Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Sakura Wazaki / Black Oni

Pages: [1]
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La zone industrielle / Re : Deux arts pour tuer [Les Saintes]
« le: lundi 19 octobre 2015, 19:02:07 »
Je courrais, serrant fermement cette main sur ma plaie. sans cette main, nul doute que j'aurais laissé du sang et mon attaque furtive avait faillit me faire lâcher la pression. Il fallait que je reste prudente, la moindre goutte de sang sur les lieux pourrait m'être fatale. J'entendais derrière une des étrangère se mettre à dire qu'elle me poursuivait.  Je n'avais pas le temps de me poser la question, comment elle avait put savoir que j'étais une femme, ayant toujours mon masque sur le visage. Je vins à ouvrir d'un coup de l'épaule valide, la porte qui menait à l'extérieur.

D'un rapide coup d'oeil je vis la bâche, mais tenter l'oni n'était pas une bonne solution. Je fis donc de petite chutes, dans l'idée de me réceptionner à chaque fois. La descente me paraissais trop lente, mais c'était le prix pour éviter de semer mon sang sur les lieux.  Je pouvais observer, une fois les pied au sol, la nonne sauter. Il ne fallait pas rester immobile et partie en courant en ne me souciant pas de cette immonde occidentale.  Je pris une chemin différent de l'entrée, afin d'éviter de possible guet-apens, mais très vite deux véhicules de polices se mirent en travers du couloir que j'empruntais. Je ne devais pas hésiter et c'est l'étrangère qui vint à me parler.

Aussi répugnante pouvait être cette main et cette parole, je ne pouvais qu'être d'accord sur le fait que ce chemin était bloqué. Je suivis donc, à contre-coeur cette femme noire.  Une autre vint à surgir. Sous mon masque je ne pouvais qu'être haïneuse, si elle n'était pas apparu, j'aurais pus l'utiliser pour fuir plus aisément. Maintenant la police allait faire un lien entre ses étrangère et Black Oni, une véritable insulte d'être associé à ses immondes humaines utilisant des armes à feu d'autres nations.

Pour descendre dans les égouts, je du retirer mon ruban rouge, pour faire un bandage, afin de ne pas laisser de sang lors de ma descente. Je ne pouvais utiliser que ma main  droite, ne désirant pas faire davantage saigner ma blessure. Une fois pied au sol, je vins à sentir de léger vertige. Avec tout ça j'avais oublié le chrono. Avec le bandage improvisé, cela devrais aller, tant que je ne force pas, mais il était hors de question de montrer ma faiblesse devant des étrangères.

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La zone industrielle / Re : Deux arts pour tuer [Les Saintes]
« le: dimanche 04 octobre 2015, 12:36:36 »
Je la voyais rebrousser chemin et retirais, une nouvelle fois, ma lame. Je vins à écouter les propos, ne supportant pas cet accent étranger. LEs entendands s'éloigner je vint à regarder leurs chemins, elles prenaient l'étage. Elles allaient faire le ménage que je devais faire. Je retire ma lame et allais ouvrir la porte lorsque mon instinct m'avertissait d'un danger.

Immédiatement je tournais la lame, pour observer derrière moi et vit une dague volée ver mon cou. Sans réfléchir plus loin, je fis une roulade, entendant la lame adverse s’enfoncer. Je pouvais voir à présent cet ennemi. Un sorte de ninja, mais la technologie et surtout l'apparence me dégouttais plus que m'effrayais.

- Saleté d'occidentaux.

Une personne censée aurait saisit le filin de l'arme, mais je n'étaie pas dupe. Nous étions tout les deux masqué et son expérience était palpable. Cet adversaire avait plus tué que moi, c'est alors qu'il vint à disparaître devant mes yeux., l'arme et le filin aussi. Je n'était pas idiote au point de croire à de la magie venant des étrangers. Il devait s'agir d'une technologie pour se fondre dans l'environnement, supposant dont que depuis tout à l'heure il n'avait cessé de m'observer. La seule chose à faire était de se calmer. Fermer les yeux et aiguiser un sens. Mes lames virent devant moi, formant un espace où il ne pouvait attaquer. Pour le commun des mortel, cette technique semblait surréaliste, mais avec des jours d'entrainement, cela était réalisable. J'attendais patiement. Entendant alors le sifflement d'une dague que je vins à esquiver en tournant sur la droite et utilisant la dague de ma main droite pour fendre l'air. Un petit bruit de pas se fit entendre. Je ne devais l'avoir raté que de peu.

