Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Marguerite Clairbois

Pages: [1]
1
Les terres sauvages / Sacrée offrande [ La bête des bois & Marguerite]
« le: mardi 05 mars 2024, 18:54:58 »
Cela vous surprend que dans ce petit village reculé, au fin fond des terres sauvages de Terra, les jeunes filles aient la réputation d'être faciles et de s'offrir si facilement à quiconque insisterait un tant soit peu ? Vous dites vous que les mœurs des familles du cru sont déplorables et qu'elles devraient avoir honte d'éduquer leurs filles de façon si laxiste ?  Vous serez surpris d'apprendre que rien de tout ceci n'est le fruit du hasard. Les jeunes filles sont éduquées ainsi par leurs mères pour une bonne et juste raison ...

Car il y a dans le village, une légende qui se murmure dans le dos des hommes. Un savoir transmis de mère en fille au sein d'une toute petite poignée de familles élues. Cette légende parle d'un sanctuaire oublié, caché dans les replis mystérieux de la partie la plus ancienne et luxuriante de la vieille forêt. Un endroit où aucun bucheron, aucun chasseur n'aurait jamais osé mettre les pieds.Près de ces ruines résiderait une bête mythique, gardienne des équilibres entre le monde des hommes et celui des esprits de la forêt.

Selon la légende, un dieu bienveillant aurait autrefois confié à cette créature le devoir sacré de protéger la forêt et ses habitants. Pour honorer cet équilibre fragile, une jeune fille du village doit être choisie chaque décennie pour accomplir un rituel au cœur de la forêt. Ce rite, pratiqué dans la plus grande discrétion, impliquerait un cheminement à travers des sentiers sylvestres tortueux et oubliés. Ils mèneraient jusqu'aux ruines d'une église abandonnée. Là, la jouvencelle devrait, selon les dires, allumer les feux sacrés et faire offrande d'elle même à la bête mystérieuse afin de garantir la paix et la prospérité dans le village et ailleurs ...

Cette tradition, les Clairbois y croient dur comme fer. Comme bien d'autres familles d'ailleurs. Marguerite sait que sa mère, sa grand mère et nombre de ses tantes ont été choisies pour accomplir le rituel avant elle. Sans que ni père, ni oncles, ni aieul ne l'aient jamais soupçonné.

Et le grand jour arrive aujourd'hui à son tour pour Marguerite. Jeune. Belle. Dans la force de l'âge. Et parfaitement au courant de tout ce qui est attendu d'elle. Elle est préparée pour le rituel sacré par la rebouteuse du village, une femme vénérée pour sa connaissance des anciennes traditions. Tout en répétant, un ultime fois ses consignes, elle tresse les cheveux de la jeune paysanne de fleurs sauvages et les parfume de douces essences aux odeurs printanières.

Pendant que Marguerite voit son corps être lavé par l'eau pure de la rivière, elle ne peut s'empêcher de sentir une grande tension grandir en elle. Être désignée pour accomplir le rituel est un honneur autant qu'une joie car, dit on, qu'en plus d'être vigoureusement membrée, la créature accorde force et vitalité à l'élue et à sa descendance. Elle harcèle l'ancienne de questions.

- Que s'passera t'il si y m'refuse, ancienne ?

- Un joli brin d'mignonne comme toi, y f'rait jamais une chose pareille.

- Est-ce qu'il va m'faire du mal ?

- Non, l'est gentil comme un coeur et doux comme un agneau. Si tu t'montres bien docile, y te f'ra c'qu'aucun homme t'as jamais fait.

Pour autant que Marguerite le sache, les hommes lui ont déjà fait à peu près tout ce qu'il était possible de faire à une jeune fille. Mais l'obéissante jeunette n'insiste pas sur ce point. Elle laisse l'ancienne la vêtir d'une robe ample de lin blanc. Un symbole de pureté (étrangement) et de connexion avec le divin (là on y croit davantage).

Plusieurs autres questions sont encore posées à l'anciennes, telles que est-ce qu'il sent bon ? ou  Est-c'qu'on va rester collés comme des chiens après ?. Autant d'inquiétudes auxquelles l'ancienne essaye de répondre avec patience et pédagogie. A la toute fin des explications, elle tend à la jeune fille un fiole remplie d'un breuvage bien mystérieux.

- Bois donc ca gamine. Ca t'proteg'ra de tout c'qui faut.

C'est quoi "tout ce qu'il faut" ... ? Des autres créatures qui rodent en forêt ? Des chances de tomber enceinte ... ? Des puces ... ?

Et c'est ainsi, après avoir fait avaler la potion à la docile Marguerite que l'ancienne l'abandonne à l'orée de la forêt.

- Suis donc le vieux ch'min délimité par les grandes pierres ! Et avances tout droit sans jamais t'arrêter !

