Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Clochette

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Clochette

Pages: [1] 2 3 ... 8
1
Ville-Etat de Nexus / Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|
« le: vendredi 22 avril 2016, 21:33:42 »
Mon dieu, mais qu'est-ce qui était aussi bon dans le sexe ? Elle ne comprenait pas. Clochette ne comprenait pas ! Et lui ne comprenait pas l'innocence. Que faisaient-ils ensembles, dans un vaisseau spatial, enfermés encore pour de longs jours ? Ils baisaient. Si Clochette avait connu ce mot, voilà ce qu'elle aurait dit. Mais elle ne le comprenait toujours pas, et faire l'amour lui paraissait impossible, puisqu'elle n'aimait pas. Elle ne l'aimait pas, elle ne le connaissait pas ! Alors elle ne savait pas ce qu'elle faisait. Elle faisait quelque chose qui lui plaisait, sucer ce membre, le dévorer en réalité, de ses petites lèvres et de sa langue qui s'enroulait autour du chibre. Elle était enivrée par ce plaisir étrange, par cette excitation qui la faisait frémir tout entière, comme si elle parcourait son corps entier. L'odeur du membre la prenait lentement au cœur et elle ne réfléchissait plus trop. Elle était dans cet état de nature, loin de l'être civilisé que la Magicienne avait voulu créer. La belle dame avait bien raison, la luxure était mauvaise pour la fée, elle en perdait le sens des réalités, elle en perdait même son adorable caractère d'enfant… L'obsession était de nouveau là, et la fée n'était plus intéressée que par une chose … Ce sexe, bandé, dur qui ne demandait au final que son attention.

Elle prenait même les devants, se découvrant une véritable passion pour la fellation. Ses petits doigts caressaient doucement la peau, une de ses mains vint se caler contre le bas-ventre du mercenaire alors qu'elle léchait, goutait, jouait de sa langue chaude sur le chibre. Elle pouvait l'entendre réagir, gémir, parler et toutes les questions qui lui venaient n'étaient que des preuves ultimes de son innocence sans faille. Elle était la plus perverse des inconscientes, la plus fragile des femmes … Et il ne voulait apparemment répondre. Ou peut-être qu'il ne pouvait pas ? En tout cas, elle se faisait encore complimenter, et Clochette adorait ça. L'excitation et le désir n'avaient fait qu'augmenter en elle, et les compliments éveillaient encore plus son corps et son envie. Elle voulait à nouveau lui plaire, et la fée comprenait très bien que lécher et suçoter ce membre était une manière des plus parfaites pour plaire à Ulrik. C'était peut-être ça, la base d'un relation de confiance, dans ce monde étrange ? Peter lui aurait demandé de … Voler et d'écouter Crochet … Peut-être qu'Ulrik, lui, voulait simplement pouvoir gémir. Était-il bien ? Est-ce que ça lui enlevait de la douleur ? Plus les minutes passaient, plus elle se posait milles et unes questions. Plus elle rentrait dans ce monde de stupre et de plaisir, moins elle ne comprenait.

Seul le gout un peu amère de cet étrange liquide semblait lui donner une réponse … C'était comme un nectar. Il lui avait déjà expliqué … Il réessayait. Et elle l'écoutait en relevant son adorable minois vers lui pour l'écouter, dans une position parfaitement soumise. Elle était à quatre pattes au sol, entre les cuisses de cet homme étalé par terre, à dévorer son chibre puissant. Il la récompensait de réponses, caresses et compliments … Et Clochette semblait bien. Elle semblait calme. Différente. Ses hormones peut-être ? La maturité qui essayait de s'infiltrer dans ses veines ? Ce qu'il racontait lui faisait peur et elle baissa les yeux sur le vit durci. Les Adultes et seulement les Adultes… Pourtant elle n'était pas adulte. Elle ne voulait pas le devenir ! Et elle voulait aimer ça… Encore. Elle laissa entendre un couinement boudeur, comme déçue par ses réponses et accéléra ses petits mouvements, toute frissonnante. Elle était de nouveau en train de ressentir cette chaleur intense dans son bas-ventre, son intimité perlait légèrement … Quel plaisir éprouvait-elle ?

