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Prélude / Re : La grande saga des valkyries [Law]
« le: mercredi 07 décembre 2016, 17:46:00 »
Une nouvelle porteuse de lance <3
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Le Tournoi / Re : L'histoire du Tournoi
« le: samedi 29 août 2015, 22:11:53 »
Dans l'unique œil qui lui restait, on lisait d'abord la résignation d'un vieil homme que les affaires de la guerre ont beaucoup trop affecté, et que les combats en tout genre fatiguent un peu trop. Puis, soudain, c'est comme une révélation : Ses paupières s'ouvrent en grand, et il tape sur son cheval à la crinière à moitié brûlée.
-Loki...
La demoiselle pourra tenter de lui expliquer qu'il n'y a pas que lui, il sait pertinemment qui a commencé ça, parce que c'est toujours lui qui sème ainsi la discorde – et il imagine parfaitement que les autres dieux fripons l'ont aidé dans sa tâche.
L'entrée de l'ermite n'est pas remarquée, tant et si bien qu'il chevauche une rixe qui ne s'offusque même pas de voir le démiurge passer sur eux. S'arrêtant au milieu de la salle, il ramène près de lui la jeune Illythie, murmurant de lui faire confiance. Le chaos règne toujours autour sans qu'ils ne prennent conscience de la puissance du dieu du savoir, et des arcanes qu'il s'apprête à déployer. Avec toute la solennité du monde, porteur d'espoir, il lève son bâton, et le monde retient son souffle comme il le fait lui-même. Et soudain, sans que personne ne s'y attende...
Il pose son bâton à terre avec un petit « poc » inaudible dans tout ce fatras.
-Cessez.
L'effet est misérable et nul n'entend. Il sera même bousculé par Mars qui, s'étant bien vidé les burnes, s'était lancé dans un combat singulier avec Horus, lances et boucliers comme équipements. Odin soupire.
-CESSEZ !
Sa voix est un tonnerre qui gronde, le même dont il insuffla la maîtrise à son fils ; sa colère est soudain mais violente, et la lumière elle-même en est apeurée, et frissonne, la pièce s'étant nettement obscurcie l'espace d'un instant, comme si le soleil s'était voilé par un battement de cil. L'air est devenu lourd et oppressant, les tympans ont vrillé, l'âme de chacun fut prise d'effroi, un choc que peu de bas mortel aurait pu supporter sans défaillir – ou mourir.
Le silence se fait, après qu'une lame soit tombée à terre, qu'un corps, ailleurs, trébuche, qu'un verre s'écroule. On entend toujours Héphaïstos se marrer comme une baleine, baignant dans son vomi dans un coin de la salle.
-Vous êtes des dieux. Votre comportement est indigne de notre race.
-Justement, en parlant de race, ô saint père...
-La ferme, Loki !
Le dieu malin aura senti la poutre se dérober sous lui, comme si la gravité était soudain devenu fluctuente, et n'avait plus été capable de tenir son équilibre, tant et si bien qu'il s'écroulait au sol. Le promeneur du blizzard s'approche de lui, enfonçant l'extrémité de son aide de marche dans sa joue.
-Si j'entends une parole de plus déversée par ta langue de vipère, je cloue celle-ci au marbre de cette salle, et tu rendras compte de ta fourberie en te faisant tanner les fesses à coups de pied.
-Ô Roi, il a raison sur un point. Nous ne cessons de nous dévaloriser sur des affaires de race.
-Vous vous inventez des problèmes. Nous sommes tous différents. Faut-il rappeler qu'au jour du Crépuscule, moi et mes frères mourront au premier coup qui nous sera porté, là où la fin des mondes ne vous empêchera pas de continuer à vivre et à régner. Faut-il rappeler que certains d'entre nous ont droit d'ingérer dans les affaires humains, là où d'autres ne le peuvent pas ? Faut-il rappeler que certains ici sont frères, fils et amis au-delà de ce que nos fidèles croient ?
-Alfadr. Nous nous sommes toujours battus. Justement parce que nous savons que nous pourrons le faire jusqu'à la fin des temps.
