Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Souta et Janus

Pages: [1] 2 3 ... 38
1
Cette seconde éjaculation est aussi puissante et généreuse que la précédente. De toute façon c'est toujours le même topo lorsque je me rattrape après un petit moment sans m'envoyer en l'air. Dans ce genre de cas il me faut à minima 5 ou 6 éjaculations pour pouvoir me calmer véritablement. Ce second soulagement directement effectué dans cette petite chatte qui continue de me comprimer malgré le traitement que je viens de lui faire subir dure un petit moment pour me voir me retirer très lentement pour que l'on puisse admirer tous les deux le spectacle. Chaque centimètre de ma bite s'échappe de ce piège mortel en étant recouvert de cyprine et de sperme malgré l'aspiration de son vagin qui ne semble pas vouloir de cette séparation forcée.

- C'est assez rempli pour toi ?

Ma queue semble être dans la même état d'excitation qu'à notre arrivée car elle ne me donne pas l'impression d'avoir perdue en vigueur ou en dureté. Il lui arrive même de remuer de bas en haut toute seule alors que je finis par me tenir légèrement au-dessus d'elle maintenant que je me suis entièrement séparé d'elle alors que je lui balance la question pour savoir si j'ai assez bien bossé à ses yeux.

C'est alors que je me rapproche en ouvrant suffisamment les jambes pour ne pas me coincer contre les contours du fauteuil. La pression retombe doucement pendant que j'essuie ma queue crade sur le ventre et les seins de Manea dans un premier temps. En même temps je l'avais déjà bien souillée de ce côté dans la cabine d'essayage et l'odeur de mon sperme ne doit plus vraiment la déranger maintenant.
En tout cas je ne ramollis toujours pas et mon gland a vite fait de revenir, comme guidé par sa propre volonté, au niveau de son menton.

- J'sais pas pour toi, mais j'ai besoin de boire un truc.

Tous ces grognements avaient asséchés ma gorge et cela peut s'entendre dans ma voix qui est plus rêche. Le regard plongé dans le sien pendant quelques secondes alors qu'un sourire béat déforme mon visage, je finis par m'éloigner d'elle en me remettant debout tout en effectuant quelques pas en arrière. La température semble être toujours aussi élevée.

Mes jambes me guident en direction d'un petit réfrigérateur posé sur un meuble dans lequel je récupère deux bouteilles d'eau fraiche. Un frisson me parcoure tout le corps à la première gorgée. Comme si on venait de me balancer de la neige dans la face alors que j'étais en pleine traversée du désert. Tout mon corps se met à trembler sans que je ne m'y attendre et cela me fait un bien pas possible.
Je dépose ensuite ma bouteille sur un meuble pour tendre l'autre à Manea.

- T'as soif ?

J'attends sa réponse tout en revenant finir ma bouteille d'une traite pour ensuite la balancer sur un meuble en me disant qu'on pensera au recyclage plus tard. Le fait de m'être hydraté me permet de retrouver un peu mes esprits qui avaient été obscurcis par un tsunami de plaisir en entrant dans cette chambre des déviances.

Il faut dire qu'ici on a de tout en regardant bien. Un espace chambre à coucher classique avec un lit géant, une douche et une baignoire en fonction des envies, une collection assez conséquente de films pornos, des sextoys, des costumes avec et sans perruques et même des équipements numériques pour ceux qui aiment se filmer. Autant dire que l'on ne va pas s'ennuyer aujourd'hui.

2
Bienvenue dans le coin.

J'espère juste qu'il y aura assez de place sur sa carte d'identité pour écrire son nom complet.  ::)

3
Centre-ville de Seikusu / Re : Je fais que passer (PV |-| Manea Haruka)
« le: vendredi 19 avril 2024, 06:15:54 »
Ses réactions vont dans le même sens que ses paroles vu qu'elle fait en sorte de me pousser à y aller encore plus fort avec elle. Un long et sauvage soupir de plaisir s'échappe de mes lèvres pour revenir s'écraser sur la peau de son visage lorsque Manea décide d'utiliser ses jambes pour m'empêcher de reculer. Écarteler les parois de sa petite chatte pour y imprimer les dimensions de mon propre membre est une sensation dont je ne me lasserai jamais quand la fille en face est assez réceptive.

- Faut être une sacrée salope pour pouvoir se prendre ma bite aussi profondément dès le premier essai.

