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Messages - Kaguya Shunya

Pages: [1] 2 3 ... 17
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Territoire de Tekhos / Re : Des kitsunes et un couple royal [PV Shunya Kaguya]
« le: jeudi 20 décembre 2018, 13:33:10 »
Shunya fut rejointe par Hinata, qui vint l’aider en expliquant à Nozomi sa propre situation. Comme elle, elle avait de forts a priori, non pas envers les humains, mais envers les mâles. Une peur contre laquelle elle était lentement en train de lutter, avec un succès plus important à chaque fois. Shunya sourit doucement quand Hinata expliqua qu’elle y arrivait en partie grâce à la jeune femme. Elle n’acquiesça pas, se contentant de rougir poliment, tandis qu’Hinata assura à Nozomi sa sympathie. Elle tenait toujours dans ses bras la petite Kozué, une délicieuse boule de poils dont les gros yeux papillonnaient doucement dans ses orbites.

Miyubi était là, avec le reste de sa famille, pour leur souhaiter le départ. Il fallut donc qu’Hinata concède, non sans difficulté, à remettre Kozué à sa mère. La Matriarche la prit sans difficulté, son petit bébé se mettant à gazouiller doucement en retrouvant sa mère. Shunya leur sourit ensuite, tout en glissant sa main dans celle d’Hinata.

« Ce séjour fut très agréable, Miyubi-chan, et je vous remercie toutes, même toi, Nozomi-chan. J’espère que, la prochaine fois, vous accepterez de revenir au Temple de la Lune, je serai personnellement ravie de vous accueillir ! »

Les deux Edorassiennes partirent ensuite, Shunya conservant un sourire sur les lèvres. Sur le palier du temple, observant la morosité de sa femme, elle lui caressa le visage, et l’embrassa doucement sur les lèvres.

« Bientôt, ce sont nos enfants que tu porteras dans les bras, Hinata ! Et je crois que Kozué sera ravie d’avoir de nouveaux amis, tu ne crois pas ? »

Cette rencontre avait été très agréable, et Shunya n’avait envie que d’une chose : la réitérer !

FIN

2
Territoire de Tekhos / Re : Des kitsunes et un couple royal [PV Shunya Kaguya]
« le: vendredi 07 décembre 2018, 21:42:01 »
Shunya était sincère. Elle avait toujours eu le cœur sur la main. Une femme pareille n’avait pas le profil requis pour être politicienne, car elle était beaucoup trop idéaliste. Tout ce qu’elle voulait était améliorer Edoras, perfectionner le pays, lutter contre toutes les formes de discriminations, et donner à chaque individu ses mêmes chances. Venant d’une famille populaire, elle était bien placée pour connaître les difficultés du peuple, et, grâce à sa position, elle était une conseillère spécifique pour Hinata... En plus d’être très amoureuse d’elle. En tout cas, Shunya avait pris ses aises, elle apprenait de plus en plus à contrôler ses peurs, ses angoisses naturelles, ce qui l’amenait à insister face à Nozué, quitte à perturber la kitsune un peu sauvage. Ne sachant plus quoi dire, la kitsune rebelle demanda d’ailleurs à Shunya pourquoi elles avaient choisi de rester.

La guérisseuse haussa doucement les épaules en lui souriant tendrement.

« Parce que nous sommes bien ici ? Ta mère ne nous a pas encore rejeté, après tout... »

Bien sûr, si Miyubi souhaitait leur départ, Shunya partirait, mais il est vrai que ce sanctuaire était agréable... Et, après tout, elles avaient fait l’amour ici. Voir le naturel avec lequel Miyubi les avait amenés à coucher ensemble était très excitant, et elle y repensait encore avec un certain plaisir. C’était aussi pour ça qu’elle ne voulait pas se brouiller avec Nozué. Elle tenait à rester proche de cette famille, et à familiariser avec tout le monde, y compris Nozué.

D’ailleurs, la kitsune reprit en estimant que les deux femmes étaient trop gentilles, ce qui dissimulait forcément quelque chose. Shunya sourit alors à nouveau, et se rapprocha encore d’elle.

« Je ne vois pas en quoi, tous les humains ne sont pas des monstres, tu sais... »

Shunya se pinça doucement les lèvres, et reprit alors, en développant le fond de ses pensées :

« Je souhaite améliorer les choses à Edoras. C’est peut-être naïf, idéaliste, ou que sais-je encore, mais je veux qu’Edoras soit un pont entre Tekhos et Nexus... Et que notre politique guide le reste du monde. Je souhaite poursuivre le rêve de Nöly Ivory en abolissant définitivement l’esclavage, ainsi que toute loi discriminatoire. »

La guérisseuse était effectivement une idéaliste... Mais, après tout, elle était au meilleur endroit possible pour rêver à cela, non ? Proche du pouvoir, elle était la femme de la Reine, à une époque où le pouvoir royal était en pleine reconstruction. C’était un instant clivant de l’Histoire d’Edoras, un instant où le royaume entier pouvait basculer... Et Shunya espérait bien qu’il le fasse positivement !

« Sache en tout cas que tu seras toujours la bienvenue au Temple de la Lune, Nozué ! »

3
Cette Nozomi n’était pas comme les autres membres de cette délicieuse famille. Shunya essayait de comprendre ce qui la traversait, ce qui l’agitait, ce qui expliquait sa manière d’agir. Mais, pour l’heure, elle avait un peu du mal à comprendre, si ce n’est en se disant que la jeune femme avait vécu quelque chose de particulièrement traumatisant envers les humains. Somme toute, Shunya ne savait pas grand-chose du passé de cette famille. Mais il ne fallait pas être une génie pour savoir que les Terranides ne menaient pas une existence idyllique sur Terra. Shunya essayait donc de savoir comment sauver cette conversation mal engagée quand Nozomi l’interrogea sur son odeur.

