini par me laisser aller. Après tout, elle haletait. À chacun des doigts que je glissais en elle, ses soupirs semblaient plus forts et plus intenses. Le bruit de ses pieds glissant sur le parquet me faisant me retourner, j’apercevais même comme ses cuisses s’écartaient plus grands, tandis qu’elle humidifiait la paume de ma main de son tout petit sexe.

Oui… tout comme je n’avais pu me retenir de frotter mon énorme engin à demi-mou à ses doigts, je crois bien que mes sens avaient fini par me faire défaut. Je mourais d’envie de la toucher et savoir son corps en demande m’avait fait franchir cette ligne. Ayant abandonné contre ma volonté elle-même, je n’étais désormais plus qu’en train de la doigter fiévreusement, bien trop désireux d’être celui qui la fera jouir.

« Mmm-mmh ! »

Pris d’un sursaut, je m’arrête subitement durant un bref instant. Mes fesses se serrent sous la surprise, avant que celle-ci ne vienne laisser place à des sensations disons plus… plaisantes, quand les jolis doigts fins de l’hôtelière se referment vigoureusement autour de mon chibre.

D’abord surprise, comme je le suis, je la sens vite plus « curieuse », alors que ses doigts roulent contre mes veines palpitantes. Ses deux petites mains montent et descendent en douceur, et sa bouche s’ouvre soudain plus grand, lorsqu’elle gémit. Je retiens silencieusement mes frissons comme je retiens ces soupirs d’aise qui me gagnent. Je ne fais alors plus qu’observer, tandis que le ton de sa voix monte, tout comme sa bouche s’ouvre désormais si grand, qu’elle pourrait y loger l’énorme gland qui la surplombe, quelques centimètres au-dessus d’elle.

A-t-elle seulement deviné ce qu’elle a dans les mains ?
La question venant évidemment se poser, j’en viens tout aussi bien à me demander si cela veut dire que ses… « caresses » sont voulues, et si celles-ci sont alors une sorte de « rétribution », pour celles que je lui procure moi-même, en pénétrant de mes doigts son petit jardin de femme.

Avions-nous consenti, sans nous le dire, à nous donner mutuellement du plaisir ?

Je n’osais formuler cette question à voix haute, tant j’avais peur que cela mette fin à la course de ses petits doigts sur ma queue, qui devait apprécier fortement, tant elle trouvait encore le moyen de se raidir encore. Toutefois, il m’apparut une autre évidence, après quelques secondes à profiter ainsi : nos corps nus se mêlant chaudement, les fantômes du domaine semblaient nous foutre la paix.

S’ils étaient à l’origine de tout cela et que, nous voyant faire, ceux-ci ne nous contraignaient plus à rien d’autre, alors, serait-il à penser qu’ils voudraient nous voir coucher ensemble ? Était-ce donc là leur souhait ? Leur but ?

Cette seule idée traversant mon esprit, je me pris à mordiller mes lèvres plus fort, en imaginant la grosse lune de ma partenaire de fortune, que j’avais pu toucher plus tôt dans la soirée. Rien que d’y penser… Hm !
Il n’aurait pas été mentir que de dire que mademoiselle Nagata avait un gros cul. Un cul… énorme même, rond et bien ferme, tout blanc, sans doute dû à un cruel manque de soleil. Sans doute était-elle pudique, et pas du genre à le montrer à tout le monde. Ou bien n’avait-elle simplement pas le temps d’aller bronzer où que ce soit.

Qu’importe son bronzage de toute façon, puisque, la question qui vint me tarauder la seconde suivante vint vite effacer tout le reste. Dans cette immense bâtisse, en ce lieu si reculé… peut-être se sentait-elle même seule. C’est du moins ce que commençait à me faire penser l’amplitude si profonde de ses gémissements, à chaque fois que mes doigts remuaient en crochet dans sa chatte. Elle était si étroite, mais vibrait si fort… peut-être n’avait-elle connu aucun homme depuis longtemps. Peut-être que… et si…

Et si c’était la raison pour laquelle les esprits de la maison nous avaient réunis ?

Cette idée bien ancrée dans ma tête, j’arrêtais soudain tout. Enfin, pas si soudainement. Doucement, je ralentissais, puis retirais mes doigts, en ne regardant plus qu’elle, qui me branlait au-dessus de sa bouche.

« oooh… j-je... je suis désolé, vous me rendez... dur. Je ne peux pas le contrôler. Les... esprits. Est-ce que… est-ce que vous savez ce qu’ils veulent ? »

Observant la pièce dans tous ses recoins, comme pour espérer trouver leur trace, je m’arrêtais sur le futon disposé non loin, quand l’entêtant bruit de vibrations émanant de son sexe vint soudain s’arrêter.

Mes doigts effleurant ses fesses, je vins tracer du bout de mon index le profond sillon de sa raie, tout en remontant. Ne glissant que deux doigts en elle, je récupérais sans mal le petit œuf vibrant, qui sembla s’être déplacé tout seul, comme s’il avait assez servi comme ça.

« Ça y est ! »

Le reposant sur le parquet, trempé, je revenais ensuite à la regarder elle. Me sentant de nouveau libre de mes mouvements, je n’osa cependant pas bouger, préférant profiter encore un peu de cette branlette improvisée, au moins tant qu’elle pouvait encore m’être prodiguée.

La regardant intensément, je me courbais un peu et ramenais mes deux mains vers l’avant. Les faisant glisser tout en douceur le long de ses bras, le long de ses épaules, j’en montais lentement l’une d’elle jusqu’à la commissure de ses lèvres, puis plus haut. La deuxième s’arrêta à hauteur de son buste, mais je ne pus me résoudre à attraper son sein, quand bien même j’en mourais d’envie. La laissant posée tout contre le haut de son bras, je parcourais lentement son omoplate et ne pressait que mon coude à sa large mamelle.

