Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Camille l'ambigu(e)

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Camille l'ambigu(e)

Pages: [1] 2 3 ... 8
1
Instant hors du temps. Instant de douceur. Instant d’amour.
Presque insolite dans cette chambre où, depuis la première seconde, les deux amants n’ont pensé qu’à baiser.
Instant de répit, mais pas instant de fin.
Tenshi se love contre Camille, et il savoure cette magnifique poitrine pesant contre son torse. Il se souvient de ces vidéos où elle réalisait branlette espagnole ou cravate de notaire, et se délectait quand le foutre lui giclait ensuite sur le visage. Mais Camille a envie d’autre chose ; quoi, il ne le sait, mais Tenshi pense pour deux.

se détendre un peu dans le bassin de l’autre pièce… j’ai envie de me rafraîchir un peu”, elle a deviné ses pensées, elle sait qu’elle est maîtresse de la soirée.
Si elle joint aussitôt le geste à la parole, ne lui laissant pas le choix, c’est néanmoins un geste empli d’amour, comme l’est cet instant. Amour certes pas conjugal, amour du sexe certainement, mais aussi tendre complicité entre deux amants en osmose.

En fait de bassin, c’est plutôt une pièce orientée, autour d’un jacuzzi central, vers une incitation aux jeux amoureux. L’eau à température idéale fait un bien fou à Camille ; c’est comme si son corps se revigorait de l’intensité passée, une détente savoureuse vite interrompue par Tenshi qui vient s’asseoir à califourchon sur lui, écartant les jambes pour se rapprocher au plus près, écrasant sa volumineuse poitrine sur le torse de Camille, frôlant de son bas-ventre la queue de Camille qui se dresse aussitôt.

Excités, il suffirait qu’elle vienne s’empaler dessus, tant sa chatte est ouverte, et ne demande que ça. Mais Camille a envie de faire durer un peu ce moment suspendu ; il ne sait pas si des caméras sont disposées dans la pièce, mais tant pis si les abonnés sont déçus de cet intermède.
Saisissant la coupe de Champagne que lui tend Tenshi, il veut trinquer “à la plus merveilleuse des femmes, à celle avec laquelle je veux encore baiser jusqu’à l’épuiser”, ces mots qu’il lui dit les yeux dans les yeux, tandis que tintent les verres dans le fond sonore des bulles du jacuzzi.

Camille est heureux, comblé, gourmand. De temps en temps, il ondule du bassin, pour que son gland rappelle à Tenshi, en la frôlant, qu’il est prêt pour une nouvelle charge.
Entre deux baisers au Champagne, à jouer avec la langue de Tenshi, Camille fait aussi courir sa langue sur ses seins superbes, ces globes énormes, ces tétons toujours dressés.
Tu es une véritable bombe sexuelle, tu as une imagination sans limites, et je te suivrai volontiers dans tous tes délires, même ceux que je n’aurais jamais imaginés”.
Oui, une bombe, c’est cela ; la moindre étincelle déclenche une nouvelle explosion. Et si, pour le moment, le calme semble là, ça ne durera pas.

2
Centre-ville de Seikusu / Quand Camille rencontre Camille
« le: lundi 22 avril 2024, 23:08:27 »
Camille ne reste pas longtemps au Starbucks. Le souvenir de cette adorable jeune femme le tenaille, et il n’est pas concentré. Se contenter de choisir certaines photos de classe, pour les recadrer sur une seule personne, n’est pas productif !
Il rentre donc chez lui avant la fin de l’après-midi, mais ce n’est pas cela qui va le concentrer dans son travail. Les murs de son studio sont remplis de tirages de son travail certes, mais les thèmes sont assez orientés ; pas de street photo alors qu’il adore saisir toute la richesse des rues de Seikushu, mais plutôt les portraits parfois très peu vêtus de celles qu’il a photographiées, souvent sur contrat, avec une très nette prédominance pour les 18-20 ans, au milieu desquelles figurent néanmoins des femmes à la cinquantaine avérée se libérant soudain devant l’objectif, et l’étrange absence de ses amants dont il aime pourtant garder un souvenir de la virilité dressée en sus du souvenir que son cul en gardera. En principe, il doit photographier, post-traiter, fournir les clichés, archiver, mais pas imprimer pour le plaisir exclusif de ses yeux.
Si certains collectionnent les conquêtes, Camille collectionne les photos dénudées ! Mais même cela ne parvient pas à chasser de ses pensées cette jolie jeune femme à la peau ambrée, et il finit par s’endormir pour s”égarer dans des rêves bien loin de la sage réserve de cette demoiselle.

A son réveil, ses draps témoignent de la nuit troublée, mais pas le temps de s’en occuper. deux contrats ce matin, un cet après-midi, le boulot reprend le dessus sur la rêverie. Photos de classe en début de matinée, photos d’entreprise ensuite, du strict boulot alimentaire, pas de quoi s’extasier comme la veille l’après-midi. Photos d’une starlette de la K-pop coréenne l’après-midi, en vue d’une série de concerts au Japon, pour l’album d’une pseudo célébrité ultra fardée, dont le corollaire est de faire repenser Camille à la jeune femme de la veille.
Travail expédié au plus vite, promesse de vite livrer les résultats ; direction son QG, Starbucks et Iced cappuccino, histoire de traiter cette commande au plus vite, sans se laisser distraire par les nus qui ornent son studio.

Camille ! Commande 77, Iced cappuccino prêt”... Camille L s’extrait instantanément de son travail, regarde sa table où son Iced cappuccino est à peine entamé, regarde son ticket portant le numéro 53.
Elle me joue quoi ? Je n’en ai pas commandé deux !”, songe-t-il, cherchant à voir d’où vient la voix.
Camille ! Iced cappuccino, deuxième appel.”, Camille L repère d’où vient la voix ; il n’a pas le ticket 77, alors à quoi bon y aller.
Une Camille hier, un ou une Camille aujourd’hui, on va monter un club !”, sourit-il, guettant quel Camille différent va arriver.
Mais… sa bouche en reste ouverte, ses yeux en restent éberlués, son visage se tend incrédule ; ce n’est pas un troisième Camille, mais celle dont il a le souvenir d’hier, qui avance pour prendre sa commande.

