Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - SoeurAlix

Pages: [1] 2 3 ... 6
1
L'Enfer / Mortes mais vivantes (Lissandre V. et Soeur Alix)
« le: samedi 01 janvier 2022, 08:02:54 »
Jamais Soeur Alix n'a connu pareille vitesse ! Ni pareille soudaineté. Encore moins pareil vide dans son esprit. Comme aspirée !

La montée aux cieux ? Si jeune ? « Mais pourquoi, mon Dieu ? Qu'ai-je fait ? T'ai-je trahi ? ». C'est fou comme, même dans la fulgurance de l'instant, l'esprit réagit, réfléchit, s'interroge, questionne.
Alors que le corps est inerte, sans maîtrise, mais étrangement avec des sensations, celle de la vitesse, celles alternées de la froideur et de la chaleur, celle du tourbillon.

Un tourbillon vers le haut, la spirale de la montée au Paradis.
Eh bien non !
Ça va très vite, mais, dans cette étrange lucidité que conserve Soeur Alix, sans doute celle où l'âme se dissocie du corps, ah justement non, son âme ne se dissocie pas de son corps, son âme ressent même d'étranges effets corporels. Lui aurait-on menti au couvent, quand on lui ressassait à longueur de temps que le corps est mortel et que l'âme abandonne cette chair lorsqu'elle devient inerte ?
Lui aurait-on aussi menti sur la montée aux cieux, alors qu'elle a l'impression de descendre ? Comment peut-elle ressentir cela, cette descente, ce tourbillon, cette tête vers le bas sans que « le sang lui monte à la tête » ? Plus absurde encore, elle sent cette gravité, la tête en bas, pousser sa longue robe vers le bas et révéler ses dessous qu'elle choisissait toujours sexy, n'en déplaise à la Mère Sup.

Rien ne colle ! Soeur Alix essaie de rassembler ces bribes, ces absurdités, quand elle se sent comme éjectée, un peu comme quand, enfant, elle était éjectée au bas du toboggan. Cette même force, un rien violente, mais sans bac à sable à l'arrivée. Plutôt une espèce de sorte de truc, qui ressemble à un gros matelas.
« C'est quoi, ça ? », ses mains ont essayé d'amortir l'impact, touchant ce machin qui lui fait pousser un hurlement. Cris stridents que l'écho lui renvoie, assourdissants. « C'est ça, le Paradis ? Ils se sont bien foutus de moi ! ».
Soeur Alix essaie de deviner ; son regard fonctionne mais ne lui indique que du noir, avec le sentiment de percevoir une lueur sans vraiment en déterminer la source ni la matérialité.
Et ses mains ? Ses mains lui ont indiqué un ressenti ; ça ne colle pas avec la mort.
Et ses fesses, Oui, ses fesses nues à part cette petite culotte qu'elle avait enfilée au matin, ses fesses nues d'avoir été dévoilées lors de la chute, ses fesses nues posées à même le machin. Une autre volée de cris, stridents, elle se relève, effrayée.
Se relever, se tenir debout, sentir la robe de nonne redescendre en désordre, ça ne colle pas davantage avec la mort.

Le Purgatoire, peut-être ? Ce serait donc ça ! « Oui, bon, je n'ai pas été parfaite, mais ce n'est pas une raison pour me la jouer comme ça ».
Soeur Alix réfléchit, elle a vraiment toute sa lucidité, va se contenter de l'idée du purgatoire. « Faut que je sois présentable à Saint Machin, sinon c'est mal barré ». Alice rajuste comme elle le peut sa longue robe, sa coiffe.
« Bordel de merde, je viens de comprendre ce qui cloche ! », la révélation est soudaine, évidente. Autant la tenue religieuse est sobre, grise, sinistre même. Autant porter dessous, à part la petite culotte noire sexy et le soutien-gorge bien pigeonnant, ce qui serait presque sage face aux bas noirs accrochés au porte-jarretelles assorti, tout cela subtilement masqué, ça n'a pas dû plaire au gardien du Paradis, quand il a vu tout ça.