Doucement, de ma main gauche, j’attrapais entre mes doigts l’étoffe qui lui recouvrait les yeux, pour tenter de l’en débarrasser.

« Est-ce que… vous pensez pouvoir bouger jusqu’au futon ? »

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One Shot / Re : T’as vraiment de supers amies (PV Wisteria Monroe)
« le: vendredi 19 mai 2023, 02:17:36 »
Je ne savais trop quoi penser du fait que certaines de mes questions restèrent un temps sans réponses. Tout comme moi, Roxane était à bout de souffle, après une bonne heure passée à forniquer comme des bêtes, sans jamais ralentir la cadence… aussi bien mis-je cela sur le compte de sa fatigue, comme je mis mes questions sur celui de mon excitation, ayant atteinte de sacrés sommets, il fallait le dire.

Il fallait même l’avouer, je me trouvais un peu déçu lorsqu’elle finit par changer d’avis, pour me rappeler que deux autres femmes attendaient bien sagement leur tour après elle.

Me tenant devant elle, les muscles tendus et bandés à l’extrême, je massais lentement ma queue trempée juste au-dessus de sa bouche pulpeuse et grande ouverte. Quand bien même je sentais imminentes ces vagues de plaisir qui m’assaillaient, je serrais fort de mes gros doigts et faisais de mon mieux pour me contenir, pour ne pas aller trop vite… je voulais que ça dure.

« oooh… Mmmff… Roxane… »

Mes deux mains fermées en anneau autour de ce gigantesque mandrin, j’allais et venais lentement, longuement, formais de petits plis sur ma peau en couvrant, puis redécouvrant cet énorme gland qui palpitait juste sous le nez de la plantureuse rousse. Les jambes écartées, je prenais mon temps… le plus de temps possible, du moins, agitant mon sexe dans un sens puis dans l’autre.

« On n’est pas obligés… pour le restau. O-on… ooh… on peut juste… tu vois. De temps en temps. »

Cette phrase enfin lâchée, quand bien même il m’avait été difficile d’articuler, je lâchais enfin la pression pour me laisser aller plus vivement. Pressant le bout de ma grosse queue, je venais à le poser sur la langue bien pendue de la jeune femme, avant de m’astiquer plus furieusement à l’aide de ma seconde main.

Les yeux rivés sur son joli minois, sur ces courbes sulfureuses qu’elle continuait de caresser comme une nymphe en manque, je lâchais ma première prise pour passer une main délicate dans sa belle crinière et l’incitais à rester bien en place. Tapotant sa belle langue rose à grands coups de ce gland trop gros pour n’importe quelle bouche sinon la sienne, j’y frottais l’entrée de mon urètre, râlant plus chaudement alors que je sentais les premiers spasmes m’envahir.

« MMmmmh… MMOUIII… OUIIII ! OOOooOOoOooOOOOOOH »

Mes doigts venant enserrer ses cheveux, sans forcer de peur de lui faire du mal, je serrais de mes autres doigts sur le bout de mon sexe pour le diriger sur sa langue tendue. Palpitant et bouillant, c’est tout mon être qui manque de défaillir lorsque le canal de mon urètre s’ouvre grand pour lâcher la purée dans un râle intense.

Un jet incroyablement long et d’une épaisseur inédite, bouillant, jaillit soudain pour lui remplir la bouche. Le temps ne lui est même pas laissé d’avaler qu’un second survient aussitôt, plus intense encore…

« Ooh… oh… Oooohhaaaaaan… »

Je semble alors perdre tout contrôle, tandis que seul mon plaisir en vient à guider mes gestes. Ma queue gigote, tremble et remue dans un sens, puis dans un autre, alors que se multiplient les salves de plaisir intense qui crépissent le visage de la belle. Les puissants assauts de foutre n’en finissent pas, l’aspergent et l’inondent même, jusqu’à ce que sa face toute entière ne soit plus visible qu’au travers un masque épais et blanchâtre. J’en ai jusque dans les mains, il y en a dans ses cheveux tant il semble en couler de partout…

À peine reprends-je mon souffle, quand les vannes finissent enfin par se fermer, que je ne peux plus qu’éprouver un certain plaisir à la voir ainsi, tandis que d’épaisses gouttes tombent de son menton, jusqu’à ses seins, pour les recouvrir de ma semence comme par nappes… J’aurais presque envie de recommencer… Je bande encore tellement en la voyant comme ça.

« Haaa… haaa… eh ben. Wouaw. C’était… »

Je me ravise, préférant me taire avant de lâcher un simple truc comme « génial », ou qu’en sais-je.

« Pfiou… ok. Viens, fais-moi juste signe quand tu voudras remettre ça, ok ? Et puis… si… t’as envie d’essayer. Hm ? »

Lui lançant un regard amusé, mais surtout plus coquin qu’autre chose, je tendais ma main à Roxane pour l’aider à se relever, avant de l’entraîner avec moi, jusque dans le salon, où nos deux belles amies avaient su se trouver quelque bonne occupation.

M’arrêtant face au canapé, la main de Roxane toujours au chaud au creux de la mienne, je m’amusais un temps, en regardant Helen et Lily gémir, chaque seconde plus fort, tandis que leurs cuisses grandes écartées bougeaient dans un rythme endiablé. L’œil curieux, je détaillais du regard le corps si joliment sculpté de ma seconde inconnue de la soirée, admirais son petit pubis épilé, qui remuait vivement… remontais jusqu’à son joli ventre plat, ses larges hanches… et jusqu’à ses deux énormes seins, rebondissant lourdement mais pourtant si vite à chacun de ses mouvements.

