Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lydia

Pages: [1] 2 3 ... 33
1
L'Art / Re : [HENTAI] Some lemons...
« le: jeudi 20 septembre 2018, 13:28:10 »
Suite (et certainement fin) des aventures de Mitsuko !
Comme d'habitude, n'hésitez pas à me faire part de vos retours, etoo etoo. ♥
Bonne lecture ! :3

Citer
Les aventures de Mitsuko
Chapitre IV

Je marchais dans les couloirs du lycée, tout à fait normalement, sans me préoccuper de rien. Je savais ce qui allait bientôt arriver, et ça me rendait un tantinet heureuse. Bon, beaucoup plus que seulement un tantinet, pour être honnête. La masse grouillante d'élèves autour de moi se dirigeait à droite ou à gauche, pour rejoindre leurs cours. En me concentrant sur le visage des garçons qui passaient, je pouvais en reconnaitre facilement une bonne moitié. Et j'étais sûre que je devais être très reconnaissable, moi aussi. Pourquoi ? Et bien... Cela faisait maintenant près de trois mois, depuis cet incident avec Inoe. Et en trois mois, il s'en était passé, des choses. Tellement de choses...

*DING*, *DONG*

La sonnerie du lycée. Oh, non, j'étais en retard ! Vite, je me mis à courir vers ma destination. Pendant que les derniers retardataires entraient dans leur salle, je me dirigeai vers les toilettes. En vérité, je ne comptais pas aller en cours pour l'instant, j'avais quelque chose de plus urgent. Un rendez-vous très spécial m'y attendait. Enfin, vu leur fréquences, je ne savais pas si l'on pouvait les qualifier de spéciaux, mais moi en tout cas, je les prenais très à cœur. Ho oui ! J'en étais même terriblement accro, en fait... J'entrais donc dans les cabines des garçons, où un lycéen m'attendait. Il était plutôt beau gosse, soigné, mais aussi visiblement très contrarié par mon arrivée tardive. Évidemment, j'étais fautive, et m’empressai donc de lui présenter mes excuses.

« Oups, je suis vraiment désolée, j'ai été... »
« Oh ferme-là, sale pute, je veux pas de tes excuses. Viens par là ! »
« Hiii ! »

Ohlala, qu'est-ce qu'il était impatient ! Je n'étais pas vexée par la violence de ses mots, au contraire même je dirais, ça m'excitait un peu de l'entendre m'insulter et prendre un ton colérique. Je me sentais comme une vilaine fille... ce que j'étais, assurément. Il ne me ménagea pas, et m'attrapa par la chemise pour me tirer vers lui, m'arrachant un cri de surprise. Il était violent même dans ses gestes, le bougre. Lui aussi, était un vilain garçon, et j'aimais ça. Il me plaqua sans aucune douceur, face contre le mur, une main contre mes épaules. Je me laissais faire, en couinant un peu, et commençais à mouiller à petites gouttes. Il ne m'avait rien fait encore, pourtant, mais je savais que ça ne saurait tarder. Je sentais le carrelage froid contre ma joue, ma poitrine légèrement écrasée contre le mur, et ma jupe se lever d'un coup, avant qu'un violent geste de sa main ne vienne m'arracher la culotte. Elle dégringola jusque mes chevilles, en même temps que mon excitation grimpait. Instinctivement, je tendis ma croupe nue en arrière, vers lui. Je la lui offrais, en position de levrette, et soupirais faiblement...

« Oh oui, baise-moi, s'il te plait... »

J'étais là pour ça, c'était la seule raison de ma venue ici. J'étais là pour qu'il me baise, fougueusement, et j'en mourrais d'envie...

« C'est vrai ce qu'on dit alors, haha, t'es vraiment une salope ! T'inquiète pas va, je vais bien... te... baiser ! »
« Mmmh-haa ! »

Il n'y alla vraiment pas par quatre chemin. Dégainant son sexe, il le dirigea vers mon antre chaud et humide, et me pénétra d'un coup sec qui me plaqua contre le mur en m'arrachant un doux cri d'excitation. Ho, oui ! Je l'avais rencontré depuis même pas une minute, et il me besognait déjà furieusement. Son barreau de chair s'enfonçait entre mes cuisses, reculait ensuite pour mieux revenir à l'assaut de mon vagin humide de cyprine. Ses hanches claquait contre mes fesses à chacun de ses coups de reins, de délicieux coups durant lesquels son sexe glissait et se frottait contre mes parois intimes. J'étais écrasée sous le poids de son corps, me trémoussais contre lui, couinais mon plaisir. Que c'était bon ! Il n'y avait aucune douceur, ni tendresse, ce n'était pas de l'amour, juste du sexe, purement et simplement du sexe. Je m'y étais habituée, avec le temps... enfin, non, pas juste habituée, j'adorais ça. Peut-être que j'avais toujours adorée ça, au fond, sans l'avouer complètement. Toujours était-il que je m'offrais à lui, et qu'il prenait son pied. Son souffle chaud me caressait la nuque, haletant au rythme de ses furieux coups de queue, si vifs et si puissants qu'il semblait vouloir me casser le bassin. Je peinais à le soutenir, le mur contre lequel il me plaquait le faisait pour moi, je subissais ses assauts vigoureux en gémissant de plaisir, entrecoupé de sursaut à chacune de ses pénétrations. Mon intimité lui offrait un écrin chaud et humide, dans lequel il se plongeait de tout son saoul. Et c'était follement excitant. Je plongeais en même temps que lui dans les affres du plaisir, sans un mot, sans un regard, simplement son corps contre le mien, et la mélodie sexuelle de nos ébats. Je respirais avec peine, pendant qu'il me bourrait violemment, faisant éclabousser ma mouille sur mes cuisses. Oh, oui, que c'était bon !

Je pensais qu'il avait atteint ses limites, mais il parvint malgré tout à me surprendre, en accélérant de plus en plus ses va-et-vient. Ses gémissements devenaient de plus en plus rauque, aussi. Quant à moi, je ne tenais plus en place, prise en tenaille entre le mur et ce garçon qui me pilonnait. Bientôt, il finit par céder au plaisir, et dans un ultime et puissant coup de rein, qui me propulsa sur la pointe des pieds, il atteint l'orgasme et se mit à jouir en moi. Il relâcha de nombreuses giclées de sperme, se déversa abondamment dans ma chatte, en râlant de plaisir. Je couinais faiblement, en extase, pendant qu'il me remplissait de sa semence chaude, et savourait la longue minute durant laquelle il se vida en moi. Lorsqu'il se retira enfin, une partie de nos fluides sexuelles se mirent à couler sur l'intérieur de mes cuisses déjà mouillées. J'étais éssouflée, et m'affaissa doucement pour arriver sur le sol. Je restais toujours face vers le mur, des mèches de cheveux désorganisées collées contre mon front, et un sourire aux lèvres.

« Ha putain ! Je regrette pas, t'es vraiment trop bonne. »
« Merci... »

Son compliment eu l'effet de me faire légèrement rosir. Je ne regrettais pas non plus, au contraire, j'en aurais volontiers redemandé ! D'ailleurs, en entendant le son de la boucle de sa ceinture, une pensée me vint à l'esprit, et je me retournai rapidement.

« Oh, non, attends, viens je vais te nettoyer la queue avant. »
« Wooh, t'es sérieuse ? ... Bah ouais, vas-y, fais-toi plaisir, haha. »

J'y comptais bien. J'adorais me faire baiser, mais j'aimais aussi sucer. Je me rapprochais donc de lui, toujours à genoux, et vint lécher son sexe luisant, lapant doucement le mélange de sperme et de cyprine qui la recouvrait.

« Ouais... lèche-moi bien... bonne petite salope... »

Voilà que je rougissais de plus belle, maintenant. Je m'appliquais soigneusement, promenant ma langue de la base jusqu'au gland, et recommençant autant de fois que nécessaire, en m'assurant de ne rien manquer. Je continuais ainsi jusqu'à ce qu'elle soit toute propre, en produisant involontairement des bruits humides avec ma bouche, et avalant ce délicieux mélange de fluides. Enfin, lorsqu'il n'y avait plus rien à lécher, je me mis à doucement sucer son gland, pour avaler ses dernières gouttes de sperme, avant de finalement le relâcher.

« Mmh, miam... voilà qui est mieux... »
« C'est clair ouais... Bon, c'est pas le tout mais je dois filer moi. Ciao ! »
« On se revoit quand tu veux, mon beau... »

L'intimité encore ruisselante de son sperme, je me mis à me doigter légèrement, en recueillant un peu pour le porter à mes lèvres, suçant mes doigts avec une gourmandise perverse pendant que je le regardais se rhabiller, et s'en aller. Mon dieu que j'avais passé un moment fabuleux !

« Mmmh... »

Oh, j'oubliais ! Pour en revenir à ce que je disais avant ce savoureux interlude, trois mois s'était passés depuis qu'Inoe avait réussi à mettre le grappin sur moi. A l'époque, j'étais furieuse contre elle, clairement, et j'étais prête à tout pour me sortir de son emprise et me venger au centuple de ce qu'elle m'infligeait. Sauf que, malgré toutes mes tentatives, elle avait toujours une longueur d'avance sur moi, et continuait de laisser planer la menace de révéler ma vidéo à tous le monde. J'étais donc obligée de me plier à ses idées les plus perverses... J'ai enchainé tellement de gangbangs, au lycée et ailleurs, et senti passer tellement de verges par mes orifices, le plus souvent plusieurs en même temps, que je serais incapable de les compter, ou même de l'estimer. C'était vraiment des expériences sexuelles très intenses, que j'avais accepté avec répulsion, au début, mais au fil du temps, je m'étais rendue rendue compte que ce n'était pas si terrible, au fond. J'en éprouvais même un certain plaisir. Mon esprit refusait de l'admettre, mais mon corps le confirmait, jour après jour, partenaires après partenaires, éjaculations après éjaculations. Jusqu'à ce que je finisse par réaliser la vérité : j'adorais ça, en réalité.

Inoe m'avait ouvert les yeux finalement, sur ma perversité. Et, sous sa tutelle, j'avais obtenu divers sobriquet qui semblaient convenir à tout le monde. J'étais devenue la chienne suceuse de bite, le vide-couille du lycée, le sac à foutre que n'importe qui pouvait venir baiser. Et, lorsqu'elle me disait d'aller quelque part, de voir quelqu'un, que ce soit pour ouvrir la bouche ou écarter les cuisses, que ce soit pour servir de cible à leur éjaculation ou les recevoir directement en moi, je m’exécutais sans broncher. Non pas sous la menace, ni la moindre contrainte, mais parce que ça me plaisait, tout simplement. J'aimais ma nouvelle vie, parfois épuisante mais si excitante !