Camille L reste figé sur cette apparition. 2 jours, 2 fois, pas un hasard. Elle est toujours aussi rayonnante, toujours aussi souriante, toujours aussi élégante. Rien d’ostentatoire, mais une harmonie à nulle autre pareille.
Camille L se dit que ce doit être un de ses fanatsmes nocturnes qui lui retourne le cerveau, et pourtant la barista remet réellement la commande à l’intéressée.
L’esprit de Camille L tourne plus vite que les roues d’un vélo descendant l’Himalaya, mais il n’arrive pas à se concentrer, à apporter la moindre réponse. “Que fait-elle là ? M’a-t-elle reconnu ? Que dois-je faire ?

3
Les contrées du Chaos / Fête du printemps (Camille & Marguerite)
« le: dimanche 21 avril 2024, 07:59:35 »
Le printemps, belle saison où la nature s’éveille, c’est le moment de l’année que Camille préfère. Finie la torpeur hivernale, et pas encore les chaleurs estivales. Le printemps, c’est aussi la saison où les sens s’éveillent, où la folie revient.
La folie, c’est bien le terme, tant Camille est fou d’amour pour ce beau brun dont il a fait la connaissance sur le site “un mec une nuit”. L’amour n’a pas sa place dans ces rencontres d’une nuit, juste pour le sexe, mais sait-on jamais.
C’est une période où la féminité de Camille a pris le dessus, et il s’est pomponné pour ce rendez-vous galant, sans excès mais sans ambiguïté. Son pantalon de toile ne laisse aucun doute sur sa masculinité, mais tout le reste de son corps vêtu d’un chemisier blanc rappelle sa féminité.

Son amant d’une nuit, et peut-être d’une vie, lui a donné rendez-vous devant le parc de Seikusu, un endroit si romantique, et puis il y a les sous-bois tout proches, s’il faut se cacher pour faire des cochoncetés.
Vingt heures à son smartphone, Camille n’a vu passer personne, hormis un grand brun élancé, précisément, qui aurait pu être son futur amant, mais ne lui a même pas accordé le moindre regard.

Vingt heures et dix minutes, Camille patiente toujours, espérant que ce ne sera pas un rendez-vous manqué, comme il en a déjà trop connus.
“Hé, petite fiotte, j’ai ça pour toi !”, l’expression immonde déchire soudain le silence qui inquiétait Camille. Il aperçoit aussitôt, sur le trottoir d’en face un individu, une batte de base-ball en mains.
Et pas qu’un seul… car d’autres apparaissent, tout aussi menaçants. Cinq au total, tous agitant leur batte sans ambiguïté. L’un de la bande surenchérit “Tu voulais te faire défoncer le cul ? On en a cinq grosses pour toi !”.

Leur effet de surprise est inéluctable, et ils se croient invincibles vu l’effet de masse. Cinq gaillards en gros godillots, un turban noir sur la tête, et la lumière du réverbère montrant clairement le visage de celui qui aurait dû être son amant ce soir.
Pour y passer de longues journées, récemment encore à guetter les éclosions printanières, Camille connaît le parc par coeur, ses coins et ses recoins qui peuvent devenir d’infinies cachettes. Oui mais, contre cinq monstres assoiffés de sang, ça ne suffira pas !
Il se retourne, prend son élan, et saute la grille du parc, ce que les gros lourdauds ne pourront pas faire aussi facilement. Pourtant, leurs cris de haine ont aussitôt déchiré le silence, “Il se barre, chopez-le !” indique clairement ce qu’ils veulent.

Camille court à perdre haleine. Il entend au loin les bruits des bottes massacrer le sol paisible de ce joli parc. Il atteint enfin l’allée des cerisiers sakura, dans un calme presque rassurant. Mais soudain “Il est là-bas, chopez-le !” lui rappelle qu’ils sont encore à ses trousses.
L’allée est trop droite, ils l’ont en point de mire. Il tourne soudain à droite, longeant la petite mare brumeuse qui le dissimulera un peu, et saute la grille du parc pour filer vers les sous-bois. Ce n’est pas un lieu de rendez-vous, mais ça les déroutera peut-être.
Camille connaît aussi ces lieux, qu’il fréquente quand l’automne doré se plaît dans les feuillages. Même à la nuit, il parvient à se repérer dans ces allées innombrables. Eux aussi semble-t-il  car il entend encore leurs voix au loin !

Il s’engage dans une plus petite allée sur sa gauche, un chemin peu large même. Quand, soudain, il se sent comme happé par un tourbillon. Il ne comprend pas, il tourne sur lui-même, avant d’être aspiré dans une sorte de tunnel noir où il continue de tourner, avant d’être expulsé vers le dehors.
Expulsé comme un pet, c’est littéralement cela ! Expulsé dans une sorte de clairière, où il parvient à retomber sur ses pieds, et perçoit aussitôt des clameurs au loin, comme si la poursuite continuait toujours, après être passé dans ce mixer.
Pourtant, il y a de la musique qui accompagne ces clameurs. Il semble même y avoir des rires, comme si c’était une fête. Sauvé ! Camille se dirige aussitôt vers le lieu de cette fête ; il va demander de l’aide.

Mais ce qu’il découvre le cloue sur place : une fête médiévale, une sorte de bal costumé. Toutes et tous sont habillés comme au Moyen-Age ou un truc comme ça, les grandes tables et les charrettes entassées corroborent la période, sans oublier qu’ils ne boivent pas du Champagne dans des flûtes en cristal, mais plutôt de la vinasse dans des godets en terre cuite.
Avec son pantalon de toile, et sa chemise de lin, il ne va pas trop dépareiller ; il s’avance, hésitant.
Si c’est une soirée déguisée, c’est très réussi, plus vrai que nature même.
Il avance, hésitant. Nul ne semble faire attention à lui. Il repère le lieu des boissons. Il y a des tonneaux où coule un breuvage rougeâtre, du vin de mauvaise qualité sans doute, dont il ne veut pas s’abreuver. Pourtant, sa course effrénée lui a donné soif, et il avise un pichet en mauvaise ferraille, dont l’eau fraîche, même d’un goût douteux, l’abreuve enfin, versé dans une espèce de godet assorti.
Enfin, il peut mieux regarder cette étrange assistance.

