Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Roka

Pages: [1] 2 3
1
Un immense bien-être envahit Roka tandis qu’il déversait sa semence au plus profond d’Hitomi, avec une de ces grimace étrange dont les hommes ont le secret au moment de la jouissance. Cette sensation lui était bien évidemment familière, mais cette fois c’était différent. Au final, leur ébat n’avait duré que quelques minutes, mais ces quelques minutes avaient été si intenses et fortes que le dénouement avait été ressenti comme un feu d'artifice.

Le jeune homme se décrispa peu à peu, toujours en elle. Il est bien ici, il n’a pas envie de partir. Elle se blottit contre lui et il l’entoure de ses bras, enfouit son visage dans ses cheveux de feu. Cela fait bien longtemps qu’il n’avait pas eu ce genre de réflexes tendres avec une femme. Prenant conscience de cela, il s’écarte d’elle et se retire. Il remarque qu’un peu de cyprine et de sperme coulent le long de l’intérieur de sa cuisse. Mais elle a l’air préoccupée par autre chose, fixe ses pieds en fronçant les sourcils. Soudain, elle relève la tête vers lui, les yeux agrandis par la panique :

" J'ai perdu ma culotte. "

Le professeur de sport ne peut s’empêcher de s'esclaffer : la situation est vraiment cocasse. Il repense à leur course effrénée dans les couloirs, à moitié nus, essoufflés et rougissants, et il rit de plus belle. Ça devait être assez ridicule, vu de l’extérieur ! Comme à son habitude, il ne peut s’empêcher de la taquiner :

« Oh non, moi qui comptait la garder en trophée… »

A vrai dire, il n’a aucune idée de l’endroit où pourrait  se trouver ses dessous. Ses souvenirs sont surtout une ribambelle de sensations, et une suite de flashes un peu flous : les tâches de rousseur d’Hitomi, les visages des collègues, les seins d’Hitomi, une porte, l’expression de jouissance d’Hitomi… Mais point de petite culotte…!

« J’imagine que nous sommes partis pour un commando récupération de lingerie alors ! »

Il remonta son boxer puis son jogging, réajusta son sweat et son t-shirt tandis que la jolie rousse s’arrangeait de son côté. Lorsqu’ils ressortirent, la bibliothécaire était à son bureau. Roka la salua aimablement, croisant les doigts pour qu’elle ne se pose pas de question à propos de leurs cheveux en bataille et de leurs pommettes rougissantes.
Le professeur suivit la jeune femme dans le couloir. Les élèves y étaient omniprésents et déboulaient de tous les côté, obligeant les deux adultes à marcher l’un derrière l’autre. Roka ne pu s’empêcher de mater les fesses d’Hitomi, qu’il tenait dans ses mains il y a trois minutes à peine…
Ça se voit qu’elle ne porte rien en dessous, pensa-t-il. L’excitation affluait de nouveau en lui…
Profitant d’un arrêt pour laisser passer un groupe de lycéens, le jeune homme glissa discrètement sa main sous sa jupe et malaxa sa fesse droite. Puis, toujours derrière elle, il s’approcha et glissa un doigt dans son intimité…

2
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: vendredi 20 avril 2012, 23:26:23 »
T'es quand même un peu gonflée !

3
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: vendredi 20 avril 2012, 23:16:26 »
On aurait bien besoin d'un peu de sang neuf ! :p

4
Deux corps brûlants, haletants, pressés l’un contre l’autre. L’atmosphère est à la fois moite et électrique. Les mains de Roka tremblent sous l’excitation. Il est grisé par ce qu’il est en train de vivre, mais s’en rend à peine compte tant son cerveau est empêtré dans une mélasse de désir et de pure jouissance. Aussi loin qu’il s’en souvienne, jamais il n’a vécu ce type de situation, ou le sexe s’impose comme une évidence, un accomplissement, et où la passion est si grande qu’aucun des deux partenaires ne se soucie de problèmes superficiels comme de réaliser une « performance ». Du sexe brut, animal, parfait.

Le contact des douces mains d’Hitomi sur sa peau le rend de plus en plus pressant. Leurs peaux deviennent peu à peu moites, et pourtant, il frissonne sous ses caresses.
Elle soupire son nom, et cela donne à Roka un nouvel élan. Sa main tressautante se fraye un chemin dans la culotte de la belle. Il pose ses doigts contre sa fente humide, appuie et caresse son clitoris. En temps normal, il aurait fait ça mieux, se serait plus appliqué. Mais là, avec ses mains tremblantes et le plaisir que lui procure la professeure en caressant son pénis, cela relève du miracle qu’il ait réussit à atteindre son but.

