Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Slade

Pages: [1] 2 3 ... 12
1

Il lui sourit alors qu’elle semblait être mise dans tous ses états par sa main dans ses cuisses… c’était bon, n’est-ce pas ? Il lui caressait les lèvres intimes alors qu’elle parlait et il sentait bien qu’elle ne résistait pas à ses attouchments, elle était si sensible… difficile de nier son plaisir n’est-ce pas ? Il regarda la jeune femme et lui sourit, mauvais alors qu’elle continuait ses explications…

« Oui, j’attends avant de te prendre ta virginité… quand tu pourras jouir uniquement par pénétration anale, et quand ta dilatation sera suffisante… à ce moment là, je pense que tu seras assez chienne pour être en mesure de vraiment comprendre l’honneur de perdre ta virginité par ma verge… le plaisir sera alors tellement violent que tu en jouiras instantanément… tu verras, tu ne regretteras pas ! »

Il sourit et regarda la jeune femme avec un sourire en coin alors qu’il attendait le reste... est-ce qu’elle pouvait renouveler sa garde robe ? Peut être… elle pouvait êut être, en effet… et plus encore… il sourit et ne cessa pas pour autant, expliquer semblait difficile, mais bon, si elle voulait avoir quoique ce soit ! Il leva les yeux au ciel !  Il regarda la jeune femme prise de fièvre…

« Je n’ai pas compris, peux-tu réexpliquer cette histoire de tenir la parole ? »

Il lui fit un sourire avant d’ajouter, sur un ton plus sérieux, puisque là, il s’était un peu moqué d’elle.

« Ta formation, tu l’as déjà plus ou moins bien entamùée… nous avons déjà parlé de ton travail de dilatation, tes cours de sexe avec une vieille putain sur le retour, qui en connait un rayon, comment bouger le bassin, comment susciter le désir, etc. Tu as des cours de danse et gymnastique – incluant le pole dance, pour travailler ton équilibre, ta flexibilité, ta souplesse…  voilà la phase actuelle… une fois cette phase passée je vais commencer à te faire travailler tout en te faisant découvrir de nouvelles expériences, comme le gang bang, le bukkake, etc. voilà ce que tu as besoin de savoir, d’accord ? »

Il lui fit un sourire et remonta sa main le long de son corps jusqu’à ce qu’elle puisse sucer les doigts qui était contre son intimité  il lui sourit et ajouta.

« Alors, cette parole à tenir ? Et j’ai une question, est-ce que tu aimerais sortir dehors et avoir un peu de temps libre pour faire du shopping, aller au cinéma, aller dehors et t’amuser un peu ? »

2
Slade n’avait pas été l’homme le plus compatissant depuis le début de cet entrainement il le savait, et il ne le cachait pas. Mais il connaissait es méthodes, il pouvait très bien dire qu’il avait déjà pu éprouver l’efficacité de celui-ci… il savait le dialogue utile, mais surtout, il savait que le dialogue passerait difficilement s’il n’était pas accompagné de vérité, d’où l’utilisation de ce sérum de vérité assez particulier ! Enfin bon, pour le coup, il fallait l’encourager à parler, non ? Il lui fit un petit sourire qu’il voulait encourageant, mais étrangement il se doutait qu’elle prendrait peur à cette idée… Il attendait qu’elle parle, histoire de voir ce qu’elle allait dire à son sujet.

Il se fichait d’être traité de monstre, loin de là… au fond, pas de véritable autre identité que celle d’un monstre, et elle ne s’en rendait pas compte, elle ne pouvait pas savoir à quel point elle était dans le vrai. Il fallait juste qu’elle comprenne que cela ne changerait pas malgré ses commentaires, et elle finirait même peut être par savoir apprécier cela, pour peur qu’il lui montre des exemples de personnes bien pires que lui en la matière. Mais elle n’avait pas encore vraiment de personnes qui puisse se mettre de l’autre côté dans la balance de la comparaison… il se contenta de sourire et d’attendre la suite.

Il sourit à ses propos, il allait lui expliquer les choses, mais il n’expliquerait qu’une seule fois, et après, le débat serait clos, mais au moins désormais, elle aurait quelques éléments de compréhension, cela devrait bien lui suffire, n’est-ce pas ? Il resta silencieux avant de finalement prendre la parole pour lui répondre, pour lui fourni r certaines explications et se faisant il posa la main sur le sommet de sa tête qu’il se mit à caresser avec beaucoup de douceur.

« Laisse-moi te rassurer, même le fouet que tu as subi, n’était pas fait pour t’ôter la vie et ne t‘aurait pas ôtée, tu ne mourras pas, je te le promets, tu apprendras, tu t’évanouiras parfois, mais tu ne mourras pas, jamais, tu es trop précieuse pour que je te tue par mégarde ou volontairement, alors ne t’en fais pas pour ça… j’ai toujours tenu mes promesses jusqu’à présent, non ? Je sais que te dire ça va te paraitre étrange, mais fais-moi confiance s‘il te plait… » [/i][/color]

Il en demandait sans doute beaucoup, elle n’avait pas de réelle raison de lui faire confiance… il lui fit un sourire et reprit la parole.

