Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - SoeurAlix

Pages: [1]
1
L'Enfer / Mortes mais vivantes (Lissandre V. et Soeur Alix)
« le: samedi 01 janvier 2022, 08:02:54 »
Jamais Soeur Alix n'a connu pareille vitesse ! Ni pareille soudaineté. Encore moins pareil vide dans son esprit. Comme aspirée !

La montée aux cieux ? Si jeune ? « Mais pourquoi, mon Dieu ? Qu'ai-je fait ? T'ai-je trahi ? ». C'est fou comme, même dans la fulgurance de l'instant, l'esprit réagit, réfléchit, s'interroge, questionne.
Alors que le corps est inerte, sans maîtrise, mais étrangement avec des sensations, celle de la vitesse, celles alternées de la froideur et de la chaleur, celle du tourbillon.

Un tourbillon vers le haut, la spirale de la montée au Paradis.
Eh bien non !
Ça va très vite, mais, dans cette étrange lucidité que conserve Soeur Alix, sans doute celle où l'âme se dissocie du corps, ah justement non, son âme ne se dissocie pas de son corps, son âme ressent même d'étranges effets corporels. Lui aurait-on menti au couvent, quand on lui ressassait à longueur de temps que le corps est mortel et que l'âme abandonne cette chair lorsqu'elle devient inerte ?
Lui aurait-on aussi menti sur la montée aux cieux, alors qu'elle a l'impression de descendre ? Comment peut-elle ressentir cela, cette descente, ce tourbillon, cette tête vers le bas sans que « le sang lui monte à la tête » ? Plus absurde encore, elle sent cette gravité, la tête en bas, pousser sa longue robe vers le bas et révéler ses dessous qu'elle choisissait toujours sexy, n'en déplaise à la Mère Sup.

Rien ne colle ! Soeur Alix essaie de rassembler ces bribes, ces absurdités, quand elle se sent comme éjectée, un peu comme quand, enfant, elle était éjectée au bas du toboggan. Cette même force, un rien violente, mais sans bac à sable à l'arrivée. Plutôt une espèce de sorte de truc, qui ressemble à un gros matelas.
« C'est quoi, ça ? », ses mains ont essayé d'amortir l'impact, touchant ce machin qui lui fait pousser un hurlement. Cris stridents que l'écho lui renvoie, assourdissants. « C'est ça, le Paradis ? Ils se sont bien foutus de moi ! ».
Soeur Alix essaie de deviner ; son regard fonctionne mais ne lui indique que du noir, avec le sentiment de percevoir une lueur sans vraiment en déterminer la source ni la matérialité.
Et ses mains ? Ses mains lui ont indiqué un ressenti ; ça ne colle pas avec la mort.
Et ses fesses, Oui, ses fesses nues à part cette petite culotte qu'elle avait enfilée au matin, ses fesses nues d'avoir été dévoilées lors de la chute, ses fesses nues posées à même le machin. Une autre volée de cris, stridents, elle se relève, effrayée.
Se relever, se tenir debout, sentir la robe de nonne redescendre en désordre, ça ne colle pas davantage avec la mort.

Le Purgatoire, peut-être ? Ce serait donc ça ! « Oui, bon, je n'ai pas été parfaite, mais ce n'est pas une raison pour me la jouer comme ça ».
Soeur Alix réfléchit, elle a vraiment toute sa lucidité, va se contenter de l'idée du purgatoire. « Faut que je sois présentable à Saint Machin, sinon c'est mal barré ». Alice rajuste comme elle le peut sa longue robe, sa coiffe.
« Bordel de merde, je viens de comprendre ce qui cloche ! », la révélation est soudaine, évidente. Autant la tenue religieuse est sobre, grise, sinistre même. Autant porter dessous, à part la petite culotte noire sexy et le soutien-gorge bien pigeonnant, ce qui serait presque sage face aux bas noirs accrochés au porte-jarretelles assorti, tout cela subtilement masqué, ça n'a pas dû plaire au gardien du Paradis, quand il a vu tout ça.