4
Centre-ville de Seikusu / De l'autre côté de l'écran (PV Tenshi Kazama)
« le: samedi 20 avril 2024, 23:02:18 »
fais-moi jouir grâce à mon cul”, les mots crus de Tenshi encourage Camille, qui n’aurait jamais imaginé auparavant enculer une femme aussi chaude, et en remercie la pilule magique. Peu importe le moyen, seul compte le résultat. La belle femelle infidèle apprécie, et Camille pourra découvrir et apprécier sur les vidéos qu’elle enregistre sans nul doute. Ca lui fera un souvenir concret de cette soirée mémorable.
Il espère d’ailleurs qu’il y a bien une caméra pointée au plus juste sur la petite rondelle de Tenshi, qui est plutôt un gouffre béant pour le moment.

Un premier éclair violent vient frapper la queue de Camille. Les jets se mettent en position pour jaillir, et c’est l’un des derniers signaux avant la (dé)charge.
Il veut néanmoins attendre Tenshi ; c’est elle qui l’a mené, depuis leur rencontre, dans des paradis insoupçonnés, où nulle autre ne le mènera jamais.
Il ralentit un petit peu le rythme, percevant alors, entre leurs souffles entrecoupés, un clapotis qui en dit long sur l’état deTenshi.
Une femme fontaine ?”, se dit Camille. “Eh bien, j’ai tout gagné, même ça !”.
Une femme qui maîtrise chaque réaction de son corps, une femme qui lui offre une incroyable complicité sexuelle, une femme qui lui fait comprendre que…

Alors Camille empoigne plus fermement encore ses hanches ; son corps se tend vers l’avant en un ultime coup de reins qu’il veut pousser au plus profond de l’anus, et, hurlant un “Raahhh!” qui a dû s’entendre dans tout le love hôtel, il sent le premier jet jaillir, prisonnier du cul de Tenshi, bientôt suivi d’un autre, encore et encore un autre.
Et il découvre un fait inouï ; ce qu’il soupçonnait avant se confirme. Tenshi prend tellement son pied, qu’elle en coule sur ses couilles ! Camille la tient fermement collée à lui, pour ne rien perdre de cette sensation inconnue pour lui. Et, même s’il continue à se vider dans son cul à grands coups, au point que ça va finir par déborder, il ne relâche pas l’étreinte.
Oh putain, ce que c’est bon !”, c’est la première fois que Camille sort un mot crû en de telles circonstances.
Je vais devenir folle à la longue”, Tenshi lui offre le plus beau des compliments.
Si tu en as toujours envie, je ne suis pas prêt d’arrêter”, lui répond Camille, détachant le foulard qui lui liait les poignets, et faisant glisser peu à peu sa bite hors du trou anal qui este béant. Camille l’essuie sur le bas du dos de Tenshi, avant de soupeser ses couilles mais surtout d’y apprécier la mouille de Tenshi.
Tu es incroyable”, lui murmure-t-il dans l’oreille, se penchant sur elle pour lui déposer un délicat baiser dans le cou, avant de s'allonger tout contre elle, sans avoir débandé, caressant doucement sa joue encore brûlante, et se demandant quelle idée folle a-t-elle en tête en ce moment.

5
Centre-ville de Seikusu / Quand Camille rencontre Camille
« le: samedi 20 avril 2024, 22:33:05 »
La vie est faite d’étranges coïncidences, que certains nomment le hasard, et que d’autres ne remarquent même pas.
C’est ainsi que, parce son voisin s’est blessé à la main en bidouillant dans son moteur, que Monsieur Nikiro a dû le conduire à l’hôpital.
C’est ainsi que, parce qu’il ne savait pas quand il sortirait de l’hôpital, que Monsieur Nikiro a téléphoné à la directrice de l’école, pour lui annoncer avec regret qu’il ne pourra pas réaliser les photos de classe prévues l’après-midi.
C’est ainsi que, parce qu’il est le meilleur ami de son mari et aussi un féru de photo, la directrice a aussitôt téléphoné à Monsieur Tamashi, pour trouver une solution.
C’est ainsi que, parce que les trois premiers contactés n’ont pas répondu, que Monsieur Tamashi a eu une réponse favorable de Camille L pour remplacer au pied levé.
C’est ainsi que Camille L, parce qu’il… non, ça, c’est pour plus tard !

Camille n’est pas vraiment un spécialiste de la photo scolaire mais, comme il sait faire des portraits, et comme il faut aussi de l’argent pour manger, il a remercié Monsieur Tamashi d’avoir pensé à lui.
En bon photographe, qui espère vivre de son art, Camille a un sac photo toujours prêt, ce qui est utile pour foncer à l’école, et rassurer la directrice. Quoique “rassurer” est un bien grand mot, car la brave dame était habituée au travail de Monsieur Nikiro, et se demande comment un jeune blondinet va arriver au même résultat.
Mais, pas le choix, pas le temps ! Monsieur Tamashi lui a assuré que Camille L est un jeune talent prometteur.

Camille sait photographier, il ne doute pas d’obtenir un résultat suffisant ; une photo de groupe, qu’on rangera aussitôt dans un album qui prendra la poussière, voire qui sera encadrée dans le couloir de l’école où elle jaunira, ça n’a pas besoin d’être parfait, comme un portrait de star qui joue sa carrière sur un cliché.
Et les classes défilent, les élèves prennent la pose sans conviction, le résultat sur l’écran du boîtier valide le résultat. De la routine, du travail alimentaire, Camille ne voit que le chèque qui tombera à l’arrivée.

Encore trois classes et c’est fini. Celle-ci a un peu plus de difficultés à se discipliner, à se mettre en ordre. Camille donne les consignes, le professeur répercute avec les prénoms.
“Saïku, serre-toi vers le groupe.”
“Haroki, arrête tes grimaces.”
“Camille, viens plutôt devant.”
Camille L marque un temps d’arrêt, le visage empli de stupeur. Camille, un autre Camille là, avec ce prénom si peu courant ici. Ca, pour une surprise… mais ce n’est pas la seule.
Car il voit arriver, au premier rang, une jeune femme à la peau ambrée, dans une classique tenue d’écolière, mais avec une élégance inouïe.
Ce n’est même plus pour son prénom, mais par cette élégance sans ostentation, que Camille L reste les yeux fixés sur Camille, mais au féminin cette fois.
“Ca vous va comme ça?”, la voix de la professeure tire Camille L de sa rêverie.
Euh oui”, répond-il sans vraiment prêter attention à l’ordonnancement du groupe, et en adressant un léger sourire à celle qui ne peut imaginer qu’ils ont le même prénom.

