Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Hitsumi Gotô

Pages: [1] 2
1
One Shot / Re : Les futanaris... un mythe ?
« le: samedi 07 février 2015, 21:30:01 »
"Veuillez m'excuser."

"Mmh ?"

Concentrée sur son jeu, l'infirmière releva rapidement la tête lorsqu'elle entendit quelqu'un, surprise.

"Je suis Yagara Akemi, vous m'avez demandé ? C'est à quel sujet ?"

C'était donc la fameuse lycéenne ! Toutefois, par précaution, elle jeta un bref coup d'oeil à son dossier médical, et à sa photo, pour vérifier que c'était bien elle. Juste au cas où.

"Ah ! Oui, oui, en effet, c'est moi qui ai demandé à vous voir. Entrez-donc, et mettez-vous à l'aise."

La pause était finie, c'était le moment de redevenir professionnelle. Elle rangea son téléphone, et se redressa sur le dossier de sa chaise, souriante. Le porte-manteau n'était visiblement pas nécessaire, mais elle lui indiqua une table où elle pouvait poser son sac, puis la chaise devant son bureau, l'invitant à s'y asseoir.

"Ravie de vous voir enfin, mademoiselle Yagara. Nous n'avons pas eu l'occasion de nous présenter, mais j'imagine que vous êtes bien placée pour le savoir."

Petit sourire moqueur. Ce n'était pas un hasard, si la lycéenne n'avait pas voulu la voir. Elle poursuivit.

 "Je suis madame Blanche, l'infirmière. Et je vous ai convoqué, justement, parce que nous n'avons pas eu l'occasion de nous voir. Toutes vos camarades se sont présentés pour la visite médicale... sauf vous. Curieux, non ? Oh, ne vous en faites pas, je ne vous accuse pas d'absentéisme, j'ai bien reçu l'attestation venant de votre propre médecin. Mais, peut-être pourriez-vous m'expliquer pourquoi vous l'avez dérangé, alors que je me tenais à votre disposition pour le faire ? Je me demande..."

Au fil de ses questions, la jeune femme croisait les bras, calmement, et la fixait attentivement. Ce n'était certes pas un interrogatoire, mais elle voulait bien avoir des réponses, quand même. Elle en profita pour ajouter rapidement, souriante.

"Loin de moi l'idée de mettre en doute les compétences de votre médecin, mais je préférerais tout de même m'occuper personnellement de vous. Comme ça au moins, je pourrais m'assurer moi-même que tout va bien, et avoir la conscience tranquille."

2
One Shot / Les futanaris... un mythe ?
« le: samedi 07 février 2015, 01:44:58 »
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)



Infirmerie du lycée Mishima, Seikusu, 14h47

Après avoir gentiment congédié la dernière élève de la liste, dont l'examen médical n'avait rien révélé d'alarmant, l'infirmière retourna à son bureau, et poussa un léger soupir. Depuis quelques semaines, elle avait organisé des visites réglementaires pour tous les élèves du lycée, la routine, pour être certaine que tout allait bien. Examen rapide, prise de mesures, test physique, quelques questions sur l'hygiène de vie. Elle en profitait également pour leur dire quelques mots sur la contraception, et les risques de MST. Après tout à cet âge on avait tendance à faire passer le fun avant la réflexion, et une piqure de rappel ne faisait jamais de mal.

Néanmoins... quelque chose la chiffonnait. Dans la classe dont elle s'occupait actuellement, tous s'étaient présentés pour la visite. Tous... sauf cette mystérieuse lycéenne. Bien sûr, elle avait eu droit à un courrier en bon et dûe forme, pour l'informer de la dispense et justifier de son absence, ce qui l'avait d'ailleurs faite rire pour le coup. C'était généralement elle qui les délivrait, les dispenses, et c'était bien la première fois qu'elle en recevait une. Le fait que cette lycéenne se fasse examiner par le médecin de famille ne lui posait aucun problème en soi, mais... il s'agissait de la seule personne dans cette situation, et sa curiosité en était piquée au vif. Pourquoi refusait-elle de venir la voir ? Pourquoi aurait-elle dérangé son médecin alors qu'il lui aurait suffit de passer ici comme convenue ?

Après un temps de réflexion, tapotant du stylo sur le bureau d'un air songeur, Bérénice prit sa décision. Elle devait en avoir le coeur net. Prenant son téléphone fixe, elle appela donc le bureau des surveillants, et leur demanda de convoquer immédiatement Akemi Yagara à l'infirmerie, précisant que c'était important, sans plus. Une petite discussion entre quatre yeux s'imposaient.

Ceci étant fait, la jeune femme jeta un rapide coup d'oeil à la salle d'attente, vide, puis s'étira longuement derrière son bureau, avant regarda sa montre. 14h59. Loin de la traditionnelle infirmière en blouse blanche, Bérénice lui préférait une tenue moins formelle, tout en restant professionnelle, et ressemblait en fait davantage à une secrétaire, chaussée de ses escarpins noirs vernis et vêtue de son élégant tailleur rouge aux boutons dorés. Boutons qui, par Dieu sait quelle miracle, parvenaient à maintenir son décolleté relativement fermé.

Mais en attendant... et bien, elle attendait, justement. Elle ne résista cependant pas à la tentation de s'emparer de son propre téléphone, et de tuer le temps sur Angry Birds.

3
Le coin du chalant / [One-Shot] Les futanaris... un mythe ?
« le: jeudi 05 février 2015, 00:56:40 »
Comme le titre l'indique, j'aimerais faire un petit one-shot. Aucune condition de délai, ou de qualité, ou de quantité, (et j'insiste, j'aimerais éviter les pavés :-\) juste un RP sans prise de tête, pour essayer de reprendre le RP en douceur. ^^

Contactez-moi par MP si cela vous intéresse, on pourra en discuter plus en détails !