C'est alors que je le revoyais, un filin  menant vers moi. Je n'eus pas le temps d'esquiver son geste, la lame qu'il avait planté derrière moi vint à revenir dans sa main, me lacérant l'épaule au passage. Immédiatement, je rangea la dague de ma main droite pour apposer cette dernière sur la plaie. Il ne fallait pas que mon sang soit retrouvé sur place. De cette oeil orangé, je pouvais presque sentir le sourire taquin que cette ennemi me lançait.

- Je te buterais pour cet affront, sale engeance occidentale.

Il vint à sauter de l'a fenêtre, voyant un autre de ses alliés. Je vins à avoir un sourire amer. Ils m'avaient prit mes proies, ses étrangers qui prenaient notre terre comme leurs terrains de jeux. J'étais pour le moment dans une situation difficile. Il me fallait fuir rapidement et hors de question de prendre le même chemin que ses créatures de technologies, la chute risquant de me blesser. Il ne restait plus qu'une solution, tout aussi dangereuse. Je pris une profonde inspiration et vint à ouvrir la porte en courant, passant à côté  des religieuses occidentale, l'une d'elle était trop proche et je profitais de ma courses pour fauche son pied et la faire tomber. ainsi les autres seraient gênée.

Il me fallait à présent fuir le plus vite possible, pour éviter de laisser mon sang et surtout stopper le saignement sous peine de tomber d’épuisement. Le chrono était lancé, ma dague dans ma main gauche, j'étais prête à trancher un chemin, ne désirant pas penser à leurs armes répugnante.

3
*S'incline devant la gérante.*

Heureuse de vous rencontrer Takabane-senpaï.

*Retourne étudier*

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La zone industrielle / Re : Deux arts pour tuer [Les Saintes]
« le: samedi 08 août 2015, 13:56:42 »
Ma lame bougeait légèrement, il fallait la jouer fine. Je vis les femmes surgirent du carrefour, trois, rien que trois ? Cela ne présageait rien de bon, de plus elles étaient équipées d'armes à feu, des armes typiquement occidentales. Ce genre d'armes me répugnait, une arme qui tue à distance, qui n'a aucun honneur, mais surtout, qui est issus du savoir des étrangers et non de la nation japonaise. Pour couronner le tout une des femmes vint à parler, elle n'était pas japonaise, son très léger accent trahissait une nationalisé toute autre, je ne pouvais dire laquelle, mais cela vint à m'énerver. Voilà que les occidentaux se chargeait d'affaires qui n'étaient pas la leur, nous étions sur le sol japonais et cette affaire était donc aux mains des Japonais, pas d'étranger.

Je vins à retirer ma lame alors qu'une des attaquantes vint en direction du bureau, je devais être prudente. La moindre erreur pouvait me coûter la vie. Encore une fois la possibilité de sauter par une fenêtre pour fuir était inenvisageable, qui sait si d'autres de ses femmes, en croyante occidentale, étaient dehors. Mon seul moyen, actuellement, était d'attendre qu'une opportunité se fasse. J'entendis les pas s'éloigner et recommença mon stratagème, observant cette femme seule et les deux autres qui avaient visiblement pris l'autre direction. L'étrangère seule était la plus proche et la plus aisée à prendre par surprise.

Elle utilisa une grenade, me préparant à avoir les oreilles qui sifflent, mais rien n'arriva si ce n'est un bruit diffus. Ce n'était pas une de ses grenades qui fait une lumière et assourdie la cible. Les autres femmes ne semblaient pas réagir à cette action, mais, j'attendais. Elle devait entrer dans la pièce, ainsi les deux autres femmes ne la verraient pas et je pourrais me faufiler pour la rejoindre. Le tout était de bien caler mon action afin que les deux autres ne puissent me voir, l'une d'entre elles ayant tout de même deux armes, donc la plus dangereuse.