Pendant ce temps, son autre main quitte la poitrine généreuse de la belle pour défaire à la hâte le nœud qui ferme son jogging. Il tire un peu n’importe où, doit s’y reprendre à plusieurs fois. Il réussit enfin à s’en libérer, et descend caleçon et jogging d’une main, juste ce qu’il faut pour laisser sortir son membre dur et tendu vers le ciel. Ce dernier, même s’il ne pourrait concourir avec le pénis d’un colosse, est tout de même de belle taille. En tout cas, aucune de ses précédentes conquêtes ne s’en était jamais plainte ! Mais à l’instant présent, c’était de toute façon le cadet de ses soucis… Il est tellement excité qu’un peu de liquide séminal transparent s’en écoule…

Lui qui embrassait jusqu'à lors la clavicule de la jeune femme, descend ses lèvres au niveau de la poitrine de la demoiselle. L’intéressée se retrouve d’ailleurs toute débraillée, un bouton ou deux de son chemisier ayant sauté sous les assauts de son collègue. Il embrasse fiévreusement ses seins, donne des coups de langue sur l’un de ses tétons, soyeux et durci par le désir.

Il lui retire alors sa culotte de ses doigts ruisselants de la mouille de la demoiselle. Il cesse de bécoter les seins de sa partenaire pour la regarder fiévreusement dans les yeux. De deux doigts, il écarte un peu les petites lèvres, de l’autre main il soulève le genou gauche d’Hitomi. Enfin, il la pénètre de son membre dans sa totalité, avec précipitation et donc sans grande délicatesse. Il a à peine le temps de faire un va-et-vient et d’apprécier l’étroitesse de son vagin que la sonnerie se déclenche. Il faut faire vite, dans quelques secondes les étudiants se rueront dans le couloir… Dans la panique, il se retire, ne prend même pas la peine de remonter son jogging et entraîne sa collègue par la main.

Ils courent un peu au hasard, ouvrent la porte de la bibliothèque et s’y engouffrent. Heureusement pour eux, la responsable n’est pas encore revenue de sa pause déjeuner. Ils se font cependant discrets car un élève lit une Bande Dessinée dans un coin de la pièce. Son casque sur les oreilles, il n’entend pas les deux professeurs passer à pas de loup derrière lui.
Roka se retourne vers sa séduisante collègue et l’attire entre deux rayonnages. Il la soulève, la plaque contre le mur du fond, et la prend sans plus de cérémonie, toujours en la portant. Étant sportif, il peut se permettre cet exercice mais ne tiendra sûrement pas longtemps. Dans cette position, il est au plus profond d’Hitomi, la gravité aidant. Il la repose bientôt, et lui redonne des coups de reins, avec de plus en plus de sauvagerie. Il sent déjà la jouissance le guetter…


« Tu es épatante… Hitomi… Je sens déjà que je vais… »


Il ne finit pas sa phrase car il ne retrouve plus les mots. De toutes façons, c'était plutôt clair, et la jeune femme l'a compris. Il essaie à grand peine de retenir ses halètements et plaque sa main sur la bouche d'Hitomi pour être sûr qu'on ne les entendra pas...

5
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: vendredi 20 avril 2012, 18:59:45 »
Il est six heure cinquante-neuf !

6
[Yamagashi-Sensei & Roka arrivent du réfectoire ]

Le duo sortit du réfectoire, chancelants. Le chemin de leurs chaises à la porte leur avait semblé des heures : Déjà, parce que tous les regards suivaient leur progression dans la salle, et même le volume des voix semblait avoir diminué… De plus, Roka était persuadé que tous les regards étaient braqués sur la belle bosse bien évidente qui transparaissait sous son pantalon, bien qu’il essayât vainement de la cacher derrière son plateau. Enfin, le parcours leur paraissait long car au comble de l’excitation, ils n’attendaient qu’une chose : s’échapper de ce réfectoire afin de se livrer à leurs pulsions dévorantes.

Cela ne faisait même pas une heure qu’ils s’étaient rencontrés pour la première fois, et déjà, une sorte de complicité –Ou tout simplement une extraordinaire force d’attraction ?- s’était installée entre eux.