« Tu ne seras pas une vulgaire putain ne t’en fais pas j’ai d’autres ambitions pour toi ! Plus hautes, plus à la hauteur de tes capacités, et de ton potentiel, notamment ! Je suis sûr que tu finiras par me remercier de tout ce que je fais pour toi. Te rends-tu compte du temps que je prends pour m’occuper de toi, au juste ? Tu te doutes bien que je ne fais pas ça juste pour si peu… » [/i][/color]

Il fit un petit sourire et lui caressa le sein, pour jouer un peu avec le piercing mammaire…

« Les piercings, c’est plus une question d’appartenance que de plaisir pour toi, comprends-moi, ton corps ne t’appartient plus, il est à moi, et c’est donc à moi de décider ce que tu feras de toi, d’accord ? C’est comme ça que ça se passe !  Et plus encore ! après, concernant l’excitation à la place de la douleur… je vais t’apprendre quelque chose. Nous y viendrons. En premier lieu, je te fais travailler la douleur, la résistance à celle-ci et si tu apprends bien à l’encaisser sans trop te mettre à chougner, alors je t’apprendrai à mêler plaisir et douleur, jusqu’à ce que tu comprennes que ton plaisir doit être indissociable de la douleur… quant aux idées, si tu n’en as pas, alors arrête de te lamenter. Si tu ne peux mieux faire, alors tu ne remets pas en cause le travail des autres. Tout simplement. » [/i][/color]

Il lui sourit et doucement, glissa ses doigts entre ses cuisses pour lui caresser les grandes lèvres pour lui lancer.

« Bon et sinon, ta virginité, ne te dérange pas trop ? N’oublie pas, ce sera toi de réclamer de te la prendre… d’accord ? Des questions ? Tu veux peut-être savoir jusqu’à quel point tu vas apprendre ta dilatation, ou ce que je prévois pour ta formation ? » [/i][/color]

3
Une chose était sure, il était tout à fait surprenant qu’elle se réjouisse d’une simple félicitation comme celle-ci... c’était si peu…. Et la couverture…. Ce n’était qu’une couverture dans une sorte de cage matelassée…. Il lui sourit et attendit de la voir se précipiter pour le satisfaire davantage. La carotte et le bâton. Elle avait bien compris le bâton, mais il y avait désormais la carotte en jeu. Il lui avait fait comprendre l’importance d’obéir pour ne pas être punie, maintenant, il allait lui apprendre à se dépasser, à s’améliorer, à mieux faire ! Il lui sourit un instant avant de finalement la regarder, ainsi installée sur le lit, soumise à sa moindre volonté, après avoir été si traitreusement piquée.

Il avait donc repris ses mouvements dans son petit derrière encore bien difficile à ouvrir… elle finirait par apprécier et il ne passerait à son autre orifice que quand elle serait capable de jouir d’une pénétration uniquement anale, sans aucune autre forme de stimulation sexuelle… oui, c’était très difficile pour elle d’imaginer cela, à première vue… mais elle verrait, cela viendrait, cela finirait par venir !  Il ne se faisait pas vraiment de soucis là-dessus, il lui fallait juste un peu de temps pour le comprendre, du temps, ils en avaient, vu qu’il n’avait pas encore de véritable but si ce n’est la dresser… il lui fit un petit sourire suivi d’une petite claque sur le fessier. Il sourit en l’entendant, elle semblait être en train de finalement prendre un peu de plaisir, puisqu’il entendait qu’elle avait le souffle qui se montrait un peu plus soupirante, d’abord, et ensuite la moiteur sous son anus, au niveau de son intimité…. Le dernier point ? elle se mit à bouger au même titre que les doigts de son maître alors qu’elle prenait la parole en soupirant.

En l’entendant, il ne put s’empêcher de ricaner… elle commençait à comprendre une partie du principe, une partie du concept de son rôle ici… il n’était pas là pour qu’elle se fasse juste mousser par le patron, elle devait le faire par plaisir, par envie, et par désir, mais on y viendrait, il fallait juste prendre le temps… et d’ailleurs, la suite de ses propos ne pouvaient pas prêter à confusion... il sourit et retira ses doigts, sachant qu’elle allait complètement se contracter, se raidir et continuer ne servirait à rien. Il sourit et s’assit à côté d’elle pour lui tendre les doigts qui étaient passés dans son fondement, qu’elle les lave à coup de langue alors qu’il prenait la parole.

« D’abord, calme-toi, sinon, tu vas finir par être punie, ensuite, il se passe exactement ce que je désirais qu’il se passe, tout simplement. Normalement, cela devrait te suffire, mais, puisque c’est la première fois, je vais essayer de t’expliquer. La seringue contenait une puce à radiofréquence qui s’est glissée entre deux vertèbres cervicales, de quoi te faire tomber au sol comme un pantin d’une simple pression sur un bouton, d’abord, et ensuite, je tenais à constater où tu en étais dans l’évolution de ta pensée…. Ce liquide enlève tes inhibitions mentales :  tu ne peux plus mentir, ni même cacher la vérité… tu es comme ça :  obligée de jouer la carte de la vérité radicale :  toujours dire toute la vérité qui te vient en tête. Alors assieds-toi et parlons, nous finirons ton derrière après. »

Il lui indiqua le sol à ses pieds, sol où elle pourrait s’asseoir comme elle l’entendait avant qu’il ne reprenne la parole.

« Bon, alors, j’ai quelques questions à te poser, sachant que tu ne pourras pas y répondre autrement que par ce que tu penses, tu ne pourras pas t’en empêcher. Alors, que penses-tu de moi et de ton entrainement ? Plus encore, est-ce que tu penses que tu pourrais aimer ces sensations…. Enfin, qu’est-ce qui te semblerais essentiel pour améliorer cet entrainement ? Que penses-tu des piercings qui t’ornent désormais ? Et as-tu des remarques, des suggestions, ou quoique ce soit d’autre à ajouter ? Que penses-tu être l’état dans lequel tu finiras cette formation ? »

Il sourit avant de lui dire, pour conclure.

« Sache que je ne compte pas te punir, quelle que soit ta réponse… après tout, tu n’es pas responsable de ce que tu vas dire, n’est-ce pas ? Allez, je t’écoute, sans t’interrompre… »

C’était vrai, il ne l’interromprait pas !