Soeur Alix glisse la main entre deux boutons, touche aussitôt le soutien-gorge toujours aussi réel, mais la froideur de son doigt au contact de ses seins, la fait sursauter.  « Attends, c'est quoi le délire ? J'ai les seins qui sont bien vivants ! ». Ca ajoute de la confusion à son esprit. Vivante, oui elle est bien vivante !

« Faut que je vérifie ça ! ». Sure d'être protégée par la noirceur du lieu, Soeur Alix remonte sa longue robe grise. De petites chaussures noires à talons, ses fines jambes gainées de noir, le chemin du porte-jaretelles, son doigt arrive aussitôt à sa petite culotte finement ciselée de dentelle.
« Allez, vas-y, comme dans ta cellule de bonne sœur ! ». Peu importent les circonstances, c'est une question de vie ou de mort ; ses doigts s'enfoncent aussitôt sous le tissu, sans ménagement, comme quand, après avoir vu quelque joli séminariste, elle courait s'enfermer pour s'adonner à ce plaisir d'imaginer le solide gourdin carillonnant sous la bure monastique.
Et, là aussi, ça répond vite. Son sexe est toujours vivant, lui ; elle savait comment utiliser ses doigts, et, même s'ils sont froids, ils se trouvent très vite dans la chaleur. Un choc si violent, que Soeur Alix manque vaciller.

« Bordel de merde, je suis vivante ! Je suis où, là ? Un taré, oui, un taré m'a enlevée. Peut-être même qu'il vient de me voir me tripoter. Oh, mon Dieu, aide-moi. Je ne veux pas finir comme ça ! ».

2
Vous nous quittez déjà ? / Retrait
« le: vendredi 27 juillet 2018, 14:40:29 »
Bonjour,

Je venais juste ici pour me faire plaisir, m'amuser, me distraire, avec des joueuses et joueurs semblables à moi. Récemment, j'ai refusé un RP en OS, au motif que je ne "ressentais" pas le perso de mon interlocuteur même en OS, et que, de ce fait, je ne voyais pas comment construire un RP plaisant. Sa réponse fut, mot pour mot : "C'est ouf, c'est pire que dans les sites de rencontres ici, tu te rembarer alors qu'il s'agit juste d'un RP quoi ... bref.". J'ai été choquée, pas genre miss pudibonderie, mais par l'irrespect tout simplement de cette réponse. Comparer LGJ à ds sites de rencontre n'est pas dans les raisons de ma venue ici, loin s'en faut. En tant que joueuse, j'attends du respect envers moi, même pour discuter d'une trame hentai. Je ne dirai pas qui c'est, je ne donnerai pas le moindre indice; je trouve juste son attitude regrettable. Je sais que ce n'est pas une généralité, mais ça m'a mis en retrait, y compris mes DC, pour un moment, voire pour toujours.

Je vous souhaite à toutes et à tous de poursuivre de bons jeux ici.

3
L'aéroport / Renouer avec le passé. [SoeurAlix]
« le: mardi 24 juillet 2018, 10:31:30 »
Oh, la mouille de Léa si odorante, j'en retrouve le goût avec plaisir ! Mais elle coule bien moins qu'Akira qui m'a déjà aspergé le visage, les cheveux. Je m'en moque maintenant de porter cette odeur, je suis sa salope chérie, et j'en assure tous les vices.

Même que j'adore quand elle met deux doigts dans le cul de Léa, qui m'a toujours refusé ça, mais ne s'est jamais privée de me mettre tout ce qu'elle voulait dans le cul, et prenait même son pied à me prendre harnachée de son gode ceinture, pied que je prenais aussi je l'avoue.

Hum, ma petite Léa, tu vas en oublier toute ta jalousie, et tu vas voir que ma nouvelle amante est maîtresse dans l'art de t'épuiser par la jouissance.