D'ailleurs, il était temps pour moi de retourner en cours. Je m'essuyais rapidement, et me rhabillait, avant de brièvement ajuster ma coiffure et de filer à mon tour. Bien évidemment, après mes galipettes, j'étais très en retard. Je finis par entrer dans la salle, en plein milieu de la leçon.

« Je suis désolée d'être en retard, monsieur, j'étais... indisposée. »

L'excuse passe-partout, que je réutilisais souvent. En général, on ne me posait pas de question, surtout s'il s'agissait d'un homme. Je pouvais quand même voir un sourire sur le visage de certains camarades. Ils n'étaient pas dupes, et se doutaient surement de la véritable raison de mon retard. Je rougissais, un peu gênée, en arborant un petit sourire complice moi aussi. C'était notre petit secret collectif.

Je m’apprêtais à prendre une petite sieste au fond de la salle, après toutes ces émotions, mais un mystérieux message fit vibrer mon téléphone. C'était Inoe, elle voulait me voir, que je passe chez elle après les cours. Apparemment, elle aurait quelque chose de spécial pour moi. Je me demandais ce que ça pouvait être... D'habitude elle était toujours claire dans ses messages, c'était la première fois qu'elle était aussi mystérieuse. Ce qui souleva pas mal de question, auquel il n'y avait aucune réponse. Elle refusait de m'en dire davantage non plus, malgré mes demandes. Je ne le découvrirais que sur place, alors...


Le soir même...



« Oh, tu es là Mitsuko chérie ! Entre, entre donc. »

Elle m'accueillit chez elle avec une gentillesse presque déstabilisante, en tenue de nuit. Elle portait un joli déshabillé mauve, avec de la dentelle, et assez transparent pour voir ses sous-vêtements noir en dessous. Quant à moi, j'avais encore mon uniforme du lycée. Je franchis le pas de la porte, et réalisa qu'apparemment nous étions seules toutes les deux, ses parents n'étaient pas là.

« Je te dirais bien de faire comme chez toi, mais, j'ai plutôt envie que tu viennes avec moi ! »

A peine avait-elle refermé la porte derrière moi qu'elle s'empressa de me prendre par la main et de m'emmener ailleurs. Qu'est-ce qu'elle pouvait bien avoir derrière la tête ? En tout cas, elle était drôlement enthousiaste, ça devait être important pour elle. Je la suivais donc docilement, jusqu'à sa chambre, qui ne présentait rien d'étonnant pour celle d'une lycéenne. Elle était spacieuse, avec un grand lit, ainsi que divers décorations aux couleurs vives, posters de célébrités, et quelques peluches sur les meubles. L'ambiance y était très douce et féminine, en tout cas. Un sérieux contraste avec ce qu'elle avait prévu pour moi...

Je posais mon sac par terre, et encore tenue par la main, je me laissa guider jusqu'au lit, sur lequel je m'installai à genoux. Le regard tourné vers Inoe, je tentai de découvrir la raison de ma venue.

« Alors, tu avais quelque chose à me dire ? Ou... »
« Allons, Mitsuko ! Mets-toi un peu à l'aise, d'abord, non ? »

Sur ces mots, elle n'attendit pas ma réaction, et vint d'elle même déboutonner ma chemise, pour me la retirer. Je pouvais sentir son impatience dans ses gestes, c'était très intriguant, qu'est-ce qui pouvait bien la mettre dans cet état ? Je me laissais naturellement faire, et elle ne tarda pas à parcourir mon corps pour me déshabiller de la tête aux pieds : ma jupe, qu'elle fit glisser le long de mes jambes, suivi de ma culotte, qui suivi le même chemin, ainsi que mon soutien-gorge, qu'elle vint dégrafer dans mon dos. Il ne me restait plus que mes bas, qu'elle jugea inutile de me retirer. J'étais ainsi nue devant elle, ce dont je n'en ressentais aucune gêne, elle m'avait déjà vu dans des situations infiniment plus embarrassante. Je restais silencieuse, et curieuse, en la regardant. Elle se mordilla la lèvre, toute excitée visiblement, ce qui suscita en moi un frisson. Quelque soit ce qu'elle avait en tête, je la suivrai sans hésitation. J'avais hâte de savoir !

« Ça va être, PAR-FAIT, huhu... on va jouer tooooouuuuute la nuit, moi et toi. »

Elle commença par sortir une longue corde brune, douce mais solide, et avec un sourire un peu sadique, elle s'en servit pour m'attacher. Inoe ne se contenta pas de nouer mes poignets derrière mon dos, elle fit également passer la corde autour de mes coudes, et de mon buste, suffisamment serré pour m'empêcher de bouger d'un moindre centimètre, mais sans que ça ne soit douloureux. Avec l'autre extrémité de la corde, elle vint m'attacher les jambes aussi, en venant l'enrouler autour de mes cuisses, de mes genoux, de mes chevilles, les resserrer entre eux. Pendant ce temps, j'étais très sage, et la laissais faire, l'aidant même en me déplaçant. J'étais un peu anxieuse à l'idée de perdre toute mobilité, mais j'avais suffisamment confiance en Inoe, et j'étais prête à m'abandonner à ses jeux. Mes mouvements étaient maintenant complètement entravés, je ne pouvais rien faire d'autre que de me tortiller. Allongée sur le dos, je n'étais plus simplement attachée, j'étais carrément saucissonnée à vrai dire.

« Ça va Mitsuko, ce n'est pas trop serrée au moins ? »
« Non, non ça va... »
« Très bien. On peut passer à la suite, alors, huhu. »

Évidemment, cette petite séance de bondage n'était qu'une entrée en la matière, la suite serait autrement plus jouissive. En effet, ayant retrouvé son sourire sadique, elle me montra un sextoy que je ne connaissais que trop bien, un Magic Wand, qu'elle vint gentiment frotter contre mon bourgeon de plaisir, en se rapprochant et s'allongea contre moi.

« Ma Mitsuko chérie, j'ai très envie de te voir jouir ! Tu veux bien me faire cette faveur ? Je vais l'allumer, et je veux que tu te laisses aller, sans retenue, d'accord ? Et je serais à tes cotés. Hihi ! Allez, trois, deux, un, TOP ! »
« Hein ? AttaaAAHH ! »

Elle ne me laissait pas le temps de répondre. C'était à peine si j'avais assimilé ce qu'elle venait de me dire ! Après son rapide décompte, elle activa le sextoy et vint le blottir contre mon clitoris. Ma seule réaction fût un soubresaut, accompagné d'un involontaire couinement de stupeur et d'extase. Oh, oui ! Les vibrations étaient intenses, et si soudaines, il me fallut un petit moment pour m'y adapter.

Au début, tout était incroyablement calme. Inoe me regardait, souriante, et tenait le sextoy bien en place, s'assurant de le presser contre mes parties intimes. Quant à moi, je respirais de plus en plus fort, et soupirait, mais restait également silencieuse. On n'entendait que le buzz continu du petit moteur qui vibrait sur mes cuisses. Elle me caressait doucement les cheveux, et semblait attendre patiemment le moment où je craquerais.

Un laps de temps incertain s'écoula. Je commençai à ressentir des vagues de chaleur à travers mon corps, se propageant à partir des stimulations du Magic Wand, de manière de plus en plus perceptible. Je devenais de plus en plus sensible à ces sensations, mes soupirs devenaient de faibles gémissements, je ne parvenais plus à rester immobile et me mis à me trémousser doucement sur le lit, toute saucissonnée. Oh, je sentais que ça allait être difficile de tenir, ça oui. Je commençais à être sérieusement excitée, et Inoe le savait. Elle ne m'accordait pas de répit, et entreprit même de m'exciter davantage, en me caressant le sein. Elle était allongée contre moi, et passa son autre main derrière ma nuque, puis sur mon épaule, pour venir s'occuper de mon téton.

« Alors, comment tu te sens ma chérie ? »
« Ç-ça va... »
« Bien, bien... Tu n'as pas besoin de te retenir, tu peux te laisser aller, d'accord ? Tu sais comme j'aime entendre tes gémissements de plaisir. »

Me laisser aller... Oh, ça, oui c'était sûr. Je ne tenais déjà plus en place, en fait. Elle continuait à stimuler la zone la plus sensible et érogène de mon corps, tout en me caressant simultanément. Je devenais rouge, j'avais de plus en plus chaud, et mes gémissements devenait des halètements sonores et salaces. Elle prenait un malin plaisir à me voir perdre le contrôle, et vint m'encourager en me chuchotant au creux de l'oreille.

« C'est ça ma belle, allez, joui pour moi... »
« Aaahh... Aaahh... Mmmhh ! ... »

Elle me lécha ensuite la joue, pendant que je couinais et me tortillais de plaisir. Les stimulations devenaient de plus en plus insoutenables... mais c'était justement ce qui était si bon ! Les sensations que je ressentais étaient si fortes, si intenses, j'étais submergée au point de ne plus être totalement connectée avec la réalité.

« Mmh-aaah ! ... Inoe, je... aah ! »
« Oui, tu ? »

J'essayais de lui dire que j'allais jouir. Que je pensais que j'allais jouir. Mais alors que le plaisir grimpait inexorablement, elle cessa de me caresser et éloigna brusquement le sextoy de mon clitoris. Mais... pourquoi !? La respiration encore haletante, je lui lançais un regard profondément implorant, auquel elle répondit d'un simple sourire sadique.

« Oh... tu as cru que tu allais jouir ? Non non non, ma petite Mitsuko. J'ai dis que je voulais te voir jouir... mais nous ne sommes pas pressées, si ? »

Si ! Je brulais d'envie de lui hurler que si, j'étais au bord de l'implosion et voulais tellement jouir ! Elle n'était cependant pas du même avis, et puis, c'était elle qui décidait.

« Haan... non, s'il te plait Inoe... mmh... je veux... fais-moi jouir... »

Elle regardait en l'air, l'index posé sur son menton, faisant mine de réfléchir pendant une dizaine de seconde.

« Mmh, voyons voir... je crois pas, non, hihi ! »

Avant d'ajouter, rapidement, tandis que je la regardais avec désarroi.

« Mais tu peux essayer de jouir toute seule, hein, si tu veux. Tiens... voilà. A toi de jouer, hihi ! »

Elle ralluma le Magic Wand, et le posa sur le lit. Rien que d'entendre ses vibrations me donnaient furieusement envie de le presser contre moi ! Mais j'étais toute ficelée... Je regardais Inoe, penaude, qui m'observait en silence. Elle semblait très sérieuse, en dépit de son sourire.