4
Il voyait bien qu’elle ne tiendrait pas longtemps sans tomber malade, mais ce n’était pas sin prioblème, elle tiendrait et elle resterait en vie, si elle tombait malade, il ne lui permettrait pas de rester couchée à attendre bêtement d’être guérie, elle irait au charbon bon gré mal gré. Il lui sourit et attendit alors qu’elle se mettait en position comme il l’avait demandé. Elle devait être étonné qu’il se montre aussi doux, non ? Il sourit et continua jusqu’à venir tartiner sa rosette de savon. Il la regarda ensuite obéir, ouvrir son derrière avec déjà plus de facilité. L’objet inséré était plutôt petit mais c’était un début, il sourit et lui flatta la croupe.

« Bon, ta dilatation n’est pas mal après seulement un jour de travail… pour te félicité tu auras droit à une couverture supplémentaire et un peu plus chaude. » [/i][/color]

Sacrée récompense ! Il sourit à son idée et commença à presser ses doigts contre sa rosette anale, appuyer doucement, de deux doigts, jusqu’à ce qu’ils commencent à rentrer, qu’il puisse les enfoncer et commencer à aller et venir. Finalement il stoppa, sortit les doigts, se les nettoya et sortit de l’eau, car il venait d’avoir une idée… il regarda la jeune femme et lui posa la main sur l’épaule.

« Va plutôt m’attendre sèche et les entrailles lavées dans ma chambre, nous allons faire une petite expérience… quand j’arrive je veux te voir debout, penchée vers l’avant visage sur le lit, mains te tenant les fesses écartées. » [/i][/color]

Il sortit de l’eau et se sécha rapidement avant de finalement se rendre dans son bureau d’où il revint avec une petite mallette. Dans cette mallette, il y avait une série de petites seringues pleines.il se rendit alors dans sa chambre pour retourner jouer avec elle. Il sourit et posa la mallette à côté d’elle pour qu’elle puisse voir qu’il en sortait une seringue qu’il  prit en main, comme pour lui injecter le liquide jaunatre qu’il y avait dedans. A l’intérieur, flottait un minuscule objet, de la taille d’un demi-grain de riz.

« Je vais t’injecter ça dans la nuque. Tu verras tu n’auras pas mal longtemps. C’est un moyen pour toi de gagner en liberté et pour moi de gagner en contrôle, et de manière discrète ! » [/i][/color]

Il sourit et posa sa main sur sa tête pou’ l’immobiliser, écarta les cheveux de sa nuque  et in fit pénétrer la seringue jusqu’à ce qu’elle touche l’os, et là, enfin, il injecta le liquide et le petit objet qui vint naturellement se fixer sur l’une des vertèbres. Il ne lui avait pas tout dit, il s’agissait d’une sorte de sérum de vérité très poussé : elle ne pourrait plus s’empêcher de dire ce qui lui venait en tête. Un peu comme si elle était incapable de garder pour elle ses pensées et qu’elle ne pouvait s’empêcher de les faire à haute voix… une manière qu’il aurait de comprendre un peu mieux l’impact de son apprentissage.

« Bon, revenons-en à nos affaires… où en étions-nous ? » [/i][/color]

Il reprit sa fouille en profondeur de son derrière, y remettant deux doigts qu’il faisait aller et venir sans réelle douceur, histoire de bien l’habituer pour continuer à augmenter la dose, insérant vite un troisième doigt. C’était une sorte de pallier si l’on pouvait dire…

5
Les terres sauvages / Ta liberté se brise sur mes phalanges [Pv]
« le: jeudi 14 janvier 2016, 17:19:44 »
Tout cela était un ennui mortel… oh pas la compagnie, la compagnie était distrayante – mais hélas, sans plus – et les paysages des terres alentours étaient correct. Il n’y faisait pas trop chaud, et la contrée était parsemée de petits lacs d’un bleu azur, parfait pour s’y baigner. La ville la plus proche se situait à environ une dizaine de lieues, donc c’était assez isolé et comme les terres étaient impropres à la culture, il n’y avait, au mieux, que des campements de chasseurs… ils étaient clairsemés mais présents. La seule chose que l’on trouvait en abondance ici était une faune de gibiers très divers… il y avait aussi de magnifiques passereaux ! D’ailleurs il y aurait une magnifique grue royale pour le diner, accompagnée de petits légumes et d’une sauce un peu relevée. Son escorte se régalerait en même temps que lui.

Slade aurait bien voulu bifurquer par un village histoire de courir la gueuse un peu, mais il n’avait pas le temps… en mission plus ou moins diplomatique, il devait rencontrer dans une semaine les partenaires commerciaux en fourrure de la reine…. Et il devait encore faire plus de trois cent lieues une belle distance mais ils y seraient à temps, avec même un peu de marge, au cas où. Il regarda un peu ce qui l’entoura quand il vit quelqu chose, ce n’était qu’un point presque à l’horizon, mais il ne se faisait pas d’illusion : c’était un gibier encore meilleur que la grue royale : il voyait un chatoiement, pour en avoir chassé il savait très bien ce qu’il voyait :  du paon… rôti, c’était l’un des meilleurs mets qu’il connaissait… soucieux de se faire éclater les papilles de plaisir, il se dit que se mettre en chasse ne serait pas une mauvaise idée. Prenant un rouleau de corde et trois javelines liées comme une botte et un arc de cavalerie dont le carquois était accroché au harnachement de sa monture. Il ordonna à son escorte de continuer sans lui pour le moment, arguant qu’il les retrouverait plus tard.