Petite présentation de mon personnage :

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)


Petite présentation du RP :

Pour faire court, ce serait la rencontre entre Bérénice et une futanari, et comme c'est quand même un peu son fantasme, elle ne va pas laisser l'occasion de ses rêves s'échapper. :P
Comment, dans quelle circonstance, etc, ça reste à voir. Je ne précise pas maintenant pour ne pas limiter le rp, mais voici quelques idée, comme ça :

  • Bérénice découvre votre particularité par hasard (en entendant une rumeur, en vous espionnant, en assistant à un "accident" à l'infirmerie), tandis que vous essayez de le cacher, et essaye alors de vous faire chanter pour garder ce petit secret.
  • Vous découvrez la passion de Bérénice (des fichiers indécents sur son ordinateur ou son téléphone par exemple, ou sa curiosité un peu trop poussée vers cela) et lui laissez des indices qui la mèneront à vous... mais cette fois, c'est vous qui serez en position de la faire chanter, ou de négocier.
  • Ou alors vous ne voulez pas prendre avantage de la situation, et préférez lui confier votre secret, soulagée de trouver quelqu'un à qui en parler.

Je précise aussi, dans le cadre de ce RP, je considère que les futanaris ne sont pas "supposés" exister en dehors des médias hentai, sauf bien sur pour les futanaris elle-même, et ceux qui partagent le secret de leur existence. ^^


EDIT : Trouvé. ^^

4
One Shot / Re : You're not alone, honey...
« le: jeudi 17 juillet 2014, 03:21:44 »
Je me sentais tellement mieux ! Ce lourd fardeau, ce secret si longtemps gardé, par peur d'être rejetée, d'être pointée du doigts comme un monstre sorti tout droit d'un sordide hentai... ce n'était plus un fardeau que je portais seule désormais. Ni même un fardeau tout court ! J'étais presque euphorique face à cette situation, en pensant qu'elle et moi, et les autre membre du Futabu, avions tout simplement quelque chose de plus que les autres n'avaient pas la chance d'avoir ! Et j'allais bientôt pouvoir voir de mes yeux une autre futanari dans toute sa splendeur. J'en trépignais d'impatience ! Toutefois Sumika me demanda de lui rendre la pareil, et de lui présenter moi aussi mon sexe, ce qui était tout à fait légitime.

"Oui, bien sûr ! J-je ferais de même."

Je déglutis lentement, et observai avec attention la jeune lycéenne souriante, qui prenait plaisir à se déshabiller lentement sous mes yeux. Hop, plus de jupe. Mes joues étaient en feu, je me sentais vraiment gênée par la scène, par ce striptease improvisé sur le toit du lycée. Pourtant je n'arrivais pas à en détourner le regard. La curiosité était tellement forte ! Hop, plus de culotte. Et là...

"Waouh, mon dieu..."

Je m'attendais à voir son sexe pendre entre ses jambes, comme un penis ordinaire, mais il n'avait rien d'ordinaire. Il était non seulement astucieusement rangé dans l'antre de sa féminité, une cachette assez discrète, mais en plus il avait des proportions vraiment phénoménal. C'était une bite énorme !

Les gémissement de plaisir qu'elle poussait en la faisant sortir me rendait gênée, confuse. Mais aussi très excitée, je devais bien l'avouer, si bien qu'un début d'érection déformait ma culotte, qu'un filet de cyprine était venu tâcher. J'étais comme hypnotisée par son membre mou qui gigotait, épais et ruisselant d'une couche de sa propre cyprine. Je m'avançais lentement vers Sumika et m'agenouillais devant elle, mon visage à hauteur de son intimité. Et je l'observais, tout simplement fascinée, pendant qu'elle caressait son membre humide juste sous mes yeux. Et ça m'excitait énormément ! Je mouillais comme une fontaine et bandais dure comme fer sous ma petite jupe qui semblait maintenant former une tente. J'avais très envie d'y toucher moi aussi... mais je devais d'abord faire de même. J'annonçais, un peu maladroitement.

"Je-je vais sortir la mienne maintenant..."

Et je m'exécutais. Je me mis debout devant la lycéenne, rougissante, puis relevais timidement ma jupe jusque mon ventre. Mon sexe, insolemment gonflé, était tellement à l'étroit qu'il semblait vouloir percer ma culotte pour se retrouver à l'air libre. Je restais un peu immobile, laissant la futanari apprecier la vue tout en la faisant languir de voir la suite.

"Il a très envie de prendre l'air lui aussi... hihi !"

Je finis par décaler le tissus de ma culotte, et extirper mon épaisse lance de chair, bien dure et toute tendue. Oh bien sûr elle ne rivalisait pas avec les dimensions de la sienne, mais atteignait quand même presque les 25cm pour 7cm d'épaisseur, ce qui était honorable ! J'entrepris de la prendre en main et de la caresser, lentement, de doux va et vient sur mon sexe...

"Hmmmm..."

Je soupirais, les yeux mi-clos, les joues rouges d'excitation, frissonnant de plaisir. C'était vraiment agréable de se caresser comme ça, d'autant plus pendant que Sumika m'observait et faisait de même, ce moment d'intimité partagé decuplait mon excitation ! Je croisais son regard, et esquissais alors un sourire, une idée derrière la tête. J'avançais vers elle, avec mon sexe entre les mains et pointé dans sa direction, au bout duquel coulait un fin filet de pré-sperme, jusqu'à arriver tout près d'elle...et frotter doucement mon penis contre le sien. Le contact des ces deux membres chauds et si sensible m'arrachèrent un langoureux soupir.

"Haaaaa... han, ça fait du bien... !"

5
One Shot / Re : You're not alone, honey...
« le: jeudi 10 juillet 2014, 14:51:39 »
Le futanarisme était quelque chose dont je n'avais jamais parlé avec qui que ce soit, et encore moins le fait que j'en sois une représentante à part entière. Du coup j'étais quand même un peu gênée par notre conversation, et j'évitais de croiser son regard, du moins tant que je n'étais pas sûre. Trop de questions se bousculaient encore dans ma tête...

"... et composé à 80% de futa..."