Et là, sans forme de procès, je grogne en serrant les dents tout en poussant alors que je cogne contre son utérus pour forcer un baiser entre mon gland et la partie la plus intime de son corps. Nos deux corps semblent se crisper autant l'un que l'autre sans que cela ne m'arrête. Mon bassin enchaîne les coups de rein car j'ai vu l'instant d'avant qu'elle était sur le point de rompre.

Les femmes au bord de l'explosion j'en ai déjà vu un bon paquet et je suis bien décidé à l'entendre hurler son plaisir en jouissant aussi vite que possible. Chaque mouvement de mon corps est accompagné d'un "Urrgh" pour lui faire comprendre à quel point je suis concentré sur ma tâche. Et lorsque le moment fatidique arrive pour elle, je ne m'arrête pas. Je veux que son orgasme soit long et puissant. Son corps a beau se tendre je m'en moque totalement et je continue de la pilonner comme un vulgaire objet.

- Vas-y ! Jouis pour moi, Manea !

De mon côté l'éjaculation ne sera pas pour tout de suite alors que je pensais pourtant que mon corps serait autant sur le point de tout lâcher que le sien. Ma bite reste aussi dure et gonflée pour pouvoir maintenir sa petite chatte étroite bien ouverte et dégoulinante de cyprine.

- On dirait que t'as aimé ça.

Elle n'aura même pas le temps de reprendre son souffle que je repars de plus belle en me retirant presque entièrement en ne laissant que la pointe de mon gland entre ses lèvres intimes. Et là, d'un coup sec, je soulève son corps avec la puissance de mon bassin et le poids de ma bite pour lui arracher une réaction de force. Puis je recommence une seconde et une troisième fois.

- Tu ferais mieux de t'y habituer car plus aucun autre mec pourra passer derrière moi.

Si elle voulait que la baise fort avant de jouir pour la première fois, elle va être servie. Ma tête vient se loger dans son cou frêle et délicat tel un cycliste qui se penche en avant pour affronter le vent quand je me mets à enchaîner les coups de rein rapides et puissants sur son petit corps. J'y vais fort et sans aucune retenue. Mon gland me fait presque mal quand il se cogne à répétition sur son utérus.

Les seules réactions que je peux détecter dans cette position sont celles de son corps vu que ma vision est bloquée. Le mien, lui, est en transe car je veux forcer mon éjaculation. En avoir été privé il y a quelques minutes me frustre terriblement.
C'est pourquoi je persiste à la baiser de cette façon même si elle doit finir par fusionner avec ce fauteuil.

De multiples coups pleuvent sur son corps durant facilement cinq bonnes minutes. Les seules pauses auxquelles à droit sont des moments où je viens la faire se redresser pour mieux pouvoir lui refaire comprendre qu'elle n'ira nulle part tant que je n'aurais pas obtenu satisfaction. Pas un mot, pas un commentaire ne quitte ma bouche. Seulement des grognements. C'est alors que le moment fatidique arrive.

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Une explosion de sensations vient inonder chaque fibre de mon corps qui se saisit du sien. Mon éjaculation est largement plus puissante que tout à l'heure car elle me fait me figer plusieurs secondes. Ma bite se fait écraser par sa chatte... Non, on dirait plutôt que ma bite se met à gonfler plus qu'avant pour que le sperme puisse en sortir. Ca ne m'étais encore jamais arrivé avant et je ne sais pas quoi faire. D'un côté je veux sortir et de l'autre rester logé en elle pour la remplir.

C'est alors que mes hanches reprennent le mouvement pour la pénétrer de nouveau afin de laisser les premiers jets sortir et l'inonder de l'intérieur. Du sperme se met à jaillir de son trou à chaque coup de bite car je sens ma propre jouissance éclabousser mes couilles et l'intérieur de mes cuisses quand je lui remets un coup.

- Puuuuutaaaiiiin ! Cette chatte...

Impossible pour moi de formuler une phrase ou même des mots de plus de deux syllabes vu mon état d'excitation qui a du mal à retomber.

4
Centre-ville de Seikusu / Re : Je fais que passer (PV |-| Manea Haruka)
« le: jeudi 18 avril 2024, 06:34:51 »
La position dans laquelle on se trouve tous les deux est aussi agréable qu'efficace. Pour le moment je n'ai pas besoin de forcer pour en profiter car elle a l'air de savourer ce que je lui offre le temps de s'habituer. Parce que je suis déjà passé par là en tombant sur une nympho ou deux qui voulait se faire baiser brutalement dès le départ et ça ne s'est jamais bien terminé. Il faut faire les choses progressivement, étape par étape.