Maîtriser une personne n'était pas difficile, une dague sous la gorge et une autre pointant au niveau du cœur suffisait largement à rendre coopératifs n'importe qui. Certes, cela n'offrait pas beaucoup de défense, mais le fait de pointer deux endroits faibles rendait toute tentative d'attaque de la cible très dangereuse, voire mortelle.

Il fallait attendre de voir si cette femme allait entrer dans le bureau ou fouiller la pièce où j'étais cachée. Dans le second cas, je n'aurais d'autre choix que refaire ma technique pour me suspendre au-dessus de la porte, même si cette fois, je ne devrais pas hésiter à frapper une de ses épaules pour la rendre incapable d'utiliser son arme.

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La zone industrielle / Re : Deux arts pour tuer [Les Saintes]
« le: samedi 08 août 2015, 02:25:02 »
Je pouvais entendre la fureur du combat à l'extérieur. Les attaquants n'y allaient pas de main morte, explosion, bruit de balle, c'était presque à croire que l'armée venait de débarquer pour faire table rase de cet endroit, raison de plus pour ne pas bouger. Le chef devait être protégé et ce bâtiment était visiblement conçu pour que le bureau soit le dernier rempart. Cette diversion m'était donc favorable, car je pouvais toucher ma cible sans avoir à passer toute les murailles ou me dépenser à tuer les gardes. Tenir la position était difficile, donc je pris soin de fermer mes yeux et reposer autant que possible mon corps.


Ce fut à cet instant que des bruits de pas arrivèrent à mon oreille, il devait y avoir trois hommes, l'un d'eux vint à ouvrir la porte, criant aux deux autres.


- Protégez cette porte, ne laissez pas ses folles venir jusqu'ici, j'appelle des renforts.


Il s'agissait bien de ma cible, son corps tremblait de peur, sa voix résonnait d'inquiétude. Je ne niais pas que cette apparence misérable me donnait presque envie de jouer avec lui, de le faire pousser de longs cris de douleur. Mais, je n'en avais pas le temps, il fallait que je fauche cette âme impure avant que les assaillants ne le fassent à ma place, mon nom d'assassin était en jeu. J'attendais qu'il ferme la porte et se dirige vers la vitre pour retirer mes dagues d'une seule main, l'autre tenant mon katana. Ce n'était pas difficile pour moi de retomber sans bruit sur le sol quand la seconde dague fut retirée.


Pendant ce temps, il regardait le spectacle à l'extérieur, me laissant tout le loisir de me diriger vers lui. Cependant, le reflet du verre vint sans doute à me trahir, se retournant rapidement. Je n'avais pas d'autre choix que de charger et le frapper de mon katana. Il n'eut pas le temps de crier, ayant mis ma main sur sa bouche, alors que la lame perforait son Coeur. Je vins à trainer le corps près de la porte, fouillant son cadavre pour trouver un petit pistolet, pouah. Je devais faire avec. Prenant soigneusement l'arme, je fis que le cadavre le tienne, alors que je jetais mon katana près de la porte. Je fis en sorte qu'une détonation survienne et me jette vers mon arme.


Les deux gardes jaillirent, armes en main, le premier vint à se faire transpercer la gorge, contournant son dos pour transpercer, à l'aide d'une dague, le cœur de l'autre. Ma seconde dague transperça le cœur du premier garde, par précaution. Je devais récupérer rapidement, sinon je ne pourrais tenir. Les bruits de coups de feu commencèrent à s'atténuer et vint à nettoyer mes armes, me préparant pour un second combat. Je fis glisser un de mes poignards vers l'embrasure de la porte, tentant de voir s'il y avait du monde, personne. Je ne pouvais entrer et sortir que par la porte principale, passer par la baie vitré était dangereux, les chances d'être prise pour cible étaient trop hautes.


Je pris une profonde inspiration et me mis en mouvement, ma cible était abattue, maintenant, je devais fuir, traquer les survivants pouvait attendre un peu plus. Courir dans un couloir était dangereux, il n'y avait pas beaucoup d'endroits où se cacher et le maniement du katana était trop complexe, devant me battre avec mes deux dagues. Un coup de feu non loin vint à stopper ma course, étant proche d'un carrefour, m'accroupissant pour être moins visible. J'entendais les pas, mais ce qui me dérangeait était plus les bruits des talons, des femmes ? Je n'en avais pas observé pendant ses trois jours. Le groupe des attaquants ? Sans doute.