Mon esprit se focalisa sur ses mots, et j'ecarquillais grand les yeux. Un club composé de futa. Je... je n'étais donc pas la seule ? Waouh ! Je restais sous le choc, laissant un silence d'une bonne minute même après que Sumika ai fini de s'exprimer. C'était juste... WAOUH ! Voyant la lycéenne ouvrir ses bras, je me précipitai contre elle et lui fit un gros câlin.

"Tu ne peux pas savoir à quel point je suis contente ! Et soulagée ! Pendant toutes ses années j'ai pensé que j'étais une erreur de la nature, avec cette horrible chose qui me pend entre les jambes... mais donc je ne suis pas la seule, en plus de toi il y a 3 autres futanari dans le club ?"

Trop excitée par cette bonne nouvelle, je n'avais même pas remarqué qu'elle semblait être déjà au courant de ma particularité anatomique. Un peu calmée, je finis par redevenir lucide, et fis un pas en arrière, rompant le câlin, avant d'ajouter timidement, rougissant un peu plus à chaque mot.

"Je... ce n'est pas que je te traite de menteuse, mais... est-ce que je... je pourrais la voir... ?"

6
C'est fou comment les taches sombres et poussiéreuses sur le sol pouvaient devenir aussi intéressantes, lorsque l'on était frappé d'ennui ! N'ayant rien de mieux à faire, mon regard s'attarda sur les détails insignifiants qui l'ornaient, sur les quelques détritus qui le jonchaient... toutefois je ne poussais pas le vice au point de me mettre à compter tous les petits carreaux qui formaient le parterre, je n'étais pas aussi désespérée. Mais quand même... il n'y avait pas grand chose à faire, à part attendre patiemment que le métro ai finit son petit bout de chemin jusque ma station.

Je ne faisais pas spécialement attention aux personnes autour de moi, qui montaient, descendaient, se frayaient une petite place. Déjà que, en général, la foule ne me mettait pas vraiment à l'aise, l'idée de croiser le regard de l'une des personne et lui laisser croire que je le dévisageais était encore moins confortable ! Et puis, contempler le sol n'était pas si mal après tout.

"HoooOOO !"

Chose qui arrivait assez souvent, le métro subit un vif ballotement, ce qui secoua quelque peu les passagers présents. Ce n'était pas grand chose, mais tout de même suffisant pour que la plupart en perdent leur équilibre. Pour ma part, j'étais suffisamment bien positionnée, calée contre la porte, pour ne pas être affectée, mais ce n'était pas le cas de tout le monde... comme mon voisin par exemple, un grand gaillard qui manqua presque de m'écraser.

"Oh, excusez-moi, mademoiselle."
"Hum ce..ce n'est rien... c'est pas de votre faute..."

Je répondis timidement, sans oser lever les yeux vers lui. C'était un homme assez imposant, et visiblement musclé, je pouvais sentir ses robustes pectoraux presser contre ma poitrine. Gênée, je fis un petit pas en arrière, laissant suffisamment de distance entre lui et moi tout en évitant de malencontreusement marcher sur les pieds d'une autre personne.

Et le métro poursuivait sa route...

... jusqu'à ce qu'une brève panne de courant intervienne. Ce qui n'était pas quelque chose d'inhabituel, j'ai été témoin plusieurs fois de ce phénomène. La rame fut plongée dans la pénombre, et je sentis... quelque chose... quelque chose venir doucement m'effleurer. Je relevais soudainement les yeux et regarda autour de moi, plissant les yeux à la recherche d'un détail qui sortait de l'ordinaire, sans succès. Étrange. Hmmm, peut-être que je me faisais juste des idées...

7
Alors qu'elles gloussaient de satisfaction, amusée, je me trouvais à leur merci. Victime de leurs vacheries, la lâcheté de se mettre à 4 contre moi ne semblait pas les gêner outre mesure. Il n'y avait guère que dans les fictions que de telles injustices étaient combattues, et je ne me faisais pas d'illusions, je n'avais aucun échappatoire à cette humiliation... du moins, c'était ce que je pensais.

"Ma petite chérie, tu devrais arrêter ça de suite si tu veux que l'on se revoie un de ces quatre."

Une voix s'éleva non loin de là. Et ma première impression fut un immense soulagement : je n'étais plus seule face à ces garces ! Je n'étais toutefois pas tirée d'affaire... Je relevais les yeux vers la nouvelle venue, mais ne la reconnaissait pas. Je pensais même ne l'avoir jamais croisé jusque là, je crois, par contre elle semblait très bien connaitre l'une de mes tortionnaire.

"Wooow..."

Un murmure d'admiration, tandis que je regardais la drôle de jeune fille, surprise. Elle était parvenue à lui faire ravaler sa fierté aussi facilement qu'en claquant des doigts ! J'étais à la limite d'avoir des étoiles pétiller dans les yeux, tandis que la cheftaine s'en allait, suivie par les trois autre qui grommelaient d'incompréhension. Mon attention se reporta sur ma sauveuse lorsqu'elle s'approcha de moi et me caressa les cheveux, un geste dont la douceur me fit presque fondre.

"Hum..euh, merci beaucoup..Amalia. Moi c'est..c'est Hitsumi.."

Je me relevais, du moins essayait, avant de sentir une douleur lancinante au niveau du bas de mon dos. Inspirant un coup, et m'appuyant sur le mur de la douche, je parvins finalement à me lever, toute trempée.

"Je..je crois que ça va, oui..ce n'est que de l'eau, heureusement... j'ai juste un peu mal au bas du dos... elles n'ont pas aimé que j'essaye de me relever, et m'ont poussée un peu trop violemment..."

Je la regardai avec une profonde gratitude dans les yeux. Personne n'avait été aussi gentille avec moi depuis... depuis... depuis tellement longtemps ! Toutefois, je fus un peu surprise par sa demande, et ne pus m'empêcher de rougir un peu en la considérant. J'étais assez pudique, et je ne m'étais jamais retrouvée nue en compagnie d'une autre fille... il n'y avait aucune honte à ça, enfin je crois, mais c'était tout de même un détail que je préférais garder pour moi. Et puis, elle avait proposé ça d'une manière tellement naturelle que je n'osais pas dire non. Et je serais bien ingrate de lui refuser de lui frotter le dos alors qu'elle venait de me sauver d'une situation délicate...

