Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Predators

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Laboratoires / Deux loups sur la même brebis [PV Dana Sidorova]
« le: mardi 04 juillet 2017, 02:25:39 »
C’était une soirée peu comme les autres au centre-ville; presqu’aucune voiture ne passait, la ville ayant fermé la majorité des routes pour le Midori No Hi, la fête de la nature. Les bourgeons commençaient à se faire plus présents en ce début de mois de Mai, le printemps voulant tranquillement reprendre sa place, réchauffant les cœurs de tous, et on pouvait le sentir avec les festivités, écologiques, qui se tramaient un peu partout en ville… Excepté à une certaine batisse, ou les dures labeurs se faisaient bien présentes en ce jour de fête.

Ça faisait une bonne heure que l’équipe predators se tenait devant une carte, en silence, laissant au bourdonnement du plafonnier au dessus de leur tête et de la longue table grise envahir la pièce. Le contrat qu’on leur avait fourni avait semblé si facile aux premiers abords; un simple scientifique que leur client voulait rencontrer de façon informelle… Un simple snatch and grab comme avait si bien dit Uroi. Cependant, le laboratoire ou ils devaient extraire le vip était sous la mer… Vous savez ce fabuleux endroit, ou l’île-état avait décidé de foutre un parc d’attraction et un musée? Honnêtement, pour les touristes, c’est merveilleux, beaucoup rêverait de voir un tel endroit, mais pour un kidnapping, un endroit comme celui-là ou il n’y a qu’une seule entrée/sortie, la tâche devient rapidement ardue.

Le chef du groupe se balança vers l’arrière, le dossier de sa chaise l’arrêtant mollement, et posa ses mains sur sa chevelure brune, poussant un long soupir de consternation.

Je ne vois vraiment pas comment on peut entrer et ressortir ni vu ni connu, encore moins avec la tête de l’équipe de recherche du laboratoire… On a même passé une semaine à regarder les caméras du site, ce mec ne va même pas à la surface!

Tous prirent un air plus débité que la seconde d’avant. Sado avait raison, aucun moyen d’entrer sans se faire voir. Le laboratoire avait même des sonars qui empêchaient les sous-marins de s’approcher trop près du site sans se faire repérer… Et ses foutus sonars étaient sur un relai indépendant… Impossible de pirater le relai car il n’émettait absolument aucune onde en dehors du laboratoire, il ne faisait que recevoir…

Quelques minutes passèrent une nouvelle fois dans le silence jusqu’à ce que Matari redressa la tête.

Ce n’est pas tout le système qui est indépendant, celui des ressources humaines est envoyé sur le serveur d’une firme externe! Je peux faire entrer n’importe qui dans leur base de données d’employés, il suffit juste de trouver un plan pour le faire sortir!

Concocter un plan, c’est comme écrire un livre. On peut y passer des jours sans jamais se sortir du syndrome de la page blanche, mais quand on trouve une parcelle d’idée, c’est comme ouvrir les valves d’un barrage. Sous les mots de Matari, Sado se leva d’un bon, et se mit à faire les cent pas.

D’accord, voici ce qu’on va faire. Met Ashida et moi dans la base de données des employés, moi en tant que concierge. Les concierges ont tous les accès, surtout dans un laboratoire, il faut que tout soit impeccable, Ashida sera un infirmier. Ashida, trouve-nous un poison à donner au vip, il faut qu’il se sente mal et qu’on ait besoin de l’évacuer, mais ça ne doit pas le tuer. Uroi, tu vas devoir voler une ambulance, le plus tôt possible. On va l’évacuer par ambulance et faire croire à une embuscade à ce moment. On détruit l’ambulance et on retrouve nos corps calciné avec nos ID dans les décombres. On va aussi avoir besoin de trois cadavres, donc un petit tour à la morgue va s’imposer pour toi, Ashida.

Pour sa part, durant la phase de préparation, Sado allait faire un tour au parc d’attraction. Il devait s’assurer de ne pas avoir d’ennui, mais surtout d’avoir un plan de contingence, si le tout ne marche pas comme prévu.

Centre d’attractions sous la mer / Sadotoru

Sado n’en revenait pas. Cet endroit était une petite bulle sous la mer, mais c’était tellement spacieux qu’ils y avaient construit une grande roue, des stands d’adresse et de multiples manèges si hauts que juste à les regarder d’en bas lui donnait le vertige. La cupidité humaine ne cessera jamais de l’impressionner. Mais bon il n’était pas là pour les manèges, mais bien pour faire du repérage. Avec son appareil photo, Sado fit quelques prises d’agents de sécurité, mesures protectives et portes blindées, le tout camouflé par ce qu’un touriste aurait pu considérer digne d’être dans une photo. Dans son sac pour l’appareil photo, il avait également dissimulé un pistolet qu’il venait d’acheter d’un vendeur d’armes indépendant, déjà monté avec le suppresseur d’attaché dessus. Une fois s’être assuré que personne n’était dans les parages et d’être dans l’angle mort des mesures de sécurité, il sortit rapidement l’arme et la dissimula sous une roche, creusant un petit trou pour qu’elle ne paraisse aucunement.

