Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Charis

Pages: [1] 2 3
1
Charis se mit à écouter la réponse de sa tortionnaire, la chevalière continuait de trembler de peur, ses mains tremblantes, les larmes continuant de chercher une issue de secoure, s'infiltrant où elles pouvaient passer. La prisonnière se mit à frémir en entendant que cette dernière arpentait le chemin de la perversion, ne pouvant contredire par crainte d'être sanctionner, elle resta prostrée au sol serrant, avec une certaine forme de violence, ses mains. Lors de son nettoyage ses ongles avaient été coupé comme il faut, cette initiative évita à Charis de se blesser, les phalanges blanchissant sous la pression qu'elle exerçait sur ses doigts. Elle sentit deux formes s'approcher de son corps et la soulever, mettant cette dernière dans une posture similaire aux crucifiés, seulement ce ne fut pas une lance qui transperça son cœur, mais des lèvres saupoudrées par le fruit de la tentation qui caressa les siennes, comme pour fusionner leurs empreintes.

La chevalière n'offrit aucune résistance quand la dragonne vint à retirer ce qui cachait ses yeux, laissant voir une sublime trace rouge là où la matière avait étouffé la peau. Elle ne réagit pas plus quand Ishtar  mit la cagoule. Charis n’aimait pas vraiment la matière, mais ne s'en plaignait pas, à présent qu'elle ne possédait plus aucun droit sur sa personne, elle se devait de s'adapter pour éviter de retourner sur le mur des cochons. Cependant on voyait bien une légère peur à l'instant où la cagoule passa sur ses yeux, les paupière tressaillant légèrement, la chevalière eut un instant d'hésitation entre garder ses yeux ouvert et les ouvrir, sachant pertinemment que toute trace de luminosité allait l'éblouir. Charis fut troublée de n'avoir que son nez pour respirer, sa bouche étant bloquée par un objet dont elle ignorait l'existence, après tout le sexe n'est pas une matière bien connu chef cette femme droite. La prisonnière put sentir ses cheveux saisit pour en faire une queue de cheval, la cagoule semblant adapté. Sa gorge fut un peu serrer, rendant tout déglutisse ment un peu plus dure, sans parler du bruit distinctif du cadenas. Charis tentait de cacher sa peur, elle avait peur que la dragonne joue avec pour le terroriser davantage. Des pensée négatives se mirent à investir son esprit, Ishtar allait-elle réellement la rendre aveugle ? Allait-elle la transformer en un simple jouet. Charis se rendit vite compte que sous la peur elle avait agit bêtement, elle voulait revenir sur sa parole, ce que l'ancienne Charis n'aurait pas fait sans se châtier.

La chevalière ne put savoir quel genre de vêtement on la forçait à porter, ne connaissant pas vraiment la cérémonie catholique du mariage. Car après tout les légende arthurienne sont pour la plupart d'origine celtique, rien qui ne ressemble vraiment au catholicisme. En effet Merlin l'enchanteur aurait été traité de sorcier sous cette religion idiote. En disant que Charis ne sera plus apte à se marier, la dragonne avait enfoncer une autre dague dans le cœur de la prisonnière. Cette dernière se rendait compte que sa tortionnaire s'amusait avec elle, comme l'on s'amuse à tendre un bout de viande à une clébard sans pour autant le lui donner. Trahir sa patrie faisait mal, mais la peur de savoir ce qu'Ishtar serait capable de la faire la rendit plus apte à accepter d’appartenir à Inferis.

Elle ne se rendit pas compte de ce qui se passait, pensant que le fait de l'agenouiller consistait à cette cérémonie. Mais très vite elle se rendit compte que cette dernière n'était pas normal, son corps réagissait bizarrement, elle se sentait chaude à l'intérieur, sans parler d'idée obscène qui se mirent à apparaître de ci de là pour qu'au final se fut la jouissance de la dragonne qui la fasse comprendre ce qui se passait. Charis pouvait sentir la cyprine couler le long de la cagoule, imbibant son cou, passant sur les extrémité comme entre ses seins. Oui la tenue mettait clairement sa poitrine en évidence les comprimant l'une contre l'autre. C'est ainsi que l'on put voir un petit lac se former entre ses seins, le liquide se déversant sous le vêtement, longeant son corps, créant des sensation déroutante. Elle se sentait bizarre, ayant un frisson visible quand la cyprine se mit à frôler son clitoris ou encore se glisser entre ses fesses. C'était humiliant et pourtant son corps semblait apprécier.  Charis ne comprenait pas,  ou plutôt, ne voulait pas comprendre. Mais plus elle y pensait, plus son corps semblait se réchauffer, déstabilisant encore plus la chevalière, cette dernière se demandait si elle n'était pas corrompus par le Mal, si elle n'avait pas choppé une maladie. Son ignorance créait la peur. Charis sentait un envie naître, mais elle ne pouvait y placer des mots, cela était trop vague, trop … inconnu.

2
Charis se mit presque à retenir sa respiration, sentant les doigts de la dragonne continuer à s'avancer avec sadisme vers le fond de sa gorge. Même la chevalière se surprit à ne plus avoir de réelle nausée quand Ishtar se mit à jouer avec la luette. Les dires de la dragonne eurent tôt fait de faire naître une peur.

La peur qu'Ishtar est raison, qu'elle soit devenue une simple bête de foire.

La servante semblait être assez forte, Charis ne sentait plus vraiment les odeurs, ayant été exposé pendant une semaine à des odeurs fortes. L'air frai la prit aux narine comme si on lui faisait boire par le nez de l'eau sortit d'un réfrigérateur. La servante émit comme un grognement, était-ce une terranide-tigre ou un autre félin puissant ? Elle ne pouvait le dire, mais très vite l'odeur du savon se mit à picoter son nez.

