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Messages - Scarlet Witch

Pages: [1] 2 3 ... 8
1
Non seulement Wanda profitait d'un bon bain, mais en plus elle prenait son pied avec deux belles femmes. Shoeb et elle partageaient un délicieux baiser tandis qu'elle glissait ses doigts le long de son corps, allant jusqu'à son intimité pour la titiller avec deux de ses doigts. Quant à Inaya, elle se montra plus joueuse et alla embrasser l'un des seins de la mutante, mordillant son téton.

« Hhhmmm ! »

La magie de la femme suintait par sa peau, encourageant le trio à poursuivre sur la voie de la luxure. Mais les amantes de Wanda ne perdaient jamais une occasion de lui rappeler qu'elle possédait un incroyable destin, et qu'elle était vouée à faire de grandes choses de sa vie. Tous les sorciers et sorcières du monde la connaissaient depuis le jour où elle avait complètement réécrit la réalité lors du « Day of M », il était écrit qu'elle devait devenir la prochaine leader de la communauté magique.

« Aaahhh... je... ooohhh... je ne sais pas... »

La mutante ne pouvait pas s'empêcher de douter. Elle n'avait presque aucune souvenir de son ancienne vie, elle avait réécrit sa mémoire de son plein gré pour oublier toutes les souffrances qu'elle avait vécu et tout le mal qu'elle avait fait autour d'elle. Mais en voulant fuir cette réalité, voilà qu'elle se retrouvait plongée dans une autre qui était également inquiétante. Entre Méphisto qui gardait les âmes de ses enfants et Fatalis qui voulait faire d'elle la reine de Latvérie, elle se sentait perdue. Heureusement, le sexe l'aidait à se calmer.

« Inaya... hhhmmm... n'oublie pas... de respirer. »

Mais elle ne semblait pas dérangée par l'eau outre-mesure, alors Wanda concentra son attention vers Shoeb. Ce délicieux baiser qu'elle partageait avec elle était des plus agréables, et sa langue dansait avec la sienne dans un ballet sensuel. La sorcière plongea ses mains sous l'eau, l'une alla caresser les cheveux d'Inaya, et l'autre alla palper le fessier de Shoeb. Comme le reste de son corps, son derrière était très agréable à caresser, elle le devinait bien rond et potelé.

« Oui... ooohhh... quel délice... hhhmmm... »

Un bain aussi agréable que celui-là risquait vite de devenir une habitude quotidienne pour Wanda si elle prolongeait son séjour au château de Fatalis.

2
En entrant dans la salle de bains, Wanda pensait juste à prendre un bon bain et à se détendre, mais elle se rendit vite compte qu'elle était devenue assez connue au château. Deux femmes qui se lavaient dans le même bassin qu'elle virent à sa rencontre et se présentèrent sous les noms de Sheob et Inaya. La première était une sorcière latvérienne, la seconde était une sorcière appartenant à une délégation wakandaise. Elles saluèrent toutes deux la mutante avec un baiser sur les lèvres, une façon de dire bonjour qui n'était pas pour lui déplaire.

« Ravie de vous rencontrer. »

Wanda pouvait sentir l'énergie magique qui s'échappait de leurs corps et qui témoignait de leur niveau de puissance en sorcellerie. Sheob lui expliqua qu'elle pouvait sentir l'hésitation dans son esprit, et ajouta que la puissance magique dont elle disposait faisait d'elle la reine des sorcières, l'héritière de la déesse Sha.

« On m'a déjà parlé de cette déesse mais... qui est-elle au juste ? »

Sheob et Inaya se lancèrent dans une explication pour tenter de présenter au mieux la déesse Sha : sa légende, son culte, ses pouvoirs... Plus elle écoutait, plus Wanda était fascinée par ce qu'elle entendait. Cette divinité semblait terriblement puissante d'après les dires des deux femmes, une puissance qui attirait la mutante sans qu'elle sache vraiment pourquoi. Était-ce de la fascination comme celle qu'elle avait ressenti en entrant dans la salle des orgies du Doom's Club, ou bien convoitait-elle sa puissance ? En tout cas, quelque chose l'attirait.

« Ç’a l'air... très intéressant. Mais vous savez, je ne crois pas que je sois destinée à de si grandes choses. Je ne suis qu'une sorcière parmi tant d'autres, je ne pense pas que j'aie ce qu'il faut pour être une reine. »

En revanche, elle savait qu'elle avait ce qu'il fallait pour s'amuser avec ces deux beautés nues. Elle posa une de ses mains sur la poitrine de Sheob, malaxant avec plaisir son sein rond et moelleux, et son autre main alla se mettre derrière la tête de la femme, se perdant dans ses longs cheveux noirs. Elle alla trouver ses lèvres pour l'embrasser tendrement, préférant les longs mouvements langoureux de langue.

« Hhhmmm... on vous a déjà dit que vous êtes... incroyablement belle ? »

Pour ne pas qu'Inaya soit jalouse, Wanda laissa Sheob un petit instant pour aller embrasser la wakandaise, une main sur sa poitrine et l'autre dans ses cheveux.

« Aaahhh... vous aussi... vous êtes superbe. »

Ce qui n'était à la base qu'un bain tranquille était sur le point de se transformer en session de plaisir.