Le cœur palpitant d'excitation et de nervosité, la jeunette s'exécute. Elle s'enfonce dans la forêt, pieds nus. Elle se laisse guider par les grandes pierres dressées qui marquaient le chemin sacré. Le périple est long et ardu. L'ancien sentier finit rapidement par s'effacer et seules les pierres marquent désormais les bornes à suivre. Ce n'est pas facile car elles sont peu nombreuses et leurs ombres sont parfois difficiles à distinguer dans la pénombre du sous bois.

Chaque pas la rapproche d'une nature de plus en plus vierge, de polus en plus sauvage. Le craquement des brindilles sous ses pas, le murmures des arbres et le chant des oiseaux deviennent rapidement les seuls compagnons de sa marche solitaire.

Enfin, après des heures de marche, elle débouche enfin dans la clairière attendue. En son centre se dresse les ruines d'une Eglise depuis longtemps abandonnée. La végétation luxuriante a depuis longtemps recouvert les lieux et seul le relief de certains murs effondrés dépassent encore, comme les côtes saillantes d'un animal mort depuis longtemps. A côté s'étend la fameuse marre sacrée. Une statue intimidante s'y dresse. Elle représente le géant des bois. La statue est très ancienne. Bien qu'elle ait commencée à être érodée par le temps, Marguerite ne peut que reconnaître la silhouette qu'on lui a décrite.

Massive, puissante. La statue tend devant elle des mains en coupe et elle ne peut s'empêcher de remarquer que celles qui ont érigé cette effigie au monstre l'ont orné d'un phallus d'une taille gigantesque. La vue de l'appendice fait rougir la jeune fille et fait battre davantage le cœur dans sa poitrine. Cette statue est elle réellement à l'échelle ? Il faut prier les dieux que non !

Connaissant les consignes, Marguerite s'arrache à la contemplation du divin phallus. Elle déballe le petit ballotin d'herbes à brûler que lui a confié l'ancienne. A l'aide du briquet à amadou également confié à ses bons soins, elle allume l'encens rural qui immédiatement dégage de la fumée blanche ainsi qu'une odeur végétale puissante. L'odeur attirera le monstre et l'informera que l'offrande est arrivée ... Comme de nombreuses générations de femmes avant elle, Marguerite place l'encens entre les mains en coupe de la statue, devant pour ce faire (et preuve que les anciennes avaient peut-être un peu d'humour), prendre appui sur la verge de pierre comme on devrait utiliser un marchepied ...

Alors que la nervosité de la jeune femme est à son paroxysme, il ne reste plus qu'à attendre. Combien de temps est-ce supposé prendre ? Une heure ... ? Dix ... ? L'Ancienne a confié à Marguerite nourriture, couchage et un rien d'alcool si elle se sent ultimement manquer de confiance ... Personne ne voudrait qu'une offrande ivre morte soit livrée aux appetits du monstre mais les anciennes savent d'experience que parfois, un petit peu de courage liquide pourrait être nécessaire pour entamer les choses.     


2
Dans la taverne du Dragon Saoul, l'ambiance est survoltée ce soir. La salle est bondée de clients enthousiastes, attirés par la musique envoûtante des deux bardes qui se produisent sur scène. Les murs résonnent des mélodies enchanteresses de leurs instruments, et les rires et les conversations animées remplissent l'air.

Derrière le comptoir, Marguerite s'active, une vision de beauté et de charme pour la rustre clientèle de cette campagne reculée. Vêtue d'une robe ajustée mettant en valeur ses courbes féminines, elle porte un décolleté plongeant qui attire les regards des hommes affamés et pousse naturellement ces derniers à la consommation. Ses cheveux châtain sont soigneusement coiffés et encadrent son visage épanoui. Elle ne loupe aucune occasion pour tourner ses grands yeux brillant d'admiration vers la scène.

Elle écoute la musique avec un air énamouré, son cœur battant au rythme des mélodies envoûtantes. Mais son enthousiasme est tempéré par une pointe de dépit en voyant la quantité d'autres femmes plus ou moins jeunes qui se massent au premier rang, toutes aussi éblouies par les charmes des artistes que Marguerite elle-même.

Soudain, la voix autoritaire de son patron la fait sortir de ses rêveries.

- Marguerite !

Elle sursaute, manquant de renverser la choppe à côté de laquelle elle était accoudée. Elle tourne vers le tenancier un regard plein de culpabilité. Elle bayait aux corneilles au lieu de travailler et en a parfaitement conscience ! 

- Bouges toi les miches. L'heure d'l'entracte approche. Va donc porter d'quoi boire dans la loge des artistes.

"loge" est un bien grand mot pour désigner cette chambre du rez de chaussée réservée pour les deux bardes ... Mais Olaf a envie de faire les choses "en grand !". Surprise, elle proteste.