La guérisseuse sourit alors, et haussa les épaules :

« Hinata adore beaucoup les Terranides et les félins. »

Ce qui n’avait rien de surprenant à Edoras, où les chats étaient réputés pour porter chance. Après tout, la figure du maneki-neko, celle du chat levant la patte pour souhaiter la bienvenue, était très populaire à Edoras. Il fallait sans doute y voir là l’explication pour le profond respect que les Edorassiens avaient pour les Terranides. Bien que l’esclavage soit autorisé à Edoras, il était fermement encadré, précisément pour éviter les abus, et c’était une pratique que Shunya entendait encore accroître.

« Alors, il y en a beaucoup au Temple de la Lune... Je dors toujours avec un chat sur mon ventre, Hinata dit que ça protège le bébé contre les yōkai, et c’est aussi ce que ma mère dit. »

De vieilles superstitions disaient que les jeunes bébés, et donc a fortiori ceux encore dans le ventre de leur mère, étaient fortement sensibles, et pouvaient donc se faire attaquer par les mauvais esprits. Shunya sortit ensuite de ses pensées en reportant son attention sur la femme face à elle :

« Bref... Il faut aussi que je te dise, Nozomi, que... Je viens d’une famille qui a souffert de discriminations. Tu comprends, mon père est un fermier, et... Après la trahison de Shin, il a beaucoup souffert du durcissement des lois à l’égard des hommes. Alors, je comprends un peu ce que tu ressens. J’ai eu la chance immense de devenir la guérisseuse de la Rein, et qu’elle tombe amoureuse de moi... »

Shunya sourit brièvement, pensant à tout ça avec un brin de nostalgie.

« Je ne souhaite qu’à améliorer la condition des gens, Nozomi. Je te demande de bien vouloir accepter mes excuses si, d’une manière ou d’une autre, j’ai pu t’offenser par mon comportement. Toi et ta famille, vous avez été merveilleuses avec nous, et vous gérez ce temple avec une efficacité remarquable. Mon unique souhait en venant ici était d’obtenir la bénédiction du kami pour mon enfant à venir. Je ne désirai nullement te vexer, et, si c’est ce que j’ai pu faire par ma maladresse, je te réitère encore mes plus sincères excuses. »

Il serait difficile de changer Shunya ! Même si elle avait pris en assurance, Shunya restait toujours Shunya, une jeune femme profondément humble et bienveillante.

4
À force de chercher, Shunya finit par trouver celle qu’elle cherchait... Et Nozomi se montra relativement bienveillante. Bienveillante, dans le sens où elle ne lui sauta pas immédiatement dessus en la menaçant, mais au contraire en lui disant de ne pas trop s’approcher de la statue du kami, lui rappelant au passage que la générosité d’un kami pouvait être proportionnelle à sa cruauté. Shunya sursauta brièvement, et observa la statue en se recroquevillant doucement sur place.

« Oh... J’ignorai cela... »

Et c’était vrai. Elle s’en pinça doucement les lèvres, puis Nozomi se rapprocha encore, se postant près d’elle. La Terranide était une rebelle, une femme fière. Shunya pouvait le voir. Elle avait un véritable côté garçon manqué, et la guérisseuse, qui avait pourtant eu plein d’idées à lui dire il y a encore quelques minutes, sentit toute son inspiration s’envoler. Que lui dire qu’elle accepterait d’entendre ? La jeune femme lui indiqua qu’elle savait se défendre, et Shunya en sourit alors, rebondissant là-dessus :

« Ça, je l’avais remarqué, je te rassure ! »

Shunya se pinça ensuite les lèvres. Elle avait appris les grandes lignes du passé de la famille de Miyubi par le biais de sa femme. Les kitsunes avaient été à la base des esclaves, qui avaient été sauvées par les Celkhanes, et envoyées ici, à Edoras, un État beaucoup plus tolérant à l’égard des Terranides, pratiquant une politique proche de l’abolitionnisme. Shunya pouvait choisir de pratiquer la langue de bois, de raconter à Nozomi des discours tout faits, mais elle savait que celle-ci ne la croirait pas. Et elle tenait à laisser une bonne impression à cette jeune Terranide, cette rebelle.

C’est pourquoi, après quelques secondes supplémentaires d’hésitation, Shunya se lança :

« Quelque chose me dit que tu n’es pas faite pour vivre dans un temple. Tu es... Un peu trop énergique pour ça. Et... Je suppose que le kami ne le répétera à personne, mais... Je sais qu’Edoras entretient des liens avec Caelestis. Nous ne faisons pas que recevoir des esclaves en fuite pour leur offrir un toit et de la nourriture, tu sais. Nous soutenons les efforts celkhans, mais... On ne peut pas le faire de manière officielle sans risquer des incidents diplomatiques. Malheureusement, l’esclavage représente un intérêt financier trop important pour bien des États, ce que je regrette autant que toi... »

Shunya avait toujours été une jeune femme humaniste. Ses parents l’avaient éduqué ainsi, afin qu’elle n’ait pas de préjugés sur les autres, que ce soit en raison de leur race, leur couleur de peau, ou encore leur sexe. Edoras n’était pas un élève totalement parfait là-dessus, mais, tout comme elle, Hinata partageait ce goût de l’égalité et de la dignité.

« Bref, tu dois savoir que mon intention n’a jamais été de te blesser en venant ici, Nozomi. Nous sommes venues chercher la bénédiction de ta famille, et nous l’avons obtenu... Alors, je ne sais pas... Je te dis juste que, si tu veux faire autre chose que garder ce temple, il y a toujours des possibilités. »

Peut-être bien que c’était ça que Nozomi ressentait... De la frustration à l’idée de ne pouvoir rien faire de vraiment utile, selon elle. Shunya lui proposait donc une alternative, et elle attendait maintenant de voir comment la jeune femme allait y réagir.

