Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Asuka Kahori

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Asuka Kahori

Pages: [1] 2 3 ... 5
1
L'Enfer / Re : New life in Hell [PV]
« le: lundi 04 février 2019, 01:25:39 »
Qu’est-ce que je pouvais bien faire contre elles, moi ? J’étais là, agenouillée devant ma Maîtresse, glissée entre ses jambes, et léchai donc son intimité. Je n’étais pas forcément très expérimentée en la matière, mais je m’y connaissais quand même un peu... Suffisamment pour continuer à la lécher intimement, à glisser ma petite langue entre ses cuisses, et à me frotter ainsi contre elle. Son sexe était assez bon, même s’il fallait bien reconnaître que sa cyprine n’avait pas le goût de celle de Dame Faera... Mais, de ce que j’avais cru comprendre, Dame Faera était une succube, contrairement à Maîtresse Desmina. En tout cas, il fallait admettre que je commençai à avoir moins peur de la situation actuelle. Je n’aimais pas que ces deux démones se battent, déjà parce que, de base, elles étaient tout de même un peu effrayantes, mais que, en cas de dispute, j’avais peur de me prendre une gifle par inadvertance ou parce que, en pareille situation, il fallait bien trouver une coupable.

Malheureusement, la situation dérapa de nouveau entre les deux femmes. C’était à croire qu’elles étaient incapables de s’entendre ! On avait l’impression de voir un couple de vieux ne pouvant plus se supporter après des années de mariage, et qui s’engueulaient pour un rien. En réalité, alors que j’étais occupée à lécher le sexe sucré de ma Maîtresse, ma tête se redressa brusquement en entendant Maîtresse Desmina s’énerver... Et étrangler Dame Faera. Je me recroquevillai sur place en me reculant, sans trop comprendre les raisons les amenant encore à se disputer.

*Mouais, je n’aime quand même pas ça, c’est toujours sur l’esclave que ça retombe, ça !*

Maîtresse Desmina m’ordonna alors de continuer, tout en provoquant encore Dame Faera. Restant silencieuse, et tout en rougissant encore, j’obtempérai donc, et retournai lécher le sexe de ma Maîtresse. Faera, de son côté, se remettait lentement de la pression exercée par ma Maîtresse, et se caressa la peau, avant de se racler la gorge. Elle observa silencieusement Desmina, qui demanda alors à la voir utiliser de ses talents magiques.

« Disons que, quand on m’étrangle, Maîtresse, j’ai du mal à concentrer ma magie... Mais soit. Et, puisque votre esclave est si entreprenante... »

Oh non ! J’étais sûre que ça allait me retomber dessus ! La main de Dame Faera se posa alors sur ma tête, et je me mis à frémir, tandis que la magie de Faera se mit à puiser le long de sa main. Je sentis alors un fourmillement autour de ma langue, et déglutis doucement, avant que... Je sentis comme une sorte de gonflement à hauteur de ma langue. C’était déstabilisant, à défaut d’être vraiment douloureux. Ma langue se mit à grossir, et même à onduler. Je la sentis s’étirer, tout en couinant encore.

« Elle a bu ma mouille, Maîtresse... Donc, un peu de mon ADN. Et, vu qu’elle a l’air douée de sa langue, j’imagine le bien qu’elle vous fera avec une belle langue fourchue et bien grosse... »

J’essayai de ne pas m’imaginer à quoi ma langue pouvait bien ressembler en ce moment. Elle s’allongeait encore, et je pouvais mieux sentir l’intimité de ma Maîtresse, ce qui m’amena à titiller davantage son intimité, m’enroulant autour de son clitoris. Dame Faera, toutefois, ne s’arrêta pas là, car elle reporta ensuite son attention sur Desmina. Ses seins frémirent alors, tandis que certaines de ses mèches de cheveux se relevèrent. Que préparait-elle ? Je ne pouvais pas le voir, occupée que j’étais à lécher ma Maîtresse.

« Bien... »

Faera ferma les yeux pendant quelques secondes, puis deux masses noirâtres s’élevèrent de son dos, formant ensuite des tentacules rougeâtres, qui ondulèrent à droite et à gauche de son corps. Ils avaient chacun une sorte de grosse bouche avec des pétales recourbées, qui se posèrent sur les seins de Desmina, et commencèrent à les pomper, de multiples langues et tentacules plus petits jaillissant à l’intérieur des bouches des tentacules pour s’attaquer à ses seins.

« Je peux les faire sortir de mes seins... Ou transformer ma langue en phallus, mais... Généralement, c’est plus dégueulasse qu’autre chose. »

Oui, et ce n’était pas moi qui allais la contredire sur ce point...

2
L'Enfer / Re : New life in Hell [PV]
« le: lundi 14 janvier 2019, 00:37:28 »
Je savais que j’étais en Enfer, dans le royaume des démons... Mais là, étrangement, sous le corps onctueux et extrêmement désirable de cette femme, entre ses cuisses, j’avais comme le sentiment d’être au Paradis. Un Paradis du sexe, du vice, un Paradis dans lequel j’étais plongée avec un délice infini. Elle se dandinait au-dessus de moi, et je récoltais sa mouille, frémissant encore lorsque je sentis Maîtresse Desmina se rapprocher. Je la sentis se lover dans le dos de Dame Faera, même si je ne pouvais rien y faire. Moi, je me concentrai sur l’intimité de cette femme, prenant vaguement conscience que je servais de point de lutte entre les deux démones. J’aurais peut-être dû m’en sentir offusquée, mais j’étais surtout ravie qu’aucune ne songe encore à me découper en rondelles, et d’avoir un beau sexe à lécher. Je prenais aussi vaguement conscience qu’il allait falloir que je discute des modalités pour revenir sur Terre, afin de m’entretenir avec ma famille... Parce que je tenais tout de même à revoir mon père ou mes amis ! Mais, pour l’heure, je léchai surtout, pendant de longues minutes, me régalant de cette mouille sucrée. Elle avait un goût délicieux, irrésistible, le genre de trucs qui me font fondre sur place. D’ailleurs, mon corps se crispait encore sur place, à hauteur de mes cuisses, ma cyprine recommençant à venir, à fuiter le long de ma combinaison. Hey, comment étais-je supposée tenir face à elles, moi ?!

Finalement, Dame Faera se redressa, et je constatai alors que Maîtresse Desmina s’était assise sur le divan, et nous attendait, toutes les deux, pour...

« V-Vous soigner, Maî-Maîtresse ? »

Dame Faera sourit alors, et caressa alors d’une main mes cheveux, avant d’aller me murmurer quelque chose dans le creux de l’oreille. Je rougis timidement, puis je la regardai, comme pour être sûre de ce qu’elle venait de me dire. Elle hocha alors la tête, et je crus alors discerner sur ses lèvres... Un sourire ! Pourquoi est-ce que cette femme était devenue gentille ? Était-ce un subterfuge de sa part ? Je devais sûrement m’attendre au pire, mais... J’obtempérai !

Je me mis à marcher à quatre pattes, rejoignant les jambes de ma Maîtresse, et ma tête remonta entre ses cuisses. J’inhalai son odeur, et posai mes mains sur ses cuisses, les écartant doucement, puis ma tête se nicha contre son bassin, et je me mis à la lécher, tout en sentant Dame Faera se glisser à côté de moi. En fait, la succube prit appui sur ma tête avec sa main, me faisant doucement soupirer, puis s’assit contre ma Maîtresse, se lovant contre elle, fourrant ses jambes à droite et à gauche de son corps, sur le divan.

« Hmmm... »

Dame Faera embrassa alors Maîtresse Desmina, fourrant sa langue reptilienne dans sa bouche, une langue qui s’enroula autour de celle de Desmina, et elle pressa son corps contre le sien. Je sentis alors, contre mes cheveux, quelques filaments liquides, et tremblai nerveusement en constatant qu’il devait s’agir... De la mouille de la succube ! Sa cyprine me tombait sur la tête, et ce simple fait m’excita encore plus (si cela était possible, vu que j’étais déjà très excitée avec l’intimité de ma Maîtresse).