Soeur Alix glisse la main entre deux boutons, touche aussitôt le soutien-gorge toujours aussi réel, mais la froideur de son doigt au contact de ses seins, la fait sursauter.  « Attends, c'est quoi le délire ? J'ai les seins qui sont bien vivants ! ». Ca ajoute de la confusion à son esprit. Vivante, oui elle est bien vivante !

« Faut que je vérifie ça ! ». Sure d'être protégée par la noirceur du lieu, Soeur Alix remonte sa longue robe grise. De petites chaussures noires à talons, ses fines jambes gainées de noir, le chemin du porte-jaretelles, son doigt arrive aussitôt à sa petite culotte finement ciselée de dentelle.
« Allez, vas-y, comme dans ta cellule de bonne sœur ! ». Peu importent les circonstances, c'est une question de vie ou de mort ; ses doigts s'enfoncent aussitôt sous le tissu, sans ménagement, comme quand, après avoir vu quelque joli séminariste, elle courait s'enfermer pour s'adonner à ce plaisir d'imaginer le solide gourdin carillonnant sous la bure monastique.
Et, là aussi, ça répond vite. Son sexe est toujours vivant, lui ; elle savait comment utiliser ses doigts, et, même s'ils sont froids, ils se trouvent très vite dans la chaleur. Un choc si violent, que Soeur Alix manque vaciller.

« Bordel de merde, je suis vivante ! Je suis où, là ? Un taré, oui, un taré m'a enlevée. Peut-être même qu'il vient de me voir me tripoter. Oh, mon Dieu, aide-moi. Je ne veux pas finir comme ça ! ».

2
Vous nous quittez déjà ? / Retrait
« le: vendredi 27 juillet 2018, 14:40:29 »
Bonjour,

Je venais juste ici pour me faire plaisir, m'amuser, me distraire, avec des joueuses et joueurs semblables à moi. Récemment, j'ai refusé un RP en OS, au motif que je ne "ressentais" pas le perso de mon interlocuteur même en OS, et que, de ce fait, je ne voyais pas comment construire un RP plaisant. Sa réponse fut, mot pour mot : "C'est ouf, c'est pire que dans les sites de rencontres ici, tu te rembarer alors qu'il s'agit juste d'un RP quoi ... bref.". J'ai été choquée, pas genre miss pudibonderie, mais par l'irrespect tout simplement de cette réponse. Comparer LGJ à ds sites de rencontre n'est pas dans les raisons de ma venue ici, loin s'en faut. En tant que joueuse, j'attends du respect envers moi, même pour discuter d'une trame hentai. Je ne dirai pas qui c'est, je ne donnerai pas le moindre indice; je trouve juste son attitude regrettable. Je sais que ce n'est pas une généralité, mais ça m'a mis en retrait, y compris mes DC, pour un moment, voire pour toujours.

Je vous souhaite à toutes et à tous de poursuivre de bons jeux ici.

3
Le parc et son sous-bois / La louve est dans la bergerie (PV Vicky Mc Creedy)
« le: mercredi 18 juillet 2018, 00:45:39 »
En quelques semaines, j'ai vite appris la topographie du couvent. C'est d'une simplicité effarante. D'ailleurs, je soupçonne même les concepteurs d'avoir prévu des passages pas si secrets, pour celles qui voudraient s'échapper un instant.
J'ai ainsi repéré plusieurs passages, dont un près du dortoir et de ses cellules, très pratique pour aller s'amuser la nuit. Il y en a un derrière la chapelle, aussi, sans que j'en comprenne la notifications. Et deux ou trois endroits où le mur d'enceinte est à moitié effondré. J'ai du mal à croire que moi seule les connais, mais je n'en dis rien, chacun ses secrets.
Idem pour les bâtiments. La chapelle a une porte dérobée, via la sacristie. Le dortoir a un passage discret dans un placard après les douches. Même la salle de prière peut me voir disparaître avec discrétion. C'était un farceur ou un galopin l'architecte ; peut-être même qu'il a fait ça pour venir voir des nonnes en cachette.