3
Wanda aurait voulu se rendre dans ce nouveau club dès maintenant, mais Anna lui expliqua que le club n'était pas ouvert à cette heure-ci. Contrairement au Doom's Club, ce club-là n'ouvrait que dans la soirée. De plus, la comtesse avait encore beaucoup de travail à abattre pour cette journée et n'avait donc pas le temps de jouer avec son invitée. La mutante eut quand même droit à un délicieux baiser, sa langue allant danser avec celle de la femme, puis elle fut invitée à aller visiter le château. Cela donnerait le temps à Anna de préparer leur entrée au club et de finir son travail pour avoir la soirée de libre. Et si elle n'avait pas envie de visiter, elle pouvait toujours aller voir les courtisanes du château pour passer le temps en galante compagnie.

« Dans ce cas je te laisse travailler. A ce soir Anna. »

Wanda quitta le bureau de la comtesse et se mit à déambuler dans le château. Elle ne cherchait pas un endroit en particulier, elle voulait juste visiter.

La mutante passa dans les couloirs et les escaliers, découvrant au fur et à mesure l'étendue du château. Évidemment, l'endroit était richement décoré et il y avait sur presque tous les murs des décorations en hommage au dirigeant latvérien. Peintures, fresques, vitraux... le bon docteur était omniprésent. De temps en temps, elle hésitait à ouvrir certaines portes, mais elle avait tellement peur de tomber sur des situations gênantes qu'elle s'en abstint. En arpentant les couloirs, elle tomba souvent sur des domestiques en train de faire le ménage. Les majordomes étaient très séduisants dans leurs élégants costumes, et les maids étaient carrément sexy dans leurs tenues de travail. Elle fut tentée d'utiliser sa magie pour charmer une de ces jolies demoiselles, mais elle ne voulait pas leur attirer des ennuis juste pour satisfaire ses envies.

Après un moment à l'intérieur, Wanda alla se balader à l'extérieur du château, en particulier dans les jardins. Là aussi, on pouvait trouver des statues de Fatalis, en pierre ou en feuilles, toujours dans le but de rappeler qui était le patron ici. La mutante s'assit sur un banc et resta un moment à profiter du quasi-silence de ces lieux, seulement rompu par le chant des oiseaux, le bruissement des feuillages dans le vent et le bruit des outils de jardinage. Elle se laissa bercer par cette ambiance de calme et de paix pendant une bonne dizaine de minutes avant d'avoir une autre idée.

« Avec toute cette activité depuis ce matin, je ferais bien d'aller me laver. »

Elle avait toujours sur elle le plan que lui avait donné Anna. Avec ce plan et quelques indications des domestiques du château, elle s'orienta dans l'immense demeure de Fatalis jusqu'à la porte de la salle de bains des femmes. En entrant, elle arriva dans une pièce où se trouvait des bacs dans lesquelles elle pouvait laisser ses vêtements, des serviettes pliées et mises à disposition dans un coin, ainsi qu'une porte menant à la vraie salle de bains. Pas besoin de bac pour elle, elle se contenta de faire disparaître sa tenue, prit une serviette pour couvrir sa nudité et passa la porte. La salle de bains des femmes était une grande pièce dans laquelle se trouvait plusieurs grands bains ainsi que des douches individuelles. Plusieurs femmes étaient déjà présentes, et aucune ne semblait avoir de mal à s'afficher en tenue d'Eve devant les autres. Certaines se détendaient dans les bains, d'autres prenaient des douches, et d'autres se lavaient le corps et les cheveux en groupe. La mutante avait pris une serviette de peur qu'on ne la regarde de travers si elle se mettait nue, mais puisque personne ne semblait avoir de problème avec ça, elle la fit vite tomber pour dévoiler son magnifique corps.

Tant de beauté... je vais avoir du mal à me retenir.

Wanda alla tranquillement se mettre dans l'un des grands bains communs et savoura le contact de l'eau chaude et parfumée sur sa peau. En plus d'être une détente physique, ce bain lui procurait aussi du plaisir émotionnel puisqu'elle pouvait regarder sans gêne les corps nus et humides de toutes les femmes autour d'elle. D'ailleurs, sa magie commençait déjà à faire des siennes sans qu'elle s'en rende compte.

4
Wanda savait que les espoirs que Fatalis plaçaient en elle devaient être justifiés, mais elle manquait encore de confiance en elle pour accepter une telle responsabilité. Heureusement, le dirigeant latévrien accepta de lui laisser la journée pour réfléchir à ce qu'elle voulait faire, tout en l'invitant à se rendre à la bibliothèque pour en apprendre plus sur l'histoire du pays et sur les sorcières.

« Bien, je le ferai. »

La mutante salua respectueusement son hôte et quitta ses quartiers. Une fois la porte franchi, elle sentit toute sa tension s'envoler d'un seul coup. Elle laissa cette question de souveraineté en suspens pour le moment et se téléporta dans le bureau d'Anna. Les deux femmes s'embrassèrent assez longuement, puis la sorcière entra dans le vif du sujet.

« Anna, tu es libre pour m'emmener au club dont tu m'as parlé ce matin ? »

Wanda avait vu la brochure de l'établissement après leur séance de galipettes nocturnes, mais la comtesse ne semblait pas très sûre d'elle quant à l'idée d'emmener son invitée dans ce club. Selon elle, l'endroit était axé sur le SM et le sexe intense, et elle avait peur que la femme soit choquée par ce qu'elle pourrait y découvrir.

« Me choquer ? Hier, tu m'as laissée me faire saillir par un troupeau d'hommes en rut qui m'ont pris en gang-bang pendant des heures alors que je portais une tenue en latex. Niveau sado-maso, je crois que ça suffit pour ne plus me choquer. »

Et de toute façon, la mutante avait trop envie d'explorer un peu plus la ville et de se sortir de la tête ses angoisses par rapport à la demande du docteur. Et pour finir de convaincre la femme, elle dut utiliser un peu de magie.