"Et bien..euh, oui, bien sûr.."

Je répondis timidement : je restais malgré tous assez gênée... Prenant mon courage à deux mains, je me dépêchais de m'exécuter, moins j'avais le temps d'y songer et plus ce serait facile. Je retirai rapidement mon tshirt, que l'eau avait rendue extrêmement moulant, en particulier autour des rondeurs de mon buste, puis dégrafai mon soutien-gorge, libérant ma poitrine sur laquelle ruisselait quelques gouttes d'eau. Je fis descendre mon mini-short le long de mes jambes, me penchant suffisamment pour que mes belles petites fesses rondes sont mise en valeur juste sous son nez, suivi ensuite de ma culotte elle aussi toute trempée. Mes joues, tout à l'heure légèrement rose, était maintenant carrément rouge, de me retrouver ainsi nue devant elle. Je tentais, assez maladroitement, de cacher mes parties intimes, une main devant mon entrejambe tandis que mon autre bras se tenait contre ma poitrine. Silencieuse, le regard fuyant, j'attendais qu'elle fasse de même elle aussi, pour pouvoir lui frotter le dos...

8
Comme à mon habitude, j'étais assise au premier rang dans la salle de classe, et j'écoutais attentivement mon professeur de géographie nous expliquer les différences démographiques du Japon, tout en prenant soigneusement des notes. Quand soudain je sentis mon téléphone vibrer... "Qui ça peut bien être..." me disais-je. J'attendai que le professeur se retourne, et vérifia rapidement mon téléphone. Le numéro était inconnu, et à la vue du message je comprenais pourquoi...

"On a un compte à régler toutes les deux. Rendez-vous après les cours derrière le lycée. Si tu ne viens pas tu le regretteras, sois en certaine."

Je deglutis faiblement. Qu'est ce que c'était que cette histoire !? J'avais beau y réfléchir, je n'avais aucune idée de ce dont il s'agissait... Autant en avoir le coeur net.

"Qui es-tu ?"
"Tu te fous de moi ? Tu crois que je vois pas comment tu tente d'aguicher mon petit copain en agitant tes gros lolo sous ses yeux ??"
"Non tu dois faire erreur, ce n'est pas moi..."
"Oh non je ne me trompe pas, Hitsumi. Souviens toi : derrière le lycée, après les cours."


Je rangeai mon téléphone, déconfite. Les cours de géographie avait perdu toute mon attention, focalisée sur les perturbants messages que je venais de recevoir. Bon sang, dans quel pétrin je m'étais fourrée... où plutôt voulait-elle me fourrer. Après tout, jusqu'à preuve du contraire, je n'y étais pour rien, et ce ne serait pas la première fois que l'on invente un prétexte pour me tourmenter !

Quoi qu'il en soit, il était hors de question que je me présente à son rendez-vous ! Je ne savais pas ce qu'elle mijotait et, très franchement, je préférais ne pas le savoir. Prétextant un soudain mal de ventre, je réussi à convaincre le prof de me laisser rentrer chez moi plus tôt, et éviterai ainsi de prendre le risque de la croiser dans les couloirs après les cours. On n'était jamais trop prudente...

Je quittai le lycée d'un pas vif, m'en éloignant au plus vite, et me dirigeait vers la station de métro non loin de là. En m'approchant des quais, j'entendis l'alarme annonçant la fermeture automatique des portes. "Zut ! Il va bientôt partir !" Je me mis à courir dans les escalators, et me précipita à travers les portes qui se refermèrent juste derrière moi.

"Pfiou... c'était moins une."

J'étais chanceuse d'avoir trouvé assez de place pour entrer, le métro était relativement bondé, ce qui était normal à cette heure. Évidemment aucun siège n'était disponible, je me contentais donc de ma petite place debout contre la porte, en espérant ne pas trop me faire écrasée par tout le monde...

9
One Shot / Re : You're not alone, honey...
« le: dimanche 18 mai 2014, 04:31:40 »
Le lendemain matin...

"Bwaaaaah..."

J'ouvris lentement les yeux après un long bâillement, m'étirant les bras. J'étais encore très fatiguée malgré tout, il faut dire aussi que je n'avais pas beaucoup dormi. J'étais trop préoccupée par mon rendez-vous pour pouvoir trouver le sommeil... Comment ça allait se passer ? Qu'est ce que j'allais y découvrir ? Après toutes ces années à porter ce long et dur secret, trouverais-je enfin un moyen d'alléger ne serait-ce qu'un petit peu ce lourd fardeau ? J'essayais toutefois d'éviter de trop espérer, il n'y avait rien de plus blessant que de tomber de son petit nuage.

Je retrouvai peu à peu mes esprits, et m'apprêtais à me lever et quitter mon lit quand je remarquai une scène amusante. Mon drap semblait former une sorte de tente, maintenue par mon sexe en érection tendu vers le plafond. J'avais pour habitude de dormir nue, et les frottement du tissu sur mon gland commençait à me donner chaud et à me faire soupirer... Cette bite entre mes jambes était pire qu'une malédiction, dès qu'elle commençait à s'exciter il m'était impossible de me contrôler, l'envie et le plaisir me submergeait. Oh, bien sûr, je ne niais pas être un peu perverse aussi, mais... rhaaaah j'en pouvais plus ! Je fis rapidement entrer deux doigts dans mon antre chaude de désir et ruisselante de cyprine, me doigtant furieusement, tandis que de mon autre main j'empoignais mon gros chibre frémissant et l'astiquait vigoureusement.

"Hmmm...Hmmm..."