Il savait que c’était une chose difficile que d’avoir sa proie, il l’avait aperçue au loin, mais il ne pourrait pas sans difficulté la pister : il aurait à peine quatre à cinq heures de jour encore et faire galoper son cheval dans cette boue. Il dut avancer avec une grande prudence pour finalement rejoindre l’endroit où il l’avait vu, pendant quelques instants. Il chercha encore un peu finalement vit quelque chose :  une femme qui semblait vêtu d’un manteau de plumes de paon… et merde. Quel dommage !  Il continua à s’approcher et sans doute qu’elle l’entendit, son cheval, rétif, renâclant un peu et râlant à chaque coup de cravache.

C’est en s’approchant davantage qu’il se rendit compte qu’elle n’était pas vêtue de plumes, qu’elle portait les plumes comme une sorte de peau… et il voyait la magnifique traine de plumes démesurées…. Voilà qui serait un bon souvenir, non ? Slade mit pied à terre et se racla la gorge avant de prendre la parole sur un ton à la fois moqueur et amusé…

« Faute de paon j’ai trouvé une dinde… »

Il lâcha la bride de son cheval et s’approcha davantage d’elle de sa démarche nonchalante et féline en même temps. Lui qui regrettait de ne pas pouvoir courir la gueuse il n’y avait pas si longtemps…

6
Oh, ne vous y trompez pas, Slade savait que ce serait éprouvant pour elle, il savait qu’elle aurait du mal, qu’elle devrait aussi se retenir de laisser parler ses réflexes naturels de survie. Il ne pouvait pas s’empêcher de sourire à cette idée, l’asphyxie contrôlée serait la prochaine étape. Vous savez, c’était l’étape qui offrait au maitre la gorge de sa soumise : il l’étranglait pendant qu’elle se faisait tirer ou pendant qu’elle suçait, poussant à bout, poussant aux limites de l’asphyxie complète. Il regarda la jeune femme et lui fit un petit sourire encourageant alors que, dans l’eau froide, il attendait qu’elle le rejoigne…

Oh, Slade avait l’anus propre mais c’était une nouvelle forme de dégradation que d’en arriver à lécher le fion de quelqu’un sans aucune preuve de propreté de la part de celui-ci… il sourit. Il aurait été si facile de s’asseoir sur son visage, comme ça, dans l’eau, de la sentir se débattre tout en sachant très bien que ses débattements n’y changeraient hélas rien… mais non, cela ne changerait rien, il le savait et il ne comptait pas en arriver jusque-là. Ou du moins, pas dans l’immédiat. Il sourit et l’encouragea en flattant es parties de son corps qui affleuraient. Enfin, elle passa devant le meilleur était à venir…

Il soupira de plaisir en sentant sa bouche refroidie par l’eau sur sa verge dressée. Il se jouait de voir la jeune femme, dans la baignoire, sans pouvoir respirer, s’acharner à réussir… il aurait tant aimé qu’elle capitule, qu’elle abandonne mais ça aurait été si amusant de devoir la rosser une nouvelle fois avant la fin de la soirée… mais étrangement, il en doutait fortement… il était sûr que cela ne se passerait pas aussi bien que cela. Elle allait réussir n’est-ce pas ? Certes, il avait sans doute beaucoup demandé et si le plaisir montait, il faisait tout pour ce que cela tarde toujours plus…[/color][/b][/i]

Mais elle abandonna… il cacha la joie de la corriger et la remettre dans le droit chemin… il fallait bien qu’elle apprenne et si elle avait compris que Slade aimait punir, elle savait qu’elle n’y couperait pas… et alors que sa tête émergeait de l’eau, il la saisit par la chevelure et la fit replonger dans l’eau, sans l’approcger de sa queue palpitante mais juste en la faisant replonger ainsi, d’une main ferme, attendant qu’elle se débatte pour lui permettre de prendre une goulée d’air et il recommença une fois, deux fois, trois fois, quatre fois, avant de la lâcher…

« Qui t’a permis de remonter à la surface ? Tu es décidément bien incapable… que vais-je pouvoir faire de toi au juste ? Allez, laissons tomber tu n’en vaux pas la peine. Debout dans la baignoire dos à moi et penche toi en avant je vais te laver. »

Prenant le savon, il commença à l’appliquer avec douceur, une douceur qu’elle ne devait pas bien connaitre de sa part sans doute… il était là pour la préparer, pour la faire reluire comme un sou neuf. Il passa même avec une étrange délicatesse sur les plaies des coups de fouet avant de finalement se décider à passer aux choses véritablement sérieuses… Il glissa ses mains sur ses mamelons désormais joliment ornés et se mit un peu à jouer avec, assez fortement pour lui tirer sans doute un gémissement de douleur. Il sentait qu’elle avait la chair de poule, qu’elle avait froid, mais ce n’était pas son problème. Il regarda un peu plus en détail son corps rougi par la morsure glaciale avant de finalement lui écarter les fesses pour observer son petit trou puis recommençant avec les lèvres intimes.

« Bon, montre-moi un peu si ton plug est efficace…. Ce soir tu auras ma main dans ton cul… et tu sentiras la taille à laquelle tu parviendras bientôt facilement… sans aide ni vaseline… »

Si elle faisait cela, il s’attellerai à la lubrifier avec le savon pour préparer le terrain…

7
Slade avait peur de sa reine, il l’admettait. Il l’admirait, la craignait, et la haïssait… c’était quelque chose d’assez paradoxal et d’assez étrange, certes, il le reconnaissait. Il regarda un peu ce qui l’entourait avant de finalement se lever pour l’emmener voir la suite… il la suivit en silence, envisageant sincèrement de retirer son armure pour rester en tunique, mais d’un autre côté cette armure le préservait des conséquences du soleil, alors bon… il hésitait…. Il souffla dans ses mains, comme en hiver pour les réchauffer alors que ça avait pour lui l’effet inverse juste avant qu’elle ne prenne sa main… il se laissa faire et se laissa entrainer jusqu’à une sorte de galerie, il sentait sa frêle main au creux de la sienne et se disait qu’elle pouvait sans doute la lui briser sans le faire exprès, alors il devait y faire attention.