« Je lui ai dit de se charger de ton sexe, Desmina... Je voulais qu’on en profite un peu, que tu ne jouisses pas trop vite... Et qu’elle puisse ainsi comparer nos mouilles respectives. Pour une humaine, ton esclave est plutôt très gourmande... »

3
L'Enfer / Re : New life in Hell [PV]
« le: vendredi 04 janvier 2019, 00:42:33 »
J’étais en ce moment bien loin de réaliser le jeu tacite et silencieux entre ma Maîtresse et Dame Faera. Moi, je n’étais qu’une simple lycéenne, un simple objet de désir entre ces deux puissantes démones qui se provoquaient ensemble. Gracieusement couché sur le divan, j’offrais mon corps à Dame Faera. Elle s’amusa à gratter ma résille avec ses ongles pointus, glissant dessus, m’arrachant des frissons… Ce qui n’était encore rien par rapport à la suite, quand Dame Faera étira sa longue langue reptilienne, et la promena sur mes seins… Et ces sensations ! Oh ! À chaque fois que sa langue filait sur la résille, atteignant mes seins, et qu’elle m’embrassait, je gémissais. J’étais là, remuant doucement sur place, mes bras remuant sur la banquette, incapable de lutter. Oh, c’était… C’était bon, c’était si bon ! Dame Faera léchait mes seins avec un appétit féroce, une soif vorace, continuant à glisser sur  moi, longuement, sensuellement, avidement… Comment pouvais-je lutter contre ça ? Je continuai à gémir, tandis que Dame Faera, inlassablement, s’attaquait à mes seins. Elle me faisait trembler sur place, me faisant doucement vibrer, puis descendit ensuite.

« Hmmm… Haaaaa… »

Chacun de ses baisers était vorace, empreint d’une sorte de sensualité inexplicable, d’une chaleur et d’une douceur exquises. La pauvre lycéenne que j’étais ne pouvait tout simplement rien faire contre cette femme, cette démone qui se jouait de moi. Elle me lécha le nombril, m’arrachant des frissons complémentaires. Je m’en pinçai encore les lèvres, me dandinant sur place, les résilles se frottant contre mon corps. Je ne la voyais pas regarder régulièrement ma Maîtresse, je ne ressentais qu’un plaisir diffus et continuel, qui se diffusait en moi, se diluant progressivement et graduellement dans mon corps… Jusqu’à ce qu’elle rejoigne finalement mon intimité.

Là, Dame Faera sembla hésiter, puis entreprit, après quelques secondes, de lécher mon sexe. Je hoquetai encore, essayant de tenir, de résister face à l’orgasme, sans pouvoir me douter que c’était, en ce moment, Dame Faera qui jouait avec moi. Sa langue glissait avec précision sur mes lèvres intimes, en léchant le pourtour, ou s’y glissant très légèrement, évitant soigneusement mon clitoris. Moi, je ne sentais que du plaisir, et mettais naïvement sur mon crédit ma résistance, qui dura de nombreuses secondes… Avant que Dame Faera ne se redresse brusquement.

Sa main serra mes cheveux, et je déglutis doucement, entrouvrant mes lèvres… Pour qu’elle m’embrasse fougueusement et énergiquement. Je couinai encore, crispant mon corps, sentant sa magnifique peau rouge s’étaler contre moi. Dame Faera, en usant probablement de magie, s’était déshabillée. Elle était intégralement nue, offrant au regard un corps d’une perfection rarement égalée. Des courbes divinement sculptées magnifiées par sa peau rouge, une peau sensuelle en velours, tandis qu’elle enfonçait sa langue humide dans ma bouche, tant et si bien que celle-ci titillait ma gorge.

« Hmmmm… !! »

L’une de mes mains finit par se déplacer pour caresser ses hanches, et je trouvai la force de l’abaisser encore, sentant le délicieux cul de Dame Faera. Mes doigts se crispèrent sur ses fesses quand elle nicha deux de ses doigts dans mon sexe, et se mit à remuer énergiquement. Han, ce baiser ! Ce baiser énergique, immense, et ses doigts, ses doigts… Sans problème, elle serra mon clitoris entre ses doigts, et appuya dessus. J’écarquillai mes yeux pendant quelques secondes, et gémis encore… Avant de jouir.

Tout simplement.

Un magnifique orgasme me traversa, m’amenant également à réaliser que je n’avais jamais eu la moindre chance contre elle. Tout mon corps se relâcha dans un long soupir, et je m’écroulai sur place. Dame Faera se retira de moi, et, alors que je m’attendais à en avoir fini, je la vis se rapprocher de mon visage, ses jambes à droite et à gauche de ma tête.

« Da-Dame Faera… ?
 -  Je suis d’humeur généreuse, petite humaine… »

Elle fléchit alors les genoux, et son bassin s’écrasa sur mon visage. Je couinai alors, et sentis sa main me saisir les cheveux, tirant légèrement dessus, m’arrachant des crispations de douleur. Mes mains se crispèrent sur ses cuisses, et je me mis à lécher frénétiquement son sexe, avant de la sentir appuyer avec son corps, dansant d’avant en arrière.

« Je me demande quelle vision de mon corps vous préférez, Maîtresse Desmina… »

Dame Faera pivota alors, exhibant son torse à Desmina, ses magnifiques seins, ses hanches sublimes, prenant des poses suggestives…

« …Le devant, ou… »

Et elle se retourna alors, me barbouillant le visage de sa délicieuse mouille. J’avais beau avoir joui, je mouillai encore, tandis que Dame Faera attrapa ses cheveux d’une main, et les écarta, révélant ainsi à Desmina son magnifique dos, une chute de reins à rendre fou n’importe qui, ainsi que l’ourlet parfait de ses fesses. Elle avait senti le désir pulser dans le corps de Desmina, et la narguait par ce biais.

« …L’arrière ? » termina-t-elle alors, sur une note très sensuelle.

De mon côté, je ne pouvais pas dire que j’étais à plaindre…

4
L'Enfer / Re : New life in Hell [PV]
« le: lundi 24 décembre 2018, 00:52:07 »
La délicieuse peau satinée de Dame Faera m’enivrait, tout comme sa mouille onctueuse. Hum ! Je n’arrivai plus à m’en lasser, et, plus le temps passait, et plus je devenais totalement accroc. Je la léchai frénétiquement, comme une affamée, suçotant au passage sa mouille l’aspirant. Mes mains se déplaçaient, et mes doigts vinrent ainsi aider ma langue, glissant dans sa magnifique chatte. Bon, elle sentait si bon ! Oh, comme j’adorai ça ! Je me tortillai sur place, continuant à couiner sur place. Je continuai à soupirer longuement, sentant que cette succube approchait de l’orgasme. J’avais pourtant déjà bu de la mouille, mais... Jamais comme ça ! Impossible d’expliquer en quoi la cyprine de Dame Faera était si bonne, mais... Je n’avais tout simplement jamais rien goûté d’aussi bon ! Elle serra un peu inutilement sa main sur mes cheveux, car j’étais déjà totalement pressée contre elle. Je continuai à gémir, et je la sentis jouir, ce qui me fit aussi jouir. Le plaisir me submergea tandis que la mouille continuait à exploser contre mon visage.

« Hmmm... »

Oh, comme j’aimais ça ! J’avais son mouille sur tout mon visage, et ça m’avait fait jouir ! Mais il fallait vraiment que je me retienne, que j’arrive à me contrôler, mais... Impossible ! Dame Faera me releva alors, et, sans réfléchir, comme envoûtée par elle, je me mis à l’embrasser copieusement, pressant mon corps contre le sien. Elle serra mes cheveux dans sa main, et fourra ensuite sensuellement sa langue dans ma bouche, m’arrachant des soupirs onctueux de plaisir. Sa langue filait amoureusement dans la mienne, et, telle une poupée de chiffon, je me laissai faire, n’opposant aucune réaction à ses baisers, à sa langue qui s’enfonçait dans ma bouche. Je répondais à son baiser longuement, sentant sa salive dans ma bouche. Elle se frottait encore contre moi, me faisant oublier toutes les craintes qu’elle m’avait fait subir. Cette femme était terrible dans sa manière d’approcher les autres !