4
L'aéroport / Renouer avec le passé. [SoeurAlix]
« le: lundi 23 juillet 2018, 07:35:16 »
« Ouuummffff ! », Léa a juste pu prononcer cette onomatopée à la suite de ses désagréables mots de bienvenue, qu'Akira me grille la politesse, et se jete carrément sur Léa pour lui rouler un matin d'anthologie.
Je vois les bras de Léa se débattre, brasser de l'air, mais pas repousser l'agresseuse. Je vois même les bras de Léa ralentir leur action, lorsque la main d'Akira s'en va sous sa jupe. Connaissant Akira en ces moments, je me doute qu'elle a déjà franchi la culotte, et que son doigt s'attaque au sexe de Léa, qui ne semble pas contrariée.

Je ne vais pas les regarder batifoler ! Je m'agenouille sous la jupe d'Akira. Elle est trempée ! De ce que je lui ai fait, certes, mais pas seulement. Elle coule déjà, ma salope chérie. Je dois m'occuper de sa chatte, et je lui fourre de suite deux doigts enduits de sa mouille, qui rentrent tous seuls, pour les faire aller et venir déjà avec vigueur.

Mais Léa n'a rien perdu de sa jalousie ! Je sens une main agripper mes cheveux, et forcer ma tête à venir sous sa jupe. Ce ne peut être que Léa, d'autant plus que m'apparaît un merveilleux spectacle : le doigt d'Akira a déjà écarté la culotte, et s'affaire au petit bouton de Léa.
Je ne demande qu'à aider, moi, du moment qu'on n'oublie pas mon plaisir ! M'agenouillant bien, je commence à lécher la chatte de Léa, retrouvant son doux parfum, la faisant s'ouvrir et s'humidifier, tandis que le doigt d'Akira poursuit son œuvre.

5
L'aéroport / Renouer avec le passé. [SoeurAlix]
« le: dimanche 22 juillet 2018, 23:28:53 »
Akira semble déçue que je n'ai pas maîtrisé cet orgasme violent qui est soudain monté en moi. Pourtant, elle devrait savoir qu'elle m'a rendue de plus en plus réceptive. Puisque c'est comme ça, je ne vais rien lui dire pour ne pas la fâcher, mais il lui en faudra du temps pour me déclencher un nouvel orgasme. Je vais lui prouver que je sais résister !

« Ah oui, Léa, bon on y va. »
Je me moque complètement des garçons, qui restent au loin, et pourront continuer à se branler en pensant à ce qu'ils ont vu.

Sur le chemin, je ne suis pas très loquace, toujours contrariée par la réaction d'Akira. Heureusement, dans ce petit village, tout est rapproché, et nous arrivons vite chez Léa. Je sonne, impatiente de sa réaction. Elle vient m'ouvrir, et je retrouve son sourire :
« Oh Alix chérie, toi ici ? »
Mais son sourire ne dure qu'une fraction de seconde.
« C'est qui, elle? », ajoute-t-elle en pointant Akira du doigt.
J'avais presque oublié sa jalousie maladive.
Moi qui me faisais un plaisir de montrer à Akira le superbe donjon que Léa avait créé, y mêlant originalement le plus beau romantisme et la plus vile perversité, je pense que mon idée a vécu.

6
L'aéroport / Re : Renouer avec le passé. [SoeurAlix]
« le: dimanche 22 juillet 2018, 21:35:10 »
« Aaaaah oui oui, encore... »
Il suffit de demander !

Et je replonge au cœur d'Akira, dressant son petit bouton de ma langue, l'entourant, l'étirant. Sa cyprine ne s'est pas apaisée, et m'inonde le visage, mais a ne m'arrêtera pas.

Je vais même aller plus loin, un puis deux doigts dans son cul qui ne demandait que ça tant il est ouvert, et le rythme s'accélère.

« Huummm chérie, laisse-toi aller... »

A peine ai-je dit ces mots que les flots de cyprine jaillissent encore. Je ne saurais dire à quel point, si ce n'est que j'en suis trempée par ce qui rejaillit sur moi.

« Ouuuiiiiii ! »

Dans l'état d'excitation où je suis, un orgasme ultime et violent me saisit le bas-ventre. Je me redresse, tendue, comblée, avant de m'écrouler à mon tour.