Dès que la porte se referma derrière eux, Roka bondit sur la jolie rousse. Il lui avait fallut moins de deux secondes pour s’assurer que le couloir était désert. De toute façon, son désir était si grand que sa vue et son ouïe étaient brouillées. Il saisit le visage de la jeune femme entre ses mains, et l’embrassa à pleine bouche. Emportés par l’élan du professeur de sport, ils titubèrent tous les deux et s’échouèrent contre le mur.

Prenant à peine le temps de reprendre son souffle, il l’embrassa de nouveau, chaque fois avec plus de précipitation et de d’intensité. Ses mains glissèrent le long du cou de la jeune femme, de ses épaules, de son buste. Sa main droite se glissa sous son chemisier, une nouvelle fois, tandis que sa main gauche s’égarait sous sa jupe.

Ses doigts se faisaient plus pressants que précédemment, dans le réfectoire. Il tira sur le soutien-gorge détaché d’Hitomi, afin de le dégager un peu plus, mais ne pu l’enlever totalement car il aurait fallut qu’elle se débarrasse également de son chemisier, ce qui n’était pas du tout dans son esprit à ce moment là. Il agrippa son sein droit, tellement voluptueux qu’il tenait à peine dans sa main, pourtant grande. Pendant ce temps, sa main gauche s’était arrêtée sur la culotte de la demoiselle, et il remarqua en descendant les doigts qu’elle était un peu humide au niveau des grandes lèvres. Cela l’excita davantage, et il se colla encore plus contre elle, son érection appuyant sur le bas ventre de la professeure.

Tout cela s’était passé en un éclair, dans un concert de respirations saccadées. Roka n’avait pas prononcé un mot depuis qu’ils avaient quittés le réfectoire, l’esprit complètement occupé par sa charmante collègue.

Il commença à planter de brûlants baisers dans le cou de Yamagashi-Sensei.

7
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: mercredi 18 avril 2012, 19:10:56 »
Et moi je t'emmène au septième c... Oh non doublé !

Allez, viens, je t'emmène faire un tour de grand huit;D (If you know what I mean...)

8
Refectoire / Re : Déjeuner entre nouveaux (Roka)
« le: mercredi 18 avril 2012, 18:47:14 »
Le jeune sportif ne quitte pas des yeux le visage de la belle qui vire au cramoisi. Cela l’amuse, de la mettre dans cette situation inconfortable, de la sentir se tortiller imperceptiblement. Il adore taquiner les gens. Plus jeune déjà, il faisait enrager son pauvre père (lorsqu’il avait l’occasion de le voir debout et sobre), et découvrit par la suite que cette espièglerie était une arme de séduction massive auprès de ses congénères féminines. Ouaip, il est typiquement le genre de mec qui vous fait tourner en bourrique lorsque vous lui demandez tout simplement l’heure, ou qui vous vanne sans arrêt pour finalement vous embrasser avec fougue lorsque vous êtes au bord des larmes. Et vous ne dites pas non. Vu sous cet angle, il est un individu abject et sûr de lui, qui se persuade que si la fille le rejette en bloc, c’est qu’elle est frustrée et indigne d’intérêt.

Il faut que je fasse attention, se dit-il. Yamagashi-Sensei est une femme à la sensualité et à la sexualité visiblement libérées, mais si elle devait choisir entre sa carrière et tirer un coup avec son collègue, il n’est pas certain qu’elle choisisse la seconde possibilité.

Les doigts de Roka se font moins pressants et gourmant, mais c’est quasiment imperceptible. Il la sent frissonner sous ses caresses, voit ses joues mouchetées de tâches de rousseur s’empourprer. Lui-même s’emballe de plus en plus. Impossible de faire machine arrière, à présent. Sa respiration s’accélère.