Ce soir, c'est grand soir ; Seikusu fête je ne sais quoi, et il y a du monde annoncé. Ce sera mieux que de dormir les mains jointes, d'utiliser ses mains pour tout autre chose, et je rentrerai sagement au petit matin. Mur d'enceinte, derrière la chapelle, du classique. Personne à l'horizon, c'est tout bon, je me redresse.
Merde ! Une silhouette en face, je ne l'avais pas vue. Avec une vieille robe de bure comme moi. Enfin, je dois préciser que je ne garde ma robe de bure que pour la forme. En général, sitôt dehors, je la planque pour une tenue de nonne beaucoup plus sexy ; c'est ce que m'a conseillé un garçon qui fait du cosplay, il me dit que je porte un déguisement au naturel.
Bref, cette forme, c'est quoi, et surtout c'est qui. Car elle m'a vue ! Une indic de la Mère sup ? Ah ouais, on va voir. Je fonce droit dessus, mais la silhouette m'a vue venir, et détale. Pas question de me laisser avoir comme une bleue, je la suis, elle se met à courir, moi aussi.
Je connais les lieux, et, quand je vois la silhouette s'engager dans une impasse, je saus que j'ai gagné. Prise au piège ! Elle tente une esquive, mais je lui saute dessus, souvenir des cours de self défense de Léa, et je la plaque au sol, arrachant sa capuche pour voir qui voulait me trahir.

Oh, une jeune femme ! Son visage est terrorisé, elle se débat, mais je ne lâche pas prise.
« Eh, du calme, que faisais-tu là ?"
Pas de réponse, je m'en doutais.
« Qui t'a envoyé m'espionner ? »
Pas davantage de réponse, mais un regard complètement étonné. Elle n'a pas l'air de comprendre ce que je lui dis.
La bloquant d'une main, comme m'a appris Léa, j'essaie de fouiller dans une de ses poches, en extirpant un bout de papier. Du cyrillique ! Je connais, parce que les alphabets font partie de nos études de théologie. Une réfugiée ! Ca me rassure.
« Aie confiance », peut-être ne comprend-elle pas, mais ma voix apaisée doit la rassurer."
Mettant le doigt sur sa bouche pour lui intimer le silence, je lui prends la main. Elle doit savoir ce qu'est une nonne dans son pays. Peut-être même qu'elle tournait autour du couvent pour chercher comment y entrer et s'y mettre à l'abri.
En tout cas, elle ne refuse pas ma main, et me suit même sans hésiter. Nous repassons par mon chemin de sortie, tandis que l'orage gronde, mauvais. Je n'aime pas ce temps, il m'angoisse, et nous parvenons tout juste à nous réfugier dans la chapelle, avant que ne tombe la pluie.

4
Le temple Shinto / A la croisée des religions (PV Akira Fubuta)
« le: mercredi 11 juillet 2018, 14:18:31 »
Ça ne cultive pas vraiment, de marcher des heures durant dans les allées du parc du couvent, en récitant des psaumes, pas plus que ça n'enrichit l'esprit de manger en silence et de jeûner le dimanche. Alors, maintenant que j'optimise de mieux en mieux les passages pour m'éclipser du couvent, quelques heures voire plus, le jour ou la nuit selon les circonstances, je peux enfin découvrir autre chose de ce Japon où mes parents m'ont envoyée pour me punir. Tout ça parce qu'ils m'ont vue lécher la chatte de Léa ou me faire enculer par Maxime. Mais, s'ils connaissaient ce pays, ils m'en extrairaient aussitôt ! Ici, on baise, on jouit, on ne se cache pas. Hommes comme femmes, jeunes ou moins jeunes, ça baise, et je ne m'en suis pas privée ; la sanction deviendrait presque un plaisir.

