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Messages - Kirety

Pages: [1] 2
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Les terres sauvages / Re : Rencontre écailleuse. [Alice la lamia. *w*]
« le: jeudi 27 octobre 2011, 19:35:28 »
Le fait de l'entendre rire, me mis dans une incompréhension totale, je n'avais dit que la simple vérité et cela semblait la faire rigoler, à croire que pour cette femme-serpent, la vérité était une farce. L'imitation me fis mal, elle se moquait de ma fierté d'être une personne protégeant le plus faible face à la menace de ceux agissant pour leur égo, mais il n'était pas question de lui mettre une baffe pour cette interprétation, aussi insultante soit-elle.

Ce qui me choqua encore plus fut tout bonnement qu'elle se disait être la maîtresse des lieux, mais de n'apporter aucune considération à son peuple, le pire était qu'elle les tuait sans éprouver visiblement le moindre regret ou une goutte de remords. Cette attitude me révulsait, elle n'avait pas conscience du poids qu'avait une reine ou une déesse  vis-à-vis du peuple, elle devait représenter l'ordre et la justice, cette femme-serpent était tout simplement une faucheuse et rien de plus.

Le plus irritant dans ses paroles, fut l'emploi du nous, connaissait-elle au moins l'avis de son peuple avant de s'avancer en le mettant en avant pour encore plus tenter de me démoraliser, si elle se complaisait à vouloir visiblement me faire pleurer, moi je fixe les yeux de la lamia, le regard droit et juste, n'ayant que le regret d'avoir blessé un village, mais ayant au moins la conscience tranquille d'avoir agi au lieu de laisser un village entier bruler sans en éprouver de peine, comme le sous-entendait cette femme serpent.

Une chose m'offusquait davantage, c'est le manque de respect, si j'avais présenté mon humble personne, la femme serpent n'avait pas échappé un mot sur son identité.

Si elle avait cru que je n'avais pas vu son intention de m'entraver dans ses anneaux, elle se mettait le doigt dans l'œil, seulement pour l'instant il n'était pas question de se battre, sans doute avait-elle envie d'avoir une prise, d'être sûr d'avoir la domination de la situation, ce qui trahissait en vérité une peur inconsciente de ma part, il faut dire que mon aura bleuté avait apeuré beaucoup de gens, sans doute pouvait-elle sentir la puissance qu'il dégageait.

C'est alors qu'elle me propose un marché qui est une véritable offense, mais après y avoir murement réfléchit, il y avait un bon côté à cela, pendant que je la servirais, elle n'irait pas martyriser son peuple, rien ne m'interdisais par la suite d'aller les aider un temps, reconstruire des murs et des maisons étaient une tâche faisable.

- Soit, je serais à votre service le temps de payer ma dette, madame ?

Autant demander poliment à cette lamia son nom, au moins elle se présentera, même si son attitude me donnais l'horrible envie de lui faire goûter la poussière et lui ouvrir les yeux que sa façon de diriger, qui est tout bonnement inacceptable, mais je devais tempérer mes ardeur, les anneaux de cette femme-serpent semblent très puissant.

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Les terres sauvages / Re : Rencontre écailleuse. [Alice la lamia. *w*]
« le: jeudi 27 octobre 2011, 18:20:58 »
Le premier cadavre était à présente dans son trou avec moi, je me mit à joindre la paume de mes mains pour réciter une prière que j'avais vu dans un livre ayant comme nom "Bible", même si beaucoups de passage étaient difficile à interpréter, il y avait des bouts de phrases qui faisaient référence au morts et leurs demandait de rejoindre l'autre monde sans haïr les vivants.  Le psaume, je crois que c'est comme ça que cela se nomme, dura cinq minutes, c'est alors que je sentis une présence des plus bizarre.

C'est alors qu'une voix se fit entendre, me posant une multitude de question tout en m'accusant presque d'avoir moi-même détruit le village, ce n'était pas totalement vrai, mais il fallait aussi admettre j'étais en partie la cause des dommages causées à cette petite communauté. D'un bond, je sortie du trou, fixant la femme-serpent droit dans les yeux.