Errant dans les couloirs, il observait les paysages… il trouvait que les toiles manquaient de vie… c’était dommage… mais c’était vrai que c’était apaisant ! Il regarda la jeune femme alors qu’elle parlait de cela. Il comprenait sa position sans pour autant la partager.

« Hum… certes, le désert est calme et serein… trop à mon gout, ces tableaux manquent de vie, et je suis plus friand de scènes de batailles, et quand elles m’illustrent c’est encore mieux, non ? »

Il sourit avant d’ajouter.

« Où allons-nous ? »

8
Ville-Etat de Nexus / Re : Le feu et la glace....[Pv]
« le: mercredi 13 janvier 2016, 06:00:27 »
Slade y allait fort dans la provocation, il pouvait le reconnaitre, mais c’était plus ou moins volontaire. En effet, le but était de mettre le feu à la foule, il voulait être sûr que ce spectacle ait de bons supporters. Il sourit, nonchalant avec la cuillère en mains pour finalement voir la terranide chatte retirer son casque… elle voulait faire la mariole ? Ouais, apparemment, elle ne comprenait pas la différence de puissance, évidemment !  Il eut un léger regard torve alors qu’il lançait sa cuillère et la rattrapait au vol avant de finalement se taire et regarder son adversaire un sourire moqueur sur les lèvres.

« Tu veux me les couper ? Mais je t’en prie, essaye ! J’ai mieux que ça ! Si jamais je me fais blesser, je te jure, et je jure à la foule, de me couper les bourses devant tout le monde et de les manger dans la foulée. Tu en penses quoi ? Tu penses que ça vaut le coup de risquer ta liberté pour ce spectacle ? allons, tu as le droit de dire oui, et personne ne t’en voudra…. Oh tiens, d’ailleurs, pour que tu aies un aperçu… »

Il sourit et fit semblant de se masturber devant elle, histoire de mettre en avant son service 3 pièces , c’est-à-dire ses baloches et son sexe, dressé d’excitation par la perspective du combat… il regarda la jeune femme un sourire mauvais sur les lèvres. Il avait un regard goguenard alors qu’il la voyait se mettre en position… elle comptait se battre sérieusement, pas lui, mais le mal ne serait jamais fait, car il avait une peau impénétrable…

« Je ne suis pas que beau parleur tu vas voir…. Si tu comptes me faire ravaler ma langue, moi je compte t’avoir et te faire couiner, tu en penses quoi ? C’est donnant donnant ! »

Il lui fit un clin d’œil malicieux en lui tournant lentement autour, traçant un grand cercle dans le sable de l’arène terni par le sang… il attendait son attaque, ravi de bientôt prendre en défaut la lance de son adversaire. Une fois sous la défense, la lance était inutilisable…

9
Elle avait plutôt bien compris le principe. Il exigeait qu’elle se dépêche de répondre à ses ordres. Il était du genre à punir sévèrement le moindre retard. Elle avait pu le constater, aussi, elle était vite venue à ses pieds pour masser les orteils et les pieds… il se laissait faire, savourant le contact délicat des doigts qui essayaient de faire de leur mieux, certes leur mieux n’était pas complètement satisfaisant, mais il se montrait un peu laxiste, car elle avait déjà de belles blessures desquelles récupérer. Ce n’était pas son but. Il lui fit un regard un petit peu amusé avant de finalement se laisser aller et vagabonder lui-même jusqu’à ce qu’elle ait fini son œuvre, sa tâche. Il sourit, un rien béat même alors qu’il se déstressait lentement entre les doigts les plus appliqués possible de sa soumise.

« Tu ne te débrouilles pas trop mal… » [/b][/color]

Il en émit une sorte de grognement de plaisir avant de finalement inspirer un grand coup et frissonner avant de fermer les yeux et la laisser continuer un peu. Il lui fit un sourire et attendit quelques instants avant de lui lancer, sur un ton doucereux, en lui caressant les cheveux, comme une récompense. Il lui sourit et doucement, il la fit s’écarter avant de finalement lui indiquer la cuisine avec nonchalance.

« Allez, va donc manger un morceau, ça te fera le plus grand bien ! Et ensuite rejoins-moi dans ma salle de bains… prend de quoi te sécher et de quoi te laver aussi, car tant qu’à faire, puisque tu seras dans l’eau, je m’occuperai de toi ! » [/b][/color]

Il lui fit un petit sourire un rien amusé avant de finalement se lever, non sans un soupir pour se rendre dans sa propre salle de bains où il fit couler l’eau pour avoir une magnifique baignoire pleine d’une eau bien froide… oui, la chaleur n’était pas franchement le pied de Sade, c’était plutôt l’inverse. Les bains, il les aimait froids. Ou tièdes dans le meilleur des cas !  Il sourit à cette idée et s’installa dans la baignoire alors que celle-ci, lentement, se remplissait. Il avait hâte d’y être ! Dans l’eau jusqu’au menton, sentant la fraicheur qui parcourait les eaux autour de son corps… ce serait à la fois déstressant et vivifiant… il en aurait presque bandé…

Petit à petit il sen tait l’eau monter, le caresser doucement via le flux et le reflux de la piscine qui se remplissait. Il n’attendait plus que la jeune femme et quand elle arriverait, il mettrait les choses au clair avec elle. Il lui sourit quand elle arriva et lui fit signe de le rejoindre dans l’eau. Nul doute qu’elle allait la trouver glaciale : elle avait déjà baissé d’un ou deux degrés par rapport au moment où il était entré dans l’eau.

