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Les terres sauvages / Re : Droits de passage [PV Alice]

« le: mardi 20 juin 2017, 22:10:19 »

Tout en écoutant d'une oreille peu intéressée, Sarrah se demandait comment allait-elle s'y prendre exactement avec elles. Tuer l'une puis capturer l'autre lui semblait simple, mais laquelle choisir ? Comment savoir laquelle serait la plus fertile ? Elle regretta un peu de ne pas avoir développée de don ou de pouvoir pour elle-même évaluer la chose. Elle n'en avait que rarement l'utilité après tout : ses léviates choisissaient très bien sans elle. Elle aura sans doute besoin de l'un d'entre eux pour l'aider à se décider.

Elle souriait en voyant la nervosité de la princesse au simple son qui enveloppait les lieux. Elle imaginait sa réaction si elle assistait à la source de ce bruit... C'était peut-être elle qu'elle devait conserver en vie après tout. Elle adorerait assister à cette réaction.

Ne prêtez donc pas attention au bruit... Il ne devrait en aucun cas vous concerner. Continuez plutôt, vous m'intéressez... Vous parliez d'"intérêt mutuel" ?

Les intérêts en question ne l'intéressaient pas vraiment, mais elle s'amusait à voir cette femme tenter de marchander avec elle comme si une telle chose était envisageable.

Je ne vois pas vraiment quel pourrait être mon intérêt à un quelconque accord. Comme vous l'avez sûrement constaté, je n'ai pas besoin de grand chose. Je n'ai nulle armée à nourrir, nulle économie à entretenir... Juste une terre à défendre.

Comme pour ponctuer sa phrase, un nouveau gémissement retentit dans la salle.

Et comme vous pouvez déjà en témoigner, je n'ai pas besoin d'aide sur ce dernier point. Ces cris qui semblent tant vous intriguer sont ceux de mes pires ennemis.

Elle se redressa légèrement, voulant paraître un peu plus menaçante.

Alors dites-moi... Que pensez-vous pouvoir m'offrir pour me convaincre de quoi que ce soit ? La seule chose que je vois à offrir ici sont vos deux personnes.

Elle souria à pleines dents avant de conclure :

Ce qui, je dois l'admettre, peut receler un certain intérêt.

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Les terres sauvages / Re : Droits de passage [PV Alice]

« le: mardi 02 mai 2017, 21:23:06 »

Sarrah attendait à l'entrée de son antre, dans le silence pesant qui lui était propre. Elle avait passé les deux derniers jours à se demander à quoi pouvait ressembler cette femme qui souhaitait parler avec elle, et de quoi elle pouvait bien s'entretenir... Proposer une alliance ? Un accord ? Elle semblait trop renfermée pour ça. Elle avait penser un moment que ça pouvait être une représentante de l'une des bourgades alentours demandant à être épargnée par les raids de ses créatures, mais ses titres semblaient signifier qu'elle était bien plus influente que ça.

La seule chose dont elle était sûre, c'est qu'il s'agissait d'une femme... Et c'était bien là la seule chose qui l'intéressait réellement. Attirer une femme dans son antre de son plein gré... Elle en souriait d'excitation à chaque fois qu'elle y repensait : c'était bien une première. Elle lui avait bien autorisé un garde du corps pour la rassurer, mais qu'importe... Sa magie pourra facilement en faire une bouchée.

Seul problème : elle avait été obligée d'attendre ce jour précis pour pouvoir leur garantir un passage sûr jusqu'à son antre. Non seulement ses chéris seront tous occupés dans le cachot - et elle n'était pas très satisfaite de ne pouvoir assister au spectacle d'ailleurs - mais en plus, si elle leur demande d'intervenir, ils seront soit frustrés de devoir s'interrompre, soit épuisés d'avoir terminé. Mais peu importe, deux personnes pourraient rarement faire le poids face à magie de toutes façons. Du moins c'est ce dont elle était persuadée.

Au crépuscule, deux cavaliers arrivèrent comme promis d'un trot calme jusqu'à elle. Elle sourit en voyant la personne que la princesse avait choisit pour se faire accompagner : une autre femme. Deux victimes pour le prix d'une ? Cette journée s'annonçait grandiose. À la vue de leurs tenues, elle n'eut aucun mal à deviner laquelle était la princesse et laquelle était le soldat chargée de lui donner une illusion de protection. Sarrah, elle, ne portait rien de plus que sa robe blanche habituelle, et bien entendu le médaillon de sa mère dont elle ne se séparait jamais.