" Juste quelques uns... Et vous devriez leur apprendre à ouvrir un soutien-gorge. "

Roka a un rictus. C’est vrai qu’il est assez fier de ses compétences en ouverture de soutien-gorge. En même temps, il a eu de quoi se faire la main… Mais il ne le lui dit pas, c’est le genre de phrases pédantes qui laissent un léger malaise dans la conversation, genre, « Je suis tellement canon que j’ai une nana différente dans mon pieu chaque soir, et tu es la prochaine ! ».
Cependant, elle aussi a l’air assez calée dans le domaine. D’ailleurs, il nota son « juste quelques uns ». Quand même ! Il n’ignore pas que beaucoup de professeurs ont des relations sexuelles avec leurs élèves, mais cela reste assez rare. Il avait toujours pensé être un des seuls professeurs ayant atteint ce degré de perversité. Alors, « quelques uns », c’est déjà beaucoup !
Finalement, il ne répond pas. Il a mis une seconde de trop pour réfléchir à sa réponse, et maintenant cela paraitrait étrange. De toute façon, la jolie rousse ajoute :

" Ce serait un peu plus fair-play... Vous avez déjà de beaux avantages sur eux. "


« Pas tant que ça. Le seul avantage que j’ai est de pouvoir flirter avec la sublime professeur que vous êtes en toute légalité ! »


Mais il poursuit, pour ne pas avoir l’air de forcer la fausse modestie :


« …Non, vous avez raison, je suis vraiment exceptionnel ! »


Il s’esclaffa doucement. Mais son rire part en vrille sur la fin, car la main de Yamagashi-Sensei se pose enfin sur son pénis qui se dresse peu à peu. Elle a sûrement du sentir la subite montée d’adrénaline du jeune homme, car elle retire sa main peu après, qui retourne se placer plus loin sur son genou.

Roka jette un regard circulaire : Tout le monde les regarde, ou fait mine de ne pas les regarder. Mais ils n’en perdent pas une seule miette. Peuvent-ils voir leurs mains s’enlacer, se chercher et se croiser ? Sans doute que non. Mais ils ont bien vu les spasmes qui les agitent de temps à autre, leurs épaules tremblantes, et leurs joues rosies par l’excitation. Impossible de rater leur petit manège.

La belle se mordille les lèvres tout en le regardant droit dans les yeux. La voix de la conscience du jeune homme essaie de se faire entendre derrière les battements de son cœur. Mais il n’a aucune envie de les écouter. Sa main gauche est toujours posée sur le buste opulent de Yamagashi-Sensei, mais elle s’immobilise. Sa main droite, qui pendait négligemment contre son flanc, remonte doucement, fait mine de se poser sur la table mais au dernier moment bifurque, et se pose sur la cuisse de la jeune femme.

Il prend soudain un air sérieux et son corps se penche très légèrement vers elle. Il lui dit, à voix basse, un peu hagard :

« Excusez-moi, je n’ai pas compris ce que vous venez de me dire. Ou je n’ai pas entendu, je ne sais pas. Je suis trop excité, j’ai très envie de vous. »

Cela a le mérite d’être clair. Il regarde vers la porte du réfectoire. Puis ses collègues ainsi que les élèves, qui détournent les yeux en un éclair. Il lorgne vers son pantalon de jogging. Difficile de louper l’énorme bosse qui vient de s’y former, même une taupe aveugle à cinq cent mètres de là la verrait… Pourquoi faut-il qu’il soit toujours si hâtif ? Son corps réagit toujours au quart de tour…

9
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: mardi 17 avril 2012, 22:14:21 »
Ca risque de prendre sept heures pour toutes les combler !  ;D

10
Prélude / Re : Bianca O. Grimm, descendante des frères Grimm...
« le: mardi 17 avril 2012, 18:07:02 »
Bienvenue Bianca !  ;D
J'aime beaucoup ta fiche, elle est originale !

11
Le coin du chalant / Re : Un RP enflammé...
« le: mardi 17 avril 2012, 17:30:24 »
Si tu veux bien de moi, je me propose pour la trame 2 ! :)
(En plus je suis prof de sport, quel heureux hasard  ;D)

12
Dortoirs et douches / Re : Rencontre nocturne [PV Yui]
« le: mardi 17 avril 2012, 10:58:01 »
« Bien sûr, je garderai le silence si tu te montre gentille avec moi, c’est normal, non ? »

Roka avait un peu honte d’avoir recours à un chantage aussi petit. Mais la gêne de la lycéenne le fit sourire de plus belle. Ce serait sûrement facile de lui faire baisser sa garde… Les mains posées sur les fesses de la jeune fille, il les massait, faisant mousser le savon qu’il avait sur les mains. D’où il était positionné, elle pouvait clairement sentir son membre dur et dressé contre la naissance de ses fesses.

«Nan ! pas là professeur..»