Elle eut un sourire adorable alors qu'il lui indiquait comment gérer au mieux ce sexe. L'odeur du sperme l'intriguait toujours et elle eut un petit rire. Oui, elle en voulait encore … On aurait pas pu trouvé mieux pour une novice. Elle mordilla très légèrement, étonnée de sentir cette chose être dure, et tendre à la fois, comme une sorte de friandise. C'était gourmand. Elle léchait, elle suçotait, elle laissait l'occasion au gland de découvrir l'intérieur de ses joues, elle frottait sa langue à la chair… Elle essayait de mettre en gestes ce qu'il lui expliquait, apprenant vite, apparemment dotée d'un certain talent naturel. Les Fées n'étaient-elles pas, après tout, la nature personnifiée ? Et dans la nature, la saillie était une part essentielle de la vie. Il apparaissait donc logique que Clochette sache faire au mieux et jouer comme une experte de ce corps. Elle poussa un doux soupir, alors qu'il grossit encore. La petite chose accentuait ses mouvements encore, elle gémissait doucement.. Il grossissait encore. Elle aimait ça, elle adorait sentir le membre être pressé et serré entre ses lèvres.  Elle tira doucement la langue en avant quand il se recula très doucement, juste un peu pour ne pas l'étouffer avec la semence qui coula dans la bouche de la jeune femme. Elle avalait, le visage rougit, les joues un peu gonflées, le sperme coulant le long de son menton et vient se perdre entre le galbe de ses deux seins. Elle rit un peu, lécha le gland puis ses lèvres dans un nouveau soupir de satisfaction.


" - J'aime vraiment ça … C'est comme la sève d'un arbre ! C'est fort et ça donne … envie. Hé !"

Alors qu'elle semblait prête à mettre des mots sur son envie de luxure, la fée sembla déconcentrée … Elle se détourna, se relevant, toujours si nue, si belle. Elle  regardait par ce qui lui semblait être des fenêtres. Il y avait à l'extérieur … Une telle vue, un tel paysage spatial. C'était nouveau ça aussi. Elle se déplaça lentement pour se coller à la vitre, totalement désintéressée par le sexe. Une seule émotion en même temps, elle ne pouvait pas tout prendre en compte. Elle était émerveillée. Elle sentait le frisson de l'aventure la parcourir alors qu'elle regardait à l'extérieur, des étoiles dans les yeux, le souffle rapide. Elle avait du mal à en croire ses mirettes. Elle avait la poitrine compressée contre la vitre, le dos cambré, le cul en arrière. Un pur appel à la luxure, avec ce sourire rayonnant ancré sur ses lèvres alors qu'elle gémissait très tendrement.

" - C'est magique … Je … Merci !"   Elle se tourna très légèrement vers lui avec un sourire encore plus beau, encore plus grand, resplendissant. Elle le remerciait adorablement de lui offrir de telles expériences. " - Je veux en voir plus ! Je veux … en sentir plus ! Je veux … Plus ! S'il vous plaît ! Je suis sûre que vous savez m'en donner plus. Je ferai tout pour vivre encore plus." Elle  se tourne, le dos contre la vitre, le fixant, comme s'il avait toutes les réponses pour sa vie entière.

2
Ville-Etat de Nexus / Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|
« le: vendredi 01 avril 2016, 00:40:03 »
C'était deux êtres différents qui n'aurait jamais du se rencontrer. Une fée, rencontrant un bourlingueur de l'espace ? Deux mondes perdus à l'opposé l'un de l'autre, se mêlant dans l'incompréhension la plus totale, et une passion dévorante ... La fée Clochette le fixait, paniquée, perdue. Elle le fixait qui semblait dans ses pensées et elle aurait donné cher pour pouvoir les connaître ses pensées ! Peut-être n'aurait-elle pas réagit comme ça, si elle avait saisit qu'elle était le centre de toute son attention de mâle, d'homme et de maître. Car voilà, elle avait peur ! Peur d'avoir un maître méchant qui avait voulu la faire grandir ... Et ça, sa clochette ne le laisserait jamais faire. Clochette était une fée, innocente et enfantine, loin de la maturité et du monde adulte, incapable de ressentir plusieurs sentiments, incapable de grandir ! Et voilà, que cet homme lui donnait les rennes de sa vie, l'occasion de vivre, l'occasion d'aimer, et non plus d'aduler et d'obéir, mais d'aimer et suivre. Tout était différent de ce point de vue là, tout était nouveau ... Heureusement que la magie de l’Ensorceleuse veillait au grain, sinon Clochette aurait perdu son prénom pour devenir humaine, aurait perdu son caractère pour devenir adulte. Peter Pan ne l'aurait jamais reconnue ! Elle couina doucement, regardant son genou. Etait-ce ... Du sang ? Autant de sang ? Elle n'avait pas conscience de sa nature humaine, de ce corps démesuré, de ce poids lourd qui l'empêchait de marcher. Tout était à apprendre, encore. Elle finit par se calmer, doucement, attirée par la précieuse clochette en ne l'écoutant pas. Elle était sûre d'avoir raison ! Et elle était butée. Elle ne comprenait plus trop ce qu'il voulait dire, mais les mots embrasser et baiser la fit frémir... Elle avait bien aimé ça, en réalité. Ces lèvres chaudes, brûlantes même ! Ces baiser découvrant sa peau... Ce gout si tendre. Elle ressentit un long frisson la parcourir et faire doucement naître le désir en elle, de nouveau, étrangement naturellement. Elle eut un petit air surpris, se mêlant à ses yeux innocent alors que doucement, son corps se réveillait déjà, ses tétons naissant de nouveau comme deux frêles boutons.