Mon regard n'avait nullement une expression mauvaise, c'est alors que je me mis à incliner le buste, proférant des paroles sincères et d'où le mensonge n'existait pas.

- Je me nomme Angelus Silesius Kirety, émissaire de la nation des Rouges Lames. Je vous présente mes excuses pour avoir empiété sur votre territoire, cela dit cette troupe comptait éradiquer ce village tel des animaux sauvages. Il était de mon devoir de les protéger. Il est cependant vrai que je n'ai pas sus estimé suffisamment la puissance de frappe de mes adversaire et ce village a subit mon erreur de jugement. Je ne peux vous demander votre pardon, ni ceux des villageois, car cela serait courroucer les morts devant une telle hypocrisie de ma part.

D'un geste lent, je décroche mon fourreau de mon dos, le posant au sol.

- Je suis consciente que j'ai une faute à réparer et accepterais tout châtiment pour peu que je puisse continuer ma route, je sais que vous demandez cela est pur égoïsme, mais ma nation compte sur mon intervention pour que ce territoire et bien d'autre ne finissent en champs de bataille.

Je n'avais plus qu'un souhait à faire, que cette lamia comprenne ma position qui est délicate et se contente du peu que je puisse offrir.

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Blabla / Re : J'épouse, j'esclavagise, je tue
« le: jeudi 27 octobre 2011, 17:58:53 »
J'épouse tout le monde, pour peu qu'ils savent se tenir et ne pas tenter de m'esclavager.

L'esclavage et la tuerie ne sont que pour les bêtes dissimulées sous une apparence humaine.

Lord Slaver, Annah et Kirety.

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Les landes dévastées / Re : Le beau au bois dormant [ PV Theorem ]
« le: jeudi 27 octobre 2011, 17:55:54 »
Je perçus dans son regard une lueur que je ne connaissais que trop bien, cela me donna une image bien précise de ce qu'il regardait, après tout il est vrai que je porte des vêtements que cette nation juge indécente, mais il y a-t-il grand mal d'exposer une apparence attirante et rafraichissante à la vue de ceux qui cherchent la beauté. C'est alors qu'il se mit à parler de sa raison et visiblement son but. Ainsi il cherchait une personne qui lui était cher au vue de la façon dont il s'exprimait, je n'osais pas l'interrompre, car effectivement la nation du Blanc avait accueilli un inu fort âgé et prompt pour le combat, ayant aussi été un certain temps mon maître d'arme.

Je ne fis rien alors qu'il s'approchait de moi, je n'étais pas totalement sûr de ce qu'il voulait faire, même si mes doutes étaient très minime,  il put toucher mon bras qui est fin et doux. L'inu semblait aussi très intéressé par mes vêtements, il allait être surprit de la texture, le textile semblait être fait d'une soie très douce d'où émane une chaleur tendre et rassurante.

Sa phrase bien que joliment construite ne laissait planer aucun doute sur ce qu'il allait faire, même si je trouvais cette attitude assez déplacé venant d'une personne se disant chevalier, il était en droit de payer sa dette de cette manière.

 Voir son visage se déposer délicatement entre mes deux seins me fit penser à une scène similaire avec ma mère, il faut avouer que si je suis devenue très douées sous ma forme de femme c'est uniquement grâce à ses conseils et son aide. Je me mis à sentir l'excitation venir, c'est vrai que sous ma forme de femme je suis beaucoup plus sensible.  Je pus aussi ressentir ses doigts parcourir mon corps, suivant des lignes invisibles. C'est alors qu'il se mit à parler qu'il était mon esclave sexuel et que je pouvais lui donner n'importe quel ordre.