La princesse descendit de cheval et baissa sa capuche, puis s'approcha de la maîtresse des lieux, qui la dévisagea longuement. Elle était belle... Il lui semblait presque qu'elle lui ressemblait. Mais elle l'interrompit dans ses pensées :

Madame Rakhan ? Je suis la Princesse Alice Korvander, et je suis sincèrement ravie que vous ayez accepté cette entrevue avec moi. Je vous présente Zyra, qui est chargée de m’assister.

Elle ponctua sa présentation par un bref salut. Pour tout geste de salutation, Sarrah se contenta de sourire. Elle était polie, avec ça. Elle ne voulait pas les attaquer tout de suite, d'abord s'amuser un peu avec elles. Et puis si elle pouvait s'assurer de pouvoir les capturer toutes les deux vivantes, ça n'en serait que meilleur.

Enchantée... Je vous souhaite la bienvenue dans mon repaire. Soyez-en honorées : vous êtes les premières personnes à y être invitées. Je vous invite à me suivre à l'intérieur, ce sera plus... Confortable...

Le confort qu'elle avait aménagé à l'intérieur était en réalité assez rudimentaire, même selon ses propres critères. Mais aller à l'intérieur présentait un tout autre intérêt : la proximité des cachots. Elle marcha nonchalamment vers son grand hall, ayant laissé la grande porte - et toutes les autres issues d'ailleurs - grande ouverte. Elle ne s'était jamais vraiment demander comment ceux-ci pouvaient se fermer d'ailleurs... Le mécanisme était probablement défectueux depuis longtemps après toutes ces années d'abandon de toutes manières.

À l'intérieur, elle avait simplement installé une petite table près de son trône. De l'autre côté, face à elle, deux petites chaises prévues pour ses invitées. Le message de domination qu'elle souhaitait faire paraître était tout sauf subtil.

Sitôt qu'elle entra dans la pièces, les premiers bruits émanant du cachot parvinrent à ses oreilles. De simples sifflements, ceux d'une cinquantaine de léviates excités, qui était en pleine fête de la libération. Elle ferma les yeux en les entendant, un sourire d'extase s'affichant quelques secondes sur son visage, pensant à ce qu'était en train de vivre sa chère sœur. Elle ne ralentit pas pour autant le pas, marchant jusqu'à son trône pour s'y installer confortablement, invitant ses convives à faire de même avec les chaises qui leur étaient destinées. Faisant mine de ne pas faire attention au léger bruit les entourant, elle prit la parole :

À présent, faites-dont moi part du pourquoi vous désiriez tant me parler. J'avoue que votre demande m'a laissée assez... Intriguée.

La voie menant au cachot étant située non loin de la table, on pouvait en tendant l'oreille entendre des gémissements plaintifs féminins par-dessus les sifflements ambiants.

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Les terres sauvages / Re : Au nom de la Rose

« le: mardi 25 novembre 2014, 19:27:57 »

En échange de ses services, ma société demande que vous formiez nos agents à votre sorcellerie et à toutes ses arcanes. Que vous en fassiez vous-même usage devant nos scientifiques pour qu'une étude soit faite.

Sarrah sourit à cette idée. Des apprentis... Probablement facilement manipulables. Cela semblait fort intéressant.

Que vous en fassiez éventuellement usage pour nous soutenir.

Sarrah fronça les sourcils. Combattre pour une cause qui n'était pas la sienne la réjouissait déjà beaucoup moins.

De plus elle demande aussi un de vos leviate pour son service scientifique.

Cette fois, c'est une grimace en bonne et due forme qui s'afficha sur le visage de Sarrah. Céder un de ses précieux serviteurs ? Et puis quoi encore ?

Elle était sur le point de refuser catégoriquement, quand ses léviates attirèrent une fois de plus son attention. Ceux-ci semblaient ne pas pouvoir cesser ce s'exciter davantage. Sarrah percevait leurs désirs croitre sans cesse avec les secondes qui s'écoulaient. Elle tendit les muscles, prête à lancer un sort, sentant la tension d'un combat inévitable s'approcher.

Vous... Vous n'êtes pas humaine. Je n'ai jamais vu une femme seule faire autant d'effet à mes léviates... Qui êtes-vous ?

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Les terres sauvages / Droits de passage [PV Alice]

« le: dimanche 16 novembre 2014, 22:36:59 »

Sarrah prend une grande inspiration, remplissant ses poumons de l'atmosphère lubrique qui émanait de sa forteresse. Ses léviates, rampants de part et d'autre du lieu, étaient encore plus excités que d'habitude. Ils attendaient avec impatience, tout comme Sarrah, la venue du jour de la fête de la libération, qui avait lieu une fois par mois. Et il ne restait plus que deux jours avant le prochain.