« Allez comtesse... emmenez moi dans ce club, et montrez moi à quel point vous êtes une bonne maîtresse. »

Quand elle était en présence d'Anna, elle ne pensait plus qu'au plaisir.

5
Wanda n'arrivait pas à comprendre Fatalis l'aurait choisi elle, une femme perturbée et qui n'y connaissait strictement rien en politique, pour devenir la nouvelle reine de son pays. Il fallait qu'elle en ait le cœur net. Dans un premier temps, il lui répondit que c'était surtout une question de fierté, qu'il voulait rectifier le tir et mener à bien la mission qu'il avait accepté de prendre. Puis il développa ses propos en lui expliquant qu'il avait vu autre chose en elle. Tout comme lui, elle était enfant de tzigane et sa mère avait été persécuté comme la sienne l'avait été. Lui-même avoua qu'il n'avait pas les qualités d'un grand dirigeant, qu'il avait tout appris sur le tas et qu'il avait su s'entourer des bonnes personnes pour être conseillé et appuyé. Il laissait les affres de la politique à son gouvernement, sa volonté première était de faire de la Latvérie un refuge pour les sorcières. Et de son point de vue, la sorcière qu'il avait devant lui remplissait tous les critères requis pour être une bonne dirigeante. Cependant, ce n'était pas le point de vue de l'intéressée.

« Docteur, je suis vraiment flattée de l'intérêt que vous me portez, mais... je ne veux pas être reine. »

Aussi redevable qu'elle soit envers Fatalis, on lui en demandait quand même beaucoup. Elle ne devait pas se laisser embarquer là-dedans sans rien dire.

« Je ne suis pas venue en Latvérie pour en devenir la reine, je suis ici parce que vous m'aviez promis que vous m'aideriez à retrouver mes enfants. J'aime vraiment ce pays, j'aime les gens qui y vivent et les divertissements qu'il propose, mais je ne suis pas la personne qu'il vous faut. Je veux bien utiliser ma magie pour accomplir vos souhaits dans la limite de mes pouvoirs, mais pas pour diriger un pays. »

Cependant, elle sentait bien qu'il allait falloir plus que quelques paroles pour le convaincre. Il continua à donner des arguments pour essayer de ranger la mutante à son avis, mais cette dernière était surtout influencée par ce qu'elle considérait comme son obligation envers son hôte. Du coup, elle lui donna l'impression de ne pas complètement fermer la porte.

« Bon, je vous promets d'y réfléchir. Mais est-ce que je peux au moins avoir cette journée pour y penser ? »

Aujourd'hui, Anna devait m'emmener visiter la ville puis me conduire dans un nouveau club tout aussi coquin que le Doom's Club. Elle ne m'avait pas dit quel genre de club c'était, mais avec elle je pouvais m'attendre à tout.

6
Wanda était très perturbée après ce baiser, mais Anna sut exactement comment la calmer. D'abord, elle lui assura que le docteur Fatalis n'était sûrement pas amoureux d'elle, et appuya ses propos en prenant pour exemple la relation qu'il y avait entre les deux femmes. Elles n'étaient pas amoureuses, et pourtant elles s'embrassaient et se faisaient l'amour régulièrement depuis des mois. La mutante ne savait pas exactement ce qu'elle ressentait pour la comtesse, donc impossible de savoir si c'était bien de l'amour ou juste une attirance physique. Et de toute façon, elle ne lui laissa pas le temps d'y réfléchir avant de lui expliquer que les occidentaux avaient tendance à assimiler facilement sexe et amour, une tendance qui n'existait pas en Latvérie avec les mœurs légères et la sorcellerie. Elle laissa même entendre qu'une autre femme occupait le cœur du bon docteur.

Une autre femme ?

Mais la suite fut encore plus intéressante. Anna expliqua à Wanda que Fatalis la voyait plus comme une personne précieuse pour l'avenir de la Latvérie afin que le pays redevienne une terre d'asile pour les magiciens et les sorcières. Elle lui révéla même que le dirigeant latvérien voulait la mutante à la tête du pays, que son nom devienne le phare qui permettrait de rallier les utilisateurs de magie du monde entier.

« Tu... tu crois vraiment que c'est ça ? »

Elle, reine de Latvérie ? Devenir un symbole pour les mages et les sorcières du monde entier ? Était-ce vraiment possible ? La mutante ne se voyait que comme une citoyenne ordinaire du pays bien qu'ayant quelques traitements de faveur en plus. Mais de là à occuper un poste avec de hautes responsabilités et régner sur un pays...

« Anna, je ne peux pas être reine. Je n'y connais rien en politique, et puis jamais les Latvériens n'accepteront qu'une étrangère les dirige. »

Cependant, ce n'était pas à elle qu'elle devait expliquer cela. Elle n'avait fait que lui donner les informations, elle n'avait aucun pouvoir de décision.

« Il faut que je parle au docteur. »

Elle embrassa Anna pour la remercier de ses bons conseils et se dépêcha de retourner dans le laboratoire du docteur Fatalis. Le dirigeant latévrien était toujours là, avec son visage fraîchement restauré.

« Docteur ? Je peux entrer ? »

Wanda entra dans le labo un peu inquiète de la façon dont elle allait être reçue après s'être sauvée.