Camille L en est perturbé, au point de ne faire la mise au point que sur Camille, avant de recadrer sur le groupe. Il veut que la photo retranscrive à la perfection, sa perfection justement. Jamais il n’a vu de peau si belle, au point qu’elle perturbe la cellule de son appareil photo, tranchant avec la peau parfois blanchâtre des autres élèves. Il mitraille, heureusement en mode silence pour ne pas attirer l’attention, et c’est à regret qu’il voit partir le groupe, essayant néanmoins d’y repérer la silhouette de Camille, de dos. Aidé par ses boucles amples, il ne peut hélas pas vraiment l’admirer, cachée par d’autres élèves.
Il n’est plus vraiment concentré sur les deux autres classes encore à photographier, mais, professionnel jusqu’au bout, il veille cependant à assurer un travail de qualité.
Venant voir quelques clichés que Camille a transférés sur l’écran de son propre ordinateur portable, la directrice semble enchantée : “Il y a des années que nous travaillons avec Monsieur Nikiro, mais je suis pleinement satisfaite des photos que vous me montrez, et je ferai votre éloge auprès de Monsieur Tamashi”.
Des paroles positives et encourageantes pour Camille, mais il a autre chose en tête, et, bien que restant plus ou moins dans les parages jusqu’à la sortie des élèves, il ne parvient pas à revoir cette Camille qui l’a captivé.

Il range l’ordinateur dans son sac photo, après avoir une dernière fois regardé les clichés où figure Camille. Si Camille L est rarement satisfait de son travail, il l’est cette fois. Sans que le béotien ne le remarque, Camille sort vraiment du lot des élèves, sur la plupart des clichés. Camille a réussi à faire ressortir sa peau, son regard, sa chevelure, pas sa silhouette, quoique… en regardant celle-ci, Camille sent plus encore son coeur battre.
Joli brin de jeune femme, mais peu probable que je la recroise.
L’esprit vagabond, Camille L prend la direction du Starbucks Coffee. Il connaissait cela en Europe, il y est aussi allé lors de son séjour aux USA, et il a adopté celui de Seikusu comme QG, notamment pour recevoir ses contacts photo ; on ne donne jamais une adresse de suite dans ce milieu parfois glauque, et mieux vaut un lieu public pour voir à qui on a affaire.
Son immuable Iced Cappuccino sur la table, il ouvre son ordinateur, pour faire un pré-tri de son travail, et ne garder que deux ou trois clichés par classe, sauf pour celle de Camille où il garde tous les clichés sans exception, et essaie même plusieurs recadrages pour n’avoir qu’elle sur certaines photos.
Pour retrouver une autre Camille dans Seikusu, il faudrait une incroyable coïncidence !

6
Centre-ville de Seikusu / Timidité apparente (PV Manea Haruka)
« le: vendredi 19 avril 2024, 23:54:27 »
Tu aimerais que ce soit moi qui te suive ?”, voilà une phrase que je n’avais pas prévue ! Ca me déstabilise complètement. La bienséance invite à nier, car ce ne sont pas de nobles agissements, mais je ne semble pas maîtriser la réponse qui sort de ma bouche : “Oh oui, j’aurais aimé…” hélas suivi de “mais je ne t’aurais sans doute pas séduite”.

Je réalise à quel point j’ai le bonheur d’avoir une jeune femme si délicieuse face à moi, un visage absolument radieux, et un chemisier qui suggère très fortement, même si ses mains cessent de “m’offrir” sa poitrine. A part la curiosité, qui était peut-être même de l’agacement de prime abord, que peut-elle me trouver pour ainsi m’offrir de son temps ?

A peine lui réponds-je, les yeux dans les yeux, soutenant enfin plus ou moins son regard, que mon propre regard redescend vers ces deux globes, dissimulés par le léger chemisier beige, mais dont les tétons m’envoient comme un signal. Ma modeste expérience, en matière féminine, me dit qu’ils témoignent d’un certain trouble. Les regarder, aussi discrètement soit-il, maintient dans une certaine forme la bosse qui distend mon pantalon. L’essentiel est de maintenir cet état, pas plus car ce serait la catastrophe, pas moins car ce serait regrettable.

Peut-être qu’en cessant d’être obnubilé par ses tétons, je découvrirais un certain apaisement. Qu’elle ait relâché sa position à faire pigeonner cette belle poitrine, pourtant bien dissimulée sous un très élégant chemisier, contribue à me rendre sérénité et maîtrise.
Hélas, la question qui me taraude à la suite, à savoir si elle a un soutien-gorge ce dont je doute de plus en plus, me renvoie une percutante décharge dans le bas-ventre, et s’assortit d’une pulsion dans mon sexe de plus en plus à l’étroit.

Comment peux-tu être seule, alors que tu es si…”, ma phrase reste en suspens, cisaillée par une attaque imprévue;
Je croyais qu’elle se positionnait mieux sur sa chaise, mais je sens son pied apparemment nu contre ma chaussure, et, plus fou encore, glisser contre mon pantalon, remonter.
Je ne sais si le mot apoplexie correspond à mon état, mais je la regarde d’abord stupéfait “Oh!” de cette audace, ensuite tremblant “Euh” de ce frôlement, à nouveau stupéfait mais sans onomatopée, quand ses doigts si fins et agiles déboutonnent un bouton au haut de son chemisier, offrant dans l'entrebaillement du tissu une plus flagrante vision de la raie entre ses seins.
Une fraction de seconde, je croise son regard ; elle me toise, elle me provoque, elle me défie. Mais, plus fort encore, mes yeux redescendent vers l’échancrure, qui m’offre désormais un léger aperçu des rondeurs dissimulées.

Je dois paraître complètement bêta à sortir des onomatopées et à être obnubilé. J’en aurais presque oublié son pied remontant au long de mon pantalon, si celui-ci ne s’aventurait pas dangereusement sur ma cuisse.
Rien qu’imaginer qu’elle pourrait être en jupe, et que celle-ci s’ouvrirait de plus en plus par ce geste, n’est pas pour me calmer.