-Puis-je émettre une suggestion ? Questionne Athéna.
-Fais donc.
Elle retire sa lance du flanc d'un amérindien, qui gémit, et s'approche de l'ermite.
-Le très sage Odin a raison. Nous nous comportons comme des barbares. Je propose une solution plus juste et plus civilisés. Chaque famille parmi nous désigne un champion, qui lui servira de représentant. Duel global. Celui qui réussit à terrasser tous les autres nous oblige tous à désigner son panthéon comme étant supérieur en toutes qualités, et ainsi, nos différends seront justement réglés.
Alors que des murmures d'approbation animent la foule, Mars, visiblement mécontent, se rapproche d'elle.
-Je suppose que c'est toi qui va y aller pour nous ?
-Evidemment, mon frère.
-DEMI-Frère... Tu te crois plus forte que moi ?
-Je le suis et tout le monde le sait. Au premier coup sous la ceinture, tu t'écroules.
-Peut-être que les autres guerriers seront moins déloyaux que toi ?
-La déloyauté n'existe pas au combat. Ce qui importe c'est de vaincre.
Odin portera son regard sur Zeus, qui hausse les épaules : Il n'a aucun contrôle sur ces deux-là. L'un est un rustre qu'aucune laisse ne pourra tenir, l'autre est bornée comme pas deux en ce monde, et, il doit l'admettre, il l'aime trop pour la gronder. Père démissionnaire ?
Alors que le brutal bretteur s'est permis de prendre le bras de sa parente pour la faire s'éloigner de son chemin, celle-lui lui aura retourné le poignet ; un coup de lance à l'arrière des genoux pour lui faire perdre ses appuis, puis il fait basculer le corps lourd au-dessus de son épaule, qui s'écroule misérablement par terre. Elle le traîne alors jusqu'à la falaise. Il se débat. La lance au visage le calme quelques secondes, juste de quoi faire pencher la moitié de son corps au-dessus du vide, retenant le reste par la ceinture.
-Tu vas te calmer ?
-Va te faire foutre !
-C'est vilain, ça... Méchant Mars. Si je te lâche, tu mets combien de temps à remonter ?
Elle n'aura pas le temps d'une parole de plus qu'Odin ose lui tirer une oreille en guise de reproche, récupérant le dieu guerrier de l'autre main pour le ramener complètement à terre.
-Vous êtes deux enfants.
Il revient au centre de la pièce, reprenant Illithye par les épaules.
-Je suggère d'écouter de ce que notre très jeune amie dira. Je suis sûr que sa parole sera aussi sage que la mienne.
Et, comme pour lui insuffler son pouvoir, il passe une main tendre sous son menton, et dépose un baiser sur son crâne.
-Parle.
-Loki...
La demoiselle pourra tenter de lui expliquer qu'il n'y a pas que lui, il sait pertinemment qui a commencé ça, parce que c'est toujours lui qui sème ainsi la discorde – et il imagine parfaitement que les autres dieux fripons l'ont aidé dans sa tâche.
L'entrée de l'ermite n'est pas remarquée, tant et si bien qu'il chevauche une rixe qui ne s'offusque même pas de voir le démiurge passer sur eux. S'arrêtant au milieu de la salle, il ramène près de lui la jeune Illythie, murmurant de lui faire confiance. Le chaos règne toujours autour sans qu'ils ne prennent conscience de la puissance du dieu du savoir, et des arcanes qu'il s'apprête à déployer. Avec toute la solennité du monde, porteur d'espoir, il lève son bâton, et le monde retient son souffle comme il le fait lui-même. Et soudain, sans que personne ne s'y attende...
Il pose son bâton à terre avec un petit « poc » inaudible dans tout ce fatras.
-Cessez.
L'effet est misérable et nul n'entend. Il sera même bousculé par Mars qui, s'étant bien vidé les burnes, s'était lancé dans un combat singulier avec Horus, lances et boucliers comme équipements. Odin soupire.
-CESSEZ !