« Docteur, je vous dois des excuses. Je n'aurais pas dû m'enfuir, c'est juste que... vous m'avez surprise. Mais il faut que nous parlions. Anna m'a fait... des révélations, et je veux m'assurer qu'elle a dit la vérité.
Pourquoi m'avez-vous fait venir en Latvérie ? Était-ce juste pour me cacher du S.H.I.E.L.D, ou bien pensiez-vous à autre chose ? »


Pas question qu'elle s'en aille avant d'avoir ses réponses.

7
Wanda venait de débarquer dans un salon d'essayage alors qu'une femme était en train, avec l'aide de deux servantes, d'enfiler une magnifique robe blanche d'apparence très luxueuse. On aurait presque dit une robe de mariée. Les servantes sursautèrent en la voyant arriver et la mutante s'en excusa.

« Pardon, je ne voulais pas vous faire peur. J'étais à la recherche de... »

Et justement, c'était Anna qui était en train de s'habiller. Comprenant tout de suite que quelque chose n'allait pas, elle alla prendre la sorcière dans ses bras pour la câliner doucement. Wanda lui expliqua tout ce qu'elle avait fait lors de son entretien avec Fatalis, depuis la vision de Méphisto jusqu'à ce fameux baiser qui l'avait poussée à filer à toutes jambes. Anna l'écouta jusqu'au bout sans rien dire, puis lui demanda si ce baiser lui avait déplu. Cette question plongea la mutante dans la confusion.

« Je... en fait, je n'en sais rien. »

Wanda s'était enfuie juste après ce baiser, agissant sous le coup de la panique sans même réfléchir à ce qu'elle faisait. Mais au fond, elle n'avait pas pensé à se demander ce qu'elle avait ressenti suite à cet improbable et soudain contact de ses lèvres avec celles de son hôte.

« Tout ça s'est passé tellement vite. Il m'a prise par surprise, je n'ai pas su quoi faire. Je... je ne crois pas que je l'aime. Si je l'ai laissé m'embrasser, c'est juste parce que je me sens redevable envers lui. Mais je ne l'aime pas. Enfin... je ne crois pas. »

Qu'était-elle censée faire ? Si elle retournait voir Fatalis maintenant, elle ne saurait pas quoi lui dire. Mais elle ne pouvait pas non plus l'ignorer éternellement. Et si elle quittait la Latvérie, le S.H.I.E.L.D ne mettrait pas longtemps à lui tomber dessus. Elle semblait n'avoir aucune option.

« Anna, je... je ne sais plus quoi faire. Que me conseilles-tu ? »

8
Wanda pensait réellement qu'elle ne pourrait rien offrir à un homme comme Fatalis. Après tout, il avait déjà la richesse, le pouvoir, une grande maison et son propre pays. Comment pourrait-elle lui apporter plus ? Et pourtant, il avait bien envie de quelque chose. Il guida les mains de la mutante pour les poser sur son visage gravement mutilé et lui expliqua que ces blessures n'avaient jamais pu être guéries, que ce soit grâce à la chirurgie ou à la magie. Seul une puissance capable de modifier la réalité pourrait soigner son visage meurtri.

« Je... je peux essayer. »

La sorcière ferma les yeux et se concentra pour puiser dans sa magie. Sous ses doigts, elle pouvait sentir la peau craquelée et brûlée de Fatalis qui réagissait aux ondes magiques la parcourant. L'homme grognait, probablement à cause de la douleur, mais il l'encouragea à continuer sans craindre de lui faire mal. Alors elle continua à puiser dans ses pouvoirs pour transformer le visage de son hôte. Au début, elle pensait que ce serait une tâche facile, elle avait déjà utilisé sa magie pour transformer l'apparence d'une personne, mais très vite elle sentit une résistance magique se mettre en place. Elle dut faire des efforts pour que ses pouvoirs pénètrent la chair de Fatalis, remodelant les traits de son visage, redressant ses dents et réhydratant sa peau. Elle continua pendant de longues minutes, s'efforçant de contourner les barrières magiques qui avaient gravé ces terribles blessures sur le visage du docteur. Et finalement, quand les derniers obstacles cédèrent sous sa magie, une grande lumière éclaira le visage de Fatalis et les détecteurs de magie de la pièce s'arrêtèrent.

Bien que ce ne fut pas une tâche facile, elle avait réussi. Son hôte avait retrouvé son beau visage à la peau lisse, et bien qu'ayant toujours l'air sévère, il avait aussi l'air plus chaleureux.

« Ouah. Docteur, votre visage est... magnifique. »

Wanda admira les jolies courbes de son visage guéri, mais elle ne vit pas venir la suite. Fatalis renifla son odeur dans son cou puis l'embrassa sur la bouche. Au début, elle ne sut pas quoi faire, mais très vite elle s'éloigna.

« Docteur, je... »

La mutante avait été réduite au silence par ce baiser soudain. Elle ne savait plus quoi dire ou quoi faire, et dans la confusion, elle choisit de s'enfuir. Elle passa la porte du laboratoire puis continua de courir en direction des escaliers, qu'elle descendit en trombe. Elle était perdue et ne savait plus où donner de la tête. Dans sa confusion, une seule image claire s'affichait encore dans son esprit : l'image d'Anna. Et avant qu'elle s'en rende compte, elle se téléporta là où se trouvait la comtesse, voulant à tout prix lui parler de ce qui venait de se passer.