7
L'aéroport / Renouer avec le passé. [SoeurAlix]
« le: dimanche 22 juillet 2018, 07:17:33 »
Akira a réveillé un démon dans une nonne ! Elle m'a montré que je ne suivais pas le bon chemin, et je le suivrais au bout du monde, sans rien lui refuser. Oui, je crois que j'accepterais tout d'elle, parce qu'elle le ferait pour ma jouissance.

« Aaaah... je n'en peux plus... »
Justement, quand on parle de jouissance, Akira a exacerbé ma gourmandise.
« Oh, chérie, on ne va pa s'en arrêter là ! »

Je savoure son baiser, tendre et sincère comme un vrai baiser d'amour. Mais je veux l'épuiser plus encore. Alors, à quatre pattes, tournant mon cul nu vers les garçons, pour qu'ils voient ce qu'ils n'auront pas, je pose ma langue sur sa chatte ruisselante, m'abreuvant de la mouille qui coule encore, et la pointe de ma langue vient titiller son petit bouton.

Je m'interromps juste un instant :
« Vraiment, chérie, tu n'en veux plus ? »
Et je replonge entourer de ma langue ce joli édifice.

8
L'aéroport / Renouer avec le passé. [SoeurAlix]
« le: samedi 21 juillet 2018, 14:18:59 »
Un étrange silence tombe soudain.

Pour la première fois, je vois Akira effondrée, oui c'est le terme, et j'en suis heureuse. Je vois son corps s'agiter, je vois cette cyprine ruisseler, et je suis heureuse d'être celle qui l'a mise dans un tel état de plénitude.

Mon corps en est autant bouleversé,tant elle a, en si peu de temps, su toutes mes sensibilités, tout ce qui me trouble, tout ce qui me fait craquer. El l'orgasme double, car il y en eut deux consécutifs, est à nouveau l'un de ses chefs d'oeuvre.

Si nos corps s'agitent, plus aucun son ne perturbe les bords de l'étang. Même les garçons, simples spectateurs, n'émettent plus un son. J'ose un regard discret vers eux. Au moins ont-ils profité du spectacle, certains ayant encore leurs sexes sortis, dans leurs mains. Pitoyable spectacle d'individus qui ne me feront jamais connaître ce qu''Akira m'a fait découvrir.

9
L'aéroport / Renouer avec le passé. [SoeurAlix]
« le: vendredi 20 juillet 2018, 23:59:10 »
« Oh putain, chérie, ça monte ! »
Nouvelle alerte de l'ouragan annoncé. Je fais aller ma taille d'avant en arrière pour mieux sentir les deux poings qui me fistent. Je bouge en tous sens.
« Continue chérie, c'est tout près ! »
Là, c'est certain, ça va arriver et me dévaster.

Je laboure le cul d'Akira aussi vite que je peux. Je n'aurais jamais imaginé ça, avant qu'elle me le fasse découvrir, et les bruits sont révélateurs aussi bien de sa chatte qui ruisselle et balance sa cyprin à tout va, que de son cul qui avale littéralement mon poing..

« Ça vient, ça vient, ça vieeeeeent »

Mais je suis déjà si loin, que mon « Ouuiiiiiiiiii ! » déchire alors les tympans, que je perds tout contrôle sur les mouvements de mon corps, mais que je garde assez de lucidité pour pilonner de plus en plus vite le cul d'Akira.

« Je veux t'entendre jouir, ma chérie ! »

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L'aéroport / Renouer avec le passé. [SoeurAlix]
« le: vendredi 20 juillet 2018, 16:44:40 »
Mon premier orgasme n’a été qu’un plateau, un palier intermédiaire ; c’est même la première fois que je ressens cette succession. Maxime tirait un coup, et basta. Là, il voit que je suis à répétition, et que je ne me satisfais plus d’un seul orgasme. Il peut aussi voir qu’il me faisait vraiment très peu mouiller, par rapport à ce que Akira vient de leur envoyer aussi.