J’essaie de surnager dans cet océan de sensations.
Euh non, tu n’es pas charmante, tu es… euh… irrésistible”.

Moi, c’est Camille. Et toi, c’est…”. Un signal rouge, un gyrophare bleu, une sirène hurlante, tout ça vient de lancer l’alerte dans ma tête.
Idiot ! Comment vas-tu lui dire que tu connais son prénom ?”.
Pourvu que, vu la chaleur du moment, elle n’ait pas prêté attention à ce qui ressemblait davantage à une affirmation qu’à une question.

Oui, il fait chaud dans cette salle, et même la clim n’y changerait rien. J’étais simple admirateur d’une très belle jeune femme, et me voilà pris à mon propre piège, dans ec qui ressemble à un jeu de sa part.
Pourtant, ma méfiance initiale s’est un peu estompée. Je songe moins à un pari entre copines, vu que je ne vois plus les donzelles en question. Je dirais même que, vu les clients encore présents, nous sommes comme à l’écart.

Son pied est encore plus haut désormais, et, si cette caresse est délicieuse, elle se rapproche fortement de cette bosse qu’elle a sans doute vue.
Je devrais prendre l’initiative, mais je suis coincé, coincé par cette caresse indécente qui me barre toute échappatoire, coincé par mes yeux fixant cette poitrine pourtant à peine révélée, et même simplement coincé parce que la position debout trahirait une bosse qui, si elle était du trouble au tout début, est désormais de l’excitation.
Dans cet océan d’incertitudes m’apparaît cependant une certitude ; si son doux peton monte si haut, sans que je ne parvienne à déceler quelque pantalon ou autre legging, c’est qu’elle porte une jupe a priori évasée, voire courte pour lui laisser cette amplitude.
J'aimerais tellement en savoir davantage ! Dans un geste qui me surprend moi-même, je passe la main sous la table, allant directement à ce qui monte inexorablement vers la bosse matérialisant mon état d'émoi, espérant peut-être inconsciemment parvenir à ralentir ce qui monte sur moi, pour maîtriser ce qui monte en moi, à moins qu'au contraire je n'aie quelque audace nouvelle pour la guider là où j'aimerais qu'elle pose son peton, même s'il n'y a nul doute qu'elle a déjà cette idée en tête.
Un contact à la fois doux et chaud ; même si le contact de sa main sur la mienne m'avait traversé de mille étincelles, celui-ci est différent, peut-être parce que plus coquin.
Mon esprit divague, ma lucidité vacille, mon imagination court. Ce pied délicat n'est que l'extrémité d'un chemin qui mène vers bien d'autres trésors, et rien que cette suggestion me transporte.

Relevant enfin mes yeux vers elle, découvrant alors son regard comme métamorphosé, comme si la douceur initiale avait cédé la plage à deux étranges lueurs, je lui murmure, vraiment pas trop fort pour que nul n’entende :
Tu es incroyable, je ne me suis jamais senti aussi bien”.
Ca fait un peu benêt cette phrase, mais parler ainsi, un rien intimement, n’est ni mon fort ni mon expérience.
Oui, c’est ça ; je suis bien avec toi, et je voudrais que ça continue encore et encore”.
Je me décompose, elle joue et se joue de moi, dans un lieu public où je ne me serais pas imaginé ainsi.
"Ce n'est pas dangereux d'être comme ça, tous les deux ici ? On pourrait nous voir et se demander."

7
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: jeudi 18 avril 2024, 07:57:39 »
Eh bien 5

8
C’est parfois vulgaire le filet de bave qui pend de la langue à la queue lorsqu'une fellation est un moment suspendue, mais ça peut être aussi diablement sexy. Et ça l’est avec Tenshi, tout est d’ailleurs sexy avec cette belle femme opulente et débauchée, qui ne s’embarrasse pas de tabous, et exprime clairement ce qu’elle veut : “j’ai plutôt envie de sentir ta grosse bite dans mon cul”.

Elle matérialise magnifiquement l’expression “joindre le geste à la parole”, prenant aussitôt la pose. Même s’il a déjà été exploré depuis le début de la soirée, le petit trou de Tenshi semble encore serré.
C’est incroyable comme les pensées de deux amants communiquent, car Tenshi, tournant la tête en arrière pour offrir à Camille le regard même de la lubricité, lui précise : “il est tellement serré que tu auras l’impression de prendre une vierge”.

Un cul serré qui se fait prendre, Camille sait ce que c’est. Le sien en a déjà l’expérience, et il se souvient autant de plaisirs intenses que de douleurs violentes, selon les amants qui le prenaient.
Car oui, il n’ose pas avouer à Tenshi qu’il n’a jamais sodomisé une femme. Camille se remémore les vidéos de Tenshi où il l’a déjà vue se faire enculer. Bien que surpris qu’elle dise son cul encore serré, vus les gros chibres qu’elle y a déjà reçus, Camille va jouer le bon élève appliqué, se disant que sa queue a peut-être atteint des proportions fort grosses, grâce à la petite pilule bleue, et que Tenshi appréhenderait même cette pénétration.

Cette volte-face de position lui a néanmoins permis un répit dans la montée du sperme qui s’annonçait. Tenshi est une si bonne suceuse, que Camille sentait les premières alertes alors que les lèvres de sa partenaire glissaient sur son gland, et il craignait de perdre le contrôle et de se vider dans sa bouche, accessoirement sur son visage et sur ses gros seins.

Là, sa bite est prête, dressée face à ce gros cul offert, mais ses doigts commencent par la chatte dégoulinante. Camille les enduit de mouille, explorant d’abord de l’index le passage serré qui ne demande qu’à s’ouvrir. Les va-et-viens s’accompagnent de clapotis, et c’est très vite un deuxième doigt qui vient participer.
Tandis que le cul de Tenshi se tend de plus en plus, la source de sa chatte ne se tarit pas, et Camille y puise de quoi préparer l’orifice qui s’ouvre de plus en plus. ainsi que de quoi faire luire sa queue, frottant bien son gland.