Elle regardait sa forêt, détendue et souriante, en pensant à l'événement imminent. Elle aperçoit une patrouille de ses sbires qui revient, visiblement dépités et frustrés. Ils n'ont rien trouvé... C'est de plus en plus fréquent avec le temps, mais Sarrah ne pouvait s'empêcher d'être déçue pour eux.

Alors que son regard allait machinalement vers les nuages, elle aperçut un oiseau... Blanc... Qui se dirigeait visiblement droit sur elle. Etrange... La simple présence de ses léviates suffisait généralement à repousser toutes les créatures animales... Peut-être à cause d'une odeur ? Elle ne s'y était jamais vraiment attardé... Quoi qu'il en soit, celui-ci semblait ne pas s'en soucier, continuant sa route vers elle. Certains de ses léviates en contrebas se dressèrent, tête braquée sur l'oiseau, surpris eux aussi par la présence nonchalante de cet étrange être.

Il se posa sur la bordure du balcon, et se laissa observer par la maitresse des lieux, qui était à présent réellement intriguée par l'animal. Celui-ci n'était pas plus grand qu'une buse, et tenait dans l'une de ses pattes un petit bout de parchemin. Sarrah tandis lentement la main vers celui-ci et l'enleva de son messager, qui se laissa faire. Serait-ce possible que quelqu'un tente directement de s'adresser à elle ?

Elle déplia et lut attentivement le parchemin. Il s'agissait d'une lettre de la part d'une représentante d'Ashnard, lui demandant poliment un entretien diplomatique en vue d'une négociation, et lui demandant où et quand lui conviendrait au mieux. Elle serra un poing. Inviter quelqu'un, qui viendrait ici, de plein gré, à la merci de ses léviates... Quelle idée excitante !

Seul problème : où et quand ? Elle ne voulait certainement pas sortir de son territoire, elle n'aurait pas confiance. Et si elle invite quelqu'un chez elle, il serait violé et/ou tué par une patrouille de ses léviates avant d'arriver à son repaire, excités comme ils sont d'attendre... La fête de la libération ! C'était comme si une petite voix venait de lui souffler cette réponse. A cette occasion, la totalité d’entre eux seront dans les cachots du donjon... Aucun risque de passage !

Elle accoure chercher une plume pour y répondre, et griffonne sa réponse au dos du parchemin :

Ma chère,

Nulle ne devrait venir et ressortir indemne de mon territoire. Cependant, je suis prête à faire une exception pour vous.

Venez dans deux jours, au crépuscule. Je veillerais à ce qu'aucun de mes chéris ne vous barre la route. Je vous attendrais à l'entrée du château. Venez seule, ou accompagnée d'une seule personne.

A bientôt,

Sarrah Rakhan

Elle hésita à rajouter un titre à sa signature, puis décida qu'elle en aurait bien le temps un autre jour.

Elle rendit le parchemin à l'oiseau, qui repartit aussitôt par là où il était venu.
Elle passa les deux jours restants à préparer l'accueil qu'elle réservait à cette représentante.

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Les terres sauvages / Re : Au nom de la Rose

« le: vendredi 14 novembre 2014, 21:14:34 »

Sarrah avait interdit à ses léviates d'approcher de cette étrangère à moins de cinq mètres. Ils l'avaient pris au mot près, rampant autour d'elle au plus près qu'ils pouvaient dans l'espoir d'être le premier à pouvoir bondir sur elle si Sarrah en donnait l'ordre. Leurs grouillements incessants formaient un cercle de chair presque parfait de cinq mètres de rayon autour d'elle. Tentant d'ignorer cette masse qui tournaillait autour d'elle, elle répondit à sa question :

Ma société dispose de moyens colossaux dans de nombreux domaines. Si vos créatures lui laissent la latitude d'agir sur votre domaine, BIOGENIX peut transformer votre repaire en bastion inexpugnable.

L'attention de Sarrah fut soudainement piquée au vif. L'idée de pouvoir améliorer son repaire - et par conséquent, sa puissance - la désintéressa soudainement de son interlocutrice elle-même pour amener sa concentration sur ses propos.

Nos agents nous ont informé que vous cherchiez à améliorer votre domaine, faire des fondations plus solides et profondes pour étendre votre pouvoir. Notre firme dispose des moyens de concrétiser vos ambitions en fournissant matériel et main d’œuvre robotisée.

Les monstres toujours rampants, qui étaient totalement incapables de comprendre le language des humains, sifflaient de plus en plus fort pour supplier leur maitresse de les libérer, leur cri commun commençant à couvrir les voix des femmes.