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Territoire de Tekhos / Re : Des kitsunes et un couple royal [PV Shunya Kaguya]
« le: dimanche 09 septembre 2018, 12:32:16 »
La situation venait de se tendre après la crise de Nozomi. Shunya, toutefois, ne lui en voulait pas spécialement. Elle savait la condition de vie des Terranides sur Terra, et, même si Edoras se voulait plus progressiste là-dessus, beaucoup de Terranides souffraient encore de discrimination et de racisme. Il n’y avait pas de situation parfaite, et Shunya voulait évidemment améliorer les choses. La jeune guérisseuse avait la chance unique d’être la femme de la Reine d’Edoras, et donc d’avoir son mot à dire, même si, officiellement, elle n’avait aucun pouvoir. Elle voulait lutter contre le sexisme, contre le racisme, contre toutes ces choses qui, à petit feu, tuaient la société.

Kanna lui expliqua que Nozomi pouvait être du genre têtue quand elle le voulait, et qu’elle risquait donc surtout de parler à un mur. Shunya sourit doucement en retour, et hocha la tête :

« J’ai vu ça... Mais je m’en voudrais de partir en sachant que j’ai pu lui faire de la peine. »

Avant de filer à sa recherche, Shunya embrassa Hinata, qui lui indiqua qu’elle préférait rester ici. Shunya salua ensuite Kanna, puis sortit. Miyubi cherchait aussi Nozoé, mais sans l’avoir trouvé. Vu son tempérament fougueux, Shunya se dit rapidement que la jeune femme devait avoir filé du sanctuaire, et se rendit à l’arrière. Elle passa à côté de l’onsen, pour voir une petite forêt. Il commençait à faire nuit, et elle se rapprocha de la cime des arbres, frissonnant en sentant des courants d’air. Ses bras se resserrèrent autour de son yukata, et elle attrapa une petite lanterne avec une lampe à huile pour avancer dans la forêt, puis aperçut ensuite un petit sentier qui serpentait à travers la forêt, et qu’elle se mit à emprunter.

« Nozomi ! Nozomi !! Je sais que tu es par là ! »

Elle n’en savait rien, mais elle ne voyait aucun autre endroit où Nozomi aurait pu se rendre.  Elle l’appela donc encore, tout en continuant sa marche, jusqu’à rejoindre une série de marches, qui menaient à un autel. Des bougies étaient allumées là, et elle se tut en s’en approchant. Il y avait un petit torii à l’entrée, signe que l’endroit était important. Shunya traversa la porte pour rejoindre le sanctuaire, et regarda autour d’elle, avant d’observer l’autel.

*Qu’est-ce qu’il peut bien représenter ?*

Le vent fit encore voler ses cheveux, et elle frissonna encore... Sans toujours avoir une seule trace de Nozomi.

Shunya était ainsi prête à rentrer voir sa femme, sauf à ce que Nozomi décide finalement de se manifester...

6
Le repas se poursuivait paisiblement, les kitsunes leur assurant qu’elles pourraient revenir, et Hinata, en toute innocence, leur proposa de venir au Temple de la Lune. Shunya était alors heureuse de voir que tout se passait bien. Le Temple de la Lune intriguait Kozué, qui demanda à Hinata s’il était grand, ce qui fit doucement sourire la guérisseuse.

*Tu n’as pas idée, ma pauvre...*

Le Temple de la Lune était si grand que Shunya continuait encore régulièrement à s’y perdre, demandant fréquemment son chemin aux serviteurs du palais. Alors qu’elle y songeait rêveusement,  Nozomi s’énerva soudain, et Shunya cligna des yeux, surprise. Elle n’eut même pas le temps de lui répondre que la kitsune fila. Les autres s’excusèrent en leur expliquant que Nozomi était une forte tête, une femme qui avait vu des choses assez insoutenables, et en avait été marquée. Shunya hocha doucement la tête, croisant brièvement le regard d’Hinata, et renchérit dans le sens de sa femme :

« Il n’y a aucun problème, je... Je la comprends. »

Tout un chacun savait que les Terranides avaient une vie assez difficile sur Terra. Ils étaient vus comme des êtres inférieurs, réduits en esclavage, asservis, et souffraient régulièrement. Shunya connaissait les abus dont ils étaient victimes, et elle ne pouvait donc en vouloir à Nozomi.

« Laissons-là pour le moment, Hinata, mais... J’aimerais vraiment pouvoir m’entretenir avec Nozomi, si vous le permettez, Miyubi. »

Hinata devait savoir, maintenant, que Shunya avait le cœur sur la main. Et, si elle pouvait aider Nozomi à surmonter sa peur des hommes, c’était bien le moins qu’elle pouvait faire pour remercier Miyubi et sa délicieuse famille.

7
L’eau chaude de l’onsen leur fit du bien, et, ensuite, elles sortirent. Shunya et Hinata se nettoyèrent ensemble, évitant toutefois de trop se frotter. Il suffisait d’un rien pour que les deux femmes couchent ensemble, et, avec leurs corps trempés et nus, l’incitation était déjà forte. La guérisseuse enfila ensuite un élégant yukata, Nora venant les aider. L’Ange était l’une des rares personnes autorisées à partager leur intimité. Shunya lui faisait une confiance aveugle, et Nora les aida donc à se coiffer, avant de leur dire qu’un repas familial allait avoir lieu avec les prêtresses. Main dans la main, Shunya et Hinata se rendirent donc dans un agréable salon, avec une table basse, où des bols de riz et de viande avait été posés, avec des hashi, des baguettes qu’on utilisait pour manger. Shunya se mit en position, et sourit en voyant la famille. Évidemment, Hinata pensait surtout à la plus jeune, Kozué, et ne tarda pas à se lancer avec elle dans une tractation de nourriture, lui donnant un peu de son bol.

Shunya, quant à elle, se demandait si elle était maintenant enceinte ou pas. Il était effectivement bien trop tôt pour le dire, mais elle avait la conviction que cette fois-ci avait été la bonne.

*Enfin, je le saurais bientôt...*

Shunya comptait bien utiliser un test de grossesse pour s’en assurer. D’une manière ou d’une autre, elle comptait tomber enceinte le plus rapidement possible.