Le sourire aux lèvres, bien trop excité par cette soirée merveilleuse, j’adressais un regard approbateur à Helen en me mordillant les lèvres, avant de poser une main douce, mais pleine de sperme, sur l’épaule de Lily, qui ne m’avait pas encore vue.

La laissant ralentir, se faire à ma présence avant que nos regards ne se croisent enfin, je barbouillais son sein du bout de mes doigts chauds, faisant glisser en cercle mon index pour tracer le contour de ses larges et belles aréoles, avant de le malaxer tout entier, envieux.

« Hello there… on va s’amuser dans la chambre ? »

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One Shot / Re : T’as vraiment de supers amies (PV Wisteria Monroe)
« le: jeudi 13 avril 2023, 21:07:30 »
Les minutes défilaient sans que je ne les voie passer.
L’écho produit par le son de nos bassins qui n’avaient de cesse de s’entrechoquer, comme celui de ses orgasmes répétés, avait rameuté bien des curieux, comme des outrés qui hurlaient au scandale ou bien qui cachaient leurs yeux, mais je n’en avais que faire.

Mes ébats avec la sulfureuse Roxane duraient, duraient et duraient encore que j’avais pourtant l’impression que cela ne faisait que commencer. Véritable machine de sexe, l’affamée gaulée comme un mannequin semblait ne savoir rien faire d’autre qu’en redemander… et j’adorais ça. Quand bien même sa grosse lune s’était rougie sous mes puissants et mécaniques coups de trique, jamais elle ne semblait ni flancher, ni même perdre sa voix, donnant même au quartier un véritable récital d’opéra qu’ils n’étaient pas près d’oublier.

Je ne pouvais être sûr que ce soit tout à fait ce qu’Helen avait prévu au programme en planifiant un plan à quatre pour ce soir, mais je n’y pouvais cependant rien : j’étais tombé raide dingue de notre belle invitée. À peine l’avais-je rencontrée que sa simple vue m’avait tout bonnement coupé le souffle. Son côté très, très entreprenant, ne m’avait pas déplu non plus, il fallait l’avouer. Tout comme ses… « talents », ne m’avaient pas déplus non plus. Des trois jeunes femmes, j’avais pu ressentir, rien qu’en la regardant faire, qu’elle était celle qui ne me suçait pas uniquement pour me faire du bien, mais vraiment parce qu’elle se régalait à m’avoir dans sa bouche.

Roxane avait très envie de ma bite, quand bien même nous ne nous connaissions pas, et je trouvais cela foutrement torride.

Mais déjà avais-je dû passer pas moins de quarante minutes à la prendre par derrière sur le balcon que cela ne me suffisait toujours pas. Son insatiable envie de moi n’avait d’égale que ma gigantesque envie de la baiser encore, jusqu’à l’épuisement. Helen n’aurait invitée qu’elle en me disant qu’elle voulait me voir prendre du bon temps avec son amie que j’aurais pu continuer même après qu’elle soit partie se coucher. C’était d’ailleurs ce qui me faisait le plus envie, là maintenant.

Mes coups d’œil vers l’intérieur, en direction des deux autres jeunes amies se donnant du plaisir m’excitaient aussi énormément mais, quand bien même je savais que viendrait leur tour à un moment donné, je ne pouvais m’empêcher de revenir à Roxane, à son cul si gros que je démontais si fort. Elle était si bonne, sa chatte si accueillante… Ses cris paraissaient si doux à mon oreille que mon corps ne m’en réclamait que plus. C’était plus fort que moi, puissamment physique et animal, je ne pouvais me retirer d’elle.

À la regarder comme à l’entendre, je ne pouvais non plus faiblir. Raide et bien trop excité que j’étais, ma plantureuse amante me faisait bander comme un taureau. Cet énorme chibre dans lequel le sang peinait parfois à affluer, de par sa taille hors-normes, n’avait avec elle aucun mal à rester dur comme de la pierre.
Quand bien même venais-je de lâcher la purée en elle, en une quantité astronomique et démentielle, le gros tuyau qui la limait si profondément restait parfaitement opérationnel et d’attaque pour quelques autres saillies à venir.

Le souffle toutefois court, je ralentissais mes coups de butoir pour ne plus lui donner que de petits et courts coups de rein, ne sortant qu’à peine de son sexe pour retourner me loger tout au fond la seconde d’après. J’écoutais la belle reine gémir, me confortant dans ce pied que je prenais rien qu’à la faire couiner.

Le rouge aux joues, à bout de souffle, je soutenais ce regard qu’elle me lançait, continuant ces petits balancements de hanches, m’amusant à les faire rebondir sur le moelleux de sa belle paire de fesses dodues.

Je me mordais les lèvres en souriant légèrement, en l’entendant mentionner ma « queue ». J’adorais ça, savoir… qu’elle adorait ça. J’avais aimé lui donner du plaisir et, pour ne pas changer, je désirais lui en donner encore.

Lâchant sa large croupe, je me faisais cette fois plus doux, alors que je me penchais pour attraper ses cheveux en un une longue et douce queue de cheval. La tirant doucement à moi, j’embrassais son cou, puis profitais qu’elle se tourne légèrement pour m’en aller quérir sa bouche. Je me mis à l’embrasser doucement, puis vins entrouvrir ses lèvres avec ma langue, pour aller y chercher la sienne.

« Hm hmm… »

Collé à elle dans cette étreinte langoureuse, je profitais de cet instant plus passionné et sensuel pour glisser ma seconde main contre son ventre. Lentement, je remontais, passais entre ses seins merveilleux, sans oublier de les pétrir un peu, pour finir par effleurer sa gorge blanche.