Roka avait conscience qu’il abusait très largement de ses droits, mais la supplication de Yui ne fit que l’exciter davantage… Il lui frotta les fesses avec plus d’insistance, puis sa main droite sembla s’égarer sur sa hanche droite avant de finir sa course sur l’aine. Ses longs doigts approchaient dangereusement de l’intimité de la jeune fille. Il commença par jouer avec sa toison soyeuse.
Son autre main remonta de sa fesse gauche jusqu’à son sein gauche.

« Comme si tu n’en avais pas envie… » Susurra-t-il à son oreille.

Puis il posa ses lèvres contre son oreille, embrassant son lobe, et descendit le long de sa nuque. Il planta plusieurs baisers fiévreux dans son cou. Il n’avait plus l’intention de la laisser partir : il la prendrait, qu’elle le veuille ou non. Et de toute façon, elle ne pourrait pas aller se plaindre : tout le monde au lycée était sous le charme de Roka.

La chaleur de l’eau de la douche formait un nuage de vapeur autour d’eux qui leur faisait tourner la tête. Alors que son index droit caressait l’ourlet des grandes lèvres de Yui, il lui demanda :


« Tu as déjà fait ça… Avant ? »

13
Refectoire / Re : Déjeuner entre nouveaux (Roka)
« le: mardi 17 avril 2012, 10:43:13 »
Le jeune professeur de sport regarda sa collègue se lever et contourner la table. Le sourire aux lèvres, le regard un peu fiévreux, elle a l’air d’avoir une idée derrière la tête… Elle s’installe à côté de lui, les professeurs sont à présent dans leurs dos et les lycéens en face. Ces derniers les regardent en chiens de faïence, mais les deux jeunes gens n’y font pas attention. Roka est obnubilé par le sourire mutin de Yamagashi-Sensei. Que va-t-elle faire ?

" ... mais comme je le disais, ici, devant tout le monde... "

Le professeur sourit d’un air entendu : il avait raison, les rousses flamboyantes comme elle sont vraiment pleines de surprises…

Roka sent la main de la jeune femme glisser sur sa cuisse. Il frémit. Il sait qu’au fond, elle tâte un peu la marchandise, et peut être cherche-t-elle à savoir si ce qu’on dit sur les professeurs de sport est vrai. Ce contact frais aussi près de son entrejambe palpitante est vraiment trop bon… Il imagine à présent tout ce qu’il pourrait lui faire, ici, dans ce réfectoire, mais refrène son esprit pervers : ils n’ont pas plus envie l’un que l’autre de se faire virer à cause de ce faux pas. Mmh, mais quel faux pas !

La main de Yamagashi-Sensei presse un peu plus l’intérieur de sa cuisse : si elle étend les doigts, elle pourrait sans mal tâter le début d’érection du jeune homme. Il décide qu’il est temps de sortir de son inaction…

" Ne vous en faites pas pour les élèves : en classe ils font ça tout le temps. "

Le professeur sourit de plus belle. Il ne s’en était pas vraiment rendu compte : Au cours de sport, les élèves et le professeur sont très mobiles, et les couples n’ont aucun mal à trouver un coin tranquille pour une vingtaine de minutes.

Roka avance la main derrière la jeune femme, comme s’il allait poser son bras sur son dossier. Mais une idée espiègle lui vient, et sa main s’arrête entre les omoplates de Yamagashi. En un éclair, il exerce une légère pression sur les agrafes de son soutien-gorge à travers son chemisier, et hop, le voilà dégrafé. Le jeune homme sait à quel point c’est ennuyeux pour une femme lorsque ce genre d’incident arrive. Du coin de l’œil, il voit que les seins de la belle s’affaissent légèrement sans les coques de dentelle qui les enferment.
Alors qu’il jouait son petit tour, la jeune femme lui expliquait ceci :

" Vous avez mis les pieds dans un lycée un peu spécial, Roka-sensei... Toutes ces filles n'attendent qu'une chose : monter à la corde en cours de sport. Pour sentir vos mains sous leurs cuisses, ou leurs fesses, à travers leurs petits shorts... Mais moi je ne peux même pas vous donner cette excuse. "

L’idée des lycéennes en minishorts montant à la corde excite davantage Roka. Il aime la façon dont parle sa collègue : Elle a ce côté mature et direct que n’ont pas les jeunes filles, elle est à la fois coquine, aventureuse, et séductrice.

« Je suis sûre qu’une floppée de jeunes hommes fantasment que vous leur donniez des cours particuliers… » Lui murmure Roka, l’air amusé.