« B-bien, d'accord... »

Il semblerait que je n'avais pas le choix. Je me mis à me tortiller sur le lit, de manière assez ridicule, pour me retourner et venir me placer comme il fallait. J'avais été tellement obnubilée par l'excitation que je n'avais pas remarqué toute la mouille qui s'était écoulée de mon intimité, sur mes cuisses et sur les draps. Je remuais comme une petite chenille, sur le ventre, jusqu'à ce que le sextoy ne soit au niveau de mon intimité. Et, sans attendre, je creusais le bassin pour pouvoir appuyer, du mieux que je pouvais, mon bourgeon de plaisir contre le Magic Wand. C'était très compliqué, et je parvenais tout juste à l'effleurer. Je pouvais ressentir les vibrations, si agréable et si excitante... mais aussi si diffuse, que ça n'était clairement pas suffisant. Je bouillonnais de frustration ! Qu'à cela ne tenait, je remuais frénétiquement du bassin, sautillant sur place, pour mieux me frotter à ce petit objet vibrant, à la clé de ma délivrance... mais ma jouissance restait encore hors de portée. Je n'en pouvais plus, je devenais folle ! Je remuais de plus belle, mais ça ne changeait pas grand chose. C'était plus excitant, oui, mais toujours pas suffisant. Il me restait un dernier espoir... et, à bien y réfléchir, ce devait certainement être ce sur quoi comptait Inoe, depuis le début. Elle savait que ça ne mènerait à rien. Au point où j'en étais, je m'en fichais totalement, je ne pensais à rien, et j'étais prête à tout.

« Inoe, je... s'il te plait... aide-moi... fais-moi jouir... »
« Hmm, c'est tout ? Tu m'as habituée à être suppliée mieux que ça quand même... »
« Je... mmh... Je t'en supplie Inoe, fais moi jouir, je n'en peux plus... »
« Huhu, c'est déjà mieux... »

Je l'entendis s'approcher derrière moi, et soudainement une grosse fessée vint s'abattre contre mon postérieur, me faisant couiner.

« Je vais m'occuper de toi, ma belle petite salope. Lève-moi bien ton cul, j'arrive tout de suite. »

Oh, oui, enfin ! Je m’exécutais avec une grande impatience, et me mis à genoux, face contre le lit, le dos incliné et la croupe relevée, c'était le mieux que je pouvais faire vu ma situation. La fente de mon intimité était visible entre mes cuisses, et indécemment mise en évidence par la mouille, qui la rendait luisante. Je ne savais pas trop ce qu'elle me préparait, mais j'en trépignais d'anticipation. Tant qu'elle pouvait soulager ma frustration...

Elle revint assez rapidement, et je la senti grimper le lit derrière moi. Je restais immobile, silencieuse, patiente, et Inoe ne tarda pas à me faire savoir ce qu'elle avait apporté. Un volumineux godemichet, qu'elle me présenta en le frottant contre mon cul, mes cuisses, en évitant soigneusement mon sexe qui pourtant le désirait ardemment. Elle se contenta de me demander.

« Je t'ai apporté une surprise, Mitsuko ! Tu la veux ? »

Ho oui ! Et pas qu'un peu ! Je n'avais vraiment plus le temps pour ses jeux ou pour la supplier, je voulais qu'elle passe à l'action, et me faire baiser ! Je pris donc les devant, et remua mon postérieur pour essayer de trouver l’extrémité de sa verge, et de satisfaire mon envie urgente de m'empaler dessus.

« Quelle chienne en chaleur, cette Mitsuko ! Mais c'est comme ça que je l'adore.Tiens, tu as bien mérité ta récompense... »

Elle m'aida dans ma tâche, dirigeant son gode vers ma chatte chaude et toute trempée, et à l'unisson, nous rapprochâmes fougueusement nos corps l'une de l'autre, résultant en une vive et intense pénétration qui me fit trembler de tout mon être.

« Haann, oui, que c'est bbbon ! »

Chienne en chaleur était une expression lourde de sens, et pourtant, c'était un euphémisme pour me décrire. J'étais devenue endiablée, remuant mon bassin de haut en bas aussi vigoureusement que je le pouvais, pour m'empaler sur sa grosse queue. Qu'elle soit en silicone plutôt qu'en chair, je m'en fichais royalement, elle me remplissait tout autant, et glissait très facilement dans mon intimité lubrifiée par la mouille. Je ne cachais pas mon plaisir, gémissant de concert avec les pénétrations, couinant à quel point je prenais mon pieds.

« Aah ! Oh Inoe, baise moi ! Aah ! Baise moi fort ! »

Elle ne me ménageait pas non plus, et nos ébats redoublaient d'intensité tandis qu'elle-même me donnait de rapide et vigoureux coup de reins. Elle me comblait de plaisir, me pénétrait furieusement, faisait éclabousser ma mouille au rythme du claquement de nos bassins. Mon dieu, que c'était bon ! J'étais au bord de l'explosion, et il n'en fallut pas beaucoup plus pour me faire atteindre un orgasme des plus intenses.
 
« Oh oui ! Oh oui ! Oh ouiiii ! »

Ah, enfin... Après toute cette frustration et cette excitation, j'étais sur un petit nuage, en pleine extase. J'avais la chair de poule, et mon corps tressautait sous l'effet de la jouissance. Que c'était bon ! Je me sentais si bien, si détendue... Inoe avait arrêté ses pénétrations, et était restée plantée en moi, en me caressant les fesses avec tendresse.

« Tu es tellement sexy quand tu jouis, ma Mitsuko... tu es heureuse ? »

J'étais encore un peu trop à coté de la plaque pour parler, mais je répondis quand même en grommelant et en hochant affirmativement la tête.

« Hmm, hmm... »

« Tant mieux, tant mieux... profite bien de ta pause alors, parce que je n'en ai pas fini avec toi... rappelle-toi, nous allons jouer toute la nuit, hihi... »

Vraiment ? J'étais complètement épuisée, à la fois physiquement, à force de me trémousser en étant attachée, et psychologiquement, après ce que j'avais enduré. D'un autre coté, elle avait raison, la nuit ne faisait que commencer... et même si j'étais comblée, j'avais encore très envie de jouer !

« Je-je suis prête Inoe... »
« Tu m'en diras tant. »

Elle retira son sextoy de mon vagin ruisselant, et n'étant plus retenue à rien, je m'écroulais machinalement sur le lit. En me retournant, je pu voir Inoe enlever le harnais autour de son bassin, et venir me grimper dessus, me chevaucher à califourchon sur mon ventre.

« Tu trouves ça normal, d'avoir joui avant moi ? »
« Euh... pardon ? »

Elle ne repeta pas la question, et vint plutôt me pincer le téton, avec suffisamment d'intensité pour me faire crier.

« Aaahh ! N-non, enfin je sais pas, quoi, c'est toi qui... Aaahh ! »

Ma réponse ne lui paraissait pas convaincante, et elle me pinça à nouveau, plus fort. Mais qu'est-ce qui lui prenait !? Elle me toisait de son regard sévère, et semblait exiger une vraie réponse.

« Je... oui, c'est vrai, j'étais tellement concentrée sur mon plaisir, que j'ai oublié le tiens... »
« Et... ? »

Cette fois, elle ne me pinça pas, mais me gifla bruyamment les seins, m'arrachant un couinement plaintif. C'était douloureux, mais ça m'excitait beaucoup qu'elle me domine de la sorte. Je répondis simplement, toute penaude.

« Et... euh... pardon ? »

Une nouvelle gifle tomba, imprimant une trace rouge sur mes seins.

« Hiii ! Je veux dire, je suis vraiment désolée, et te demande pardon. »
« Tu veux vraiment te faire pardonner ? »
« Ou-oui ! »
« Tu sais ce qu'il te reste à faire, donc... »

Elle fit volte-face, et vint s'installer à califourchon contre mon visage. Elle avait retiré sa culotte plus tôt, et je me retrouvais nez à nez avec l'intimité d'Inoe, humide et irradiant d'une douce chaleur, qui attendait manifestement mon attention.

« Alors ? »

Elle se remit à me pincer les tétons, ce qui m'arracha un nouveau cri de douleur, qu'elle s'empressa d'étouffer en écrasant son bassin contre mon visage

« Aammhff ! »

Elle était devenue subitement beaucoup plus autoritaire que lors de nos ébats, maltraitait continuellement ma poitrine, et je trouvais le tout étrangement excitant. Douloureux et excitant. N'ayant pas d'autre choix, et tout de même désireuse de la satisfaire, je me mis à la lécher. Je voulais lui offrir un cunnilingus digne de ce nom. Ma langue glissa le long de sa fente, et vint chatouiller l’intérieur de sa vulve. Pendant ce temps, malgré mon obéissance, Inoe continuait ses violences mammaires, en alternant entre de vifs pincements et de tendres caresses.

« Mmh ! »

Que c'était bon... Je ne m'étais toujours pas remise de mes précédentes émotions, et je commençais déjà à redevenir folle de plaisir. Ma langue remuait fougueusement contre son sexe, que je léchais avec avidité, goutant à son intimité et au délicieux nectar qui s'en écoulait. Je frémissais d'excitation, que j'essayais de canaliser pour me concentrer pendant que je lui broutais le minou, ce qui n'était pas une mince affaire. Ma poitrine était devenue si sensible, à vif, elle torturait mes tétons érigés et durcis, et les soulageait, entre cruauté et tendresse. Je n'avais même pas le loisir de pouvoir extérioriser mes sensations, et crier, ni même gémir, elle pressait son bassin contre mon visage, m'étouffant à moitié et ne me laissant d'autre choix que de lui offrir les caresses de ma langue.

Ce petit jeu continua de longues minutes encore, peut-être une bonne dizaine, en tout cas bien plus que ce que je pensais pouvoir supporter. Je mouillais tellement qu'une nouvelle tache humide s'était formé sur les draps, et Inoe aussi, qui finit même par jouir sur mon visage tout trempée.  Nos jeux sexuels s'enchainaient, et nos orgasmes aussi. Au point que ça devenait difficile de me rappeler de tous ce que nous avions fait, toutes les deux. Elle s'était amusée à me faire faire une fellation sur son gode, et à le forcer jusque dans ma gorge, furieusement, pendant qu'elle essayait de me faire jouir grâce à un vibromasseur entre mes cuisses. Nous avions aussi essayer un godemichet à deux extrémités, et quand je dis essayer, Inoe et moi avions baisée dans de multiples positions, et jouis de nombreuses fois toutes les deux. Tout n'était pas toujours aussi pervers et fougueux non plus, nous nous sommes régulièrement câlinées, caressées, embrassées. Inoe avait toujours refusé de me libérer, j'étais sa petite poupée et elle en profitait bien, et moi aussi au fond. Autant dire que le reste de la nuit fut longue. Oh oui, délicieusement longue...