Sa longue langue s’enfonçait en moi, et notre Maîtresse se rappela à nous, annonçant à Dame Faera qu’elle allait s’occuper de moi, mais qu’elle devait ne pas me faire jouir avant au moins cinq minutes. Je ne pus que doucement rougir devant les directives de ma Maîtresse, et je secouai doucement la tête. Dame Faera me repoussa ensuite, et me coucha sur le dos, sur le canapé.

« Da... Dame Faera... »

Je sentis ses doigts griffus glisser sur ma combinaison, jouant sur les résilles. Elle tirait doucement dessus d’une main, et, de l’autre, posa son doigt sur mes lèvres.

« Tiens, petite catin, lèche mes doigts imbibés de ma mouille... »

J’obtempérai donc, léchant silencieusement ses doigts, m’imbibant de sa peau parfaite, mordillant même ces derniers.

« Tu es affamée, toi, petite catin... Mais je te comprends... Les succubes sont des trésors aux mortels interdits, Asuka. Réalises-tu seulement à quel point tu es chanceuse que je m’occupe comme ça de toi ? J’ai couché avec des rois, ma belle, et toi, tu es une simple lycéenne... Tu as intérêt à bien en profiter, car, même dans tes rêves les plus fous, tu ne pouvais rêver avoir une partenaire comme moi ! »

Et elle continuait à s’occuper de moi, avec un indéniable talent...

5
L'Enfer / Re : New life in Hell [PV]
« le: lundi 17 décembre 2018, 00:34:55 »
Est-ce que j’en profitai pour me venger ? Je ne faisais que suivre scrupuleusement les instructions de ma Maîtresse ! Elle m’avait ordonné de la « nettoyer », pas de la faire jouir. Mais j’en profitai aussi, insidieusement. Cette démone m’avait terrorisé, mais, même si ma Maîtresse m’assurait que je n’avais rien à craindre d’elle, moi, je n’étais pas si rassurée que ça. J’avais amplement eu l’occasion de voir de quoi Maîtresse Desmina était capable, et je ne désirai nullement tenter le diable (sans mauvais jeu de mots). Dame Faera pourrait sans aucun doute se venger, mais... Sur le coup, je me refusai à lécher son sexe, même si j’en avais de plus en plus envie. Il fallait bien admettre que cette démone était terrible ! Aurai-je eu davantage de culture démoniaque que j’aurai découvert que, s’agissant des succubes, un proverbe disait d’elles qu’elles étaient des trésors aux mortels interdits... Précisément parce que leur corps pouvait vous rendre fou ! C’était ce que j’étais en train de ressentir, léchant avidement ses magnifiques cuisses, embrassant sa peau, la mordillant parfois. Je n’avais jamais embrassé une peau aussi douce, et sa mouille... Oh, sa mouille ! Elle fondait dans ma bouche, un magnifique repas qui me rendait folle. Je la léchai encore et encore, m’en repaissant à chaque fois, léchant goulûment sa cyprine, sans relâche, tremblant doucement sur place. Ma Maîtresse commenta le fait que je ne m’attaquai pas à son sexe, mais... J’aimais tellement ses cuisses que je n’arrivai même plus à lui répondre. Je les embrassai, je les léchai, je les mordillai, frémissant et tremblant nerveusement à chaque fois, ne réalisant même pas que ma Maîtresse avait libéré cette femme.

Je sentis soudain celle-ci s’éloigner de moi. Relevant le visage, je vis alors ma Maîtresse se coucher sur un divan en cuir apparu comme par magie, tenant Dame Faera contre elle. En sueur, celle-ci tenta de se masturber, mais ma Maîtresse l’en empêcha, exposant que c’était à moi de le faire. Je déglutis alors doucement en me rapprochant, me relevant au passage. J’observai alors ces deux femmes à la peau rouge, brillant comme des volcans, qui se dandinaient devant moi sur la banquette. Je m’en pinçai doucement les lèvres, tandis que ma Maîtresse me donna de nouvelles instructions. C’était donc à moi de faire jouir cette femme, et, pour faire taire Dame Faera, Maîtresse Desmina fourra un doigt dans sa bouche.

Je les rejoignis alors, et atterris au bout du divan. Je commençai par embrasser les jambes de Dame Faera, m’imprégnant encore de la douceur de sa peau, et léchai notamment sa malléole avec envie, la mordillant même doucement. Je montai ensuite progressivement, témoignant de mes pulsions fétichistes par mes multiples baisers et mes lentes caresses, encore et encore, tout en m’allongeant progressivement, jusqu’à arriver à hauteur de ses cuisses, puis de son bassin.

« Hmmm... »

Après ce qui avait dû sembler être une éternité pour la succube, ma bouche déposa enfin une série de baisers sur ses lèvres intimes. L’odeur de son sexe m’enivrait doucement, et je mouillai également, me dandinant sur place, tout léchant ensuite son sexe. Ma langue glissa sur les lèvres intimes, et je filai ensuite à l’intérieur, posant mes mains sur son bassin, en appui, cherchant sa boule de plaisir, son clitoris. Là, je me mis également à le lécher, arrachant à la femme des frissons supplémentaires.

« Hmmm... Haaaaannn... »

Je léchai donc, et sentis soudain la main de Faera se crisper sur mes cheveux, ses griffes serrant mes cheveux. Si j’avais le malheur de relever le visage, ou de faire mine de m’éloigner, la démone m’écrasait la tête. Elle mouillait encore plus frénétiquement, et j’essayai d’avaler chaque goutte de sa cyprine, totalement subjuguée par ce liquide intime. Cette démone me rendait folle, je n’y pouvais rien, et mes doigts se crispaient sur elle, la griffant involontairement. Je déplaçai finalement mes doigts, la pénétrant avec eux, m’aidant de ma main pour lui faire plaisir.

À l’idée de recevoir l’orgasme de la succube, j’étais toute excitée, tout en me demandant si son orgasme n’allait pas aussi me faire jouir, car mon bassin frottait sur le divan, lascivement, d’avant en arrière, afin d’éteindre la soif qui était en train de pulser entre mes cuisses...

6
L'Enfer / Re : New life in Hell [PV]
« le: mardi 11 décembre 2018, 01:00:04 »
Oui, j’avais paniqué... Et alors ?! Que je tienne debout jusqu’à présent tenait en réalité de l’exploit. Hey, j’étais en Enfer ! EN ENFER ! Avec deux démones dont une démone tarée qui menaçait de me dévorer toutes les secondes ! Et moi, je n’avais pas le mental de Schwarzenegger ou de Sylvester Stallone. Je n’étais pas une Expendable, j’étais Asuka Kahori, lycéenne adolescente ayant un crush sur le kinbaku et ayant commis l’erreur de prononcer une formule à la con en pensant que ça ne ferait rien ! Quelle idiote ! J’étais à bout de nerfs, et je craquai donc... Mais Maîtresse Desmina n’avait pas la patience ou l’empathie des humains, même si elle semblait davantage agacée par le comportement provocateur de Faera que par le mien. Même si Maîtresse me présentait Faera comme sa subordonnée, moi, cette démone me foutait grave les jetons ! Elle était aussi belle que dangereuse, et rien qu’à voir ses grandes dents pointues, je pouvais trembler sur place.

Finalement, Maîtresse Desmina nous attacha toutes les deux à d’humiliantes croix ! Enfin, je pensais surtout à Faera, car, moi, comme Desmina le fit encore remarquer, j’étais une soumise. Mon rôle était donc d’obéir aux injonctions de sa Maîtresse, et c’était quelque chose à quoi je faisais très attention.

« Maî-Maîtresse, je suis désolée... »

Je ne voulais pas lui faire honte, j’étais juste larguée ! Et, honnêtement, qui ne l’aurait pas été à ma place ? Là, face à Dame Faera, j’eus droit à une belle démonstration, et je frémissais en entendant le son des coups de fouet résonner sur le corps de Faera. Ma Maîtresse n’y allait clairement pas de main morte, usant d’un redoutable fouet, qui n’était pas émoussé, meurtrissant la solide peau rougeâtre de la démone. Celle-ci était juste devant moi, à tel point que, en me penchant un peu, j’aurai presque pu l’embrasser. Aux premières loges pour l’entendre hurler, je ne pouvais alors pas nier sentir un certain plaisir en voyant ainsi la démone se faire battre.

