Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Pour le plaisir [Leona]
« le: jeudi 05 septembre 2019, 17:21:39 »
Le temps passe, fuse, et Leona impatiente tape du pied devant les toilettes. Elle avait suivit Sonya durant un petit moment jusqu'à ce qu'elles rentrent, suivis de deux autres filles, des pestes populaires de la classe avec qui elle n'avait aucune attaches mais qui n'avaient pas hésité une seule seconde à suivre Leona. Il faut dire que la proposition était alléchante, la gothique avait promis quelque chose d'amusant, de quoi tourmenter la souffre douleur. Mais rien ne venait, tout le monde commençait à perdre patience y compris Leona qui martelait le sol avec le talon de ses bottines, agacée. Les deux autres filles, Havana ( https://www.zupimages.net/up/18/27/0oc3.jpg ) et Charlotte ( https://www.zupimages.net/up/19/36/a4ot.jpg ) grimaçaient à leurs tours, mais n'osaient pas en dire d'avantage... Leona était ce qui était de plus effrayant au sein de leurs classes, elles le savaient par les rumeurs qui circulaient sur elle. Pourtant Charlotte était sur le point de dire quelque chose quand...

Bon j'en ai mare, cette peste joue avec mes nerfs, on va aller la faire pleurer.

La proposition devient tout à coup très alléchante pour les deux autres filles qui imitent Leona, pénétrant en douce dans les toilettes. La rousse était là, enfermé dans un des toilettes, pensant surement que Leona n'irait pas jusqu'à sécher les cours... grave erreur, car elle était bien là et remontée plus que jamais. Discrète, elle attendit que sa proie sorte pour lui envoyer une gifle sévère de sa main froide, faisant tomber ses lunettes au sol. Une des deux autres peste lui tire aussitôt après les cheveux, et lui passes un bras autours de la taille. L'autre main vient cruellement se plaquer contre sa bouche pour la faire taire. Souriante, fière de sa prise, Charlotte fait tout pour maintenir ainsi Sonya en place, devant Leona et Havana.

Je déteste attendre tu sais, tu as fait preuve d'une impolitesse incroyable là, Sonya. Ces deux adorables jeunes filles voulaient elles aussi te voir avec la jolie tenue que je t'ai filé. Tu viens de leur gâcher ça...

On a qu'à faire comme d'habitude, on lui fou la tête dans les chiottes !

Sans t'offenser Hava... j'ai oublié ton nom peu importe, vos méthodes de brutes sont trop classiques. Moi, je vais lui apprendre le respect, lui montrer ce qu'est la peur. Jamais plus elle ne me désobéira après ça. Foutez moi cette peste à genoux et ligotez la.

N'y allant pas de mains morte, charlotte lui appuie sur le dos et la fait tomber à genoux, lui ligotant les poignets derrière le dos, bien solidement, avant de jeter son corps comme un déchet aux pieds de Leona. Celle-ci lui écrase le visage avec la semelle de sa bottine, le talon pressant la pauvre joue de la rouquine alors que l'ado au style gothique prépare du matériel qui aurait de quoi inquiéter. Ce n'est pourtant rien en soit, ce qu'elle sort de son sac à dos n'est rien d'autre qu'un rouleau de scotch, dont un large morceau bien collant scelle les lèvres de Sonya. Ainsi qu'un petit sac plastique vide. En voyant Leona ouvrir ce dernier et le diriger lentement vers le visage de la rousse, il est facile de deviner ce qu'elle compte faire, et il ne lui faut pas longtemps avant de le lui mettre autours de la tête. Les deux autres lèves rigolent pendant que Leona, tout en regardant Sonya cruellement dans les yeux, l'étouffe en serrant le sac plastique autours de sa tête.

Qu'est-ce qui se passe Sonya, tu as du mal à respirer ?

Elle prends bien soin de garder le plastique tout autours de sa tête, le serrant de ses deux mains au niveau de son cou, sans étrangler la jeune fille, simplement pour maintenir le plastique bien collé aux formes de son visage. La voir essayer de respirer, inspirant et expirant le peu d'air présent, rejetant et aspirant le sac plastique contre son pauvre petit nez en recherche d'oxygène frais... la scène est tout bonnement divine pour Leona qui jubile. De temps à autre, pour ne pas qu'elle s'évanouisse, l'adolescente aux vices un peu tordus desserre le sac autours de son cou, et le soulève pour laisser l'air y entrer... Avant de recommencer à nouveau. Son visage passe plusieurs fois du rouge intense à sa couleur d'origine entre les suffocations et les apports d'airs, et les deux autres filles ne sont pas en restes puisqu'elles ne profitent pour envoyer valser Sonya dans tous les sens, comme pour se faire des passes avec un vulgaire ballon. Durant ces passes, elles susurrent de vilains mots humiliant, dégradants de toute sortes, tout en jouant avec ses gros seins. L'une d'elle fini même par réduire son haut en lambeau de tissus à l'aide d'un ciseau, la mettant à nue et l'embrasant à travers le sac plastique et le scotch. Une nouvelle passe vers Leona, et enfin la rousse peut de nouveau respirer, une fois de plus.

Pauvre chose... ta poitrine doit te faire si mal... respire maintenant.... respire...

Des mots presque rassurant, des caresses dans ses cheveux et le visage de Sonya contre sa poitrine. On aurait presque pu penser que Leona la consolait. Seulement... Elle lui remis le plastique autours du visage après qu'elle ait pu bien reprendre son souffle, en scotchant les bords contre sa peau pour que celui-ci tienne tout seul, sans que les filles aient besoin de garder les mains autours de son cou. Elle la pousse alors par terre en ricanant.

Tu veux respirer ? Frotte toi à nous comme une gentille petite chienne. Je ne retirerais pas ce sac plastiques avant que tu n'ai jouit ou que tu ne te fois faite dessus de peur !

Les trois ado rigolent en communion, et charlotte aide la pauvre petite Sonya à se relever, lui pelotant les seins tandis que les deux autres adolescentes présentent déjà leurs cuisses en avant. Elle devrait faire vite pour pas s'étouffer, autant ne pas perdre de temps.