« En tout cas, je vous remercie beaucoup pour votre hospitalité, Mesdames... Je pense que je peux parler en notre nom à nous deux, fit-elle en regardant Hinata pendant quelques secondes, mais j’ai vraiment adoré ce séjour, et je serais ravie, à l’avenir, si je pouvais y revenir... En compagnie de ma femme, bien entendu. »

Il lui semblait plutôt nécessaire d’obtenir l’aval des prêtresses. Un temple n’était pas une auberge qu’on pouvait se permettre de venir voir tout le temps, même de la part de la Reine d’Edoras et de sa femme ! La prudence s’imposait donc, et, à défaut, au moins le respect.

Elles étaient tout de même dans un temple !

8
Shunya et Hinata, après leur folle journée, allèrent se reposer à l’onsen du temple. C’était l’une des spécialités d’Edoras. Le pays étant étalé sur un mélange de montagnes et de plaines, il y avait beaucoup de sources d’eau chaude qui avaient été arrangés pour permettre de les utiliser. Shunya aimait toujours s’y rendre. C’était apaisant, et un léger vent de frais venait généralement la rafraîchir pendant que l’eau la maintenait au chaud, très précisément comme en ce moment. Elle observait le ciel se recouvrir de teintes orangées. Elles avaient passé la journée ici, et, le plus impressionnant, c’est que Shunya ne se sentait même pas coupable d’avoir partagé sa couche avec des kitsunes, d’avoir couché avec sa femme devant ses femmes. Au contraire, elle s’en sentait soulagée. À la voir ainsi, on ne pouvait que constater combien Shunya s’était épanouie. Elle, si timide et si nerveuse il y a encore quelques mois, était un délicat bourgeon qui prenait son envol en compagnie de sa femme. Hinata avait su révéler le meilleur en elle, et Shunya ne pourrait jamais suffisamment la remercier ou l’aimer pour ça.

Elles s’embrassèrent encore, et la guérisseuse sourit doucement devant son amante. Là encore, de tels propos auraient fait rougir de honte Shunya il y a quelques mois, qui aurait été incapable d’aligner deux mots. Mais là, elle se contenta de sourire, et, juste avant d’embrasser à nouveau sa femme, lui répondit rapidement :

« C’est un très beau programme, ça... Je ne peux que le valider ! »

Shunya l’embrassa à nouveau, et elles s’embrassèrent même assez longuement. De fait, Shunya comptait bien aussi faire participer Nora. Avec le temps, elle s’était plutôt bien rapprochée de l’Ange. Nora était une Ange talentueuse, qui en profitait pour aider Shunya à contrôler davantage ses pouvoirs, essayant aussi de comprendre à quoi servait le tatouage magique que Shunya avait dans son dos, ce papillon violet qui suscitait bien des interrogations.

La guérisseuse en était presque à vouloir faire l’amour avec Hinata dans l’onsen lorsqu’une kitsune vint les interrompre, leur expliquant qu’elles étaient conviées au repas de ce soir. Pour le coup, la rougeur de Shunya revient à l’idée d’avoir été surprise, et elle se glissa dans le dos de sa femme, mains timidement posées sur ses épaules, jetant des œillades vers la kitsune. Celle-ci leur confirma donc qu’elles étaient attendues, et que les repas étaient prêts.

« Oh... » commenta Shunya.

Elle cligna des yeux à plusieurs reprises, avant de rajouter, en complément de ce que sa femme venait de dire :

« Remercie Miyubi, c’est... C’est très gentil à elle ! »

Les deux femmes restèrent ensuite seules avec Nora, et Shunya sourit doucement à sa femme, déposant un baiser dans le creux de son cou.

« Tu sais, ma chérie, on ne pourra pas rester dans ce sanctuaire éternellement... J’espère presque ne pas être tombée enceinte hier, car ça nous permettrait de passer une autre soirée ici. »

Et, après tout, quand il y avait de si charmantes kitsunes, il était tentant de rester sur place, non ? Shunya embrassa en tout cas encore sa femme, très heureuse d’être ici, en sa compagnie. Elle était son amour, son horizon, la femme de sa vie...

9
Shunya et Hinata passèrent une sieste heureuse et reposante. Est-ce qu’Hinata était ensemencée ? Est-ce que son ventre portait les graines de Shunya ? L’idée ne manquait pas d’émoustiller l’intéressée. La jeune guérisseuse s'endormit ainsi, et elle rêva de sa femme, d’une belle vie ensemble. Elle se vit à Edoras, des années après, entourée par sa famille, par ses enfants, aussi bien des garçons que des filles. Shunya était une grande idéaliste, une femme qui rêvait d’égalité, et qui rêvait de modifier la Constitution pour permettre aux hommes de pouvoir gouverner Edoras. Dans ses rêves, elle aboutissait à cet idéal, et Edoras devenait alors un État moderne, avec un rayonnement culturel comparable à celui de Nexus. La nation tolérait alors les Terranides, et avait voté des lois abolitionnistes et égalitaristes, luttant contre toute forme de discrimination étatique. De doux rêves, heureux, témoignant de l’immense bonté d’âme de la jeune femme.

Elle se réveilla ensuite, et sourit en sentant qu’une passagère clandestine les avait rejoint. Il était fréquent que Chikaku vienne dormir avec Shunya, alors elle n’était pas particulièrement surprise. Shunya n’avait jamais vraiment compris pourquoi Chikaku aimait ça. Quand elle le lui demandait, Chikaku lui expliquait que c’était l’aura de Shunya qui l’attirait. De manière plus étrange, elle disait que les rêves de Shunya chassaient ses cauchemars, l’emmenant sur un étrange sentier fait de gloussements, de chansons, de rires enfantins, sur la carapace d’une tortue. Les rêves n’étaient pas forcément logiques, et Shunya s’était toujours dit que c’est parce qu’elle était sa grande sœur. Quand Hinata avait proposé que la famille de Shunya vienne loger au Temple de la Lune, Shunya avait prévenu sa femme que Chikaku viendrait la nuit, mais ça n’avait jamais dérangé Hinata, bien au contraire. Quand les deux femmes se réveillaient au matin en sentant le petit corps de Chikaku entre elles, Hinata était toujours heureuse.