9
Wanda se sentait perdue. Elle avait plus que tout envie de retrouver ses enfants et de pouvoir à nouveau les serrer dans ses bras, recomposer sa famille, vivre heureuse comme elle le méritait. Mais pour le faire, elle serait tôt ou tard obligée d'affronter Méphisto, un démon si puissant que sa seule image avait suffi à terroriser la mutante. Elle devait choisir ce qui était le plus fort en elle : son désir maternel ou son instinct de survie. Heureusement, Fatalis savait quoi dire pour la rassurer. Il commença par lui faire relativiser la notion d'impossible pour une femme qui avait réussi à faire disparaître la quasi-totalité des mutants de la Terre et qui avait réécrit la réalité de nombreuses fois. Il se mit ensuite à lui raconter son histoire, sans omettre le moindre détail. Il laissa même son esprit ouvert, et la sorcière put utiliser sa magie pour voir la scène se dérouler sous ses yeux comme si elle y était. Elle vit les parents de Fatalis fuir pour échapper aux soldats, sa mère se sacrifier pour sauver son enfant en donnant son âme au démon suprême, l'éducation du jeune garçon par son père pour devenir un scientifique, la mort de son père de la main du roi Vladimir, son voyage vers le Tibet pour découvrir les arcanes de la sorcellerie, son combat contre le régime monarchique latvérien et son ascension vers le pouvoir. Mais dans cette vision, elle découvrit aussi une autre facette de celui qu'elle prenait pour un imposant et infaillible leader. Derrière son armure, Fatalis n'était qu'un homme qui avait connu les horreurs de la guerre, et dont l'ambition et les rêves l'ont poussé à se dépasser. Il était fort mais faillible si on savait où frapper. Et surtout, nombre de ses désirs restaient encore inassouvis.

Tout en assurant à Wanda que rien ne leur serait impossible s'ils s'en donnaient les moyens, Fatalis retira son masque et lui montra son visage défiguré, profondément marqué par ses travaux passés. Il regardait la mutante avec assurance, et même si cette dernière était troublée par ce qu'elle voyait, elle n'arrivait pas à détacher son regard de celui du docteur. Certes il faisait peur à voir, mais elle savait maintenant que ce visage blessé était celui d'un homme au cœur endurci. Elle posa sa main sur la joue de l'homme, sentant sa peau brûlée sous ses doigts.

« Étant mère moi aussi, je sais qu'elle ne se souciera pas de votre apparence au point de ne plus vous aimer. Un parent sait voir au-delà de la surface quand il s'agit de son enfant. Elle a sacrifié son âme pour vous sauver la vie, vous savoir sain et sauf lui suffira. »

Pour sa part, elle savait que revoir ses enfants la remplirait de bonheur, peu importe quelle apparence ils auraient en revenant. Elle voulait juste pouvoir les embrasser à nouveau.

« Docteur, laissez-moi vous promettre une chose. Si nous parvenons à trouver un moyen de ramener mes enfants, je vous jure de mettre mes pouvoirs à votre service pour vous rendre l'âme de votre mère. Je ne sais pas si je vous serai utile, mais je ferai tout ce que je peux. »

C'était bien la moindre des choses après tout ce que le dirigeant latvérien avait fait pour elle. Mais elle avait l'impression qu'elle pouvait faire plus, surtout avec un pouvoir comme le sien.

« Est-ce que... je peux faire autre chose pour vous ? »

10
Fatalis avait de bonnes nouvelles pour Wanda. Après de longues recherches, il avait enfin réussi à retrouver la piste de ses enfants.

« Vraiment ? C'est merveilleux. »

La femme suivit le docteur jusqu'à l'étage, rejoignant une salle circulaire dans laquelle brillait des glyphes magiques. En bougeant ses gants, Fatalis fit apparaître des images montrant des champs de lave en fusion au milieu d'un paysage rocailleux et d'un ciel cramoisi. C'était dans ces terres désolées que le dirigeant latvérien avait retrouvé la trace des jumeaux de Wanda, Thomas et William. En entendant leur nom, la sorcière sentit sa magie pulser dans ses veines. Le temps avait beau être passé, le souvenir de sa douleur était encore bien présent. Et ça n'allait pas s'améliorer, parce que Fatalis commença à lui expliquer que l'âme de ses enfants se sont retrouvées liées à celle d'un très puissant démon en Enfer : Méphisto, le prince infernal qui trône au sommet de la hiérarchie démoniaque. Rien qu'en voyant sa représentation en image, la mutante fut parcourue d'un terrible frisson.

« Mes enfants sont liés à... cette horreur ? »

Elle ne sut plus quoi dire après ça. Cette seule image de Méphisto lui faisait une peur bleue, alors si elle devait faire face au vrai pour retrouver ses enfants... Comment allait-elle faire ?

Après avoir réalisé à quel point la tâche qui l'attendait allait être ardue, la détermination de Wanda à retrouver ses enfants se heurta de plein fouet à sa peur de devoir affronter Méphisto, provoquant en elle un grand trouble émotionnel. Elle n'était plus sûre de ce qu'elle voulait ou de ce qu'elle devait faire, et dans son désarroi, elle se tourna vers Fatalis.

« Docteur, c'est... que puis-je faire contre un tel monstre ? J'ai vraiment envie de revoir mes enfants, mais ça c'est... c'est impossible. »

Mais si quelqu'un pouvait lui apporter une solution, c'était bien lui.

11
Wanda s'amusait beaucoup avec Anna, mais elle ne devait pas oublier Fatalise pour autant. Le dirigeant latvérien était son hôte, elle devait être respectueuse envers lui pour lui montrer sa reconnaissance. La comtesse accepta de libérer sa soumise, puis annonça qu'elle allait prendre un très long bain pour se remettre de cette matinée riche en sexe. L'idée intéressait aussi la mutante, qui essaya de l'accompagner.