2
L'Art / Re : [HENTAI] Some lemons...
« le: samedi 31 mars 2018, 17:35:04 »
Et non, vous ne rêvez pas, les aventures de Mitsuko continuent ! o/
Comment ça, on s'en fiche ? è_é
Pour la petite histoire, j'avais commencé à écrire ce chapitre il y a presque 5 ans, en ajoutant quelques bribes par ci par là au fil du temps, et l'ai finalement terminé aujourd'hui. (Merci Koya ♥). Mais, du coup, l'écriture n'est certainement pas homogène d'un bout à l'autre du récit, rien que visuellement ça se voit un peu. ;D
Comment ça, on s'en fiche toujours ? D:
Bon, d'accord, bref.
J'espère que ce nouveau chapitre vous plaira !
Comme d'habitude, rendez-vous l'an prochain pour la suite. :3
Je plaisante ! Peut-être... Bon en fait je sais pas. :x
En tout cas d'ici là n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez, en bien ou en mal, et à laisser un petit +1 si ça vous a plu... ah non, le KS n'existe plus, c'est vrai.
Mais les remarques, toutes, sont toujours bonnes à prendre. :)

Anyway, enjoy~!


Citer
Les aventures de Mitsuko
Chapitre III


« Oh non, ne crois pas que tu te débarrasseras de moi aussi facilement. Tu vas le regretter, Mitsuko, crois moi ! »

J'étais dans mon lit, à essayer de dormir, mais les menaces d'Inoe résonnaient encore dans ma tête. Au fond je n'avais rien à craindre, la vidéo avait été supprimée. Mais cette peste allait surement essayer de se venger d'une manière ou d'une autre... Bah. Qu'elle essaye, on verra bien.

Le lendemain matin, je me rendis au lycée. Rien ne sortait spécialement de l'ordinaire, si ce n'était cette légère impression que quelques chose se tramait. Les groupes d'élèves semblaient avoir des discussions plus animées que d'habitude. Les rumeurs voyageaient si vite que je ne tardais pas à apprendre pourquoi.

« Hey t'as vu la vidéo ? »
« Laquelle ? »
« Comment ça "laquelle", mec, la sextape, c'est LA vidéo du siècle ! »
« T'es sérieux là !? »
« Ouais, bon, c'pas vraiment une sextape, juste une meuf qui se branle toute seule, mais r'garde ! »
« Ouaaah... »
« C'est l'uniforme du lycée ! Et là, r'garde les tables ! »
« Attends, ça veut dire qu'ça a été filmé ici !? »
« Ouais ! Putain, dommage que ça soit floutée... »
« Grave... si elle est autant qu'ça en manque, j'veux bien lui prêter ma bite moi. »
« Bof, pas sûr qu'un mec qui jouisse en dix secondes ça l’intéresse, haha. »
« Haha enfoiré ! »

Non, c'est pas possible... Cette vidéo, dont tout le monde était en train de parler... c'était moi ! Pourtant elle avait été effacé hier, sous mes yeux, je l'avais vu, comment ça se faisait !? Cette peste d'Inoe m'avait embobinée... elle devait surement avoir fait des copies de la vidéo avant notre rencontre. La garce ! Et maintenant tout le lycée était en train de me regarder en train de me masturber. Oh mon dieu... heureusement que mon visage y était floutée. Mais, et si quelqu'un parvenait quand même à me reconnaitre !?

Cette pensée me terrifia. La journée passa, la boule au ventre, et je profitais de la moindre occasion entre les cours pour chercher cette peste au lycée. Dans chaque couloirs, je sentais ces regards sur moi, pesant, et je n'arrêtais pas de me demander s'ils m'avaient démasquée. Ça me rendait paranoïaque ! Et impossible de mettre la main sur Inoe pour s'expliquer.

Ce ne fût qu'à la fin des cours que j’eus de ses nouvelles. Un texto, sur mon téléphone. «RDV en salle 404». Encore une convocation ! Il serait grand temps de mettre un terme à cette mascarade. Mais on ne pouvait pas vraiment dire que j'avais l'avantage... Inoe avait diffusé la vidéo, mais sans mon visage, cela aurait pu être pire. Si elle gardait cette menace sous le coude, c'était certainement qu'elle attendait quelque chose de moi... De toute façon, pour le moment, je n'avais pas vraiment le choix. Je me rendis donc au lieu de rendez-vous, déterminée à régler cette histoire. La salle 404 se trouvait sous les combles, au 4ème étage qui était désaffecté. Inoe m'attendait devant, et afficha un large sourire satisfait en me voyant arriver. Quelle peste !

« Ah, te voilà Mitsuko ! Je me demandais si l'on se reverrai encore, vu comment ça s'est passé la dernière fois... hihi. »

Je n'étais pas d'humeur à jouer, et ses ricanements m’exaspérait ! Je répondis, sèchement.

« Qu'est-ce que tu veux ? »
« Tu as vu la vidéo qui a leaké dans tous le lycée, n'est-ce pas ? »
« ... »
« Évidemment, hihi, tout le monde l'a vu. »
« J'ai dit : qu'est-ce que tu veux !? »
« Oh, ne fais pas cette tête Mitsuko ! Je vais te répondre, c'est très simple écoute : je veux que tu tiennes ta promesse. »
« Une promesse ? Mais quelle promesse ? »
« La promesse que tu m'as faite hier soir ! Tu ne te souviens plus ? Nous avions passé un marché ensemble : j'effaçais les preuves compromettantes de ta perversité... et en échange, tu devenais ma soumise, hihi. »
« C'est ça que t'appelle une promesse ? Tu avais passé le marché toute seule, c'était du chantage ! »
« Héhé, non non, tu avais gentiment accepté. J'ai même effacé la vidéo, tu te souviens ? Et après, lorsque je t'ai demandé d'honorer ta part du contrat, tu t'es lâchement sauvée. Heureusement que j'avais pris mes précautions. »
« Espèce de... »
« Tut-tut-tut, ne sois pas vulgaire Mitsuko, hihi. Je suis d'humeur généreuse aujourd'hui, alors ma proposition tiens toujours. »
« Non mais j'hallucine... »
« Je suis sincère, tu sais ? Je ne demande pas grand chose, et toutes les copies de cette vidéo seront effacées. Sauf si tu préfères que la version non floutée soit diffusé partout ? »
« Hmm... Non... »
« C'est ce que je pensais ! Alors, qu'en dis-tu ? »

Être la risée de l'école pendant quelques semaines, voire quelques mois... ce serait terrible à supporter. Mais serait-ce pire que de devoir supporter Inoe pendant toute ma scolarité ? A vrai dire, non, aucune des alternatives n'en valait la peine. Il devait bien y avoir une autre solution...

C'est alors qu'Inoe m'interrompit dans mes pensées, pour ajouter.

« D'ailleurs, je me sens tellement de bonne humeur que suis prête à ajouter une autre condition ! Tu seras ma soumise, MAIS, si tu parviens à remporter un défi, nous serons quittes, tu ne me devras plus rien. On peut même commencer là, maintenant, si tu veux ? Un premier défi, et si tu réussi, tu seras libre tout de suite. Enfin, si tu réussi, hihi. »

Une troisième solution ? C'était presque trop beau pour être vrai. Il me suffirait de réussir son soi-disant défi, pour mettre un terme un cette histoire. C'était parfait ! Sauf qu'avec Inoe, il fallait s'attendre à des défis sacrément tordus. Cela en valait-il la peine ?

« Dépêches-toi, avant que je ne change d'avis... »
« Ok, ok, ok... c'est quoi l'arnaque ? »
« Oh, allons Mitsuko. Il n'y a ni arnaque, ni piège, non. Juste un défi à réussir. »
« Hmm... bon, d'accord. C'est quoi ce fameux défi ? »
« Aha ! C'est un défi pour ne plus m'être soumise... mais pour ça, il faudrait déjà que tu acceptes notre marché, et devienne ma soumise ! »

Je le savais... c'était effectivement trop beau pour être vrai. Si je devais dans un premier temps me soumettre à elle, il en était hors de question ! Quoique... à bien y réfléchir, ce n'était pas une si mauvaise chose ? Soit je refusais, et elle diffuserais la vidéo partout, soit j'acceptais, mais j'avais alors une chance d'en finir une bonne fois pour toute immédiatement. Ce serait juste un mauvais moment à passer, mais après, je pourrais enfin tourner la page sur cette honteuse histoire. Ca me coutait de l'accepter, mais c'était la meilleur solution.

« D'accord... »
« Quoi d'accord ? »
« Oui j'ai dis d'accord ! »
« Tut-tut-tut. A partir de maintenant, ce sera "Oui, Maitresse". Et ne t'avise même pas de songer à dire "Non, Maitresse", à la moindre insubordination, notre accord sera rompu... et tout le lycée pourra voir en HD le joli visage que tu fais quand tu te masturbes ! »

Grrr, je commençais déjà à regretter mon choix... Mais je ne m'emportais pas, et répondis assez amèrement.

« ... oui, Maitresse. »

Ça y est, c'était dit. Il n'y avait plus de retour en arrière possible, maintenant. Je devais juste jouer le jeu, et éviter de la contrarier, jusqu'à ce que je réussisse son stupide défi.

« Hihi, parfait ! Par contre je n'aime pas beaucoup ce que tu portes, ce n'est pas digne d'une soumise... déshabille-toi, plutôt. »
« Hein !? »

Je la regardais, incrédule. Me déshabiller ? Elle était sérieuse !?

« Allez, hop hop hop ! Qu'est-ce que j'ai dis ? Pas d'insubordination ! »

Apparemment oui, elle était on ne peut plus sérieuse. Et malheureusement, ma situation ne me laissait pas beaucoup le choix. J'obéis donc, assez gênée, en commençant par déboutonner mon chemisier, l'enlever, et le laisser tomber sur une table à coté, puis je baissais ensuite ma jupe, pour l'enlever aussi, et la poser près du chemisier. Je me retrouvais donc en sous-vêtement devant elle, gardant mes mains devant moi pour tenter de cacher un peu ma quasi nudité. Mes joues commençaient à rosir, c'était tellement gênant...

Elle me lança alors un masque, que j'attrapais à la volée. Ou plutôt, une sorte de demi-masque, qui ne couvrait que la zone autour des yeux, d'une tempe à l'autre, et du front jusqu'au haut du nez. Elle ajouta alors, narquoise.

« Je te conseille de mettre ça, si tu ne veux pas qu'on te reconnaisse, huhu. »

Que voulait-elle dire ? Non... Elle n'allait quand même pas me faire sortir en sous-vêtement devant tout le monde !? C'était la première idée qui me vint à l'esprit après sa remarque, mais ce n'était pas ce qu'Inoe avait en tête. Non, c'était bien pire...

Je mis donc le masque, puis elle siffla, et quatre lycéens entrèrent dans la salle, par une porte arrière, en portant eux aussi des masques aux yeux. Depuis combien de temps ils étaient là, eux ? Je le regardais s'approcher, dubitative, avant de me tourner vers Inoe.