Mais là, Kozué était quand même plus petite que Chikaku. Elle s’était logée entre elles, et Shunya sourit doucement, avant de voir Hinata la prendre dans ses bras.

« Évidemment que nos enfants seront magnifiques, Hinata... Ce seront les nôtres ! »

À quoi d’autre pouvait-on s’attendre ? Hinata était en train de revivre avec la perspective d’avoir une multitude d’enfants. Toutefois, Miyubi ne tarda pas à arriver, afin de récupérer sa fille. Bien évidemment, les deux femmes la laissèrent faire, et en profitèrent pour s’éclipser doucement. C’était l’aube à Edoras, et Shunya enfila  un yukata. Le temple de Miyubi comprenait en effet un onsen, et, comme Shunya n’avait pas spécialement faim, elle proposa à Hinata de s’y rendre, afin de profiter du coucher de soleil depuis cette position.

Le duo, en compagnie de Nora, rejoignit donc l’onsen, et Shunya se retourna vers Nora.

« Tu peux venir avec nous, Nora, tu sais... »

Le choix lui appartenait. Quoi qu’il en soit, Shunya se déshabilla dans les vestiaires, puis rejoignit la source chaude. Il n’y avait personne ici, et elle s’allongea rapidement dans l’eau, frissonnant au contact de l’eau chaude sur son corps. Fermant les yeux, Shunya inspira l’air frais ambiant.

« Je n’avais jamais passé autant de temps dans ce temple, Hinata... Mais j’adore vraiment y être. C’est... C’est particulièrement reposant. Et très agréable aussi. »

Autant dire que Shunya appréciait beaucoup le temps qu’elle passait ici.

10
Shunya pénétrait donc sa femme, s’enfonçant en elle, Miyubi devant supporter le poids de leurs corps en mouvement. La belle kitsune agissait comme une sorte de délicieux coussin, laissant ainsi l’occasion aux deux femmes de pouvoir faire l’amour avec envie et avec énergie. Le corps d’Hinata était, comme toujours, très agréable. Shunya lui faisait l’amour avec envie, sans relâche, et elle aurait bien aimé que cette séance dure éternellement, mais... Son corps commençait à atteindre ses limites, sa résistance devenait de plus en plus faible.  Elle n’arrivait plus à se retenir, et embrassa encore sa femme, crispant son corps au sien. Sa queue devenait de plus en plus douloureuse, de plus en plus lourde, de plus en plus impatiente, et... En couinant, Shunya se pinça les lèvres, et se relâcha dans le corps de la femme, dans un profond frisson.

« Haaaaaaaaaa... !! »

Elle cessa même de gémir, tant le plaisir sembla ensuite la traverser, et ferma les yeux. Le sperme jaillit de son corps, venant se perdre dans le corps d’Hinata, avec la promesse de réussir à féconder ses ovaires, une armée de spermatozoïdes partant vaillamment à l’assaut. Réussiraient-ils leur mission ? Impossible à dire, et Shunya s’affaissa mollement contre le corps de la femme. Elle était en sueur, et se lova contre le corps chaud et doux de la femme. Miyubi s’écarta alors, au bout de quelques instants, et, par ses gestes, leur fit comprendre qu’elles devaient se reposer. Les deux femmes étaient encore enlacées l’une contre l’autre, et, si Shunya aurait pu protester, le fait est qu’elle, sentait clairement le contrecoup de toute cette séance de débauche : son corps rassasié se frottait contre le corps d’Hinata, infiniment doux et tendre. Dans ces conditions, il était difficile, pour Shunya, de rester encore éveillée.

La femme hocha donc doucement la tête, et répondit à Miyubi avant son départ, en lançant la seule chose qu’elle pouvait intelligemment réussir à sortir, compte tenu du contexte et de tout ce que Miyubi avait réussi à faire pour elles :

« Me... Merci, Miyubi. »

Shunya se lova ensuite contre le corps d’Hinata, et caressa le ventre de sa femme, souriant à cette dernière.

« Je ne sais pas, mais, si ça n’a pas marché, ce n’est pas grave... Je te referais l’amour jusqu’à ce que ça marche, c’est une bonne excuse... »

Ceci dit, Shunya avait aussi envie qu’Hinata tombe enceinte. Il n’y avait néanmoins aucun obstacle biologique, car les examens gynécologiques qu’Hinata avait passé à Tekhos indiquaient tous qu’elle était féconde, et qu’elle pouvait enfanter. Il ne fallait donc que de l’effort, car les femmes hermaphrodites ne mettaient pas aussi facilement enceinte leurs partenaires féminins que les hommes. Shunya embrassa donc tendrement Hinata.

« Je ne sais pas si je te l’ai dit suffisamment de fois aujourd’hui, Hinata, mais je t’aime toujours autant... Et Miyubi est vraiment une hôte fascinante. Si elle s’y met aussi, tu ne pourras que porter notre bébé ! »

De ça, Shunya n’avait tout simplement aucun doute. Aucun !

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Le délicieux lait afflua dans la gorge de Shunya, qui le but sans hésitation. Elle raffolait même de ce liquide, et, tandis qu’elle le faisait, de multiples frissons traversaient son corps, sa peau devenue soudain bien plus sensible. Était-ce une conséquence du lait ? Ou juste que la scène l’excitait ? Et puis, de toute manière, Hinata ne faisait vraiment rien pour arranger les choses ! Sa femme profitait en effet de la situation pour peloter sans ménagement son amante, titillant ses fesses, ses doigts glissant près de sa croupe, ce qui ne manquait pas de faire rougir ou gémir Shunya. Elle-même avait une main posée sur le dos d’Hinata, et tendait à se montrer aussi entreprenante qu’elle. L’époque de la jeune Shunya timide, incapable d’aligner un mot devant l’autre, semblait être bine révolue. Nerveuse, elle pouvait toujours l’être, mais, à travers le sexe, elle avait tendance à se réveiller. La preuve ! Elle portait une verge ! Un magnifique phallus qui se dressait lentement, son érection se réveillant au fur et à mesure qu’elle buvait du lait.