Chacun de ses cris provoquait en moi un plaisir féroce, comme une sorte de douce vengeance pour tout ce que cette démone avait dit sur moi. Après toutes ses menaces, c’était elle qui se faisait punir. Maîtresse Desmina lui rappelait son autorité en la fouettant longuement. Bien fait ! Tout ça m’excitait quand même, et avait le mérite de chasser mes larmes. Oui, ma Maîtresse me protègerait, et elle ne laisserait sûrement pas Dame Faera me faire du mal. J’étais sa petite protégée, son petit jouet, sa délicieuse poupée sexuelle, et j’en étais fortement ravie !

Et, plus le temps passait, et plus il me semblait discerner chez Dame Faera... Du plaisir ! Oui ! Je reconnaissais clairement les gémissements qu’elle poussait, qui n’étaient pas que dus à la douleur, mais aussi à un plaisir lancinant, qui montait progressivement en elle. Et, plus Faera était excitée, et plus je l’étais aussi. Ses soupirs me faisaient tourner la tête, et je pouvais sentir mon corps se crisper lentement, au fur et à mesure que le désir croissait en moi. Maîtresse Desmina me libéra finalement, et je tombai à quatre pattes devant le corps immobilisé de Dame Faera, qui se dandinait sur place, sa mouille ruisselant entre ses cuisses. Écoutant sagement ma Maîtresse, je hochai doucement la tête, avant de me redresser lentement, prenant appui sur mes genoux.

Ma langue fila contre les cuisses de Faera. Sa peau était chaude, très agréable, et je déposai également plusieurs baisers dessus.

« O-Oui, Maîtresse... »

Je m’appliquai donc, sans toutefois trop savoir ce que je devais « nettoyer ». Son sang ? Beurk ! Je n’étais pas une vampire ! Alors, je me concentrai plutôt sur ses cuisses, d’autant que sa mouille avait un délicieux goût sucré. On pouvait même dire que j’adorai ça, car je continuai à multiplier les coups de langue, m’appliquant soigneusement et consciencieusement, entrecoupant mes actes de multiples soupirs et autres gémissements.

Oui, il fallait bien admettre (et c’était dur de l’admettre pour moi !) que Dame Faera était délicieuse, absolument délicieuse ! Je la léchai avec un appétit croissant, continuant avec appétit dans ce sens.

7
L'Enfer / Re : New life in Hell [PV]
« le: lundi 03 décembre 2018, 01:07:14 »
Dieu, que j’avais peur ! Enfin... Invoquer Dieu ici n’était sans doute pas la meilleure chose à faire. J’étais face à deux redoutables démones, Faera, ainsi que ma Maîtresse. Et, comme je le savais, peu importe ma réponse, Maîtresse la retournerait contre moi ! Essayant de me faire aussi discrète qu’une petite souris, j’observai les deux démones se disputer. Visiblement, Faera n’appréciait pas trop l’idée d’être soumise à ma Maîtresse, qui usa alors de violence, jusqu’à gronder, prenant une voix grave que je ne lui avais jamais connu, et qui m’effraya encore plus, même si je n’avais rien à y voir. Il fallait bien admettre que j’étais totalement déboussolée ! Je venais de la Terre, je voulais retrouver mon appartement, je voulais lire mes hentaïs, réviser mes notions de shibari, pas me retrouver là, dans ce château infernal, face à des démones aux langues reptiliennes... Elles étaient là, face à moi, et Maîtresse Desmina réussit à faire obtempérer Faera, qui, furibonde, s’agenouilla à côté de moi.

C’est ensuite que ma Maîtresse décida de me punir encore. Maîtresse Desmina récupéra un chat à neuf queues, et me le tendit, en me demandant... De punir Faera, de la fouetter ! J’écarquillai les yeux en la regardant, puis croisai brièvement le regard de Faera. Sans un mot, elle me fit clairement comprendre que, si j’osai faire quoi que ce soit sur son corps, elle allait me réduire en charpie ! Et, d’ailleurs, il suffisait de voir son regard pour constater cela. Elle me fusillait du regard ! Je glapis doucement, les joues rouges, tandis que Maîtresse Desmina avait précisé que, si je ne le faisais pas, ce serait elle qui me punirais ! Et, honnêtement, j’étais sûre qu’elle le ferait.

Mais, d’un autre côté, les démons avaient l’air rancuniers, et Faera m’avait manifesté assez de mépris pour pouvoir se venger sur moi le jour où ma Maîtresse aurait le dos tourné... Je déglutis donc, regardant encore Maîtresse Desmina, ne sachant toujours pas sur quel pied danser avec elles.

« Mais, Maîtresse... »

Je me ratatinai sur place, me mettant dans le dos de Faera, crispant mes mains sur le chat. Qu’est-ce que j’étais supposée faire ? Je paniquai totalement, et je me mordillai les lèvres. Je savais que ma Maîtresse adorait me torturer psychologiquement. Et, d’ailleurs, le simple fait qu’elle m’ait emmenée ici en était une bonne démonstration ! Mais, somme toute, c’était aussi la preuve qu’elle tenait à moi... Enfin, je suppose ! Je la regardai encore, me recroquevillant sur place. Je redoutai autant la vengeance de Faera qu’une séance de coups de fouets par elle, car je savais qu’elle n’allait pas se priver, ne serait-ce que pour se venger de l’humiliation qu’elle avait ressenti tantôt !

En vrai, j’étais très nerveuse, au bord de la crise de larmes. J’observai ce duo, avant de reporter mon attention sur Maîtresse Desmina, et de finir par dire la vérité :

« Je... Maîtresse, je... Si je fais ça, Dame Faera va... Enfin... »

Je soupirai en me mordillant les lèvres, avant de secouer la tête.

« Je ne suis qu’une humaine, je ne peux pas battre des démons, et je veux rentrer chez moi !! »

Ça y est, j’avais craqué... Et, de fait, j’étais en train de pleurer.

Tout ça était clairement de trop pour moi !

8
L'Enfer / Re : New life in Hell [PV]
« le: lundi 26 novembre 2018, 00:45:51 »
Franchement, qui n’aurait pas été terrifiée à ma place ? J’étais même totalement terrorisée ! J’étais en Enfer, face à une démone, après avoir vu une successions de grottes infernales, de monstres, entendu des hurlements, des grondements... Même ici, dans ce château, je percevais des présences malfaisantes, des êtres maléfiques qui rôdaient dans l’ombre. Et il y avait Faera, cette étrange femme, qui, en m’habillant, fit disparaître progressivement ma peur, au profit d’une tension sexuelle que je connaissais déjà bien mieux. Je me mis à déglutir, avant de rougir, m’observant devant le miroir avant de baisser la tête.

« Tsss, persifla Faera. Allez, remue ton cul ! »

Elle tira brusquement sur la laisse, manquant me renverser, et je me rattrapai contre le mur, avant de m’excuser platement, presque automatiquement :

« Pardonnez-moi, Maîtresse, tout ça est si soudain...
 -  Si tu as perdu l’usage de tes jambes, humaines, tu ramperas ! »

Et elle tira encore. Je hurlai alors en tombant au sol, finissant à quatre pattes. Faera m’ordonna de passer devant elle, ce que je ne manquai pas de faire, avant qu’elle ne précise, non sans avoir auparavant longuement observé mes fesses, parfaitement foulées dans cette tenue en résilles.

« Et je ne suis pas ta Maîtresse, petite truie. Crois-moi, le jour où j’aurai une esclave, elle sera cent fois mieux qu’une lycéenne idiote et stupide ! »

Que pouvais-je répondre à ça, moi ? Je venais de débarquer en Enfer ! Je sentais toutefois qu’il y avait, derrière la colère de cette démone, quelque chose qui me dépassait. J’avançai alors dans les couloirs, sentant Faera tirer parfois sur la laisse, s’amusant à me laisser m’aventurer dans un couloir avant de tirer dessus, pour me dire que je me trompai de chemin, en profitant encore pour m’insulter. Je ne pouvais que rougir piteusement, baissant les yeux nerveusement.