Sa voix est un tonnerre qui gronde, le même dont il insuffla la maîtrise à son fils ; sa colère est soudain mais violente, et la lumière elle-même en est apeurée, et frissonne, la pièce s'étant nettement obscurcie l'espace d'un instant, comme si le soleil s'était voilé par un battement de cil. L'air est devenu lourd et oppressant, les tympans ont vrillé, l'âme de chacun fut prise d'effroi, un choc que peu de bas mortel aurait pu supporter sans défaillir – ou mourir.
Le silence se fait, après qu'une lame soit tombée à terre, qu'un corps, ailleurs, trébuche, qu'un verre s'écroule. On entend toujours Héphaïstos se marrer comme une baleine, baignant dans son vomi dans un coin de la salle.
-Vous êtes des dieux. Votre comportement est indigne de notre race.
-Justement, en parlant de race, ô saint père...
-La ferme, Loki !
Le dieu malin aura senti la poutre se dérober sous lui, comme si la gravité était soudain devenu fluctuente, et n'avait plus été capable de tenir son équilibre, tant et si bien qu'il s'écroulait au sol. Le promeneur du blizzard s'approche de lui, enfonçant l'extrémité de son aide de marche dans sa joue.
-Si j'entends une parole de plus déversée par ta langue de vipère, je cloue celle-ci au marbre de cette salle, et tu rendras compte de ta fourberie en te faisant tanner les fesses à coups de pied.
-Ô Roi, il a raison sur un point. Nous ne cessons de nous dévaloriser sur des affaires de race.
-Vous vous inventez des problèmes. Nous sommes tous différents. Faut-il rappeler qu'au jour du Crépuscule, moi et mes frères mourront au premier coup qui nous sera porté, là où la fin des mondes ne vous empêchera pas de continuer à vivre et à régner. Faut-il rappeler que certains d'entre nous ont droit d'ingérer dans les affaires humains, là où d'autres ne le peuvent pas ? Faut-il rappeler que certains ici sont frères, fils et amis au-delà de ce que nos fidèles croient ?
-Alfadr. Nous nous sommes toujours battus. Justement parce que nous savons que nous pourrons le faire jusqu'à la fin des temps.
-Puis-je émettre une suggestion ? Questionne Athéna.
-Fais donc.
Elle retire sa lance du flanc d'un amérindien, qui gémit, et s'approche de l'ermite.
-Le très sage Odin a raison. Nous nous comportons comme des barbares. Je propose une solution plus juste et plus civilisés. Chaque famille parmi nous désigne un champion, qui lui servira de représentant. Duel global. Celui qui réussit à terrasser tous les autres nous oblige tous à désigner son panthéon comme étant supérieur en toutes qualités, et ainsi, nos différends seront justement réglés.
Alors que des murmures d'approbation animent la foule, Mars, visiblement mécontent, se rapproche d'elle.
-Je suppose que c'est toi qui va y aller pour nous ?
-Evidemment, mon frère.
-DEMI-Frère... Tu te crois plus forte que moi ?
-Je le suis et tout le monde le sait. Au premier coup sous la ceinture, tu t'écroules.
-Peut-être que les autres guerriers seront moins déloyaux que toi ?
-La déloyauté n'existe pas au combat. Ce qui importe c'est de vaincre.
Odin portera son regard sur Zeus, qui hausse les épaules : Il n'a aucun contrôle sur ces deux-là. L'un est un rustre qu'aucune laisse ne pourra tenir, l'autre est bornée comme pas deux en ce monde, et, il doit l'admettre, il l'aime trop pour la gronder. Père démissionnaire ?
Alors que le brutal bretteur s'est permis de prendre le bras de sa parente pour la faire s'éloigner de son chemin, celle-lui lui aura retourné le poignet ; un coup de lance à l'arrière des genoux pour lui faire perdre ses appuis, puis il fait basculer le corps lourd au-dessus de son épaule, qui s'écroule misérablement par terre. Elle le traîne alors jusqu'à la falaise. Il se débat. La lance au visage le calme quelques secondes, juste de quoi faire pencher la moitié de son corps au-dessus du vide, retenant le reste par la ceinture.