« Qu'est-ce qu'il se passe ? »
« C'est ton défi, voyons ! »
« Mon défi... ? »
« Oui, ton défi ! Tu vas devoir faire jouir ces trois garçons. Tu peux utiliser ta bouche, tes mains, ce que tu veux... et pendant ce temps, le quatrième va te baiser ! Et s'il jouis avant que tu ne fasses éjaculer les trois autres, tu as perdu ! ♥ »
« Quoi !? »

Je manquais de m'étrangler devant l'absurdité de son défi. On était où, là, dans un récit hentai !? Mais avant que je n'eu le temps de rétorquer quoi que ce soit, le garçon en question se plaça derrière moi, glissa sans vergogne sa main dans ma culotte, et commença à me doigter vigoureusement, m'arrachant un couinement de surprise.

« Hiiii ! Qu'est-ce que tu fais là !? »

Les trois garçons restant se placèrent devant moi, Devant, Gauche, et Droite, leurs queues à moitié durs sorties de leurs pantalons, présentés à moi en attendant que je m'en occupe. J'étais concentrée sur Derrière, essayant de retirer sa main de ma culotte, mais il me forçait, et.. mmh.. je devais bien avouer que ses doigts m'excitaient un peu. J'avais beau lutter, je commençais à mouiller dans la minute qui suivit. Derrière s'en rendit compte apparemment, et, satisfait, il m'arracha la culotte, pour venir enfoncer son sexe en moi.

« Han ! »
« Alors, Mitsuko ? Il y en a un qui a déjà commencé, là. Oh, je ne t'ai pas dis ? Je leur ai promis une récompense spéciale, si tu ratais ce défi... tu devrais y mettre plus de volonté, si tu veux gagner, hihi. »

Les trois garçons se tenaient devant, et semblait attendre un geste de ma part, alors que Derrière s'activait et me pénétrait avec frénésie. Comme si, effectivement, ils s'étaient donné le mot pour qu'il jouisse le premier. Mais... non, ça n'allait pas se passer comme ça. Aussi tordu soient les desseins d'Inoe, je n'allais pas laisser filer l'occasion de lui rabattre le caquet et m'échapper de son influence !

Je me tenais toujours debout, avec Derrière qui me tenait les hanches pour mieux me pénétrer. Après avoir lancé un regard défiant à Inoe, je me penchais vers les trois garçons et entrepris de prendre la queue de Devant en bouche. Mes lèvres se resserrèrent autour de son gland, et pendant que je le suçais avec au moins autant de passion que l'on me baisait, je pris les sexe de Gauche et Droite en main, et commençai à les masturber vigoureusement.

C'était tellement... inconcevable ! Pour éviter que le lycée ne découvre la vidéo de mes écarts pervers, j'en étais réduite à me conduire comme une véritable pute, entourée de ces quatre verges à satisfaire pendant qu'Inoe faisait la maquerelle et me surveillait. Bon sang... quelle ironie. Heureusement, mon calvaire s'arrêtera bientôt, il suffisait simplement que je me concentre. Ce n'était pas facile, avec Derrière qui venait heurter ses hanches contre mon cul et me propulser en avant à chaque fois que sa grosse queue s'enfonçait profondément en moi... mais je gardais la tête froide, les deux mains occupées, et la bouche toujours bien remplie.

J'étais forcée de déployer tous mes talents pour exciter les trois autre garçons le plus rapidement possible. A tour de rôle, je leur offrais la fellation la plus passionnée qu'il m'était possible de donner en ces circonstances, suçant leur queue une à une comme si mon avenir en dépendait, ce qui était malheureusement le cas. Mes lèvres glissaient fougueusement le long de leur longues hampes de chair, ma langue flattait l’extrémité sensible de leur virilité, et j'essayais tant bien que mal de ne pas m'étouffer dessus à chaque fois qu'un coup de butoir me poussait trop en avant. Malgré ce que la scène suggérait je n'étais pas une actrice pornographique, je pouvais bien les sucer mais ma gorge n'était pas faite pour accueillir leur gland, ça faisait mal !

Malgré tout, je ne perdais pas de vue l'objectif principal. C'était une véritable course contre la montre qui s'opérait, et il fallait que je les fasse jouir les premiers... Et ils ne me facilitaient pas la tâche, évidemment. Debout, immobiles, ils se laissaient faire et ne bougeaient pas d'un pouce, certainement occupés à penser à leur grands-mères ou à n'importe quoi qui retarderait leurs éjaculations. Mais je comptais bien les obtenir quand même ! A chaque fois que ma bouche changeait de queue, suivie par un filet de bave, je continuais à branler les deux autres, à les astiquer frénétiquement avec mes mains, qui glissaient sans effort sur leur membres lubrifiés par ma salive.

On pouvait en dire autant de celle qui me pilonnait la croupe, me faisait tellement mouiller que j'en avais presque honte. Lui au moins s'y donnait à coeur joie, et était impatient de jouir. Je refusais d'admettre que ça m'excitait énormément, ce n'était pas possible, forcément il s'agissait juste d'une réaction physique. C'était agréable de se faire baiser comme ça, point. Oh que oui, c'était même tellement bon... mais j'avais d'autre priorité. Si je me laissais aller à prendre mon pied, j'étais sure de perdre ! Je continuais donc et redoublais d'efforts face à mes trois partenaires, à qui je n'accordais même pas le moindre regard, n'ayant d'yeux que pour leurs sexes tendues devant moi, durs et luisants, dont les veines palpitaient sous mes doigts.

J'étais haletante, un peu fébrile, les bras fatiguées, mais je sentais que j'approchais du but. Et, pendant que je suçais Devant, je sentis Gauche palpiter davantage dans ma main, et l'instant d'après, m'éjaculer au visage ! De longues et nombreuses giclées de sa semence atterrirent sur ma joue, sur mon masque, sur mes cheveux complétement décoiffés, partout, abondamment. Ce que c'était sale... mais, tant mieux, un de moins, plus que deux. Enfin plus pour très longtemps, car Devant ne tarda pas à lâcher la sauce lui aussi, surement excité de me voir couverte de sperme. Et sans prendre la peine de retirer son sexe ! Non, il s'enfonça plus profondément dans ma bouche et se mit à éjaculer sa semence chaude et crémeuse au fond de ma gorge, dans un râle de plaisir.

« Pfouaaah ! »

Le goût était horrible ! Je m'empressais de le repousser de mes deux mains, recrachant son sperme par terre, en toussant, tandis qu'il continuait de jouir, ajoutant sa propre signature à celle maculant déjà mon visage. C'était terrible, je me sentais si sale, si perverse... si excitée ? Enfin, non, je voulais plutôt dire heureuse, oui ! Il ne restait plus que Droite en lice, désormais, face à Derrière qui me fourrait furieusement. J'y étais presque, encore un petit effort ! Je commençais déjà à masser tendrement ses bourses entre mes doigts, et alors que je m’apprêtais à happer le dernier barreau de chair entre mes lèvres, un râle de plaisir s'éleva derrière moi. Il était rauque, intense, et n'annonçait rien de bon.

« Non... non, non, non ! »

Et, si. J'avais échoué ? Après tant d'effort ? Non, ce n'était pas possible... pourtant, mes sensations ne mentaient pas. De puissantes giclées de sperme m'inondèrent de l'intérieur, et mon visage se décomposa un peu plus à chacune d'elle, prise par le désespoir. Derrière venait de jouir abondamment en moi, avant de se retirer, tandis que les quatre lycéens ricanaient doucement, victorieux. Je restais silencieuse, frappée par l'inéluctable situation. Dépitée, épuisée, je me laissais tomber au sol, à genoux. J'y étais presque ! J'étais à deux doigts d'être libre ! Mon visage était encore maculée par les deux éjaculations précédentes, il ne m'en restait plus qu'un... mais c'était trop tard, il avait joui en moi avant. Tellement, d'ailleurs, que son sperme coulait encore de mon orifice, en un long filet blanc entre mes cuisses.

Et maintenant ? Je ne pouvais pas laisser Inoe récolter les fruits de sa victoire, non, surement pas. J'ai failli gagner cette fois, la prochaine sera surement la bonne !

« Non, attendez... non, ce n'est pas fini, je... encore, laissez-moi une seconde chance... »
« Hihi, vraiment, Mitsuko ? Ca ne t'a pas suffit, tu veux recommencer ? Est-ce vraiment pour le défi... ou pour le plaisir ? »

Quoi !? Je me mis à rougir de honte, mais mon visage ressemblait tellement à celui d'une salope souillée que ça ne se voyait pas trop. Ce qui était, quand même, inquiétant. Ma fierté, jusque là indemne, venait d'être piquée à vif par sa remarque. Évidemment, que c'était pour le défi ! Je n'avais pris aucun plaisir la dedans, et ne comptais pas recommencer de sitôt. Pour qui me prenait-elle ? Cependant, ce n'était pas comme si ma participation à ce petit gang-bang m'avait dérangé, oui... mais parce que j'étais obligée ! Du moins, j'essayais de m'en convaincre.

Face à mon absence de réponse, la petite peste se mit à ricaner, comme si cela voulait dire quelque chose. Je n'osais pas la regarder, ni le voulais. J'étais... honteuse, de ma situation... mais également furieuse. Envers moi-même, pour avoir échoué, et surtout envers cette garce, qui était la raison de tout cela ! Si seulement je ne l'avais jamais rencontré, si rien ne s'était passé... je voulais tellement reprendre ma vie comme elle était avant cet incident !

« Ne t'en fais pas, ma Mitsuko chérie. Tu es ma soumise, maintenant, ma petite chienne perverse, je prendrais grand soin de toi, hihi. »

Sa voix était toujours aussi perverse et insolente, mais elle était plus douce que d'habitude, presque rassurante. Pff, comme si j'allais me laisser amadouer aussi facilement ! Pourtant, elle se rapprocha de moi, et caressa tendrement ma joue, récoltant du doigt le liquide blanc poisseux et encore chaud qui s'y trouvait. Lorsqu'elle le rapprocha ensuite de mes lèvres, et me le fit goûter, j'avais une furieuse envie de le lui mordre, purement et simplement. Au lieu de cela, je le suçais doucement... Une sage décision, compte tenu de la situation. Elle semblait de bonne humeur, mieux valait ne pas l'énerver. Et à en croire l'état d'excitation de nos quatre compagnons, elle avait du leur promettre quelque chose de très intéressant. Je jouerais le jeu, aussi longtemps qu'il le faudra, mais je ne me laisserai certainement pas corrompre par ses petits jeux pervers ! Je trouverais bien un moyen de reprendre le dessus.

Inoe avait gagné, oui, j'étais sa soumise... pour le moment.

3
Blabla / Re : Re : Horloge parlante
« le: vendredi 30 mars 2018, 23:23:47 »
*embrasse Kõya* ♥♥♥

~ 23:23 ~

Bonsoir LGJ ! o/

4
L'Art / Re : [HENTAI] Some lemons...
« le: samedi 17 décembre 2016, 11:19:17 »
Merci. :D
Je commençais à me sentir seule dans mon délire, haha.