Je soupirais faiblement en me masturbant, me tortillant de plaisir dans mon lit, gemissant de plus en plus fort à mesure que je me rapprochait de l'orgasme. L'avantage d'être une futanari était que je pouvais prendre deux fois plus de plaisir sexuel, et je ne m'en privais pas, stimulant vivement à la fois mon vagin humide et ma grosse queue. Han ! C'était tellement bon que je ne tardais pas à jouir, inondant mes doigts d'un flot de cyprine tandis que de puissants jets de sperme chaud jaillirent de mon chibre et atterirent sur mon ventre et sur mes seins. Je restais immobile quelques instants sur le lit, haletante, sentant la douce chaleur de mes fluides sur ma peau, encore frissonnante de ce plaisir intense.

"Haaan... haaan... mon dieu que c'était bon..."

Après une bonne douche et un léger petit déjeuner, je pris la direction du lycée. Sans oublier de m'habiller bien sûr... Les cours se suivaient, mais je ne les écoutais que d'une oreilles distraite. J'avais des choses un peu plus préoccupantes à l'esprit, et je ne parvenais pas à penser à autre chose. Finalement la dernière sonnerie de la journée retentit et, contrairement à d'habitude, je me précipitai rapidement vers la sortie, ayant déjà rangé toutes mes affaires. Mais c'était un détails que personne ne remarqua. En général les gens ne faisait pas attention à moi, sauf s'ils s'agissait de m'embêter...

Je me retrouvai ainsi sur le toit. Hmm, personne à l'horizon... Et une terrible question me vint à l'esprit. Et si... et si elle ne venait pas !? Je regardais ma montre, 16:47, puis inspira un grand coup. "Hum j'en fais peut-être un peu trop... " songeais-je. Il fallait que je me détende, inutile de stresser autant. J'attendais impatiemment, adossée au mur, jusqu'à entendre bientôt des bruits de pas s'approchant. C'etait Sumika. Ouf, elle était venue, et était même en avance ! Je la saluais de même, m'inclinant plus bas qu'elle en signe de respect, avant de répondre.

"C'est à dire que...

J'hésitais. Oui il y avait bien quelques chose de très important dont j'aimerais lui parler, du moins important à mes yeux, mais... pouvais-je vraiment lui faire confiance ? Je ne la connaissais pas après tout, et je ne savais toujours pas ce qu'était le Futabu. Peut-être me trompais-je, peut-être que cela n'avait rien à voir avec les futanari... et j'avais entre les cuisses un secret qui me tenait beaucoup trop à coeur pour que je prenne le risque de le dévoiler aussi facilement. J'hésitais encore quelques instants, réfléchissais, avant de lui demander timidement.

"Euh, est-ce que... est-ce que tu pourrais m'en dire plus au sujet de ton club ?"

Mon coeur battait la chamade. Après tout, sa réponse allait probablement changer ma vie... ou peut-être pas. Je préférais ne pas me faire trop d'illusions... Mon regard croisa le sien, et j'ajoutais, rapidement.

"C'est que... j'ai entendu dire que ça avait un rapport avec... avec les futanari..."

10
La séance de sport d'aujourd'hui fût affreusement éreintante ! Il s'agissait d'un quinze-cent mètres, ni tout à fait un sprint, ni tout à fait une course d'endurance, c'était une horreur. De retour dans les vestiaires, je m'écroulais littéralement sur l'un des bancs près de mon casier, haletante et épuisée. Haaa, je ne dirais pas non à une bonne douche bien chaude là, mais il y avait encore trop de monde de présent, je préférais attendre un peu qu'elles s'en aillent. Je traînais lentement, prenais mon temps, jouais de temps en temps sur mon téléphone, tandis que le vestiaire se vidait peu à peu... mais il restait toujours un groupe de 4 lycéenne qui papotait ensemble. Elles devaient probablement être d'une autre classe, je ne les ai jamais croisé ailleurs qu'en EPS. Je ne savaient même pas comment elles s'appelaient. Ce qui n'empêcha pas l'une d'elle de m'interpeller.

"Bah alors Hitsumi, tu ne compte pas prendre ta douche ?"

Deux de ses copines chuchotèrent, suffisamment fort pour être sûre d'être entendue.

"Faut croire que le parfum odeur sueur est revenue à la mode."
"Haha, trop degueu cette meuf !"

Je détournai les yeux et rougis vivement, décontenancée par leurs langues de vipère. Ne sachant trop comment leur répondre, je me contentais de bégayer faiblement.

"Euh, si... si, si... j'y allais justement..."

Je pris mes affaires, et m'éloignai rapidement des lycéennes, entrant pied nus dans l'espace des douches communes. Je m'apprêtais à me déshabiller, encore vêtue de ma tenue de sport, un petit short bleu un peu trop court et un t-shirt blanc un peu trop moulant, lorsque j'entendis des bruits de pas sur le carrelage. Les quatre filles m'avaient suivie... Je deglutis lentement. Peut-être étais-je juste paranoïaque, mais elles ne semblaient pas très amicales. Encore moins quand elles se séparèrent et se positionnèrent autour de moi.

"Oh ne t'en fais pas. On est juste venue te donner un coup de main et s'assurer que tu ressorte d'ici toute belle et toute propre."

Ses trois amies gloussèrent comme des hyènes fourbes. Non ce n'était pas de la paranoïa, quelque chose n'allait vraiment pas. Je devisageai celle qui s'adressait à moi, sans oser faire le moindre geste, tandis qu'un silence des plus pesant s'installait. Ça me mettait réellement mal à l'aise cette histoire... Je rétorquai, timidement.

"Que... que veux-tu ?"

La jeune fille se mit à rire, ce qui me rendait encore plus nerveuse. Qu'est ce qu'elles me voulaient ?! Je lançais de brefs coup d'oeil à ses copines, avant de reporter mon attention sur elle. Mon dieu, mon coeur battait tellement fort dans ma poitrine que je ne serai même pas étonnée de l'entendre raisonner dans toute la douche !

"Je te l'ai dit voyons... m'assurer que tu prenne bien ta douche !!"

Soudain, je sentis deux des lycéennes me prendre chacune un bras et m'immobiliser, ne me laissant pas l'occasion de me soustraire à leur étreinte.