Tu es la première vierge que j’encule”, lui lance-t-il, présentant le gland presque disproportionné à l'entrée du petit trou. Tenshi se cambre davantage, comme pour une supplique d’être saillie mais, contrairement aux vidéos où elle se faisait prendre par des mâles sans délicatesse, et où Camille se demanda parfois si elle grimaçait de douleur ou de plaisir, Camille veut de la délicatesse, même pour l’enculer.
Tenant d’une main sa queue, qui n’a pourtant pas besoin de support, il pousse un peu la porte étroite. Il devine le corps de Tenshi se cambrer, il cherche un miroir où voir l’expression de son visage. Son gland écarte très lentement, entre et ressort, à chaque fois s’avançant davantage, jusqu’à être entièrement dans l’étroit fourreau.

Camille marque un temps d’arrêt ainsi, pour être certain que Tenshi n’éprouve pas la moindre douleur, mais aussi car cela lui donne des violentes contractions dans la queue, et qu’il doit maîtriser cela, d’autant que, avançant très lentement dans le conduit étroit, il en sent les parois épouser sa bite à la comprimer.
“Putain, tu as raison ; tu es super serrée, mais qu’est-ce que c’est bon !” dit-il à Tenshi, pour essayer lui-même de reprendre le contrôle, avant d’ajouter “Je veux qu’on jouisse ensemble!”.
La queue bien au chaud, Camille empoigne les hanches de Tenshi, avant de commencer de petits va-et-viens, guettant toujours la moindre douleur qu’elle pourrait indiquer. Mais rien de tout cela. Car, sous ses mains, il perçoit les mouvements de bassin de son amante incendiaire. Les coups de boutoir, au plus profond d’elle-même, lui arrachent des sons de toutes sortes. Elle joue de son étroit fourreau pour modeler autour de la queue de Camille, qui se demande comment il va pouvoir tenir à ce rythme, tant il sent se cumuler les alertes sur la nouvelle montée du foutre.
Mains tenant fermement la belle Tenshi cambrée, la bite bien au fond d’un anus féminin exploré pour la première fois, Camille marque un temps d’arrêt, pas seulement pour savourer ce qu’elle lui offre sans retenue, mais pour reprendre pleine possession de ses moyens. Son incendiaire complice a certainement perçu les premières pulsations néanmoins retenues, et sait tout autant qu’elle peut à tout moment les déclencher rien qu’avec son cul. “Jouir ensemble”, Camille en fait une obsession.

Camille sent la folie monter en lui. Cette belle salope lui offre son cul, et il a envie d’y imprégner toutes les lettres du mot défoncer. Il attrape le fouloir noir qui trainait sur le lit et, tirant les poignets de Tenshi dans son dos, les attache. Ainsi, elle ne pourra rien empêcher. Se penchant un peu, il attrape la crinière étalée sur les épaules nues, forçant Tenshi à se cambrer davantage. Alors, tenant cette femelle à sa merci, Camille sort presque entièrement sa queue du fourreau toujours serré, avant d’y rentrer plus fort, plus loin, autant que possible. La sensation est sublime et, ne se souciant plus si les cris de Tenshi sont douleur ou plaisir, il accélère le mouvement, ébranlant sans ménagement le corps qu’il possède, bien décidé à y vider son foutre, après avoir savouré les cris de celle qu’il a en effet la sensation de dépuceler du cul.

9
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 18 avril 2024, 00:15:49 »
C'est de la triche  :(

00h15

10
Centre-ville de Seikusu / Timidité apparente (PV Manea Haruka)
« le: jeudi 18 avril 2024, 00:06:18 »
tu me suivais. Dis-moi pourquoi”, j’en ai trop dit et, quand elle effleure ma main de son pouce, elle sait déjà qu’elle a gagné ! Je n’ai plus le choix, je dois avouer, enfin je peux toujours avouer ce que je veux, mais, avec son regard perçant dans le mien, elle saura tout de suite si je mens.

Oui, j’avoue. Enfin non, je ne te suivais pas. En fait, pas au début.”, c’est tellement confus qu’elle doit situer mon QI proche de zéro. “D'ailleurs, la première fois, c’est toi qui es entrée, alors que j’étais déjà là”, je marque un point quand même.

Peine perdue ! Elle renverse la domination instantanément. “c’est à cause d’eux?” m’assène-t-elle, alors que ses seins vont finir par sortir.
Je bondis, surpris, mais surtout le regard fixé sur ces deux pointes parfaitement libres sous le tissu léger. Est-ce une manigance ? Est-elle discrètement allée aux toilettes, avant de m’accoster, pour enlever son soutien-gorge ? Ses copines ont-elles disséminées dans la salle, à observer quand elle portera l’estocade finale ?

Ses copines, justement ! “Euh, quand tu es entrée, tu étais la plus belle parmi tes copines”. Pas de doute, je suis le roi de la drague avec des phrases stupides. “Je vous ai vues entrer, Je me suis dit, enfin j’ai pensé, euh voilà je t’ai vue, et ça m’a troublé”.

En matière de trouble, celui qui se passe sous la table gagne encore en intensité, avec sa main posée sur la mienne. Tiens, oui, sous la table ? Je me demande si elle a fait exprès de me frôler avec sa jambe, tout à l’heure. Crétin que je suis, je n’ai même pas fait attention, quand je la regardais avec ses copines, si elle avait une jupe courte ou longue, et peut-être des collants, et je ne sais même pas comment elle était chaussée. Et je me vois mal faire tomber ma cuillère, pour vérifier, alors qu’elle vient de le faire.

Elle vient de le faire ? Je n’y avais pas pensé. Elle a dû voir l’état de mon pantalon !
La honte me submerge, et je sais que ça ne va pas s’arranger, vu que je la regarde plus dans les seins que dans les yeux.

Camille, tu es grillé ; tu ne lui feras jamais aucun effet ! Alors, lâche-toi, et avoue pourquoi tu étais si présent là où elle était”.

Je prends mon souffle, autant avouer.
Sa main est si douce sur la mienne, ça m’encourage.
En fait, je suis seul depuis des lustres, et j’étais occupé à, enfin à me dire comment changer ça, quand vous êtes entrées, toi et tes copines”.
Ce n’est pas tout à fait l’exacte vérité, mais ça s’en rapproche un peu.

Oh, et puis, aujourd’hui, c’est aussi toi qui es arrivée après moi”, je marque un point. Et je décide d’enfoncer le clou : “D’ailleurs, peut-être que c’est toi qui me suis, en fait”.