Clochette rougit soudainement et baissa les yeux. Bander. C'était ça bander... Elle eut un hoquet tendre alors qu'elle ne répondait pas, relevant de nouveau les yeux vers lui. Elle rebaissa les yeux sur son genou. Releva sur son érection. Remonta la tête pour poser ses yeux bleus perdus dans ceux de Ulrik et finit par soupirer, longuement, apparemment exaspérée par la situation. Mais le doré de la clochette apparut et elle l'attrapa au vol, manquant de se fracasser sur le sol de nouveau. Un sourire illumina son visage et elle accrocha de nouveau la clochette à son cou en paraissant se détendre un peu. Elle avait toujours une moue grincheuse et agressive sur ses jolies lèvres humides et finit par souffler, encore haletante de ses tirades, de l'amour, de la chute.


" - Elle me permet de prendre ma forme humaine ! Elle me permet de parler aussi.. Enfin non. Je sais plus trop ... Ma maîtresse l'Enchanteresse me l'a donné quand je suis revenue du Pays de Peter Pan. Là bas, je ne pouvais pas parler, mais j'aidais les enfants perdus et Peter ! Et je n'avais pas de forme adulte, même que Crochet il disait ... Il disait que c'était une honte que les effets existent sans pouvoir devenir grande. Et quand je suis revenue... Elle a ensorcelé ma clochette. Mais si je la perds ... Elle a dit que si je la perdais, je resterai humaine à jamais ! Sans aile, sans poussière de fée... Et je deviendrais adulte." Elle s'arrêta enfin de parler, haletante, se laissant doucement tomber dans les bras d'Ulrik qui s'était mis debout, comme une princesse tombant dans les bras de son prince charmant ! S'accrochant à son torse, toujours nue et tremblante, brulante et fascinante, Clochette eut un long frisson quand son corps se colla à celui de son amant. Un frisson de désir. Elle posa sa tête sur son épaule, en regardant vaguement son genou, avant de se laisser poser dans un coin, continuant de sa voix fluette. " Et je ne veux pas devenir adulte. La Magicienne a dit que je ne le deviendrais jamais. Parce que les adultes meurent alors que les enfants vivent pour toujours, comme au Pays Imaginaire !"

Elle était d'une logique implacable. Elle eut un sourire doux, tout dans son attitude redevenant la Clochette de leur rencontre, curieuse et innocente, enjouée et tendre. Mais pourtant, alors que le bourlingueur la soignait, elle restait les yeux rivés sur son membre en érection, mordillant sa lèvre inférieure. Son coeur tapait contre sa poitrine, son bas ventre semblait se tordre très doucement, agréablement, son souffle s'accélérer, son poul s'affoler. Tout cela était encore trop nouveau pour elle, et la douce fée finit par rougir lentement en relevant les yeux vers le beau Capitaine du Vaisseau, avec un frémissement intense alors qu'elle glissait de nouveau son doigt, puis sa main sur le membre qui se balançait ainsi dans l'air. Elle ne comprenait pas ce qui l'attirait là dedans. Elle ne comprenait pas comment cette chose pouvait aller dans des endroits si différents !