Ce n’était qu’une mesure de sécurité, un au-cas-ou, et n’avait aucun remord à la laisser là s’il n’en avait pas besoin. Remords qu’il aurait eu s’il y avait caché son arme favorite.

Centre-Ville/ Uroi

Pour avoir l’ambulance, Uroi avait fait appel à quelques contacts qu’il lui restait dans le cartel chinois. Uroi n’aimait pas faire de mal aux gens innocents, mais il devait arriver à ses fins, et s’il pouvait faire une pierre deux coups, c’était une victoire pour lui, autant sur le plan spirituel que le plan professionnel. Il avait donc demandé quelle équipe d’ambulanciers travaillait pour les japonais; mieux vaut avoir des médecins et des ambulanciers de leur côté, il fallait bien quelqu’un pour amener les Yakuzas aux bons docteurs. On lui donna quelques noms, des noms qu’Uroi traqua pendant leurs travaux et remarqua que les numéros des ambulances qu’ils conduisaient n’apparaissaient sous aucune bannière médicale. Étrange, mais un coup de chance pour les Predators, personne ne remarquerait la disparition de deux ambulanciers et une ambulance qui n’apparaît dans aucun registre. Excepté le crime organisé, mais ceux-ci vont juste blâmer une autre faction.

Alors qu’ils répondaient à une urgence, des Yakuzas qui s’étaient fait attaquer dans une ruelle, merci à nos amis du cartels, Uroi s’avança tranquillement et sorti une arme de son holster de hanche. Les deux para-médics reçurent une balle chacun avant de tomber au sol, mort sous le coup. Aucune hésitation à avoir, c’était deux sacs à merde, de toute façon. Avant que la police ne débarque, Uroi se hissa dans le véhicule blanc, après s’être assuré qu’il soit vide, et ira le conduire jusqu’à une planque dont lui seul connaît la localisation.

Morgue/ Ashida

La partie d’Ashida s’était remplie très vite. Matari lui avait fait un faux badge de police fédérale et un mandat pour rapatrier trois cadavres, il n’avait eut qu’à le présenter à la réception et ces derniers étaient pressés d’obtempérer. Personne n’ose réellement contredire un mandat, on lui avait même fourni un véhicule pour les transporter et on avait chargé les précieux corps pour lui.

Tout ce qu’il eut fait, c’était de se prendre un coca diète de la machine et les regarder à l’œuvre, content de l’avoir facile, pour une fois.

Pour le poison, il avait simplement prit une petite plante surnommée l’herbe du diable; le Datura Stramoine. Ils n’avaient qu’à l’introduire dans un plat que le scientifique mangerait ou quand il viendrait à la clinique, mais pour l’instant, il se contenterait de l’amener au QG.


QG / Matari

Un seul firewall pour toute une base de données d’employés d’un site hyper sécurisé… C’en était une véritable honte! Ça avait prit dix minutes à Matari pour entrer dans le système, ajouter les noms et les photos des deux infiltrés et il était en train de leur imprimer leur cartes à puces. Les deux mains jointes derrière la tête, il regarda l’imprimante 3D nextgen faire les cartes et une autre machine créer les puces en se disant qu’il était si bon d’avoir tout le budget qu’on voulait pour acheter quoi que ce soit.

Pour le système de caméras, Matari l’avait déjà infiltré une semaine auparavant, pour trouver un point d’attaque sur le scientifique.

Désormais, toutes les phases de préparation étaient accomplies. Il ne restait qu’à accomplir la mission.

2
Le quartier de la Toussaint / L'infiltré [pv Slave furry club]♡
« le: lundi 19 juin 2017, 02:06:55 »
Dans les alentours de la ville de Seikusu, le rythme de vie était bien différent. Tout était si calme qu'on pouvait entendre le vent souffler, les oiseaux chantaient à en perdre la voix, au plus grand bonheur des passants. Parmis les Predators, l'ambiance était un peu différente: même si chacun d'entre eux aimait se trouver dans la quiétude de la campagne, le groupe érinté vensit de terminer une mission pour le moins difficile, et Sado partageait les gains, moins le pourcentage qui allait dans les coffres de leur "compagnie". Le tout se faisait près d'une rivière, où l'on entendait les voitures passer à une dizaine de pieds au-dessus de leur tête. Soudainement, le bruit étouffé d'une vibration dérangea leur business silencieuse. Le chef du groupe pris le cellulaire dans ses poches et lut le message à voix basse.

Ne vous reposez pas trop sur vos lauriers, on vient de recevoir une nouvelle mission et... oh. Matari, tu vas être sur le terrain. Tu vas au Slave Furry Club.

Personne ne posa de question. Leur cible était là, et ils devaient y être, eux aussi. Pourquoi envoyer le jeune qui n'avait presqu'aucune expérience du terrain? Simple, Sado détestait les terranides. En fait il priait le ciel pour ne jamais aller à Terra. Quant aux deux autres, ils ne sont pas très locaces... le choix logique est celui qui a le plus d'aisance autour d'autres personnes, surtout de "races" différentes.