La chaleur continue de grimper en moi alors que je remue les hanches à un rythme lent mais régulier afin de ne pas enfoncer plus de la moitié de ma bite en elle pour cette première fois ensemble. Il m'a d'ailleurs fallu plusieurs secondes pour trouver le bon angle et la position parfaite pour pouvoir remuer comme je le souhaitais sans trop m'appuyer sur elle.
Pourtant je n'ai qu'une envie, c'est de la prendre comme une brute et de me vider en elle encore et encore jusqu'à être complètement vidé. Que ce soit au niveau de mon énergie que de mon sperme.

Au bout d'une minute, même sans y aller plus profondément, mon corps commence à lui mettre des coups de rein plus secs pour la faire remonter sur le canapé. Mes deux mains se retrouvent désormais sur ses seins pour les malaxer avec plus de fermeté. A croire que nos corps commencent à s'habituer l'un à l'autre. Ou que le courant passe à la perfection vu qu'il n'y a pas à forcer quoi que ce soit pour en profiter un maximum.

C'est alors que ma bouche vient se coller sur son sein gauche. Je rate son mamelon sur un mouvement maladroit et pourtant cela ne m'empêche pas de lécher sa peau brûlante avec ma langue dans un premier temps. Des baisers viennent prendre la relève pour se déposer partout autour de cette pointe qui continue de m'échapper à cause des coups de rein que je lui mets de manière répétée.
Passé les dix premières secondes, je trouve plus amusant de continuer ce petit jeu que d'aller chercher son mamelon pour l'aspirer et le suçoter comme je désirais le faire au départ. A la place je m'amuse de la même façon avec son autre nichon durant une trentaine de secondes.

Si elle en doutait jusque là elle doit désormais savoir que j'adore les grosses poitrines. On peut faire tellement de choses avec durant les préliminaire ou pendant une bonne baise comme celle-ci. Chaque femme réagit différemment quand on la stimule à ce niveau et je prends un malin plaisir à le vérifier à chaque fois.

Mais assez plaisanté. Après un dernier baiser baveux sur sa poitrine je me redresse légèrement en gardant les mains sur ses cuisses pour bien lui maintenir les jambes écartées afin qu'elle puisse admirer ce qui lui arrive.

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Cette grosse queue est en train de lui limer la chatte avec une terrifiante efficacité. Promesse que de nombreuses autres sessions seront à venir lors de cette journée ou des semaines à venir en fonction de ses envies dans le cas où elle souhaiterait me revoir un autre jour. En fonction de mes disponibilités, bien évidemment.

5
One Shot / Re : Manège à sensation…[PV SOUTA & JANUS][+18]
« le: jeudi 18 avril 2024, 05:53:54 »
Andre a beau aimer tout particulièrement la façon avec laquelle sa pute du jour s'occupe de lui, il commence à sentir la frustration monter en remarquant qu'elle ne fait pas ce qu'il lui a demandé. C'est pourquoi il vient lui saisir la mâchoire d'une main ferme à l'instant où sa bite quitte la bouche de la blonde pour l'empêcher de revenir l'engloutir.

- Si tu comprends pas avec des mots on va devoir faire autrement.

Plusieurs doigts viennent encercler son scrotum pour le faire ressortir de manière plus évidente afin de le coller contre les lèvres trempées de cette vorace. Chaque testicule est plus gros que son gland et ne pourra jamais entrer dans la bouche de Tenshi même si cette dernière a déjà prouvé à plusieurs reprises qu'elle savait avaler des bouts de viande surdimensionnés.

Mais il veut la sentir encore plus soumise à ses envies. Et puisque cette nympho insatiable est prête à foutre sa langue n'importe où, pourquoi ne pas lui astiquer les burnes ? Il vient donc les coller dessus en grommelant de plaisir tout en répétant l'ordre une nouvelle fois.

- Allez ! Lèche mes grosses boules ! Je veux que tu baves dessus en les suçant.

L'obscurité lui empêche de voir ce qu'il se passe et ce n'est pas forcément une mauvaise chose vu que cela décuple les sensations. Chaque coup de langue, chaque caresse de ses lèvres charnues et humides ou goutte de salive qui coule sur sa peau sensible le fait frémir de plaisir.