« Viens vite, que je t’explique comment cela va se passer… j’ai envie de te faire découvrir un peu de nouvelles sensations… ce n’est pas très différent de ce que tu as fait jusqu’à présent !  Ce que je te conseille de faire, c‘est de bien te détendre, de rester calme quoiqu’il se passer. Si tu paniques, tu ne t’en sortiras pas… je vais t’obliger à te dépasser un peu ! » [/b][/color]

Il lui sourit et attendit qu’elle soit dans l’eau pour rajouter, avec beaucoup de douceur.

« Une fois dans l’eau tu vas venir me laver, d’abord je souhaite que me lave le derrière, avec la langue, avant que tu ne me lave la queue… tu vas adorer le faire, j’en suis sûr… surtout avec ta jolie petite langue… » [/b][/color]

Il lui sourit et se laissa plus ou moins installer à la surface pour qu’elle puisse passer sous lui pour aller lécher ce qu’il lui avait ordonné.

« J’espère que tu te sens d’attaque pour l’apnée ! » [/b][/color]

10
Après une exclamation, elle s’empressa d’obéir, et bien vite, une délicieuse odeur de travail accompli. Brave fille, elle était destinée à aller loin, il n’avait aucun doute là-dessus… il lui sourit alors qu’elle revenait vers lui, bien sagement. Elle commençait à comprendre à quel point elle avait intérêt à se montrer très docile. Il lui flatta la tête alors qu’elle acquiesçait et se rendait à la cuisine pour obéir. Il attendit en silence qu’elle s’occupe de son travail, qu’elle lui cuisine un bon repas, ou du moins, dans un premier temps, un repas acceptable. Ce serait déjà une bonne chose.

Il regarda la jeune femme finalement revenir avec son plat entre les mains et il lui fit signe sur de déposer le tout sur un guéridon avant de finalement lui faire signe d’approcher pour qu’elle vienne à nouveau le rejoindre. Il ne pipa mot et ne dit rien, mangeant en silence avant de finalement, entre deux bouchées, prendre la parole.

« Je suis las de tout cela. Masse mes orteils, je te prie. Ensuite j’irai sans doute prendre un bain et ce sera à toi de me laver, bien sûr. Mais tu auras un quart d’heure pour manger d’ici mon bain… »


Il se remit à manger en silence, attendant qu’elle s’exécute. Il ne demandait pas grand-chose, n’est-ce pas ? Juste qu’elle le masse, pour le moment. Une fois propre, il serait sans doute bien plus inspiré pour s’occuper de son cas ! Il sourit à cette idée… oui, ils s’amuseraient bien !

« Allez, dépêche-toi ! »

11
Elle semblait surprise par sa réaction. Elle n’avait jamais du croiser une succube, sinon, ça aurait été autrement plus difficile, autrement plus dangereux que de traiter avec la reine Mab. Elle, au moins, tenait parole, quitte à ce que ce soit au sens littéral du terme !  Il lui sourit néanmoins quant à sa remarque sur le fait de ne pas cracher sur un sol sacré. Un sol sacré, ben voyons !  Il leva les yeux au ciel et regarda la jeune femme d’un air plus que sarcastique !

Mais il n’ajouta rien. Elle avait raison, c’était bien plus compliqué que simplement faire une explosion : parce que sa reine était bien assez puissante pour qu’elle puisse le traquer malgré tout. Alors si elle ne partait pas dans cette idée, elle allait devoir supporter le mariage. Logique. Il regarda la jeune femme et hésita un peu avant de prendre la parole pour pouvoir répondre, d’un air quelque peu navré et résigné.

Le rustre est un sauvage, mais personne n’est rustre par différence. Tout simplement. Alors n’employez pas les mots que vous ne connaissez pas… mais pour en revenir à mon idée, nous allons l’écarter et nous résigner… enfin bon, qu’importe, ce n’est pas le même lien, alors cela ne devrait pas poser de problème. Et oui, elle est capable de tout… y compris de se délecter de notre conversation en temps réel… ma maitresse est une femme dangereuse… »

Il soupira avant de reprendre.

« Et si jamais vous demandiez une telle chose à la reine, vous payeriez le prix d’une telle demande. Alors si vous voulez cette enfant, vous vous résignerez à devenir une bonne épouse pour moi, le temps du rituel… et il faudra faire durer cela jusqu’à ce que l’enfant naisse… en espérant l’absence de fausses couches, et autres ! Donc, il va falloir être sacrément chanceux dès le départ… ou alors prendre le temps nécessaire, sans doute les deux… »

Pessimiste, un minimum. Il soupira un peu avant de lui lancer sur un ton plus nonchalant.

« Bon ce n’est pas tout, mais il fait excessivement chaud, n’y a-t-il nulle part où nous pourrions être un peu au frais ? La chaleur ne me réussit pas… »

Hélas… il avait du mal à tenir face à trop de chaleur.

« J’imagine que s’y mettre le plu tôt possible sera le mieux. Je m’en remets à vous, continuons la journée type d’Ellipsis.

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Les terres de glace / Re : Un contrat fort peu apprécié [PV Slade]
« le: jeudi 08 octobre 2015, 20:40:03 »
Slade n’était pas inquiet le moins du monde. Avait-il raison de ne pas s’inquiéter pour Jubal ? Sans doute, oui… il estimait relativement peu dangereux malgré la présence du démon le frère de sa fiancée. Sûr de lui, sans doute au-delà de la limite de l’arrogance, il était sûr de pouvoir le défaire en cas de besoin. Personne n’avait jamais pu le toucher, ou plutôt, n’avait jamais pu le blesser. Il n’avait aucune raison de penser que ça allait changer dans un avenir plus ou moins proche, voir même lointain. Il était, estimait-il, invulnérable, alors pourquoi s’en faire ? Il préférait largement continuer d’assouvir des envies plus que naturelles avec cette compagne fort plaisante qu’il allait devoir supporter au quotidien bon gré mal gré. Autant que ce soit bon gré, non ?