Avec d'infini douceur, je le fis reculer, n'ayant qu'à donner un très léger coups de hanche pour le faire tomber sur le lit, m'empressant de me mettre sur lui, mes genoux à l'extérieur de ses jambes, mes poignets saisissant les siens avec douceur. Mon visage se mit à quelque centimètre du sien, avant de glisser vers son oreille droite et lui murmurer.

- Esclave … en voilà un terme bien mauvais, je préfère que tu dises amants, un chevalier comme toi doit préserver un minimum de dignité.

Je fis glisser mes lèvres jusqu'au sien, les scellant dans un baiser qui se voulait doux et qui allait certainement le faire réagir.

- Fais-moi l'amour comme un homme libre qui aime une femme.  Donne-moi du plaisir chevalier.

Si avec ça il n'avait pas compris que je voulais le Theorem libre et non l'esclave … et bien je devrais le traiter comme tels, même si cela ne me plaisait guère.

Comme je suis consentante j'avais adapté mon vêtement-âme, maintenant il pouvait le toucher et le retirer comme tout vêtement banal, seulement il allait avoir une drôle de surprise s'il tentait de retirer le tissus sur une partie de mon visage.

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Les landes dévastées / Re : Le beau au bois dormant [ PV Theorem ]
« le: mercredi 26 octobre 2011, 09:03:51 »
Je le vis prendre le bouillon et l'ingurgiter sans le moindre problème, c'était une bonne chose, avec quelque chose de nourrissant dans son estomac il allait pouvoir avoir assez d'énergie pour tenir un petit moment et épurer le restant du venin dans son corps. Je devais avouer que le goût n'était pas fameux, mais les meilleurs remèdes ont bien souvent un goût infect proportionnel à leurs efficacités.

Theorem vint à dire qu'il connaissait ma nation, ce qui était assez surprenant, nous ne fermons jamais nos portes aux étrangers, jugeant que les échanges entres peuples sont bien plus efficace qu'une vaine tentative de conquête où il y aura de nombreux morts. Ainsi il avait déjà habité dans notre nation, cette histoire d'accident me disait quelque chose, mais je n'arrivais pas à savoir. A la date où il était venu je n'étais pas Fondateur, donc il s'agissait sans aucun doute de mon prédécesseur.

Je me mis à observer la mise en place de son vêtement, on voyait bien que le tissu était très résistant, ayant en plus les propriétés d'être souple, un peu comme mon vêtement-âme, mais j'avais choisi une matière assez particulière, car inexistante à notre époque, datant de très ancien écrit dont les éléments pour le faire n'existent plus à cause du changement du climat de Terra.

C'est alors qu'il se mit à faire une légère courbette en disant que sa vie était mienne, ce genre de phrase ne devait pas être dit à la légère, mais je sentais en lui une sincérité dans sa parole. Par respect je devais accepter cela, même si par mon esprit de Fondateur il m'est assez difficile de m'imaginer avec une personne qui m'obéisse aveuglément, aussi je pris la peine de le relever et dit d'une voix franche, sans mensonge.

-Vous me devez votre vie il est vrai, mais je ne compte pas vous imposer quoi que ce soit, vous avez le droit de me refuser votre obéissance si des ordres vous paraisses trop osé ou contraire à vos lois. Je ne connais pas assez votre nation pour savoir quelle limite elle vous impose d'avoir.

Au moins il savait à présent qu'à tout moment il pouvait rompre sa promesse sans risque de se faire réprimander, vivre dans la peur n'est pas bon, ni pour le corps, ni pour l'âme.

- A mon tour de m'excuser, mais j'aimerais savoir ce qui vous à pousser à une telle folie de vouloir traverser  ce désert, votre nation n'est quand même pas ignorante sur le fait que cela soit un lieu des plus hostile ?

6
Prélude / Re : Nathéo Penbar, celui qu'on nomme Lord Slaver. [Valiplanté]
« le: mercredi 26 octobre 2011, 08:57:16 »
* Est choquée et se tient droite pour faire valoir son rang de Fondateur, usant de sa verbe avec une autorité dissimulée dans un ton banal.*

Je ne permettrais pas autant de familiarité par une personne qui réduit la vie à l'état de simple marchandise.