La prisonnière avait la sensation que son ouïe et son odorat était plus sensible qu'avant sa capture. Elle se souvint, fébrilement, que dans des situations extrême le corps s'adaptait, était-ce qui se passait ?

Charis se mit à sursauter au premier contact de l'eau, une douche tiède, cela semblait une éternité que son corps n'avait pas eut le droit de se faire nettoyer. Elle eut le droit de bouger un peu son corps, étirant ses muscles endoloris par l'inactivité, cependant cet étirement fut minime, ne voulant pas se froisser un muscle. Elle eut un autre sursaut en sentant des mains expertes huiler son corps, Charis n'avait jamais mit d'huile sur sa peau, aussi l'expérience fut troublante.

En marchant, elle se rendit compte que sans sa vue le monde semblait différente, elle devait se fier à ses autres sens, ce qui était pour le moins difficile. La prisonnière avait de bons yeux et y avait trop longtemps compté dessus.

Charis pouvait savoir que la salle où elle était entrée appartenait à Ishtar, la même odeur de tabac, sauf qu'ici elle était chaude et fit un peu tousser Cahris, qui n'était pas une fumeuse et se préservait de toute substance nocive pour son corps.

La prisonnière se mit à avoir peur en sentant Ishtar balader ses doigts sur le bandeau.  La dragonne se mit à poser une question qui nécessitait des connaissances que Charis n'avait pas. La remarque sur la dilatation de son anus fut très vite effacé par les cinq minutes de plaidoyer.

Charis ne savait pas trop quoi dire, une simple mauvaise remarque suffirait à la renvoyer au mur. La prisonnière savait d'office qu'une semaine de plus la rendrait folle, elle avait drainé toute ses forces pour ne pas succomber jusqu'à maintenant. Tellement de questions se mirent à transpercer son esprit de toute part.

Fallait-il dire ça ? Ne pas le dire ? Fallait-il la flatter ou plutôt se rabaisser ? On voyait bien que la panique prenait Charis, elle ne savait pas quoi dire, au final ce ne fut pas la raison qui triompha, mais la peur. La peur de perdre ce qui restait d'elle, la peur de finir en simple divertissement dans le mur des cochons.

D'un coups, elle mit sa tête au sol, dans une posture de pleine soumission et elle se mit à sangloter comme une vulgaire gamine.

- Utilisez-moi comme servante ou comme outils, prenez ma vue si vous le désirez, torturez-moi si cela vous plait, mais ne me laisser pas y aller de nouveau. J ... Je ne pourrais pas le supporter.

La prisonnière savait qu'en disant ceci elle perdrait tout droit sur elle-même, mais mieux valait pour Charis de perdre ses droits plutôt que de perdre le peu de santé mentale qu'elle possédait.

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One Shot / Re : Holocauste.
« le: jeudi 01 novembre 2012, 14:33:40 »
Ange ne put pas lutter contre la force de brutasse du chef. L'humaine se mit à frémir de peur, qu'elle conne elle avait été de ce fier à un mec plutôt beau gosse. Entendre le chef la désigner sous le terme "notre pute" ne fit que confirmer sa peur.

La jeune femme se mit à hésiter, devait-elle tenter de mordre son membre au risque d'avoir un arrière goût de sang ou devait-elle au final se laisser faire. Elle se sentait prise au piège, fuir n'aurait servit à rien, ils étaient trop nombreux et elle si frêle. Toute lutte étaient vaine et cela écœurait Ange de l'admettre.

Le chef parla de serment, comme quoi en échange de se faire passer dessus par tout le monde, elle aurait le droit à une vie confortable. Ange ne pouvait pas réellement se réjouir de cette annonce, même si elle savait que sa vie ici ne serait pas d'être attachée à des chaines. En échange de sombrer dans la luxure elle serait une sorte de reine, cela valait sans doute mieux que de mourir.

Au moment du choix elle ne bougea pas d'un poil, l'outil de mort frottant sa nuque comme pour l'inciter à obéir. Ce choix n'en était pas une, une simple mise en scène d'humiliation, rien de plus.

Ange fut surprise de la bestialité que le chef imposa à sa gorge, manquant plus d'une fois de s'étouffer, ayant presque des nausées et en ne parlant pas de la sensation de noyade une fois qu'il libéra sa semence.

Ange se mit à pousser un cris de surprise en se faisant rejeter en arrière, tombant sur le sol  qui raclait son dos, se mettant à tousser pour recracher autant de sperme qu'elle pouvait. Le goût était immonde pour elle, cela agressait tellement, cela semblait si amer, comment pouvait-on apprécier cela.

Le chef donna ses ordres et Ange se mit à trembler de peur, elle avait peur du chef qui n'hésiterait pas une seule seconde à donner l'ordre de la dévirer vivante, elle avait peur de  toute ses bêtes sauvage autour d'elle. Mais au final Ange se savait seule et sans la moindre chance de survie dans cet endroit inconnue où un poulpe semblait attaquer les fuyards.

N'ayant pas le choix, elle se releva, regardant le sol, évitant autant que possible de pleurer, cela n'aurait servit à rien à part énerver le chef. Ange avait conscience qu'aujourd'hui elle perdrait toute virginité de son corps, alors mieux valait essayer de la perdre avec autant de dignité que possible.

Une fois debout, elle se mit à détacher sa cravate, déboutonnant la chemise. L'humaine de mettait en tenue d'Eve, elle ne voulait pas que ses hommes arrachent ses vêtements. Aussi fit-elle un tas, qu'elle déposa près d'un coin. C'était tout ce qui restait de son existence à la surface et elle désirait conserver cela.

