Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Hestia

Pages: [1]
1
Le coin du chalant / Prêtresse pour les Flammes...
« le: dimanche 23 août 2009, 03:58:46 »
En plus, c'est à la mode en ce moment.  ::)

Donc, je pensais juste faire une demande de RP pour me trouver une ou deux sympatiques petites prêtresses~ comme les copains. XD

L'avantage ? Hestia étant quand même Ze Déesse of Fire, elle béneficie d'un pouvoir assez... destructeur, je dirais le mot, mais aussi, et surtout, assez puissant. C'est quand même un des quatres élements v_v Donc...

Je recherche une femme (pas envie d'un homme, sur le coup), qui serait assez digne de confiance pour que Hestia lui accorde ses dons.
Comme c'est surtout en raison de l'envie maternelle qui a pris Madame tout Feu tout Flamme, la prêtresse sera choyée et gâtée, considerée comme une véritable fille par sa Déesse. Si c'est pas beau, ça. ♥

Pour le RP, on s'arrangera comme on peut :) L'important c'est que je trouve quelqu'un. XD

2
Olympe / La Braise... contre la Flamme. [PV]
« le: dimanche 09 août 2009, 04:51:42 »
Que représentait l'Olympe, pour une Déesse telle que Hestia ? C'était une question à ne pas négliger, et que s'était posé n'importe quel Dieu, Déesse, ou autre Divinité, qui connaissait le tempérament sensible de la Déesse du feu.

Mais d'ailleurs, comment définir l'Olympe, selon un avis géneral ? La chaîne de montagnes qui protégeait ce puissant, mais fragile habitat de l'impureté des hommes ? Les escaliers qui semblaient aussi solides que du verre ? Ou peut-être les temples, habités par les habiles prêtresses ?

Non...

L'avis géneral est celui des humains, pauvres pouilleux incapables de traverser le portail d'or pur, car trop faibles. Il faut une constitution impressionnante, mentale comme physique, pour parvenir à ouvrir les portes du Paradis... car oui, l'Olympie est un Paradis. Le Paradis, plus exactement. Le véritable. Celui pour qui humains et humains joignent les mains chaque nuit, au pied de leurs lits, dans l'espoir de s'y retrouver et d'être certains qu'il y a un "après"...
Les Dieux et Déesses n'ont nullement besoin de monter les marches pour arriver à leurs temples ou à celui d'un autre... ils ont tout les pouvoirs. Celui de la plus banale télepathie, comme celui d'être transporté de manière beaucoup plus subtile. Une manière que même l'imagination humaine, si fertile pourtant, ne peut pas visualiser...

Une manière Divine.

Et c'est de cette manière que Hestia gravit le mont de l'Olympe. Elle apparut au fin fond d'un temple, dans une gerbe de flammes blanches... d'abord, se formèrent les pieds, talons hauts cramoisis et chevilles d'ange. Les jambes suivirent, comme des serpents se faufilant dans l'air, dessinant les cuisses laiteuses, la jupe fleurie de motifs compliqués. Un ventre et une taille tout ce qu'il y a de plus enviable, une poitrine ne pouvant que dépasser les limites de l'imagination... une tunique, un cou, et un visage lumineux. Les cheveux se répandirent comme une traînée de poudre noire et brillante, complétant le corps.

Hestia, Déesse du feu et des foyers, la "Déesse Vertueuse", venait d'apparaître dans un temple.
Et pas n'importe lequel... celui d'une autre Divinitée, encore plus belle que cellec qui venait d'apparaître... le temple d'Aphrodite, la Déesse de l'Amour, de l'engagement... du plaisir charnel.

Cette femme qui avait un jour tenté de briser la promesse que Hestia avait faite à son frère Zeus...


« Aphrodite ? »

Un appel léger, comme un son de cloche. D'ailleurs, en voilà une qui résonne, au loin de l'Olympe. Son son est tellement clair qu'il envahit même la surface du temple d'Aphrodite, qui, malgré son appel destiné à la Divine brune, ne semble pas se soucier outre mesure qu'elle a une invitée.

Le regard de Hestia se durcit, plus que d'habitude, si possible.


« ...Je sais très bien que vous êtes ici. Montrez-vous, s'il vous plaît. »

Oui, Hestia vouvoie Aphrodite. Elle vouvoie une Divinité dont l'ego est déjà suffisamment élevé comme cela... mais la marque de politesse trace une barrière entre les deux femmes, une barrière de formalité. Hestia n'a pas envie de se lier d'amitié, ni même d'être plus proche de la Déesse de l'Amour. Elle se doute parfaitement de pourquoi celle-ci a demandé à ce qu'elle vienne la voir. N'importe qui s'en douterait. Un Dieu ne se dérange jamais pour rien.