7
Prélude / Re : Nathéo Penbar, celui qu'on nomme Lord Slaver. [Valiplanté]
« le: mercredi 26 octobre 2011, 08:24:21 »
*Salut l'esclavagiste avec courtoisie, mais ne peut s'empêcher de penser que  ses être devraient périr.*

Bienvenu à vous monsieur.

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Les landes dévastées / Re : Le beau au bois dormant [ PV Theorem ]
« le: mardi 25 octobre 2011, 10:46:46 »
 Ne le voyant pas se réveiller, je pris son pouls, rien d'alarmant tout était dans la normale, sans doute son cœur battait légèrement plus vite, mais c'était sans doute à cause que nos deux corps soit entré en contact et que son cœur c'est claqué sur le mien. Cela arrive souvent chez nous alors pourquoi pas avec cet homme. 

Je repris place sur ma chaise, regardant par a fenêtre de possible intrus ou soldat de l'Ordre Immaculée, car j'étais quand même dans un territoire ennemis, même si ma fonction première ici n'était pas de combattre.

Keps aurait été d'avis de fouiller son équipement et de regarder son armement et sa tenue qui était dans un tissu qui ressemblait vaguement à la description d'une énorme araignée réputée pour avoir une toile des plus résistantes sans parler de son venin qui pouvait tuer un animal du nom d'éléphant en moins de dix seconde. Mais il était hors de question pour moi de fouiller davantage dans l'intimité de cette personne, qui allait mal prendre d'être nu et donc savoir que j'avais vu son corps et ses spécificités.

Le double membre masculin ne me choque en rien, les prothèses par contre m'intéressent, notre science nous permet de faire repousser les membres perdus, mais c'est un procédé long et très douloureux, je n'allais pas lui parler de ça, car je n'ai pas les plantes adéquates et faire pousser autant de membre lui causerait une douleur tellement intense qu'il me supplierait de le tuer.

C'est lors de ma réflexion que je vis ses paupière s'ouvrir, des yeux émeraude, c'est assez inhabituel, dans la description des livres les autres nations ont des couleurs autre, du marron, du bleu, du jaune et du rouge, mais rarement du vert.  Sans doute une prédisposition de sa partie bête.

Il se redresse, j'allais lui dire de reste un moment encore allongé pour réveiller progressivement ses muscles, car passer une nuit sous le joug d'un poison contracte les muscle et les malmène, mais visiblement il était plus résistant qu'en apparence. Son allure quelque peu féminine pouvait être trompeur pour les hommes et femmes des autres nation, il me faisait penser à Murototem qui lui aussi avait un corps androgyne et ne supporte pas de se couper les cheveux.

Il se mit à bégayer un peu, certainement son corps qui n'était pas totalement réveillé et son cerveau encore un peu dans le brouillard, il faudrait encore attendre un peu avant de lui poser des questions, profiter de la faiblesse des autres n'est pas dans la nature d'une Rouges Lames.

 Le terme "boite en sapin" m'était inconnu, dans leurs tributs, ils enfermaient les morts dans de grosse boite, quelle coutume bien étrange, dans notre société les mort sont enterrés près d'un arbre qui représente leurs vies. Mais il ne faut pas juger les autres nations par leurs règles ou coutume, car leurs visions des chose est différente.

Voyant que le terranide semblait trop embarrassé d'être nu, je mis ses affaires sur la chaise que j'avais occupé, le laissant se rhabille, lui tournant le dos pour que mon regard ne le gêne pas, la nation de l'Ordre Immaculée semble avoir une gêne à montrer son corps, avaient-ils peur de s'attirer des moqueries, son corps était spéciale j'en convenais mais pas laid au point de devoir s'en cacher.

C'est alors qu'il se mit à dire son identité et visiblement le nom de son côté bête. Par politesse je fis de même, me retournant en n'entendant plus le bruit d'un vêtement qui frotte contre la peau de  l'homme, jugeant qu'il avait enfilé suffisamment de tissu pour se sentir habillé.