Une fois totalement nu, elle se mit à choisir le premier homme. Ange fit son choix en prenant l'homme le moins poilu, elle refusa cependant que celui-ci la touche ou saisisse sa chevelure. Elle voulait tenter une fellation sans que l'on ne lui impose un rythme particulier.
Seulement l'humaine eut très vite un blocage, quoi de plus normal quand précédemment une brute vous a défoncer la gorge.

Ange fit de son mieux pour éviter la colère du chef. Elle grelottait de peur en entendant le pas des autres hommes s'approcher.

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Archives / Re : Kama sutra
« le: dimanche 21 octobre 2012, 22:10:36 »
+1 à Ishtar Naviento, les motifs ?

- Une lecture de ses réponses toujours aussi plaisant.
- Donne envie de se lancer dans des idées saugrenues. (on va voir comme la dragonne réagira en ayant une Charis qui se prend pour sa fille. LOL)
- Un kit que j'aime à chaque fois que je le vois.

5
Charis ne put dire qui la trimbalait, jouait avec son corps, la mit dans une posture des plus inconfortable, cependant son corps ne pouvait qu'être manipulé, n'ayant pas la force de bouger, désirant, plus que l'esprit, un instant pour pouvoir se reposer. Ishtar semblait vouloir s'amuser davantage négligeant la fatigue physique et mentale de l'esclave, élément qui allait produire des effets dont la dragonne ne soupçonnait pas encore l'existence.  Le corps se mit a réagir dès qu'Ishtar se mit à mettre en route l'outil de torture, bien que les mouvements furent moins rapide qu'une personne en pleine santé et aussi en pleine possession de ses moyens, ce qui n'était pas le cas de Charis.

Le temps combinée à la machine eut tôt fait de mettre la prisonnière à rude épreuve. Tout d'abord il y avait la résistance physique, en restant immobilisée de la sorte les muscles se mirent automatiquement à s'adapter, perdant pendant ses sept jours la force que Charis avait acquit en plusieurs dizaines d'année. Cela ayant une incidence sur son poids qui fut plus allégé, plus en accord avec ce que doit être une femme lambda. Mais il ne faut pas oublier que la poitrine est aussi victime de cette perte de poids, cela n'était pas forcément visible, mais Charis avait perdu légèrement de sa poitrine. Le corps s'adaptait selon les conditions où il était soumis.
L'apport en eau fut suffisant, même si la prisonnière avait tout le temps d'avoir les lèvres sèches. La soupe était un bien maigre repas, quand aux perfusions elles eurent le mérite de fragiliser un peu plus l'organisme.

Cependant sous cette situation, peu enviable, son corps se mit lentement à changer pour s'adapter aux décharges constante que la machine procurait.  Le corps voulait bouger à chaque orgasme, mais les entraves empêchait les mouvements, vint donc naturellement des périodes où les muscles étaient douloureux, se combinant aux orgasme, n'aidant en rien Charis à garder l'esprit claire.

Parlons donc de l'état psychologique de Charis, tout d'abord vint la peur, la peur de ne pas résister à cette machine démoniaque, par cette peur elle fut les premiers jours tellement tendue qu'il fut difficile pour les clients de pouvoir s'amuser complètement, la prisonnière étant totalement sur la défensive. Lors qu'elle n'était pas sollicité par les clients, elle devait lutter contre la folie qui était très proche, devant aussi essayer de ne pas s'oublier. Charis eut très souvent des crises de larmes, elle ne voulait pas rester là, elle avait envie de fuir, fuir aussi loin que possible, mais chaque visite démontrait la triste vérité.
Elle se mit à éprouver au fil des jours un peu plus de plaisir sous la douleur, mais cela était aussi une chose qu'elle s'interdisait de penser, non elle ne pouvait aimer souffrir, encore moins aimer sentir le gode vibrer au rythme du sybia. Ce conflit entre vérité et refoulement ajouta un peu plus avec la folie.


Les sept jours se mirent à passer et Charis ne semblait pas brisée, mais son apparence en avait prit un coups. De la radieuse chevalière on ne pouvait la reconnaître qu'à une apparence approximative.

Ses cheveux semblaient avoir perdu leurs vigueurs, des poches sous les yeux montraient que le sommeil était difficile, voire impossible à trouver. Son visage bien entretenu portait les marques de la visite de client.

En entendant Ishtar approcher  la chevalière se mit à trembler de peur.

Elle ne pouvait pas voir la dragonne, mais quelque chose en elle permettait de savoir que cette démarche était celle de sa tortionnaire. Charis, bien qu’exténuée se mit  bouger, comme si elle espérait que les entraves allaient céder sous sa demande silencieuse. Plus Ishtar s'approchait, plus Charis sentit la peur s'enrouler autour de sa gorge, ayant des larmes aux yeux à l'idée qu'elle veuille encore jouer avec Charis.

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Charis, bien qu'ayant au final offert tout à Ishtar, restait quand même tendue, elle ne pouvait pas lutter contre cette peur de l'inconnu qu'était le sexe. Aussi fallut-il plus de temps pour Ishtar pour la faire jouir. La chevalière était perdue, elle sentait un sentiment bizarre s'introduire dans sa tête, tentant de dominer sa raison. Cependant malgré sa tentative, elle finit par avoir un premier orgasme, ce qui se traduisit par le dos qui fit une jolie courbe et un petit cris tout mignon. Le rougeur de la prisonnière ne se dissipas nullement. Charis ne saurait dire si elle avait honte, si elle était gênée ou encore un peu sous l'effet de l'orgasme.