Je lançais un regard derrière moi et vins à faire marche arrière, une confrontation de face équivalait à un suicide, elles étaient plus nombreuses et mieux équipés. Je ne pouvais pas traverser le carrefour sans prendre le risque de me faire cribler. Il fallait éviter la mort par tous les moyens. J'avais donc choisi de me cacher dans une pièce à côté du bureau, une de mes dagues étaient soigneusement glissées pour observer les arrivantes, reprends tes méthodes ma belle, reste calme.

Je devais identifier le leader du groupe, leurs armements. Si le chef n'était pas accessible, je n'aurais qu'à menacer la dernière personne, si aucune ouverture n'était envisageable, je devais les laisser entrer toutes les trois dans le bureau et filer discrètement.

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La zone industrielle / Deux arts pour tuer [Les Saintes]
« le: jeudi 06 août 2015, 22:19:28 »
[commissariat de Seikusu]

- Chef ! Black Oni a mit une nouvelle vidéo.

Les policiers vinrent à s'amasser devant le grand écran pour écouter le message, la voix altérée de l'assassin résonant dans toute la pièce.

- Dans trois jours, il n'y aura pas uniquement une justice rendue, mais plusieurs. Le lieu de l'exécution sera une cage de fer où sont entassés des victimes de ses êtres ayant échappé à votre jugement. Si dans quatre jours, vous ne trouvez pas leurs cadavres, je vous enverrai par courrier les coordonnés de leurs tombes, s'il en reste quelque chose.

[Seikusu, rue des cerisiers]

Je pus lire la réponse sur la chaîne de la police, me faisant bien rire " Tu seras jugé pour tes crimes", ils n'avaient pas réussi à me capturer, comment pouvaient-ils encore croire à cette idiotie. Je continuais d'observer les déplacements de ma première proie. Un yakuza, enfin sans doute n'allait-il pas le rester longtemps, vu qu'il s'était déjà fait pincer une fois par la police et placé sous surveillance. Il était difficile de le pister sans se faire remarquer par les forces de l'ordre. Ses derniers avaient heureusement oublié que l'observation ne se fait pas nécessairement par le sol, les toits étaient aussi une bonne méthode pour se dissimuler, profitant de la courbure des toits. Le danger principal étant de ne pas se rater sous peine de se briser un os. J'utilisais une paire de jumelles, ayant différentes lentilles et permettait un zoom plus important. C'était bien plus physique que de le suivre au sol, mais cela me rendait moins visible de ma cible et ses poursuivants. Les humains sont en haut de la chaînes alimentaires, le manque de prédateurs l'ayant fait perdre l'initiative de toujours observer le ciel.

[ Deux jours plus tard, 21H00]

Je me préparais, mettant une poudre blanche sur ma peau, préalablement enduite d'un liquide qui fera tenir la poudre plus longtemps, si le temps n'est pas à mon avantage. Je me vêtis de ma tenue noir et rouge, prenant grand soin à bien serrer au niveau de la ceinture et que mes gestes restent faciles. Je vins à joindre mes mains devant un autel, priant les jashins, divinités du Mal, de guider mon bras vengeur. Prier une divinité bienfaisante serait un outrage que mon éducation m'interdisait, les divinités japonaises doivent être louées et craintes, par contre pour les divinités des étrangers, nulles crainte ne devait être éprouvée si ce n'est du mépris. Une fois ma prière adressée, je mis mon masque et pris les armes servant à mon jugement. Je sortis d'une grotte à l'extérieur de la ville, où aucune personne n'osait y aller et où il n'y avait que cet autel.

Je savais que dans une heure la cible principale serait dans l'entrepôt, aussi n'avais-je qu'à m'infiltrer dans cet endroit et commencer à tuer ses êtres répugnants. Je fis le chemin par les toits, la police patrouillait énormément, ayant tenu compte de mon message. Mais elle n'allait pas m'avoir aussi facilement. Une fois proche de l'endroit, je pris un tout autre chemin, passant par les docks, me faufilant pour éviter de me faire voir. Deux voix se mirent à surgir dans l'angle de l'entrepôt. Deux hommes dont un qui semblait fumer.

- Il y a beaucoup de flics aujourd'hui, tu crois qu'il faudrait demander au boss de retarder la vente ?