N'ayez craintes de mes amis... Vous les attirez, mais ils m'obéissent fit Sarrah dans un sourire. Votre société peut avoir des moyens, mais semble mal les utiliser : vous envoyer vous comme émissaire n'était pas une bien bonne idée, regardez l'effet que vous faites à mes chéris...

N'y tenant plus, l'un des monstres rompit la formation pour s'approcher davantage de l'intruse. Sarrah lui siffla aussitôt de retourner avec ses frères, et la créature s'exécuta sans discuter, mais non sans grogner de mécontentement. Etrange... Pensa Sarrah. Je sais qu'une femelle fertile, ça les excite, mais à ce point...

Dites-moi plutôt... Tous ces beaux présents dont vous me parlez... Qu'espérez-vous donc en retour de ma part ?

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Les terres sauvages / Re : Au nom de la Rose

« le: mercredi 12 novembre 2014, 22:36:26 »

Sarrah attendait, assise sur son trône, encerclée par une vingtaine de ses créatures pour compagnie. Elle les voyait ramper sur le sol, traverser frénétiquement la pièce d'un bout à l'autre, dans le seul but de tenter de calmer leurs frustrations. Elle a eu la faiblesse de leur révéler qu'un messager allait tenter de parvenir jusqu'à elle, et les voilà maintenant jaloux. Jaloux de leurs frères. Jaloux de ceux qui rôdent dans la forêt cerclant la forteresse, et qui vont probablement trouver le messager - ou, avec un peu de chance, la messagère - avec leurs sens aiguisés. Jaloux de ceux qui font des rondes tout autour du château, et qui le trouveront si jamais il passe entre les mailles du filet. Jaloux de tous ces frères qui, lorsqu’ils le trouveront, s'en serviront pour tester leurs capacités de combat au pire, ou pour créer un nouveau serviteur pour leur maitresse au mieux, si il s'agissait d'une femelle fertile.

Elle portait, comme à son habitude, une longue robe blanche qui appartenait autrefois à sa mère. Son talisman était à son cou, comme à chaque instant de sa vie. Elle ne portait aucun autre accessoire, ses longs cheveux blancs étaient démêlés, coulant sur ses épaules, et ses pieds étaient nus contre la roche.

Elle ne put s'empêcher de pouffer encore de rire en repensant au message qu'elle avait reçu. Une "société" qui prétendait être intéressée par une collaboration avec elle. Comme si ce genre d'arrangements pouvait lui apporter quelque chose. Et surtout, comme si un messager seul pouvait se frayer un chemin jusqu'à elle.

Aussi quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle et ses chéris furent interrompus par l'apparition soudaine d'une femme blonde, au corps bien formé et à la combinaison bien valorisante. Celle-ci ne semblait ni troublée ni inquiétée par sa présence, et se contenta de faire une petite révérence avant de se présenter :

Mes hommages Reine Sorcière. La société BIOGENIX vous présente ses plus respectueuses salutations et m’envoie vers vous comme convenue, pour négocier des termes d'un accord.

Sarrah tenta de cacher son déroutement du fait qu'elle ait réussi à venir jusqu'à elle indemne. Elle doit rester sur ses gardes, elle le sait.

Ses léviates sont moins analysant du danger potentiel que représente cette inconnue. Ils appliquent la procédure habituelle avec les humaines : tenter d'observer si elle est fertile... Et leur perception est formelle : elle l'est ! Sarrah sent leur excitation monter d'un coup lorsqu'ils arrivent à cette conclusion, mais ordonne fermement dans un sifflement aigu de rester à distance de cette étrangère. Autant écouter ce qu'elle a à dire... Et éventuellement laisser ses chéris s'amuser par la suite.

Elle se leva de son trône, et fit quelques pas en avant pour mieux discerner la messagère. Elle garda toutefois quelques-uns de ses serviteurs entre elles, par précaution.

Je vous souhaite la bienvenue dans mon autre, annonça-t-elle d'un ton aimable. Avant toute chose, félicitations, vous êtes la première personne qui parvient à venir jusqu'ici indemne.

Tous les léviates de la salle avait au moins l'une de leurs têtes rivée sur l'étrangère, tentant de la scruter. Ils étaient à la fois surpris et dépités de l'ordre de leur maitresse, celle-ci ne leur avait jamais refusé une femelle fertile jusqu'alors.
L'un d'entre eux parvint à flairer la sensation de trouble qu'éprouvait cette femelle, et en informa sa maitresse d'un grincement strident. Sarrah sourit à ce message qu'elle seule pouvait comprendre, un peu rassurée par la faiblesse de cette inconnue.