-Tu vas te calmer ?
-Va te faire foutre !
-C'est vilain, ça... Méchant Mars. Si je te lâche, tu mets combien de temps à remonter ?
Elle n'aura pas le temps d'une parole de plus qu'Odin ose lui tirer une oreille en guise de reproche, récupérant le dieu guerrier de l'autre main pour le ramener complètement à terre.
-Vous êtes deux enfants.
Il revient au centre de la pièce, reprenant Illithye par les épaules.
-Je suggère d'écouter de ce que notre très jeune amie dira. Je suis sûr que sa parole sera aussi sage que la mienne.
Et, comme pour lui insuffler son pouvoir, il passe une main tendre sous son menton, et dépose un baiser sur son crâne.
-Parle.
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Prélude / Re : Er Óðinn ferr við úlf vega... - { Validé avec amûûûûûr }
« le: lundi 25 février 2013, 17:56:20 »
Merci.
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 06 février 2013, 20:37:36 »
De la répartie tout en respect, j'aime ça, Hadès. Odin, roi des Dieux de chez moi -incline la tête- et accessoirement, époux de la plus belle femme de ce forum.
Pardonnez mes mots, j'ai l'esprit guerrier, et mon ennui le transmet en paroles.
20h37. Odin sait aussi se faire des amis.
Pardonnez mes mots, j'ai l'esprit guerrier, et mon ennui le transmet en paroles.
20h37. Odin sait aussi se faire des amis.
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 06 février 2013, 20:27:50 »
Pardonner est une chose ; dispenser le pardon à n'importe qui en est une autre. Il est des actes qui demandent une rédemption sincère, ce qui n'est pas le cas de votre... fourbe de Seth.
Observez, Hadès. Nous parlions de sodomie, cela doit vous connaître. Grec, n'est-ce pas ?
20h27. Comme si Odin en avait quelque chose à faire de se mettre tous les dogmes à dos.
Observez, Hadès. Nous parlions de sodomie, cela doit vous connaître. Grec, n'est-ce pas ?
20h27. Comme si Odin en avait quelque chose à faire de se mettre tous les dogmes à dos.
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 06 février 2013, 20:06:37 »
Parce que nous sommes leurs pères, leurs phares et leurs juges, nous nous devons de ne pas montrer de faiblesse. Et chacun de nos actes étant gravés dans les roches de leurs temples, c'est le genre d'évènement qu'il aurait mieux valu ne pas ébruiter.
Par ailleurs, puisque vous l'évoquez, notre sens de l'honneur est trop grand pour que nous laissions un tel acte impuni. J'aurais tranché 10 fois la gorge de celui qui m'aurait fait ça, à moi ou à l'un de mes fils, pour réparer l'affront.
20h07.
Par ailleurs, puisque vous l'évoquez, notre sens de l'honneur est trop grand pour que nous laissions un tel acte impuni. J'aurais tranché 10 fois la gorge de celui qui m'aurait fait ça, à moi ou à l'un de mes fils, pour réparer l'affront.
20h07.
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 06 février 2013, 19:50:20 »
Votre épouse. Chez nous, après s'être fait trousser le postérieur, il vaut mieux rester planqué le temps qu'on oublie la féminité gravée sur votre front.
Le mariage homosexuel pour les femmes est donc déjà consacré chez vous, méditerranéens ?
19h51.
Le mariage homosexuel pour les femmes est donc déjà consacré chez vous, méditerranéens ?
19h51.
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Blabla / Re : Les origines de votre personnage
« le: mercredi 06 février 2013, 19:23:08 »
Odin est né pour impressionner les meufs.
Non, plus sérieusement, je trouvais que les persos scandinaves de ce forum n'étaient pas assez fidèles à l'image que je m'en faisais. J'ai décidé d'en faire un, juste pour la gloire. Il a donc fallu faire un choix : Thor, trop cliché, pas la peine. Loki ? Ardu. Et, en fait, ce n'est pas le genre de perso que j'aimerais posséder en soi. Bon, il reste donc Odin ou l'un des dieux moins "publics", sur lesquels je me suis documenté avant de me dire que Odin ce serait quand même la classe, et qu'en plus, j'aurais ce qu'il faut comme ressource pour faire une fiche nourrie.