- Mais ... tout l'monde va s'ruer ici pour réclamer à boire en mêm' temps m'ssieur Olaf !

- Fais c'que j'te dis et t'inquiètes donc pas pour ici.

Il met d'autorité un plateau bien garni dans les mains de l'employée et lui assène une claque retentissante sur les fesses, provoquant un glapissement surpris chez cette dernière ainsi que son départ précipité en direction de l'arrière salle. Elle l'entend crier dans son dos.

- Et assures toi qu'ils ont b'soin de rien, ma belle !

Les ordres sont les ordres ! Elle se précipite dans le couloir arrière de l'auberge qui mène (entre autres) à la bien fameuse chambre. Une partie totalement coupée du public (les gros bras engagés par Olaf pour l'occasion y veillent). La serveuse par interim n'arrête son trottinement qu'une fois hors de vue du patron, pour souffler et prendre le temps de réaliser ce qui est en train de se passer.

Les artistes ne vont pas tarder à quitter la scène et elle se sent dans tous ses états ! Son coeur de midinette s'emballe d'excitation à l'idée de se retrouver face à face (peut être même seule ??) avec ces deux hommes qu'elle trouve si séduisants. Posant un bref instant son plateau, elle rajuste son corsage, le descendant un peu davantage, met de l'ordre dans sa coiffure et se pinçe les joues pour leur donner un teint frais et rosé, espérant ainsi mettre toutes les chances de son côté pour être remarquée par les idoles !

Les dernières notes retentissent dans la salle commune et les applaudissements explosent. L'entracte est annoncée. Presque une heure est donnée aux artistes pour se reposer et c'est autant de temps qui permettra au public de boire et se sustenter. L'affluence au bar va exploser mais visiblement, ca ne va pas être son problème immédiat. Les deux hommes sont sur le point d'arriver ! La jeune fille reprend vite son plateau et se tient presque au garde à vous devant la porte de la chambre. Bientôt, très bientôt elle les accueillera d'un grand et chaleureux  sourire et tendra vers eux un plateau qui contient en cas, rafraichissement et, elle l'ignore puisque elle ne sait résolument pas lire, l'invitation du patron à considérer la jeune femme comme "cadeau" supplémentaire de la maison. 

3
Les contrées du Chaos / Voyage imprévu [Marguerite, Shamir & Daraen]
« le: dimanche 03 mars 2024, 16:11:30 »
Nous sommes au milieu d'une belle journée printanière. Marguerite, jeune et honnête paysanne, se tient au bord du petit cours d'eau tranquille qui borde le village. Elle est vêtue d'une robe de lin toute simple qui enserre une silhouette joliment découpé, ses cheveux châtains retenus en un chignon désordonné. Son visage est éclairé par un sourire radieux alors qu'elle frotte vigoureusement le linge contre une pierre lisse, créant des éclaboussures d'eau savonneuse autour d'elle. Une corvée simple mais indispensable, qui demande un coup de bras vigoureux !

Soudain, le saut inattendu d'une truite crevant la surface la fait sursauter ! La jeunette pousse un cri de surprise et son sursaut lui fait perdre l'équilibre, tombant à à quatre pattes dans l'eau avec un cri étouffé. L'eau est peu profonde, mais le choc la surprend, et elle se retrouve submergée pendant une brève seconde, les yeux brûlants de savon. Provisoirement aveuglée, elle se débat dans le courant et lutte pour retrouver sa position debout en dépit des pierres glissantes.

Elle parvient tant bien que mal à retourner jusqu'à la berge, aveuglée et éclaboussée, le cœur battant la chamade. Elle se laisse tomber à quatre pattes le temps de retrouver ses sens ... mais quelque chose ne va pas. La texture sous ses mains n'est pas celle du talus herbeux auquel elle s'attendait. Au contraire, c'est une surface dure et lisse qui lui donne une sensation incongrue. Et à bien y regarder ... c'est toute l'ambiance autour d'elle qui a changé.

Elle se frotte les yeux et finit par réussir à entrouvrir les paupières. A travers ses yeux rougis et embués de larmes, Marguerite réalise lentement ce qui lui arrive. Elle est frappée par le changement radical de paysage. Les arbres familiers de la berge ont disparu, remplacés par des murs. Elle est désormais en intérieur, dans un espace bien trop grand pour qu'elle puisse en distinguer les détails avec sa vision floutée. Avec sa robe de lin partiellement trempée qui colle à ses formes plutôt plaisantes, la jeune paysanne se retrouve ainsi dans un endroit totalement inconnu, son linge mouillé et ses accessoires de lessive dispersés sur le plancher autour d'elle

Animée d'une crainte superstitieuse face à la manifestation d'un pouvoir incompris, elle s'exclame.

- Par tous les Saints, où suis-je ? Que s'est il passé ?!!