J'ai effectivement reçu le message de votre société... Mais je vous avoue que j'ai eu du mal à comprendre... En quoi un accord pourrait m'apporter un quelconque avantage ? Que pourriez-vous m'apporter ?

Elle avait volontairement orienté la question vers la messagère cette fois-ci, plus intéressée sur le moment par cette potentielle porteuse que par sa compagnie.

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Prélude / Re : Une vierge, un monstre, et des tentacules. [Valimutée]

« le: mardi 19 août 2014, 16:48:22 »

Merci pour la validation !

Merci pour les explications sur les résolutions (même si j'ai pas tout compris)

Et merci d'avance pour les esclaves que je vais trouver ici !

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Prélude / Re : Une vierge, un monstre, et des tentacules. [Marie]

« le: mardi 19 août 2014, 13:50:35 »

Non non, je suis en 16x9, c'est le plus large il me semble... Enfin bon, maintenant, ça devrait être réglé.

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Prélude / Re : Une vierge, un monstre, et des tentacules. [Marie]

« le: mardi 19 août 2014, 12:17:22 »

Ah bah non, après relecture suite à la précision, je le clame haut et fort : j'ai les plus longues et j'ai la plus grosse Grimaçant

Mais as-tu les plus nombreuses ?

Voyant qu'elle ne pouvait alors faire continuer la lignée, et qu'elle risquait de toutes façons de mourir de sa soif de pouvoir avant d'être adulte, elle confia l'amulette à sa sœur, qui avait toujours été plus assidue et plus prudente.

Dans cette phrase, il faudrait préciser de qui il s'agit. Là on pense que ton personnage s'auto censure alors que (je crois du coup) c'est sa mère.

Il faudrait aussi que tu rajoute une bonne ligne aux descriptions physique et caractère de ton personnage.

Sur mon écran y'avait 5 lignes... Pis si on additionne les trois, y'en a bien 10 dans chaque... Mais bon, je discute pas : ligne douteuse corrigée, et descriptions légèrement développées.

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Prélude / Re : Une vierge, un monstre, et des tentacules.

« le: lundi 18 août 2014, 14:34:31 »

J'ai oublié de préciser leur taille

Court raturer sa fiche

Ah... Quand même ! Faut qu'on sache de quoi on parle !

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Prélude / Re : Une vierge, un monstre, et des tentacules.

« le: lundi 18 août 2014, 13:30:23 »

Mhhh, merci !

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Malheureusement, mes leviates n'aiment pas ce genre de nourriture... Ils préféreront... Vous je pense. Mais vous survivrez, n'ayez crainte

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Prélude / Re : Une vierge, un monstre, et des tentacules.

« le: lundi 18 août 2014, 12:51:02 »

Hihi... Merci à toutes et à tous.

Mais loin de moi hein °^°

Oh moi je ne m'approche que rarement... Mes chéris, par contre...

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Prélude / Re : Une vierge, un monstre, et des tentacules.

« le: lundi 18 août 2014, 10:24:01 »

Des Sarah y'en a déjà, donc fallait bien de la nouveauté !

Mais merci pour la bienvenue !

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Prélude / Une vierge, un monstre, et des tentacules. [Valimutée]

« le: lundi 18 août 2014, 04:45:09 »

Avec un titre pareil, je suis sure de battre le record de vues de la partie prélude.



Histoire

Sarrah est né dans une maison isolée sur Terra, au coeur d'une vallée coupant une chaîne de montagnes des contrées du chaos. D'une mère exerçant secrètement la sorcellerie et d'un père inconnu, elle a une sœur, Finnah, d'un an sa cadette.

Elle est issue d'une longue lignée de sorcière dont la tradition voulait que le talisman de la famille, qui accordait une immunité presque totale aux attaques magiques, soit remis à la fille ainée de chaque génération, lui assurant un avenir glorieux pour qu'elle puisse à son tour le transmettre à sa descendance. Etant l'ainée, Sarrah fut la promise pour cette amulette dès sa naissance.

Dès leur plus jeune âge, elle et sa sœur apprennent les notions de sorcellerie. Bien que Finnah suive scrupuleusement les instructions de sa mère, Sarrah elle, en veut toujours plus. Malgré de multiples avertissements, elle essaie toujours de pousser ce qu'elle apprend, tentant de faire une boule de feu plus grande, une invocation plus longue, se lançant parfois d'elle-même dans des expériences que même sa sorcière de mère trouve tordue et trop dangereuse. Cela lui attira quelques blessures et brûlures mineures dans sa jeunesse, insuffisantes pour la convaincre d'arrêter.