- N'y pense même pas, on a déjà pris assez de retard, le lot d'aujourd'hui est intéress ...

Je n'avais aucun intérêt à les attaquer, bouger les corps entraînerait des traces de sang. Je ne pouvais donc pas passer par là. Je fis demi-tour, essayant de trouver une autre entrée plus aisée. Le choix vint à se porter par une des fenêtres du toit, ayant dû grimper sur un tuyau suffisamment solide pour supporter mon poids. Je n'eus aucune difficulté à ouvrir cette fenêtre, n'étant de base pas à porté de mains humaines, me permettant d'atterrir directement sur un échafaudage, sans doute allaient-ils changer l'halogène présent non loin. Je vins à descendre et entendit un bruit de pas. Je n'avais pas d'autre choix que de me dissimuler dans l'ombre en ne regardant pas directement la personne qui entrait.

Ce n'était pas ma cible, cependant, il était dans un coin sombre. Il téléphonait, le distrayant. Je vins à bouger de façon très lente, afin qu'il ne repère par mon mouvement. Je dégainais doucement mon katana et attendis qu'il raccroche son appareil pour transpercer sa gorge, alors qu'une dague japonaise vint à transpercer son cœur. Je n'eus pas grand mal à le faire tomber dans un coin très sombre. Je pris soin d'effacer les quelques traces de sang. Un de moins. Je retirais le sang sur les deux lames, pour éviter qu'elles n'accrochent au fourreau. Je devais me dépêcher de trouver ma cible et la tuer.

Il ne fut pas difficile de trouver le bureau où il devrait bientôt se rendre, entrant en tuant au passage un garde un peu trop relaxé. Ils n'étaient rien à mes yeux, encore moins que rien, surtout au vu de l'état des humains que j'avais pu observer pendant mon infiltration. Alors que je fermais la porte, un bruit de confrontation se faisait entendre.

Qu'est-ce qui se passait ? Je devais éviter de me trouver entre deux feux. Sortir de cette pièce était une mauvaise idée, les armes des occidentaux ont rapidements gangrénées notre art ancestral. Je devais trouver une cachette qui m'offrait une option de replis et aussi une option d'attaque intéressante.

Je sortis donc deux dagues de mes manches, venant les planter en profondeur dans le bois de l'encadrement de la porte, de ses deux appuis, je vins à m'y hisser, étant positionnée pour faire une attaque par le haut, mon katana dégainé et prêt à agir. S'ils étaient nombreux, je devais frapper le dernier pour m'en servir comme bouclier, s'il était seul, je n'aurais qu'à le tuer et changer d'angle d'attaque. Je devais aussi savoir qui était l'autre groupe se confrontant avec mes proies. Il fallait aussi penser à la fuite si la police venait à débarquer.


7
*Observe d'un mauvais oeil l'esprit malin*

(Bienvenue, j'adore l'avatar.  :)  )

8
Le coin du chalant / Trame de sueur et de sang.
« le: lundi 03 août 2015, 15:54:45 »
Sakura Wazaki :

Sakura est une élève modèle, pouvant vous servir à vous améliorer, comme possiblement vous agacer.

Elle utilise souvent les transports en commun pour rentrer dans une petite maison de quartier assez sympas.

Sakura aide souvent le prêtre du temple dans le nettoyage des lieux, portant la tenue de prêtresse.

Black Oni :

Vous êtes à la poursuite d'un criminel, manque de chance la tueuse aussi (vous pouvez avoir le criminel en vie ou pas.)

Pour une raison ou une autre, vous décidez de provoquer la tueuse à venir vous tuer, mais cela va-t-il marcher ?

Vous alliez être victime d'un viol ou d'un meurtre et Black Oni vous sauves la peau.

9
Prélude / Re : Tueuse en série au nom de la Justice. [Kõya]
« le: samedi 01 août 2015, 03:21:27 »
première correction faite.  ^^

10
Prélude / Tueuse en série au nom de la Justice. [Validatedée]
« le: vendredi 31 juillet 2015, 02:13:35 »
          Black Oni est apparu depuis peu sur le net et aussi dans les journaux.