- Mon nom est Angelus Silesius Kirtay, vous pouvez m'appeler simplement Kirety si cela vous convient davantage, je suis l'émissaire de la nation des Rouges Lames.

J'étais déjà prête à le maîtriser s'il tentait de me faire du mal, je savais pertinemment que ma nation devais avoir bien mauvaise réputation à ses oreilles, après tout c'est ainsi que les hommes des autres nations manipule leurs peuples, par des mensonges bien ficelé.

Je lui tendis un bol contenant un bouillon à base d'herbe, ce qui allait lui donner des forces et il en avait certainement besoin pour pouvoir vraiment se mouvoir dehors et y survivre. Vous me direz que c'est totalement stupide de donner des forces à un potentiel ennemi, certainement, mais un Fondateur se doit d'être respectueux même envers le plus ingrat adversaire.

- Tenez, c'est à base de plante, cela purifiera votre corps des résidus du poison et vous nourriras bien.

9
Les landes dévastées / Le beau au bois dormant [ PV Theorem ]
« le: lundi 24 octobre 2011, 23:14:41 »
Le vent soufflait avec une rage sans précédent, le sable du désert frappant ma peau blanche avec fureur, comme pour me lacérer, mais cela ne me fait pas peur, continuant à marcher d'un pas lent et calme. La plupart des personnes de cette nation préconiseraient de trouver un coin où se protéger du vent et du sable. Pour moi il en est tout autre, j'avais passé mon enfance à crapahuter dans els montagne, passer des nuits sur de la neige ou encore errer dans les déserts avoisinants. Si pour beaucoup cette tempête semblait un vrais enfer, pour moi ce n'était qu'une petite bourrasque.

C'est alors que je vis un corps inerte dans le sable, d'un pas rapide, luttant assez facilement contre le vent, je m'approche du corps et faufile mes doigts pour toucher son cou, il respire encore et son cœur bat rapidement, mais rien de bien alarmant pour l'instant. Je le hisse sur mon dos, mes pieds supportant assez aisément le poids de ce petit corps de tout son équipement, il était certain qu'un humain de cette nation aurait eu beaucoup de mal à faire pareil que moi. Mais trêve de bavardage, maintenant il faut lui trouver un endroit où l'abrité.

Personnellement cela en m'aurais pas dérangé de passer la nuit dehors, mais maintenant que j'avais la charge de cette personne il en était tout autre, mon honneur me poussait à l'aider et même si cela devait m'attirer des ennuis il est hors de question de le laisser mourir dans le désert et donner aux scorpions et autres créatures désertique l'opportunité de le bouloter.

Comme si ma demande s'était fait entendre par le vent, la tempête cessa d'un coup, c'était ma chance, car je sentais que cette accalmit n'était que de courte durée. C'est en voyant une petite chaumière que je vis une chance d'y abrité cette personne, entendant son souffle qui augmentait, j'avais un gros doute sur la santé physique de cet humain, même si je n'avais pas vu des signes de déshydratation avancé, rien en disait qu'il était en parfaite santé. Une fois à la porte je toque doucement sur cette dernière, histoire de ne pas énerver de possible propriétaire … Aucune réponse.

Tout en restant sur mes gardes, j'ouvre la porte et découvre une pièce unique et aucune personne, visiblement cette chaumière était abandonné depuis peu au vue des buches prêtes dans la cheminé et des chopes encore pleine sur la table. J'allume une lampe à huile pour voir dans le noir, dehors la nuit commençait à s'installer et le froid aussi, je pris le temps de bien fermer la porte, espérant que l'isolation soit suffisante. Je dépose le corps sur le lit non sans grimacer en voyant bien que ce lit était aussi dure que du béton, mais vue le nombre de couverture il ne risquait pas d'attraper froid.