Aphrodite a toujours été une enfant, ou du moins, a toujours possédé un caractère très enfantile. Son invitée n'est donc pas étonnée de ne la voir nulle part, même quelques minutes après. Le cache-cache ne l'attirant pas, elle s'asseoit sur une dalle gravée, croisant ses jambes parfaites, laissant ses cils effleurer ses joues, dans une totale expression de serénité.

3
Les bas fonds / Un Voeu ? [PV]
« le: dimanche 09 août 2009, 02:04:25 »
A la différence de la plupart des êtres vivants, Hestia était une Déesse, avec un grand D. Et donc, à la différence de la plupart des êtres vivants, elle pouvait accoster n'importe quel passage sans le fouler du pied. N'entendez pas par là une téleportation : c'est un peu plus compliquée que cela, et surtout beaucoup moins grossier. C'est un Art, l'Art qu'ont les Déesses depuis les Origines, et dont personne ne peut définir la nature. Dieux et Déesses se projettent à l'endroit qu'il leur plaît, grâce à cet Art. C'est tout simplement trop complexe pour un esprit simplement humain.

La Déesse du Feu n'avait donc pas eu à faire beaucoup de chemin, pour arriver devant cette étrange demeure. Une habitation d'une beauté et d'une complexité visuelle rare, surtout dans un tel endroit. L'aura qui émanait d'un lieu aussi beau ne pouvait être que bénefique : c'était du moins ce que Hestia percevait, et comme toutes les Déesses, elle ne se trompait pratiquement jamais.

La voici donc guidée par cette aura dont elle n'arrivait pas à définir l'exacte identité. Elle se doutait que n'importe quel être trouverait cela étrange. Ses pieds semblaient avancer sans sa volonté. Dans un sens, c'était même inquiétant. Quelle était cette étrange force qui pouvait piéger dans ses griffes la plus puissante forme de vie qui pouvait exister ?
Cela ne suffit pas à Hestia pour lui faire perdre une serénité acqusie depuis longtemps, et, sans grande résistance, elle laissa l'Aura guider ses pas divins, à travers le kekkai, tout d'abord, pourtant hermétiquement fermé, pour interdire l'accés aux indésirables. Un chemin plus lointain à travers les dalles de pierre, qui semblaient être disposées chacune sur une place bien précise, avec un goût sûr. Puis venait le couloir. Ce couloir dont le tatami faisait résonner les talons cramoisies de la Divine, qui se prenait au jeu en gardant tout de même une certaine méfiance.

Puis, l'Aura la stoppa, lui laissant le contrôle de ses membres en douceur. Hestia stoppa ainsi son chemin juste avant l'entrée d'une salla laquée de blanc. La beauté et la serénité de ce lieu, qui avait tout de même encore beaucoup à envier à l'Olympe, n'acheva pas d'endormir sa méfiance, mais un sourire apparut sur la magnifique opale de son visage, rendant ce lieu encore plus attirant. On aurait dit que la beauté de cette Déesse était tout ce qu'il manquait à l'habitation, et son propriétaire ne pouvait pas ne pas l'avoir remarqué.


« ...Ma visite était-elle attendue ? »


D'un mouvement de sa main droite, la Divinité replaça sa cape en peau de larynx. Son sourire en demi-lune éclairait toujours autant la pièce, d'un voile de mystère qui se rajouta à celui déjà entièrement présent.

A la différence de la plupart des êtres vivants, l'inconnue de faisait pas peur à Hestia.
Et c'était tant mieux.

4
Prélude / Hestia | La plus Douce des Déesses... ♥
« le: vendredi 07 août 2009, 23:50:40 »

Hestia .
Age Inestimable .
Jeune Femme Lumineuse .
Déesse du Feu .


Hestia est une Déesse. Et comme toutes les déesses, elle est pour un humain ou une humaine, pour un serranidé ou une créature, une perle rare tombée sur la terre. Personne ne peut égaler la beauté d’Aphrodite, la Déesse de l’Amour, car elle s’en assure personnellement et n’a jamais commis d’erreur. Mais Hestia a été, un jour lointain, l’objet de ses Fantasmes, et elle a ainsi crée une Hestia parfaitement identique à la première : pleine de ce charme et de cette sensualité unique et exceptionnelle.