Ne stoppant pas mes courts va-et-vient, je venais maintenant les ponctuer de quelques rotations et ondulations, frottant mes couilles encore pleines à son cul, alors que je la ramonais bien jusqu’au fond… très lentement. Encore bien trop sensible après l’orgasme que je venais d’avoir, j’eus même peur de jouir encore, sur l’instant.

« Haaaa… haaaaa… »

Tentant de reprendre mon souffle, je me faisais plus doux et silencieux quand je me mis à chuchoter au creux de son oreille.

« Toute la nuit si tu veux… mais… à une condition. »

Ma main gauche redescendant lentement, j’effleurais l’un de ses énormes seins pour de nouveau faire glisser mes doigts sur son ventre, sur ses hanches nues et encore bien délicates, malgré la quantité de foutre qui les avait éclaboussés.

« Viens dîner avec moi un soir… cette semaine. »

C’était un peu dur à dire et, quelque part, j’avais un peu peur qu’elle me trouve trop cavalier à l’idée de l’inviter à se revoir, en tête à tête, après cette partouze… et sans Helen… Mais elle devait pourtant le remarquer aussi, j’en étais convaincu après l’avoir entendue jouir autant de fois : nous deux, ça collait bien.

Me tournant un instant vers l’arrière, j’attendis sa réponse en guettant du coin de l’œil le joli ballet de cuisses et de sexes trempés auquel s’adonnaient Helen et Lily depuis un bon moment déjà, sur le canapé. Je me léchais les lèvres en les regardant, nues et si bien faites, et répondais à cela en quelques petits coups de bassin plus secs, que je donnais à Roxane.

Revenant à elle, je nous décollais un peu pour mater encore le cul de la rouquine. D’un doigt de cette main qui ne tenait pas ses cheveux, je traçais du bout de l’ongle le petit sillon dans son dos… avant de venir dessiner celui de la raie de ses fesses. De ma grosse paluche, je venais la pétrir avec envie, écartant son cul pour observer son tout petit trou, encore bien trop serré à mon goût.

« J’ai envie d’essayer d’te la rentrer dans le cul, Roxane… »

Malaxant bien sa fesse un moment, je me remis, mais toujours très lentement afin de la faire languir, à faire de plus amples mouvements en elle, glissant hors de son sexe dizaine de centimètres par dizaine de centimètres, pour vite mieux les lui remettre, faisant coulisser ma queue bien en douceur, cela facilité bien sûr par tous ces fluides qui ne cessaient de couler entre ses cuisses.

« Que dirais-tu de… retourner dans le salon ? J’ai envie qu’Helen nous regarde, pendant que tu te fais enculer par son mec pendant des heures… »

Revenant placer ma main sur son sein, je ramène de nouveau à moi ma merveilleuse amante pour me lover tout contre elle, dévorant son cou de mes chauds baisers.

« Helen a beau être coquine, comme tu dis… elle la trouve trop grosse pour… ça. »

En même temps, il fallait la comprendre -et j’avais toujours compris les femmes pour ça, quand même-, l’idée même de se faire pénétrer par un sexe aussi gros et presque aussi long que celui d’un cheval était effrayante, sinon véritablement terrifiante…

À peine quelques autres coups de bassin et je sentais comme je n’allais plus pouvoir tenir bien longtemps. Ma queue se souvenait encore trop bien du plaisir ressenti quelques minutes plus tôt, en cet électrisant orgasme qui m’avait frappé. Proche de jouir encore, je sortais doucement de la chatte de Roxane, la bite en main. Lâchant ses beaux cheveux pour l’inciter à se tourner vers moi, je faisais lentement rouler les énormes veines de mon sexe entre mes doigts.

« Mais avant ça… aaa-ah… j’aimerais faire ça sur ton visage… Oooh… »

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One Shot / Re : T’as vraiment de supers amies (PV Wisteria Monroe)
« le: dimanche 09 avril 2023, 21:21:06 »
Debout face à la baie vitrée, le pantalon tombé aux chevilles, j’expire soudainement fort, râlant d’aise et de bien-être alors que je viens tout juste de flanquer un gros morceau de l’énorme pénis dressé entre mes cuisses, dans le tout petit sexe, d’un coup violemment élargi, de la somptueuse Roxane.

La vue est formidable. Ses deux énormes seins s’écrasent contre la vitre tandis qu’elle s’est penchée bien bas pour m’offrir une vue imprenable sur son cul, pourtant si large et rond, mais qui paraît ridiculement petit en comparaison de l’énorme chibre qui s’y est enfoncé.
Le gigantesque rondin s’est frayé d’un coup sec un bon passage jusqu’au premier tiers de sa longueur et je me dresse dès lors sur la pointe des pieds pour m’enfoncer un peu plus, écrasant la rouquine de tout mon poids contre cette fenêtre, à travers laquelle on peut déjà voir que quelques lumières se sont allumées.

Les regards de quelques voisins curieux se tournent déjà dans notre direction. Enfin, dans celle de Roxane, à poil, qui gigote et gémit bruyamment en gobant entre ses cuisses pas moins de vingt-cinq bons centimètres de bite.

« Haaaaa… »

Longuement, j’expire à nouveau, me retirant doucement pour mieux la pénétrer encore par la suite.
Mes grosses mains agrippent le cul fantastique de Roxane, le caressent. Je fais doucement le tour de ses rondeurs et me tourne en direction d’Helen et Lily, nues, un grand sourire aux lèvres. Je fixe Helen droit dans les yeux, tout en m’enfonçant plus encore dans la chatte de son amie. J’attrape ses hanches, accompagne ses mouvements et lui balance quelques petits coups de reins en retour. Mon dieu ce qu’elle est bonne…

Quand je me retourne à nouveau sur la belle rousse, c’est finalement pour la plaquer plus encore contre la paroi de verre, m’enfonçant avec rudesse dans son sexe ruisselant pour y imposer encore cinq bons centimètres de cette queue dont elle semblait tant raffoler.

