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Sujets - Andreas Hofer

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7 avril 1959



L'Institut Arcimboldo du North Boston, niché au cœur des paysages pittoresques de la Nouvelle-Angleterre, s'éveille sous les étoiles scintillantes, s'apprêtant à accueillir le bal des anciens élèves. L'air est imprégné d'une douce brise de printemps, tandis que l'élégance et la nostalgie flottent dans l'atmosphère. Les portes majestueuses de l'institut s'ouvrent avec une grâce solennelle, révélant un hall d'entrée orné de marbre, baigné dans une lueur chaleureuse. Les murs sont habillés de boiseries finement sculptées, témoins d'un artisanat d'une époque révolue. Des lustres en cristal, suspendus avec une élégance délicate, éclairent la pièce d'une lumière tamisée, ajoutant une touche de magie à l'ensemble.

Des doubles portes s'ouvrent sur une grande salle de bal, où les yeux sont immédiatement attirés par le splendide lustre central qui scintille comme un astre céleste. Les murs sont décorés de tapisseries historiques, évoquant des scènes de fêtes et de célébrations passées. Les hauts plafonds peints à la main, représentant des fresques allégoriques, offrent une symphonie visuelle qui transporte les esprits dans un autre temps. Le sol en parquet poli invite les danseurs à se déplacer avec grâce et légèreté, tandis que les chaises disposées le long des murs attendent patiemment les convives. Des balustrades en fer forgé, ornées de motifs floraux délicats, encadrent l'ensemble de la salle de bal, ajoutant une touche de romantisme à l'ambiance. Les fenêtres cintrées laissent filtrer une lumière douce, créant des reflets dorés sur les visages des invités. Des rideaux en soie, délicatement drapés, dansent avec grâce au rythme de la brise, apportant une note de légèreté et de mystère à l'ensemble. Les tables dressées avec soin se parent de nappes en dentelle, de chandeliers en argent et de bouquets de fleurs fraîches aux couleurs éclatantes. L'arôme envoûtant des mets raffinés flotte dans l'air, suscitant l'appétit et éveillant les papilles des convives. Au son d'une douce mélodie, l'orchestre se prépare à enchanter la soirée, accordant leurs instruments avec précision et passion. Les musiciens vêtus de smokings et de robes élégantes sont prêts à donner vie à la musique, faisant résonner les notes dans les cœurs et les âmes des danseurs.

Les anciens élèves, parés de leurs plus beaux atours, se retrouvent avec émotion, échangeant des sourires complices et des souvenirs d'une jeunesse révolue. Les conversations empreintes de nostalgie s'élèvent comme une symphonie de voix, enveloppant l'espace d'une atmosphère d'amitié et de camaraderie. Au fil de la soirée, les pas de danse s'entrelacent avec grâce et élégance, révélant la beauté intemporelle de la danse et l'harmonie qui règne entre les couples. Les rires joyeux et les murmures chuchotés se mêlent aux notes de musique, créant une symphonie de bonheur et de retrouvailles. L’établissement, lors de ce bal des anciens élèves, se transforme en un théâtre mirifique où passé et présent se rejoignent, où les souvenirs se fondent avec l'air embaumé de promesses et où l'élégance se dévoile dans chaque geste, offrant une soirée inoubliable à ceux qui ont jadis foulé ces mêmes sols avec la fougue de la jeunesse…

Sauf que ! Tout n’allait pas pour le mieux dans le meilleur des mondes… Car la silhouette frêle d'Andreas Hofer se profile dans l'entrée majestueuse de l'Institut Arcimboldo, ses pas empreints d'une hésitation teintée d'appréhension. Vêtu de son éternel pull à col roulé, sombre comme les abysses de son esprit tourmenté, il émane de lui une aura à la fois énigmatique et vulnérable. Son visage pâle et anguleux, encadré par des cheveux bruns légèrement bouclés, dépeint une histoire de nuits blanches et de batailles intérieures. Ses yeux d'un bleu clair intense, empreints de cernes profondes, reflètent une anxiété perpétuelle, une tourmente sans répit. Chaque regard rongé par le ressentiment qu'il pose sur le monde semble contenir une question sans réponse, une quête désespérée de sens dans un univers qu'il méprise.

Le bal des anciens élèves, véritable miroir de la société qu'il condamne, se déroule sous ses yeux critiques et incisifs. Il se tient en retrait, observant les masques sociaux se dissimuler derrière des sourires forcés, les rires superficiels qui masquent les frustrations profondes. Lui-même un étranger dans cette foule, il peine à trouver sa place parmi les apparences et les conventions. Andreas, rongé par des démons intérieurs, des souvenirs qui le hantent, le plongeant dans un océan d'angoisse et de tourments, regrettait presque d’être venu ici... Les moments où il a succombé ici à ses propres faiblesses et égoïsmes le hantent comme des fantômes du passé, renforçant son sentiment de culpabilité et de honte. Dans cette atmosphère de célébration et de retrouvailles, il se sent emprisonné par son propre fardeau, piégé dans un monde qui ne lui offre pas l'évasion et la liberté qu'il désire ardemment.