4
La taverne du Dragon Saoul est agitée ce soir. Elle vibre au rythme des rires bruyants et des chopes de bière qui s'entrechoquent. Toute une troupe de soldats et de mercenaires en permission ont envahi l'endroit, assoiffés de boisson et de compagnie féminine. Olaf, le tavernier rusé, a saisi cette opportunité en embauchant les jeunes femmes du village les moins farouches qu'il connaisse pour servir et divertir ses clients. Il sait que leur présence plait à la soldatesque et que les quelques sous qu'il les payera pour la soirée compensera largement le chiffre d'affaire que leur présence apportera. De leur côté les jeunes femmes ne sont que trop heureuses de pouvoir gagner quelques sous bienvenus tout en pouvant voir "d'un peu plus près" les solides gaillards dont les uniformes et attirails guerriers ne manquent pas de créer l'admiration chez les campagnardes un peu sottes qu'elles sont.

Aucune d'elles ne semble trimer bien fort ce soir et le patron laisse volontiers les filles libres de leurs mouvements tant qu'elles participent à l'ambiance des lieux et qu'aucun client n'attend trop longtemps sa boisson. Certaines, moins timides que d'autres, se laissent conter fleurette, effleurer les fesses de petites flatteries amicales voire acceptent de partager la tablée de gaillards assises sur les genoux d'un d'entre eux. C'est bon pour les affaires. C'est bon pour le moral. Tout le monde est content.

Parmi elles, Marguerite se démarque par sa vivacité et sa beauté éclatante. Dans sa robe plus courte que d'habitude, laissant entrevoir la naissance de ses genoux avec une audace presque indécente, elle déambule gracieusement entre les tables. Elle attire les regards avec son décolleté généreux et ses cheveux châtains soigneusement coiffés et tressés pour l'occasion d'un joli ruban coloré. Elle sait que ce soir est une occasion de gagner quelques pièces d'argent supplémentaires et elle a mis tous les atouts de son côté pour attirer l'attention des clients.

Alors qu'elle se faufile entre les tables, distribuant sourires et boissons avec une grâce candide naturelle, ses yeux finissent par se poser sur un homme un peu à l'écart. Un militaire un peu plus âgé, presque grisonnant, qui observe la scène avec un mélange de mélancolie et de désintérêt. Marguerite sent un frisson d'excitation lui parcourir l'échine à l'idée de réussir à réchauffer un peu ce cœur solitaire.

Elle s'approche de lui avec assurance, avec un pas et léger et avec son plus beau sourire aux lèvres.

- B'jour, m'ssire !

Du messire, toujours traiter en chevalier l'humble homme d'arme, c'est la règle.

- On dirait qu'vous semblez bien seul c'soir ! J'peux vous t'nir compagnie ? Vous apporter un verre ?

Lance-t-elle d'une voix douce et enjôleuse, espérant capturer son attention et peut-être même un peu de son cœur.

5
Les contrées du Chaos / Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]
« le: vendredi 01 mars 2024, 23:11:06 »
Sur le sentier sinueux, Marguerite avance d'un pas léger, laissant ses yeux se perdre dans la beauté de la nature qui l'entoure. La robe de laine de la jeune fille la protège de la fraicheur de cette matinée printanière. Son corset, délicieusement ajusté, met en valeur ses formes généreuses. Les rayons du soleil filtrent à travers les arbres, illuminant sa chevelure châtain et faisant briller ses grands yeux expressifs. Soudain, un objet inhabituel attire son regard : un coffre abandonné dans un fossé, semblant juste attendre qu'elle le découvre.

Marguerite s'arrête, observe la malle renversée et semble hésiter. Une lueur de curiosité mêlée à une pointe de culpabilité l'envahit. Elle meurt d'envie d'aller fouiller dedans ... mais est-ce que ca n'appartiendrai pas à quelqu'un d'autre ? Ca pourrait être vu comme du vol, non ? Elle pourrait être punie par les dieux ! Ou attrapée par la milice et attachée à un pilori devant tout le monde ?!!
Pourtant ... l'image d'un petit ruban sur l'étal d'un colporteur du village lui revient en mémoire. Un petit accessoire mignon que la pauvre Marguerite n'a pas les moyens de s'offrir ...

Les mains moites, elle s'approche du coffre, luttant contre ses propres réserves morales. Mais l'appât du gain finit par l'emporter. Elle se penche, pose ses mains délicates sur le couvercle et ignorant les avertissements silencieux de son instinct, essaye d'ouvrir le précieux contenant.

Et soudain, sans qu'elle n'ait le temps de réagir GNAP !

Le couvercle s'était ouvert sur une gueule béante et vient de se refermer sur le corps de la pauvre paysanne, la faisant basculer en avant et gobant la moitié supérieure de son corps.