La chevalière voulut parler, mais ses lèvres tremblante furent suffisant pour la faire comprendre que sa voix serait chevrotante. Elle n'eut pas le loisir de répondre que déjà elle se mit à parler en voyant Ishtar revenir avec un drôle de matériel.

- Cela v-va servir à qu-quoi.

Comme la chevalière sa voix tremblait comme une chèvre, de quoi la gêner encore un peu plus. Elle n'eut pas vraiment de réponse à ses sujet et eut très vite la solution. Ses téton se mirent à réagir au contact froid du plastique, la chevalière se mit à pousser un petit gémissement en sentant les vibrations traverser ses seins et remonter. La sensation de plaisir, s'il n'augmentait pas, était contenu à un certain niveau.  Elle se mit à légèrement frissonner en sentant le vibrateur sur son clitoris, poussant un gémissement plus fort lors de sa mise en route. Elle se mit enfin à parler quand elle sentit la dragonne vouloir insérer le premier vibrateur dans son anus, car après tout elle ne savait pas que presque n'importe quelle partie du corps humain pouvait servir pour le sexe, sans compter que mettre quelque chose là la paraissait impossible.

- Attendez, je ...

Peine perdu la dragonne inséra le vibrateur, la chevalière se mit à se sentir encore plus honteuse, sentant l'objet se faire pousser par les suivants et la forme des objets sexuelles étant encore perceptible à l'intérieur d'elle. Le corps de la prisonnière tremblait légèrement, les vibrateurs en route amenant la demoiselle à avoir un niveau de plaisir assez haut, sa chatte mouillant et facilita l'insertion du petit vibrateur derrière l'hymen, la tâche étant rendu difficile par le corps de Charis qui tremblait, mais heureusement la chevalière se mit à lutter pour immobiliser au mieux son corps.

Vint le coup de grâce avec l'activation de tout les vibrateurs, faisant cambrer d'un coup le corps de Charis, la chevalière voulut se mettre à demander d'arrêter, mais le flux de plaisir fit office de bâillon. Charis voulut lutter, mais au bout de vingt minutes, elle céda totalement. Ihstar put entendre la voix pendant une bonne heure, puis ne vint que des gémissements qui finirent par disparait. Quand Ishtar vint voir la prisonnière, elle ne fut pas déçue.

Charis était totalement humide, par les fluides sexuelles, mais aussi par la transpiration. La chevalière avaient des trace rouge sur son visage, signe de larmes, sa bouche était ouverte d'où s'échappait de la vapeur d'eau. Ses yeux montrèrent que la flamme qui animait sa volonté avait disparut, elle était entre deux frontière, celui de la conscience et celui qui conduit à l'état de légume facile à rééduquer.

La dragonne se mit à pose une simple question, mais la prisonnière semblait trop faible pour permettre une réponse, ayant de grande difficulté à ne serait-ce que bouger ses lèvres ou sa mâchoire. Le corps se tendait de tend à autre mollement, étant trop épuiser pour réagir avec vigueur à chaque orgasme.

L'esprit de Charis était lui aussi épuisé et il était difficile de savoir si elle souhaitait continuer ou non. La prisonnière était à présent une simple esclave prête à subir un peu n'importe quoi, il allait être facile de changer sa mentalité et d'en faire ce que bon lui semblait.

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One Shot / Re : Holocauste.
« le: jeudi 11 octobre 2012, 15:04:10 »
Ange fut contente de voir que la personne parlais sa langue et semblait la comprendre. L'humaine pensait que dans le rôle d'un autochtone, Amos aurait sa place, pas le genre à vous faire du mal et essayer de comprendre quelque chose qui le dépassait. De plus sa voix avait un léger charme, comme si avec lui chaque parole était une vérité.  L'annonce de ce monde éternel ne vint pas à l'intriguer, elle aimait à vrai dire l'idée d'être une espèce de déesse et que pour une fois cela allait être elle qui commanderais et non son entourage.

La simplicité de la pièce faisait un ravissant contraste avec le seigneur des lieux. Cependant voir une femme pratiquer quelque chose de suspect fit travailler l’imagination d'Ange, qui se mit à rougir en pensant que cela devait être quelque chose de … spéciale.  La surprise fut de voir qu'il s'agissait en vérité d'un homme,  Elle fut d'un coups moins à l'aise avec autant d'homme autour d'elle.

C'est alors que le seigneur demanda à Ange de le sucer, son visage devint aussi rouge qu'une tomate et sa surpris e fut de voir Amos la forcer à avancer, demandant à ce dernier de la lâcher qu'elle avait mal.

Elle vint à être au pied, ayant des larmes et se massant le poignet. Elle fut face au membre du seigneur et se sentit mal, ayant presque des vertige.

- Je ne sais pas faire ce que vous me demandez, faite le par une autre femme.

Sa phrase était idiote, car il n'y avait visiblement aucune femme dans la salle à part Ange elle-même.


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Charis se mit à lancer un regard noir à la dragonne quand celle-ci se permit, sans son autorisation, de l'alléger de quelque vêtements. Son visage prit une teinte en sentant la main baladeuse d'Ishtar s'amuser avec elle. La chevalière ne savait pas pourquoi son bas-ventre se réchauffait, enfin non elle avait une idée de ce qui se passait, mais ne voulait pas l'admettre.

La créature prisonnière se mit à pousser un cris de surprise quand la table manque se mit en mouvement. Elle se mit à tenter une résistance face à la force des ressorts et vit sa tentative échouée à cause de sa faiblesse, la pierre continuant d'absorber son énergie pour la maintenir en position de faiblesse.  Le corps entier de la chevalière se mit à se contracter pour sortir de cet étaux, voulant éviter que la dragonne continue de jouer avec sa langue dans son intimité.  Une frayeur se mit à faire son apparition quand Ishtar fit mumuse avec la preuve de sa virginité. Son petit bouton fut aussi victime d'un harcèlement,Charis avait des larmes qui lui venait, elle voulait nier que cela l'affectait, mais son corps montrait la vérité des choses.