"Qu..."

L'instant d'après je me retrouvai suspendue à un mètre du sol par les 4 membres, soulevée par la bande de pimbêches !

"Mais ! Mais lâchez-moi !"

J'avais beau me débattre, mes efforts restaient vains, et je restais fermement maintenue. Boostée par le stress de la situation, mon regard papillonnait à droite à gauche, paniquée, et mon coeur battait plus fort que jamais.

"Bon sang ! S'il vous plaît ! Laissez moi partir ! Je-je ne dirais rien à personne ! Je vous assure ! Lachez-moi !"

Tout ce que je parvins à avoir en retour fût des gloussements et des ricanements. Implorante, impuissante, je les laissais faire. Je n'avais pas vraiment le choix... Elles me jetèrent sans pitié sous la douche, malgré toute mes supplications, et m'arrosèrent abondamment, avec son jet d'eau et ceux des cabines voisines. Et quand j'avais le malheur de tenter de me lever, elles me jetaient au sol à violent coup de pieds !

Je me mordillais la lèvre pour ne pas pleurer, tandis qu'elle gloussaient et se moquaient. Préserver un minimum de fierté, c'était bien tout ce qu'il me restait...

11
One Shot / You're not alone, honey...
« le: vendredi 16 mai 2014, 18:49:18 »
"Driiiiiiiing !"

La sonnerie annonçant la fin des cours retentit, et dans un ultime effort, sachant qu'elle risquait de perdre d'une seconde à l'autre ce qu'il restait de l'attention de ses élèves, elle s'empressa d'ajouter.

"Oh, et avant de partir notez les devoirs pour la semaine prochaine !"

Elle tenta tant bien que mal de se faire entendre et d'enoncer les exercices à effectuer, mais sa voix ne parvenait pas à rivaliser avec le brouhaha général. J'essayais de me concentrer du mieux que je pouvais pour pouvoir distinguer ce qu'elle disait, mais c'était mission impossible, les élèves rangeaient bruyamment leurs affaires, raclaient les chaises sur le sol, papotaient avec leur voisin voire hurlaient à l'autre bout de la salle.

Je soupirais. "Bon et bien... tant pis." songeais-je. La salle de classe était déjà vide, à l'exception de quelques retardataires dont je faisais partie. Rangeant tranquillement mes affaires dans mon sac, je me dirigeais ensuite vers mon casier, récupérer de quoi pouvoir travailler ce soir. Je ne pu m'empêcher d'entendre non loin de moi la conversation entre deux lycéennes. Je ne les connaissait pas vraiment, mais elles semblaient se partager un secret...

"Hey, tu te souviens des travaux dans l'aile ouest du bâtiment ?"
"Ah, oui ! C'était une vraie ruine avant ! Je me souviens quand on s'amusait à l'explorer la nuit haha."
"Il paraît que c'est un nouveau club qui a acquis toute l'aile pour lui tout seul !"
"Woaha ! Ça doit être un club sacrément riche !"
"Yep... et je me demande pourquoi ils auraient besoin de tout cet espace."

Je restais figée un bref instant. Les deux jeunes filles ne semblaient pas avoir remarquer ma présence, ou du moins ne la trouvait pas gênante. Et c'était tant mieux. J'étais bien curieuse d'en savoir plus au sujet de ce fameux club... Fouillant dans mon casier, je fis semblant d'y chercher quelque chose pour me donner un prétexte à rester et à écouter la suite de leur conversation.

"Tu ne sais pas de quel club il s'agit ?"
"J'ai entendu dire qu'il s'agissait du club Futabu."
"Jamais entendu parler..."
"Moi non plus, je sais pas du tout de quoi il s'agit exactement. Je sais juste qu'apparemment ce serais Sumika, la gérante du club."
"..."
"J'ai cru comprendre que ça avait un lien avec les futanari, mais je pensais que ça existait que dans certains manga."
"Les futa-quoi ?"
"Euh..."

La jeune filles semblait tout à coup bien gênée, et je comprenais aisément pourquoi. Il n'était déjà pas évident d'assumer s'intéresser aux hentai, ça l'était encore moins quand il s'agissait de thème qui... s'éloignait de la norme. Et avec la malformation qui me pendouillait entre les jambes depuis ma naissance, j'étais relativement bien placée pour le savoir. Rouge comme une pivoine, elle s'empressa de répondre, avant de se précipiter vers la sortie.

"Euh, rien, laisse tomber. On s'voit demain !"

Et elles s'eloignèrent... tandis que je restais là, perplexe. Toute cette conversation avait piqué à vif ma curiosité. Quel genre de club cela pouvait bien être ? L'espace d'un instant je me suis imaginée un club réservé aux filles comme moi, aux futanari, mais je redescendis bien vite sur terre. C'était impossible, je n'étais qu'une erreur de la nature, sans doute pas la seule sur Terre d'ailleurs, mais qu'il y en ai plusieurs, de mon âge, dans mon lycée, dans un même club, c'était tout simplement trop beau pour être vrai ! Le plus probable serait qu'il s'agisse effectivement d'un groupe de personnes passionnées par le hentai futanari, mais... comment un tel club aurait pu recevoir l'approbation d'être créé ?

Tant de question se bousculait dans ma tête... et il n'y avait qu'une seule personne capable d'y répondre.

Sumika.

Une semaine plus tard...

J'avais retrouvé assez rapidement la lycéenne en question, dès le lendemain en fait. Oohashi Sumika, en dernière année, et effectivement vice-présidente du fameux club Futabu. Seulement... seulement voilà, je n'avais toujours pas osé lui en parler. Après tout je me voyais bien mal l'accoster dans les couloirs "Hey, salut ! Je suis une futanari ! Est-ce que tu pourrais me parler du Futabu ?". Surtout que c'était un lourd secret que je m'efforçais de garder du mieux que je le pouvais.

Il y avait peut être un autre moyen...