Sur le chemin du retour, l'ancien militaire expliqua plus en détail la mission: apparemment un haut dignitaire américain causait des ennuis à leur client et se dernier voulait le voir discréditer. Le tuer ne ferait de lui qu'un martyr... mais il fallait le détruire.

Aux dires de leur client, la cible qui avait été attribuée aimait fréquenter les bordels, plus particulièrement les établissements tels que le SFC. Toutefois, le sponsor ne voulait pas faure de mal à un de ses clients, ce dernier ayant des liens avec les propriétaires de ce fin établissement inter-dimensionnel.Matari avait humilié un ou deux mecs dans sa vie, et savait comment se débrouiller.

J'ai compris, j'ai même une idée comment m'y prendre... mais je vais avoir besoin d'un compte de dépense...

"Compte de dépense" voulait dire qu'il avait besoin d'argent. Skn patron roula les yeux et lui demanda combien il voulait.

Un million. Avant que tu rouspète, dis toi que je dois avoir une raison d'y être. Ce genre de trucs, ça coûte cher... surtout quand tu veux avoir la couverture  que je compte bien avoir!

Un nouveau soupir de Sado et ce dernier lui tendis sa part du dernier contrat.

Y'a 1.25 là dedans, dis toi que je suis généreux pour la derniére fois avec toi...

Uroi? Tu fais quoi Samedi prochain?

Je vais faire ton chauffeur pour 150 milles.

Sado et Ashida se mirent à rire pendant que Matari grommela en donnant son dû à Uroi. Ce sont les seuls moments qu'on peut les voir heureux, ou ce qui s'en rapproche.

Une semaine plus tard

Une limousine noire, cirée à la perfection se gara devant un club de luxe dans le quartier de la Toussaint, un rare dans cette partie de la ville. Matari avait tout prévu; il avait hacké le système de surveillance du club ainsi que la loste des Vip pour s'y insérer, volé l'identité d'un jeune millionaire et même recréé le cellulaire identique à leur cible, excepté qu'il y avait des photos de jeunes enfants dans des positions singulières. La pédophilie est perçue pire que tout ce qu'il peut se passer dans le club sous le club. Il était temps d'entrer en scène.

Une poignée de billets et hop! Matari coupa la file, entrant dans un club bondé etbruyant. Il traversa le club et emprunta un petit couloir, qui mena à une jeune dame accompagnée de trois gardes armés. Décidément, ils ne laissaient rien au hasard. Matari s'accota sur le petit lutrin en bois et sourit à l'hôtesse.

Salut. Yamamoto Asashi. Je crois  que je suis sur votre guest list?




3
Prélude / Re : Bienvenue à l'O.P.B.
« le: lundi 19 juin 2017, 01:02:35 »
J'en connais qui va voir sa boite a mp se remplir vite  ;D

Bienvenido :3

4
À peine avait-il terminé sa phrase que la porte s’était ouverte d’un vent, laissant paraître une jeune femme. Cette dernière coupa sèchement la conversation qu’il entretenait avec les inspecteurs, déclarant pouvoir, quant à elle, passer un accord avec le détective. Jade Road, directrice. C’est ce que Sado pouvait lire sur une plaque dorée qu’elle arborait au-dessus du sein droit… Quoiqu’il l’ait tout de même su, il avait quand même fait beaucoup de travaux impliquant les forces policières et il est le genre de personne à faire ses devoirs.

La brunette s’installa en face, ouvrit un dossier et commença à parler de deals, se risquant à peine en assumant qu’il avait des informations que ses troupes pourraient avoir de besoin, ce qui fit sourire Sado. Comme par réflexe, il tenta de déposer ses coudes sur la table, mais les chaînes que retenaient ses menottes de plastique l’arrêtèrent promptement dans un cliquetis, il redescendit donc ses mains sur la table, joignant le bout de chaque doit avec son collègue de différente main, et plongea son regard dans celui de la directrice.

J’ai en effet des informations. Comme vous devez savoir, je suis détective privé. Mon dernier contrat a requis de moi que je retrouve Yasura Oro, un distributeur dans un quartier de Seikusu. J’ai donc fait mes devoirs et j’ai dégoté quelques informations pertinentes, du genre qui sont ses dealers, qui il va voir quand il a des problèmes avec des défauts de paiements, ou encore l’emplacement de ses cachettes quand les forces de l’ordre lui colle aux basques... Il eut un petit sourire avant de continuer sa phrase Je ne suis peut-être pas la police, mais je suis mieux équipé que vous, et je peux passer par des chemins qui vous sont interdits…

Là ou la police avait besoin de mandat pour entrer dans les maisons, Sadotoru n’avait besoin que d’un bon argument, ou encore une épingle à cheveux et de la volonté, il arrivait toujours à entrer chez quelqu’un ou avoir l’information d’une personne. Maintenant que la dame savait ce qu’il avait a offrir, elle devait sûrement attendre ce qu’elle avait à lui laisser. Le mulâtre inspira avant de continuer sa palabre.