« Je ne devrais pas aller me présenter devant le docteur sans être présentable avant. Un bon bain ne serait pas du luxe après tous ces efforts. »

Mais Anna la rappela vite à l'ordre. Elles auraient tout le temps de prendre un bain ensemble plus tard, mais Fatalis tenait à la voir dès maintenant alors mieux valait éviter de trop le faire attendre.

« Tu as raison. Mais je vais quand même me rendre présentable d'abord. »

Grâce à ses pouvoirs, elle fit disparaître la sueur et les fluides sexuels qui maculaient sa peau, et remplaca son odeur de transpiration par une bonne odeur de rose. Elle changea également de tenue, revêtant son traditionnel costume de Scarlet Witch. Anna lui donna un plan du château et lui indiqua que les quartiers de Fatalis se trouvaient au sixième étage. La sorcière la remercia avec un baiser et fila.

Sur le chemin vers les quartiers de son hôte, Wanda s'étonna de ne croiser aucun serviteur. D'habitude, le château fourmillait d'activité, mais là il n'y avait personne. Elle ignorait que la totalité des employés du manoir étaient en train de faire l'amour ou de se caresser en solitaire, influencés par les ondes magiques de la mutante. Elle fut aussi étonnée de voir à quel point ce château était un mélange réussi entre construction traditionnelle et mécanismes modernes. Les portes coulissantes et les détecteurs se fondaient parfaitement au milieu des murs en pierre et des vitraux. Cependant, on pouvait clairement voir à quel point Fatalis était un dirigeant égocentrique. La moitié des peintures, des vitraux et des statues dans les couloirs le représentait.

Arrivé dans les quartiers du docteur, Wanda entra timidement. Même si elle était en Latvérie depuis un moment, elle était toujours intimidée par cet homme. Le dirigeant latvérien observait la capitale depuis une fenêtre, les mains croisées dans le dos.

« Euh... bonjour docteur. »

Fatalis lui répondit directement que ses pouvoirs avaient dépassé les limites de ses boucliers magiques, et que tous les couples de la ville étaient actuellement en train de faire l'amour.

« Oh mon dieu. »

Elle espérait que son plaisir ne lui avait pas fait faire de grosse bêtise. Tout une ville qui s'arrête d'un seul coup parce que tous ses habitants s'envoient en l'air au même moment, c'était sûrement une situation inédite dans le monde. Mais à première vue, Fatalis n'avait pas l'air fâché. Il présenta même ses excuses à son invitée de l'avoir interrompu dans ses activités dès le matin. Il voulait s'assurer que tout allait bien pour elle.

« Oh non, ne vous excusez pas. C'est bien la moindre des choses que je me présente devant vous lorsque vous m'appelez. »

Wanda se sentait toujours toute petite devant cet homme, alors qu'elle avait pourtant un pouvoir suffisant pour faire disparaître son pays. Ce grand homme au masque de fer représentait pour elle l'incarnation vivante de la force et de l'autorité. En plus, c'était grâce à lui qu'elle avait pu rencontrer Anna et découvrir la Latvérie. Nul doute qu'elle ne pourrait jamais s'en prendre à lui.

« Je vais bien, merci de vous en soucier. Je crois que cette petite virée au Doom's Club m'a aidé à me libérer de certaines tensions que je gardais en moi depuis longtemps. Désormais je comprends un peu mieux mes pouvoirs, et je vais pouvoir en apprendre plus avec l'aide d'Indra. Et tout ça, c'est aussi grâce à vous. Alors merci. »

La mutante fit une élégante révérence devant son hôte.

« La vie dans ce pays est merveilleuse, et je sais qu'elle le sera encore plus aussitôt que j'aurai retrouvé mes enfants. »

Après tout, c'était bien pour ça qu'elle avait suivi Fatalis à l'origine.

12
La magie qui suintait du corps de Wanda affectait tout le monde dans le château, mais surtout Anna. La mutante pouvait sentir la puissance et la perversité de la femme dans chacun de ses mouvements de bassin, dans la façon dont elle l'étranglait avec son collier, et dans ses gémissements de plaisir. Et si la comtesse était heureuse, son amante n'était pas en reste non plus. La sorcière aboyait et couinait à chaque seconde qui passait, son corps inlassablement gagné par des vagues de plaisir ininterrompues. Rien ne semblait pouvoir interrompre le plaisir qui la noyait. Même après que sa maîtresse ait atteint l'orgasme et ait expulsée son jus d'amour, elle reprit ses pénétrations de plus belle.

« Aaahhh... waaaf... waf waf... ooouuuhhh ! »

Le corps de Wanda était tellement malmené qu'elle n'arrivait plus à distinguer la souffrance du plaisir. Son corps était tout simplement étouffé sous de multiples et incompréhensibles successions de signaux nerveux qui lui disaient tous la même chose : elle adore ce qu'elle ressent. La douleur de la sodomie, le manque d'oxygène, tout ça ne fait que la rendre plus heureuse. On pouvait dire qu'elle avait bien compris l'état d'esprit d'une masochiste. Elle avait presque envie de supplier comme une grosse salope, mais elle voulait surtout rester dans son rôle de chienne, et les chiens ne parlent pas.

Torturée pendant encore de longues minutes, Wanda laissa le plaisir noyer son corps jusqu'à ce qu'il ne puisse plus tenir. Dans un long couinement de joie, la mutante atteignit l'orgasme.