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Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Pour le plaisir [Leona]
« le: lundi 02 septembre 2019, 16:36:52 »
Le lycée était pour Leona un vaste terrain de chasse. Là ou elle ne devrait y voir que des élèves et des camarades comme toutes les filles normales de son age, elle, ne voyait que des proies, de petites gazelles prêtes à se faire dévorer par le lion. Comme attirée par l'odeur du sang , elle avait commencé à jeter son dévolue sur une jeune rousse aux jolies yeux bleus. Le genre de filles mignonne, avec de grosses formes, qui aurait pu être populaire si elle n'avait pas cette manie ridicule. Enfin, elle avait beau penser ça mais Leona possédait la dernière version de pokemon en date sur console portable, et y jouait chez elle à l'abri de tous regard indiscret. Autant dire qu'elle connaissait bien l'univers bien qu'elle ne soit pas perdu au point de l'afficher ouvertement devant toute la classe, comme cette... Comment elle s'appelait déjà ? Ah oui, Sonya. Trouver des informations sur elle n'avait pas été difficile, et Leona ne se tortura pas bien longtemps pour chercher un dossier compromettant pour lui faire du chantage. Sonya était bien assez faible pour être attaquée de front.

Du coups, une heure avant son arrivée, elle avait crocheté son casier et avait inséré à l'intérieur une tenue qui semblait des plus classiques, au premier coups d'oeuil. Un petit short en jean très cours, un haut pas plus long, ainsi qu'une photo ( https://www.zupimages.net/up/19/36/3jpe.jpg ). Pour les connaisseurs, il s'agissait de Misty, un des personnages phare de la série et Leona avait tout de suite fait le rapprochement entre les deux, surement à cause de la ressemblance liée aux cheveux roux. Ainsi, elle avait attendu que Sonya se montre à son casier, l'ouvre, et découvre la surprise à l'intérieur, avant de se glisser à côté d'elle. Comme d'habitude, Leona portait son style vestimentaire sombre, et son maquillage donnait une intensité à ses lèvres et ses yeux, capable de glacer le sang des plus faibles. Etrangement, c'était là ce qui faisait la beauté de Leona, qui souffla la fumée de sa cigarette en plein visage de la rouquine.

Alors tu aimes mon cadeau ? Si tu veux jouer à la poke-girl fait le au moins jusqu'au bout, je n'aime pas ceux qui font les choses à moitié. Pour aujourd'hui tu ne seras pas Sonya, tu seras Misty.

Assouvir un de ses propres fantasme envers un personnage ? Qui sait, l'esprit de Leona était assez fertile pour cela... Mais elle voulait aussi la voir se ridiculiser devant tout le monde en franchissant le cap de devenir un personnage de l'univers qu'elle aimait tant, et qui lui valait ces critiques. Cela aurait pu s'arrêter là, mais une autre petite boite se trouvait dans le casier, une boite que Leona lui interdit d'ouvrir pour le moment et qui contenait une tenue pour le cours de sport prévu dans 2 heures ( https://i.pinimg.com/originals/68/cd/1c/68cd1c6b98a7a1078fc87ce1ffdfef25.png ) De quoi pimenter l'heure de natation.

N'ouvres pas cette boite, tu découvriras son contenue quand je te l'aurais autorisé. Va plutôt te changer dans les toilettes, je suis sure que ça devrait faire le bonheur de quelques pestes, de te voir te changer ainsi.

Evidemment, rien ne disait à Leona que son nouveau jouet obéirait au doigt et à l'oeuil, mais peu importe. Si elle n'exécutait pas l'ordre, elle lui ferait une démonstration de ce dont elle était capable quand on ne lui obéissait pas... Dans le cas contraire, la tortionnaire avait déjà prévenu quelques peste que quelque choses d'intéressant risquait de se produire dans les toilettes, pour être sure que Sonya ne puisse pas se changer tranquillement... Soufflant une dernière bouffée de cigarette irritante et écrasant le mégot dans le casier de la pauvre rousse, Leona s'en va, claquant les talons de ses bottines contre le sol, sans même se retourner.

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Le coin du chalant / Re : commençons à RP !
« le: lundi 01 juillet 2019, 17:58:04 »
Toujours dispo

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Leona n'avait pas prit la nouvelle au sérieux tout de suite mais maintenant qu'elle était sur Terra, longeant le marché aux esclaves, elle était bien forcer de l'admettre : d'autres mondes avec leurs propres règles existaient. Elle s'était retrouvé ici grâce à un homme étrange qui, quelque jours plus tôt, l'avait abordé sur terre en lui dévoilant l'existence de ce monde. Il avait espionné Leona sans même s'en cacher, admirant la fermeté et la cruauté de la jeune femme envers d'autres filles du même age qu'elle, de manière non consentante. C'était elle, c'était exactement ce qu'il recherchait, une partenaire sur qui compter sur terre, une humaine assez froide envers ses pairs pour lui fournir des esclaves qui se vendraient à bon prix. Si la marchandise venait de la terre, il n'y aurait aucun problème de disparition une fois exporté sur Terra, et l'exotisme de posséder une esclave d'un autre monde même s'il ne s'agissait que d'une humaine pouvait attirer les bourgeois, férus de nouveautés. Cela avait été difficile de convaincre la jeune femme, non sur le plan moral mais plutôt pour lui faire comprendre qu'il ne s'agissait pas d'une vaste blague. Mais après plusieurs jours de négociations le charme de découvrir un monde ou elle pourrait vraiment se lâcher, ou l'esclavage était monnaie courante, avait prit le dessus.

Voila comment elle s'était retrouvée à fouler les pavets de pierres dans sa tenue typiquement gothique, ses yeux d'un bleu intense et froids entourés d'un filet de maquillage noir encre. Quand ce n'était pas la beauté de sa peau claire et lisse ou de ses lèvres pulpeuses généreusement mises par un rouge à lèvres, l'attention était tout de même attirée sur elle comme une étrangère lointaine. Le style vestimentaires n'arrangeait pas cette sensation de décalage. Corsets, bottines à talons, boucles d'oreilles anneaux en acier et jupe moulante... C'était loin de la tenue liée à ce monde médiévale, d'avantage lorsqu'elle se grillait une cigarette.