Ce que j’ai besoin, maintenant. Uno : On m’enlève ces menottes. Je me sens comme un simple criminel et ça fait mal à ma réputation et aux poignets. Deuxio : Vos hommes n’ont pas été tendres avec moi et j’ai une sacrée migraine, je veux avoir les médocs qu’on m’a confisqués, et essayez pas de me refiler les sous-produits que vous donnez à vos détenus, je veux les miens. Tercio : Si vous voulez que je vous aide à coincer Oro, je veux que vous m’aidiez avec un autre contrat. Je suis supposé livrer un message à une dame Iruka, et je n’arrive pas à la retrouver. J'ai’appris que son frère est incarcéré ici, en isolement avec trois autres détenus. Je veux lui parler.

Il accota son dos contre le dossier de la chaise avant de poursuivre.

Je sais que vous ne faites jamais sortir personne d’isolement, mais pensez à ceci : Vous ne courrez pas apres Oro… Je sais pour qui Oro travaille, et si vous voulez avoir Stroll, ça vous prend quelqu’un pour chanter contre lui. Selon moi, vous avez des couilles en acier pour vous frotter à ce maniaque, mais je suis sur que Yasura va vous donner ce que vous avez besoin… Alors?

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Le coin du chalant / L'agence tous risques
« le: vendredi 09 juin 2017, 03:44:58 »
Salut!

Donc, je me lance dans les rps, voici les exemples de trames possibles:

Trames Predators
- Vous avez un problème que personne ne peut régler, mais quelqu'un vous parle d'une organisation qui pourrait vous aider... Moyennant une somme substentielle;
-Quelqu'un veut vous aider (ou vous nuire), vous êtes le VIP (ou la cible) des Predators, et vous pouvez témoigner de leurs talents;

Trames Sadotoru
-Vous avez besoin d'un détective privé? L'agence Hammad vous ouvre ses portes!

Trames Matari
-Vous coincez Matari à pirater durant les heures de cour, qu'allez vous faire?
-Vous avez entendu parler d'un étudiant à Mishima qui peut vous aider à avoir des A / régler des problèmes financiers / régler tout problème par le hack. Vous voulez voir si ses services sont disponibles

Trames Uroi
-Vous appelez un Taxi, une Tesla vient vous chercher... chouette! ou pas.
-Uroi aime beaucoup les courses, peut-être se réessayer aux courses de rues!

Trames Ashida
-Vous tombez par hasard sur le centre de commandement et tombez sur l'un des criminels les plus recherchés du Japon, que faites vous?
-(trame pour policiers) Vous êtes sur la trace d'Ashida, mais personne ne vous a dit comment l'enquête peut devenir explosive!


Comme dit, ce ne sont que des exemples, je suis ouvert à la discussion ;D

À la prochaine dans un rp!!

6
Les phares d’une Tesla type S traversèrent l’obscurité du stationnement, ou était garée une Toyota usagée. La voiture electrique s’arreta aux cotes de l’autre, puis la vitre descendit dans un leger grincement, puis un deuxieme se fit entendre. Bien qu’elle y était depuis un petit moment, la voiture a essence comportait un conducteur, silencieux, qui ne souhaitait pas se faire remarquer. Uroi sortit le bras de son coupe vert et tendit a Sado une petite bouteille, sur laquelle était inscrit le terme « Ibuprofene ». Ce dernier attrapa le contenant et remua doucement, faisant un faible son du medicament qui frappait contre le plastique.

Il y en a trois, comme tu avais demande. Ashida fait dire de ne pas te tromper.

Sans un mot, le geant metisse hocha la tête en direction de son compagnon et tourna la clé dans le contact jusqu’à entendre le moteur démarrer. Chacun des deux véhicules prirent leur direction, quittant le parking sur des rues différentes. Pour Uroi, le travail était terminé, il avait fait son travail de livreur et il ne restait qu’aux autres à faire leur part. Le travail de Sado, pour sa part, était seulement sur le point de commencer.

Il devait trouver un petit trafiquant de drogue… Enfin, petit étant peut-être discriminatoire pour le criminel, qui avait quand même réussi à s’extirper des deals de coin de rue, et était devenu le distributeur du quatier… Des gens étaient venus le voir à son bureau de détective et se proclamaient comme étant de la famille du distributeur. Ils étaient apparemment inquiets de sa santé et demandaient au grand gaillard de le retrouver et le ramener à la maison. Sadotoru avait passé des jours à lire les dossiers de police concernant l’homme, Yasura Oro, et connaissait son dossier criminel par cœur. Il avait passé également beaucoup de temps dans les rues, cherchant à en savoir plus sur ce que les policiers ne savaient pas. Ça avait porté ses fruits; il savait exactement ou le trouver, et ou se situait son repaire, l’endroit ou il allait se cacher si la police et les « drop ship », ses cachettes d’argent et de drogue.