Autant vous dire qu’il comptait lui faire son affaire en beauté, quitte à ce qu’elle mette un peu de temps à s’en remettre, qu’elle reste debout au lieu de s’asseoir, ou toute autre chose de la sorte… ça lui ferait du bien ! Et à elle aussi, ou du moins, temporairement, avant qu’elle en ressente le contrecoup, aussi violent qu’il puisse être, car il ne la ménageait clairement pas !  En même temps, il n’avait à aucun moment estimé qu’elle devait être ménagée… et elle le prouvait alors qu’elle se cambrait, tendue par la douleur alors qu’il forçait pour lui labourer les entrailles de sa turgescence…

Enfin, peu à peu, à rythme de ses coups de reins de plus en plus violents, alors qu’une fine pellicule de sueur commençait à glisser sur son visage, il la sentait se détendre, gémir même. C’est à ce moment-là qu’il se décida à faire bien plus. Il se pencha sur son corps cambré, lui mordant l’épaule presque jusqu’au sang alors que sa main se glissait entre ses cuisses pour tâter de son humidité naissante non sans lui faire, à cette sensation un petit commentaire graveleux.

« Et bien tu y prends goût il faut croire… je croyais que ce n’était pas digne d’une princesse ? Mais tu as raison, c’est juste digne d’une catin… » [/b][/i]

Il lui fit un sourire, l’embrassa dans le coup au rythme d’un coup de rein particulièrement brutal.

« C’est peut être ça… Dame Astrid, princesse des catins, ma princesse des catins… » [/b][/i]

Il avait en tête des obscénités sans nom à mettre en pratique avec elle, et sans doute plutôt deux fois qu’une !  Il lui sourit et continua ainsi jusqu’à finalement se caler bien au fond et jouir entre ses fesses, se retirant sur la fi, après nombre de jets de foutre glaciaux qui allaient peu à peur pour couler de ses fesses jusque sur ses cuisses. Il la retourna alors dos contre le mur pour lui plonger le regard droit dans les yeux.

« Et vu comment tu couines, je ne doutes pas que tu adores ça… »[/b][/i]

Il l’embrassa avec fougue, la bloquant entre lui et le mur. 

13
En la voyant s'effondrer comme un pantin désarticulé il ne prit même pas la peine de continuer à parler et prit le temps de retourner travailler un peu, sans s'intéresser à elle outre mesure : elle n'en valait pas la peine. Il décala le rendez-vous du soir pour qu'elle récupère un peu, histoire de la présenter comme étant correcte pas en mode loque. Il  tria ensuite quelques papiers en silence et ne s'intéressa à elle que lorsqu'elle revient s'asseoir à côté de lui, sur ses talions, en attendant la suite. Il voyait son dos joliment lacéré et ne put s'empêcher de glisser sa main sur les plaies, comme ravi lui tirant des couinements de douleur.

« Qui te permet d'émettre le moindre son ? » [/b][/i]

Il avait parlé sèchement et attendit en silence que le temps passe, finissant de travailler avant de finalement s'intéresser de nouveau à elle, avec une pinte de douceur dans la voix, comme s'il ne s'était rien passé. En somme c'était du passé : elle avait fauté, il l'avait unie, elle ne recommencerait pas. Tout s'arrêtait là. Simple. Logique. Remuer le couteau dans la plaie ne servirait à rien, alors à quoi bon ?

« Mais dis-moi, n'avais-tu pas  parlé de bruler tes vêtements ? Après tout, il y a du bois, une cheminée, alors pourquoi n'as-tu pas commencé ?  Je te croyais femme de parole. Me serai-je trompé ? » [/b][/i]

Il sourit et regarda la jeune femme avec un sourire histoire de l'encourager avant de rajouter sur un ton fort doux, toujours comme s'il avait une forme d'affection pour elle, chose inexistante, vous vous en doutez bien, mais que lui importait, il avait envie de lui faire une petite leçon de morale quant à ce qu'elle devait ne jamais oublier… il l'invita donc, après s'être exécutée  à approcher de lui et lui indiqua même de venir face à lui pour lui parler droit dans le yeux.

« Regarde-moi dans les yeux. Il y a des points à éclaircir. Primo, je ne t'interdis pas de coucher avec des personnes que je n'ai pas choisi pour toi, je désire juste que tu m'en informes avant et que tu me demande d'avaliser cela, c'est normal, tu ne crois pas ? Secundo, j'estime que si tu es punie tu  endures ta sanction sans l'imposer aux autres, en somme, sans la montrer, en la gardant pour toi ; Je me doute bien que ce n'est pas facile, mais je pense qu'il faut que tu travailles ce point. Enfin, tu penses que le fouet est cruel, mais tu devrais t'estimer heureuse, j'ai bien des moyens de punir, faisant passer le fouet pour une douce caresse… alors j'espère que tu as compris le topo ? » [/b][/i]

Il la congédia de la main.