- C'est ici, comme promis choisis celle que tu désires, c'est à mes frais. Mais n'oublies pas notre arrangement tu devras me fournir sinon, ce sera toi la marchandise.

Leona haussa juste les épaules pour montrer à quel point elle se fichait de ce détail, l'homme lui avait promis en échange de ce boulot une esclave rien qu'à elle, une vraie de vraie... Une liberté troqué aux mains d'une personne contre de la monnaie ! Alors bien évidemment qu'elle tiendrait parole, elle n'en avait strictement rien à faire de kidnapper des humains pour le compte de cette homme, et de les envoyer ici pour la vente. Elle était si excité à cette idée qu'elle ne tenait même pas en place. D'ailleurs, vu la nature de ce monde, autant en profiter pleinement et choisir une créatures plutôt qu'une simple humaine, ça lui offrirait deux nouveautés d'un seul coup.

- Oh ce sont des vraies oreilles de... de quoi au juste ? C'est un espèce de chien ? Je comprends mieux pourquoi les créatures comme elle sont vendues en esclavage, qu'est-ce qu'ils pourraient faire d'autres.

Sur ces mots blessants, Leona souffle la dernière bouffée de sa cigarette à travers la cage de la terranide, avant d'en écraser cruellement le mégot sous le talon. Elle la désigne du bout du doigt d'un geste clair : c'est elle que je veux. On lui ouvre donc la cage, l'homme qui l'avait amené ici toujours satisfait de voir à quel point Leona était une humaine dépourvue de compassion, il ne doutait pas de faire affaire avec elle, qu'il s'agissait là d'un bon investissement.

- Et je peux lui faire absolument ce que je veux ? Vraiment tout ce que je veux ? J'espère que votre machin est solide alors, j'ai la mauvaise manie de casser mes jouets...

Comme une simple marchandise, rien qu'une vulgaire pièce d'étalage, Leona touche touche l'hybride sous toutes ses courbes pour jauger de son état physique.... mais aussi de ses réactions. Cuises, fesses,et surtout les seins qu'elle presse à diverses reprises pour en admirer le moelleux.

VENDEUR : Vous avez bon gout mademoiselle, elle s'appelle Raphtalia et son ancien possesseur a du la ven...
- Qu'est-ce que ça peut me faire tout ça. Mettez lui plutôt une laisse, on va voir ce qu'elle a dans le ventre. Quant à toi petite chose, je suis ta maitresse désormais, alors témoigne moi le respect que tu me dois, agenouille toi à mes pieds et fait donc briller ses bottines... c'est à ça que ta langue sert non ?


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One Shot / Re : Non, vous ne voyez pas doubles (PV)
« le: mardi 14 août 2018, 19:07:24 »
Ah l'amour entre soeur, que c'était beau. Tout cet amour débordant me faisait mouiller et je dandinais mes cuisses l'une contre l'autre avec un petit sourire. Observer ce baiser qui semblait forcé pour l'une, et de bon coeur pour l'autre était excitant, mais je commençais à avoir envie de m'amuser moi aussi, de m'initier entre ce " couple ". Il fallait profiter de ce tendre moment de douceur après tout avant qu'elles ne découvrent le plat principal de la soirée. Oh, je leur réservait encore tant, oui... Ce baiser n'était qu'un aperçu de la cruauté qui les attendait au loin. Finalement, c'était peut-être ces futures images en tête qui me faisaient mouiller, et pas ce baiser...

Ben dis donc Leslie, tu y vas vraiment de bon coeur en plus.

Tournant autours d'elles pour admirer la scène sous chaque coutures, la cravache pleut sur leurs deux paires de fesses tours à tours, Frappant plus fort Leslie qui n'avait encore rien subit par rapport à sa jumelle. Elles étaient plutôt bien roulées à vrai dire, je comprenais presque pourquoi Leslie pouvait être excité par sa soeur malgré le lien qui les unissaient. D'ailleurs, la rousse mouillait malgré elle et la cyprine éclaboussait le sol, ainsi que le ventre de la brune. Elle qui voulait conserver sa soeur des autres, je commençais à me demander si je ne pourrais pas la mettre en rogne en touchant sa tant aimée rouquine. Sure du résultat, j'enfile moi même un gode, bien plus gros mais tout aussi souple, et me saisit d'un bâillon communément appelé ball-gag.

C'est fini le gros bisous mes petites chéries.

Elle avait assez tournoyer sa langue comme ça dans la bouche de sa soeurette adorée, maintenant il était tant de faire taire cette petite pleureuse autrement en lui insérant le bâillon boule. Puisque sa soeur était juste devant ses yeux, j'en profitais pour serrer encore un cran sur le collier de Leslie, l'étranglant d'avantage et entravant sévèrement sa respiration, sous les yeux apeurées de sa jumelle. C'était comme pour lui montrer que le bâillon en bouche n'était rien, tout comme le gode qui commence à la prendre par derrière.

Quel chanceuse, tu vas êtres aux premières loges pour admirer ta soeur essayer de ne pas étouffer... Je me demande combien de temps elle tiendras, tu veux parier avec moi ?

Puis un puissant coups ravage ses reins, obligeant son cul à se cambrer vers l'avant et ironiquement, à s'empaler d'avantage sur Leslie. Je sens bien que son petit cul est serrée, c'est excitant, et je glisse dedans tant bien que mal en prenant appuie sur ses hanches, pour une sodomie des plus explosives. Avec les deux godes se masturbant dans ses antres intimes, sans ménagement, elle donnait presque l'impression d'être au milieu d'un coup fourré, et d'une double pénétration.

Et Leslie ? Allait-elle tenir à demi étouffée ? Jusqu'à faire jouir sa soeur ? Comme pour l'inviter à donner de son mieux et d'offrir l'orgasme à sa soeur, je serre encore une fois le cran... laissant facilement deviner à quel point son cou est écrasé, encerclée par le cuir du collier. Cette fois, sa respiration était presque totalement couper, et ce filet d'air si mince ne la laisserait pas tenir éternellement.