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Jusque là il n'avait encore jamais essayé ça et cela semble plutôt amusant. En tout cas il compte bien la garder dans cette position une petite minute ou deux pour la remettre à sa place et lui faire comprendre qui décide pour ensuite venir l'enfiler contre un bout de décor lorsqu'elle aura fini sa tâche.

6
Centre-ville de Seikusu / Re : Je fais que passer (PV |-| Manea Haruka)
« le: mercredi 17 avril 2024, 06:58:44 »
Mon boxer ne restera pas longtemps en place vu que Manea vient me l'enlever de son propre chef pour venir s'installer ensuite sur l'un des fauteuils de ce que l'on pourrait sans doute considérer comme le salon de cette immense chambre. On a tellement d'espace que l'on va pouvoir bien s'amuser sans craindre de se retrouver à l'étroit. Enfin, à quelques détails près...

Mon corps se tourne dans la direction de la jolie brunette. L'excitation que je ressens est si forte que ma bite pointe en direction du plafond. Remuant parfois toute seule sous le flux de sang qui l'alimente et lui offre cette dureté à toute épreuve.
Quelques pas suffisent pour que je me retrouve devant cette chaudasse qui me supplie quasiment de la prendre.

Je m'amuse alors en me penchant légèrement vers elle pour guider mon gland violacé à l'entrée de sa petite fente en faisant signe de la pénétrer lorsque je fais en vérité glisser ce dernier pour le frotter sur ses lèvres intimes imbibées de cyprine. Mes mains se posent sur les accoudoirs du fauteuil alors que je continue de me pencher en avant.
Mes couilles se retrouvent alors à se frotter sur l'entrée de son vagin tandis que ma bite, elle, est collée sur son ventre. En baissant le regard elle peut voir que mon gland atteint facilement son nombril.

- Regarde ce que tu vas te prendre.

En me rapprochant de son visage je peux sentir l'odeur de mon propre sperme qui semble avoir imprégnée sa peau après la faciale de tout à l'heure. Ce simple détail fait pulser ma queue d'envie alors que mes hanches effectuent le mouvement inverse pour permettre à mon corps de reculer et revoir mon gland se positionner à la porte d'entrée pour la franchir sans la moindre difficulté dans un long soupir d'extase.

- Haaaaaann, ouais...

Les parois de son vagin épousent à la perfection ma tige au fil des centimètres alors que je parviens à lui enfoncer la moitié de ma bite lors de la première pénétration. Puis c'est une puissante aspiration qui prend le relai lorsque je vais pour reculer en ne laissant que mon gland au chaud dans cet antre humide et dégoulinante. Je savais qu'elle serait étroite et surexcitée. Mais pas à ce point.

Afin de voir ses réactions ma main droite quitte l'accoudoir du fauteuil pour venir lui saisir à de ses gros seins et le malaxer sans y mettre trop de force. Sa peau douce et transpirante est aussi agréable au toucher que dans l'ascenseur. Ma paume frotte son téton dressé alors que je repars de plus belle pour la planter à coups de bite.
Un rythme commence même à s'imprimer alors que je la fixe en souriant pour lui faire comprendre qu'elle est désormais coincée dans ce fauteuil qu'elle ne pourra quitter qu'une fois que je l'aurais décidé.

Et cela risque de demander un premier remplissage car j'ai aussi envie de me soulager dans sa petite chatte pour lancer cette sexcapade.

7
Prélude / Re : Leon Redgrave, Devil Hunter [Anéa]
« le: mardi 16 avril 2024, 07:21:21 »
Bienvenue à toi dans le coin.  8)

8
Vous nous quittez déjà ? / Re : It's our time to say... goodbye ♪
« le: mardi 16 avril 2024, 07:20:58 »
Argh, c'bien dommage. Mais quand l'envie n'est plus là il vaut mieux arrêter.

Bon courage et bonne continuation à toi.  ;)

9
Bienvenue à toi. En espérant que tu trouves ton bonheur dans le coin.  8)

10
Prélude / Re : Livie Morgan - Qu'allez vous faire de lui ?
« le: dimanche 14 avril 2024, 10:25:00 »
Bienvenue à toi, l'ami.  ;)

11
One Shot / Re : Manège à sensation…[PV SOUTA & JANUS][+18]
« le: dimanche 14 avril 2024, 08:38:12 »
L'idée de la maison hantée n'est pas bête du tout car elle nous permet de nous trouver en public tout en offrant une obscurité excitante. Cela n'empêche cependant pas Andre de remarquer le manège de sa partenaire de jeu lorsque celle-ci décide de pimenter leur passage en se mettant bien trop à l'aise comparé aux autres clients du parc.