« Mmmmh… j’adore ça. Hhaa… aah… haannn… j’en reviens pas qu’elle t’ait invitée pour que j’te baise… mmmMmmMMMH ! »

La main sur la poignée de la baie vitrée, je fais doucement coulisser la porte pour que nous puissions sortir. Ne desserrant à aucun moment ma sulfureuse étreinte, j’accompagne Roxane jusqu’au balcon, sans me retirer, de sorte à ce qu’elle garde cette fantastique et très excitante position.

Installés sur une petite table, appuyée à la rambarde, face aux voisins, de plus en plus nombreux à leurs fenêtres, je démarre les hostilités, venant d’un coup à asséner à la belle de grands et violents coups de butoir, martelant son derrière de vifs coups de bassin, semblables à ceux d’un animal en rut.

Me mettant à labourer avec force sa petite chatte, je râle à chaque seconde plus fort, ne me retenant ni me privant de quoique ce soit. Le plaisir monte à chaque coup, mais c’est bien trop bon pour que je ralentisse. Il n’y a dès lors plus aucune passion, juste d’énormes coups de queue durement mis. Je la secoue comme un prunier, mon gland la martelant jusque dans le fond, imprimant ses exagérés contours et proportions bien en elle.

Je lui donne une fessée, puis une autre sans interrompre ma saillie.

Le gigantesque pénis qui la ravage se gonfle encore, palpite. Comme une brute, raidi soudainement, j’enfonce d’un coup violent mon sexe tout entier en elle. Ces quarante énormes centimètres palpitent encore, comme le font mes bourses… Et sans prévenir, je gicle en elle.

« AAAAAAH… AAAaaaaaaah… aaaaaaah »

Un énorme et premier jet de ma brûlante semence se répand vite en elle, me tirant un râle puissant, que je ne cherche même pas à contenir. Puis un autre, et encore un autre… Les vannes ainsi ouvertes peinent à se refermer et l’épaisse crème vient vite déborder, s’écoulant en une absurde quantité de son petit sexe trempé et rougi par les assauts.

Mais, encore bien dur, bien trop excité par ce cul formidable, je me remets à la besogner, matant les filles, un peu plus loin, du coin de l’œil, me mordant les lèvres…

« Haaa… désolé… pas de capote à ma taille… »

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Rendu curieux à l’idée de savoir où la folle envie de bite de ma belle inconnue allait la mener, elle qui semblait déterminée à se faire démonter, qu’importe par qui, se foutant à poil dans la première tente venue, j’avais je le pensais, poussé le curseur du vice un peu loin en me décidant à tester ses limites.

Je devais quand même avouer que cela me plaisait bien de voir comme mes mots, tout comme les petits jeux de ma langue, semblaient l’exciter. La jolie rouquine s’agitait férocement tout en écartant les cuisses bien grand, venait à ne plus contenir le moindre gémissement tandis que je dévorais son sexe avec gourmandise, pourléchant son joli cul bombé que je m’étais bien décidé à farcir toute la nuit.

Mais jamais n’aurais-je cru qu’elle m’aurait pris au mot, alors que, s’allongeant sur moi pour me chevaucher un peu, se déhanchant furieusement pour frotter mon érection à ses petites lèvres trempées par ma faute, un sourire carnassier s’était soudain dessiné sur son visage, affichant clairement son intention de jouer le jeu jusqu’au bout…

M’indiquant notre prochain de rendez-vous, elle s’était relevée d’un coup d’un seul pour disparaître et me laisser là, en plan, frustré avec cette gigantesque érection pour seule compagnie. Je regardais son cul balancer avec indécence tandis qu’elle gagnait l’espace près du feu où tous les jeunes hommes avec qui nous avions fait la fête ce soir avaient dressés leurs tentes. Affichant un sourire plus qu’amusé, je l’écoutais minauder d’ici, alors qu’elle s’était glissée totalement à poil dans une première d’entre elle, faisant balancer ses deux énormes loches comme deux grosses pastèques qu’elle affichait en vitrine pour appâter le client d’un buffet à volonté -le buffet de ce soir étant clairement son cul-.

Sur la béquille, j’avais fini par me relever, rejoignant ma tente pour me remettre quelques vêtements sur le dos avant de gagner son van garé plus loin, priant pour qu’elle ne tarde pas trop. J’avais faim d’elle, moi aussi.

Attirée par ce gros cul qu’elle balançait indécemment, nue, de sa démarche aguicheuse et chaloupée, comme par ses faux airs innocents et par le reste de ses courbes à tomber, la petite troupe de jeunes hommes n’avait pas tardé à se joindre à la rouquine, prête à la suivre partout où elle irait. N’osant même pas lui demander si elle était nudiste, ou quoique ce soit, tous avaient plus ou moins fait semblant de rien, espérant peut-être, sans se l’avouer, qu’une bonne baise serait à la clé pour un chanceux parmi eux, en guise de récompense… sans se douter un seul instant qu’il n’y avait aucun coup de main à donner, juste quelques grands coups de bites pour la faire râler de plaisir autant qu’il lui serait possible de le faire… et aussi longtemps.