Ce fut à l'âge de 16 ans que les choses dérapèrent pour de bon. L'une de ses tentatives d'invocation échoua lourdement, provoquant une décharge de magie noire dans son corps. Lorsqu'elle se réveilla, son corps en garda une cicatrice qui ne pouvait guérir : elle était devenue à jamais stérile. Sa mère, voyant que sa fille ainée ne pouvait alors faire continuer la lignée, et qu'elle risquait de toutes façons de mourir de sa soif de pouvoir avant d'être adulte, confia l'amulette à la cadette, qui avait toujours été plus assidue et plus prudente.

Se sentant alors rejetée, Sarrah abandonna sa mère et sa sœur, jurant de revenir un jour pour se venger de leur traitrise. Elle savait déjà ce qu'elle voulait créer. Puisque sa stérilité était selon elles un défaut, elle allait la retourner contre elles. C'est ainsi que l'idée des leviates germa dans son esprit. Elle allait créer une créature qui ne s'attaquerait qu'aux femmes fertiles, et comme la créature en soi ne serait pas de la magie pure, sa chère sœur n'y serait pas immunisée.

Elle s'installa dans une ruine ayant été autrefois une forteresse, et commença son projet. Elle mit trois longues années à le réaliser, déclenchant au passage plusieurs explosions et manquant à plusieurs reprises d'invoquer une créature incontrôlée, mais avec un peu de savoir-faire et beaucoup de chance, finit par créer son monstre en restant indemne.

Elle créa ensuite les trois premiers leviates, et compta sur leur méthode de reproduction pour les suivants. Ses prototypes prêts, elle retourna voir sa chère famille, où sa sœur étudiait toujours avec sa mère, mais ses méthodes prudentes et classiques la faisait progresser bien moins vite qu'elle ne l'avait fait de façon dangereuse. Par une attaque surprise, elle parvint à terrasser sa mère, pendant que ses leviates maîtrisaient et profitaient de sa sœur, qui, une fois endormie par le nectar des leviates (voir plus bas), fut ramenée à la forteresse de Sarrah et enfermée dans ce qui semblait être le cachot du lieu. Elle devint par la même occasion la première pondeuse de leviates. Naturellement, Sarrah en profita pour récupérer le talisman de sa famille, qu'elle estimait lui revenir de droit.

Deux ans passèrent, durant lesquels Sarrah cessa ses expériences, préférant se concentrer sur le développement de sa nouvelle armée. Sa sœur n'était plus rien sinon un moyen de créer un nouveau pion chaque mois, et Sarrah ne se lasse pas de profiter à chaque fois du spectacle, se caressant parfois en voyant sa sœur hurler pendant la pénétration, ou l'accouchement. Celle-ci n'ayant rien connu d'autre que sa cellule et ses viols depuis deux longues années, elle envisage sérieusement de mettre fin à ses jours. Mais elle garde l'espoir qu'un jour, alors que la forteresse se ferait attaquer, elle pourrait en profiter pour s'échapper et se venger de sa soeur.

Les leviates sont aujourd'hui au nombre de 50, dont la moitié venant de Finnah. L'autre moitié vient des excursions que Sarrah lance à travers les alentours de son château, la mère étant alors le plus souvent une fermière isolée ou une marchande de passage qui n'était pas suffisamment accompagnée. Mais bien qu'elle sourit à chaque nouveau membre qui rejoint la forteresse, elle est maintenant à la recherche d'un groupe d'humanoïde ou de créatures qui pourrait remettre en état les ruines qu'elle habite, et la garder, afin de s'en faire un vrai quartier général.
   
Elle dispose également d'un portail vers la Terre dans son antre, mais n'a pas encore lancé d'expéditions à travers, trop incertaine de ce qui pourrait alors en ressortir.




Description de Sarrah

Nom : Sarrah Rakhan

Âge : 21 ans.

Sexe : femme.

Race : Humaine de Terra.

Orientation sexuelle : Inconnue et pas intéressée.

Situation de départ : vierge.

Description physique :
Sarrah est belle. Aucun doute là-dessus.
Malgré son jeune âge, elle a hérité des cheveux bouclés et blancs depuis sa naissance. Elle aime bien faire de grands mouvements de la tête lorsqu'elle en a l'occasion, afin de les faire virevolter au vent.
Pour le reste de son corps, elle d'assez petite taille (un mètre soixante-sept pour ceux qui aiment les chiffres), est mince et svelte, mais n'est pas pour autant une planche de surf au niveau de la poitrine. On voit rarement du maquillage sur son visage angélique, ou même des bijoux, hormis bien sur le talisman de sa famille, composé d'une dizaine de petits saphirs reliés par une chainette en argent.
Pour renforcer son côté vierge et d'apparence innocente, elle complète ses cheveux d'argent et ses yeux gris avec des vêtements blancs, laissant apparaitre ses bras nus jusqu'aux épaules, d'une peau pâle prouvant qu'elle sort assez peu de sa forteresse. Sa tenue se termine par une longue robe blanche cachant ses jambes.