Il se trouvait dans un vieil entrepôt désaffecté. Ils s’en servait comme base de distribution, évidemment seulement une petite partie, le reste devant avoir l’air abandonné. Un soir sans lune, Sado avait décidé d’en mettre fin. Il allait s’occuper de chaque garde du corps, attraper le distributeur et le ramener de force là ou on lui avait demandé. Il avait facilement entré dans le bâtiment, les hommes de mains de gardant que le second étage à l’intérieur, un seul gardait un œil sur la fenêtre extérieure, à l’affût d’une sirène de police. Son revolver Taurus en main, il montait les marches en silence, écoutant les bruits que faisaient les gardes. Une fois en haut des marches, il ouvrit tranquillement la porte et tomba sur un des hommes, qui lui faisait dos. Il craqua le percuteur du revolver et le garde figea sur place, ne sachant que trop bien l’origine du bruit. Il était sur le point d’appuyer sur la gâchette quand il entendit :

Police!!! Police!!!

Soupirant, il baissa son arme. La police avait déjà commencé à défoncer les portes en dessous d’eux, et il ne pouvait pas se permettre d’avoir un cadavre sur les bras. De toute façon, il ne voulait pas que Yasura se fasse prendre, ce n’était pas dans son contrat.

File, va aider ton patron à se sauver… Remercie ta bonne étoile. Ne te retourne surtout pas ou je t’éclate la cervelle

Il poussa l’homme dans le dos avec le bout de son canon, comme pour inciter à le faire courir. On pouvait désormais entendre les lourds pas des agents alors qu’ils montaient les escaliers quatre à quatre. Ces derniers s’arrêtèrent tout juste derrière Sadotoru, et pointèrent leurs armes dessus. Le détective soupira et, comme lui ordonnait les policiers, laissa tomber son revolver au sol, s’agenouilla et mis les mains derrière sa tête.

Le voyage en voiture s’était avéré long, surtout à cause du nouveau genre de menottes que les policiers utilisent, ceux en plastique qui ne contiennent aucune serrure, qui lui serrait les poignets de manière désagréable… Sado se disait qu’il était temps qu’ils changent leurs vieilles en acier, trop facile à s’en défaire, pensait-il. Quelques dizaines de minutes plus tard ils étaient au poste de police, dans une salle d’interrogatoire, avec deux enquêteurs en habits, l’un jouant les gentils, l’autre les méchants. Ils n’avaient rien contre Sado, et ils lui avaient dit; il avait même le revolver enregistré à son nom, ou plutôt le nom de sa couverture, Hammad Sitoshi, également sa carte de détective privé. Mais maintenant, ils voulaient des informations sur Yasura, pour pouvoir le coincer. Le géant eut un rictus en les écoutant.

Si vous voulez que je vous donne ce genre d’information, il va vous falloir passer un accord avec moi… Le genre d’accord que vous n’êtes pas autorisé à faire. Allez me chercher quelqu’un qui peut.

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Prélude / Re : Les 4 cavaliers [Darthestar]
« le: dimanche 04 juin 2017, 23:26:10 »
Merci pour les notes de bienvenue!

Et j'ai ajouté les profils psychologique, jespère que ce sera suffisant!

8
Prélude / Les 4 cavaliers [Validarthés]
« le: vendredi 02 juin 2017, 23:32:42 »
C’était un jour sans nuage pour le centre-ville de Seikusu et le soleil enveloppait chaque âme de sa chaleur, de sa lumière bienfaisante. Une moto lancée à fond, qui transportait son propriétaire, un homme dont la tête était cachée d’un casque noir jet, émettait un son si puissant qu’à elle seule pouvait troubler la paix de la ville.  Le mystérieux motocycliste brûla un feu rouge, slalomant entre la circulation fluide, mais apparemment trop lente pour lui. S’il s’arrêtait, les civils auraient remarqué une petite diode qui clignotait sur le côté du racer rouge, tout juste en-dessous du réservoir à essence.

Les lunettes anti-UV sur le nez, Matari ne pouvait pas rêver d’une plus belle journée pour s’étendre dans l’herbe d’une petite colline, en périphérie de la ville. Il aimait bien la campagne, car c’était beaucoup plus tranquille qu’en ville la seule chose qui pouvait déranger sa quiétude était le TGV qui passait par les rails à quelques dizaines de mètres plus loin… Ça, et le son de son portable qui était tout juste à hauteur de ses pieds, qui émettait un petit « bleep » à chaque 5 secondes sur une carte numérique de la populaire ville du Japon, un petit point rouge avançait à grande vitesse sur le boulevard Takada, en direction du quartier aisé de la ville. On pouvait également voir trois autres points de différentes couleurs sur la carte. Le point mauve et le bleu semblaient se juxtaposer, se déplaçant probablement en voiture. Le vert, quant à lui, était fixe, très loin de tous les autres. Matari aimait bien la couleur verte.

Dans le VUS noir, c’était le silence complet. Aucun des deux hommes ne parlait, la radio avait été éteinte, seul le bruit étouffé du moteur parvenait à leurs oreilles. Ce n’était pas la première fois qu’ils étaient ensemble dans ce véhicule, mais ils n’avaient jamais rien à se dire, les mots sont inutiles. Ashida et Uroi se concentraient sur ce qu’ils avaient à faire, et c’était très simple. Se tenir à carreaux jusqu’à ce qu’on leur en ordonne autrement. Une petite diode clignotait sur une sorte de manette dans la main d’Ashida, son pouce exerçant une pression sur le bouton. Il ne voulait pas le relâcher, pas maintenant, ça gâcherait tout. Uroi, pour sa part, conduisait ce qu’il pensait être une canne de sardine sur roue, à comparer à ce qu’il conduisait habituellement.