Tous la suivaient de près, les huit garçons ne manquant aucune occasion de la mater sous tous les angles, faisant semblant de rien lorsqu’elle se tournait pour les regarder de son air charmeur et sympathique, mais ne pouvant s’empêcher de jaser entre eux en lui trouvant déjà de petits surnoms bien salaces, tandis qu’ils étaient déjà tous fous d’elle. Tous faisaient des efforts et tentaient plus ou moins bien de se le cacher les uns les autres, mais il était clair que, quand bien même ils se donnaient du mal… il était impossible de ne pas remarquer comme tous bandaient durs, comme de véritables fous furieux.

Les profils de chacun variant et étant bien différents les uns des autres, cela n’était pas forcément des plus flagrants pour tous, mais il n’y avait qu’à voir ce grand black d’au moins deux mètres qui lui collait au train, premier de la file, à regarder son cul comme hypnotisé. À voir l’énorme chapiteau qui s’était dressé sous son short de bain, il ne tenait plus. Et… à voir comme le tissu ne suffisait pas à contenir la bête… il était clair qu’il en avait une très grosse. Comme un véritable loup affamé, il avait fait sembler d’aller mettre une main au cul de la petite inconnue mais, arrêté par ses amis, il s’était ravisé.

Accoudé contre la porte du van, à attendre depuis une bonne vingtaine de minutes au moins, je m’étais figé de surprise en les voyant tous la suivre comme de bons petits chiens. Leurs regards avaient dévié de honte lorsqu’ils m’avaient aperçu et j’eus failli pouffer d’un grand rire franc. J’ignorais ce qu’elle avait bien pu leur dire, mais à la voir se dandiner de la sorte, totalement à poil… je me doutais bien ô comme ses arguments avaient dû être convaincants. Ma bouche se fendant d’un large sourire, je la regardais approcher, mon sang ne faisant déjà qu’un tour quand je pus enfin me remettre à mater ses formes généreuses, sa petite chatte si bien épilée qu’elle m’avait donné grande envie de remplir.

Profitant avec amusement de ce petit spectacle auquel elle s’adonnait, je restais pendu à ses lèvres, bien curieux de ce qu’elle allait pouvoir dire à cette petite meute, gagnée par l’incompréhension la plus totale. Il fallait les comprendre…

M’approchant un peu du capot, je la regardais faire, jusqu’à ce qu’enfin elle se penche en avant, écrasant ses deux obus sur le véhicule, pour tendre ses grosses fesses rebondies aux jeunes hommes, qui n’étaient encore pas tous bien sûrs de comprendre… à l’exception du premier de la file, qui n’hésita plus à s’approcher lui aussi. Là où les autres ne cessaient de se regarder les uns les autres, incrédules, murmurant à coups de « de quoi », « sérieux ? », « elle veut qu’on fasse quoi, du coup ? »…

S’avançant, le premier se pourlécha les lèvres, très sûr de lui. Posant ses grosses mains en une grande claque sur les fesses de la rouquine, il se mit à les pétrir, à les caresser puis à les fesser comme pour regarder comme celles-ci rebondissaient bien.

Tirant vite sur l’élastique de son short de bain, il en sortit un long et gros mandrin bien tendu, qu’il fit battre sur le cul de la jeune femme, tout excité qu’il était.

Médusés, les autres s’approchèrent finalement eux aussi, faisant rapidement fi de leur incrédulité pour encercler le petit capot. Ne semblant pas réticents à l’idée de se partager cette somptueuse créature, les mains baladeuses des huit garçons vinrent presque se battre pour gagner un peu de terrain. Glissant, frottant et pressant partout, il se mirent à frotter son gros cul, à caresser longuement ses cheveux, à glisser leurs doigts dans sa bouche… deux d’entre eux virent glisser sur la surface du capot pour agripper ses seins.

Pris dans leur truc, l’un d’entre eux glissa sans ménagement la porte de son petit sexe à l’aide de ses doigts et un autre fit de même de son second petit trou. L’un s’ajouta au premier d’entre eux, et, bien vite, ils furent trois à frapper ses fesses de leurs érections bien vives, donnant là un véritable orchestre de percussions.

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Tout sourire du fait de ce réveil délicieux, bien que survenu au beau milieu de la nuit, je m’étais perdu quelques secondes à peine, à regarder cet immense feu illuminant la nuit que davantage de merveilleuses sensations me ramenèrent à la réalité. Je me pris à penser qu’à l’inverse d’un autre, j’avais eu beaucoup de chance ce soir.

La somptueuse rousse qui s’était dérobée à lui trônant là, nue et cuisses grandes écartées, m’avait ramené à elle du bout de son pied, l’écrasant doucement et longuement contre mes énormes bourses enflées avant de lui faire détailler ma verge avec douceur.
Les yeux de nouveau rivés sur elle, je la regardais caresser mon gland, tourner autour avec délicatesse, avant de se raviser pour se repositionner. Ses deux gros seins ballants touchant presque le sol de la petite toile, elle s’approcha sans se faire prier le moindre instant, négligeant à moitié mon invitation pour ne s’arrêter qu’à l’entrée même de la tente et pour venir mettre l’une de mes couilles dans sa bouche. Presque furieusement, elle la recracha pour revenir la lécher aussitôt, puis offrait le même traitement à sa jumelle de toujours.

À genoux un très bref instant plus tard, la belle se reculait, le regard pétillant, presque avide. Sa bouche s’ouvrit grand et elle fit pendre longuement sa jolie petite langue rose, qu’elle vint presser au bout de ma queue, lapant chaudement tout ce qui pouvait bien déjà sortir de ma bite. La bouche fermement serrée, j’empêchais au possible le moindre son de s’échapper, m’agrippant déjà de mes deux mains au sommet de la tente.