        Tout commença par une  vidéo sur une chaîne qui se propagea, annonçant la mort de personnes ayant évité la justice. La description de ce tueur se fait donc à partir de ses vidéos. Une personne de taille assez moyenne pour un Japonais, une longue chevelure obscure comme l'ébène, une peau excessivement blanche. Les policiers pensent que le tueur utilise un produit quelconque pour blanchir sa peau à ce point, car on pourrait croire qu'il a une peau similaire au marbre blanc. Personne n'a pu voir son visage, ce dernier étant dissimulé sous un masque de démon noir aux yeux rouge.
       Le noir et le rouge sont des couleurs dominantes chez ce tueur, portant toujours sur les vidéos un ruban rouge, la piste d'une tueuse a été envisagée, mais pas soutenue faute de preuve concrète. Il porte une tenue traditionnelle japonaise, mais cette dernière est noir et rouge.

        Sur le profil psychologique, il n'existe pour l'instant que des hypothèses, Black Oni ne semblant pas avoir un trouble mental particulier, ni être un simple copiste, malgré le fait qu'il emploi les mêmes méthodes de meurtre que le criminel traqué. On se souvient notamment d'un criminel qui faisait dissoudre des membres dans des solutions corrosives et qui s'est vu mourir de la même manière par le tueur en série. Une chose est cependant certaine, ce n'est pas une personne dénuée d'intelligence, prenant soin d'effacer toute trace de son passage, sa seule signature sont les vidéos postées sur la chaîne internet, à des endroits et supports différents qui ne permettent pas de remonter jusqu'à lui en retraçant l'IP des ordinateurs, tombant à des cyber-cafés la majorité du temps..

        La presse porte deux versions de Black Oni, soit un tueur en série, soit un justicier vengeur. La police préfère le faire passer pour un simple tueur, afin de lancer du discrédit sur son image, qui commence à plaire sur le net. Nombre de personnes veulent le rencontrer, mais le message posté est toujours le même "Je ne me présenterais que lorsque le moment sera venu.". Ce message ne possède pas un sens précis, pouvant être interprété de beaucoup de manières.

        Le timbre de sa voix n'a pu être analysé, du fait qu'elle a été subtilement trafiquée, donnant à ce personnage un côté mystique, ajoutant au rôle de démon de la Justice qu'il met en avant.

        Jusqu'à ce jour personne ne sait que derrière ce rôle se cache Sakura Wazaki, une humaine de 18 ans au passé assez lugubre.

       Elle est hétéro, tout le monde sait que cette lycéenne s'est entichée d'un professeur qui est mort dans un accident de la route pas si accidentelle que ça. On raconte qu'ils ont déjà couché ensemble, mettant en doute de ce fait sa possible virginité.

        Sakura, bien qu'ayant dû encaisser la mort du professeur, semble rester joyeuse. Elle joue en vérité une comédie, étant douée naturellement pour dissimuler sa pensée et ses opinions sous une apparente banalité. Elle excelle dans les domaines nécessitants de la réflexion dépassant la simple relecture de cours, bons nombres de professeurs ayant fait l'éloge de cette étudiante approfondissant le cours. Elle est aussi très douée dans la couture et la pratique du kendo. La pratique de l'art martial a été acceptée sous le couvert d'un psychologue qui jugeait la discipline mentale utile pour Sakura. Le pauvre ne pouvait savoir que cette pratique sert en vérité à raffermir l'esprit de la tueuse dans sa tâche vengeresse.
        Elle est très sociable, mais refoule sans pitié les prétendants, que cela soit des hommes, des femmes ou des personnes influentes. Sakura est une personne ayant une grande fierté et considérant ses crimes comme une action cruciale. Tuer ne la fait plus frémir, elle ne peut pardonner aux personnes corrompant la société pour en tirer un bénéfice personnel. Elle considère les héros comme une menace sérieuse, sachant qu'elle est une simple humaine, mais si l'un d'eux se dresse sur son chemin, elle n'hésitera pas une seule seconde à être classée comme une super-vilaine.