Elle s’occupe de moi comme jamais nul ne le fit, même pas Léa pourtant une femme. Elle me révèle ma vraie nature, et je suis fière et heureuse d’être sa salope. Elle est la première à me fister, chatte et cul en même temps, comme si elle m’embrochait. Ses doigts, ses poings, je les sens bien en moi ; parfois, je me demande même s’ils ne vont pas me transpercer.

Mais je ne monterai pas seule ! Alors, moi aussi, je contracte ma main, et c’est entière que d’un coup je lui enfile dans l’anus, guettant sur son visage une réaction de bonheur, regardant sa chatte qui vient de déverser un torrent de cyprine dont je suis à nouveau enduite.
Je la veux, je veux la faire jouir, et ma langue dans sa bouche, qui gobe littéralement sa langue, est à l’image de cette volonté et de mon excitation. Oh, je ne vais pas tenir longtemps, mais ça ne m’arrêtera pas !

11
L'aéroport / Renouer avec le passé. [SoeurAlix]
« le: vendredi 20 juillet 2018, 06:50:54 »
Akira est ma maîtresse, dans tous les sens du terme, à la fois ma seule amante attitrée mais qui m'a faite baiser par jusqu'à six hommes sur commande, mais aussi une formidable sensei qui me dispense un enseignement corporel dont elle veille à la bonne mise en œuvre.

Mais, là, c'est trop fort ! C'est comme si elle me transperçait avec ses mains.
« T'inquiète pas chérie, je te donnerais tout ce que tu voudras. »
Elle sait pourtant ma réceptivité, c'est même elle qui l'a faite jaillir. Jaillir, quel bon terme ! Les garçons doivent avoir le caleçon distendu, tandis que moi : « Oh putain, ça vient ! Ouuiiiiii ! ». Je me crispe comme je peux, maintenue en équilibre empalée sur les mains d'Akira, tandis que mes jambes flageolent et que tout mon corps tremble.

L'orgasme est monté avec une fulgurance qui m'a moi-même surprise. Je coule, je ruisselle même ; par moments, j'ai l'impression de déverser des quantités incroyables de cyprine, comme jamais je ne le fis, comme c'est si naturel chez ma sensei..

Je la regarde, amoureuse mais pas comblée :
« Oh, chérie, j'en veux encore. Fais-moi monter plus haut encore. »
Mes yeux emplis d'amour la dévorent, si belle, si désirable, si sexy, si impudique.
« Et monte au paradis avec moi ! »
Et je me mets à agiter frénétiquement non pas deux, mais quatre doigts dans son cul.

12
L'aéroport / Renouer avec le passé. [SoeurAlix]
« le: jeudi 19 juillet 2018, 23:24:22 »
Mes hanches vont d'une main à l'autre, Akira est comme un métronome. Je suis sure qu'elle pourrait passer des nuits à me faire cela non stop, jusqu'à ce que je demande grâce. Mais là, jamais ! Je suis trop bien, en route vers je ne sais quoi, mais qui va me ravager c'est certain.

« Allez, allez, aaaaahh ouiiiiiii.... »


Je suis indécente, et je vois dans les yeux des garçons en partie de la surprise et en partie de l'excitation. Maxime, tu n'as pas su me garder ! Yoann, tu m'as simplement trahie. Eh bien, regardez, je n'ai pas besoin de vos petites bites pour jouir !

Ma chatte émet toutes sortes de gargouillis, et je la vois couler sur le ponton de bois. Oh pas comme Akira, mais peut-être parviendrai-je un jour à faire aussi bien qu'elle.

« Hmmmmmm... tu mouilles même du cul c'est fantastique ma chérie ! »

J'ignorais que cela fut possible, mais je le sens vraiment.
« C'est peu, deux doigts, dans mon cul, chérie. Tu ne peux pas en rajouter un peu ? »
J'adore provoquer, je veux me montrer digne d'Akira. Et, avec ce qu'elle m'a déjà fait encaisser, je ne vais pas m'arrêter en si bon chemin.
« Ton immense gode dans la chatte, puis les deux bites en même temps dans mon cul, ça m'a rendue très gourmande », lui dis-je, guettant à la dérobée les visages des garçons.