Elle me reprochait de me traîner, surtout lorsque je me retrouvai face à des dalles tranchantes. Fort heureusement, les résilles semblaient ne jamais devoir se déchirer. Nous approchâmes d’unc ouloir sous une série d’ogives avec des ouvertures à gauche, où je pouvais voir des jets de flamme s’élever dans le ciel. Un spectacle qui me surprit, m’amenant à m’arrêter sur place, tout en voyant de redoutables démons ailés et grimaçants. Je perdis quelques précieuses secondes, ce qui amena Faera à tirer encore sur la laisse. Je m’étranglai sur place, tirant ma langue à ce contact.

« :Allez, avance, sale pute !
 -  Oui, oui, désolée, désolée !
 -  Tu passes ton temps à être désolée, et, pourtant, tu es toujours aussi incapable... Je me demande bien pourquoi Desmina a voulu d’une chienne incompétente comme toi ! »

Elle me rabaissait, elle m’humiliait... Et, pourtant, cette femme m’excitait de plus en plus. J’ignorai alors que ses phéromones agissaient sur moi, amplifiant mes pulsions masochistes, et j’adorai l’entendre. Elle était belle, mordante, me rendant tout simplement folle. Faera me conduisit finalement jusqu’à ma Maîtresse, et je sentis mon estomac fondre en la voyant. C’était bien elle ! Elle, avec sa magnifique peau rouge, tendre, sa chevelure de feu, qui m’observa lentement, et se rapprocha ensuite.

J’eus bien du mal à me redresser, restant la tête basse, me mordillant les lèvres, tout en me rappelant que Maîtresse Desmina pouvait lire mes pensées. Elle devait donc sûrement sentir combien j’étais excitée par tout ça, par tout ce contexte ! Je tremblai doucement sur place, et elle commença à me peloter, lentement, avant de se rapprocher de Feara. Ohlàlà ! J’étais vraiment très excitée, moi ! Dire que j’étais passée de l’angoisse la plus profonde à... À ce fort état d’excitation.

Ma Maîtresse se rapprocha ensuite de Feara, et vint la palper, continuant à me troubler. Je rougissais encore, j’avais du mal à réfléchir, partagée entre la terreur initiale et ce lent sentiment d’excitation qui remontait en moi. Je tremblais doucement sur place, et elle me fit alors une étonnante proposition... Soit rester ici, en compagnie de Faera, soit... La suivre ! Je déglutis alors, me demandant si ce n’était pas là un piège.

« Je... »

Je serrai nerveusement mes poings en me pinçant les lèvres.

« Je suis votre esclave, Maîtresse Desmina, je... Je ferai comme bon vous semblera, mais... »

Cet endroit ne cessait de l’effrayer, et l’idée de rester seule avec Faera... Argh ! Je finis par déglutir, et relevai la tête.

« Si... Si ma présence ne vous importune pas, je... J’aimerai rester près de v-Vous, Maî-Maîtresse... »

9
L'Enfer / Re : New life in Hell [PV]
« le: mardi 13 novembre 2018, 01:21:51 »
Enfer… J’étais en Enfer ! Qui aurait cru que mon invocation démoniaque catastrophique ait pu me conduire jusqu’ici* ? Je n’avais rien calculé, rien anticipé, et j’avais vendu mon âme à une démone redoutable, autoritaire, violente, qui avait été jusqu’à me poursuivre dans mon école. J’avais quitté le lycée en pleine journée, m’inquiétant de ce qui allait arriver. Allais-je rester à jamais en Enfer ? Cette perspective ne m’enchantait tout de même pas tant que ça. L’Enfer n’était pas un endroit pour des humaines comme moi ! Et le château de ma Maîtresse n’était guère pour me rassurer… Un endroit sinistre, froid et sombre, avec de grands couloirs ancestraux, des peintures affreuses… Ma Maîtresse m’avait déposé dans une sorte de cellule sinistre, avec un lit rustique. Il faisait froid, je grelottais sur place, voyant une fenêtre en hauteur, protégée par des barreaux noirs. Quelques bougies brûlaient dans les coins, et…

…Bon, en fait, pendant que ma Maîtresse recrutait du personnel, je m’étais mise à pleurer, souhaitant désespérément retrouver mon appartement, revoir mon père, paniquant à l’idée de passer l’éternité ici. Je n’étais pas morte ! Je n’avais pas ma place en Enfer ! J’espérai sincèrement pouvoir retrouver Seikusu, tout en me disant que les enseignants allaient sûrement enquêter… Ce faisant, j’ignorai que ma rencontre avec Mélinda Warren aurait des conséquences bien plus importantes, à terme, que ce que je croyais initialement. Pour l’heure, j’étais surtout déboussolée, surtout que je n’avais plus que mon uniforme scolaire sur le corps.

Ma Maîtresse m’avait enfermé ici pour me protéger, le temps de nettoyer le palais des monstres qui l’avaient envahi. Je ne comprenais rien à l’Enfer, moi, et je pleurai donc beaucoup. Je finis par me retrouver sur le lit, souhaitant dormir, comme pour me persuader que tout cela était un mauvais cauchemar. J’avais même entrepris de réciter quelques prières, espérant que des Anges viendraient faire voler en éclats les barreaux, qu’un rayon de lumière m’illuminerait… Mais rien ne vint. Et, tandis que je fermai les yeux, je revoyais les images de mon séjour en Enfer, de ma Maîtresse m’amenant jusqu’à ce palais.

Nous avions traversé de profondes grottes, immenses, certaines étant si grandes qu’elles abritaient des villes entières, des forteresses. J’avais vu des traces de carnages, des odeurs de soufre, de la lave partout, tandis que nous continuâmes à descendre, jusqu’à rejoindre ce palais, dressé au-dessus d’un lac de sang. Un paysage affreux, cauchemardesque, très éloigné de mes habitudes, moi qui étais habituée à écouter Kyary Pamyu Pamyu et à porter ma combinaison rose en latex… Que je n’avais toujours pas retrouvé, d’ailleurs !

J’en étais là de mes angoisses quand j’entendis un déclic dans la porte. Je me redressai alors, tremblotant sur place, m’attendant à voir ma Maîtresse… Mais vit au lieu de ça une étonnante démone entrer. Elle avait une peau violacée, et dégageait une étrange aura, ses yeux argentés me fixant lentement.

« Pffff… Voilà donc l’humaine en question…
 -  Je… Je vous en prie, je… Je veux juste rentrer chez moi, et je…
 -  Oh, la ferme ! Une pleureuse, il ne manquait plus que ça ! Desmina doit bien se foutre de ma gueule de m’envoyer m’occuper d’une moucheronne comme toi ! »

Je sentis soudain la poigne de la femme s’abattre sur mon cou, et je me mis à couiner, tentant de la repousser Mais cette femme avait une redoutable poigne, et elle se mit à serrer fort pendant plusieurs secondes, avant de finalement relâcher la pression, m’amenant à éternuer en me tenant la gorge.

« Arrête tes gamineries, fillette. »

La femme fit apparaître une penderie dans ma cellule, et en sortit une tenue, qu’elle me balança.

« Enfile ça, Desmina veut te voir.
 -  Mais je…
 -  ENFILE ÇA ! » siffla-t-elle.

Je ne pus que hocher la tête en contemplant l’étonnante tenue, puis me déshabillai. Ravalant mes sanglots, je l’enfilai donc, mais la tenue était un peu compliquée. La démone vint donc m’aider, m’amenant à me redresser, faisant également apparaître un miroir.

« Là, voilà… Un pur look de femme forte, non ? »

Elle dit ça en me tenant le menton, m’amenant à me regarder devant le miroir. Je ne pouvais que reconnaître qu’elle avait raison sur ce point.

J’étais méconnaissable !




* : Cf. RP « Invocation démoniaque ».

10
Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: lundi 29 octobre 2018, 20:41:39 »
FIN (?)