Je vis sur le front de la personne des gouttes de sueurs, plaquant mon front contre le sien je constate qu'il a attrapé la fièvre, mais il n'avait pas que ça. Sans attendre une seconde de plus, je lui retire tout son équipement, posant le tout sur la table. Je me mis à fouiller les placards, cherchant des herbes et trouva ce que je voulais, préparant une mixture qui avait une forte odeur, mais qui au moins serait assez efficace pour chasser le mal qui commençait à le ronger. Une fois ceci fais j'allume la cheminé réchauffant la pièce, vint ensuite le déshabillage complet de cette personne et je ne fus pas déçu.

C'était un terranide, au vu des attributs il devait avoir des liens avec les vaches ou les taureaux,  une chose de sûr c'était un mâle au vu du petit oiseau entre ses jambes, mais je n'avais pas le temps d'admirer ce corps, prenant la mixture pour l'appliquer sur tout le corps du jeune homme et déposant sur son front un linge humide, rabattant par la suite les couvertures pour qu'il n'ait plus froid.

Une heure plus tard son état empira, ayant toujours froids au vu de ses frissons, il fallait le réchauffer et il n'y avait à l'heure actuelle qu'un seul moyen. Je fis disparaitre mes vêtements et mon arme, appliquant sur mon propre corps la mixture, puis me je me faufile sous les couvertures pour plaquer mon corps chaud contre celui du jeune homme. C'était un moyen de survie, usé de la chaleur animale pour réchauffer les autres.

Je veillai dans cette position que je ne jugeais en aucun cas honteuse, car le but était d'aider cet homme à combattre le mal et s'en sortir, rien de plus rien de moins. Toutes les heures je me mis à changer le linge, la fatigue ne prenant pas prise sur moi et devant aller chercher une autre personne à emporter dans les bras de Morphée.

Au petit matin, j'avais quitté le lit et fais réapparaitre mes vêtements, le mal qui rongeait cet homme était partie assez tôt dans la matinée, le permettant de pouvoir avoir un repos bien mérité. Je pus profiter de la lumière passant par une fenêtre pour voir que cette maisonnette  était conçu de rondin de bois et qu'hormis la table au centre avec trois chaise, le lit dure comme du béton et la cheminé, il n'ya avait rien d'autre, laissant une sensation de vide, mais sans doute les propriétaires étaient partie avec tout le reste.

Je pris une chaise le posa près de la tête du terranide, regardant son visage d'ange, il était assez beau, mais la question de sa raison ici me turlupinait, qu'est-ce qui pouvait bien le pousser à braver ainsi une tempête de sable, en sachant qu'il devait savoir qu'il était malade.

Mais pour avoir mes réponse il fallait atteindre que l'homme se réveille.

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Prélude / Re : Iinari petite soumise sexuelle
« le: lundi 24 octobre 2011, 21:11:14 »
*Se dit que l'esclavage devrait ne pas exister, faisant une courbette à Iinari.*

Bienvenue mademoiselle, que votre vie soit teinté du bonheur d'une liberté.

11
Le coin du chalant / Rp de Kirety [Demande rp : Clos pôur l'instant]
« le: lundi 24 octobre 2011, 19:43:36 »
Trame :

Pour l'instant j'ai suffisamment de demande, j'éditerais si besoin.





Rp en cours :

Une rencontre écailleuse [Alice la lamia *w*]

12
Les terres sauvages / Rencontre écailleuse. [Alice la lamia. *w*]
« le: lundi 24 octobre 2011, 19:39:12 »
Je suivais de loin une troupe dont les armoiries ne me disaient que trop de chose, il s'agissait d'une petite troupe de cette armée qui avait tant de fois assaillit nos frontière pour nous envahir,  l'Ordre Immaculée. Je ne savais pas pourquoi ils étaient aussi proche de nos frontière et aussi peu nombreux, j'en décompte neuf, rajoutant leurs général qui semblait avoir des doutes sur ma présence.