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One Shot / Re : Non, vous ne voyez pas doubles (PV)
« le: jeudi 09 août 2018, 17:30:45 »
Le bruit mouillé des giclures entre leurs cuisses me faisait autant rire que les gémissements de la rousse, qui ne voulait visiblement pas que ça se passe comme ça. Etrange cependant de voir Leslie mouiller en doigtant et embrassant sa jumelle ainsi, alors qu'elle n'était même pas attouchée, elle... Etait-elle vraiment... excitée par ce qu'elle lui faisait ? Oh mon dieu, c'était encore plus amusant, je venais peut-être de toucher une corde sensible sans même le savoir... Leslie aurait donc... un crush pour sa jumelle tant aimée ? Je pouffe de rire dans mon coin en les regardant faire, avant de me saisir d'une cravache en cuir et d'abattre un grand coup sur la fesses droite de la rousse. Puis un second, puis un autre, claquant et marquant bien son cul. Leslie devait se sentir honteuse de ne pas pouvoir protéger sa soeur ainsi de la laisser subir ces coups à sa place, alors pour la réconforter, je décide de lui faire du mal à elle aussi, pour qu'elle culpabilise moins. Ne suis-je pas adorable finalement ? En un click sur le petit boitier, l'écrou en métal qui serre le collier en cuir tire sur les deux extrémité pour le serrer d'avantage. On en était pas encore au point de l'étrangler, mais sa respiration devait en être plus forcée et difficile, j'imagine.

Oups, mon doigts à glisser tout seul sur le boitier, désolée... c'est que je m'ennuyais tant tu vois. Dis-je à Leslie en la tirant hors des lèvres de sa soeur, pour l'embrasser à mon tours sauvagement, d'une fougue sans pareil, tournoyant la langue en tout sens dans le creux de ses joues et autours de sa langue à elle. J'avais beau être la pire psychopathe du lycée de Seikusu, pour autant, je savais embrasser plus que correctement...

Tu vois, c'est ça un vrai baiser, pas difficile non ? Et encore moi, je t'aimes pas du tout ! Alors fait moi le plaisir de me montrer l'amour qui voue lie... Embrasse là comme ta petite amie. Car au fond... Ne serait-ce pas un peu ce qu tu veux ? Je me tourne alors vers la rouquine en roulant entre mes doigts ses tétons, fixant son regard ciel. C'est une bonne nouvelle non ? A ce train là elle va finir pas te déclarer sa flamme ! Tu pourras retirer le statut célibataire de tes réseaux sociaux ! Puis, je la repousse tête contre la poitrine de sa soeur qui elle, n'est pas attachée.

Ne t'en fais pas Leslie, rien ne sortira d'ici, je ne veux que votre Bonheur voyons ! C'est d'ailleurs pour ça que j'ai tout prévu pour ce grand soir ! J'avais saisit ma cravache tout à l'heure, d'une table en bois dans un coin de la pièce, à moitié couverte d'un long draps gris. Drap que je soulevais pour dévoiler tout un tas de choses, des plus banales comme des godes, ou des bâillons... à des objets un peu plus étrange et moins connus, pour des non adeptes du BDSM. Quoi qu'il en soit, je me saisissais d'un long gode noir plastifié et souple, avec une ceinture pour l'attacher autours de la taille.

Les doigts, c'est bon pour la masturbation. Dépucelle là au moins convenablement. Et si tu as besoin d'autres objets n'hésite pas, ma table est tienne ah ah !! En guise de signe d'impatience, je claquais un nouveau coups sur le joli cul de la pauvre rouquine.

7
One Shot / Re : Non, vous ne voyez pas doubles (PV)
« le: jeudi 09 août 2018, 11:21:03 »
La scène ressemblait au début d'un mauvais film d'horreur, d'une série B bas budget. Un tabouret, une corde, et la pauvre soeur qui pouvait, bien qu'elle l'ignorait, gesticuler les pieds dans le vide à tout instant sur un simple caprice de ma part. Lorsqu'elle ouvrit la bouche en me tutoyant d'ailleurs, je fis basculer le meuble en le poussant d'un large coups de pied, laissant la rousse danser pour sa survie au bord de ce pauvre tabouret en bois. Comment voulait-elle que je la laisse partir après une vision si amusante ? D'autant plus que je comptais m'amuser comme une petite folle avec les deux jumelles...

J'aime pas tes manières, je vais t'énoncer les règles sans plus attendre. Tu me vouvoies, tu obéis, et surtout tu ne me donne aucun ordre si tu veux pas te retrouvée attachée dans un coin, à regarder ta soeur gigoter dans le vide...

Il serait dommage qu'elle prenne pour elle non ? Même si je ne comptais pas la tuer il ne serait surement pas agréable pour sa soeur de s'étrangler de longues secondes avec la corde. De plus que j'avais une idée bien plus amusante, celle d'obliger cette peste de Leslie de faire le sale boulot à ma place. Je m'approchais donc d'elle après avoir tiré une dernière bouffée de cigarette, et d'en écraser le mégot brûlant sur la cuisse de la rouquine.

Je vais m'approcher de toi maintenant, mais au moindre geste brusque je n'hésiterais pas, attention... Lui ordonnais-je en attachant une autre corde à un pied de la chaise, tenant l'autre bout dans ma main comme une laisse avec du mou.

Ainsi, si elle me cherchait des noises en me pensant hors de portée de sa soeur adorée, il me suffirait de tirer sur la corde pour faire tomber le meuble en bois qui la retenait ! Un moyen de pression simple et efficace pour qu'elle ne se défende pas. Du moins, j'imaginais qu'elle serait docile avec cette menace, restait à voir si elle était stupide ou pas maintenant. Quoi qu'il en soit, je lui passait une sorte de collier en cuir autours du cou, après avoir menacé silencieusement en tirant sur le bout de la corde, faisant grincer le tabouret en bois. Ce collier en cuir était tout à fait banal au détail prêt qu'un mécanise en fer le maintenait fermé au niveau de la nuque. Un mécanisme qui pouvait s'ouvrir, ou tirer sur le cuir pour le serrer d'avantage, lui laissant deviné quel serait le prix de la désobéissance.
Puis, une gifle. Assez violente pour la faire basculer au sol et étaler le talon d'une de mes bottines en cuir contre sa joue, en la regardant de haut.