11
Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: lundi 22 octobre 2018, 01:03:33 »
« Je t’accueillerai chez moi avec plaisir, Desmina... »

J’avais franchi le point de non-retour. Définitivement. Sans doute aurais-je pu, à la base, repousser cette femme, mais, non seulement je l’avais invoqué, mais j’avais largement pris mon pied avec elle. Le fait est que je lui avais donné mon âme, et, même si je n’étais pas une grande experte en démonologie, j’avais vu suffisamment de films sur la question pour savoir qu’il était trop tard pour faire marche arrière. Et, si une partie de moi l’avait encore voulu, cette séance de baise dans les toilettes avait achevé de taire cette partie. En moins d’une journée, cette démone avait su me transformer, réveillant en moi mes plus sombres et mes plus perverses pulsions. Quel intérêt de nier l’évidence ? De contester le fait que j’étais devenue son esclave, sa chienne personnelle ? Une esclave sexuelle qui offrirait à ma Maîtresse un accès permanent sur Terre. Je continuai à embrasser ses pieds, léchant sa peau rouge, tandis que Mélinda alla embrasser ma Maîtresse. Un long baiser, qui sonna comme un au revoir, au moins temporaire.

Ma Maîtresse ouvrit ensuite un Portail. Les yeux écarquillés, je vis le sol se fissurer devant moi, s’effritant progressivement. Le carrelage disparaissait, et une forte chaleur accueillit mon visage, tandis que ma Maîtresse se mit à flotter, déployant une paire d’ailes magiques noires. Elle me maintint ensuite entre ses bras, me serrant contre elle, et je me mis à frissonner. La peur revint de nouveau en moi, tandis qu’elle m’annonçait ma nouvelle destination, ma nouvelle maison. J’allais donc... En Enfer ? Je déglutis doucement, sentant celle-ci s’envoler. Mélinda nous faisait face, sans réaction, veillant toutefois à ne pas passer dans cette brèche, et ma Maîtresse m’indiqua qu’il était temps pour moi de dire adieu à mon ancienne vie terrestre.

Je tournai alors la tête, observant Mélinda... Un moment infini qui se suspendit à mes lèvres. Puis je me retournai vers Desmina, observant ma flamboyante Maîtresse, et l’embrassai sur les lèvres.

« Je sais que je ne suis pas encore à la hauteur de vos espérances, Maîtresse... » glissai-je alors.

Il m’était inutile de le nier, et je me redressai un peu, me collant bien à elle. Je tremblai nerveusement, en voyant l’air de désolation autour de nous, pensant encore que tout cela était une plaisanterie, et que j'allais revenir bien rapidement chez moi !

« Nous... Nous reviendrons sur Terre, h-hein ? Je... Il y a plein de gens fascinants là-bas, et... Enfin, je... Je pensais pouvoir vous inviter régulièrement sur Terre pour... Euh... Vos activités démoniaques, Maî-Maîtresse... »

12
Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: lundi 08 octobre 2018, 01:12:34 »
Oh, Dieu, que j’avais mal au cul ! Ma Maîtresse se lâchait vraiment, et je n’étais plus qu’une petite poupée entre ces deux femmes. Difficile de dire, en toute objectivité, laquelle était la plus terrible des deux. Je ne connaissais jusqu’à présent Mélinda que de réputation. Elle était une femme arrogante, une lycéenne absentéiste qui se moquait de l’autorité des enseignants, mais qui avait toujours, avec elle, quantité d’amis, ou de larbins. Les gens se méfiaient d’elle, et moi, tout ce que je savais sur elle avant ce moment, c’est qu’elle était une fille redoutablement belle, avec un visage poupon, une tête d’ange, mais avec des yeux verts acérés, très intelligents, qui trahissaient une femme à l’esprit profondément affuté. Et, maintenant, je pouvais dire que mes intuitions avaient été très bonnes ! Cette femme était une redoutable perverse, et elle me pénétrait avec talent. Tout en y allant franchement, elle était aussi suffisamment calme pour parler avec ma Maîtresse... Ma Maîtresse, qui rappela qu’elle pouvait lire dans mon esprit, ce qui me fit rougir. Honnêtement, si on m’avait dit, il y a quelques jours, que je me ferai prendre dans les toilettes du lycée par une démone et une vampire hermaphrodites, je n’y aurai jamais cru ! C’était pourtant là tout ce qui me tombait dessus.

Oui, en ce moment, je rêvai d’être encore la soumise de ma Maîtresse... Mais je n’étais pas en état de réfléchir ! Là, seul le désir parlait pour moi. Toute mon intelligence avait été remise au placard, et je me faisais délicieusement prendre en sandwich. La vampire me labourait, et chacun de ses baisers était un délice. J’y répondais avec appétit, me blottissant contre elle, sentant sa langue s’enfoncer dans ma bouche. Elle mordilla même ma lèvre inférieure avec ses dents, m’arrachant un couinement, ainsi qu’un long frisson. J’étais dans un état tel qu’il m’était impossible de dire combien de fois j’avais joui. J’enchaînai les orgasmes, tandis que ma Maîtresse continuait à m’éclater le cul.

« Haaaaaaa... Hmmmmmmmmmm... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNN... !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN... !!
 -  Là, oui, hurle, salope, HURLE BIEN FORT !! »

Il était impossible de lutter contre de telles femmes, tout simplement. Je n’étais qu’une humaine, une simple petite humaine. Je ne pouvais pas les combattre, et je laissai donc ces deux terreurs faire de moi ce que bon leur semblait... Car ce que je vivais en ce moment était phénoménal. Je n’avais jamais ressenti jusqu’à présent un tel pied ! Elles me défonçaient bien, et c’était... C’était si bon ! Douloureux, certes, mais j’étais arrivée à une espèce de stade supérieure à la douleur et au plaisir, comme si ces deux sensations se mélangeaient. Et ma Maîtresse me pilonna encore, accélérant le rythme, m’envoyant régulièrement m’aplatir contre le corps de Mélinda, me faisant encore hurler.

En ce moment, j’hurlai comme une folle, et il suffisait que quelqu’un passe dans le couloir pour entendre mes cris. Mais impossible de me retenir ! Ma Maîtresse y allait trop fort. Yeux clos, je me laissai submerger, comme une digue qui viendrait de sombrer une marée insurmontable. Encore, encore, encore ! Elle y allait sans relâche, sa grosse verge m’éclatant l’arrière-train. Je mouillai furieusement, les minutes défilant à toute allure, fondant comme des secondes tandis que la femme continuait à me prendre. Mes cris moururent finalement dans un ultime orgasme, et ma Maîtresse s’abandonna en moi. C’est d’ailleurs là que j’eus mond ernier orgasme, en la sentant se vider en moi. Cette idée me remplissait de joie, j’irradiai alors d’un tel bonheur que... Que tout mon corps se relâcha brusquement.

Je venais de jouir encore, et sentis le corps de ma Maîtresse évoluer. Ses mains sur mes seins devinrent plus fortes, et je frémis en sentant ses griffes, et en voyant sa peau rougir. Elle venait de reprendre son apparence normale, grandissant sur place, et libéra mon cul de sa présence. Son sperme se mit alors à couler dans le trou béant qui était mon anus, m’arrachant des soupirs. Je pouvais sentir les caresses de l’air sur mes parois déchirées, et la sensation de sentir son foutre dégouliner de mon corps m’excitait fortement. Mélinda n’en avait toutefois pas encore fini avec moi, et se servit du corps de ma Maîtresse comme support, continuant à me baiser.

« Haaaaa... !! »

Ceci dit, avec mon cul désormais libre, j’allais mieux... Mieux, dans le sens où mon esprit n’était plus autant fracturé. Ma tête était nichée contre les seins de ma Maîtresse, et je soupirai doucement,  J’étais là, contre elle, et j’étais bien, si bien... Puis Mélinda gémit alors, et se pinça les lèvres. Je l’observai alors, la trouvant... Très belle. Elle était là contre moi, yeux clos, contractant ses muscles, et me remplit à son tour. Avec sa peau mate, ses rougeurs ressortaient à merveille, et la jeune femme aux cheveux bouclés s’abandonna en moi, crachant sa semence.