Timidement, il avance dans la salle de bal, son regard scrutant les visages familiers et les échos d'une époque révolue. Les souvenirs se mêlent à la musique, les rires aux murmures, créant une cacophonie d'émotions contradictoires qui résonnent en lui. Il se sent à la fois attiré par la nostalgie des souvenirs partagés et repoussé par l'inconfort des retrouvailles forcées. En effet, le bel Helvète, parmi les anciens élèves réunis lors de ce bal, porte également le fardeau d'une relation tumultueuse avec cet établissement. Mal-aimé, incompris et souvent isolé pendant son séjour parmi les Arcimboldiens, il reste marqué par les souvenirs d'une période teintée de rancune, d’'incompréhension et de solitude.

Les regards furtifs et les murmures étouffés qui accompagnent son entrée dans la salle de bal ne lui échappent pas. Ses anciens camarades, rappelant peut-être les traits sombres de son caractère complexe, peinent à s'approcher de lui, préférant les retrouvailles avec d'autres figures plus conviviales et sociables. Ils préfèrent donc l’ignorer, fuire ses yeux pâles. Pourtant, il avance avec une certaine résilience, bravant les regards désapprobateurs et les murmures étouffés qui semblent l'encercler. Sa démarche dégage une détermination silencieuse, un refus de se laisser définir par les jugements et les opinions des autres. Il est conscient que son chemin est différent, qu'il porte en lui une sensibilité qui dépasse les limites du conformisme. Dans ce bal des anciens élèves, Andreas Hofer se tient à la lisière des conversations animées, observant avec un mélange d'ironie et de détachement les retrouvailles chaleureuses qui se déroulent autour de lui. Il demeure un étranger, un esprit peut-être en quête d'une connexion plus profonde et sincère, mais incapable de franchir les barrières qui le séparent des autres.

Ainsi, Andreas Hofer, malgré les regards méfiants et les rumeurs persistantes, se tient droit, résolu à s'accepter lui-même et à trouver un sens à sa propre existence. Dans cette soirée de retrouvailles teintée d'émotions contradictoires, il incarne l'archétype de l’asocial dérangé et dérangeant, véritable solitaire inadapté, portant avec lui les cicatrices d'une expérience douloureuse, mais n'en perdant pas pour autant sa dignité et sa recherche inlassable de vérité. Cependant, au cœur de cette soirée empreinte de nostalgie et d'ambiguïté, Andreas Hofer attend aussi patiemment, comme un papillon solitaire attiré par une flamme insaisissable, l'arrivée de cette damoiselle qui, autrefois, a ignoré ses sentiments naissants, mais qui demeure toujours dans son cœur, tel un amour inachevé qui cherche encore à trouver sa résolution.

Viendra-t-elle ?

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Bonjour à vous,

Réfugié dans sa chambre, Andreas Hofer ne cesse de conspuer l'humaine condition pour prôner son droit à la liberté. Et il n'a de répit qu'il n'ait dans ses discours humilié, diminué, vilipendé les amis de passage ou la maîtresse d'un soir ...

Pour la faire brève, je propose ainsi à LGJ un personnage finalement assez cynique, plutôt noir, nihiliste, mélancolique, bourré de contradiction(s) et même très dépressif. Je me suis fortement inspiré du style d'Osamu Dazai, Albert Camus et de Dostoievski pour élaborer son histoire, son caractère et sa philosophie.

Vous êtes libres de vous plonger dans l'esprit complexe et torturé d'Andreas Hofer, un jeune philologue déçu de la vie, et de découvrir ce qui l'a conduit à vivre une existence si solitaire.

Et bref que dire de plus ? Comme je l'ai dit, je ne peux pas vous proposer de trames pré-fabriquées. J'ai des idées et pas mal d'infos que je n'ai pas voulu distiller dans la biographie de notre jeune Helvétique fâché contre la société. Aussi, je vous encourage à me contacter, soit sur ce compte, soit sur Discord avec Vittorio#2745, pour convenir d'une trame, si la nature du personnage vous plaît.

Dans l'idéal, je peux démarrer deux trames.

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Comment s’appelle cet homme ?

Andreas Hofer.

D’où vient-il ?

Il serait originaire de Suisse.

Son âge ?

27 ans, à tout casser… Naissance le 3 février 1933.

A-t-on des informations sur sa personnalité ?