A peine ai-je prononcé cette phrase que je m’en veux d’être aussi stupide. Comme si une jeune femme si séduisante allait s’intéresser à un gringalet effacé comme moi ! Il me faut vite faire diversion, avant que sa douce main ne devienne un étau écrasant la mienne, ou que son délicat sourire ne se transforme en un rictus de colère.

Euh, à la cantine de la fac, j’y vais de temps en temps. Mais bon, j’y suis allé ce jour-là, avec l’espoir de te voir

L’honneur est sauf, j’ai répondu à sa question, en détournant la réponse sur ses seins. Mais c’est vrai que, à ce que j’en devine, ils ont un galbe parfait, des tétons très insistants. Il faut que j’en détourne le regard, sinon je crains de ne plus rien contrôler.
Mais fixer son visage est tout aussi insoutenable ; il est si doux avec sa peau claire et sa mèche qui cache au fil de sa position, et, pourtant, il me semble lire une lueur de braise dans ses yeux.
Je ne sais pas à quelle sauce je vais être mangé, alors autant se jeter dans la bataille : “Tu étais la plus charmante du groupe, ça m’a inspiré !”.

11
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: mercredi 17 avril 2024, 07:37:10 »
3 et ça repart…

12
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 17 avril 2024, 07:36:01 »
07h35

Quel est ton secret ?

13
Centre-ville de Seikusu / Timidité apparente (PV Manea Haruka)
« le: lundi 15 avril 2024, 23:49:00 »
pas de quoi en faire un drame”, je ne sais pas si elle le dit par conviction ou par pitié. Hélas, ça renforce mon côté looser, et j’en suis encore plus ridicule.
J’ai, face à moi, une jeune femme absolument exquise, mais je suis au dessous de tout face à une jeune femme qui lit dans mes pensées.
Comment pourrait-il en être autrement, puisque, d’un simple regard, elle réussit à disperser toutes ses copines. Mais ça ne suffit pas à me rassurer, et j’essaie de suivre du regard où elles partent se planquer pour m’espionner.
Calme-toi, Camille, ne te fais pas des films!”, essaie-je de me rassurer.

En fait, c’est que… je… j’étais surpris que vous les abandonniez”.

Il me faut me ressaisir, et je relève enfin la tête vers Manéa, qui ne sait pas que je connais son prénom. Je repousse un peu les mèches qui me barrent le front, et surtout me gâchent la vue.
J’étais déjà sous le charme quand je la voyais au loin, mais que dire de près ? Elle a un regard espiègle et une douceur un rien coquine émane d’elle avec cette mèche qui lui barre le front, elle a une voix charmante, elle a une poitrine qui me rend fou même un rien devinée,

Vous… euh tu… ça ne t’aurait pas gênée, vraiment ?”, en disant cela, je me rends compte que je renforce ses suspicions. Mais, de là à imaginer qu’elle se serait sentie flattée par une telle situation, surtout si je lui avoue que cela est la suite d’un défi que je me suis lancé.

Ca me redonne un peu d’assurance, mais elle me tétanise autant qu’elle me trouble.Un trouble que j’essaie de contrôler, et qui semble un peu stabilisé ; elle me fait toujours un effet inouï, à encore me demander ce qui lui a donné l’idée de s’approcher de moi, mais je pense en contrôler les effets, du moins pour le moment. Pourtant, au vu de la réaction que m’a occasionnée le simple contact de sa main, je sais que je peux vite perdre tout contrôle.

Comme ce simple clin d’oeil ! Je l’ai vu, je l’ai vue, j’en suis sûr. Ce n’était pas dû à une poussière voletante ! Je sens mon bas-ventre entrer en révolution, refuser toutes barrières que je lui impose. Je n’ai qu’une obsession, fuir aux toilettes pour extirper ce trop-plein, soit pour revenir plus calme devant elle, soit pour lui laisser le temps de partir.

Mais, au moment de bondir pour fuir, une serveuse, venue de je ne sais où, apporte, sur je ne sais quel ordre, une tasse de thé à Manéa. Elles se sont toutes liguées contre moi, et ça me coupe net dans ma tentative de fuite.

Je regarde cette tasse de thé fumant, avançant un “Thé vert Longjing, si je ne me trompe pas?” pour essayer de masquer ma perte de repères, qui pourtant s’affole lorsque je vois les doigts de Manéa effleurer la cuillère. Elle est incroyable, de la braise dans les yeux et de la douceur dans les mains.

Enfin, de la douceur, tout est relatif, car la cuillère tombe à terre, et elle se penche aussitôt pour la ramasser.
D’ordinaire, c’est le garçon qui fait tomber un truc pour voir sous la table la longueur de la jupe de la fille, et éventuellement s’il y a une culotte dessous.
Mais, même ça, je n’ai pas été capable de le faire ! Je me suis juste contenté d’un regard discret sur son chemisier beige, quand la raie d’entre ses seins s’est davantage révélée.

D’ailleurs, je ne l’ai peut-être pas regardé si discrètement que ça, car, quand Manéa a repris sa place face à moi, avec une expression étrange sur le visage, j’ai aussitôt été intrigué par le chemisier, comme s’il avait encore bougé.
J’essaie de la regarder les yeux dans les yeux, mais mon regard se perd aussi plus bas, et je remarque vraiment deux pointes qui tendent le tissu, deux pointes que je suis certain de n’avoir pas vues auparavant, deux pointes qui me font un effet ravageur. L’attaque est encore plus violente, et, si je parviens à la maîtriser, il faut à tout prix que la pression redescende !

Ta cuillère est sale, tu veux que j’en demande une autre ?”, parler ustensiles de cuisine devrait un peu soulager l’effet de mes pensées sur mon bas-ventre.
Je suis dans un coin en retrait du salon de thé, quasiment isolé avec une jeune femme à la beauté insoutenable, mais, tout ce que je trouve à lui dire, c’est de commander une cuillère propre !
C’est pourtant ma seule échappatoire, pour ne pas encore faire grandir la bosse qui tend le tissu de mon pantalon si léger

Cette bosse ? Soudain le déclic. L’a-t-elle vue, en ramassant sa cuillère ? Je me mets à gesticuler des jambes, à réfléchir si ma position permettait de voir. Et, si elle l’a vue, son attitude est-elle désormais du domaine de la moquerie ou de la tentation ?
Allons, Camille, qu’une si séduisante jeune femme soit séduite parce que tu bandes, un peu de dérieux, voyons !