Depuis son arrivée au Japon ses camarades de classe et coéquipiers en club ont tous été bluffés par la grande taille de ses mains. Il faut dire que très rares sont les japonais à pouvoir rivaliser avec lui dans ce domaine. Et pourtant... elles n'arrivent pas à saisir pleinement les énormes nichons qui leur sont offerts lorsqu'il s'approche assez d'elle pour les attraper.
Ses grands doigts viennent pénétrer la chair moelleuse de sa poitrine pour les malaxer avec poigne tout en la regardant droit dans les yeux. Sa bouche entrouverte laisse apparaître ses dents comme s'il cherchait à la menacer de les dévorer à pleine bouche.

Les sons de la maison hantée camouflent la plupart des bruits. Y compris celui de la boucle de sa ceinture qu'il défait avec sa main gauche qui a libérée le sein qu'il malaxait l'instant précédent. Sa bite est encore un peu dure et humide grâce à la pipe du métro.

- A genoux, pétasse !

Et là il vient glisser sa queue, gland vers le bas, entre les énormes mamelles de Tenshi pour se branler et s'essuyer sur sa peau délicate. C'est elle qui lui a montré ses seins la première. Il est donc normal de venir s'en servir sans la faire attendre.

Ce massage dure une petite quinzaine de seconde. Un temps visiblement suffisant pour lui permettre de retrouver une bonne solidité vu la splendeur de son membre qu'il lui présente au visage. Gros, long, épais et veineux. Pulsant d'envie à l'idée de lui faire sa fête pour la première fois de la journée.

- J'ai les couilles pleines rien que pour toi. Alors viens t'en occuper pour leur donner envie de te remplir quand je vais m'occuper de ta chatte dans 5 minutes.

Le grand black ne sait pas dans quel état sera Tenshi lorsqu'il aura satisfait ses propres envies et il s'en fout complètement. Qu'elle se fasse gauler et que son mari apprenne ses activités est le cadet de ses soucis. Tout ce qu'il cherche c'est de l'amusement et du plaisir. Et ca va passer par le fait de sauter cette nympho dans tous les recoins de ce parc.

12
One Shot / Re : Un mâle pour un bien (PV)
« le: samedi 13 avril 2024, 16:21:34 »
La nuit s'annonce douce malgré les températures estivales auxquelles ont a pu avoir droit cette dernière semaine. En tout cas il est clair que certaines personnes ont plus chaud que d'autres vu la tenue que porte cette blonde qui vient m'aborder sur le chemin du retour à la résidence.

Attends... Reviens en arrière. Tu m'as vu sortir et tu es déjà derrière moi avec un sac de course à la main ? Ca veut dire que t'es descendue en quatrième vitesse pour me rattraper ? Fringuée comme ça ? Puis c'est quoi cette histoire de fête ? Ou de cuisine dans ma chambre ? Trop d'informations se bousculent dans ma tête alors que mon regard s'arrête forcément sur cette grosse paire de nichons dont une bonne partie reste visible.

- Euh... Ouais, je suis bien le nouveau gardien.

Comment je suis censé rebondir à tout ce qu'elle m'envoie dans la tronche en un temps record ? Surtout qu'elle semble ralentir l'allure pour m'empêcher de retourner trop vite au sein de la résidence qui se trouve à moins de 5 minutes à pieds du konbini.

- Par contre... On m'a dit que le quartier est plutôt sûr, mais je pense pas que se balader avec les seins à moitié à l'air soit recommandé.

Entre la fatigue et la dalle, mon tact est forcément aux abonnés absents. Pour le peu qu'il existe le reste du temps d'ailleurs. J'irai pas faire de remarque aussi cash à la directrice si elle venait à porter une tenue identique. Mais là c'est juste une des locataires de la résidence qui veut sûrement s'amuser à jouer la provocatrice et bizuter le nouveau venu avant les autres.

Faut lui reconnaître qu'elle n'a pas froid aux yeux la blondinette. Car elle s'est même présentée dans cet accoutrement dans le konbini qu'elle doit forcément visiter régulièrement. Heureusement pour elle qu'on ne se trouve pas dans mon ancien quartier car elle n'aurait pas fait 10 pas avant de se faire entraîner dans une ruelle sombre ou embarquer dans une camionnette.