13
L'aéroport / Renouer avec le passé. [SoeurAlix]
« le: jeudi 19 juillet 2018, 16:56:25 »
Je prends un deuxième doigt dans le cul, et ça me cambre, même si Akira s'est déjà chargée, par le passé, de bien me dilater ou me faire dilater l'anus.
« Oh, ma chérie, tu es une sacrée salope », lui dis-je assez fort pour que ces minables l'entendent.
Pour toute réponse, ce sont maintenant quatre de ses doigts qui me labourent la chatte ! Oui, labourer, c'est le mot ;
« Putain, ce que c'est bon, ne t'arrête pas ! »
Akira se contente juste de me faire pivoter ; je ne sais pas pourquoi, j'ai fermé les yeux, pour mieux savourer la double pénétration

« Voilà. Tu vas gicler debout, et sur eux ma chérie. »

Je suis suspendue à ses doigts, comme en équilibre par mon sexe et mon cul sur ses vas et vients. Elle va à une vitesse folle, comme un métronome. Je gémis, je crie, tout est désordre
« Oui, chérie, continue, fais-moi gicler la mouille ! »
Mon doigt fait des clapotis dans le sexe d'Akira, sa mouille coule sur ma main, comme un écho à la tempête qui se prépare en moi.

Mon sexe aussi fait des clapotis, même mon cul qui semble sécréter son propre liquide. Akira ne lâche pas, elle continue, elle accélère.
"Hmmm... allez ma chérie, gicle, asperge les, je veux voir ta chatte cracher toute la cyprine qu'elle peut. »
C'est trop fort, ça monte, ça jaillit, ça part dans tous les sens. Je ne sais comment, ni où, mais peu importe, même si ces puceaux bavent d'envie ou se branlent. Les yeux clos, je ne suis qu'une chatte et un cul labourés de concert.
« Ouiiii, putain, ça vient, ne t'arrête pas ! »
Je ne veux surtout pas que Akira stoppe, mon doigt se met à lui labourer la chatte sauvagement, puis, plein de sas mouille, s'enfonce d'un coup sec dans son anus.

Je veux l'emmener avec moi là où elle me fait monter !

14
L'aéroport / Renouer avec le passé. [SoeurAlix]
« le: jeudi 19 juillet 2018, 13:57:42 »
Je me cambre davantage quand Akira m'enfonce un doigt dans le cul, et commence à l'agiter en cadence.
« Hum, chérie, tu sais comme j'aime ça ! »
L'accès est d'autant plus aisé que, pour la première fois, j'ai déjà retiré ma culotte. Cul à l'air et chatte trempée, je sais que ça plaît à ma chérie.

Je tortille d'autant plus du cul, que je vois le regard exorbité de Maxime. Il avait laissé une quasi sainte, il y a du changement.
« Oh Akira mon amour, tu sais combien mon cul est gourmand. Rappelle-toi que tu m'as faite prendre par six hommes à la fois. Mets-moi un deuxième doigt. »

Je m'amuse d'autant plus que, dans la bande, il y a Yoann, ce salaud de frère de Maxime, qui a causé tout ce mal, qui a tout foutu en l'air, dont la vidéo m'a faite expédier à Seikusu, comme dans une maison de redressement.

Raté, pauvre con ! Je me délecte de la situation, et, avec une complice telle que Akira, vous allez en prendre plein les mirettes, mais vous resterez, toute votre vie, une bande de frustrés, parce que je ne suis qu'à elle, et qu'elle seule peut faire de moi ce que je veux.

« Hmmm chérie, je crois qu'ils ont perdu leurs langues."
« Ils attendent peut-être plus, chérie ? »
lui réponds-je, en glissant l'index dans sa chatte.
« Oh, mon amour, tu ne mouilles pas, tu coules même ! »
La provocation n'en est qu'à son début, je vais prendre mon pied et me venger, mais je veux aussi que Akira s'éclate. Je suis même à sa disposition pour tout ce qui lui passerait par le tête ; je l'aime à ne rien pouvoir lui refuser.