Je vous ai bien étudiée toute les deux, tu as beau être une belle conne, tu l'aimes ta soeur n'est-ce pas ? Je me disais du coups, juste comme ça... que ce serait plus amusant si vous vous faisiez mutuellement du mal. Je me voyais mal participer toute seule en te laissant regarder tout de même.

Mon pied quitte sa joue avec un petit rire hautain, et je balance la corde dans un coin pour prouver ma bonne fois. Je renonce à cette pression sur la pauvre rousse et chuchote même à sa soeur qu'elle peut aller la libérer... sous condition.

D'ailleurs, il parait que ta soeur jumelle n'est pas aussi dévergondée que toi, qu'elle est même encore totalement vierge. Pour lui rappeler que j'ai toujours un moyen de pression toutefois, je lui montre le petit boitier qui ressemble à une commande pour contrôler les vibrations d'un sex-toy. En réalité, celui-ci contrôle le petit clapet métallique de son collier. Il y a une première fois à tout non ? Et il faut mieux qu'elle soit dépucelée par sa soeur adorée plutôt que par une psychopathe qui a été capable de monter ce plan... si tu vois ou je veux en venir. Une punition à la hauteur, humiliante au plus haut point possible pour l'une comme pour l'autre. Et le pire, c'est qu'elle devait bien se douter que je serais impitoyable avec sa pauvre soeur si c'est moi qui devait m'en charger, lui imposant le choix difficile de refuser et d'admirer impuissante à la suite, ou d'accepter de jouer le jeu à contrecoeur pour que le supplice de Leilana soit atténué, au prix d'une lourde humiliation...

Oh et bien sure, je ne veux pas que ce soit fait à moitié. Offre moi un beau spectacle, fait le avec tout ton amour, embrasse là comme ta petite amie ! Je veux que ça te fasse mouiller, que tu te sente impure ! Ou toute les répercutions retomberont sur elle !

A elle de jouer maintenant ! J'en jubilais d'avance à l'idée de ce spectacle. Et encore, elles n'avait rien vu.

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One Shot / Non, vous ne voyez pas doubles (PV)
« le: mercredi 08 août 2018, 01:58:19 »
N'oubliez pas, un seul mot, une seule allusion, et je transmet la vidéo au rectorat.

Ho, derrière ses airs dociles et appréciateurs, je sais bien que le concierge enrage. Il faut dire que j'avais tout filmer de ses harcèlement sexuelles sur les jeunes filles du lycée, et que j'utilisais à outrance la menace planante de ces preuves contre lui. Besoin d'un dossier scolaire ? Menaces. Besoin de la clé d'un casier ? Menace ! En échange de sa bonne coopération, ce petit moustachu pouvait continuer sa dégueulasse perversité dans l'anonymat, en stalkant les jeunes filles sur les caméras et en volant leurs petites culottes. Ce qu'il faisait m'importait peu à vrai dire, je n'étais pas blanche non plus. Enfin, regardez de plus près ! C'est pas avec un look rebelle et gothique que j'allais peindre des licornes en séance d'art plastique ! En fait, j'étais même pire que cet homme, pire que toutes les crapules de cet établissement puisque je me servait de chantage pour moi même piéger les autres élèves.

Aujourd'hui, celle sur la liste était la nouvelle élève... comment s'appelait-elle déjà ? Mhh, bien, aucune importance, le seul détail important à son sujet étant qu'il s'agissait d'une jeune fille de mon age, aux cheveux brun, et surtout un peu trop hautaine. A peine arrivée dans cette nouvelle ville qu'elle s'en était déjà prise à la mauvaise personne : moi même. Elle ne pouvait pas le savoir bien sure, car je n'avais même pas répliqué face à sa première remarque sur mon style vestimentaire et mon maquillage sombre. Me battre, c'était pas trop mon genre, je préférais les coups fourrés et bien plus vicieux en laissant croire à cette peste hautaine que j'étais l'une de ces gothique souffre douleur. Elle aurait une bien mauvaise surprise.

Car d'elle, je savais tout, absolument tout grâce au dossier scolaire que m'avait copié le concierge. J'avais même apprit qu'elle n'était en fait pas fille unique, et qu'une soeur jumelle, plus fragile et naïve, était inscrite dans un autre lycée non loin d'ici. Inutile de dire que j'avais bien préparé mon coups en kidnappant sa doublure rouquine la vieille, lors d'une fête. Ce ne fut pas bien difficile de s'y introduire, ni même de l'approcher pour lui faire boire un verre... un verre chargé de puissant somnifères.

Ligotée et bâillonnée dans une situation embarrassante et surtout... très périlleuse ! Je ne m'étais pas gênée pour faire quelques clichés photos, suivit d'un petit mot que je glissais dans le casier de la soeur. Une photo, puis une simple adresse avec comme instruction " Viens seule, inutile d'envisager la suite sinon. "

L'adresse en question menait au sous sol d'une usine désaffectée, une usine si douteuse que même la police n'osait y entrer, et avait formuler une interdiction totale de pénétrer les lieux. Pourquoi ? Difficile à dire, les rumeurs faisaient état d'un étrange marcher noir, d'autres témoignait de manifestations surnaturelles la nuit. Quoi qu'il en soit, après une vingtaines de minutes de transport en commun, j'allumais le disjoncteur du large sous-sol, me dirigeant vers les gémissements apeurés de la rousse qui avait les deux pieds et les deux poings liés, mais qui se tenait surtout en équilibre sur un tabouret, avec une solide corde nouée au cou. Juste de quoi terrifier la jumelle que j'attendais avec impatience, lui montrer que je ne plaisantais pas dès la première seconde avec cette image choc. J'avais bien dit qu'elle était ligotée dans une situation très périlleuse.

Calme toi voyons, calme toi... Cette idiote t'aimes non ? Alors rien ne t'arrivera, elle va surement venir te sauver d'une minute à l'autre maintenant Lui dis-je en soufflant copieusement la fumée de ma cigarette sur son visage et en retirant le large scotch de ses lèvres, un petit rictus amusé sur ma bouche rougit par le maquillage couleur sang. Essaye plutôt de pas trop t'agiter.

Un pied sur le tabouret comme pour prodiguer une menace, j'attendais maintenant l'arrivée de sa soeur pour lui donner une bonne leçon. La leçon de sa vie...