*Mais c’est si bon...*

Elle se faisait l’effet d’un grand enfant venant téter le lait de sa mère. Mais Miyubi aimait ça aussi, il suffisait de voir al manière dont elle serrait ses doigts sur leurs cheveux. Néanmoins, au bout d’un moment, la kitsune les écarta. Shunya fit claquer sa langue dans le vide, les joues rougies, commençant à avoir très mal entre les cuisses. En effet, sa queue s’était bien durcie et redressée, et, pour ne rien arranger, Miyubi s’amusa à la caresser des doigts.

« Hnnn... »

Shunya se mordilla doucement les lèvres, puis se retourna vers Hinata. Était-il nécessaire de dire quoi que ce soit pour comprendre ce que la belle guérisseuse avait en tête ? Miyubi, bien consciente de la suite, se déplaça alors, et s’installa sur le lit, derrière Hinata, et l’incita à s’allonger sur elle, réunissant autour d’elle des coussins. Devant les deux femmes, Shunya se pinça doucement les lèvres, et, en voyant les douces mains poilues de Miyubi glisser sur le corps de son aimée, sentit encore des élancements supplémentaires à hauteur de son sexe, et se pinça les lèvres.

Miyubi écarta ensuite les lèvres intimes de sa femme, montrant à Shunya combien la Reine d’Edoras était excitée. Shunya rougit alors, sentant une forte excitation la traverser. Elle était bien là, face à sa femme, la puissante Reine d’Edoras, en train de participer à l’Histoire. Shunya était autant flattée qu’excitée, puis Hinata lui donna ses ordres. Shunya sourit alors, et rejoignit sans hésitation les deux femmes. Ses lèvres se posèrent sur la bouche d’Hinata, dans un baiser tendre er gourmand, sa langue filant dans sa bouche, jouant avec la sienne... Et, pendant ce temps, elle enfonça sa queue dans la chatte de sa femme, et frémit. Une vague de plaisir la traversa alors, la frustration éclatant dans tout son corps, et Shunya rompit le baiser, gémissant contre le corps de sa femme, continuant ses coups de reins.

« Hi-Hinata, haaa... Hmmmm... !! »

Gémissant longuement, Shunya continua à la prendre, énergiquement. Hum, que c’était bon ! Difficile de dire si cette fois serait la bonne, mais, dans tous les cas, Shunya allait adorer lui faire l’amour ! Surtout que leurs corps frottaient et reposaient sur celui de Miyubi, ce qui ne faisait que rendre la scène encore plus excitante !

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Shunya se reposa contre le corps de sa bien-aimée. Après cette séance intense, le corps de la guérisseuse était en feu, et elle se sentait surtout très soulagée, heureuse, comme libérée d’un lourd poids qui aurait pesé sur ses épaules. Là, allongée contre le corps chaud et bouillonnant de sa femme, l’Edorassienne se détendait. Elle se relâchait, reprenant peu à peu son souffle, et serait bien restée à dormir là... Quand Miyubi revint les voir. Sa présence arracha Shunya de ce début de fatigue qui commençait à s’emparer d’elle, une fatigue qui ne faisait qu’exprimer le plaisir qu’elle ressentait, un plaisir immense, tellement grand, qu’il s’accompagnait d’une sorte de félicité intérieure. Shunya se retourna lentement en voyant Miyubi, et lui sourit doucement.

La belle kitsune congédia Kanna, et leur présenta rapidement ses généreux seins, faisant comprendre, par des gestes explicites, ce qu’elle voulait. Interloquée, Hinata s’enquit auprès de sa femme, soucieuse de savoir si cette idée la tentait. Shunya resta silencieuse pendant quelques secondes, avant de sourire légèrement.

« Ma foi... Nous aurions tort de nous priver, j’ai justement une petite soif... »

Une soif qui ne demandait qu’à être épanchée, ce qui conduisit naturellement Shunya à se redresser, et à se rapprocher d’elle. Miyubi leur présentait ses généreux mamelons, et, se hissant sur les genoux, Shunya entreprit d’en prendre un dans sa bouche. Yeux clos, elle apposa ses lèvres sur ce sein, et commença doucement à le pomper, sentant en retour le corps de la Matriarche kitsune frissonner. Le lait fila rapidement, et Shunya frémit à son tour, surprise... Mais relativement excitée, puisqu’elle continua à pomper, ses mains posées sur le corps de Miyubi.

Et, alors que le lait filait en elle, se déversant dans sa gorge, sa main gauche se déplaça, et alla caresser le corps d’Hinata, glissant sur son dos, grattant l’emplacement de sa colonne vertébrale. Toute concentrée, elle laissait le délicieux liquide maternel filer entre ses lèvres, en rougissant légèrement. Même si ce lait n’était pas aphrodisiaque, la potentialité érotique de la scène était telle que la jeune guérisseuse sentait une énergie nouvelle s’insinuer en elle, un long frisson qui la fit trembler, redressant le chibre qu’on lui avait mis. Elle esquissa un long soupir de plaisir, yeux clos, et continua à pomper le mamelon de la femme.

« Hmmmm.... !! »

C’était bon, c’était si bon... Shunya était clairement en train de se régaler !