Un hurlement étouffé s'échappe des lèvres de la pauvrette alors qu'elle se retrouve engloutie jusqu'à la taille. L'horreur la saisit alors qu'elle réalise ce qui vient de se produire. La substance gluante et visqueuse du mimique la recouvre et laisse sur sa peau une sensation écœurante. Ses jambes et ses fesses dépassent du coffre et s'agitent dans une danse désespérée. C'est bien en vain qu'elle tente de se libérer de l'emprise de la créature insidieuse.

- Au secours ! A l'aide !

Elle appelle à l'aide, dans l'espoir que quelqu'un entendra ses cris étouffés au milieu de cette forêt isolée. La panique la submerge, amplifiée par le dégoût de sa situation. Une personne passant par là à ce moment là aurait droit à une bien drôle de scène, celle d'une paire de jambes s'agitant en l'air alors que déjà une langue rose et gluante commencait à s'enrouler autour d'une cuisse et remonter le pan d'un jupon, laissant entrevoir les rondeurs secrètes de la jeune fille.




6
Les contrées du Chaos / Ablutions [En cours]
« le: mardi 15 juin 2021, 16:59:44 »
Flashback Il y a 2-3 ans
Marguerite a 16/17 ans
Privé Crystal
Toi ma fleur qui a su toucher mon coeur
Je te te le dis avec ardeur et sans pudeur
Marguerite ma belle Marguerite !
Je t'y incite viens me toucher la ...
NON PAS QUESTION !

Ah mais c'est incroyable on croit rêver. C'est l'été ou bien les gars sont toujours comme ça ? La chaleur les rend intenables ! Ils ont pas assez à faire à moissonner leur blé, il faut en plus qu'ils essayent d’entraîner dans la paille tous les jupons qu'ils voient ?

C'est une Marguerite pas franchement charmée par les vers pourtant bien inspirés du brave Victor qui s'éloigne a grands pas du dadais encore à genoux au milieu de la poussière du chemin. Elle avance à grandes enjambées, espérant que le jeune gars n'insiste pas ! Elle n'est pas d'humeur à se laisser conter fleurette aujourd'hui, la jeune paysanne. Il fait bien trop chaud pour se laisser retrousser le jupon et ce Victor tout bien considéré n'est pas si beau.

Elle préfère donc s'en tenir à son plan initial : se hâter de rejoindre le bosquet au bout du chemin qui mène au moulin ! Non sans régulièrement se retourner pour être sûre que un des gaillards ne la suive pas. Un bon coin de baignade, c'est un secret qui se garde jalousement ! Un petit pont traversé, un détour de sentier et fouit, la voilà qui quitte le sentier pour s'aventurer dans le couvert d'un bosquet. Il ne lui faut pas arpenter longtemps le sous bois pour arriver sur le petit bras de rivière dont elle rêvait !

C'est un petit affluent de rivière paisible et calme. Large de quelques mètres à peine et assez profonde pour y nager sans vraiment perdre pieds.
L'eau qui y coule est claire et soumise à un courant très léger, des truites y nagent paisiblement. Les berges sont en pente douce faites de gros galets ronds.  Les arbres fournissent une ombre et une fraîcheur bienvenues alors que les herbes hautes permettent de se dissimuler au regard de quiconque ne viendrait pas spécifiquement marcher dans cette petite combe.

Ni une ni deux, Marguerite n'hésite pas ! Les sabots sont ôt"s, le corset est délacé, la robe est abandonnée au sol. (Elle ne porte que ca par cette chaleur, qu'allez vous imaginer Bien ! Les 5 couches de jupons et les blouses en l'aine, c'est quand le vent est froid !). Et la voilà en tenue de naissance qui plonge avec ravissement dans l'eau fraîche et y commence ses ablutions, et commence à chantonner joyeusement.

Jeanneton prend sa faucilleuuuuh .. larirette lariretteuuuuh.
Jeanneton prend sa faucille et s'en va couper les joncs !
En chemin elle rencontreuuuuh ;. lariretteuh, lariretteuuuuuh !
En chemin elle rencontreuuuuh, quatreuuuh jeuneuuuh et beaux garçons !
Le premier un peu timideuuuuh, lariretteuuuh, lariretteuuuh,
Le premier un peu timide, lui caressa le menton ! Lui caressa le menton !
Le deuxièmeun peu moins sageuuuuh, lariretteuuuh, lariretteuuh ...

7
Ce n'est quand même pas de chance ! Il a fallu que ca tombe sur elle un soir de retour du marché. Non seulement les ventes de ma journée n'ont pas été bonnes du tout et il ne reste à Marguerite qu'une poignée de piécettes de cuivre pour vivre. Mais surtout une roue de sa vieille charrette s'est embourbée au détour d'un chemin ! Comme ca dans une ornière particulièrement vicieuse ! Son vieil âne a beau tirer et tirer, rien ne permet de la déloger de ce sillon boueux dans lequel il semble pris. C'est très mauvais. L'état de la vieille route du bois est déplorable et les rumeurs la disent fort mal fréquentées, surtout maintenant que le soir tombe. Mais que faire ?Abandonner ici ses modestes marchandises et son attelage, ce qui mettra définitivement Marguerite sur la paille ? Attendre en espérant qu'un voyageur bienveillant passera et pourra l'aider ?