Et dans d'autres circonstances j'aurais été le principal suspect dans les deux cas de figure. Sauf que je dois faire gaffe et me tenir à carreaux. Au moins le temps de prendre mes fonctions quoi. C'est pourquoi je me contente de la bouffer du regard pour le moment.

- Pour la fête je sais pas si y participer est une bonne idée. Mais je peux au moins venir me présenter, ça me fera gagner du temps pour plus tard.

L'autre raison que je n'ose pas avancer ouvertement est que ce sera une occasion de picoler et bouffer à l'oeil vu que je ne roule pas sur l'or pour le moment.

- On s'arrête à ma chambre le temps que je dépose ça et on y va ?

Je peux officiellement dire au revoir à ma soirée glandouille.

13
One Shot / Re : Un mâle pour un bien (PV)
« le: samedi 13 avril 2024, 06:34:41 »
A peine un pied posé dans cette sorte de résidence qu'un zombie me tombe dessus en m’exhortant de prendre mes jambes à mon cou. Ce genre de type j'en ai déjà croisé des dizaines à ce jour, donc je sais les reconnaître. Généralement je les croise à la sortie de casions clandestins alors qu'ils viennent de se faire dépouiller.

Le gars me fait plus de peine qu'autre chose alors qu'il passe son chemin pour disparaître dans la nuit avec une démarche titubante qui témoigne visiblement du fait qu'il avait été siphonné de son énergie jusqu'à la dernière once. Mais je n'ai de toute manière pas le temps de m'attarder sur sa situation car deux femmes viennent rapidement nous rejoindre.

Une blonde rigide avec un balai dans le cul vient se présenter à moi comme étant la directrice pendant que Juice s'éclipse sans demander son reste. Tout ça fait tilter mon détecteur de piège à cons... Malheureusement c'est ça ou voir mes maigres économies disparaître un peu plus.
Du coup je me contente de regarder la bonne femme en face de moi sans l'interrompre car je connais si bien le genre de la personne. Un petit hochement de tête ici et là pour lui faire réaliser que je comprends ce qu'elle m'explique suffit.
Tout ce que j'ai besoin de savoir c'est que je suis logé et payé. Le boulot je sais le faire et ça devrait pas être bien compliqué vu l'endroit.

- D'accord.

Voilà le seul mot qui sort de ma bouche lorsque la dénommée Victoria se présente à son tour en m'annonçant me conduire jusqu'à ma chambre qui servira sans doute également de loge vu mon poste.
En tout cas cette jolie brune est bien plus amicale et tactile que la bonne femme d'avant.

Un détail refait sonner mon détecteur de couillonnerie quand elle m'annonce qu'elles sont 42 locataires à ce jour dans la résidence. Elles sont toutes là en même temps ou alors il y a du mouvement vu les études qu'elles font ? Parce qu'avec un nombre pareil je comprends que le mec qui était là avant a finit sur les rotules.
Le fait d'organiser des évènements régulièrement va d'ailleurs dans ce sens. J'imagine déjà les disputes à devoir gérer si certaines ne sont pas contentes du tapage en fonction de l'heure.
Déjà qu'un nid de gonzesses est égale à un nid à emmerdes journalières, tout ça ne me dit rien qui vaille. Dans quel plan foireux je suis venu m'embarquer ? Cette Victoria a beau être hyper bien foutue, pas sûr que ça compense...

Hum ? Invité ? Où ça ? Et pour faire quoi ? Tous ces questions me viennent en tête sans forcément sortir de ma bouche. Pourquoi je vois déjà d'ici les longues nuits à déboucher des chiottes pleines de vomi car des gonzesses ont trop forcé sur l'alcool ou certaines substances interdites ?
De toute façon j'aurais forcément droit à un brief plus détaillé le moment venu.

- Oui, je ferais gaffe.

Victoria me tend  un petit trousseau de clé alors que l'on arrive à mon nouveau domicile. Parce qu'à écouter son explication ma chambre ne servira pas de loge. Cette dernière se trouve ailleurs dans le bâtiment. Ce qui est déjà plus logique car je voyais mal les locataires monter au troisième pour me faire part d'un problème.
Au moins elles viendront pas m'emmerder à toute heure de la nuit.

- Pas de problème, je regarderai tout ça demain en m'installant.