En voyant le prochain outil de torture, Charis ne put contenir sa peur et se mit à bouger avec force, n'hésitant pas à puiser dans ses réserves pour essayer de sortir de cette chaise et partir en courant.  Elle avait très peur de ce que cette dragonne était capable de faire.  Vint le choix que proposa Ishtar, mais Charis ne pouvait pas choisir, l'un et l'autre était si important pour elle. La peur transpirait cette créature asservie, la chevalière se mit à dire la vérité.

- Arrêtez, si vous me dépuceler, je ne pourrais plus être initié à une haute magie.

Charis l'avait caché jusqu'à présent, mais le choix de devenir vierge était tout simplement d'apprendre une magie qui pouvait changer le destin des êtres en offrant leur corps. Mais ce dernier détail, la chevalière ne la connaissait pas. L'esprit chevaleresque semblait avoir été balayé par la peur, Charis ne savait pas quoi choisir, céder  sa liberté ? Céder son sens de la justice ?

- Prenez ce que vous voulez, mais gardez moi vierge.

9
One Shot / Re : Holocauste.
« le: lundi 08 octobre 2012, 20:57:17 »
Ange se mit à avoir la sensation qu'une serpent enlaçait sa gorge et resserait son étreinte, la sortie était bien morbide, mais heureusement il y avait une sortie que ses petite créatures ne pouraient prendre,e n tout cas l'humeine esperait qu'ils soient suffisament débile pour tomber. Elle eut la preuve en image que ses petite créatures étaient idiote en effet, tout comme elle sentit son estomac légèrement tourner en entendant le bruit de sa mort. Un mort horrible qui confirma qu'en bas il n'y avait pas d'eau.

En voyant l'homme avec la torche et la tenue typique des autochtone, Ange se mit d'abord à hésiter. Puis elle se mit à regarder le chemin pour y arriver, elle allait devoir sauter sur une bonne distance, elle était assez bonne en acrobatie, mais elle eut une autre idée. L'humaine se mit à faire marche arrière, prennant bien soit d'attacher son télephone à son poignet et se mit à courir vers la crevasse. Au moment où ses pieds touchèrent la zone glissante, elle se mit à plier légèrement ses genoux et faire des pas en parabole, imitant les pas du patinage. Cela fut suffisant pour que la demoiselle gagne un peu de vitesse et puisse faire une petite impulsion et sauter au-dessus du ravin. L'atrerrisage fut plus difficle dans le sens où elle était un peu trop courte et s'acrocha à la parois, serrant des dent car sa poitrine avait quand même prit le choc.

Elle se mit à saisir des prises qui adhère et remonta jusqu'à atteindre enfin le niveau du sol, l'autochtone ayant aidé la demoiselle à la fin. Elle put voir que sa chemise blanche avait prit une teinte rouge, montrant un visage de dégoût à l'idée de devoir porter du sang jusqu'à nouvel ordre. Sans une réelle gêne, elle déchira ses manches et le tissu recouvrant son ventre, jettant le tissus imbibé de sang dans la crevasse. Elle se rendit alors compte que son portable était tombé dans la crevasse lors de sa petite acrobatie.

Ayant un visage souriant, elle se mit à regarder l'homme et tendis sa main droite.

- Moi c'est Ange et vous ?

10
Le visage de Charis se mit à prendre une teinte, couleur tomate, très rapidement alors que sa tortionnaire se mit à toucher sa poitrine avec un amusement certain. La chevalière préféra taire une remarque et essayer de dissimuler la gêne que ce genre d'attouchement produisait.  Après tout elle était encore vierge de tout rapport, même Merlin n'avait put toucher sa poitrine avant d'y perdre la vue et c'est ce qui serait arrivé à la dragonne si la pierre n'était pas là. La chevalière se retenu de cracher encore plus d'injure, mais jugea que cette dragonne en plus d'être fort la considérait comme un simple pantin.

Elle profita d'un répit de courte durée pour se mettre à ralentir son rythme cardiaque, elle se savait dans une posture humiliante et aussi inconfortable, qu'elle ne pouvait être libre qu'à la condition que la dragonne daigne offrir un peu de liberté, mais pour cela il faudrait se soumettre à ses ordres et ça Charis préférait ne pas y penser. Son raisonnement ne fut pas de longue durée, l'odeur du tabac chaud titillant son nez assez délicat, la faisant légèrement toussoter. Décidément les humains avaient créer une chose immonde et qui en plus provoquait des maladies pour les plus gros fumeur, elle aurait été ravie qu'Ishtar meurt rapidement avec sa pipe à la main, mais c'était aussi possible que de se faire frapper par la foudre.

Vint un petit monologue qui fit sourire Charis, elle se retenait à vrai dire de rire sous le nez de la dragonne, sachant qu'une telle action aurait comme conséquence de se faire encore étrangler ou que sais-je encore. L'utilisation excessive du mot "jamais" était amusant, car si Charis devait l'user à tord, elle aurait dit que jamais elle ne se plierait à la dragonne, cependant ce mot était usé pour simplement tenter de soumettre psychologiquement la chevalière. Cette dernière savait qu'il y avait toujours une infime chance que ce que dise Ishtar ne se produise pas, car le destin n'est pas figé comme le sont les lettre sur une feuille de papier, un élément extérieur pouvait la venir en aide. Le fait de prédir un avenir médiocre énerva Charis au plus haut point, vivre comme une simple femme, c'était pour elle une perspective pire que la mort, elle avait envie de vivre comme une chevalière et non une femme soumise.