9
Le coin du chalant / Re : Plouf, plouf, plouf ...
« le: mardi 31 juillet 2018, 17:57:29 »
https://www.youtube.com/watch?v=jivFHQop7nk

c'est les mêmes couleurs en plus o_o

10
Le parc et son sous-bois / Re : Montée au (7ème) ciel (PV Leona)
« le: dimanche 08 juillet 2018, 12:26:51 »
Ben voyons, mademoiselle ne veut pas jouir ? Elle fait la forte tête maintenant ? C'est qu'elle est beaucoup plus joueuse qu'il n'y parait cette petite nonne. Une lueur de satisfaction s'étire sur mes lèvres pendant que je rompt le baiser, mes doigts toujours ancrés mais cette fois immobiles au fond de son intimité. Finalement, j'allais bien m'amuser avec elle, je l'avais sous-estimé... Il était temps de passer à la vitesse supérieure maintenant, qu'elle découvre elle aussi mon vrai visage.
Je commence par libérer son anus, bien travaillé par le doigt qui y avait tournoyé dans ses chaires si secrète et taboues, suivit de près par mes seins qui se décollaient de sa propre poitrine. Avec le latex, de la transpiration s'était accumulée dut à l'intense chaleur et à l'excitation, laissant de belles traces humides sur mon haut en latex. Et c'est donc pour terminer que je me retire de son antre humide, léchant le bout de mes deux doigts avec provocation et envie, maintenant le même regard froid pendant que je suce le nectar sur mon gant.

Tu crois avoir de l'endurance la religieuse ? Passons à quelque chose de plus consistant.

Je ne l'avais pas libérer pour en finir non, à chaque fois qu'ont me provoquait j'allais toujours plus loin, et je comptais bien faire avec ce que j'avais sous la main ici, même si je manquais d'instruments que je connaissais bien.

Maintenant c'est moi qui vais t'empêcher de jouir... Lui dis-je en bombant le torse contre elle, ses mains encore liées par la sangle en cuir, tandis que je la poussais contre une des tables en bois, prévus pour accueillir les pécheresses comme elle.

Immédiatement, d'un doigt, je saisis sa culotte pour la baisser le long de ses cuisses. Celle-ci est trempée, et j'ai alors l'idée d'aller au bout de ce que j'entreprenais, en la lui retirant complètement. Elle ferait un parfais bâillon. Bâillon qui se glissa dans sa bouche, sous forme d'une boule de tissus bien humide, empreint du gout de sa propre cyprine. Comme pour lui mimer que sa culotte était là pour la faire taire, je porte l'index à mes propres lèvres et lui siffle un petit " chuuut ", du bout de la langue.
C'est ensuite au tours de sa poitrine de subir la douce délivrance, puisque je jette son soutien-gorge dans un coin de la pièce comme si rien n'était. Oh oui, cette poitrine nue et douce... aux tétons bien durs que je m'amusais à pincer du bout de mes doigts. Mais, mes cruelles mains de latex avaient un autre projet, je ne pouvais pas m'éterniser ainsi sur sa poitrine, du moins pas de cette manière.
Non loin, sur une autre table, je me saisis d'une cravache, en lèche le bout en cuir, puis l'abat sèchement contre son sexe humide. Si seulement l'église possédait des godes et autres jouets sexuelles, nul doute qu'elle aurait prit plutôt chère. Oui, je l'imaginais à quatre pattes, le cou relié à une laisse dont l'autre extrémité tiendrait dans le creux de ma main. J'aurais pris sans ménagement ses fesses accueillantes pendant des heures...

Mais là il fallait faire avec les moyens du bord, et je continuais de cravacher ses lèvres humides, en éclaboussant la cyprine à chaque coup étalés. Enfin, j'avais bien parlé de mes deux mains cruelles, et la deuxième fit surement quelque chose à laquelle la petite nonne ne pouvait s'attendre. Se plaquant contre ses lèvres, mais cette fois-ci en couvrant bien plus de terrain, j'empêchais cette petite soumise de respirer, en obstruant à la fois son nez et sa bouche bâillonnée par la culotte. Ca ne dura pas bien longtemps, 10 petites secondes pour commencer, avant de reprendre périodiquement.

Ne t'avais-je pas dit de partir ?

Ce fut mes seuls mots avant que ma main ne l'étouffe de nouveau. Mais qu'elle se rassure, c'était pour lui offrir un orgasme comme elle n'en avait jamais connu, et elle le découvrirait petit à petit. Car à chaque fois que ma main se décollait pour la laisser respirer, elle retournait l'étouffer ensuit un peu plus longtemps, augmentant le danger et son supplice. Je comptais lui faire découvrir à quel point on pouvait y prendre son pied, même sans forcément le vouloir au début. Car avec la sensation d'étourderie dut au manque de souffle et le danger, le corps secrétait de l'adrénaline qui augmentait l'excitation et la puissance de l'orgasme. Et plus elle en manquerait, plus l'orgasme pouvait potentiellement être puissant.

Etouffer cette pauvre nonne en cravachant le bout de son intimité cependant n'était pas satisfaisant pour moi, surtout avec cette belle poitrine juste devant le visage, prête à être dévorée comme un buffet à volonté.
Avant de m'inviter à ce festin, je retire ma main qui commence à être chaude et toute humide à cause de son souffle chaud dans lequel elle s'étouffe peu à peu, qui ne trouve aucun voie pour sortir.

Une soumise appartient entièrement à sa dominatrice, tout doit lui appartenir... même son souffle.

C'était surement mes derniers mots avant que ma main ne recommence son petit manège contre ses voix respiratoires, simultanément avec ma langue qui lapait le bout de ses tétons bien durs. Qu'ils étaient excitant, pointant ainsi vers le ciel, bondissant sous ma petite langue, je ne pouvais même plus me concentrer assez pour continuer à cravacher son intimité. Du coups, j'eus l'idée de m'en servir comme un gode de fortune, en enfonçant entre ses lèvres intimes cet instrument de torture, par le manche en cuir. Vu qu'il était fin, il rentra facilement en le tortillant un peu dans tous les sens, pendant que l'air revenait et repartait. Respirer était devenu un privilège offert par ma bonne grâce, et je lui en privait de plus en plus, contrairement à ses seins qui eux, étaient de plus en plus récompensés.
De la langue, j'étais passés à mes dents, qui pinçaient le bout d'un de ses tétons, comme si du jus pouvait en sortir. C'était si bon de le mordiller, de le sentir rouler sous mes dents, si dur, si gonflé, pendant que l'autre main malaxait son jumeau, pour être sure qu'il ne soit pas jaloux.