Elle fait le tour de sa charrette, plusieurs fois, presque affolée, incapable de prendre une décision ... Et ne remarque pas que dans l'ombre plusieurs silhouettes se profilent et s'approchent d'elle. Trois gaillards, un sourire bien mauvais aux lèvres ont vu une proie. Ce n'est que lorsqu'ils sont presque à quelques pas d'elle que l'un d'eux lance avec une intonation qui est tout sauf bienveillante.

- Alors ma petite demoiselle, on a des ennuis ?

Marguerite sursaute et se retourne ! Elle écarquille les yeux et pâlit un peu. Les sourires mauvais et l'allure débraillée des hommes n'augurait rien de bon. Pourtant il reste une chance pour qu'il s'agisse quand même de gentils voyageurs ... ?

- Bonj....bonjour messieurs ... enfin heuh .. bonsoir. Pâle tentative de sourire. Je ... oui ... est-ce que vous pourriez m'aider ... s'il vous plait ?

Les trois éclatent d'un rire mauvais.

- Bien sûr qu'on va t'aider ma petite caille ! Mais avant ca tu va vider tes poches ... et faire tout ce qu'on te dit de faire sagement, hein ma belle ?

Ils avancent vers elle, sans même prendre la peine de sortir les armes qu'ils portent à la ceinture. Ils ont compris qu'ils avaient affaire à quelqu'un de bien innoffensf. Intimidée, Marguerite recule d'un petit pas ... puis d'un autre.  Mais rapidement son dos vient toucher le bois de la charrette, alors que ses agresseurs se rapprochent d'elle et la serrent de trèeees près, lui coupant tout espoir de retraite.

- Ce serait dommage d'abimer une jolie poupée comme toi, pas vrai ? 

Elle ne voit aucune échappatoire. Alors fébrilement, elle fouille ses poches, en sort les quelques pauvres pièces qui composent toute sa fortune. Elles lui sont arrachées des mains avec brutalité par l'un d'eux avant qu'il émette un rire moqueur devant un si maigre butin.

- Quoi ? C'est tout ? Tu crois que ca va suffire ?? TU TE FOUS DE NOUS ? On va t'apprendre ce que ca coûte de se moquer de nous !

L'homme lève la main, prêt à abattre une gifle retentissante sur la jeune-fille. La pauvre paysanne lève les bras pour se protéger le visage et ferme les yeux, redoutant ce qui est sur le point de lui tomber dessus.

8
Le coin du chalant / Une fille de la campagne
« le: samedi 05 juin 2021, 10:55:52 »
Bonjour tout le monde !

Je cherche à ouvrir des RP avec ma petite Marguerite, un personnage centré sur Terra donc !

Elle est gentille, elle est dévouée et on peut imaginer des prétextes pour la trouver dans à peu près n'importe quelle campagne ou ville. Je suis donc ouverte pour des scenarii plutôt tournés Hentai.

Plein de situations peuvent me venir en tête, je cite quelques trames génériques au hasard parmi tant d'autres possibles :


Coup de coeur

Marguerite a un faible pour les solides gaillards de la campagne, les voyageurs et les beaux soldats.
Il se trouve que vous êtes exactement le type d'homme qui lui plait et qu'il est possible qu'elle ait un petit béguin pour vous.
Osera t'elle s'approcher de vous, malgré le risque des "qu'en diras t'on ?".

Joyeuse soirée

On est à une fête de village ou dans une taverne où Marguerite travaille.
L'alcool coule à flot, les musiciens mènent la danse.
Ce sont des instants qui facilitent les rencontres !

Le Chantage

 Détenteur d'une dette ? Représentant d'une autorité à laquelle Marguerite est soumise ?
Employeur pour un métier que Marguerite n'est pas en possibilité de perdre ?
Vous avez du pouvoir sur elle et avez bien l'intention d'en profiter ...

Bonne samaritaine

Marguerite n'est peut être pas très chaste mais c'est une brave fille. Toujours prête à rendre service !
Vous êtes une divinité qui souhaite récompenser (ou punir ?) la paysanne pour ses actions ?
Vous êtes dans le besoin et croisez le chemin de cette innocente jeune femme ?
A moins que vous ne soyez le curé qui dans le secret du confessionnal, prodigue à la fervente un enseignement bien peu catholique finalement ...