" - Quand vous avez parlé de m'embrasser... Est-ce que c'est ça l'amour ? Et pourquoi votre sucette elle peut .. Elle peut servir autant ? Pourquoi elle peut aller dans ma bouche, elle peut aller .. là ?Elle n'osait ou ne savait le nommer. Elle rougit un peu et se détourna, ressentant une gêne étrange. Est-ce qu'elle peut aller autre part encore ? Est-ce que c'est plus elle est grosse, plus elle ressent d'amour ? Est-ce qu'on doit être adulte pour ressentir l'amour ?" Bon sang de Dieu ! Clochette rétablie dans le droit chemin, même fatiguée après son premier ébat, elle était un sacré moulin à question Elle voulait tout découvrir, tout comprendre. Maintenant qu'elle était calmée, elle revenait à l'attaque. Elle finit par sourire un peu, et ... Et se remit contre l'entrejambe du bourlingueur, assez soudainement, pour revenir suçoter le gland de son chibre, d'une manière totalement innocente, semblant vouloir tester la chose de son propre grès, comprendre un peu mieux. " - Est-ce que ça va grossir encore ? .. J'aime beaucoup ... Le gout. Le parfum que ça a ! Comment vous appelez ça ?" Elle glissa de nouveau sa langue sur la queue, lentement, en fermant les yeux, semblant apprécier le contact, et le savourer. Elle releva les yeux vers lui. " - Dîtes ... Ca se boit, ce qui coule de votre ... Sucette ?"

3
Ville-Etat de Nexus / Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|
« le: dimanche 27 mars 2016, 20:31:29 »

Sensations. Terribles sensations, intenses, continues, nouvelles. Perdue. Clochette était paumée dans les limbes du plaisir et de l'inconnu, qui lui remuait le coeur, berçait son esprit, transportait ses entrailles. Elle était à la Mercie de ces sensations étranges, de ce plaisir qui se découvrait à elle. C'était ennivrant. Non, bien sûr que non, Clochette n'avait jamais bu de sa vie, une goutte d'alcool aurait pu être fatale sous sa forme féérique. Mais si elle avait connu le plaisir licencieux de l'alcool, sans doute aurait-elle fait le rapprochement entre ses frissons enfiévrés et l'état comateux d'une cuite. Blottie contre Ulrik, dont elle ne se rappelait même plus le prénom dans cet état second, elle avait du mal à retrouver son souffle. Elle avait presque l'impression d'avoir ses poumons de fée pour son corps d'humaine ! Elle était totalement perdue, paumée, comme si elle avait coulé dans une sorte de monde parallèle où tout mouvement devenait érogène, où toute pensée déraillait sur le plaisir et le désir. Et se mêlait son incompréhension généralisée pour cet état qu'elle était loin de comprendre. Bon sang, la fée était en train de vivre quelque chose d'unique... Elle était en train de ressentir deux choses à la fois : le plaisir et l'incompréhension. Deux sentiments distincts qui se battaient dans une lutte violente dans son cerveau. Elle était devenue une femme, elle était devenue humaine, elle avait grandit, en quelques coups de reins, en quelques cris, en quelques battements de cils. La chaleur saisissante du corps du bourlingueur gardait au chaud le corps nu de la jeune fée, un corps légèrement moite de sueur, dont la peau douce se frottait avec un plaisir tendre contre celle du torse d'Ulrik. Fragile, sensible, elle était parcourue de frissons, de frémissements, comme si réellement, son corps s'éveillait enfin après une longue hibernation. Les quelques parties de sa peau qui étaient collées au froid du vaisseau spatial étaient encore plus sensibles, et elle eut un rire cristallin, amusée. Une euphorie étrange qui la fit rougir de nouveau, alors qu'elle baissait les yeux pour regarder d'un air curieux le membre qui était toujours en elle. La semence s'échappait lentement de son intimité, ayant légèrement grossi son bas-ventre lors de la soudaine éjaculation. Elle eut un soupir brûlant, avant de relever ses yeux émeraudes vers Ulrik. Elle le redécouvrait. Elle n'avait plus l'impression de voir le même homme, maintenant. Non, il était différent ! Tout son être différent. Ses yeux étaient différents, ils étaient plus pressants, plus brillants. Son visage était plus viril, sa gorge paraissait plus larges, son regard plus dominant, ses lèvres plus appétissantes. Son torse plus attirant. Clochette le voyait enfin des yeux d'une femme, et non plus d'une innocente gamine. Son innocence n'en était pas pour autant effacée, ingénue comme elle était, on ne pouvait pas la pervertir si facilement ! Cependant, il y avait eu un déclic. Elle le désirait. Encore. Son esprit le voulait.