Une installation qui sera forcément brève vu que je n'ai aucune affaire avec moi. Tout est parti en fumée dans l'explosion du bâtiment dans lequel je vivais jusque là parce que deux connards se sont bastonnés à coups d'explosifs pour une une histoire de place de parking. Je leur souhaite d'ailleurs de jamais croiser ma route car ils finiront avec un genou en moins et la gueule dans une benne à ordures.

- Merci, bon week-end à vous aussi et à lundi.

Mon regard s'attarde alors sur le cul parfaitement modelé de la dénommée Victoria pendant qu'elle s'éloigne tandis que j'enfonce la clé qu'elle m'a confiée dans la serrure de mon nouveau palace. Les relations je sais pas... Mais je lui mettrais bien un coup de bite ou deux à cette chaudasse. Ou alors peut-être que les gens en Lituanie sont plus tactiles que les autres.

La porte s'ouvre sous mon mouvement pour donner place à une chambre plus spacieuse et mieux équipée que mon ancien appartement.

- Ah ouais, ils se sont pas foutus de ma gueule.

Mes jambes me poussent à vérifier rapidement l'équipement disponible et j'ai bien droit à un petit espace pour me faire à bouffer dans ce studio. Pas de douche par contre. Comment ça va fonctionner du coup ? Il y a un horaire fixe pour les douches communes ? Parce qu'avec autant de nanas je vais pas pouvoir me permettre de jouer au con et me retrouver avec des plaintes pour harcèlement sexuel d'entrée de jeu.

Mon regard vagabonde quelques instants et termine sa course sur une commode qui pourra accueillir mes fringues lorsque j'irai m'en acheter. Dessus se trouvent la fameuse tablette et le plan du bâtiment et de ses locataires au format papier.
A première vue il n'y a pas un seul thon dans les environs. Toutes ces nanas ont été gâtées par la nature. A croire qu'il y a un système de sélection précis pour avoir le droit de poser ses bagages ici.

J'aurais tout le temps d'y jeter un oeil plus détaillé plus tard. Puis si ça se trouve toutes ces infos sont aussi disponibles sur la tablette.

- Avant ça, la bouffe. Je crève la dalle.

Je repose le plan sur la commode, prends ma clé pour verrouiller la chambre derrière moi et descends rapidement les trois étages pour voir à quoi ressemble le konbini censé se trouver au coin de la rue.
Les portes automatique de la supérette s'ouvrent sur mon passage pour m'aveugler avec les puissants luminaires. Un type d'une quarantaine d'années se trouve au comptoir et me salue pour me souhaiter la bienvenue. Je me contente d'un geste de la main pour en faire de même avant de me faufiler dans les allées pour récupérer deux packs de bières, quelques pizzas surgelées et du café.
Flemme de ressortir ce week-end.

Sur mon chemin je croise une nana sans y prêter attention même si elle a l'air plutôt pas mal. Tirer un coup est le dernier de mes objectifs de la soirée même si ça me ferait pas de mal.

A la place je me contente de passer à la caisse et de retourner en direction de ma chambre sans me faire remarquer.

14
Centre-ville de Seikusu / Re : Je fais que passer (PV |-| Manea Haruka)
« le: vendredi 12 avril 2024, 20:59:04 »
Cette nouvelle position qu'elle nous fait prendre la positionne logiquement face au grand miroir qui se trouvait derrière elle l'instant précédent. Son petit cul rebondit semble faire des cercles contre mon jean en pressant volontairement sur la bosse qui le déforme. C'est alors que je l'entraîne de quelques pas en arrière pour qu'elle puisse admirer son propre reflet. Une de mes mains qui s'approche de son clitoris pour venir le titiller directement, pendant que l'autre tire cette fois sur le haut de sa robe pour faire sortir et rebondir et ses gros nichons qui se fait immédiatement attraper en plein vol et malaxer avec poigne.

- C'est clair que ça dégouline pas mal. J'ai rarement vu une fille mouiller autant que toi.

Mes doigts viennent alors chercher la pointe de son sein pour tirer fort dessus le temps d'une seconde pour se glisser sur sa peau transpirante et se saisir de sa gorge pour la bloquer dans ses mouvements sans forcément avoir à appuyer dessus.
Le petit jeu dure une dizaine de secondes durant lesquelles mes doigts se mettent à la pénétrer violemment pour chercher à la faire se rapprocher de l'orgasme.

C'est alors que les portes de l'ascenseur s'ouvrent sur un *DING* bruyant. Sonnant la libération de son cou délicat pour me permettre de me baisser et ramasser les sacs du magasin de fringues. Mon autre main aux doigts dégoulinant de sa cyprine viennent lui mettre une claque sur les fesses pour lui faire comprendre d'avancer en direction de la chambre qui se trouve juste sur notre droite.