Description mentale :
Fille de sorcières depuis bien des générations, Sarrah aime une chose par-dessus tout : le pouvoir.
Elle aime contrôler, posséder, mais surtout voir n'importe qui se prosterner devant elle. Si quelqu'un refuse sa soumission, il mérite la mort ou pire. Sa famille en sait quelque chose. Sa soif insatiable de puissance ne peut être rassasiée, aussi elle s'intéresse à tout type de pouvoir dangereux, de rituel occulte ou théologique, d'invocation démoniaque ou n'importe quoi qui pourrait lui être utile.
Néanmoins, elle n'est pas du genre à laisser sa colère exploser lorsque quelqu'un la contrarie. Elle est plutôt du genre à, comme elle l'a fait avec sa mère, se souvenir d'un affront et de garder la rancune en elle, préparer minutieusement une vengence pour laisser sa rage éclater le moment opportun.
Elle n'a jamais été réellement attirée par une personne, par amour ou par désir, et ne souhaite pas le découvrir, ne voyant pas ce que ça pourrait lui apporter. Elle se procure déjà suffisamment de plaisir par des caresses lorsqu'elle assiste à un accouplement de ses leviates.


Autre : En bonne sorcière, elle dispose des pouvoirs suivants :

 - Immunité à la magie : son talisman lui procure une immunité quasi-totale aux attaques de nature magique, les seuls pouvoirs pouvant passer outre cette protection sont des attaques d'une puissance presque divine.

 - Boules de feu : Un des premiers sorts qu'elle a appris. Elle peut lancer jusqu'à cinq sphères enflammées en même temps, qui iront se projeter sur leurs cibles pour exploser dessus.

 - Langages du chaos : Suite à ses nombreuses études en démonologie, elle est capable de communiquer avec la plupart des formes communes de créatures du chaos, qu'il s'agisse de véritables démons ou de simples hybrides.

 - Ailes célestes : Voyant la gravité comme une restriction, ce dont elle a horreur, elle conçue un sort pour s'y soustraire. Elle peut s'élever dans les airs et s'y déplacer à la même vitesse qu'un cheval au galop, mais ne peut alors lancer aucun autre sort quand elle se maintient ainsi suspendue, et se fatigue assez vite dans cet état.

 - Lame spectrale : C'est par ce sort qu'elle a tué sa chère mère. Agissant de la même façon que si elle lançait une lame bien aiguisée, mais d'une vitesse et d'une précision bien supérieure, et bien sûr, d'une lame de nature purement magique, émanant d'une lumière bleutée qui disparait lorsque le projectile atteint - et transperce - sa cible.




Description des tentacules

Nom : Sarrah les appelle les leviates. Aucun nom individuel, de toute façon la plupart sont indissociables.

Âge : De 2 ans pour le premier à quelques jours pour le dernier.

Sexe : En fait ils sont des sexes... Mais masculin du coup.

Race : Créature.

Orientation sexuelle : Les femelles capables d'enfanter. Peu importe leur race.

Situation de départ : De très expérimenté pour le premier à vierge pour le dernier... Mais de toute façons leur méthode de reproduction est inscrite dans leur esprit à la naissance, donc ça ne change pas grand-chose.