Une petite rue dans les collines menait à une grande maison, valant quelques milliards de Yens. Un riche y vivait probablement, surtout à en juger par le nombre de gardes qu’il y avait dans la cour extérieure. Trois gardes sur les terrasses en hauteur et cinq faisaient des rondes sur l’herbe à l’arrière et dans la cour devant. Les cinq se rencontraient devant le garage aux 7 minutes, exactement. L’intérieur de la maison, bien étrangement, était vide, excepté pour un garde qui protégeait ce qui semblait être une cage d’escaliers menant vers le sous-sol… C’était une journée tranquille pour eux, les gardes en hauteur ne remarquaient même pas le petit drone silencieux qui faisait le tour de la propriété.

ETA?
M moins 10 S. Nous sommes sur la rue sans nom

Matari soupira lourdement. Il était temps de cesser les vacances, le travail appelait. Il frappa quelques touches sur son portable, changeant de fenêtre pour mettre celle du drone en plein écran, puis appuya sur la petite touche de son talkie avec un X  illuminé sur le dessus, sa lueur disparaissant.

Roger that. R, tu peux enclencher la phase 2, le drone est avec toi.

Soudainement trois coups de feu se firent entendre. Trois tirs parfait qui élimina les hommes sur les terrasses, alertant les cinq hommes du bas,  réunis devant le garage comme la procédure le voulait. Les cinq fusils dans les airs cherchaient la source des tirs, ils ne remarquèrent même pas la moto qui fonçaient sur eux jusqu’à ce qu’elle défonça la petite porte en fer et glissa  sur le côté, laissant son propriétaire s’écarter dans une roulade digne des films James Bond, fauchant un des gardes et s’écrasa contre la porte du garage, avant d’exploser, la petite bombe artisanale et l’essence étant suffisante pour faire s’effondrer la lourde porte d’acier. Rapidement relevé, le motocycliste sortit un pistolet de son manteau à moitié ouvert avant de tirer sur les deux qui n’avaient pas été touché par l’explosion, des tirs parfaits, dans le cœur. Les autres n’eurent pas la même chance, ils souffrirent jusqu’au moment où le VUS arrivait, roulant sur leur pauvre carcasse, projeté plus tôt par l’explosion.

Sans un mot, Ashida sorti du VUS, rejetant la manette qu’il tenait plus tôt sur le siège arrière, manette qui contrôlait la bombe-moto. Ce dernier attrapa un fusil d’assaut d’un garde et les deux entrèrent par le garage, laissant Uroi seul dans le véhicule. Une fois le seul garde à l’intérieur éliminé, Ashida et son partenaire, Sadotoru, qui venait de retirer son casque, descendirent silencieusement les escaliers. Une porte avec un verrou électronique les attendait au bas, rien de bien consternant pour les deux  paramilitaires. Ashida sorti de la poche de son manteau une petite quantité de C4, le plaça tout près de la poignée, et la fit sauter… Après s’être mis à l’abri, évidemment. Sadotoru a toujours été fasciné par le travail de son collègue; jamais une si petite quantité de C4 conventionnelle aurait passé au travers de cette porte, mais Ashida s’y connait tellement en explosifs qu’il a réussi à rendre quelque chose de puissant et de stable en quelque chose d’encore plus puissant… Et personne sauf eux sont en possession de cette « super C4 ».

Quelques gardes gardaient cette nouvelle pièce. Une petite grenade s’occupa de la majorité d’entre eux, et Sadotoru s’occupa des survivants. Un endroit sombre, ou l’on pouvait apercevoir des esclaves dans des cages. La majorité d’entre eux étaient des habitants de Terra, certains des humains, mais beaucoup de terranides, des humains/animaux de cette autre planète que tout le monde avait entendu parler, mais que personne n’osait réellement y aller. Beaucoup avaient vu des sauveurs et criaient pour qu’ils les aident à se libérer. Les deux hommes n’en firent aucun cas et se rendirent à leur objet de mission, un ordinateur dans le fond de la longue pièce. Sous les directives de Matari, Sadotoru récupéra les informations qu’il y avait dans le disque dur, pendant qu’Ashida plantait des explosifs sous les cris et les pleurs des prisonniers, comprenant que les deux hommes n’avaient pas été payés pour les sauver, mais bien pour effacer toute trace de leur existence.

Quelques minutes plus tard, le VUS quitta la propriété, avec ses trois occupants. Alors que le bâtiment s’écroula sur lui-même, dans une vibration de la terre, tuant plusieurs dizaines de prisonniers, qui ne seront jamais retrouvés.