Sensualité qui provient avant tout de ce visage, ce visage aux traits d’ange, mais qui laisse un arrière-goût de pêché. Hestia a un faciès provocateur, alors que son caractère n’a jamais compté, ne compte et ne comptera jamais ce trait de caractère. Des sourcils fins et noirs, un nez suffisamment marqué, des joues rondes et douces, et puis… ce regard bleu, sous des cils veloutés, regard qui juge, pèse, qui est rempli d’intelligence, et pourtant aussi, d’une pureté et d’un sens de la Justice bien trop souvent reprochée. Le menton gracieux, et le front un peu bombé, s’affirment en dernier. Les mèches de cheveux bien coupés et nettes laissent voir consciencieusement la paire de boucles d’oreilles en forme de serpent dorées, qui n’a jamais quitté la Déesse. Les cheveux noirs contrastent violemment avec le teint spectraux de Hestia, fins fils noirs qui s’attachent amoureusement au dos de la Déesse. Lisses, brillants, soyeux, ils ondulent au rythme de la marche de leur maîtresse, stoppant leur course effréné en bas de ses reins.

La lumière s’égare un peu partout sur ce corps outrageusement formé : elle donne à cette peau de pêche un teint laiteux et pur comme un nouveau-né. Aucune imperfection ne vient gâcher ce frais épiderme, que l’on ose à peine toucher, voire regarder, par peur de le craqueler du bout des doigts ou du regard. Il ne vous sera pas épargnée les quelques parcelles innocemment découvertes, de par la tenue qui couvre la Déesse aux endroits les plus intimes, sans pour autant décourager l’imagination du moins perverti.

Aphrodite a sûrement mis du temps, pour façonner ce corps qui autrefois, l’avait tant fait rêver. Elle a dû se souvenir de chaque détail de l’ancienne Déesse, sculpter lentement cette apparence, peser scrupuleusement chaque partie. Le résultat ne vaudra jamais l’originale, mais elle en vaut tout de même la peine. Ce corps divinement sculpté, est celui dont tous les hommes ont un jour rêvé dans leur sommeil le plus agréable… oui, cette poitrine rebondie, qui n’a jamais eu l’usage d’un soutien-gorge pour tenir, cette taille aussi fine que du papier de soie, ces hanches de fer et ce fessier en amphore… Oui, Aphrodite a dû suer et prendre énormément de temps, pour affiner cette sculpture auquelle elle donna une grande partie de son Amour.

Les vêtements de Hestia sont simples, tout en étant divinement composés. Ils sont faits d’une matière que l’on ne trouve ni sur Terre, ni sur Terra, et qui reste encore à ce jour inconnue. Ils sont ignifuges, bien que la Déesse du Feu ne puisse se brûler, et réellement confortables malgré leur apparent manque d’aisance.
Une tunique cramoisie, largement ouverte au centre, on ne peut plus appeler ça un décolleté. La naissance de cette poitrine ronde et galbée se découvre au grand jour, le col qui orne le vêtement la magnifie encore plus. Serré en haut de la taille, l’habit possède des manches longues, au bout rosés, laissant une image de pétales de fleurs dans certains esprits.

En descendant, on aperçoit, ou plutôt admire, le nombril légèrement creusé, le ventre sculpté par de ravissants abdominaux, la taille mince comme jamais. Les hanches à elles seules soutiennent la jupe qui poursuit l’époustouflante cachette de tissu. Comme la tunique, elle est cramoisie, et d’ailleurs assortie. Divers motifs sont cousus sur la surface, et une ceinture de soie évite les soucis particuliers. Cependant, une cuisse musclée sort presque toujours de la surface de l’habit, se livrant aux regards les plus tenaces, profitant de la fente de tissu sur la gauche de la jupe pour s’évader à l’air libre. Hestia en a rarement quelque chose à faire…
Pourtant, elle devrait. Parfois.



Hestia n’a jamais été une femme au caractère entier. Déjà, à l’Époque Originelle, Aphrodite a toujours vu en elle une dominée. C’était la plus douce de l’Olympe, entièrement composée de Vertus. Même lorsqu’elle a refusé ses avances, évoquant la promesse faite à son frère, Aphrodite a vu en elle une douceur inégalable.

Le Passé étant le Passé, la Déesse de l’Amour a construit une Hestia un peu plus confiante, pour son Nouveau Monde. Elle lui a malgré tout laissé cette adorable douceur, qui l’avait tant marqué et avait même déclenché en elle une pointe de jalousie.