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Centre-ville de Seikusu / L'Invocation [Sœur Alix]
« le: jeudi 19 juillet 2018, 10:02:40 »
« Mon seul regret est que tu ne sois pas vierge, Sœur Alix », je me demande comment il sait ça.
« Oh Maître, cela ne signifie pas que j'aie déjà été bien baisée ». En lui répondant cela, je ne peux m'empêcher de baisser les yeux sur son pieu de chair. Tout ce que j'ai connu avant ça, c'était de la gnognotte, aucun doute. Vu comme il bande, je me passe la langue sur les lèvres avec gourmandise. J'ai hâte que vienne mon tour, même si Soeur Maria commence à m'énerver de jouer sa débauchée sous son visage de mijaurée. Elle cachait bien son jeu, celle-là, aussi !

« Je baise toujours les cadettes en premier... », et toc pour Soeur Maria. Tu l'as dans la cul, ma petite chérie, enfin si on peut dire, car c'est oi qui l'aurait en premier, et je vais même m'en charger avec grand soin, pour qu'il n te reste rien. Mais, en regardant les yeux enamourés de Soeur Maria, finalement aussi brillants que ceux de Soeur Carmilla, je me dis que ce Diablotin doit quand même avoir l'endurance d'en honorer plusieurs à la suite.

Mais je serai la première ! Alors, avec des yeux où je veux mettre toute la braise qu'il y a aussi dans son regard, je le fixe : « Je jure d'être vôtre, Maître, de vous appartenir jusqu'à ce que le soleil se lève, de faire tout ce que vous m'ordonnerez, de lever pour vous toutes mes barrières, d'être la digne dépravée de vos plus perverses idées ». Je suis fière de moi, et je ne doute pas que ça va en irriter plus d'une. Mais c'est une course à la queue, et, vu le morceau de choix, à chacun ses arguments et sa persuasion.

D'ailleurs, ça y va de la surenchère ! Soeur Jeanne est prête à bien plus qu'une nuit. Soeur Louise n'en dit rien, mais n'en veut pas moins. Et Soeur Maria veut se faire engrosser. Elle m'énerve de plus en plus, à mettre en avant son ancienneté, son expérience ! Elle oublie que Soeur Carmilla a beaucoup d'avance sur elle... et que c'est moi qui y passerai la première.

D'ailleurs, Soeur Carmilla s'est approchée de moi, et la suite est limpide : « Alastar va te baiser bien fort, ma chérie... Alors, grimpe sur l’autel, ma belle, allonge-toi dessus, et demande à notre Maître qu’il te baise... »

Je regarde Soeur Maria de mon plus provocant regard de garce, avant de fixer Soeur Carmilla dans les yeux : « Oui, Soeur Carmilla, je veux que notre Maître soit fier et comblé de baiser la cadette. Je saurai être digne de la confiance que vous m'avez donnée.
Et je monte sur l'autel, comme demandé. Je jette au loin les stupides chaussures plates, et je déboutonne au plus vite la robe de bure, balancée aussi à terre. J'ai l'avantage sur les autres nonnes d'avoir réussi à cacher dans ma valise de jolis dessous de ma vie d'avant.
Dont ce soutien-gorge noir, paré de fine dentelle sur les bonnets, au point que mes tétons font plus que se deviner. Sans quitter Alastar des yeux, je le dégraffe, le laissant choir, fière d'exhiber ma poitrine que la jeunesse rend arrogante et dressée.
Deux doigts, un de chaque côté, me suffisent à faire glisser le string au bas de mes jambes, sans détourner mes yeux d'Alastar, et je balance le frêle tissu du pied dans sa direction, aussi loin que je peux.
Nue, debout sur l'autel, je ne vais pas m'en arrêter là. Je m'allonge, jambes repliées, de telle manière que mon entrejambes soit dans l'axe de vision d'Alastar. Puis, saisissant les petites lèvres, je les masse bien, les étire même, sentant comme le trouble est déjà là.
« Je suis à vous, Maître », lui dis-je, simplement.

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