Mais il m'arrive aussi de sortir pour m'enrichir, non sur les pratiques sexuelles locales, mais sur ce fascinant et mystérieux pays. Et là, j'ai pris mes précautions, départ en matinée du couvent, en ce premier dimanche appelé « journée d'activités libres » (à l'intérieur, bien sûr!) pour aller voir ce qu'est un sanctuaire shinto.
Bon, c'est vrai qu'une nonne dans un tel endroit, ça peut paraître incongru. Mais les japonais ont une telle réputation de tolérance, que j'ai trouvé un compromis : sous ma tenue de religieuse, j'ai mis de jolis dessous noirs, plus « civils » en fait.

Traverser le parc, pour aller vers la partie plus arborée, est désormais un chemin que je connais pas cœur. Je sais juste que le temple est derrière les arbres, et qu'il faut d'abord passer par le Shamusho. Vu que je suis ici incognito, autant respecter les règles. Et, là aussi, règne cette même chaleur que j'ai trouvée, depuis mon arrivée, sauf dans le couvent bien entendu.
Ma tenue de nonne ne semble pas du tout les surprendre, et je comprends qu'il y a beaucoup de religieuses qui viennent ainsi visiter les lieux. Mais je ne sais pas si, comme moi, elles fantasment sur la jolie brunette de l'accueil, un adorable brin de femme au sourire ravageur. Ça change vraiment de la Mère sup et des sœurs qui forment sa garde rapprochée !

Tout respire la sérénité ici. Pour moi qui aimerais bien faire résonner une église quand je prends mon pied, voilà un endroit dont je n'oserais pas troubler la quiétude. Tout est feutré, même les allées ; j'ai l'impression d'à peine les effleurer, et je marche délicatement, comme les autres visiteurs.
Pourtant, quand je vois toutes ces couleurs vives, quand je vois ces adorables petits Sessha de part et d'autre, je me dis qu'on pourrait s'y cacher pour faire des trucs, genre un pour chaque couple, et on baise en choeur et synchro. C'est plus fort que moi ; m'expédier ici n'a rien changé, bien au contraire, et je vais finir par sauter sur tout ce qui passe.

D'ailleurs, à laisser de telles pensées lubriques m'envahir, ma culotte est déjà mouillée, lorsque j'arrive enfin au Haiden. Je ne sais ni comment prier, ni pour quoi je vais prier, mais il faut arrêter cette tension, avant qu'elle me fasse perdre tout contrôle.

5
Zone Sous-Marine / La noyade inachevée (PV Lyli)
« le: dimanche 01 juillet 2018, 08:14:33 »
Je me rappelle encore, quand mes parents nous emmenaient à la plage, pendant les vacances, avec mes deux frères aînés. C'était le bonheur, on me foutait la paix avec les couvents et autres stupidités. Ça me donne encore des larmes, de penser à ce bonheur si lointain.

J'ai appris qu'il y a une plage à Seikusu. Il faut vraiment quee je révise ma géographie du Japon, car, à part savoir que c'est une île, je suis inculte. Une plage, j'ai envie de revoir la mer, d'y respirer un air plus pur qu'entre ces murs froids et sinistres. La poisse, c'est que je n'ai pas de maillot de bain, et mes soutien-gorge et culotte survivants ne feront pas illusion, surtout si j'arrive en nonne. On verra !
Il fait beau, le couvent se dirige vers une de ces après-midi mornes où rien ne bouge, où la fuite est plus facile et plus discrète.