        Sakura porte ses longs cheveux détachés, prenant soin d'éviter les larges rubans rouges, préférence les fins pour se faire deux petites nattes tombant sur le devant de ses épaules. C'est une japonaise de taille moyenne, avec des yeux d'un bleu très clair, qu'elle cache derrière des lentilles rouge, pour se donner un style et effacer ce trait européen causant quelques soucis. Elle est très fière de sa taille de bonnet, devant user de longues bandes pour la réduire de taille quand elle doit se faire passer pour Black Oni. Elle possède un corps légèrement musclé, du fait de la pratique du kendo, ayant aussi des doigts fins par la pratique de la couture.
        En terme de vêtement, elle reste assez vaste dans ses goûts, même si son esprit nationaliste reste tout de même présent lors des fêtes. Hors de question pour elle de débarquer à un festival dans une tenue inadaptée, comme le jean T-shirt. Elle est la première à faire des kimonos, yukatas quand des évènements viennent, il arrive qu'elle confectionne aussi des tenues de maid ou de lapine pour le fantasme des mecs.

        En tant que Sakura, elle n'a pas à trafiquer sa voix, parlant normalement.

        Sakura est la fille d'une japonaise et d'un entrepreneur américain, même si la jeune femme n'a aucun souvenir de son père et ne s'en plaint guère. Elle fut élevée dans une famille assez conservatrice des coutumes, expliquant pourquoi elle n'est pas attirée par la culture étrangère, tolérant simplement sa présence, tant qu'elle ne vient pas à elle ou qu'elle n'en a pas l'utilité. La jeune femme eut une enfance assez stricte, étant d'une famille assez réputée dans la région, elle ne pouvait se permettre de gâcher du temps avec des amis. Sakura passa le plus clair de son temps à travailler, se perfectionner, viser les meilleurs notes pour recevoir un minimum d'affection de sa mère, cette dernière ne parlant qu'avec dégoût de son mari.

        Ce fut au lycée que la jeune demoiselle apprit ce qu'était l'amour. Malheureusement, cette affection était dirigée vers son professeur de littérature et tout le monde sait que les relations entre élèves et professeurs sont tabous. Cela ne fut pas un obstacle insurmontable pour Sakura qui, à la fin de sa première année, vint à confesser ses sentiments envers le professeur, qui n'avait pas été insensible à sa volonté de plaire à l'homme. S'en suivit donc une relation dangereuse où Sakura put découvrir un bonheur qui dura deux ans. Puis ce fut l'annonce au petit matin de sa mort dans un accident de la route. Sakura fut ébranlée et ne put retenir ses sentiments, grillant de ce fait sa relation. Elle suivit l'enquête qui avait été entamée, du fait que le tuyau du liquide de frein avait été visiblement sectionné, soulevant l'hypothèse d'un meurtre avec préméditation.

        Sakura fut interrogée et put assister au jugement du criminel. Ce dernier fut libéré, son avocat le faisant passer pour un fou, donc n'ayant pas conscience de ses actes. Ce fut le déclencheur, donnant naissance à Black Oni. Elle rata des jours de cours, prétextant d'être malade, pour suivre le criminel et attendre le bon moment. Sakura avait conçu son message la veille du meurtre, signalant que le lendemain, un criminel allait mourir pour ses méfaits.

        La cible fut retrouvée morte dans un accident de voiture, le véhicule avait été saboté au niveau du liquide de frein. Elle avait assisté à l'accident, étant dissimulée dans la foule, arborant un visage satisfait. Le criminel était mort sur le coup, sa tendance à rouler vite et piller au feu rouge, pour s'exciter sans doute, avait fini par le tuer, encastré dans un camion. Sakura n'en fut nullement coupable et s'en suivit d'autres jugements, ne pouvant que détester la faiblesse des jurés et augmentant son envie de rendre justice elle-même. S'en suivi la descente vers le meurtre en série.

       Sakura vint à perfectionner son double jeu, devant d'un côté resté au top point de vue note, de l'autre ne pas laisser filer un criminel méritant de subir son jugement. Elle prit de nombreuses vies, mais jamais ne se dit qu'elle agissait mal. Elle agissait au nom de la justice, en quoi pourrait-elle être malfaisante, ne désirant pas devenir une héroïne, car ce n'est qu'en tâchant ses mains de sang qu'elle purifiera ce monde du mal. La lycéenne ne craignait pas de se faire arrêter, elle savait ce qui risquait d'arriver si la police mettait la main sur Black Oni, d'où le peu d'indices sur les lieux de crimes.

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