Quand elle se retira, je m’effondrai sur le sol, baignant dans une flaque de sueur, de mouille, et de sperme, contre les jambes de ma Maîtresse. Celle-ci n’eut pas besoin de dire quoi que ce soit que je me penchai déjà vers ses jambes, et les embrassai, les léchant spontanément, en signe de ma profonde servitude, de ma soumission totale à celle-ci. Elle me donna alors un ordre, et je regardai Mélinda, avant de m’exécuter :

« Merci, Mélinda, merci de m’avoir... De m’avoir baisé si fort... »

Celle-ci sourit malicieusement en retour.

« Tu es une bonne salope, Asuka. Je suis toujours un peu frustrée de ne pas t’avoir comme esclave, mais... Desmina s’occupera très bien de toi, j’en suis convaincue. »

Elle me tapota affectueusement la tête, comme une petite chienne.

« Pourquoi te déguiser en lycéenne, Desmina ? Je croyais que les démons n’aimaient pas recevoir des ordres des humains. Tu serais bien mieux en professeur, surtout pour tourmenter Asuka... »

Mélinda se rapprocha alors de Desmina, et caressa son corps.

« En tout cas, tu es magnifique... Je connais une démone qui adorerait en savoir plus sur toi. Tu lui ressembles un peu, d’ailleurs... »

Je soupirai encore, pendant que mes pensées me trahissaient en imaginant Desmina en professeur sévère, dans un costume sombre et serré... J’avais encore du boulot à faire pour protéger mes fantasmes de la curiosité de ma Maîtresse, moi !

13
Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: lundi 01 octobre 2018, 01:05:48 »
J’étais totalement en transe. Je ne comprenais plus rien, et, avec les deux verges qui me défonçaient, je n’arrivai plus à me contrôler. Je passais mon temps à gémir, à hurler, à me tortiller sur place, tandis que ma Maîtresse parlait à l’autre femme, à Mélinda, comme si... Comme si je n’étais rien de plus qu’un vulgaire trou qu’elle labourait. Elle me pinçait les seins au passage, tout en continuant à me faire longuement l’amour. Son vit dans mon cul continuait à me ramoner, et Mélinda n’était pas en reste. Ses doigts griffus lacéraient ma chair à hauteur de mes cuisses, et elle les posa ensuite sur mes fesses, torturant monc ul pendant que Maîtresse Desmina pinçait mes seins.

« Hmmmm... !! »

Mes longs soupirs se déversaient dans ma poitrine, et j’avais encore du mal à répondre à ma Maîtresse, qui évoquait la publicité de m’emmener en Enfer avec elle, de faire de moi son esclave « pour l’éternité »... Je couinai donc, hochant lentement la tête. Là, sous l’effet de l’excitation sexuelle, tout mon corps était transi de désir, et je n’étais plus en état de songer à autre chose qu’à ce que je voulais. Être une esclave, servir ma Maîtresse jusqu’à l’éternité, être sa petite chienne... Oh oui, oui, tout ça me faisait follement fantasmer ! Là, je m’imaginai lui lécher longuement les pieds, subir pendant des heures les assauts de sa féroce trique tandis que j’aurais un collier autour du cou.

Rien de tout cela n’était clair pour moi, je n’étais plus en mesure de me contrôler. Je continuai donc à gémir, mouillant tandis que deux solides queues me pilonnaient, appartenant à deux magnifiques femmes. Nos corps se frottaient les uns contre les autres, leurs onctueux soupirs emplissaient mes oreilles, et Mélinda revenait régulièrement m’embrasser. Ses lèvres étaient magnifiques, d’une incroyable tendresse, et moi, mes bras ballottaient en l’air, se relevant parfois pour saisir les cheveux de la femme. J’essayai de conserver le contrôle, autant que possible, mais, en réalité, il n’y avait plus rien, ou presque, que je ne pouvais contrôler, si ce n’est ma propre propension à avoir des orgasmes en série.

Ma Maîtresse continuait à me sodomiser, déformant mes parois anales, et je faisais face à une dose de plaisir incroyable. Une belle prise en sandwich. Yeux clos, je visualisai la scène, les deux corps se frottant à moi,  deux belles beautés qui me torturaient sexuellement, me faisant gémir, encore, et encore, ou même hurler, surtout quand elles agrémentaient leurs coups de reins de pincements, voire de morsures ! Des morsures ! Ces femmes étaient vraiment monstrueuses ! Mais je ne pouvais pas nier que j’adorais ça !

« Mmmhh... Haaaaann, Maîtresse, haaaaa... !! »

Le seul fait de réussir à dire cela relevait, en soi, du miracle, tant je me faisais joyeusement bourrer. Et, tandis qu’elles continuaient à me prendre, et qu’un orgasme me traversait, Maîtresse Desmina s’enquit de la présence de Mélinda ici, presque comme si elles étaient dans un salon de thé. En même temps, il fallait bien avouer que Mélinda témoignait du même calme surnaturel que ma Maîtresse en me baisant, contrôlant ses coups de reins, donnant des coups secs, rapides, et profonds.

Mélinda sourit d’ailleurs devant la remarque de Desmina, et releva son visage pour la regarder, se pressant contre mon corps, m’étouffant sur place quand les corps des deux femmes s’écrasaient sur le mien, me noyant sous un solide cocon de douceur et de chaleur.

« Oh, hmmm... Pas de simples chiennes, non... Tu n’imagines pas... Comment les filles d’ici sont douées et... Appréciées là d’où je viens, hmmm... Ce lycée... Il n’est qu’une couverture, un terrain de chasse pour des gens comme toi et moi. Un endroit exceptionnel, hmmm... Où la finalité première est d’éduquer sexuellement les élèves qui y sont. »

Ce qui était sûr, c’est que ce n’était pas moi qui pourrais, au vu de ma position, prétendre le contraire...

14
Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: lundi 24 septembre 2018, 01:21:45 »
Je me trouvai en situation... Incroyable. Honnêtement, j’avais encore du mal à réaliser clairement ce qui m’arrivait. Ma Maîtresse me baisait sur les toilettes, et, devant moi, il y avait cette étonnante élève, Mélinda Warren, qui, non seulement était une Maîtresse, mais aussi... Une vampire ! Je ne comprenais plus rien, si ce n’est qu’elle avait, elle aussi, une queue, qu’elle me fourra dans la bouche. Décidément, je découvrais un tout nouvel aspect du lycée Mishima, et je n pus que soupirer, déplaçant mes mains pour les appuyer sur le corps de Mélinda. Cette fille m’avait toujours intrigué, et le fait d’apprendre qu’elle voulait de moi pour être son esclave... Pouvais-je donc être si populaire ? Cette nouvelle était très surprenante, et, tandis que je m’y faisais, les femmes continuaient à me bourrer. Maîtresse serra davantage mon corps contre le sien, et je déglutis doucement, sentant la verge de Mélinda, grosse et massive, aussi épaisse que celle de ma Maîtresse, s’enfoncer jusqu’à la garde. La main de ma Maîtresse frôla mon visage, et caressa les testicules de la vampire, comme pour l’accompagner. Moi, je recouvrai sa verge de ma délicieuse salive, et, tandis que le temps passait, ma Maîtresse décida de passer aux choses sérieuses.

Elle se retira brusquement de mon vagin trempé, et me tira doucement en arrière. Mon dos heurta son ventre, et je soupirai alors, ayant très chaud, voyant Mélinda se déplacer encore. La femme s’était intégralement déshabillée, à l’exception de ses collants, et, soudain, je sentis le vit de Maîtresse Desmina s’approcher de mon fondement. Elle n’allait tout de même pas...