« Hmmmpf… ha. Ha oui… ouiii… là, comme ça. »

Puis ses mains se joignirent à la cadence de sa langue. Les yeux vers le ciel étoilé, je respirais fort, à plein poumons en me délectant du fait de me faire branler de la sorte, là, comme ça. De quelques petits mouvements de bassin, je venais jouer à mon tour, malicieusement, collant mon sexe tout contre son nez, puis contre son front, ses joues, jouant à la faire tourner dans l’autre sens que celui pris par sa langue. À la voir faire, je trouvais une source d’excitation folle en le fait de voir comme elle semblait prendre son pied à déguster ma bite. Joueur, je m’en amusais donc follement, ne cessant de la taquiner en la lui offrant toute entière, ne manquant pas une occasion de la lui coller en plein visage.

« Mmmh, ouiiii… haan oui, alors il est bon ? »

Ce qui survint ensuite fut la goutte d’eau.
Je compris vite lorsque je la vis changer de position, mais ne m’attendais toutefois pas à prendre mon pied aussi vite. Son cul énorme disparut de mon champ de vision quand sa belle propriétaire vint à se mettre à genoux devant moi, ses deux melons si ronds et mûrs entre les mains. Fourrant ma bite entre ses seins, celle qui m’avait promis que je n’aurais peut-être bientôt plus le droit de les toucher me les offrit pourtant comme sur un plateau pour me donner là le parfait avant-goût de leur incroyable douceur. Ses deux nibards se pressant lourdement à la rencontre de ma verge, la jeune femme m’offrit ici le fourreau parfait pour nos préliminaires. Le bout de sa langue vint à son tour s’agiter de nouveau férocement tout contre mon gland et mes mains, elles, ne vinrent enserrer que plus fort la toile de tente.

« Pu-tain. »

Trépignant d’envie alors que ses caresses venaient déjà à me faire perdre tout moyen, je tapais du pied nerveusement dans le sable chaud, le souffle rendu plus difficile. Cherchant à fuir mon propre plaisir pour ne pas perdre notre pari si simplement, je fuyais également son regard de braise pour observer ça et là, mes yeux fuyant en direction du feu de joie, puis de ces tentes disséminées ça et là, à côté de celui-ci.
Il me fallait gagner un peu de temps, ne pas me laisser aller aussi vite, quand bien même cela faisait un bien fou.

« Haaaa… »

Me mordant les lèvres avec force, j’extirpais en vitesse ma bite de sa prodigieuse paire de seins, me contraignant pour l’instant à une folle et débordante frustration. L’attrapant aussitôt par la main, je l’invitais à me rejoindre dehors, toute nue, et l’attirais avec moi en direction du feu. Nous plaçant côte à côte, je la collais à moi, une main ancrée fermement à son cul que je prenais plaisir à retrouver.

« Et si on allait continuer ça là-bas ? Un soixante-neuf sur le sable, à côté du feu. »

Mon envie se faisant plus pressante à chaque pas que nous faisions, mes mains venaient à s’enfoncer plus encore dans sa chair, pétrissant ses fesses larges et rebondies avant d’effleurer son tout petit trou du bout d’un doigt, tournant autour, le titillant un peu, avant que ma main entière ne vienne finalement s’enfoncer entre ses cuisses trempées, à la rencontre de sa vulve que j’entrouvrais aussi vite.

Arrivé à destination, je me positionnais à genoux près du feu, à mon tour, sans pour autant cesser les petits mouvements entamés par chacun des doigts de ma main si occupée. La gardant debout, face à moi, je plaçais une seconde main contre l’intérieur de sa cuisse et poussait de sorte à ce qu’elle l’écarte d’elle-même, me positionnant presque en dessous.

« Tu sais… »

Arrêtant tout, mes deux mains vinrent glisser contre l’intérieur de ses cuisses, vers l’extérieur. Lentement je montais, glissant sur ses hanches, attrapant ses fesses, puis montais encore tout contre son ventre.

« J’ai peut-être un autre jeu pour toi. »

Mes yeux se levant pour retrouver les siens, mes mains redescendaient quant à elle vers son aine, l’effleuraient lentement…
De mes pouces, j’écartais ses petites lèvres intimes, et vint donner un premier coup de langue à cette petite chatte trempée.

« Si on fait beaucoup de bruit toi et moi… ça réveillerait peut-être ton copain, là-bas. »

Un sourire narquois, et je léchais encore. Une fois. Deux fois, en enfonçant cette fois plus encore mon visage contre son sexe.

« Ça te dirait d’aller le chercher ? »

Mon nez s’enfonçant lentement au creux de ses lèvres intimes, je me barbouillais avec passion de son chaud nectar parfumé. Plus lentement, mais plus intensément encore, je lapais et mes mains remontaient doucement. Tout doucement. Mes grandes mains attrapaient ses seins pour les pétrir eux aussi, pinçant leur petites pointes dressées si durement.

« Deux grosses bombes chantilly à vider sur tes melons. Dans ta bouche. »

Plus grossièrement, j’accélérais la cadence dictée par ma langue curieuse comme pour me bâfrer de sa chatte, soufflant et soupirant dessus encore… et encore.

« Tu t’assiérais sur moi pour me chevaucher autant que tu veux, dictant ton propre plaisir, ta propre loi pendant qu’il s’occuperait de ton cul. Puis… l’inverse, si tu veux m’y sentir et nous faire jouer à celui qui te fera hurler le plus fort. Toute la nuit. »

Insistant sur elle de mes doigts comme de ma langue, sans perdre une miette de ses coquines réactions, je bouffais, broutais sans hésiter sa fleur délicate, l’une de mes mains se perdant en route pour se coller encore une fois à son délicieux postérieur. Sans tourner autour du pot plus longtemps, j’enfonçais une première phalange de mon index dans son cul, puis une seconde, avant d’y mettre mon doigt entier que je mis à faire gigoter de haut en bas.