Parler des élèves ainsi avec une collègue l’excite au plus haut point. Il ajoute :


« Je suis même certain que plusieurs d’entre eux ont eu le privilège de poser leurs mains ici… »


Et ce disant, il glisse sa main gauche sous le chemisier de la jeune femme. De loin, on ne se doute pas qu’ils en sont à ce degré d’attouchements : la table cache une bonne partie de l’action. Roka commence à caresser le ventre de la professeure, puis laisse sa main grimper, grimper, jusqu’à atteindre son soutien-gorge désormais superflu. Il se glisse à l’intérieur et commence à caresser l’arrondi de ses seins. 

14
Le coin du chalant / Re : Roka, professeur de sport à votre service !
« le: lundi 16 avril 2012, 20:42:12 »
UP ! J'ai ajouté/modifié des choses. N'hésitez pas à m'envoyer un MP si vous êtes intéressé :)

15
Dortoirs et douches / Re : Rencontre nocturne [PV Yui]
« le: lundi 16 avril 2012, 20:20:00 »
Roka nota le malaise de la jeune fille. Ce genre de réaction était rare, par ici. Les élèves étaient tellement désinhibées de nos jours, c’en était effrayant –Et en même temps, ce n’était pas Roka qui allait s’en plaindre ! Elle s’était détournée au maximum, inconsciemment peut être, et tentait de garder son calme. Cela était plutôt visible, malgré tous ses efforts, et elle bafouilla un peu lorsqu’elle répondit à son bonsoir. Le jeune homme sourit.
Soudain, il surprit le regard à la fois apeuré et anxieux de Yui sur son sexe. Ses yeux étaient légèrement agrandis, et sa bouche pincée. Avait-elle eu une mauvaise expérience avec le sexe ? Était-elle impressionnée par les dimensions de son membre (Il n’y avait pas vraiment de quoi, il était au repos) ? Ou encore… se pourrait-il qu’elle soit… toujours vierge ?

Le jeune homme n’en croyait pas sa chance. Mais il préférait ne pas tirer de conclusions hâtives. En tout cas, c’était certain, sa charmante compagne ne sortirait pas de ces douches sans avoir goûté à quelques plaisirs défendus.

Comme elle n’avait pas crié, il se dit qu’elle était sûrement assez naïve et impressionnable et qu’il pourrait en tirer profit.


« Hé mais… Tu es l’une de mes élèves ! Nous nous sommes vus ce matin, en cours d’athlétisme ! Tu es Kotegawa, Yui Kotegawa non ? »


Il s’approcha d’elle un peu plus avec un sourire bienveillant. Il avait une très bonne mémoire des prénoms lorsqu’il s’agissait de jolis minois comme le sien. En plus, il avait passé la matinée à la regarder courir autour du stade : ses seins se balançaient et ses fesses étaient délicieusement moulées dans un minishort. Ce souvenir l’excita davantage, et il sentit qu’il avait un début d’érection. Peu de chance que cela échappe à la jeune fille.

« Oh, et ne t’en fais pas, je ne dirais à personne que tu as utilisé les douches sur l’horaire réservé aux professeurs. De toute façon, je suis le seul à prendre la mienne aussi tard. Ce sera notre petit secret ! »

C’était un énorme mensonge, les professeurs avaient leurs propres douches, mais la jeune fille avait l’air naïve et n’irait sûrement pas vérifier ses dires. Roka lui sourit avec sympathie.
Tout en discutant avec elle, il frictionnait son corps avec du savon. Il insista sur ses pectoraux et ses abdominaux sculptés par le sport, n’ignorant pas que c’étaient souvent là les fantasmes des lycéennes. Il décida de passer à l’attaque.


« Veux-tu que je te frotte le dos ?
Lui demanda-t-il, c’est difficile de le faire soi-même. »

Sans même attendre sa réponse, il s’approcha de la jeune fille et entreprit de masser ses épaules avec du savon. Il insista ensuite avec ses pouces sur sa nuque et ses omoplates, puis descendit le long de sa colonne vertébrale jusqu’à la cambrure de ses reins (endroit qu’il appréciait particulièrement). Il avait conscience d’enfreindre tous les règlements de l’ordre des professeurs, mais n’avait certainement pas l’intention de s’arrêter. L’eau ruisselait toujours sur leur deux corps lorsqu’il posa ses mains sur les fesses de la lycéenne…

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