Ce n'était qu'une question de temps avant que la cravache vissée en elle comme un sex toy et que la punition connue sous le nom d'asphyxie érotique, n'enveloppe son corps dans un délice profond.... Un délice si profond qu'elle ne pourrait se retenir indéfiniment... j'en étais persuadée.

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Prélude / Re : Soumise, mais il faut me mériter ! [Valikoyée]
« le: dimanche 08 juillet 2018, 11:18:15 »
bienvenue gros lolo

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Le parc et son sous-bois / Re : Montée au (7ème) ciel (PV Leona)
« le: samedi 07 juillet 2018, 13:37:34 »
Ben c'est le comble, voilà que je suis sexuellement provoquée par une soeur moi maintenant ! Une bien douce ironie quand on sait qu'à la base, je devais être la prédatrice. Cela ne faisait qu'accentuer mon idée que la nonne était un peu spéciale, surtout lorsqu'elle retira la totalité de sa longue robe cérémoniale devant mes yeux, qui ne rataient rien du spectacle. Ce n'est pas tout les jours que l'ont peut voir une religieuse se dévêtir ainsi, surtout qu'elle est plutôt bien roulée de la poitrine au final. Puis, le noir lui va tellement mieux lorsqu'il s'agit de sous vêtements... Je vais la dévorer toute crue. Mon regard du moins, semblait envoyer ce message bien prometteur.

Tiens, intéressant... Serais-je qu'une vulgaire rêveuse incapable de franchir le pas ?

Mon regarde toujours aussi froid ne laisse transparaitre aucune émotion ni ce que je peux bien avoir en tête et c'est de là que vient tout le danger. Car sous la couverture impassible que réfléchissait mon regard, impossible d'imaginer ce qui allait suivre. Une gifle ? Un rire ? Rien du tout ? Finalement, c'est une de mes mains gantés qui s'écrase fermement contre ses lèvres pour sceller ses mots, en la fixant droit dans les yeux.
Comme tout à l'heure, mon autre main gantée palpe sa poitrine avec insistance, mais cette fois en passant directement sous le soutien-gorge. Je lui torture le sein qui se malaxe et se tort dans tous les sens sous mes droits froid et avides. Ils sont si moelleux, si délicieux... Et ses petits tétons que je triturais entre mes doigts pour essayer de les faire gonfler... Mais bon, elle m'avait provoqué, voulait du concret... alors il lui fallait bien plus que ça !
Comme ma main froide par exemple, qui glissa hors de ses lèvres pour prendre en main son joli cou. Oh non, qu'elle se rassure, je n'allais pas l'étrangler bien que la poigne sévère la désignait clairement comme une bonne soumise m'appartenant ! Pour le moment, je me servais de cette poigne seulement pour la guider contre un des murs, contre lequel une petite table y était posée. Je me saisis alors de la sangle en cuirs en la provoquant d'un regard instaurant le respect, celui qui ne laisse aucun doute sur une intention : laisse toi faire. Elle m'avait provoquée après tout ? A elle d'en subir les conséquence, qui pour le moment se résumaient à une simple sangle en cuir liant ses deux poignets ensemble, rien de bien vilain pour commencer.

Quand tu léchera tes doigts pour y gouter ton propre jus, tu verra si je ne suis qu'une belle parleuse...

Ma main se referme de nouveau implacablement sur ses lèvres alors que celle qui s'occupait de sa poitrine glisse sous sa culotte. Le contact du latex froid contre son sexe féminin doit lui faire un choc au premier abord, bien que je ne lui laisse pas le temps d'en profiter. Aussitôt, toujours sous mon regard implacable, ma main se frotte à plat dans sa culotte, pour la préparer tendrement à ce qui va suivre : un index droit dans sa fente. Caressant d'abord méthodiquement le contours de ses lèvres intimes plusieurs fois, en formant un petit cercle, le doigts de latex glisse avec une facilité si déconcertante que ça en est ridicule. La matière déjà glissante, s'enfonce remarquablement bien avec la cyprine de la none, qui suinte jusque dans le creux de ma main. Ben dis donc, elle est si excitée que ça ? Et dire que j'étais encore gentille pour le moment !

Car une petite seconde plus tard, le rythme devient bien plus frénétique. Mon pouce s'appuie contre le clitoris de la religieuse et le presse, tourbillonnant dessus en taisant toujours de l'autre main tout gémissements. Je sens la chaleur de son souffle chaud s'écraser sur cette main, faisant barrages à son expiration et aux cris qui pourraient alerter de notre présence. Ce n'est pourtant encore que le début... Même sis je me répète cela sans cesse, ce ne sera toujours que le début ! ma marge de perversion sans limite trouvera toujours le moyen d'aller plus loin dans le plaisir, c'est ainsi que je suis , et c'est ainsi qu'elle aura l'occasion de me découvrir lorsque cette mise à l'épreuve sera terminée, et qu'elle laissera la none tremblante dans son propre nectar.

Je vais me montrer douce pour commencer... Mais quand j'en aurais fini, je te conseille de vite t'enfuir... il ne sera pas trop tard pour m'échapper...

A mon tours de la provoquer ! Mais sous ces mots, c'est un deuxième doigts qui rejoint cette pénétration bordée par le latex, et qui augmente le rythme des vas et viens dans sa petite fente. Même si cela aurait surement suffit à la faire jouir à la longue, au vu de son éducation sexuelle rude qui devait clairement la laisser en manque, je comptais bien faire les choses. Ainsi, mon corps se colla au sien contre un aimant, rapprochant encore mon visage mais surtout... mes seins, droit dans les siennes, gigotant de droit à gauches pour s'exciter dans ceux de la belle nonne. Ce contact moelleux était déjà délicieux mais repensant à la provocation il me fallait quelque chose d'autre... une apothéose plus audacieuse... Et quoi de plus tabou dans les moeurs, que ce petit trou entre les deux fesses...