Description physique :
Si on les appelles facilement les "tentacules", ce n'est pas pour rien. Toutefois, ils ne sont pas un membre d'une autre créature, comme le sont généralement les "tentacules" au sens générique du terme. Chacun d'entre eux est indépendant, ressemblant à un serpent de deux mètres de long et de dix centimètres de diamètre, dont le corps violet, lisse et souple à deux extrémités identiques : une partie gonflée s'achevant par un petit trou, qui sert
à évacuer en cas d'éjaculation.
Car oui, ils accumulent dans leur corps 500ml d'un précieux nectar qu'ils récupèrent ensuite dans le nid, qui s'apparente à de la semence masculine, à quelques points près :
 - Les spermatozoïdes contenus à l'intérieur peuvent survivre plusieurs semaines et non 4 jours, ce qui permet une grossesse si l'éjaculation a eu lieu entre la fin des règles et l'ovulation chez une humaine, laissant une semaine de marge par cycle de menstruation.
 - La semence agit comme un puissant somnifère si elle est ingérée, une dose de 500ml faisant plonger dans un profond sommeil une humaine normalement constituée en quelques minutes, ne la laissant se réveiller qu'une heure après. Une dose supérieure n'est pas dangereuse pour la santé, mais augmente juste le temps du sommeil.
 - Son goût est légèrement sucré, moins amère que de la semence humaine.
Si cette semence entre dans l'utérus d'une humaine (ou toute autre créature intelligente), il y restera en attendant une ovulation. Lorsqu'une fécondation a lieu, la croissance de l'embryon ainsi créé est extrêmement rapide, atteignant sa taille adulte (enroulé sur lui-même) en l'espace de 24 heures, sortant ensuite par les voies naturelles. Notez que l'accouchement ainsi provoqué est par la nature fine est longue du leviate plus long qu'un accouchement normal, mais moins douloureux (aussi douloureux que la pénétration qui l'a provoqué).
Lorsqu'un leviate nait, il n'a pas de semence en lui et se dirige alors instinctivement vers le nid, pour rejoindre ses confrères.

Description mentale :
Une règle s'impose avant tout dans leurs esprits : obéir à Sarrah, quoi qu'il en coûte.
Hormis cela, ils n'ont aucun besoin et aucune pensée exceptée celle de la reproduction. La plupart du temps, Sarrah les laissent libres d'action, ce qui les mènent à sortir et explorer le monde par petit groupe, généralement de cinq, à la recherche d'une femelle fertile isolée.
Si ils tentent de pénétrer une femme dont l'orifice vaginal est obstrué (probablement par l'un de leurs confrères), leur excitation est telle qu'ils n'hésitent pas à se décharger dans un autre orifice, peu importe la nature de celui-ci. Ce qui est bien pratique pour endormir une proie au moment de la fécondation.

Autre : Les leviates sont recouverts d'une chitine robuste, qui résiste bien aux coups tranchants et perforants, ainsi que supportant sans problème un milieu corrosif.
Ils ont également la possibilité d'élargir l'une des fentes qui apparait à leurs extrémités, laissant découvrir une bouche sans dents, mais dont l'intérieur est recouvert d'une paroi munie de minuscules ventouses, ce qui leur permet de s'accrocher - ou plutôt de se coller - à peu près à n'importe quoi.



Description du monstre

Nom : "La couveuse", "Le nid", "la réserve", "Maman"... Sarrah lui a donné bien des surnoms.

Âge : 2 ans.

Sexe : Asexué.

Race : Créature.

Orientation sexuelle : J'ai dit asexué !

Situation de départ : Qu'est-ce que je viens de dire ?!


Description physique :
De l'extérieur, le nid ressemble à une grosse boule pourpre écailleuse, dont les légers mouvements trahissent la nature vivante. Un seul orifice : une entrée qui fermée n'est autre que plusieurs couchent d'écailles posée les unes sur les autres, et qui s'ouvre à la manière d'une fleur au printemps si jamais Sarrah en approche, laissant apercevoir une entrée sous la forme d'un cercle d'un mètre de diamètre, ce qui peut laisser passer un humain (pour peu qu'il ne soit pas gros) à quatre pattes, ou bien évidemment les nombreux leviates qui y résident.
A l'intérieur, un sol mou et doté d'une fine couche de végétation pourpre accueillera avec confort quiconque y pénétrera, lui laissant apercevoir la salle de près de 100 m² caché en son intérieur.
Au plafond, de nombreux emplacement à leviates. Ils apparaissent sous la forme de stalactites de chairs rouges et gluantes, dont émane une faible lueur de la même couleur, laissant un brin de luminosité dans la salle, même lorsque la porte est refermée.
Pour s'y accrocher, les leviates bondissent et mordent l'un d'entre eux, y restant ensuite suspendu, le corps à la verticale. C'est par ses accrochages que les leviates se reremplissent si ils ont faim, remuant légèrement leur corps de haut en bas pour téter le nectar et le garder en eux, prêt alors à se revider. Toutefois, vide ou pas, c'est ainsi accrochés qu'ils dorment.


Description mentale :
Ayant à peu près l'intelligence d'une plante, pas de quoi s'attarder là-dessus.

Autre : Les écailles recouvrant la surface extérieure agissent comme une épaisse armure. Quiconque souhaitera la fendre est prié d'apporter de puissants pouvoirs ou une artillerie lourde.




PS : j'ai connu le forum en doublettant des doublettes, et ne vois pas trop comment en parler autour de moi. Désolé.