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Territoire de Tekhos / Re : Des kitsunes et un couple royal [PV Shunya Kaguya]
« le: dimanche 21 janvier 2018, 02:09:42 »
Shunya et Hinata repartirent ensemble dans un nouveau rodéo endiablé, la danse effrénée et frénétique de leurs deux corps à l’unisson, la chair claquant contre la chair. Couinant et gémissant, la salive coulant de ses lèvres, serrant parfois les dents, elle crispait ses mains sur les hanches de sa femme, tout en la sodomisant. Sa queue partait dans le cul serré d’Hinata, remuant lentement et douloureusement en elle. Gémissant longuement, Shunya nota à peine le départ des deux kitsunes, tant elle était focalisée sur sa femme, sur le plaisir qu’elle lui prodiguait, et sur le plaisir qu’elle recevait en retour. C’était une saine et délicieuse osmose, en réalité, et le corps de Shunya s’enfonçait avec joie dans celui de sa femme, s’harmonisant à la perfection.

« Hoooo... Ma chérie, haaaaa... !! »

Qui aurait cru, en réalité, que Shunya puisse se montrer autant excitée par le sexe ? Et pourtant... Elle portait maintenant une belle verge, un appareil bien membré, et s’enfonçait avec cet organe dans le corps chaud de sa dulcinée, dans ses fesses étroites, forçant douloureusement le passage, grognant et gémissant au passage. La sodomie était un sport sexuel très délicat, très intense. Shunya le savait, vu que sa femme était déjà passée par sa porte arrière, mais c’était aussi vrai dans l’autre sens. Elle, qui n’était pas du tout habituée à avoir un tel appareil entre les jambes, apprenait à s’en servir au mieux, en soupirant et en grognant longuement. Serrant ses lèvres, la guérisseuse couinait encore, crispant ses doigts, surtout quand elle sentit Hinata, au-delà de ses cris et de ses soupirs, se mettre à accompagner ses mouvements, remuant pour cela ses fesses.

Shunya ferma les yeux pendant quelques instants, gémissant longuement, puis reprit ses bourrades, grognant et geignant. Sa main se releva alors, et s’abattit brusquement. Elle avait mal, mal au sexe, tant l’espace était étroit, et elle évacua cette douleur du mieux qu’elle le pouvait, giflant pour cela le beau corps de sa femme.

« Ma chérie, haaaa... Tu... Hmmm... Tu as v-vraiment... Haaaa... Un cul ma-Magique, hmmm... !! Je t’aime, haaaaa... !! Haaaaaaaaa... !! »

La jeune femme continuait donc à la prendre, accélérant et amplifiant le rythme, le durcissant au fur et à mesure, pinçant ses lèvres, gémissant encore, le plaisir se déversant en elle... Jusqu’à lui faire atteindre, dans des séries de nouveaux hurlements, la jouissance tant attendue !

« Hmmmmmmmmmmmm... !! »

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Shunya pouvait désormais constater que les rumeurs sur l’énergie sexuelle des kitsunes étaient fondées. De manière générale, on disait que les Terranides étaient de bons amants, mais on ne tarissait pas d’éloges, à Edoras, sur les kitsunes. Shunya n’y avait jamais vraiment porté attention, mais, maintenant qu’elle y était… Elle se rappelait ce que Tsukasa leur avait dit quand elles avaient annoncé leur intention de bénir leurs enfants auprès du kami du temple. Elle les avait regardés en souriant, et leur avait souhaité de bien s’amuser, avec cette petite lueur énigmatique que Shunya commençait à bien connaître chez elle. De fait, la guérisseuse était sûre que Tsukasa avait dû passer beaucoup de temps avec Miyubi Inari et ses filles, puisqu’elle avait une fois été chargée de la protection du sanctuaire, quand des monstres avaient été signalés à proximité du temple.

En tout cas, Shunya devait bien admettre qu’il était très excitant de voir la mère et sa fille s’embrasser. Elle en salivait sur place. Le caractère incestueux de la scène, étrangement, ne faisait que l’exciter davantage. Sa queue en restait bien dure, se nichant dans le cul de Miyubi. Shunya soupirait, et retournait régulièrement s’enfoncer profondément en elle, posant ses mains sur les seins de Miyubi, pinçant fortement les tétons, en appui. Qui aurait cru que la jeune et timide Shunya puisse se retrouver un jour comme ça ? Et, plus elle faisait l’amour, et plus elle y prenait goût, se dévergondant petit à petit. Qui sait ce que, à terme, tout cela donnerait ? Mais, le pire, c’est que Shunya n’était nullement effrayée par ça ! Au contraire, elle en ressentait une furieuse excitation ! Sous elle, elle sentait le doux corps d’Hinata, et, quand les mains de sa femme palpèrent ses fesses, Shunya frémit, en sentant une vague de plaisir incandescent la traverser.

« Haaaaa.. !! »

Elle lécha le cou de Miyubi, le mordillant même un peu, tout en continuant à se dandiner sur place. Sa queue se perdait très bien dans le cul agréable de Miyubi, remuant dans ses entrailles. Le plaisir croissait, encore, jusqu’à ce qu’elle le sente atteindre le point culminant. La guérisseuse ferma alors les yeux, et se pinça les lèvres, puis gémit longuement, avant de jouir généreusement en elle. Miyubi, elle, avait déjà joui sur le visage de sa femme, et les deux kitsunes se retirèrent ensuite. À califourchon sur le corps d’Hinata, Shunya, en sueur, sourit légèrement en regardant sa femme, et caressa ses épaules.

« Hinata, mon amour… »

Shunya parlait d’une voix assez faible, éreintée par l’effort, mais le désir était toujours là, brillant dans ses yeux. Kanna et Miyubi continuèrent à jouer entre elles. Kanna s’était d’ailleurs rapprochée de Shunya, qui réussit à l’embrasser, sa queue venant se redresser légèrement pour filer entre les cuisses de Kanna, sans pour autant la pénétrer. Les doigts de Miyubi, experts en la matière, poussèrent sa fille jusqu’à l’orgasme, et Shunya frémit en sentant sa queue se recouvrir d’un liquide onctueux. Elle baissa les yeux, venant une fine texture translucide recouvrir son membre, et se pinça les lèvres, une lueur émerveillée dans les yeux.