C'est frustrant les mains liées, hein ? Tu ne peux que te laisser faire...

La main qui bâillonnait ses mots la quitte, aussitôt remplacée par mes lèvres pour un nouveau baiser fougueux et langoureux. Cela eu pour effet d'écraser encore plus délicieusement mes seins dans ceux de ma nouvelle soumise, provoquant ua passage le couinement de mon corset en latex. L'autre délice cependant, fut au bout des doigts de cette nouvelle main libre, qui se logea sans cérémonie, d'un index... juste entre ses deux fesses pour stimuler l'entrée de son anus.

Un doigts derrière, sa poitrine écrasée et frottée sous mes ondulation corporelle, ce baiser encore une fois obscène puis... Cette vigoureuse pénétration... il lui faudrait des nerfs d'acier pour ne pas jouir, comme je l'avais promis, dans mon gant en latex. Et je ne la laisserait pas s'y soustraire ni même dire quoi que ce soit, tant qu'elle ne se serait pas écroulée sous le plaisir. Plaisir qui déteignait sur moi comme en témoignait ce filet liquide qui coulait le long de ma longue botte...

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Archives / Re : Kama sutra
« le: samedi 07 juillet 2018, 12:15:10 »
laissez donc faire, je suis en train de me créer un fan club * dépose un bisous sur une joue de chacune des deux jeunes filles*

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Archives / Re : Kama sutra
« le: vendredi 06 juillet 2018, 00:07:39 »
Les vestiges d'une anciennes reliques :D j'avais oublié ce truc tiens

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Le parc et son sous-bois / Re : Montée au (7ème) ciel (PV Leona)
« le: jeudi 05 juillet 2018, 15:57:31 »
A son interrogation rien de plus qu'un sourire est capable de lui répondre. Ou je l'emmène ? Mais voyons, je le lui avais déjà dit non ? Dans un endroit calme et tordu. D'ailleurs elle en se débattait pas beaucoup pour une religieuse après ce que je lui avait fait, elle n'appelait même pas à l'aide, comme si la situation lui convenait pas si mal après tout... Peut-être était-ce le cas ? Si seulement j'avais pu mettre mes doigts sous sa culotte tout à l'heure, pour vérifier, mais là il était trop tard, il fallait se concentrer sur la fuite. A force de courir d'ailleurs, nous finissions enfin par tomber sur une salle aux éclairages plus rudimentaires, aux clignotements presque effrayants. Je poussais un petit sifflement d'admiration en lâchant doucement la main de ma captive, enfin l'était-elle vraiment après tout ?

T'as vu tout ça la puritaine ? Ton église n'est pas si blanche... Bordel, rien que d'imaginer tout les rituels tordues qui aurait pu y avoir ici, j'en mouillerait ma culotte. Dis-je sur un ton amusé en écrasant enfin le mégot de cigarette sous ma semelle, comme une dominatrice pourrait piétiner sa petite soumise sous le poids de ses mauvaises manigances.

Partout ou je tournais la tête il y avait des instruments de tortures, parfois d'un autre âge. Des tables en bois anciens, rectangulaires sur lesquels des sangles en cuirs subsistaient encore, laissant facilement imaginé les pècheresses qui y étaient fixées lors de rituels de purification. Les diverses cravaches et autres battoirs en cuir me permirent même d'aisément visualiser la scène comme si elle se tenait devant moi. Quel endroit délicieusement malsain... Et encore là ce n'était qu'une des nombreuses reliques de l'église, partout, sur tout les murs, des chaines, des accessoires d'entraves... Mais la soeur elle, ne semblait pas très à l'aise ici. Je décidais donc de remettre mon observation à plus tard, de laisser mes fantasmes de côté, et de briser le silence, en parlant toutefois à voix basse pour ne pas faire raisonner mes mots et trahir notre présence.

T'as l'air différentes des autres coincés, pourquoi t'as décidé d'une vie aussi ennuyeuse ?

Non franchement, je ne comprenais pas ce choix de vie alors qu'ont pouvait gouter à tant de délices. Notre baisers échangés plus tôt par exemple, d'une intensité et d'un délice à n'en pas douter. Je suis sure qu'elle était vraiment belle sous cette foutue robe de nonne d'ailleurs, ce n'était pas pour la mettre en valeur. Comme pour m'en persuader moi même, je passe de nouveau ma main gantée et froide sur son visage, avant de la glisser lentement vers cette espèce de coiffe ridicule dont je ne connaissais même pas le nom, tant mes rapports avec l'église et les saints étaient creux. Je la lui retire et je ne suis pas déçue du détour, c'est une ravissante chevelure or qui apparait à mes prunelles bleu et froide de toute émotions. En réalité même si je ne le montre pas, je suis admirative d'une telle beauté, il était si dommage de gâcher un visage comme le siens derrière cette chose. Et il devait en être pareil pour son corps, car sa poitrine était quand même loin d'être plate, ma main en témoignait encore en ressentant la douceur dans son creux, même plusieurs minutes après.

L'église c'est franchement emmerdant, tu veux pas aller t'amuser ailleurs plutôt ? Y a toujours des petits passages secrets avec des vieux tunnel, dans ce genre de truc délabrés. Si on s'y met à deux on trouveras vite et on pourras facilement faire le mur.

A moins qu'elle préférait rester ici ? Je lui proposait ça comme un ultime test car après tout, il n'était pas exclus que je l'avais mal jugée à cause de son appartenance à l'église. Son cas n'était peut-être pas perdu... qui sait !

Même si l'envie de m'occuper de son cas ici sans plus attendre était une délicieuse idée avec tout ces instruments à dispositions, et qu'il s'agissait de mon idée de départ : à savoir m'occuper de rendre une nonne la plus impur possible, en la faisant jouir toute la cyprine de son corps jusqu'au dernier petit centilitre ! La nouvelle hypothèse qui s'ouvrait paraissait tout aussi amusante : S'échapper de ce couvant, lui arracher ces stupides vêtements pour lui refaire une vraie garde de robe, puis faire assez d'obscénités ensemble pour lui promettre l'enfer éternel selon ses préceptes... Je lui laissait le choix, comme je ne savais me décider seule.

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