La décoration se veut assez chic sans que cela ne fasse too much. Mais je ne compte pas l'admirer plus que nécessaire car j'ai beaucoup trop chaud malgré la climatisation. C'est pourquoi je récupère la clé magnétique de ma poche et l'insère dans la serrure de la chambre pour y entrer sans traîner.

Le son des sacs qui tombent au sol est le premier à se faire entendre pour me laisser les mains libres. Ces même mains viennent se saisir de mon t-shirt pour le soulever depuis ma taille et le faire passer au-dessus de ma tête. Il me colle tellement à la peau que j'ai l'impression d'être une banana qui se fait éplucher.
Et d'un geste rapide je balance ce bout de tissu inutile derrière moi pour me retrouver torse nu face à la belle Manea qui ne va pas garder sa robe très longtemps.

- Pfouuu, j'ai l'impression de pouvoir enfin respirer.

Entre les séances de sports et les missions dangereuses je peux garder un corps musclé et ferme toute l'année. Ce qui devrait combler ma partenaire du jour à laquelle je vais offrir une session d'aérobic personnelle.
Le bas à droit au même traitement avec mon jean qui tombe bien rapidement au niveau de mes chevilles pour être également propulsé à quelques mètres pour finir sa course aux pieds d'un fauteuil de ce grand salon.

Me voilà désormais en boxer, le gland sortant de plusieurs centimètres au niveau de l'ouverture du côté de ma jambe droite vu que je continue de bander après la pipe de tout à l'heure et cette courte session de doigtage dans notre ascension dans ce palais de la baise.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Je fais que passer (PV |-| Manea Haruka)
« le: vendredi 12 avril 2024, 00:03:35 »
Nos petits achats se terminent rapidement en passant comme prévu par les caisses automatiques. Dans un coin de ma tête je me dis qu'il s'agira probablement de l'argent le mieux dépensé de ma part pour les derniers mois. J'ai même hâte de voir ce qu'elle a pu me préparer.

La chaleur étouffante m'attaque de manière inattendue à l'instant où je pose un pied en dehors du magasin. Mes vêtements commençaient déjà à me coller à la peau après avoir été maltraité par Manea il y a tout juste quelques minutes. Sauf que cette chaleur n'était rien comparé à ce soleil qui frappe si fort de là-haut. Mon t-shirt viendrait presque me démanger la peau et je n'ai qu'une seule envie c'est de l'enlever pour le balancer au-dessus de mon épaule.

C'est d'ailleurs à cet instant que je sens sa main venir écraser la mienne de toutes ses forces. A croire que sa phrase de tout à l'heure n'était pas une exagération pour me chauffer encore un peu plus. Cette jolie brunette en a autant envie que moi et cela me fait sourire comme un idiot alors que je lui lâche :

- Je me demande comment ma bite à pu survivre avec une poigne pareille.

Heureusement, pour elle comme pour moi, que les love hôtel sont légions dans le quartier. Il ne nous faut pas plus de 5 minutes pour trouver notre bonheur. Sans avoir fréquenté cet endroit auparavant je choisis la chambre la plus grande avec toutes les options avec le forfait nuit complète.
Moi non plus je ne suis pas du genre à parler pour ne rien dire. Je compte bien m'occuper d'elle jusqu'à l'épuisement, peu importe le temps que ça prendra.

Un petit coup de carte bleue pour valider le paiement et la porte automatique s'ouvre pour laisser place à un petit hall qui mène à un ascenseur.

A peine à l'intérieur je viens glisser une main sous sa robe pour la soulever au-dessus de son cul. La transpiration rend le tissu si collant que sa robe tient tout seule alors je viens glisser quelques doigts dans sa fente aussi humide qu'elle me l'avait annoncé. Je peux sentir son excitation tant ses parois viennent aspirer mes trois doigts que j'enfonce en elle encore un peu plus.

- Je vais avoir du mal à entrer si t'es aussi serrée.

Les muscles de mon bras se contractent alors quand je démarre une session de doigtage en règle dans l'ascenseur. Elle calée le dos contre le grand miroir frais et moi sur sa gauche en train de m'acharner sauvagement sur sa petite chatte trempée qui ne semblait demander que ça.

Qu'est-ce que ce sera une fois dans la chambre ?

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