C’est indéniablement un jeune homme complexe et difficile à cerner. Profondément solitaire, introverti, pessimiste et cynique, il méprise la société dans laquelle il vit et semble même prendre plaisir à sa propre souffrance. Nos informateurs mentionnent qu’il est souvent en proie à des crises d'angoisse et à des accès de colère incontrôlables.

Il manifeste cependant de grandes qualités intellectuelles. Le sujet est plutôt perspicace, capable d'analyser les motivations et les comportements des autres avec précision. Il est en revanche très critique envers les autres, mais également envers lui-même. Il paraît constamment en conflit avec lui-même et avec le monde qui l'entoure, cherchant désespérément un sens à sa propre existence, d’après notre enquête. Obsédé par sa petite liberté individuelle, il confesse constamment être piégé et impuissant, subissant sa propre existence. En effet, il est frustré par le manque de contrôle qu'il a sur sa propre vie, ainsi que par les contraintes sociales et les conventions qui l'entourent. S’il est en quête d'une liberté totale et absolue, il est incapable de la trouver dans le monde dans lequel il vit.

Tourmenté par des sentiments de culpabilité et de honte, c’est aussi un damoiseau manifestement hanté par des souvenirs du passé, notamment des moments où il s'est comporté de manière immorale ou égoïste. Il est en proie à des doutes quant à sa propre valeur et à sa capacité à trouver un sens à sa propre existence.

A-t-on des informations sur son histoire ?

Philologue de profession, c'est un ancien fonctionnaire qui a démissionné de son poste le jour de la perception d’un lointain héritage et qui vit maintenant seul dans une petite chambre de son immeuble du Boulevard Dispenza à Boston avec pour seuls contacts humains un vieux domestique russe qui zozote et une femme de chambre espagnole à l’hygiène déplorable. Vivant une vie solitaire, triste et désenchantée, il semble passer son temps à écrire dans ses carnets que personne ne lira.

D’après les informations glanées, il aurait connu plusieurs périodes de sa vie au cours desquelles il a tenté de trouver sans succès un sens à son existence. Pendant sa jeunesse, il fut un étudiant très littéraire, brillant, mais qui a été déçu par le monde académique et la société suisse dans son ensemble. S’il a commencé à travailler pour l'État fédéral américain, il a finalement démissionné cette année - 1959 - en raison de ses frustrations envers la bureaucratie et les restrictions qu'elle impose sur l'individu.

Cependant, malgré tous ces revers, Andreas semble continuer d'écrire dans ses carnets, consignant ses pensées et ses émotions les plus profondes. Bien qu'il sache que personne ne lirait jamais ses écrits, il se sent aujourd'hui libéré de la pression de devoir plaire à un public ou de satisfaire les exigences de la société. Dans ses moments les plus sombres, l'Helvète a tendance à se tourner vers ses écrits comme un moyen de trouver un sens à sa vie et de se reconnecter avec son propre arrière-monde.

Connaissant des périodes de désespoir et de tristesse profonde, il garde malgré tout en tête sa quête de vérité et de beauté dans cette triste société américaine post-moderne et désenchantée. Sa vie solitaire et amère est très difficile à comprendre pour les gens du commun, mais pour lui, c'est une source d'inspiration et de réflexion constante grâce à laquelle il maintient la tête hors de l'eau.

Fait intéressant, notre homme semble avoir connu des relations amoureuses tumultueuses tout au long de sa vie. Il a été obsédé par une femme mariée pendant un certain temps, mais a finalement renoncé à ses espoirs de la conquérir. Plus tard, il a eu une relation avec une prostituée, mais cela a fini par se terminer en… désastre. Toutes ces expériences ont contribué à sa vision négative et désenchantée du monde.

Décrivez le physiquement …

Homme de taille plutôt moyenne - un mètre soixante-quatorze, Andreas Hofer a les cheveux bruns, mi-longs et légèrement bouclés. Ceux-ci encadrent son visage pâle et anguleux. Ses yeux, d'un bleu clair intense, avec des cernes prononcés, témoignent de son manque de sommeil et de sa nature anxieuse, angoissée, tourmentée. Son visage est mince, avec des pommettes hautes et une mâchoire plutôt carrée.

Il est souvent vêtu d'un pull à col roulé cintré, de couleur foncée la majorité du temps, qui met en valeur sa silhouette svelte. Ce pull est d’ailleurs en laine douce, cela lui donne un aspect élégant et décontracté. Il porte également un pantalon en toile sombre et des bottines simples mais bien coupées. Dans l'ensemble, ce damoiseau a une allure simple mais soignée, reflétant son style de vie modeste et sa personnalité réservée. Sa peau pâle et ses cernes prononcées ajoutent une dimension de vulnérabilité à son apparence, soulignant, comme nous l’avons dit, sa nature anxieuse et tourmentée.

Comment avez-vous connu le forum ?
Topsite, DC de Vittorio Vulcano.

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