Prenant mon courage à deux main, je me decidai finalement à agir ! J'attendais impatiemment la pause déjeuner, et quand la sonnerie retentit enfin, je fonçai vers la salle de classe des dernières années. Je reconnu aisément Sumika, avec sa paire de lunette et ses longs cheveux bleus. Détournant innocemment le regard, je passai près d'elle comme si de rien n'était, et laissai tomber un petit bout de papier dans son sac.

Citer
Salut !
J'aimerais te parler du club Futabu.
Rejoins-moi demain après-midi à 17h sur le toit du lycée.
C'est important...

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Le coin du chalant / Re : Les déboires d'Hitsumi
« le: jeudi 15 mai 2014, 12:43:03 »
Up !
Relance du personnage et ajouts de quelques trames. :)

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Le quartier de la Toussaint / Re : Violence [Hitsumi Gotô]
« le: mercredi 11 septembre 2013, 00:42:24 »
J'étais honteusement gênée, profondément bouleversée, mais par dessus tout terrorisée ! J'avais l'impression que le ciel, non que tout l'univers s'effondrait sur moi, mettant en scène mes pires cauchemars. Je voulais juste rentrer chez moi, par pitié ! Mais suite à ma demande, la démone-au-gros-sexe commença un long laïus auquel je comprenais à peine la moitié de ce qu'elle disait, encore sous le choc, mais j'avais tout de même saisi l'essentiel : elle ne contait pas me laisser partir, et cela me laissait un amer gout de désespoir en travers de la gorge...

J'étais tout simplement prise au piège, entièrement à sa merci, j'avais autant de valeur qu'un pantin entre ses mains. La preuve, j'étais en train de la masturber devant tout le monde ! C'était pourtant dingue, à bien y penser, mais pas aussi dingue qu'une démone sanguinaire débarquant à Seikusu certes. Je n'avais aucun échappatoire, en dehors de la moindre once de pitié qu'elle voudra bien éprouver pour moi. Aussi, quand elle écarta avec irritation mes mains de son sexe, l'idée qu'elle soit déçue m'effleura l'esprit, et je vis soudain ma vie défiler devant mes yeux. Enfin, au sens figuré... mais je croyais vraiment qu'elle en avait marre et aller me tuer. Et mes nerfs craquèrent.

"Pitiééééé ! Je vous en supplie, je n'ai rien fait, laissez moi m'en aller, par pitiéééé !"

Au bord des larmes, je finis par éclater en sanglots, et pleurer abondamment, gémissant encore quelques plaintes désespérées. Et la perspective de me faire couper les jambes et vider de mon sang ne m'aida pas à me calmer, loin de loin ! La vue brouillée, l'esprit embrumé, je peinais à réfléchir. Tout ce qui comptait à mes yeux était de rester saine et sauve, rentrer chez moi étant un luxe auquel je n'aurais visiblement pas droit pour le moment. Me rattacher à la moindre parcelle d'espoir, c'était tout ce qu'il me restait à faire, et ce fût la démone elle-même qui me laissa entrevoir un espoir ! Mais à quel prix ?

"Suce !"

De toute façon, avais-je le choix ? C'était ça où finir en morceau...

"Ou-oui madame ! Laissez moi m'occuper de votre plaisir, je vous ferais jouir..."

A genoux devant elle, mon visage à hauteur de son sexe, la démone rapprocha d'elle même ma tête contre ses hanches, et je n'eu plus qu'à ouvrir la bouche comme une salope pour gober son membre entre mes lèvres. Mon dieu, voyez à quoi j'en étais réduite pour éviter un destin tragique. Et avec toutes les caméras et projecteurs braqués sur nous, j'avais l'impression de tourner dans un film pornographique... Je tendis ma main et serra la base de son pénis entre mes doigts, avant de sucer la démone comme elle m'en avait donné l'ordre. Je fermai les yeux et m'imaginais une bonne sucette au chocolat, suçant sa queue avec gourmandise, tout en lui lançant de petit regard, qui m'assurait que je ne me débrouillait pas trop mal, enfin j'espérais, ce qui signerait mon arrêt de mort. Je léchais le gland, le titillant doucement, pendant que mes lèvres glissaient le long de son sexe, de plus en plus rapidement. Je gémissais faiblement, ma langue s'enroulait autour, accompagnant les mouvements de mon visage, pendant que je la suçais, avec de plus en plus d'ardeur. Le message avait été clair, si je voulais avoir la vie sauve j'allais devoir la faire jouir avec ma bouche !

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Le quartier de la Toussaint / Re : Violence [Hitsumi Gotô]
« le: lundi 09 septembre 2013, 01:23:29 »
Assise seule au fond de la salle, je m'assoupissais à moité en entendant mon professeur de biologie réciter sa leçon de géologie sur un ton à la monotonie assommante. Dieu que c'était barbant. Je sursautai néanmoins tout d'un coup en sentant mon téléphone vibrer. Je n'avais nul besoin de le regarder pour savoir qui ça pouvait bien être : mon père, le seul contact de mon répertoire, et le seul à avoir mon numéro de téléphone. Je m'empressai néanmoins de le sortir, discrètement, avant de lire le sms qu'il venait de m'envoyer, une liste de course longue comme le bras, principalement de fruits et légumes, que je devrais m'empresser d'aller chercher après les cours... "Oui, papa." me contentais-je de répondre, un peu blasée mais sans aucune amertume.

La sonnerie retentissais à peine que j'étais déjà prête à partir, et filais rapidement à travers la classe, évitant soigneusement de croiser le regard de mes camarades, qui avaient le don de me mettre mal à l'aise. Ils avaient la fâcheuse tendance à me taquiner à la moindre occasion, et c'était souvent embarrassant... enfin bref, je sortis du lycée et bifurquai directement en direction du centre commercial et de son marché quotidien, mon sac à dos à l'épaule. Pendant que je selectionnais des tomates, j'entendis non loin de moi un rire étrange, étonnamment long, j'étais curieuse de savoir ce qu'il se passait mais m'abstins de me retourner malgré tout, concentrant toute mon attention sur les tomates. Si j'avais le malheur d'en apporter une mauvaise, ou qui ne lui plaisait pas, j'étais bonne pour recevoir une sacrée correction...