Donc : Faire Odin. J'ai réfléchi dans mon coin pendant des jours, et une image m'est apparue, comme c'est souvent le cas avec mes fiches, l'inspiration soudaine : Je voyais Odin, la veille du Rägnarök, au crépuscule de sa vie (puisque c'est ce que signifie Rägnarök selon certaines traductions : "Le crépuscule des dieux", version reprise par Wagner pour son Opéra, "l'anneau des Nibelungen"), sur son trône. Puisque sa vie se termine, il en fait une sorte d'introspection, tout en constatant son propre état général présent : Il est vieux, il est limite grabataire. Comme les dieux scandinaves sont mortels, j'ai joué sur cet état de fait, en le dépeignant comme un Odin qui, malgré sa toute-puissance, a subi les ravages du temps. Il est fatigué de tant de combat, de tant de pouvoir. Il est dans un gigantesque hall froid, sa salle du trône, avec peu de lumières, et, comme seuls compagnons, ses deux loups qui n'ont jamais brisé leur loyauté envers lui. C'est ainsi que j'ai vu la chose, et le reste n'a plus consisté qu'à décrire la scène.
La fin est purement stylistique, et joue sur l'illusion, le double-sens, l'interrogation : Odin ouvre les yeux après les avoir fermé 5 secondes, et le hall est plein de lumières, tous ses amis, sa famille, ses serviteurs sont là. On ne sait pas si c'était une vision, une illusion volontaire ou non, un rêve, ou si il a fait un saut dans le temps, vers l'avenir ou vers le passé. Peut-être est-il en fait déjà mort ?
Là, Odin se lève et est plein de vitalité, totalement normal, tout en arme, il va poutrer du géant et de la bestiole à sa dernière grande bataille, avec toute son armée.
Voilà. C'était un Odin normal, tel que le dépeint le dogme nordique. Rien de bien particulier. Ce perso ne sera probablement pas joué, puisque j'ai laissé peu d'issue pour le jouer. C'était une fiche... hm, je l'ai déjà dit : Une fiche pour la gloire \o/
Non, plus sérieusement, je trouvais que les persos scandinaves de ce forum n'étaient pas assez fidèles à l'image que je m'en faisais. J'ai décidé d'en faire un, juste pour la gloire. Il a donc fallu faire un choix : Thor, trop cliché, pas la peine. Loki ? Ardu. Et, en fait, ce n'est pas le genre de perso que j'aimerais posséder en soi. Bon, il reste donc Odin ou l'un des dieux moins "publics", sur lesquels je me suis documenté avant de me dire que Odin ce serait quand même la classe, et qu'en plus, j'aurais ce qu'il faut comme ressource pour faire une fiche nourrie.
Donc : Faire Odin. J'ai réfléchi dans mon coin pendant des jours, et une image m'est apparue, comme c'est souvent le cas avec mes fiches, l'inspiration soudaine : Je voyais Odin, la veille du Rägnarök, au crépuscule de sa vie (puisque c'est ce que signifie Rägnarök selon certaines traductions : "Le crépuscule des dieux", version reprise par Wagner pour son Opéra, "l'anneau des Nibelungen"), sur son trône. Puisque sa vie se termine, il en fait une sorte d'introspection, tout en constatant son propre état général présent : Il est vieux, il est limite grabataire. Comme les dieux scandinaves sont mortels, j'ai joué sur cet état de fait, en le dépeignant comme un Odin qui, malgré sa toute-puissance, a subi les ravages du temps. Il est fatigué de tant de combat, de tant de pouvoir. Il est dans un gigantesque hall froid, sa salle du trône, avec peu de lumières, et, comme seuls compagnons, ses deux loups qui n'ont jamais brisé leur loyauté envers lui. C'est ainsi que j'ai vu la chose, et le reste n'a plus consisté qu'à décrire la scène.