« Oui ! WWWAAAHHH !!! »

Sa cyprine, qui coulait déjà abondamment dans sa tenue de latex, jaillit avec force de sa vulve. Elle était tellement mouillée qu'elle se sentait encore plus sale qu'elle ne l'était déjà, de quoi l'exciter encore plus. Après l'avoir faite jouir, Anna laissa à sa soumise le temps de reprendre un peu de forces, ce qui lui permit de parler.

« Aahh... maîtresse... le sexe avec vous... est délicieux. Mais peut-être... que je devrais... aller voir... le Docteur Fatalis. »

Si son hôte avait demandé à la voir dans ses quartiers privés, c'était sans doute pour lui parler de quelque chose d'important. Combien de temps pouvait-elle se permettre de la faire attendre ?

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Visiblement, Anna n'avait pas du tout apprécié que Wanda utilise sa magie sur elle pour transformer son entrejambe en cascade de cyprine. La sorcière s'amusait de la voir soupirer sur place tandis que son jus intime coulait le long de ses cuisses, et elle l'apprécia encore plus quand sa maîtresse vint abattre le fouet pile dans l'espace entre ses deux fesses en la traitant de rebelle.

« AAAHHH ! »

Apparemment, le fouet ne lui suffisait plus, alors elle alla chercher un collier relié à une laisse, qu'elle enfila autour du cou de sa soumise. Cette dernière couinait de joie en voyant que son amante avait pris au pied de la lettre sa déclaration d'être une chienne qu'il fallait dresser. Mais le collier n'était que le début, car la mutante sentit ensuite un impressionnant membre masculin taper contre ses fesses. Elle sentait bien que c'était un phallus en plastique, mais sa taille n'en restait pas moins colossale.

« Oh maîtresse... si vous me sodomisez... avec une chose pareille... haaannn... je vais devenir folle. »

Folle de désir bien sûr. Wanda sentit le vit lui pénétrer l'anus d'un coup sec, faisant naître chez elle une terrible douleur, rapidement suivi d'un plaisir tout aussi grand. Anna l’enculait sans aucun ménagement, et pour bien asseoir sa domination, elle utilisait aussi le collier qu'elle avait passé autour du cou de sa chienne. Dès qu'elle tirait sur la laisse, le collier se serrait autour de son cou jusqu'à l'étrangler et bloquer sa respiration. C'était un outil redoutable pour dresser une chienne rebelle comme Wanda.

« Ggaahh... maîtresse... aaahhh... »

A chaque seconde, Wanda se sentait sombrer plus profondément dans le vice et la dépravation. Elle qui avait passé tant de temps à vivre sans se rappeler de qui elle était vraiment, à n'avoir comme vie sociale que le contact avec les clients dans le restaurant où elle travaillait, voilà qu'elle était devenue le sextoy d'une noble latvérienne qui prenait un malin plaisir à lui faire endurer une délicieuse souffrance. Sacré changement de vie.

Quand elle n'était pas étranglée par son collier, Wanda hurlait à pleins poumons pour que tous ceux qui pouvaient l'entendre sachent qu'elle prenait un pied monstrueux avec Anna. Entre la sodomie et les fessées, son cul était tellement douloureux qu'elle ne parvenait plus à penser à autre chose, et la douleur lui donnait encore plus de plaisir.

« Aaahhh... ooouuuiii ! Aaahhh... waf... waf waf ! »

Très vite, les cris laissèrent place aux aboiements, tandis que la mutante se fondait de plus en plus dans son rôle de chienne. Plus son amante avait d'emprise sur elle, plus elle trouvait le sexe délicieux. Jamais elle n'aurait cru qu'elle puisse être masochiste à ce point, mais alors qu'elle était à quatre pattes sur le sol de ce donjon, à se faire enculer avec un gode-ceinture par une femme qui prenait plaisir à l'étrangler et à lui faire mal aux fesses, elle réalisa qu'elle était en train de découvrir une nouvelle dimension du sexe.

Ce qu'elle ignorait, en revanche, c'était que ses aboiements libéraient des ondes de magie dans l'air, qui parvenaient à traverser les épais murs de pierre du donjon pour aller se répandre dans tout le château. Tous ceux qui s'y trouvaient étaient susceptibles de ressentir, dans leur for intérieur, l'intensité du plaisir qui parcourait le corps de la sorcière, de quoi leur donner à leur tour envie de s'envoyer en l'air.

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Anna était prête à punir Wanda, mais avant il lui fallait le matériel adapté. La mutante se concentra une seconde, et fit disparaître la nuisette de la comtesse avant de faire apparaître sur son corps une belle tenue en latex, la couvrant de la tête aux pieds. Ensuite, elle retira sa propre nuisette pour pouvoir enfiler sa combinaison de latex rouge, la même qu'elle avait porté la veille lors de son gang-bang au Doom's Club. Enfin, elle se téléporta avec Anna dans une autre pièce, plus adaptée à ce qui allait suivre : un donjon sexuel qui servait autrefois à torturer les prisonniers, reconverti aujourd'hui en pièce de plaisir pour les vilaines salopes masochistes comme elle. Sa maîtresse finit de la préparer en lui attachant des chaînes aux poignets et en la mettant à genoux.

« Oh maîtresse, j'ai hâte de me faire dresser. »

Après ça, Wanda sentit le fouet d'Anna s'abattre brusquement sur son cul. Et malgré la présence du latex qui empêchait le contact direct avec la peau, la sorcière sentait bien le tranchant de l'outil qui lui malmenait les fesses.