Prise de guerre

La guerre, c'est quelque chose de terrible. Il y a toujours des civils qui n'ont rien demandé qui se retrouvent pris entre deux feux.
Comme Marguerite aujourd'hui. Vous faites partie des vainqueurs et de gré (par appât du gain ?) ou de force (ne faisons pas dessins), Marguerite sera l'objet de réconfort pour les vainqueurs.
(On peut imaginer une variante dans laquelle elle est enlevée par des brigands ou des monstres ...)

Monstre errant

Les contrées de Terra recèlent leur lot de créatures étranges et mystérieuses.
Vous êtes l'une de ces créatures et par hasard, l'innocente Marguerite croise votre route.
Serez vous cruel et sans pitié ou au contraire une créature bienveillante prête à gagner sa confiance ... ?

Prostitution

Ce n'est pas le genre de Marguerite de s'en remettre à ces extrémités, mais la misère frappe et elle n'a plus le choix !
Elle n'est peut-être pas très habituée à cet exercice, la pauvre Marguerite, mais ce n'est pas oie blanche non plus ...

Rebouteux

Marguerite a besoin de votre magie ! Une petite maladie honteuse ? Des herbes pour ne pas finir enceinte ?
Qu'importe ! Elle n'est pas bien riche mais sera prête à beaucoup pour vous le revaloir. 

Coincée

Comment est-ce que cette empotée s'y est prise ? Coincée dans un passage trop étroit pour elle, entravée par des lianes étrangleuses ou mise au pilori pour on ne sait quel menu larçin, le résultat  est le même : Vous tombez sur elle alors qu'elle est manifestement bien incapable de se défendre ! Il ne tient qu'à vous de voir si vous tenez à la libérer ou à profiter de la situation ...

A votre service

Toujours à l'affut d'opportunités de se faire un peu d'argent, Marguerite est votre employée docile.
Ca risque de pas être facile de se concentrer avec cette affriolante demoiselle dans les parages. Gouvernante de maison ? Tavernière ? Coursière ? A vous de proposer ! 

La mauvaise influence
(Un des rare scenario pour personnage féminin, profitez !)

Vous connaissez Marguerite depuis quelques temps.
Le moins qu'on puisse dire, c'est que vous savez que derrière son apparence d'ange se cache une demoiselle qui n'attend qu'un peu de motivation pour se laisser entrainer dans toutes les folies.
Vous l'entrainez dans les joies de la dépravation. Alcool, sexe, vous vous entrainez toutes les deux dans des excès que la jeune paysanne n'aurait pas crue possible.



La liste des possibilités n'est absolument pas exhaustive !Toutes les variantes plus ou moins éloignées de ces idées de base peuvent être envisageables sur le principe.





Pour la partie Hentai, voici mes limites :

Non ferme : Uro, Scato, Gore et blessures, Fisting, Insultes et violence verbale extrême, Zoophilie, Vore
Soumis à conditions (m'en parler avant au moins !) : Humiliation, Fury, Violences physiques, Anal, Torture
OK : Pour le reste ! Hard, Soft, BDSM, Ejac, Groupes, Chantage, Exhibition, Viol ...

Parlez m'en en cas de doutes, on ne joue jamais aussi bien que quand on communique bien !  :-*

Au plaisir de vous lire !
Marguerite ~

9
Bonjour !

Puisque finalement je me plais bien ici, je voudrais vous proposer un nouveau personnage :)

Identité : Marguerite Clairbois
Âge : 20 ans
Sexe : Féminin   
Race : Humaine
Sexualité : Plutôt hétérosexuelle (mais qui sait, par curiosité ??)

Physique :
Elle est belle, jeune et fraîche, Marguerite !  Comme la fleur des champs du même nom, elle s'épanouit dans les plus vertes campagnes de Terra où elle pousse en liberté. Jeune femme dans le début de la vingtaine, son visage est doux, ses yeux bleu, grands et beaux. Ils sont de nature à charmer le plus simple manant comme le seigneur.  Sa bouche est rouge comme les cerises fraîches et ses joues roses comme une poupée si adorable. Elle a le sourire facile et le regard rieur, exprimant une joie de vivre et un optimisme résolu. Ses cheveux longs et bruns sont la plupart du temps laissés libres sur ses épaules ou attachés quand la tâche qu'elle entreprend nécessite de garder le visage dégagé. Un capuchon de laine noué sous le menton vient parfois lui couvrir la tête.

Marguerite est habillée comme une fille du peuple avec de grandes robes faites dans des tissus abordables. Sa taille mince et sa jolie poitrine sont mis en valeurs par les corsets qu'elle porte et par les échancrures généreuses de ses corsages.  Elle ne fait étalage d'aucun bijou ou richesse, si ce n'est quelques rubans colorés dont elle pare ses cheveux ou ses poignets. Occasionnellement une fleur sauvage glissée dans ses cheveux apporte une discrète touche de fraicheur. Ses jambes fines sont cachés par les longs jupons qu'elle porte sous ses jupes. Ils laissent entrevoir des mollets galbés et des pieds menus toujours chaussés d'une paire de délicats souliers ou de sabots.