C’est ce que fait ce groupe. Personne ne sait comment ils s’appellent, mais tous ceux qui ont besoin d’aide, peu importe la nature de leurs problèmes, peuvent les contacter. Moyennant un prix substantiel.


– Fiches personnelles –
Citer
Nom : Sadotoru Yamada
Âge: 25ans
Description Physique:
Un metre 90cm. pèse 95 kilos. Lieu de naissance : Maroc. Racines parentales : Père marocain, mère japonnaise. Couleur des yeux: bruns. Couleur des cheveux : bruns. Musculature : saillante. Cicatrices : aucune. Marques particulières : tatouage sur l’épaule gauche, représentant l’escadron japonnais dans lequel il a été incorporé, soit une tête de loup. Habitudes vestimentaires : Chandail à manches courtes ajusté, paire de jeans et chaussures de sport. Possède également une montre à cadran noire à son poignet gauche.

Historique :
Sadotoru possède un intellect hors du commun. Très jeune il a été capable de résoudre des problèmes mathématiques qui  autrement étaient à plusieurs années de sa compréhension. Cependant, il n’est pas quelqu’un qui aimait les bancs d’école, alors dès qu’il put, il a rejoint l’armée. Son intellect lui a permis de rejoindre les rangs de l’élite, avec une spécialisation en tir à longue distance; peu de gens savent qu’un sniper est un génie en trigonométrie.

Cependant, ce dernier après quelques années s’est fait expulser de l’escouade, ensuite de l’armée, à cause de son « ambition » mal placée. Il voulait faire beaucoup plus d’argent que ce qu’on lui donnait, il a donc commencé à piller les endroits où il était envoyé. C’est évidemment le vol qui a causé son renvoi.

Il dirige actuellement le groupe qu’il nomme les prédateurs. Personne ne connaît le nom du groupe, ils connaissent seulement quelqu’un qui connait quelqu’un… qui connait quelqu’un.

Profil paychologique:
Comme on dit, la réussite c'est 10% inspiration, 90% transpiration, Sadotoru l'a compris très rapidement.Malgré son côté pour le moins difficile, il est quelqu'un d'exrtrêmement travaillant et perfectionniste, faisant de lui un brillant stratège. Il a toujours une idée dans la tête, tellement que, malgré sa carrière, le terme intellectuel peut lui être accordé. Il possède peu d'égard pour le genre humain, les catégorisant soit comme un client, soit une cible.

Sa dernière évaluation l’a présenté comme un « sociopathe ».

Couverture : Il travaille comme détective privé. Peut-être engagé à cet effet quand vous avez besoin d’aide pour un problème qui ne nécessite pas un tueur, un chauffeur, un hackeur et un artificier.  Son service de détective est beaucoup moins cher que le service de son organisation.



Nom : Matari Aka
Âge: 18 ans
Description Physique:
Un mètre 70cm. pèse 60 kilos. Lieu de naissance : Japon. Racines parentales : Père et mère japonais. Couleur des yeux: noisettes. Couleur des cheveux : châtain. Musculature : svelte. Cicatrices : aucune. Marques particulières : aucune. Habitudes vestimentaires : T-shirt,  veste de couleurs variés, shorts foncé, souliers de course.

Historique :
Un autre génie dans l’équipe. Cependant, ce dernier n’a jamais montré ses capacités à l’école, excepté pour se mettre dans l’eau chaude… Un peu comme hacker dans le terminal du lycée et envoyer des images photoshopées du recteur dans des ébats avec d’autres hommes sur tous les terminaux de l’établissement. Cette dernière fût celle qui mit fin à ses études. Quelques mois passés à hacker des banques, des compagnies différentes chaque semaine pour se garder à flot, monétairement parlant, jusqu’à ce qu’on l’approche pour mettre ses talents à la disposition d’un groupe de mercenaires, se faisant offrir richesses et tous les gadgets électroniques dernier cri qu’il pouvait rêver.

Profil psychologique
Matari, bien que son intellect n'ai rien à envier à Sadotoru, est bien plus tête en l'air que son employeur. C'est un grand gamin qui aime passer ses nuits à fêter, et dormir jusqu'en après-midi. Le hackeur est un animal social qui aime interagir avec ses semblables et exercer son don pour la manipulation. C'est le genre de personne qui arrive à se sortir d'un merdier rien qu'en parlant.

De nature paresseux, il n'aime pas l'ambiance stressante de la ville. Il aime mieux aller se reposer en campagne ou aller à la forêt, où il exerce son "métier", ou simplement des révisions qu'on lui a assigné. Il revient bien vite en ville quand le soleil se couche et que les fêtards s'éveillent.

Son évaluation psychiatrique le révèle comme étant « Instable » et « opportuniste, et ce, sans égard pour le malheur de ses semblables ».

Couverture : Matari s’est inséré sous ordre de Sadotoru dans la base de données des étudiants de Mishima. Il y étudie en tant que sénior du Lycée.





Nom : Uroi Xan Vi
Âge: 32 ans
Description Physique:
Un mètre 85cm. pèse 75 kilos. Lieu de naissance : Chine. Racines parentales : Père et mère chinois. Couleur des yeux: bleus. Couleur des cheveux : rouge (couleur naturelle inconnue). Musculature : svelte. Cicatrices : aucune. Marques particulières : aucune. Habitudes vestimentaires : Complet noir, chemises de couleur variées.