Je dois essayer d’en savoir davantage, mais c’est compliqué, quand je m’adresse à elle, les yeux davantage captivés par ces deux pointent qui dardent sous le tissu, du moins sont très apparentes.
Euh, la fac, l’autre jour, c’est parce que, euh, parce que je poursuis des études tout en travaillant, alors ça me donne accès au restau
Je ne sais pas si j’ai désamorcé ses soupçons, et en fait, je ne sais pas si elle voulait que je les désamorce.
Oui, je t’y ai vue, mais tu étais avec tes copines ; je n’allais pas vous déranger”.
Je me rends compte que je suis ridicule, à parler de trucs sans intérêts, sans doute écarlate et bafouillant, mais je suis obsédé par ces deux pointes, et mon bas-ventre est en train de prendre le contrôle de mon cerveau.
Oui, trois fois, ce ne peut pas être du hasard”, je me rends compte que je me suis totalement grillé, mais trop tard !

14
tu ne vas pas être déçu, crois-moi”, Tenshi lui a offert au concret tellement plus que sur sa chaîne porno, que Camille sait que nulle déception ne peut le guetter.
Tenshi ne semble reculer devant rien, du moins Camille pense néanmoins qu’elle a les mêmes tabous que lui, tels scatophilie ou zoophilie.
Alors, si son enthousiasme à sucer sa bite est évident, Camille se demande soudain s’il ne s’est pas lui-même jeté dans la gueule de la louve, et si, au vu des fellations qu’elle a déjà montrées sur sa chaîne porno, il ne vient pas de se livrer lui-même à une éjaculation qu’elle saura provoquer malgré tout ce qu’il mettra à la retenir.

Camille pourrait choisir de s’abandonner dans sa gorge, de la voir quasiment s'étouffer avec de grands jets de foutre. Mais, pour avoir eu le plaisir de s’introduire dans son cul encore étroit malgré le double dong auparavant, c’est là qu’il a envie de se vider.

Pourtant, la sensation est sublime ! Les seins de Tenshi sont idéaux pour la branlette espagnole, et Camille en ôte les pinces, afin que la chaînette n’entrave pas les mouvements.
Camille verse du Champagne sur sa queue, l’astiquant sur toute sa longueur, tandis que quelques gouttes tombent entre les seins de Tenshi. Peu importe ; ils iront bien prendre une douche, qui sera aussi lieu de jeux sexuels ! La queue glisse ainsi mieux entre les deux gros globes, menant le gland jusqu’aux lèvres ouvertes comme si elles voulaient le happer d’un coup.

Pourtant, au dernier moment, la langue de Tenshi sort, et sa pointe tendue joue avec le gland turgescent. Camille tremble, l’attaque est directe, la sensation est infernale.
Les lèvres de Tenshi laissent glisser la tige. Camille veille à faire durer la pénétration, mais Tenshi creuse les joues comme pour la happer avec plus de vigueur encore.
Jamais, je ne me suis fait aspirer comme ça!”, Camille est en extase, mais il se sait aussi sur le fil du rasoir, car Tenshi vient de reprendre le contrôle.

Pourtant, la caresse est à la fois si délicate et si incendiaire qu’il ne parvient pas à s’en défaire.
Tenshi est concentrée sur cette fellation, en ne le quittant pas des yeux, mais Camille entend comme un clapotis, qui la trahit : en même temps, Tenshi est occupée à se masturber, et le bruit sans équivoque est celui de ses doigts qui coulissent dans sa chatte !
Il faut à la fois en profiter et distraire Tenshi de son apparente volonté de mener la fellation à son terme. Pas si vite ! Pas tout de suite ! Peut-être même pas comme ça !

Camille aperçoit le double dong sur le lit, encore humide de leurs ébats précédents.
Sans cesser de fixer Tenshi dans les yeux, il saisit le sextoy, et, lui montrant : “Ne penses-tu pas qu’il pourrait remplacer tes doigts, tout en me préparant ton cul?”.

15
Tenshi, aussi féminine soit-elle avec ses seins opulents balançant au gré des mouvements de son corps, est aussi virile dans ses coups de rein. Camille se fait sodomiser par une partenaire qui n’en oublie pas sa queue. Tenshi maîtrise l’art de l’amour, ou plutôt la science de la baise, avec une maîtrise qu’aucune autre avant n’avait avec lui, et que n’auront jamais les stars du porno.

Mais Camille a envie de prendre l’initiative, avec cette femelle qui, du moment qu’il y a de la bite raide et qu’elle en a dans les trous, est comblée.
Il détache la pince demeurée sur son propre téton, pour pincer le téton libre de Tenshi. Puis la force à se pencher vers lui, ses seins contre son torse et leurs bouches unies dans un baiser au Champagne des plus salaces. La tenant fermement d’une main dans le dos, il fait rouler leur couple uni, gardant le god dans son cul et sa queue dans la chatte de Tenshi.

A présent sous lui, Tenshi est à sa merci. Camille ajuste bien la position, alternant de s’enfiler sur le god et de s’enfoncer dans la chatte baveuse de Tenshi.
Si elle semble aimer dominer, elle ne semble pas détester être soumise. Alors Camille tire sur la chaînette, dressant les seins, tendant les tétons, regardant le visage de Tenshi.
Vengeresse ! Elle donne de plus violents coups de god dans son cul, comme pour résister, mais Camille ne faiblit pas.

Il veut assurer son emprise, quittant certes à regret la chatte brûlante et le god jouissif, délaissant même la tension de la chaînette, pour venir s’agenouiller sur la poitrine de Tenshi, plus haut précisément.
Surprise, peut-être même déçue de ces pénétrations suspendues, Tenshi est toujours lèvres entrouvertes.
Je n’ai jamais eu de pipe au Champagne, c’est le moment de découvrir” lui lance-t-il, attrapant d’une main la bouteille déjà bien entamée, guidant de l’autre main sa queue jusqu’à ce que le gland effleure les lèvres de cette si belle femelle.

Pages: [1] 2 3 ... 8