Elle semblait ne pas l'écouter. Elle semblait ailleurs. L'amour ? Elle releva finalement son tendre minois vers lui pour tendre ses lèvres doucement humides de baisers, qui en réclamaient encore. Elle le fixait. Ses yeux avaient perdus de leurs innocences pour laisser une ombre d'excitation y luire. L'ignorance faisait doucement place à la compréhension alors qu'il lui expliquait, calme, serein. Il avait pris totalement la place d'un meneur pour elle, un guide pour qu'elle s'aventure dans un monde dangereusement nouveau et attirant. Elle se laissait doucement voguer entre les vagues de sensations. Le plaisir laissait maintenant le bonheur s'installer dans son esprit. Elle eut un sourire engourdi. L'amour. L'amour serait-il plus fort que l'attachement de servitude qu'elle ressentait normalement pour un maître ? Fragilement, Clochette voyait son monde de certitudes s'effondrer sous les explications de son nouveau maître. Elle releva soudainement le visage, après le tendre baiser sur son front. Son souffle s'accéléra si brutalement, qu'elle eut un hoquet en s'étouffant légèrement. Comme si une réalité terrible venait de la heurter en plein ventre. Elle écarta ses lèvres pour parler, aucun son ne franchissant la frontière tendre de ses lippes charnues. Elle régressa tout aussi soudainement, dans une sorte de panique primaire. Elle redevint l'enfant perdue qu'elle se devait d'être en quelques secondes, ne ressentant qu'un unique sentiment... Une sorte de peur étrange.


  " - Mais non ! Vous vous trompez ! Vous vous trompez. Je ne peux pas... Nous n'avons pas pu faire l'amour ! Nous n'avons pas pu ... Je ne vous aime pas. Vous vous trompez... Je vous ai mentit ! Je ne peux pas avoir fait l'amour, je ne ressens pas l'amour, je ne sais pas ce que c'est l'amour, je ne vous aime ! Nous avons fait autre chose... Ce n'est pas bien ! Je n'ai pas ... MA CLOCHETTE !"

Son visage aux traits tirés par la panique s'alluma soudainement, comme si la magie lumineuse de la fée parcourait entièrement son corps quand elle appercut sa clochette. Elle s'échappa des bras de Ulrik, soudainement, se désintéressant de lui dans une attitude encore plus étrange... Elle lui jeta un regard de panique qui semblait plus fort que ça. Elle s'éloigna de lui comme si les mains de l'homme la brûlait, comme si son regard lui faisait peur, comme si le corps du jeune homme l'effrayait, comme si ses lèvres la dégoutait. Elle fila attraper sa clochette qu'elle garda au creux de sa main, se remettant difficilement debout, les jambes tremblantes, avant de s'effondrer au sol. Elle n'avait déjà pas l'habitude de marcher, ce qu'elle faisait d'ailleurs mal, mais après une telle expérience, elle ne tenait plus debout. Elle lui lança cependant un regard fort, lourd de soupçons. Que pouvait-il se passer au creux du cerveau de la fée ? Honnête, elle l'était. Elle n'avait pas pu mentir... Une fée ne sait pas mentir. Donc il lui mentait. Il lui mentait. S'il lui mentait, il lui voulait du mal. Tout cela était mal ! Tout cela était contre nature puisqu'elle n'avait jamais vu de fée le faire. Tout cela était une invention du bourlingueur. Elle arriva à cette conclusion en quelques secondes et rougit, rougit, dans une colère sourde !

" - Ne vous approchez plus de moi ! Vous êtes méchant. Vous êtes un menteur. Il n'existe pas d'amour, vous ne m'aimez pas ! Vous ne m'aimez pas, nous n'avons pas pu faire l'amour... Je veux partir. Je veux partir ! NE ME TOUCHEZ PAS !"