Historique :
Contrairement à ses deux collègues décrits ci-haut, Uroi n’a pas eu de parcours hors du commun. Il a immigré au japon avec ses parents à l’âge de quatre ans, et y habitais depuis. Uroi n’a jamais de problèmes à l’école, ni au lycée, et a gradué en sciences humaines. Durant l’été, il conduisait un taxi à Tokyo, jusqu’au jour ou un ami lui offrit un job avec lui. Il ne savait pas trop qu’est-ce que c’était, mais il savait qu’on lui avait promis beaucoup d’argent. Le travail, il s’en rendit compte très rapidement, s’agissait d’un conducteur pour des putes et des dealers. Rien de bien différent à son job de taxi, mis à part le chèque de paie. Cependant, après quelques temps, on lui ordonna de conduire une minivan pour un groupe de cinq individus qui voulaient aller au musée… En plein milieu de la nuit. C’était évidemment un vol, mais il était encore mieux payé, et ses dettes d’études devenaient de plus en plus grosses, et Uroi ne souhaitait pas s’endetter pour le restant de ses jours, et accepta. Évidemment, le braquage tourna mal, et ils se firent tous attraper par la police, tous sauf Uroi… Il n’avait jamais réellement eut de pratique dans le domaine de la conduite de course, mais il était doué. Donc, au lieu de le punir d’avoir abandonné ses collègues, les hommes pour qui il travaillait lui ont offert un job dans la course de rue.

Son job eut duré plusieurs années, faisant une véritable petite fortune. Il était doué, trop pour beaucoup, qui décidèrent qu’il n’était plus le bienvenue avec eux, tâchant de se débarrasser du chinois. Évidemment, ce dernier fût sauvé par un hacker et un soldat, lui offrant un nouveau job.

Profil psychologique:

Dû à ses héritages pour le moins humbles, le chauffard  possède une humilité telle qu'elle lui permet difficilement d'accepter les compliments, il se contente généralement de pointer ses défauts et passe à autre chose. Est confiant seulement  quand il a entre les mains un volant.

Il doit être le seul conducteue de taxi qui ne parle presque pas avec ses clients, se contentant simplement de leur demander la destination. A également beaucoup de difficulté à communiquer avec la gente féminine.

À ce jour, aucune évaluation psychiatrique fût émise Pour Uroi.

Couverture : Chauffeur à Seikusu. Vous pouvez le rencontrer par hasard en appelant un taxi.



Nom : Ashida Hiro
Âge: 23 ans
Description Physique:
Un mètre 95cm. pèse 88 kilos. Lieu de naissance : Japon. Racines parentales : Père et mère japonais. Couleur des yeux: bleus. Couleur des cheveux : noir. Musculature : svelte. Cicatrices : Brûlure sur l’avant-bras droit . Marques particulières : aucune. Habitudes vestimentaires : habits généralement blancs, par-dessus blanc.

Historique :
Un autre militaire dans le groupe. Cependant, il n’était pas là pour apprendre à manier une arme à feu, mais bien pour comprendre le fonctionnement des bombes. Il avait l’intention d’être le « Picasso des feux d’artifices » comme Ashida aimait dire. Depuis qu’il était petit, il aimait jouer avec l’essence et les allumettes, mettre le feu à une balle de pailles, et cetera. Donc, sous le couvert de ses fonctions d’artificier il travaillait sur des projets personnels, le C4 nouveau genre, par exemple.  Le haut commandement avait entendu parler de ses expérimentations, et des exploits que ça avait engendrés, mais ça n’avait pas été suffisant pour les convaincre de le garder, et il fût emprisonné.  Heureusement pour lui, une autre organisation avait elle aussi entendu parler de ses exploits, et elle était très intéressée par l’enrôler.

Une nuit, un véhicule noir entra dans l’enceinte de la prison alors que tous les appareils électroniques étaient défectueux et repartit avec le prisonnier une quinzaine de minutes plus tard, laissant plusieurs cadavres dans son sillage.

Profil psychologique

Ashida est un véritable passionné de chimie, plus particulièrement des changements rapides, sinonyme en science des explosions. Dès sa tendre enfance, le jeune homme s'amusait avec des pétards, essayant toutes sortes de combinaisons et force, faisant exploser ses camions et autres jouets. En vieillisant, il s'est refermé sur lui même, préférant sa chambre ou les laborayoires du lycée aux fêtes d'étudiants.

Il n'a guère envie de se mêler aux autres humains socialement parlant, et l'avis de recherche contre sa personne le force à rester dans l'ombre, de n'interagir avec personne, et de co tinuer ses expérimentations.

Son évaluation psychiatrique indique qu’il est « instable » et « ne devrait sous aucun cas se retrouver avec des outils dans les mains, au risque du péril d’un grand nombre ».

Couverture : N’en a aucune, il est en cavale et reste dans leur base d’opération secrète.

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