5
L'Art / Re : [HENTAI] Some lemons...
« le: mercredi 14 décembre 2016, 02:36:19 »
Les lemons sont de retour. \o/
Pour l'instant.
J'en ai profité pour mettre à jour la partie "what's next ?" de la première page, et de la dater aussi, ce sera plus pratique pour savoir où ça en est. ^^

Pour information, l'histoire qui va suivre a un format "journal intime", mais j'y ai apporté quelques modifications, disons, un peu incohérentes, comme les tournures de phrases pour pouvoir raconter la scène, ou les quelques lignes de dialogues (et d'onomatopées :D). Des éléments qui n'aurait vraisemblablement pas pu être écrit dans un journal intime. Je trouve que ça aère un peu la narration, et rend l'histoire plus dynamique, mais j'espère quand même que ça ne dérangera pas trop la lecture.

Aussi...
/!\ L'histoire qui va suivre comporte des scènes de zoophilie.
C'est même surtout ça, en fait.
Voilà, comme ça, pas de mauvaises surprises. ^^

Ceci étant dit, si vous êtes toujours là pour lire ce qui va suivre, enjoy~!

Citer
Confession intime : un amant canin ?
Hors-Série III

La protagoniste de l'histoire s'appelle Émilie. C'est une lycéenne de dix-sept ans, au visage doux et angélique, à la longue chevelure blonde, et aux yeux bleues. Elle vit bien sûr avec ses parents, ainsi que sa grande soeur, Hélène, étudiante, âgée de 22 ans. Émilie a également un chien, depuis presque 3 ans, un Golden Retriever mâle nommé Sami. Cette histoire offre un aperçu de la dernière page de son journal intime.

Cher journal,

Je sais, ça faisait un bon moment que je ne t'avais pas écrit, c'est que tout allait bien. Mais tu as toujours été là pour moi quand ça allait moins bien. Justement, il s'est passé quelque chose de très étrange tout à l'heure, et je sens que j'ai besoin d'en parler. Mais je ne sais même pas par où commencer, ni comment tout cela a pu arriver. Peut-être que par ordre chronologique ça irait ?

Depuis quelques semaines, au lycée, il y avait cette mode de labelliser les personnes "sainte-nitouche", généralement celles qui ne sortaient pas ou qui ne fréquentaient pas les garçons. Et comme ça faisait un petit moment que j'étais célibataire, les autres filles ont commencé à me narguer avec ça, à dire que j'étais devenue une sainte-nitouche moi aussi. Elles me mettaient dans le même panier que les moches qui n'avaient jamais parlé a un garçon de leur vie, alors que moi j'avais déjà eu des petits copains, c'est juste que j'avais personne en ce moment, c'était injuste ! Et même vexant ! Rah, qu'est-ce qu'elles m'énervaient ces pestes. Je pense que c'est un peu de leur faute, si je suis passée à l'acte aujourd'hui. Je sais, c'est bizarre, parce que ce n'était pas vraiment avec un petit copain, mais ça l'était un peu quand même, non ?

Aussi, il m'était arrivé quelque chose le week-end dernier. Je promenais Sami, comme d'habitude, et en chemin j'ai rencontré Mathilde, qui promenait sa chienne, elle s'appelle Saphir je crois.  On a discuté un moment, et pendant ce temps, Sami et Saphir, bah, ils se sont courtisés et on les a surpris à faire l'amour ! On a rigolé au début, puis on a essayé de les séparer, mais Sami était vraiment à fond dedans, impossible de l'arrêter. Alors on s'est regardé, Mathilde et moi, un peu gênée, et on les a laissé faire. Sauf que, la manière dont il culbutait Saphir, enfin, moi en tout cas j'ai trouvé ça assez sexy. Ça me donnait même un peu chaud, de les voir s'ébattre vigoureusement comme ça. Mais j'essayais de ne pas trop regarder non plus, pour ne pas que Mathilde me prenne pour une perverse ! Même s'il n'y avait rien de pervers en soi, c'était juste naturel... En tout cas c'était assez gênant pour nous deux !

Je voyais Sami sous un angle différent, depuis. Cette scène me revenait en tête, de temps en temps, et c'était assez troublant. Parfois je n'arrivais pas à penser à autre chose. Mais le moment où tout a basculé, c'était cet après-midi. Comme je te disais, quelque chose de très étrange s'est produit, et t'en parler m'aiderait peut-être à y voir plus clair ? J'étais allongée sur mon lit, tranquillement, à discuter sur mon téléphone. Sami, quant à lui, était par terre en train de jouer. Tout était normal, jusqu'à ce qu'il saute subitement sur le lit. Je n'y ai pas prêté attention au début, j'étais allongée sur le ventre avec mon smartphone entre les mains, mais lorsqu'il commença à se frotter contre moi, son sexe contre mes jambes, j'étais bien obligée de réagir !

« Aaaahh ! »

Je poussais un cri de surprise, mais j'espérais qu'il n'était pas trop fort. Je me retournai vivement, et me redressai, assez confuse. C'était la première fois qu'il me témoignait autant "d'affection".

« Non mais ça va pas Sami-chou, qu'est-ce qu'il t'arrive ? »

En fait la réponse à ma question était juste là, bien en évidence. Son sexe était en érection, tendu au milieu de sa fourrure brune, visiblement il était excité, mais par quoi, je ne savais pas. Peut-être était-ce la période des amours chez les chiens ? En tout cas, mon regard était resté figé sur son membre. Son gourdin de chair rose vif, bien dur et tout lisse, captivait mon attention. J'en éprouvait même une certaine fascination, à la voir pendre comme ça, bien droit, sous son corps massif. Évidemment, j'ai repensé à la fois où il s'en était servi pour copuler avec Saphir. J'en suis même venue à me demander quel effet ça faisait, de se faire prendre par un chien. C'était plus que de la fascination, voir Sami dans cet état m'excitait sérieusement. L'excitation, la solitude, la curiosité, ou un peu des trois, je ne sais pas pourquoi, mais je commençais à tendre la main vers son sexe. Lentement, avec hésitation. Je n'étais pas trop sûre de ce que je faisais...

C'est à ce moment là que ma grande soeur, Hélène, frappa à la porte et entra directement dans ma chambre.

« Hey, ça va 'lilie ? Je t'ai entendu crier... »

Je retirai ma main à une vitesse fulgurante, priant pour qu'elle n'ai pas vu ce qu'il se passait. J'essayais de contenir ma gêne, mais je sentais le rose me monter aux joues. Pire que rose, je devais être carrément écarlate, même. D'un geste qui se voulait décontractée, je réarrangeais mes cheveux, pour qu'ils cachent un peu mes joues, et répondit d'une voix la plus calme possible.

« Euh... ah, oui. Non non, ça va, je jouais juste avec Sami et j'ai été surprise quand il m'a sauté dessus, haha. Tout va bien, sinon. Désolée si je t'ai inquiétée. »

« Hmm... » Elle me dévisagea un petit moment. Pourquoi ne disait-elle rien ? Avait-elle des soupçons ? Ce silence devenait insoutenable ! « Ok, pas de soucis ! Tu n'oublieras pas de faire tes devoirs, hein ? »

« Rhô, mais ouiii 'lèlène, je n'oublierais pas ! »

Et elle finit par s'en aller. Pfiou, c'était vraiment moins une !

J'attendis quand même une ou deux minutes, pour être sûre qu'elle était partie et ne reviendrai pas, avant de me lever et d'aller fermer la porte à clé. Sami était toujours sur mon lit, et me fixait d'un regard vitreux, qui exprimait une flagrante incompréhension. Ah, s'il savait toutes les envies qui me passaient par la tête à ce moment... Et d'envies, j'en débordais ! Avoir été interrompue comme ça avait décuplé mon excitation, et à peine la porte fermée, je me précipitai sur Sami pour lui faire un énooooorme câlin. A genoux à coté de lui, je le serrai affectueusement dans mes bras, la tête posée contre son dos, et lui grattouillant gentiment le ventre. Son sexe était toujours aussi dur, et me donnait des frissons lorsqu'il effleurait mon bras.

« Sami-chou, ça va bien ? Tu es tout dur, depuis tout à l'heure. C'est moi qui t'excite comme ça ? »

Je me sentais assez stupide, à lui adresser la parole ainsi. Ce n'était pas comme s'il me comprenait après tout. Mais, j'aimais bien, ça rendait l'acte plus personnel, plus intime, et donnait moins l'impression d'être en compagnie d'un chien. En un sens, peut-être que ça m'aidait à l'assumer ?

« Sois tranquille, je sais exactement comment te soulager, Sami-chou, je vais prendre bien soin de toi. »

En tout cas, j'avais ma petite idée. Toujours les bras noués autour de Sami, je tendis la main vers son pénis, et commençai à le masturber. Blottie contre lui, je l'astiquais lentement d'avant en arrière, à l'horizontale, de la base jusque la pointe, glissant sur sa peau lisse. Je lui susurrais doucement.

« Ça va mieux comme ça, hein ? Ça te plait ? »

« Hah, hah, hah ! »

Je le caressais lentement, et longuement. Je ne savais pas s'il en ressentait du plaisir ou non, mais j'imaginais que oui. Sami haletait joyeusement, la langue pendante, en agitant sa -vraie- queue. En tout cas, moi, j'y prenais beaucoup de plaisir. J'adorais avoir son sexe chaud et dur entre les mains, le caresser, c'était très excitant. Si bien que je m'étais redressée, et avait glissé mon autre main sous ma jupe, sur ma culotte. Je me rendis alors compte que j'étais déjà bien trempée, c'était fou comme ça m'avait fait de l'effet.

« Tu ne m'en voudras pas si je me caresse en même temps, moi aussi ? »

Je joignis le geste à la parole, et glissa ma main dans ma culotte, puis deux doigts contre ma fente intime. Et, tout en masturbant Sami, je me faisais plaisir également, effleurant du pouce mon clitoris et ma vulve mouillée, tandis que j'enfonçais deux doigts dans mon orifice chaud et humide. Je soupirais d'aise, et commençais à avoir chaud, les joues rosies par le plaisir. Je restais de longues minutes ainsi, à poursuivre cette double masturbation qui m'excitait au plus haut point. Inconsciemment, j'accélérais la cadence, allant jusqu'à en enfoncer un troisième pour me doigter vigoureusement, et à astiquer tout aussi vigoureusement le sexe de Sami, qui semblait comblé. C'est à ce moment que je me rendis compte que ça ne me suffisait plus, j'avais besoin d'autre chose. Je voulais me faire prendre par Sami.

Ce n'était pas une décision que je prenais à la légère. J'avais bien conscience de la nature de ce que je m'apprêtais à faire, de laisser un chien me pénétrer. Mais, bon, j'étais déjà en train de le branler, ça faisait relativiser la pénétration. Et puis, j'étais moi-même en train de me doigter, alors ça n'aidait pas à garder les idées clairs.