Charis devint plus agitée quand sa tortionnaire se mit à l'aise en caressant des zones fort sensibles, la chevalière essaya de garder un visage fort, mais son inexpérience parlait d'elle-même en plus de son visage qui reprit vite des couleurs amusante.  La chevalière entendis la proposition et se mit à se mordre sa lèvre inférieur pour anéantir l'espace de quelque seconde le sentiment qui naissait dans son corps et qui commençait déjà à dévoiler sur les cuisses de Charis. Le corps de la prisonnière commençait à légèrement trembler.

- Les êtres dans votre ... genre ... n'ont aucune ... parole. Allez au Diable.

Pour une fois Charis avait usé d'un terme issu de la Terre, sans doute Ishtar l'avait-elle entendu jadis, encore une fois la dragonne avait tendu la main et la chevalière l'avait mordu sauvagement. Elle ne comptait pas abandonner sa liberté de choisir et encore moins l'abandonner à Ishtar.

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One Shot / Re : Holocauste.
« le: vendredi 05 octobre 2012, 21:35:11 »
Ange se mit à pousser un cris de surprise en sentant la langue se mettre à lécher le chocolat, passant sous la jupe au motif de camouflage militaire, ce qui allait bien avec son allure de rebelle. Elle eut un visage exprimant le dégoût en voyant que cette langue appartenait à un espèce de nain digne de l'époque des hommes de totavel. La réaction en se fit pas attendre et Ange se mit à poser ses mains pour éviter que le nain ne puisse regarder sous la jupe, le visage rouge à l'idée qu'il est put voir sa culotte blanche. Par ce geste elle put voir que la jupe était déchirée sur sa hanche gauche, sans doute dû à la descente dans le tuyau où elle avait crut entendre un « crac », à présent elle savait d'où venait le bruit. Le regard du nain fut sans doute ce qui remit Ange dans un état plus calme, elle croyait que ce petit homme voulait un peu de compagnie, non pas pour faire l'amour, mais pour ne pas se sentir seul. La jeune femme se mit à culpabiliser de l'avoir jugé sur son apparence et sa réaction. C'est alors qu'elle entendis le mot « chocolat », elle se dit que se pauvre homme ne devait pas en avoir mangé beaucoup dans sa vie et au vue de la victuailles qui pourrissait, personne ne semblait vouloir le nourrir sainement.

Elle fit cependant un pas  en arrière quand le nain vint essayer de continuer sa dégustation, c'est alors qu'Ange vit la dentition du pauvre homme. Immédiatement la jeune femme se mit à penser aux légendes sur les monstres prenant une apparence humaine. Face à une menace si proche, elle se mit à faire un bond en arrière en décochant un magistrale coup de pied sous le menton de la créature, cette dernière se mordant sans doute la dent car Ange entendit un cris strident et le voyait se replier sur lui-même.

Sans attendre le rétablissement de la créature, Ange se mit à chercher du regard une possible sortie. Elle sortie même son portable pour flasher le visage de la créature si elle se remettait trop rapidement de son coup de pied.

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Charis n'était pas en état de pouvoir se défendre face à une nouvelle prise à la gorge, devant donc subir une troisième fois l'humiliation de se faire traiter de cette manière, ce qui avait le dont d'énerver davantage la chevalière. Elle comptait bien détruire cette dragonne, même si pour cela elle doit passer par des moyens bas. Ce qu'elle savait pour e moment n'était pas suffisant pour pouvoir percer à jour les points faibles de la dragonne. Tout ce qu'elle pouvais savoir était sa force titanesque qui pourrait la broyer si Ishtar le désirait, une protections écailleuse des plus pénible à supporter et aussi un esprit qui semblait plus machiavélique que les autres adversaires à ce jour. Charis ne fut pas une seule seconde dupe, penser pouvoir la faire perdre espoir sous prétexte, qu'elle était dans une mauvaise situation n'était en rien comparable à ce qu'elle était prête à perdre pour voir son objectif atteint. La chevalière savait que son action pour purifier ce monde du mal allait lui attirer irrémédiablement un nombre croissant d'ennemi, qu'au final elle ne pourrait être considérée que comme un être démoniaque qui a voulu dominer le monde. Mais même en comprenant les conséquences de ses actes, elle c'était jetée dans cette quête et ce n'est pas une dragonne qui allait la détourner de son droit chemin.

La créature légendaire ne fut pas surprise de se voir attachée à ce qui semblait être un outils de torture et à ce moment là un léger sourire apparut, non pas qu'elle était folle, mais pour la chvalière la torturer était un aveu de faiblesse. La surprise se dessina dans sa pensée quant la dragonne se mit à coiffer ses cheveux. Il était vrai que depuis son départ d'Avalon, elle ne prêtait plus grand attention à sa beauté féminine, car une chevalière qui e pouponne tout les cinq secondes c'est idiot et peut crédible. Le plus humiliant fut sans doute de faire des couettes, cela donnait à Charis une image de femme-enfant, ce qui la fit légèrement rougir de honte, cette dragonne allait chèrement payer le fait de la tourner en ridicule.

Le maquillage ne fut pas aisé, car Charis offrit de la résistance, elle détestait le maquillage pour plusieurs raison, la première étant que cela n'était qu'une artifice pour cacher sa beauté naturelle et que les femmes qui l'employaient n'assumaient pas pleinement leur beauté naturelle. C'est aussi pour cela qu'elle ne portait jamais de maquillage.  Le résultat choqua plus la chevalière que ne la surprit et la question eut une réponse sec.