Caractère :
Marguerite est une jeune femme du peuple docile, travailleuse et douce. Elle sait se montrer à la fois généreuse, dure à la tâche et pourtant souriante.
Fille de paysans, elle respecte les lois, la hiérarchie et puisqu'elle est d'un naturel optimiste, elle se satisfait parfaitement de son sort ! A la fois bonne ménagère, agréable à vivre et séduisante. Pourquoi donc n'est elle pas encore mariée ?? Ce ne sont pas les soupirants qui manquent parmi les gaillards du village pourtant ! Devant tant de choix, tant d'insistances, elle finira bien par céder et tomber en amour, non ??

En vérité, Marguerite cache un grand rêve : Sa tête a été farcie par les histoires romantiques depuis l'enfance. Elle nourrit donc l'espoir fou et insensé de rencontrer un jour un prince charmant qui du haut de son cheval blanc, l'emmènera vivre une vie de château ! Un beau chevalier pourrait aussi faire l'affaire bien sûr ... A condition qu'il ait au moins tué un dragon ou un géant vous comprenez ? Histoire qu'il soit sérieux.

Bref, vous comprenez les raisons de son célibat ! Pourtant, si elle ne souhaite pas encore faire sa vie avec quelqu'un, Marguerite n'est pas prude pour autant ! Sans abuser des amourettes et en évitant les embarras, la jeune paysanne se laisse volontiers conter fleurette et ne dit pas toujours non aux plus insistants de ses soupirants.  Ne la jugez pas, il faut bien qu'elle s'occupe en attendant que cette grande godiche de prince charmant la trouve !

Histoire :

Marguerite est donc née dans un petit village de la campagne de Terra il y a 20 ans environ, élevée dans une petite ferme par un couple de paysans sans histoires. Est-ce près de Nexus ? Est-ce dans l'empire d'Ashnard ? Elle n'en sait rien, la culture et la compréhension géopolitique n'est pas le fort des gens du bas-peuple ! C'est tout juste si la jeune fille sait lire et compter, ce qui est déjà vu comme superflu par certains traditionnalistes.

Des gens viennent parfois prélever l'impôt, au nom d'un seigneur. Le diable si on sait au nom de quel souverain ils viennent ! Les anciens du village règlent la question et si on en entend parler, ce n'est que pour râler parce qu'ils prennent un peu plus chaque année et que ca commence un peu à bien faire !

Quand des armées passent, Marguerite et les autres villageois sortent aux fenêtres pour regarder les soldats. Personne ne se soucie vraiment ni des bannières sous lesquelles ils combattent ni quels uniformes ils portent. Elle comme les autres villageois se  réjouissent à l'idée qu'ils aillent faire leurs guerres ailleurs et que leur présence dans le pays les protègent de tous les monstres affreux dont on entend parfois parler. Marguerite, comme les autres jeunes femmes du village, profitent également de l'occasion pour zieuter après les plus beaux des belligérants, échangeant rires sous capes, commentaires osés et quelques œillades discrètes pour les gaillards, le tout sous le regard sévère et plein de jugement des plus anciens.

Les parents de Marguerite étaient de simples serfs qui travaillaient une terre qui ne leur appartenait pas et qui vivaient de manière fort modeste (comme beaucoup de monde dans la région en fait). Ils sont morts, emportés l'une par une maladie, l'autre par un regrettable accident de charrette. Elle est donc techniquement orpheline, mais ils l'ont quittée à un âge où déjà elle était largement capable de se débrouiller seule pour survivre.

Sauf que son célibat lui impose donc de travailler pour vivre ! La voilà donc à occuper des emplois à sa portée depuis plusieurs années : Tantôt serveuse, tantôt bergère, paysanne, marchande ou domestique. Elle n'est pas attachée à une profession en particulier et peut même parfois quitter son village quand une opportunité se fait sentir dans une ville alentours.

Un jour elle est tenancière de taverne, le lendemain elle aidera les nécessiteux avant de partir le surlendemain pour devenir domestique dans la maison d'une noble famille. Elle est comme ça, Marguerite ! Un vrai  petit papillon.

Comme beaucoup de gens de la campagne, Marguerite est très superstitieuse, effrayée par les créatures, les phénomènes étranges et la magie ! Heureusement, toutes les amulettes qu'elle achète (fort chères !) aux diseuses de bonne aventure et dans les temples la protègent, elle en est sûre !

Autre :

Rien du tout ... Marguerite est une humaine. Une paysanne tout ce qui a de plus banal sur Terra.

Comment avez-vous connu le forum ? C'est un DC !

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