« Ils étaient une dizaine à se battre pour t’avoir ce soir. Pourquoi ne pas tous les réveiller, même ? Si tu vas les chercher comme ça, aucun d’entre eux ne te dira non… Imagine-toi être le centre de l’attention. Toute seule au milieu d’une partouze. Tu m’as pour toute la nuit, et tu dévalises toute la cave à cigares. Une dizaine de mecs au garde à vous, prêts à vider leurs grosses lances à incendies sur toi, les uns après les autres, tous en même temps… prêts à entrer à plusieurs en toi, à faire la queue pour profiter de tes gros melons, à te faire crier jusqu’au matin. »

Lâchant finalement son deuxième sein, mon autre main retrouva son sexe pour en pénétrer la chair. Le pouce traçant de petits ronds à la recherche de son bouton de plaisir, l’index et le majeur entrant en elle avec aisance pour remuer doucement, en canon avec ce majeur qui s’occupait déjà d’elle ailleurs.

« Alors ? Tu vas les chercher ? Je te regarde… une dizaine d’inconnus rien que pour toi, sans doute tous enchantés de faire la connaissance de ton joli p’tit cul… faisant la queue pour te prendre à tour de rôle ?  »

Un grand sourire aux lèvres, je lançais cela avec un grand naturel. Pourtant je devais l’admettre, je ne savais pas où ni comment j’étais allé dénicher cette idée, quand on sait que jamais de ma vie je n’avais fait un truc pareil.

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One Shot / Re : T’as vraiment de supers amies (PV Wisteria Monroe)
« le: dimanche 18 décembre 2022, 14:32:51 »
Comment diable savoir où donner de la tête ?
La vue de ces trois jeunes femmes en petite tenue m’avait donné bien trop chaud alors que, tandis que je venais à peine de les rencontrer, celles-ci s’étaient d’elles-mêmes livrées à me tailler la meilleure pipe de ma vie. Autant vous dire que je n’aurais pas fait long feu si je ne m’étais pas extirpé de leurs jolies petites bouches baveuses pour espérer reprendre un peu le dessus.

Rassemblant un peu mes esprits, je profitais de ce maigre répit pour reprendre mon souffle également, adressant un nouveau sourire à Helen, puis à la jolie Lily, qui n’avait pas quitté sa confortable place.

« Mmmh… t’en fais pas, je ne compte oublier personne. »

Un dernier mais tendre baiser à Helen, puis je me penchais un peu vers la petite blonde qu’elle rejoignait, approchant doucement mes lèvres de celles de notre timide petite nymphomane. Glissant ma langue contre la sienne, notre baiser se fit vite bien plus passionné que ce à quoi j’aurais pu m’attendre…

« Personne. »

À peine m’étais-je reculé pour mettre fin à ce délicieux baiser que je pus admirer mes trois partenaires d’une nuit se dévêtir les unes les autres. Helen extirpa de leur écrin les deux énormes seins de Lily et cette dernière lui rendit aussitôt la pareille en la déshabillant lentement, sous mon regard déjà émerveillé.
Roxane quittait quant à elle l’intérieur de mes cuisses et fit de même, sans plus attendre. Ancrant son regard joueur et malicieux au mien, elle se mit à me faire languir doucement, tout doucement en faisant rouler son bassin. Faisant sauter son merveilleux body de dentelle, elle découvrit une paire de seins gigantesque, ronde mais ferme… Puis elle se tourna sans arrêter pour autant de me guetter du coin de l’œil. Se baissant tout aussi lentement, elle finit par se défaire de ses bas mais conserva ses collants. À quelques centimètres de moi à peine, baissée vers l’avant, la plantureuse rousse découvrait et me tendait un cul énorme, dont les sulfureuses mensurations jureraient presque avec celles de sa petite taille de guêpe.

Profitant de ce merveilleux instant pour toutes les mater sans honte, je me débarrassais en hâte de ma chemise, puis de ce pantalon qui tombait encore à mes chevilles avant de m’avancer un peu.
Je ne pris même pas le temps de dire quoique ce soit. Mes mains baladeuses vinrent se poser, avides, sur le cul fantastique de Roxane. Attrapant ses fesses pour les entrouvrir en hâte, j’y enfonçais un visage ravi comme pour la dévorer, pourléchant ses deux orifices sans une once de retenue, tel un affamé.

Écartant du bout de mes doigts son petit sexe, j’enfournais ma langue en elle, la faisant gigoter au rythme si excitant des gémissements poussés par les filles juste à côté.

Quand ç’en fut assez, après quelques courtes minutes, je me leva d’un bond pour attraper la jolie rousse par les mains. L’attirant avec moi à travers l’appartement, nous quittions doucement le salon, en multipliant ces regards coquins que nous nous jetions l’un à l’autre. La plaquant contre tous les murs possibles, contre la table de la salle à manger, puis contre le plan de travail de la cuisine, je m’attaquais à elle en quelques baisers passionnés, la serrait tout contre moi pour bouffer ses deux énormes seins, avant d’enfin la retourner contre la fenêtre de la pièce de vie. Rouvrant ces rideaux qu’Helen avait fermés pour que l’on reste discrets, je m’assurais alors que tout le monde puisse me voir enfiler cette merveilleuse créature.

L’incitant à se pencher en avant contre la vitre, je me penchais sur elle, les doigts agrippés à sa merveilleuse poitrine comme s’il m’était désormais devenu impossible de m’en défaire. Les lèvres tout contre son oreille, je murmurais, tandis que mon gland, gros comme un poing, s’agitait doucement contre ses lèvres intimes.

« Tu les aime bien grosses, c’est ça ? »

Sans plus attendre, je m’enfonçais en elle d’un coup sec.

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