- C'est quoi la prochaine étape … me faire porter une mini-jupe ? Vous êtes pitoyable, penser pouvoir me déstabiliser avec une simple illusion. Me féminiser ne vous apportera que plus de mépris de ma part, plus vous jouez à la poupée plus je voudrais vous tuer. Certes la pierre m'empêche de vous lancer un sort draconique dans votre face hideuse, mais je finirais bien par trouver une de vos faiblesse pour vous faire regretter cette mascarade de mauvais goût.

Charis assumait pleinement son corps, étant sans doute une des rare femmes à se contenter de ce qu'elle possède sans chercher à modifier son corps par le biais de sort magique ou d'artifice. C'est pour cela qu'Ishtar allait avoir grand mal à la séduire par un simple maquillage. La peau de Charis frissonnait, n'ayant pas l'habitude de porter de pareille tenue, la chevalière cachait une gêne, en temps normale elle portait une tenue couvrant sa peau, similaire au pyjama sur Terre et puis la latex était une texture si bizare.

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One Shot / Re : Holocauste.
« le: jeudi 04 octobre 2012, 21:32:20 »


Il y a des moments où l'on se demande si le monde entier n'a qu'un seul but ... se liguer contre vous pour vous tuer ou du moins vous réduire à un état proche de la mort. C'est ce que pensait Ange à ce moment là.

La jeune femme se demandait encore pourquoi le destin s'acharnait contre elle. Dès sa naissance elle hérita du prénom d'Ange, un prénom mignon pourtant.

Six mois plus tard son père fit ses bagages et l'on ne le vit plus jamais, la mère de la jeune fille se mit à collectionner les dettes. La jeunesse d'Ange fut traduite par trois notion : travail, patience et oublie. En effet la jeune fille se mit à travailler plus que quiconque, accumulant une malchance légendaire lui collant sur le dos le surnom de "Miss Poisse". Chaque fois qu'elle avait bien révisé le sujet avait été changé à la dernière minute, arborant toute sa vie un bulletin proche de zéro et qui contenait des appréciations démotivantes.

Ange grandis dans un environnement où la patience fut mise à rude épreuve, là où un enfant avait un cadeau à Noël, elle avait dû en attendre deux voir trois pour recevoir un cadeau. En cumulant le malheur comme on accumule la poussière chez soi, Ange apprit très vite à oublier, oublier les cours qui ne servaient à rien dans sa vie, si ce n'est se rappeler des heures de colle à cause de sa malchance, oublier des amis qui ont vite fait de vous trahir, oublier tout simplement une vie merdique pour s'en imaginer une plus radieuse, se mentant à elle-même pour ne pas être dépressive et éviter les pièges faciles comme la drogue par exemple.

Au lycée elle avait la réputation d'apporter le malheur, mais ce qui faisait le plus mal était sans doute que l'on peigne une image d'elle comme une rebelle. Comme beaucoup de gens elle avait une grande gueule, son côté un peu agressif n'étant que le résultat d'une vie de merde où elle essayait, en vain, de s'en sortir. Les rares personnes à l'avoir approché savent qu'Ange est une personne sensible qui serait prête à beaucoup de chose pour garder l'amour des autres dans son coeur, sauf offrir son corps, c'est une chose qu'elle ne peut faire.

Parlons justement de sa vie sexuelle, c'est le nomansland, sa poisse finissant toujours par frapper un peu avait un éventuel plan chez un petit copain ou petite copine. Ange s'étant jetée dans la bisexualité par dépit, pour trouver une personne qui, elle espère, saura échapper à sa poisse.

Ce soir du 16 septembre elle tentait péniblement de contacter une agence d'intérim pour trouver un nouveau travail à temps partiel, les deux derniers ayant finit en fiasco. Le premier patron avait fini castré en "massant" un peu trop ses fesses et le second avait finit avec des algues cuites sur son crâne chauve. Quand la scène se passa, nous faisant retourner à présent dans l'instant immédiat et non le passé.


Ange tremblait de peur, jamais elle n'aurait cru une seule seconde que sa mère aurait voulut atteindre à sa vie, bon elle l'avait quand même envisagé, mais plus sous le ton de la rigolade. Elle se mit à regarder son téléphone et vit qu'elle avait du réseau. Elle fit le numéros de la police et attendit, puis quand elle entendit un policier répondre, elle se mit à raccrocher.

Pourquoi ? Imaginez donc un instant dire au policier que vous êtes dans un endroit inconnue sous une cabane à jardin où votre mère veut vous tuer ... pas très crédible comme demande, non ? La jeune femme se mit à plaquer son dos contre le mur, respirant doucement pour calmer son esprit, faisant une récapitulation dans sa tête, s'enfermant presque dans un monde où le bruit peinait à venir.

Ange put calmement réfléchir et se mit à régler son téléphone pour faire des flash lumineux et en rafale, à défaut de la bombe au poivre qu'elle avait laissé dans sa chambre il s'agissait de la seule "arme" qu'elle possédait.

Elle voyait bien que remonter par là où elle était sortie n'allait pas être facile, surtout si sa mère était toujours là pour la planter. Aussi n'y avait-il qu'une seule issue, l'endroit aux ombres dansante, même si la peur de tomber sur des fanatiques, conférait une légère douleur abdominale.

D'un pas lent et avec prudence, elle tenta de se coller contre un mur et de jeter un petit coup d'oeil dans la salle des ombres, au vue de la couleur de la lumière cela devait être des flammes, ce qui donnait une atmosphère encore plus glauque qu'une maison hantée.

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Prélude / Re : Kahori Inkei, étudiant timide
« le: jeudi 04 octobre 2012, 20:04:50 »
*Profite d'avoir encore son apparence de Dame du Lac pour s'incliner respectueusement.*

Bienvenue jeune homme au corps trompeur, puissiez vous ici trouver amusement et éviter les malheurs.