« Ça t'a plu, Sami-chou ? J'ai quelque chose d'encore meilleur à te proposer, tu vas voir... »

Après une profonde inspiration, je décidais de me lancer. Je lâchais sa verge, retirais mes doigts trempées de cyprine, puis me plaçais à quatre pattes, dos à lui. Je levais alors ma jupe, avant de descendre doucement ma culotte jusqu'au genoux, lui offrant ainsi ma croupe, et ma vulve luisante de mouille, qui ruisselait même sur mes cuisses.

« Viens, c'est pour toi Sami-chou, n'ai pas peur, viens m'enfoncer ta queue et me prendre comme... »

...comme une chienne. Je n'avais pas osé finir ma phrase à haute voix, par gêne, mais c'était quand même un peu le cas. Dans tout les sens du terme, même. Sami s'approcha de moi, mais n'entama pas les ébats tout de suite. Je regardais le mur en face, frémissant dans l'attente de sentir sa queue me pénétrer, mais à la place, il vint y frotter sa truffe froide, et y donner de longs coups de langue

« Ha-mmmmhh ! »

J'ai failli pousser un cri, mais parvint au dernier moment à l'étouffer d'une main devant la bouche. Mieux valait ne pas alerter une nouvelle fois ma soeur, où j'aurais de sérieux ennuis. Ça m'avait assez surprise, un peu chatouillée, mais surtout fait beaucoup de bien. Je me crispais sur les draps, le corps tremblant, pendant qu'il goutait à ma moule de sa grosse langue puissante. Les léchouilles de Sami étaient vraiment jouissives ! J'aurais pu rester comme ça pendant des heures, à prendre mon pied, et à essayer de garder le compte des orgasmes qu'il m'aurait donné.

« Hah, hah, hah ! »

Mais Sami avait d'autres envies, plus animales. Il haletait toujours aussi gaiment, et me monta dessus, en enfonçant son pénis entre mes cuisses d'un vigoureux coup de rein.  J'avais déjà tellement mouillé que la pénétration resta douce, mais... mmmhh ! Même en étant bien lubrifiée, le coup de rein de Sami était sensationnelle. Il ne me laissa cependant pas le loisir de savourer ce moment, à peine s'était-il enfoncé en moi qu'il entama un furieux mouvement de va et vient.

Ses pattes étaient calées contre mon dos, sur lequel il prenait appui pour me saillir vigoureusement, remuant ses hanches et me pénétrant à un rythme effréné. Je sentais les frottements vifs et délicieux de son long sexe rose en moi, ainsi que les douces caresses de sa fourrure contre mes fesses, et la pointe menaçante de ses griffes qui effleuraient mon dos. Mon corps tremblait violemment, propulsé par ces va-et-vient animales, les cheveux ébouriffés et la respiration haletante. Je tentais tant bien que mal de garder ma main devant la bouche, pour étouffer les gémissements de plaisir qui s'échappaient bien malgré moi. Sami me faisait sauvagement l'amour, et c'était si bon !

« Mmmhaah... !! »

Ma main ne suffisait plus à contenir tout mon plaisir, alors je plongeai mon visage contre mon oreiller, pour y étouffer mes cris. Je n'avais encore jamais ressenti une chose pareil, je perdais peu à peu la raison, et le contrôle de mon corps, à mesure que je me faisais prendre par mon chien. Ou, plus exactement, à mesure que mon chien me baisait comme sa chienne. Et j'adorais ça.

Le visage plongé contre l'oreiller, ma croupe était toujours relevée, à subir ses assauts répétés qui me rendait folle. Mes hanches devenaient douloureuses, mais je ne pouvais penser à rien d'autre qu'à son corps bestial qui remuait sur mes fesses, et à ses infatigables coups de butoirs qui me procurait tant de plaisir. Ma cyprine coulait à flot, goutait contre mes cuisses, souillait mes draps.

« Gggnnnmmh ! »

La tension sexuelle était à son comble ! Je ne savais absolument pas combien de temps s'était écoulé, tant je prenais mon pied. Sa verge se mit alors à grossir en moi, à me combler entièrement, je pus la sentir tressaillir longuement, dans ses moindres détails. Chacun de ses spasmes s'accompagnait d'une giclée de semence chaude, qui remplissait la moindre interstice disponible. Me sentir aussi pleine fût en quelque sorte le coup de grâce, et toute cette tension sexuelle se libéra en un orgasme intense. Mon corps tout entier fût pris d'assaut par de puissantes vagues de plaisirs, crispé et frémissant. Je m'écroulais complétement sur le lit, avec le sexe de Sami toujours bloqué en moi, qui continuait à y jouir sa semence. Je restais allongée sur l'oreiller, des mèches de cheveux plein le visage, à tenter de recouvrer mes esprits. Quelques minutes s'écoulèrent, silencieuse malgré nos halètements, puis Sami décida de retirer son membre, luisant de nos fluides sexuelles, qui d'ailleurs commençaient à couler de ma vulve. Mais je comptais m'occuper de ça plus tard, à ce moment là j'étais bien trop heureuse et comblée pour remuer le petit doigt.

Bon, ensuite, je me suis douchée, et j'ai tout nettoyé. Et, voilà, l'étrange situation que j'ai vécu cet après-midi. Je sais bien que ça n'est pas correct de faire ça, que c'est mal... mais, pourquoi ? Ce n'est pas comme si j'avais abusé de Sami. Ou que Sami avait abusé de moi. Pour être franche, je ne sais plus quoi en penser. Mais ce qui est sûr, c'est que je venais d'avoir le meilleur rapport sexuel de ma vie ! Clairement, aucun petits copains ne lui arrivait à la cheville. C'était un moment fantastique... et je sens que je vais en redemander, c'est sûr ! ♥

6
L'Art / Re : un petit bout de ma galerie :3 ( Attention c'est... spécial x3)
« le: lundi 28 novembre 2016, 21:46:53 »
♥ ♥ ♥ ♥ ♥

7
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 28 octobre 2016, 10:53:42 »
Nyuuuuh ! ♥

* lui saute dessus et lui fait un gros câlin *

Et il est...
~ 10:56 ~

8
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 28 octobre 2016, 06:01:19 »
Il est 06:04 et Lydia vous dit BOOONSOIR !
... ou bien BOOONJOUR, selon que vous soyez couche-tard ou lève-tôt. :D

9
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 09 septembre 2015, 10:46:54 »
Le dicton dit vrai, tôt ou tard on finit toujours par revenir sur LGJ. :D

~ 10:44 ~

Bonjour !

10
« Grmbl ! »

Oui, c'était un grognement de frustration ! Mais où est-ce que c'était, déjà ? Mais non j'étais pas perdue ! C'est juste que... rhhaa !

Plus tôt dans la matinée, pendant que je m'amusais toute seule dans mon bain, j'avais décidé de faire un petit détour par ici au cours de la journée. Un endroit vraiment très spécial, rien à voir avec la cité de Nexus, que j'avais découvert un peu par hasard il a quelques mois. C'était simple, je n'avais qu'à emprunter ce portail pour débarquer dans un établissement fréquentée par une foule de jeunes humains, une sorte de marché du sexe mais sans marchands, où il me suffisait de me balader et de sélectionner ceux avec qui j'avais envie de jouer à ma façon, c'était un endroit vraiment génial ! ♡

Je revenais d'ailleurs d'une fabuleuse orgie. J'étais entrée dans une salle, à la recherche de sexe et de divertissement, et avait dérangée un groupe d'adolescente pendant une répétition musicale... hihi, je pense qu'elles ont été très étonnées de découvrir que la flute traversière pouvait avoir une tout autre utilité ! Mais même si je trouvais personnellement que cela manquait un peu de sexe viril et de queue bien dure, nous nous sommes amusées comme des folles ! Mmmhh, nous étions au moins une bonne douzaine, je peux encore sentir toute la cyprine chaude et visqueuse ruisselant sur nos corps, les cris de plaisirs et les spasmes d'orgasmes de chacune d'entre nous... brr, j'en frissonne encore. ♡

M'enfin ! Après l'effort, le réconfort, et j'aurais bien aimé retourner chez moi maintenant. Sauf que... sauf que voilà, je ne retrouvais plus le chemin vers ce maudit portail ! J'arpentais les couloirs du bâtiments, et entre les bifurcations, les détours, les escaliers, les voies sans issues, j'avais finalement fini par m'y perdre. Et à chaque fois que j'arrêtais quelqu'un pour lui demander mon chemin, soit la personne restait hagarde à me dévorer du regard, soit la personne s'éloignait aussi vite que possible en me prenant pour une folle. Sympa ! Hmpf. A croire qu'ils n'avaient jamais vu de succube de leurs vie, ici. Je cherchais donc, scrutant désespérément les lieux en essayant de me rappeler d'où j'étais venue, jusqu'à ce que...

« Hey, vous là-bas ! »

Euh, moi ? Faisant demi-tour, je me tournais vers celle qui venait de m'interpeller. A en croire le manque de politesse, le ton irrité, et la mine exaspéré que la jeune femme affichait, je pense qu'elle n'était pas vraiment de bonne humeur... Bingo.

« Non mais j'HA-LLU-CINE ! Vous vous croyez au cirque ou quoi ? Pour qui vous vous prenez ? C'est quoi cette tenue ?! Et où est votre sac ? »

Et elle continua ainsi à me prendre le chou pendant une bonne minute ! Je portais juste une tenue usuelle, de la lingerie sexy, pas de quoi en faire tout un plat. Je ne comprenais pas vraiment quel était son problème, mais une chose était sûre, elle commençait à me donner SÉRIEUSEMENT mal à la tête avec ses histoires. Plus elle passait ses nerfs sur moi, et moins j'avais la patience de supporter sa petite crise. Elle me barrait la route, et semblait vouloir en découdre... mais je voulais juste rentrer chez moi !

Et là...

« Rhoo mais tais-toi ! C'est quoi ton soucis, ça te rend jalouse de me voir comme ça ? Tu te sens mal-baisée et tu en veux à toute celle qui sont plus sexy que toi ?! »

... oups.

Je n'y pouvais rien, c'était sorti tout seul. Je ne regrettais absolument pas ce que j'avais en tout cas, elle l'avait bien cherché ! Mais le visage de la jeune femme virait au rouge, pas le joli rouge qui montait au joue sous l'effet de caresses, non, le rouge qui annonçait une explosion imminente et virulente. Ça n'allait pas arranger mes affaires...

11
L'Art / Re : un petit bout de ma galerie :3 ( Attention c'est... spécial x3)
« le: mercredi 04 février 2015, 14:09:19 »
Nyaaaah, j'adore !! ♥

Mes préférés parmi tes récents dessins (enfin, "récents"...  ;D ) :
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

12
Archives publiques / Re : Foire aux questions[NEW]
« le: mercredi 04 février 2015, 12:00:58 »
Ah, c'est un ajout récent, le compteur ?
Merci ! ^^

13
Archives publiques / Re : Foire aux questions[NEW]
« le: mercredi 04 février 2015, 11:49:39 »
Hello, j'aurais juste une petite question. ^^

J'ai vu que l'on avait un compteur de mots/caractères maintenant. Du coup est-ce que, dans un futur proche (ou pas), la limite "arbitraire" des lignes sera remplacée par une limite de mots/caractères, pour la création des fiches ?