« Va préparer le repas, j'ai faim, et tu trouveras dans le frigidaire un reste d'hier que tu pourras te faire chauffer une fois que j'aurai mangé. » [/b][/i]

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Il ne dit rien et ne fit rien quand elle avoua… il trouvait cela hautement positif qu'elle ait avoué avant qu'il ne l'aie forcé à avouer… d'abord parce que cela mettait en avant sa soumission et ensuite, il préférait ainsi parce qu'elle était plus à même de comprendre son rôle en reconnaissant par elle-même ses erreurs. Elle s'améliorait, ainsi !  Il lui sourit et attendit un peu avant de finalement prendre la parole en opinant du chef, prouvant qu'il aimait ses propos.

« Je vois… sache que tes états d'âme face à une personne ou une autre, je m'en fous, tout comme je me fous de ce que tu as pensé, les faits sont là. Et seuls les faits comptent. »

Il ne décrocha pas un mot de plus avec elle pendant le reste du trajet. Il n'avait rien à dire, et elle non plus, si ? Il se contenta de la laisser faire ce qu'elle pensait bien pour la suite, à parler avant qu'il ne le fasse, à agir avant. IL regarda les vêtements qu'elle rassemblait. Il ne voyait pas en quoi cela lui faisait faire amende honorable, au juste… mais bon… il haussa les épaules avant de lui dire, sur un ton atone.

« Tu n'as qu'à brûler toi même tout cella si tu estimes devoir le faire. Mais cela ne suffit pas. Tu seras tout de même punie pour tes actes. Pour moi, tu devrais recevoir trois cents coup de cravache ou une centaine de coups de fouet… ce serait la moindre des choses, car on ne commet pas deux fois une telle bévue sous mes ordres. Le fouet se trouve dans le deuxième tiroir de la commode de ma chambre, apporte le moi, puis tu te mettras nue, et tu iras m'attendre dans ta salle de bain et tu attendras la suite dos à l'entrée, mans contre le mur du fond, dos bien cambré.. »

Il attendit un peu avant de finalement  attendre qu'elle revienne, voire même d'aller la chercher par les cheveux si elle mettait trop de temps. Puis, il déroula le fouet et fit claquer un coup à côté d'elle, dans le vide.

« Interdiction de te tourner, même juste un peu la tête... »

La première fois, qu'il frappa vraiment, il ne fit qu'effleurer la peau, et ce ne fut qu’au cinquième qu’il laissa une traînée sanglante dans le dos de la jeune femme. Toutefois, au bout d'une vingtaine de coups, il cessa et reposa le fouet avant de lui lancer.

« Nettoie le, sèche le, et range le. Ensuite je ais décaler le rende-vous.de ce soir, tu resteras plaies ouvertes et dos lacéré jusqu'au matin où je te passerai une pommade qui ne laissera aucune trace de plaie en trois minutes chronométrées. Sache que si tu en as eu que vingt, c'est parce que non seulement tu as avoué, mais en plus tu as avoué avant que je ne te force. Désormais, rappelle-toi bien de cela. Les punitions liées à une faute que tu auras avouée spontanément seront toujours diminuées... »

15
Il venait d'entrer la boutique et attendait que Coralie revienne. Il avait approuvé son choix en matière de piercing, il trouvait ceux qu'elle avait  choisie quelque peu amusante. Il sourit et regarda la jeune femme avant de finalement opiner du chef et toucher les piercing, tirant un peu dessus avant de lui tapoter la joue, comme pour lui monter qu'elle avait bien fait, et que donc, il était content d'elle. Pourquoi dire plus, rien qu'un sourire de sa part devait être un soulagement pour elle et un ravissement complet aussi, n'est-ce pas ? Il lui fit un léger sourire, accompagné  d'un nouveau signe approbateur.

« Oui, cela me plaît, et cela me va. Vous avez bien travaillé… allez, Coralie, rhabille-toi ! »

Il alla dans la cabine pour récupérer le plug. Il le lui enfoncerait lui-même. La moindre des choses, non ? Il attendit qu'elle ait mis tout le reste pour lui appuyer sur les reins, qu'elle se penche en avant pour  lui palper l'anus encore un peu ouvert… il ne s'attendait pas à ce qu'elle reste ouverte ainsi. Il lui sourit et lui palpa le derrière avant de lui préparer le terrain avec deux doigts… sentant un liquide gluant. Il retira ses doigts. De la semence. Il fit mine de n'avoir rien vu et plaça le plug un peu plus brutalement que prévu à sa place avant d'essuyer discrètement ses doigts sur les vêtements de la jeune femme.

« Allez, on y va ! »

Il plaça sa main sur ses reins et la poussa un peu pour qu'elle soit  son rythme, un rythme rapide, pour sortir de la boutique, non sans un remerciement poli et un au revoir. Il ne fit pas référence à sa découverte, loin de là, il resta silencieux, attendant un peu, histoire de savoir si elle allait se dénoncer ou pas. Il lui laissait jusqu') être rentré pour se dénoncer. Il lui fit un sourire alors qu'il marchait à ses côtés. Ne savait-elle pas que faute avouée était à moitié pardonnée ? Peut être devait-elle en être informée.

« Je voudrai voir avec toi certaines choses avant d’arriver. D'abord, cette nuit tu as rendez-vous pour ta première  leçon de pole dance à neuf heures, tu iras seule dans le quartier de la Toussaint, ce n'est pas bien loin, et tu seras de retour ici avant 23 heures. Le lendemain matin tu rejoindras Sanya qui t'apprendra comment une femme peut plaire à un homme, c'est une prostituée, elle t'apprendra les bases de son métier. »

Voilà quelques petites informations, comme si de rien n'était. Si elle ne disait rien il resterait silencieux jusqu'à être rentré chez lui avec elle. À peine aurait-il franchi la porte qu'il lui dirait.

« Je t'ai laissé plus de temps qu'il n'en fallait pour avouer ta faute, car faute avouée est à moitié pardonnée. N'as-tu rien à me dire, à me confier ? »

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