Je me mis à descendre une dune, me dissimulant dans derrière un fourré, étant suffisamment proche pour pouvoir lire sur les lèvres du général, il parlait d'envahir une ville de terranide, les  livres parlaient d'eux comme des êtres mi-humain, mi-bête, ayant comme malédiction de finir sous la domination des Hommes. En tant que Fondateur je ne pouvais pas admettre une telle injustice, sortant de ma cachette, je me dirige vers la troupe.

Le général fut le premier à me voir, aussitôt les garde m'encerclèrent, leur chef ayant un regard un peu trop insistant sur mon corps dénudée et plus particulièrement sur ma poitrine et mon intimité, comme le disait les vieux écrit, les hommes des autres territoires sont guidé par des pulsions bestiales pour le moins répugnante.

- Qui es-tu femme.

Je pris toutes les dispositions pour faire valoir mon rang.

- Angelus Silesius Kitery, je suis l'émissaire des Rouges Lames ...

A peine eussé-je prononcé le nom de ma nation que les lames sortir de leurs fourreaux, le général sortir son épée, le promenant sur mon corps s'arrêtant sur le tissu cachant mon intimité.

- Si tu te plies à notre demande tu auras sans doute une chance de vivre.

Qu'il ose toucher mon corps sans mon bon vouloir, même indirectement, était déjà un affront suffisant pour le faire mordre la poussière, mais en plus me faire chanter rendit sa position très clair. Dans ce cas il était possible de plaider ce que des humains appellent la légitime défense, en effet mon corps est menacé et mes opposant plus nombreux et armé d'une arme.

- Il est hors de question que des mains avec d'aussi viles intentions viennent me souiller.

D'un mouvement rapide, j'enroule la chaine de mon manche autour du poignet du général et en esquivant sa tentative de m'embrocher, je lui arrache la main, faisant couler le sang rouge sur le sable qui s'en abreuve avec avidité. La suite suivit une logique désespérante, les paladins se mirent à lancer des sorts de plus en plus puissant, de mon côté je ne faisais que parer leurs sort en les déviants. Il était plus simple de dévier un coup que de l'absorber avec mon aura.

C'est alors que des sort filèrent vers un village non loin de là, il était trop tard pour que je puisse intervenir, voyant le centre s'embraser, par mon manque de discernement j'avais causé des mort innocentes et blessé un village, ce fut suffisant pour dégainer mon arme et montrer un talent mortel dans son maniement, seul le général put s'en sortir étant blessé gravement et désarmé, mon honneur en tant que combattante m'interdisait de le tuer, le laissant partir avec un cheval qui semblait lui appartenir.

Je fus le fruit d'un doute, devais-je laisser ses guerriers sans sépulture ou aider le village qui avait subit les dégâts de notre escarmouche. Je me mis à user d'un art secret pour projeter mon âme au centre du village, ils ne pouvaient me voir ou me sentir, une fois m'être assurée qu'il n'y aurait pas plus de victime, je revins dans mon corps, évitant de me faire piquer par un scorpion aussi noir que la cendre.

Je vis disparaitre mon arme et commença à creuser des tombes descente pour mes adversaires, pour beaucoup cette action aurait put paraitre idiote, mais il faut savoir honorer les personnes tombées au combat, même si ce sont des ennemis.

Cela promettait d'être un dur labeur.

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Prélude / Re : L'émissaire des Rouges Lames. [Valiplanté(e)!]
« le: lundi 24 octobre 2011, 18:40:51 »
Comme dit à un autre joueur, c'est surtout un test avant de le valider sur mon jeu de rôle et l'intégrer dedans.

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Prélude / Re : L'émissaire des Rouges Lames. [Valiplanté(e)!]
« le: lundi 24 octobre 2011, 18:30:54 »
Merci, je vais mettre créature donc.

De toute façon cela n'influe en rien mon personnage.

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Prélude / Re : L'émissaire des Rouges Lames.
« le: lundi 24 octobre 2011, 17:38:10 »
Voilà en espérant que cela convienne.

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