« Maî-Maîtresse, nnn... »

Quand même pas ! Je voulais lui dire de ne pas le faire, mais, au même moment, sa queue s’enfonça dans ma rondelle. Mes yeux s’écarquillèrent, et un cri mourut dans ma poitrine, tandis que la femme enfonça durement son chibre en moi. Mes yeux se révulsèrent dans leurs orbites, et un gémissement ténu s’échappa de mes lèvres. Toutefois, le pire était encore à venir, car Maîtresse Demsina s’était déplacée. Elle avait posé ses mains sur mes cuisses, et, rapidement, Mélinda la rejoignit. Les mains griffues de la vampire se posèrent sur mes fesses, en soutien, et elle me pénétra à son tour, s’enfonçant dans ma chatte trempée. Sentir ces deux femmes se coller à moi m’arracha alors un premier cri, puis, quand elles se retirèrent toutes les deux, et s’enfoncèrent de nouveau, un nouveau cri s’échappa de mes lèvres.

« Haaaaannn...
 -  Si étroite, et pourtant, hmmm, ta chatte se déforme bien... Ta Maîtresse n’a pas dû t’épargner, hein, petite salope ? »

Mais où diable avais-je débarqué ? Où donc étais-je pour que ces femmes m’insultent aussi librement, sans aucune gêne ? Je rougis furieusement en me pinçant encore les lèvres, sentant les deux bites s’enfoncer en moi. Le pire, c’est que je frissonnai à chaque fois qu’elles m’insultaient, ou que... Mélinda m’arracha encore un cri en pinçant brusquement mes fesses, facilitant ainsi les mouvements de la femme. Ma main se posa sur l’épaule de la vampire, et l’autre tapa contre la cloison des toilettes. Mon corps continuait à rebondir, sans défense, ballotté entre ces deux terribles beautés. Une démone, une vampire... Et une pauvre humaine entre les deux qui se faisait maltraiter par elles !

Le fait est qu’elles n’y allaient pas de main morte. Tout en me torturant sexuellement, et en me faisant enchaîner les orgasmes, et même en me faisant couler des larmes, Mélinda continua à parler, serrant et collant son corps contre le mien :

« Alors... Hmmm... Tu comptes rester ici longtemps... Des-Desmina, hmmm... ? »

Elles n’allaient tout de même pas se mettre à discuter tout en me baisant, si ?!

Ah, ces pestes étaient terribles dans leur domaine !

15
Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: samedi 08 septembre 2018, 15:35:33 »
Autant dire que je n’étais clairement pas en état de réaliser que nous n’étions plus seules, et que nos ébats avaient attiré très rapidement d’autres femmes de puissance ici. En fait, je ne savais pas que Mélinda avait bloqué l’entrée des toilettes avec l’aide d’une surveillante, qui était l’une de ses esclaves, et qu’elle utilisait en ce moment un téléphone portable pour filmer la scène, ou, surtout, l’enregistrer. Après tout, je ne cessai de hurler, de gémir, tandis que les faibles murs de la cabine tremblaient sous nos coups de reins. Moi, là, j’étais clairement ailleurs. Envolée, la jeune femme timide, la jeune élève nerveuse, je me transformai en une pure perverse… Ce qui n’échappait nullement à ma Maîtresse, et moi, bien obéissante, je ne pouvais que lui répondre :

« H-Han, Maî-Maîtresse, hmmm… !! O-Oui, je… Hmmm… Je… Haaa… »

Nouvelle claque, une bonne fessée pour m’inculquer le respect. Yeux clos, je m’appuyai contre la cuvette des toilettes, crachant ma salive sous les puissants coups de reins de ma Maîtresse. J’étais évidemment surexcitée par la situation présente, par ce qu’elle me faisait, par le fait que je couchais avec une démone dans les toilettes du lycée (dans les toilettes du lycée, bon sang !), que, tout en couinant, je me mis à hurler, yeux clos, les joues en feu :

« JE SUIS UNE GROSSE SALOPE SOUMISE QUI AIME SE FAIRE DÉFONCER LA CHATTE PAR SA MAÎTRESSE !! »

C’était sorti. Comme ça. Sans crier gare. Une phrase qui s’accompagna de gémissements et de hurlements, avant que je ne sente ma Maîtresse me retourner. J’étais comme un vulgaire poupée de chiffon entre ses bras, et, après quelques instants, je me retrouvai assise sur les cuisses de ma Maîtresse, celle-ci posant ses mains sur mes cuisses pour les écarter. Je couinai encore… Avant de voir la porte s’ouvrir. Mes yeux s’écarquillèrent brusquement en voyant une jeune femme devant nous, un téléphone portable à la main, me filmant, zoomant visiblement sur le phallus planté dans ma chatte… Et ce pile au moment où j’atteignais mon orgasme.

Je me mis à gémir devant l’objectif de la caméra, et jouis donc en direct, gémissant profondément, la mouille dégoulinant sur le sol, coulant le long des toilettes, tandis que la femme se mit à glousser. Je la reconnus ensuite, et déglutis doucement.

« Mé… Mélinda… ?! »

Ma Maîtresse m’avait dit de lui dire bonjour, mais la panique se mit à croître tandis que la femme devant moi se mit doucement à glousser. Sérieusement… Qu’est-ce qu’elle fichait ici ?! Je sentis la panique croître, mais, avec la queue de ma Maîtresse bien plantée en moi… Réfléchir devenait difficile !

« Tu n’as pas entendu ce que ta Maîtresse t’a dit, petite Asuka ?
 -  Haaa… Je… Hmmm… »

Je me pinçai les lèvres, me demandant si tout cela n’était pas un piège de ma Maîtresse. Il y avait tant de rumeurs circulant sur cette Mélinda… Une élève très souvent absente, et dont l’absentéisme ne dérangeait personne. Les professeurs ne lui disaient jamais rien, et j’étais partagée entre une certaine forme de peur, de fascination, et aussi de sincère excitation en pensant à elle, car… Et bien, toute considération mise de côté, elle était d’une beauté incroyable ! Une beauté angélique, mais qui semblait presque trop belle, avec son visage de porcelaine, pour être réelle !

Je sentis ma Maîtresse me pincer, et couinai encore, sentant sa langue et ses dents dans le creux de mon cou.

« Hnnn… Bon… Bonjour, haaaa…
 -  J’ai été devancée, tu sais… Je comptais m’inscrire à l’une de tes séances de kinbaku pour t’attacher moi-même, et te baiser comme une truie… Mais j’ai été devancée. »

Je me mis à rougir, étrangement gênée d’apprendre que tant de femmes voulaient m’asservir. Ce lycée était incroyable ! C’était un véritable baptême, aujourd’hui, où je découvrais une facette incroyable du lycée ! Je vis alors Mélinda poser le téléphone à côté d’elle, puis se déshabiller lentement. Elle déboutonna son chemisier, et le posa au sol, ainsi que sa minijupe, révélant un corps magnifique. Elle avait une superbe poitrine, parfaitement proportionnée, une très longue chevelure, et se déshabilla totalement… Exhibant entre ses cuisses une grosse verge en érection, un vit dressé et légèrement trempé, qui me fit déglutir.

Mélinda se déplaça doucement, approchant sa verge de mes lèvres. J’avais les yeux rivés sur sa queue, ce qui fit que je ne pouvais pas voir son regard, car j’aurais alors vu ses yeux se mettre à rougeoyer. Elle souriait malicieusement révélant toutefois des dents pointues.

« Tu n’es pas la seule démone ici, tu sais… Montre-moi à quoi tu ressembles, Desmina… »

Elle savait que ma Maîtresse était une démone ? J’avais plein de questions à poser, mais je pensais surtout à la verge qui me défonçait la chatte… Et à celle qui dansait devant moi, caressant mon menton.

« Ne vous en faites pas, notre prochain cours a lieu avec l’une de mes esclaves… Nous pouvons arriver en retard, elle ne dira rien. Mais toi, petite chienne, ouvre bien la bouche… »

Je sentis la main de Mélinda serrer mes cheveux, son autre main se posant sur la base de son sexe, et elle fourra sa queue dans ma bouche, m’arrachant un long soupir, tandis que je continuai à me faire pilonner la chatte par ma Maîtresse, ce qui, somme toute, m’approchait d’un second orgasme.

Et moi, j’étais prise entre deux superbes femmes, qui avaient l’air d’être aussi autoritaires que belles…

…Comment est-ce que je ne pouvais pas jouir en série, moi ?!

Pages: [1] 2 3 ... 5