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Charis se mit à serrer les dents pour en pas montrer que les coups avait tout de même occasionnés une légère douleur. La douleur Charis pouvait la gérer, mais dans un combat il était nécessaire de la ressentir pour ne pas dépasser la limite que le corps imposait, une fois cette limite dépassée le pronostique vital était engagé. Elle apprit qu'elle avait affaire à un dragon d'obsidienne, n'ayant jamais entendu parlé d'un pareil dragon, la chevalière ne pouvait que supposer sa rareté et la cohérence du milieux où Ishtar avait décédé de vivre, les dragons aimant vivre dans leurs éléments. Ne pouvant pas lutter contre ce mur vivant et encaisser indéfiniment les coups, Charis se mit en tête d'esquiver pour épuiser la dragonne. Vint une nouvelle fois la charge d'Ishtar, on ne pouvait avoir la chevalière par une technique qu'elle avait subit. Aussi se prépara-t-elle à faire une esquive sur le côté, prenant en compte de possible coup d'aile pour freiner sa course.

Quant Ishtar vint à porter son coup de queue, Charis ne possédait aucun appui sur le sol, étant en plein milieu de son bond de côté, faisant une cible facile pour la dragonne qui ne rata pas son coup en la fauchant à l'atterrissage. La chevalière tomba sur les fesses et se fit relever ilico presto, heureusement la tenue de la créature résista merveilleusement bien à la poigne titanesque de la dragonne. Le coup porté au ventre fut mal perçu par le corps de Charis, cette dernière eut le souffle coupé, s'en suivit un coup au menton. L'onde de choc remonta jusqu'à cerveau, causant des interférence et paralysant le corps de la chevalière, aussi en fut-il pas surprenant de ne pas la voir amortir le choc au sol ou être à la merci des mages.

Elle ne pouvait même pas parler, sa bouche refusant de souffrir. L'avalonienne frémit en sentant la pierre rouge s'approcher de son corps, elle ressentait l'aura maléfique de cette pierre magique.

La seule chose qui permettait de voir que Charis souffrait de l'aspiration de son énergie vitale, fut les yeux grand ouverts et des larmes, il y eut aussi quelque signe de convulsion. Les avaloniens avait une plus grande réserve magique et vitale qu'un humain classique, aussi la souffrance de l'absorption ne fut que plus violente. Malgré la douleur et sa faiblesse pleinement visible, son esprit luttait pour ne pas se perdre dans les méandre de l'inconscience, ne pouvant pas se concentrer pour faire bouger son corps.

Elle fut conduite dans une salle où ses vêtement furent retirés, voilà une autre contrainte de ses vêtements, s'ils résistent à la destruction, ils sont totalement sans défense à un déshabillage forcé. Charis put plisser un peu des yeux, essayant d'intimider les personnes en charge de son relookink, mais cela ne fit pas du tout l'effet escompté.

Vint un moment où la lutte mentale fut trop importante et elle sombra dans l'inconscience. Bien lui en fit, car ainsi elle allait pouvoir récupérer plus rapidement des divers coups porté par Ishtar et augmenter ses réserves d'énergies vitales, jugeant que la pierre, comme tout outils magique d'absorptions allait réduire un peu sa consommation pour éviter de saturer.

Son réveil fut accompagné d'une mauvaise surprise, son accoutrement, qu'elle trouvait à la limite du dégoût le plus profond. La chevalière ne pouvait pas supporter le contact du latex, elle avait l'impression qu'on lui tartinait le corps d'une espèce de colle. Ce qui la rendit encore plus rageuse fut certainement le collier autour de son cou. Elle n'était pas une esclave et comptait bien le faire comprendre à Ishtar.

Une fois que les gardes se rendirent compte du réveil de Charis, se traduisant par des insultes en avalonien, les pauvres ne savait pas la quantité de venin craché à leur encontre et celui de la maîtresse de maison. Si sa magie tardait à vouloir revenir, elle fut suffisamment sur pied pour marcher, grogner et emmerder les gardes en gardant une certaine fierté, même si la tenue n'aidait franchement pas.

Quand elle vit la chambre d'Ishtar, la chevalière ne fut nullement surprit de voir une dragonne dans un environnement luxueux, même si elle ne porta pas un regard sur les sextoys, pensant qu'il s'agissait d'une simple décoration comme une autre. Autant de luxe tira un rictus de dégout, comme tout dictateur, Ishtar semblait posséder une vie formidable au détriment de ses sujets. La créature affaiblie se tenait droite, dans sa tête et ses yeux cela se voyait qu'elle n'allait pas rester sur une défaite et qu'une immense joie cela serait de la tuer du regard.

Quant Ishtar saisit al laisse, Charis tendit ses muscles pour ne pas être facilement manipuler, elle lança un regard noir quand la dragonne se permit de la toucher et recula à chaque fois qu'Ishtar voulait la goûter. Bien qu'épuisée par le joyaux qui pompait continuellement son énergie, elle se mit à donner un coup de boule fort faible, niant la douleur de se taper des écailles solide et parla avec une intonation bien venimeuse.

- Je me nomme Charis et non cochon rose. Frappez moi autant que vous voulez, je préfèrerais largement me transpercer le coeur que d'obéir à vos ordre. Je ne suis pas une Tkabol.

Ishtar devait se demander ce qu'était une Tkabol, il s'agit d'une créature domestiquée sur Avalon. Ayant l'apparence d'un furet il est très obéissant mais très fragile d'un point de vu émotionnelle, pouvant mourir d'un simple cris.

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