« Ooohhh oui ! C'est si bon ! Encore ! »

En réponse à son plaisir, sa magie continua à agir. Son dernier sortilège, qui était censé rendre Anna de plus en plus accro au fait de fesser sa soumise chaque fois que sa main toucherait ses fesses, envoyait maintenant des ondes de plaisir pur à travers le fouet chaque fois qu'il s'abattait sur le cul de la femme. Et ces ondes de plaisir allaient ensuite se répandre dans le corps de la comtesse, l'encourageant à continuer de frapper. Un déroulé différent, mais le même résultat.

« Aahh... aaahhh... AAAHHH ! »

A chaque claquement de fouet, Wanda couinait plus fort. La douleur sublimait son plaisir, elle n'en avait jamais assez, elle voulait continuer à prendre son pied de cette façon. Quand ses fesses la brûlaient, elle utilisait sa magie pour atténuer la douleur, ainsi le fouet ne cessait jamais de claquer. Et elle continuait à en savourer chaque coup, encore et encore, sans jamais s'en lasser.

« Ooohhh... maîtresse... continuez... dressez moi. Aaahhh... faîtes de moi... votre chienne. »

Wanda prit son pied à se faire fouetter et insulter jusqu'à ce que le plaisir la noie complètement et qu'elle ne jouisse allègrement. Sa combinaison en latex se remplit de mouille, lui donnant une agréable sensation de chaleur au niveau de l'entrecuisse, une sensation si agréable qu'elle décida de se jeter un sort pour que son intimité ne s'arrête pas de dégouliner. La cyprine coulait entre ses jambes, et la sensation du latex humide collant à sa vulve l'excitait.

« Oh maîtresse... aaahhh... votre vilaine sorcière... est complètement trempée... entre les cuisses. C'est vraiment... une très grosse cochonne. »

Et pour ne pas faire de jalouse, Wanda jeta le même sort à Anna pour qu'elle puisse à son tour inonder ses cuisses et ressentir le plaisir d'avoir le latex collant à son sexe. Elle attendait avec impatience de voir comment sa maîtresse trempée et en chaleur allait la punir pour ce geste.

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C'était à travers le sexe que Wanda apprenait à mieux comprendre ses pouvoirs. Elle comprenait comment les déclencher, éprouvait leurs limites, se livrait à des expériences... et la plupart du temps, cela donnait d'excellents résultats, comme avec le sortilège sur ses lèvres. Maintenant, elle espérait que la mouille qui coulait abondamment de son entrejambe allait donner d'aussi bon résultats. En bonne amante, Anna accepta de jouer le jeu, et après avoir donné un dernier baiser à sa chérie, alla loger sa tête entre ses cuisses pour goûter à son bourgeon.

« Aaahhh... oui, c'est ça... juste là... »

Après son premier coup de langue, et les premières gouttes de mouille dans sa bouche, Anna ne pouvait plus se retenir. Elle se mit à brouter le minou de Wanda avec bonheur, le léchant encore et encore pour avaler toute sa cyprine, ce qui donna à la mutante de redoutables et très plaisants frissons de plaisir. La comtesse lui dit qu'elle était incorrigible, et elle abonda volontiers en ce sens.

« Oui... hhhmmm... je suis une vilaine fille... qui n'arrête pas de te jouer des tours. Alors je crois... haaannn... qu'il faut me punir. »

Mais pas immédiatement. D'abord, la sorcière voulait sentir la délicieuse langue de son amante sur son sexe jusqu'à en jouir. Et vu le goût qu'elle avait donné à son jus, ce n'était pas bien difficile de convaincre son amante de la lécher sans interruption. Mais pour en être sûre, elle enroula ses jambes autour de sa tête pour emprisonner son visage entre ses cuisses.

Le sort de Wanda s'était contentée de rendre son jus intime meilleur à boire, elle ne rendait pas Anna accro comme elle l'avait fait avec ses lèvres. Pour autant, la femme ne semblait pas vouloir la lâcher. La mutante sentait la langue de sa chérie passer dans les moindres recoins de sa vulve, titillant son clitoris et allant fouiller dans son antre. La femme couinait et soupirait de joie, se malaxant les seins d'une main et caressant les cheveux de la comtesse de l'autre. Elle avait envie de lui jeter un autre sort pour qu'elle prenne encore plus son pied, mais mieux valait éviter d'en faire trop. Après tout, ses pouvoirs restaient encore instables, alors elle préférait ne pas forcer sa chance.

Après seulement quelques minutes de ce petit jeu, Wanda sentit son intimité se contracter et son corps être envahi par une douce vague de chaleur. Des sensations qu'elle commençait à bien connaître, et ce fut sans surprise que l'orgasme la traversa peu de temps après. Après avoir à nouveau joui, son corps était un peu plus soulagé mais pas encore assez pour sortir de son lit. Elle voulait encore jouer avec Anna, et elle savait exactement comment. Elle se releva et se mit à quatre pattes, présentant son joli petit cul bombé.

« Oh maîtresse... votre servante... s'est très mal comportée. Je crois... aaahhh... qu'elle mérite une grosse fessée. »

En même temps, elle jeta un nouveau sort pour enlever à sa cyprine son bon goût sucré et ensorceler ses fesses. A présent, chaque fois que la comtesse frapperait son cul avec ses mains, une onde de plaisir entrerait dans son corps, lui donnant envie de mettre une autre claque, et ainsi de suite. Un autre cercle vicieux délicieux, dans lequel elle espérait que son amante allait se perdre avec autant de plaisir que les deux précédents.

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