Mais quand le rire cessa, remplacé par des hurlements provenant d'une foule terrifiée, je fus bien contrainte de me retourner !

"Mais, bons sang, que se passe-t-il ?"

La réponse, aussi insolite soit-elle, ne tarda pas à se faire savoir. Je vis au bout du marché une femme étrangement vêtue, à la peau d'un noir loin d'être naturel, s'emparer d'une jeune fille en riant comme une échappée d'asile psychiatrique, avant de purement et simplement lui arracher la tête. Oh mon dieu... Était-ce un cauchemar ? Je n'en croyais pas mes yeux, c'était, c'était... c'était tout simplement atroce ! Je portais une main choquée à mes lèvres, tétanisée, laissant tomber à terre mon sac et les quelques légumes que je venais de choisir, et je la voyais avec horreur s'avancer dans ma direction.

"Ohmondieu ohmondieu ohmondieu ohmondieu..."

Je commençais à paniquer, incapable de bouger le petit doigt, jusqu'à ce que nos regards se croisent fatalement. M'avait-elle vue ? Punaise, elle m'avait vue ! Dans un élan desesperé, je me jetai à terre et me cachai derrière une étale, priant de toute mes forces.

"Faites qu'elle ne m'ai pas vu, faites qu'elle ne m'ai pas vu, faite qu'..AAAAAHH !!"

La terrifiante femme m'avait non seulement vue, mais m'avait en plus tirée par les cheveux, avant de me plaquer contre le mur et de serrer ma gorge, me couper la respiration. Je me débattais, en vain, sa poigne était de fer, et elle ne cillait pas. Ses yeux... mon dieu ses yeux, ils étaient rouges, terrifiants, sans aucune once d'humanité. Je voulu hurler, prier, la supplier de me laisser partir, mais aucun son ne sortait de ma bouche, seulement un vague cri étouffé et quelques suffocations. Continuant à me débattre, je tapais des pieds sur le sol, mais m'arrêta net lorsque je sentis le tranchant effilé de ce qui semblait être une lame glisser sur ma joue. Je déglutis, tremblante, terrorisée à l'idée d'être tailladée, sentant avec dégout un liquide poisseux sur ma peau, que la démone lécha avec satisfaction. Je ne me posais pas la question de savoir ce que c'était, car elle n'était clairement pas humaine, ou ce qu'elle venait faire ici... non, pour l'heure, ma seule préoccupation était de prier pour rester en vie.

"OUUUUAAAAAAHHH !"

Elle m'envoya faire un vol plané de plusieurs mètre, m'envoyant m'écraser lourdement à terre, m'arrachant un nouveau cri de douleur. Mon dieu, mais c'est quoi cette histoire ! Sans avoir le temps de me relever, encore subjuguée par la douleur de la chute, la démone me rejoint et s'installa sur moi, m'arrachant l'intégralité de mes vêtements, me présentant... un pénis ? HEIN ? De plus en plus abracadabrantesque ! Et cette "femme", si je pouvais me permettre de l'appeler ainsi, semblait particulièrement intéressée pour que j'en prenne soin... un peu comme ce que mon père m'ordonnait de faire, parfois.

"Je...je...je..."

J'étais sous le choc, et comment ne pas l'être dans une telle situation ?! Incapable de rassembler mes esprits, je bégayais, et restais immobile, regardant avec désespoir ma tortionnaire. Néanmoins cela s'améliorait peu à peu, et je pu enfin aligner deux syllabes sans broncher.

"Je m'appelle Hits..."

"En fait je m'en fous de ton nom, petite salope ça te vas très bien !"

Sursautant, interrompue, je ne cherchais pas à la contredire, et acquiesçai silencieusement. Bon dieu, elle était terrifiante ! Je ne remarquais que bien plus tard que, près de nous, de larges télévision retransmettait la scène. Je me voyais, à moitié nue, la jupe en lambeau et le chemisier grand ouvert sur une poitrine que plus rien ne dissimulait, chevauchée par une démone ravie et dont le membre massif pointait de manière très troublante vers mon visage. OH MON DIEU. Et toute la ville pouvait voir ça !? J'étais rouge comme une pivoine, morte de honte, mais la démone me rappela bien vite que ma priorité n'était pas tant ce que les gens pensait de moi... mais plutôt qu'elle ne m'arrache pas la tête comme elle l'avait fait quelques instants plus tôt ! Mon regard papillonnait en tous sens, j'haletais, j'étais tout bonnement terrorisée !

N'ayant pas le choix, j'acquiesçai à l'ordre de la démone, et pris en main le gland qui se présentait à moi, non sans avoir, en un geste plus désespérée que réellement efficace, rejeté mes cheveux sur mon visage d'un mouvement de tête, afin de le dissimuler aux caméras. J'entrepris alors de masturber sa queue, timidement, la serrant entre mes doigts fins et glissant sur sa longueur. C'était la première fois que je faisais ça avec quelqu'un d'autre que mon père... son sexe était certe bien plus gros, mais ils se ressemblaient beaucoup, aussi chaud et frétillant à chacune de mes caresses. J'espérais que cette masturbation improvisée allait satisfaire la démone ! Peut-être même aller-t-elle me laisser rentrer chez moi !? Et que dirait mon père s'il voyait que je n'avais pas ramené les courses ? Et que je revenais dans cet état ?! HAN, il me tuerait, c'est sûr ! Non, pas le temps de penser à tout ça ! Rassemblant tout le courage et l'assurance que je pouvais avoir en moi, je me mis à bredouiller.

"Pi...pitié, madame... laissez moi partir."

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Le coin du chalant / Re : Les déboires d'Hitsumi
« le: dimanche 08 septembre 2013, 20:28:30 »
J'en pleure déjà. ;D
Je t'envoie un MP !


Je ne prendrais pas de nouveau RP (à l'exception de la trame 1 ♥).

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