A moins que ce soit déjà le cas, mais ce n'est pas noté sur le topic en question. =o

14
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 04 février 2015, 01:23:10 »
Wah ! Sympa le nouveau design. :o
Memsicétémieuhavant

~ 01:22 ~

Coucou LGJ !
Ça faisait longtemps. ^^

15
L'Art / Re : [HENTAI] Some lemons...
« le: dimanche 13 juillet 2014, 14:28:04 »
Une petite histoire que j'ai écrit rapidement (enfin "rapidement"...) suite à un pic de motivation en me réveillant tout à l'heure, donc pas forcément très aboutie etoo, mais je voulais finir au plus vite avant que l'inspiration ne me fasse défauts. ^^
J'espère que ça vous plaira quand même ! Enjoy~

Kassdédi à Law, tmtc ~<3

Tout avis/commentaires/critiques est le bienvenue !
Ah et un autre chapitre des aventures de Mitsuko arrivera prochainement. :P




Citer
Rêve ou cauchemar ?
Hors-Série II


On dit que les enfants dans le noir font des bêtises, et que les bêtises dans le noir font des enfants. Enfant ou pas, c'est souvent la nuit tombée que l'on fait les plus grosses bêtises.

Enfin, "bêtise"... en était-ce vraiment une ?

Dans la pénombre d'une chambre d'hôtel, un drôle de couple s'embrassait fiévreusement, dans les bras l'un de l'autre. Drôle de couple oui, car ils se connaissaient à peine, ne s'étaient jamais vu avant. Même leur prénom leur étaient inconnu. Appelons-les Roméo et Juliette. Réuni par un amour passionné. L'amour du sexe. Roméo, 28 ans, beau brun ténébreux, mal rasé, le teint halé, les yeux noisettes au regard intense, le corps puissant et athlétique taillé par de nombreuses années d'exercice militaire. Juliette, 23 ans, plus petite d'une tête, les yeux bleus, la peau blanche, de long cheveux châtains aux reflets roux, un corps frêle aux rondeurs généreuses et alléchantes, portant un piercing à la langue.

Leurs vêtements arrachés dans la précipitation jonchaient le sol, depuis la porte d'entrée jusqu'au pied du lit. Ils s'offraient des câlins passionnés, se caressaient mutuellement, s'embrassaient langoureusement, leur corps nus et chaud blottit l'un contre l'autre sur la fraîcheur des draps, en une danse rythmée et sensuelle. Elle lui sourit, sentant l'érection de son amant d'une nuit se frotter contre sa cuisse, et fit doucement glisser ses doigts sur son corps, entre ses pectoraux, sur ses abdominaux, savourant la force qui en émanait. Guidée par le désir, sa main agrippa alors son barreau de chair, si dur et si chaud, agréable au toucher, fretillant entre ses doigts. Il soupira d'aise à la douceur de ce contact, et tendit sa main en direction de ses cuisses, se faufila habilement entre elles pour atteindre son intimité, frotta lentement son index sur ses lèvres qu'il sentait humides. Elle soupira de concert, reserrant sa main autour de son sexe tendu, et le caressa avec douceur, de haut en bas, adorant le sentir tressaillir à chaque mouvement. Il embrassa alors la jeune femme avec une certaine tendresse, effleurant son piercing du bout de la langue, avant de plonger son regard intense dans le sien, qui la fit presque fondre. Et un étrange sourire étira ses lèvres.

« Tu meurs d'envie que je te baise, hmm ? »

« Quoi ?! »

La jeune femme s'arrêta net, un peu choquée par ce qu'elle venait d'entendre, avant de pousser un cri en sentant deux doigts s'enfoncer dans son intimité humide.

« Ne fais pas l'innocente, petite chienne ! »

La douceur dont il faisait preuve quelques instants plus tôt avait totalement disparu, laissant place à une attitude insolente, et presque bestiale. Il la souleva brutalement et, encore sous le choc de ce revirement de situation, elle réagit à peine quand il la jeta sur le lit, face contre l'oreiller. Il leva alors ses hanches, prêt à y enfoncer sa queue, mais Juliette, redevenue lucide, fit rapidement volte-face, s'allongeant sur le dos et le repoussant avec les pieds.

« Non ! Je ne veux pas ! »

Vaine rébellion. Il revint rapidement à la charge, agressif, et lui sauta littéralement dessus, pesant de tout son poids contre le corps fragile de la jeune femme, qui se retrouvait prise au piège. Elle se tortillait, se débattait, mais Roméo restait inébranlable. Agacé, il l'agrippa brutalement à la gorge et commença à serrer. Elle écarquilla les yeux, et tenta de desserrer son étreinte, la langue pendante sur lequel se reflétait l'eclat argenté de son piercing.

« Je ne me rappelle pas t'avoir demandé ton avis... Tu vas te calmer maintenant. »

Elle toussa, suffoqua, agita vivement la tête en un "oui", le regard implorant, jusqu'à ce qu'il daigne la relâcher. Elle inspira alors de grande gorgée d'air, les larmes aux yeux, et aperçu dans son regard une lueur inquiétante, malsaine. C'est à ce moment là qu'elle se rendit compte qu'il n'était pas celui qu'elle croyait, et cette révélation lui fit l'effet d'une claque. Juliette était terrifiée.

Il était trop tard pour faire marche arrière. Pourtant, même si elle le pouvait, elle ne l'aurait peut-être pas fait. Roméo avait éveillé quelque chose en elle, quelque chose qu'elle avait tenté de cacher dans les profondeurs de sa conscience. Le plaisir d'être dominée. Aussi étonnant que cela puisse paraître, Juliette était terrifiée, oui... mais aussi très excitée.

Il se redressa, et vint s'asseoir à califourchon sur son buste, lui présentant sa grosse queue juste sous son nez. Le sourire mauvais, il s'en servit pour la gifler, la bifler à plusieurs reprises.

« Allez ma salope, ouvre grand la bouche ! »

Réticentes pendant quelques secondes, Juliette ne tarda pas à ceder sous les coups de bites sur sa joue, dont la forte odeur titillait ses narines et l'excitait davantage. Elle adressa un regard plaintif au jeune homme, avant de se soumettre et d'ouvrir la bouche. Il ne se fit pas prier, et enfonça avec une violence inouïe sa grosse queue dans son gosier. Ignorant ses suffocations, il poussa un râle de plaisir, et attrapa fermement ses cheveux, s'en servant comme support pour lui baiser littéralement la bouche. La jeune femme s'étouffait, haletait, se crispait sur les draps, bloquée entre ses cuisses. Silencieuse malgré ses suffocations, seul les grognements de plaisir et les bruits de succion venait briser le silence. Malgré tout elle essayait de supporter au mieux ce supplice.  Elle se surprit même à lécher son gland à chaque passage de son sexe, appuyant la boule de son piercing sur la longueur de son membre, essayant de faire plaisir à son bourreau, lui suçant la queue comme elle pouvait au cours de cette fellation forcée.

« Rhaaa, c'est trop bon ! »

L'homme enfonça alors son membre au plus profond de sa gorge, et resta de longues secondes ainsi, profitant de cet étroit conduit chaud et humide. Elle le regardai dans les yeux, passive, pendant qu'il savourait ces sensations, jusqu'à ce qu'il se retire enfin, la laissant haletante, toussotante. Roméo s'écarta alors sur le côté.

« Putin j'en peux plus. Allez à quatre pattes petite pute. Plus vite ! »

Et il lui attrapa encore le cou, brutalement, la soulevant sans effort avant de la jeter sur le lit, comme une poupée. Juliette acquiesça timidement, puis elle se mit en position, à quatre pattes, à la fois excitée de servir et effrayée de décevoir. Une quantité impressionnante de cyprine s'écoulait de son intimité, ruisselait sur ses jambes. Elle ne l'avouerait pas, mais son corps ne pouvait pas mentir, elle était follement excitée. Affichant un sourire pervers, il caressa sa cuisse, recueillant son nectar sur ses doigts, qu'il dirigea ensuite vers les lèvres de sa soumise.

« Regarde comme tu mouilles, petite chienne. »

Elle rougit et soupira doucement, avant de lui lécher les doigts, pendant qu'il se plaçait derrière elle. Son sexe se glissa entre ses cuisses et effleura le sien, le contact du gland sur son clitoris l'electrisa, elle se cambra soudainement, et ne put réprimer un long gémissements. Elle était à cran, terriblement excitée. Aussi, ce ne fut pas étonnant de l'entendre crier de plaisir comme une salope quand ce sexe épais et tendu s'enfonça entre les chairs chaudes et humides de son intimité.

La levrette avait ce petit côté animal, où la femme offrait son cul à l'homme, qui en prenait disposition pour la baiser purement et simplement. Le fougueux va-et-vient qu'il entama eu bien vite raison d'elle. Ses penetrations étaient vives et puissantes, chaque coup de reins ébranlait à la fois son corps et son esprit, claquait contre sa peau, la propulsait en avant pour mieux revenir s'empaler profondément sur sa queue. Elle en devenait folle de plaisir, elle adorait ça. Et ce n'était pas pour déplaire à Roméo. Ses grognements se joignaient aux gémissements puissants de la jeune femme, qui l'excitait encore plus. Il accéléra la cadence, defonçant vigoureusement cette petite perverse, giflant ses vilaines fesses qui prirent une belle teinte rouge. Il la baisait encore et encore, savourait le confort entre ses cuisses, ivre de plaisir. Elle n'en pouvait plus de ces délicieuses sensations, écroulée sur le lit, complètement folle de plaisir. Il accéléra encore, ses penetrations se faisant violente, toujours plus intense, fermement agrippé au hanches de Juliette qui criait sans pudeur.

« Rhaaaah ! »

Il la baisa jusqu'au dernier moment, avant de retirer son sexe et de jouir sur elle dans un ultime râle de plaisir, crachant de longue giclée de sperme sur ses fesses, laissant des trainées blanches sur ses rougeurs, ainsi que sur son dos cambré, son visage blottit contre l'oreiller. Elle gémit faiblement, haletant comme une chienne, les doigts crispés sur les draps, savourant le contact de ce liquide chaud sur sa peau. Satisfait, Roméo frotta les dernieres gouttes de semence de son sexe sur ses fesses, puis se leva et se rhabilla, sans un mot, sans même un regard. La porte de la chambre d'hôtel claqua derrière lui, laissant Juliette seule à seule avec elle-même, encore embrumée par sa perversité...

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