Elle avait les larmes aux yeux, en proie à une panique intense, se remettant debout en zieutant les boutons. Sa clochette s'échappa de nouveau de sa main et finit sa course bruyante à quelques centimètres d'Ulrik. L'espace, le voyage, la découverte. Tout cela était dangereux, trop dangereux. Elle éclata en sanglot, furieuse, en rage, si en colère qu'elle en pleurait. Il l'avait trompé. Bien sûr qu'il l'avait trompé ! Elle le sentait tout au fond d'elle. La forte attirance incompréhensible qu'elle ressentait pour le jeune homme, paraissait être de la haine à son esprit trop étroit pour comprendre tout cette question de luxure, de drogue, de poison, de plaisir. La clochette semblait avoir déclenché l'avalanche de ressentiments, de peur, de panique. Si elle ressentait une incompréhension avant de la voir, au toucher de la clochette, elle s'était refermée comme une vraie huitre. Et si la magicienne avait mit un sort tierce sur la clochette pour préserver la jeune fée ? Elle regardait fixement la clochette, la lèvre inférieure tremblante de rage.

" - Rendez-là moi ! Je sais que vous me voulez du mal ! Je sais que vous voulez me voler ma clochette... Donnez là moi !"

L'effet de la clochette sur la fée semblait étrange, un peu comme une paranoïa, un peu comme si cette clochette dans les ténèbres devait tous les lier. Sans la clochette, la sublime blonde pouvait vivre. Avec, hors de sa portée physique mais bien visible, Clochette était incapable de se sentir réellement humaine. Mais ça, elle n'en avait pas conscience. Après tout, qu'était-ce que l'humanité ?

4
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 03 mai 2014, 20:58:03 »
Raaaah non !

Car cette personne n'est pas un abruti. èé

21h00

5
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 03 mai 2014, 20:53:26 »
J'avais pas osé l'dire :3

20H57

Fiche postée. Bon Dieu, je suis heureuse.

6
Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: samedi 03 mai 2014, 20:52:40 »
Une insulte.

Et pour vous, connard insulte ou complment ?

7
Le coin du chalant / Re : Activation de comptes!
« le: samedi 03 mai 2014, 12:31:44 »
Merci beaucoup ! ♥

8
Le coin du chalant / Re : Activation de comptes!
« le: samedi 03 mai 2014, 11:48:42 »
Moi aussi, je voudrais bien qu'on m'active mon compte ! Je m'y prends à l'avance, j'aime avoir mes comptes avant d'avoir fini la fiche. éè

Merci d'avance. ♥

Sue L. Stuart , le compte !

9
Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: samedi 03 mai 2014, 11:29:45 »
Entre 45 et 55 ? :3

Ziva, il a l'âge de mon père. éè

Bien sûr qu'IRL elle est pareille, notre Mae ! Même si je la vois plus ressembler à sa Funkette. :3

Vous croyez que Vagabond a la même moustache classe, IRL ? Je m'demande, now.

10
Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: samedi 03 mai 2014, 11:05:44 »
Entre 35 et 45 ans, j'pense.

Et à Mae, vous lui donnez quel âge ? Une cougar, non ? :3

11
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 02 mai 2014, 20:50:51 »
Dans Narnia on s'tue avec des épées et tout et tout.

20H53

Mais comme c'est du disney .. ON NE SAIGNE PAS !

12
Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: vendredi 02 mai 2014, 19:20:26 »
Another Love de Tom Odell

All I want de Kodaline.

Après, je suis morte et en pleurs. Alors les deux en même temps.. éè

Une musique qui vous donne la pèche ?

13
Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: vendredi 02 mai 2014, 18:03:21 »
*envoie Mae*

Tiens, tiens, tiens ♥ C'est parce que je l'aime BEAUCOUP BEAUCOUP ! ♥

D'autres volontaires pour une séance de torture/danse ? :3

14
Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: vendredi 02 mai 2014, 17:58:41 »
Carrément !

C'est pas cool, comme manière de tuer. Et comment on trouve des trous noirs ? T'en a disposition, toi ? èé

Une manière de torturer quelqu'un alors ?

15
Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: vendredi 02 mai 2014, 17:27:05 »
Alors.

1. Une bonne dose de somnifère pour pouvoir opérer sans que ça bouge dans tous les sens.
2. On commence par trancher les veines, mais faut être près à nettoyer derrière, parce que ça va pisser le sang.
3. Ensuite, on ouvre le ventre et on retire le coeur. On peut tenter de le bouffer mais faut aimer les abats. Et autant attendre le 4.
4. On enlève les reins et on met sur la poelle.
5. On découpe tout le reste du corps en bouillons cubes. Un peu long certes. Sinon, on passe à la machine à haché le steack.

S'il est encore vivant, envoyez le moi, je le finis à la hache !

Et vous, votre meilleur moyen de tuer quelqu'un ?

Pages: [1] 2 3 ... 8