La fin est purement stylistique, et joue sur l'illusion, le double-sens, l'interrogation : Odin ouvre les yeux après les avoir fermé 5 secondes, et le hall est plein de lumières, tous ses amis, sa famille, ses serviteurs sont là. On ne sait pas si c'était une vision, une illusion volontaire ou non, un rêve, ou si il a fait un saut dans le temps, vers l'avenir ou vers le passé. Peut-être est-il en fait déjà mort ?
Là, Odin se lève et est plein de vitalité, totalement normal, tout en arme, il va poutrer du géant et de la bestiole à sa dernière grande bataille, avec toute son armée.
Voilà. C'était un Odin normal, tel que le dépeint le dogme nordique. Rien de bien particulier. Ce perso ne sera probablement pas joué, puisque j'ai laissé peu d'issue pour le jouer. C'était une fiche... hm, je l'ai déjà dit : Une fiche pour la gloire \o/
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 06 février 2013, 00:15:59 »
*Reprend sa lance du corps du dieu-piaf* Je passe l'éponge pour cette fois, mon aimée, mais ça reste ma propriété - ce n'est pas un jouet que je prête facilement.
La mienne ne s'ennuie pas. Elle reprend ses esprits. C'est connu, je n'y vais pas de main morte.
Quant à mon cerveau... J'ai sacrifié mon oeil pour m'abreuver du savoir. Prends-en de la graine et va recoudre ton père et soigner la plaie anale que t'a causé ton oncle, on reparlera de virilité après ça.
00h16.
La mienne ne s'ennuie pas. Elle reprend ses esprits. C'est connu, je n'y vais pas de main morte.
Quant à mon cerveau... J'ai sacrifié mon oeil pour m'abreuver du savoir. Prends-en de la graine et va recoudre ton père et soigner la plaie anale que t'a causé ton oncle, on reparlera de virilité après ça.
00h16.
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 06 février 2013, 00:00:03 »
Je parle à des impies, je m'adapte à leur langage. Ca s'appelle le respect.
Je ne vous demande pas de vous élever à mon niveau.
00h00. Bollocks, je vous ai dit.
Je ne vous demande pas de vous élever à mon niveau.
00h00. Bollocks, je vous ai dit.
11
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 05 février 2013, 23:49:03 »
Le retour de ton époux ?... Je subviendrais à tes besoins de femelle si tu en as tant envie. Pas besoin de ta fillette de fauconnet. D'ailleurs, il a autre chose qu'un cloaque ?
23h49. Chez les vikings, on a des couilles grosses comme des drakkars.
23h49. Chez les vikings, on a des couilles grosses comme des drakkars.
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 02 février 2013, 17:19:44 »
Tu en es à 300 messages, Azazel. Brave gosse.
17h20.
17h20.
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Prélude / Re : Er Óðinn ferr við úlf vega... - { Validé avec amûûûûûr }
« le: vendredi 01 février 2013, 22:07:07 »
Notre couple mérite de faire la une de Voici. C'est tout.
Merci à tous.
-Emmène Frigg à part pour lui faire des choses-
Merci à tous.
-Emmène Frigg à part pour lui faire des choses-
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Prélude / Re : Er Óðinn ferr við úlf vega... - { Validé avec amûûûûûr }
« le: vendredi 01 février 2013, 21:23:19 »
Cette fiche étant prévue depuis un mois et prête depuis une semaine, je te laisse deviner, Lucrecia.
Elskeden minn. Ne te prosterne pas. Pas toi. Laisse ce privilège aux autres... rampants.
Merci Darthestar.
Elskeden minn. Ne te prosterne pas. Pas toi. Laisse ce privilège aux autres... rampants.
Merci Darthestar.
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Prélude / Re : Er Óðinn ferr við úlf vega... [Frig]
« le: vendredi 01 février 2013, 18:04:27 »
Le monde de mère Lust ? Je ne vois ici qu'un monde gouverné par des dieux majeurs, pardonnez-moi de douter de vos assertions.
Merci, cela dit.
Merci, cela dit.
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