Hinata se redressa alors, et approcha ses lèvres de son sexe. Fermant les yeux, Shunya la laissa faire, pendant qu’Hinata demanda à Shunya de la prendre ensuite « de toutes ses forces ». En entendant cela, Shunya frémit, et le sceau magique situé dans son dos se mit à luire… D’une couleur rouge. Quand elle rouvrit les yeux, Miyubi et Kanna purent voir, pendant quelques instants, ses pupilles se teinter de rouge, avant de reprendre une couleur violette.

La main de Shunya se posa alors fermement sur ses cheveux, et elle sourit malicieusement :

« Oh, ma chérie, je vais tellement te baiser, oui… »

En sentant la langue et les lèvres d’Hinata sur son sexe, Shunya eut un frisson. Son sexe masculin ne manqua pas de se redresser, le membre érectile se dressant impatiemment.

« Mmmhmm… !! »

Shunya sourit encore, et se redressa finalement.

« Mets-toi à quatre pattes, Hinata… »

Elle laissa sa femme se mettre en position, et malaxa ensuite ses fesses, avant de se mordre les lèvres, frottant sa queue contre sa croupe, la faisant passer entre ses fesses, en écartant ces dernières avec ses pouces, ce qui lui permit ainsi de se faire un accès.

« Je vais te défoncer le cul, mon amour… Et toi, tu vas hurler et aboyer comme une chienne ! »

Si seulement quelqu’un avait eu la présence d’esprit de la filmer en ce moment, Tsukasa aurait sûrement vendu tout son patrimoine pour pouvoir mettre la main sur cette vidéo ! Shunya soupira légèrement, puis approcha sa queue du fondement d’Hinata, du petit trou rose de sa femme… Et s’y glissa, tout en gémissant et en se pinçant les lèvres, entamant ainsi sa sodomie.

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Territoire de Tekhos / Re : Des kitsunes et un couple royal [PV Shunya Kaguya]
« le: lundi 25 décembre 2017, 16:10:56 »
Qui aurait cru que les prêtresses puissent être aussi perverses ? Shunya, en d’autres circonstances, en aurait été profondément choquée ! Que les prêtresses puissent être des Terranides était déjà, en soi, un exploit, et la preuve du poids des traditions à Edoras. La religion avait une importance fondamentale, tant les Edorassiens étaient superstitieux, et ils avaient depuis longtemps manifesté leur hostilité à l’égard de l’esclavage. De fait, la mère d’Hinata, Aoki Kaguya, avait été l’un des premières souveraines du monde à soutenir publiquement le projet de réforme nexusien de l’esclavage. Et, même maintenant, Shunya savait combien sa femme y était hostile... Ce qui était aussi son cas. En soi, elle n’était donc pas choquée de voir des Terranides diriger un temple... Mais était confuse, oui, devant leur perversité. Le sexe incestueux ne les dérangeait pas, et, tandis que Shunya restait lovée contre le corps de sa femme, elle se redressa quand Kanna, se faisant la porte-paroles de Miyubi, exprima le souhait de sa mère de finir ce qu’elle avait commencé.

Jadis, Shunya aurait été confuse devant la proposition d’Hinata, qui lui demandait si elle était d’accord pour poursuivre. Mais, au lieu de ça, les joues certes empourprées, Shunya répondit en souriant légèrement :

« Ma foi, j’en serais ravie... »

Elle se pinça les lèvres, rougissant un peu plus en se pinçant les lèvres. Miyubi se rapprocha alors, et s’assit de nouveau sur le visage de sa femme, qui se mit à soupirer, avant de recommencer sa succion. Miyubi était vraiment belle, et Shunya sur le côté, les observait, avant de frissonner en sentant Kanna se lover dans son dos. Curieusement, Shunya aurait dû être fatiguée, ou accuser le coup, mais elle se sentait encore pleine d’énergie. Et, quand Kanna commença à l’embrasser, son sceau rose se remit à fonctionner. Shunya soupira légèrement, et frémit encore en sentant la main de Kanna venir la masturber, cette dernière l’incitant à laisser parler son imagination, tout en lui disant que sa queue ne servait pas qu’à se reproduire.

Shunya sourit, et se retourna vers Kanna. Sa main partit à l’arrière, et caressa la joue de la femme, puis elle alla tendrement l’embrasser. Un baiser tendre, mais non moins chargé d’envie et de désir, la langue de Shunya partant en effet se faufiler dans la bouche de la femme. La jeune guérisseuse maintint le contact, se frottant au corps de la femme, tout en soupirant longuement, tandis que la main de Kanna se crispait sur son sexe, la masturbant de plus en plus énergiquement, provoquant dans le corps de Shunya une série de multiples frissons.

La guérisseuse se retourna ensuite vers Miyubi et Hinata. Même si la Matriarche terranide ne soufflait mot, il suffisait de voir son visage, ses poils hérissés, le plaisir sur son corps, pour constater qu’elle était très excitée par tout ce qui se passait.

« Je... »

Shunya, un peu honteuse, se pinça les lèvres, mais sa queue était bien trop raide pour qu’elle reste calme. Elle se rapprocha alors de Miyubi, et se glissa dans son dos, posant rapidement ses mains sur ses seins. Son corps se posa également sur celui d’Hinata, et sa queue frotta les seins de sa femme. Toutefois, c’était toute autre chose que Shunya visait.

« Laisse-moi te faire plaisir, Miyubi... »

La queue de Shunya heurta la porte arrière de la Terranide. Est-ce qu’elle allait vraiment le faire ? Franchir le pas ?

La réponse vint d’elle-même... Quand le bout de la queue de Shunya tapa contre le fondement de la femme. Dans un grand soupir, Shunya se pinça les lèvres, et la pénétra donc.

« Hmmmm... !! »

Ses mains pincèrent les tétons de Miyubi, s’appuyant fermement dessus, et elle continua ses coups de reins, venant sodomiser la magnifique femme...

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