Hestia est donc belle… et douce. Un véritable cœur d’Or, sans jamais aucune arrière-pensée et méchanceté dans son esprit pleins de qualités. Personne n’a droit à une quelconque discrimination avec cette femme. La Déesse la plus vertueuse de tout l’Olympe, c’est bien elle, pour longtemps. Cependant, elle n’est pas non plus une innocente à qui l’on fait faire ce que l’on veut. Certes, elle cède sous la pression lorsque l’on sait s’y prendre et que l’on insiste, mais elle est avant tout consciente de ses pouvoirs, qu’elle s’efforce de ne jamais perdre, en foulant le moins possible la Terre de ses pieds. Elle n’a pas peur de brûler les doigts de quiconque s’approcherait trop de sa personne. Tuer n’est pas dans ses cordes, mais elle peut blesser gravement un individu gênant en le léchant de ses flammes infernales. La colère ne prend jamais le dessus : Hestia est une personne sereine et pleines de ressources.

Elle en connaît d’ailleurs au moins autant que les prêtresses du temple, et même si ce n’est pas sa spécialité, les potions et les remèdes sont rapidement fabriqués entre ses mains. Avec sa capacité de Maîtresse des Flammes, elle est aussi la Maîtresse des foyers. Une maison ne risquera jamais d’être blessé en quoique ce soit, si elle demeure à l’intérieur. Il faut cependant y faire briller un feu : c’est le seul petit caprice que Hestia exige.

Elle est aussi assez fière de ses liens de famille importants et de son statut de Déesse du Feu et du Foyer, mais son tempérament effacé ne fait pas d’elle une bonne vantarde. A l’époque de l’Olympe, Hestia était l’une des Déesses les moins vénérées pour cela : cette discrétion exagérée et un effacement qui en faisait presque une Déesse de second rang…

Alors que le Feu est l’un des éléments les plus destructeurs que la Nature puisse posséder…


*

Aux temps des Origines…

Hestia fut l’une des déesses comptant parmis les 12 dieux de l’Olympe. Fille aînée de Cronos et Rhéa, ainsi que sœur de Zeus, Hadès, Poséidon, Déméter et Héra, elle y possédait un grade relativement important, et sa beauté n’avait d’égale que sa gentillesse. En inventant l’art de construire des foyers et d’y allumer un feu, son statut n’en fut que plus reconnaissable. Néanmoins, malgré sa popularité qui augmentait de jour en jour chez les mortels, elle ne faisait office de sa présence à l’Olympe que peu souvent : sa réputation se fut discrète en partie à cause de cela, mais c’était entièrement voulu.

Elle n’avait jamais eu le tempérament d’une vraie Déesse, après tout. Jamais elle n’était descendue sur Terre, pour effrayer les mortels ou pour se divertir sous leurs actions pitoyables. Elle était bien trop bonne pour commettre pareils actes…

Il fut pourtant des jours ou Hestia fit preuve de motivation. Lorsque Poséidon la demanda en mariage, elle refusa catégoriquement. Lorsque Apollon en fit de même, ce fut un « non » encore moins hésitant.
Et lorsque Aphrodite se joua à la séduire, elle résista. Difficilement, mais elle résista.

Tout ça parce que Hestia, sœur de Zeus, le Maître des Dieux, lui avait fait cracher la promesse de rester pure à jamais. A jamais, ce n’était pas rien, et surtout, ça ne l’engageait pas à rien, mais…

Elle respecta cette promesse, qui tenait plus lieu de pacte, dans son esprit.
Et ainsi, lorsqu’elle périt, avant la construction du monde d’Aphrodite, elle était aussi pure que possible.

Elle se réveilla près d’une cascade, dans le monde d’Aphrodite. Celle-ci n’avait nullement oublié sa conquête ratée, et lui avait offert une place dans son univers… mais Hestia était déboussolée. Elle possédait encore tout ses souvenirs, son esprit n’était nullement embrumée… mais le monde dans lequel elle avait repris conscience n’avait rien de celui quitté.

Bien sûr, elle ne comprit pas la situation. Ni le fait qu’elle n’était qu’une création de la déesse de l’Amour. Hestia supposa simplement qu’elle s’était fait enlever, et reprit rapidement la route en direction du mont de l’Olympe…

Sans réaliser que, de là-haut, ou d’ailleurs, Aphrodite sentait que le jeu allait pouvoir commencer.


*

Hestia ne connaît de l’amour que les frivolités. Et elle est bien décidée à ne pas en connaître plus, étant donné l’importance de sa promesse… mais il lui faudra bien se rendre compte que le monde dans lequel elle a été faite ne correspond pas à son attente.

Ses pouvoirs sont tournés vers l’axe de la chaleur. Elle peut provoquer une braise comme un incendie, faire périr une armée dans les flammes. La température de son corps est toujours extrêmement élevée, au point d’en arriver à mal supporter le chaleur ambiante qui se dégage de sa peau. Néanmoins, elle en a le contrôle total et peut la baisser.
Elle peut aussi reconstruire une maison d’un simple claquement de doigts, et assurer la protection d’un logis en pénétrant à l’intérieur.




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