Le mur est vite enjambé, reste à trouver le chemin. Pas facile quand tout est écrit dans des idiomes insondables. Le hasard, grand ami, me fait apercevoir trois minivans, arrimés de planches de surf. Ca doit être un signe divin pour me guider. Je les vois, au loin, s'engager dans une ruelle. Quand j'y arrive enfin, ils ont disparu, mais, au bout, le bruit, la vision, la mer.
Mes géniteurs m'ont envoyée ici pour redresser mes torts, mais ça va finir par ressembler à des vacances, loin de leurs constiperies de vieux coincés de la religion.

J'arrive enfin au bord, oh que c'est beau. Et, sur ma gauche, ce beau mec en maillot de bain tout mini, ses pectoraux visibles et son sexe bien moulé, hum ça me met le bas-ventre en ébullition, même s'il me regarde bizarrement. Et, là bas, ce que je vois, c'est avant tout une paire de seins nus, topless comme on dit. De ces obus, parfaits et symétriques, ronds et appétissants, bien loin des mieux soudain si petits, mais dont je sens les pointes se dresser à cette vision.
Il faut que je trouve une solution, pour m'approcher plus près. Bon c'est vrai que personne va se méfier d'une religieuse, mais ce n'est pas le top pour draguer.

J'en suis toute à mes pensées, que je n'ai pas repéré les trois lascars, qui sont juste à portée de moi, alors.
"Alors, la nonne, t'as un bikini ou t'es à poils là-dessous ?"
Je les regarde, avec un mouvement de recul, trois bad boys comme il y en a aussi chez nous, la même dégaine, la même puanteur, le même regard mauvais si ce n'est qu'il est bridé.
Trois hommes pour moi, ç'aurait pu être un fantasme, mais pas ceux-là !
"Ca ne vous regarde pas", dis-je en faisant trois pas en arrière.
"Ah ouais, eh ben on va voir ça", rétorque le plus hideux, le plus puant aussi, en tendant la main vers moi, et avançant à son tour.

Je recule encore, manquant trébucher, et il se mer à ricaner : "Continue comme ça, pauvre conne ! Encore quelques pas en arrière, et tu es dans l'eau".
Ses deux crétins de potes gloussent à leur tour. C'est vrai que je viens de me piéger toute seule, mais je recule encore un peu par sécurité, autant de pas qu'ils font aussi, en avançant vers moi.
La jetée n'est pas très rassurante; même si elle est large, elle est aussi glissante, et ce ne sont pas mes moches chaussures plates qui vont me retenir.
Et, quand je regarde alentour, les baigneurs de tout à l'heure, soit sont fort lointains, soit sont déjà partis. Je pourrais hurler, mais comment dit-on "au secours" en japonais? Et puis, les locaux vont-ils venir au secours d'une religieuse étrangère, aux prises avec leurs concitoyens?

Celui qui semble être le chef, fait un signe aux deux autres, tout en baissant son froc, et en sortant un truc vraiment hideux, et commence à se branler. "Fous-toi à poils, je t'ai dit!", et il envoie ses sbires vers moi. "Ramenez-moi cette pute, que je me la fasse!".
Les deux guignols avancent vers moi. Je recule encore de deux pas, mais, au moment de faire le troisième, c'est le vide qui m'accueille, et je bascule en arrière, dans une grande gerbe d'eau. Je parviens à rester à la surface, mais je nage comme une enclume, et je ne vais pas tenir, surtout que cette maudite bure pèse vers le bas.

"Aidez-moi, je vous en supplie", je crie, tout en me débattant.
Le chef des vauriens est penché au bord de la jetée, un grand sourire aux lèvres: "Je te tends la main, si tu me jures que tu te laisseras enculer..."
"Jamais!" parviens-je à articuler, entre une submersion et un vain battement de bras.
"Sois tu crèves, soit on te baise, à toi de choisir", ajoute-t-il, se relevant, et astiquant son hideuse trique.
Je ne pourrai pas tenir longtemps, je sens mes forces faiblir, mais je ne serai jamais la pute de ces salauds!
"Alors?"
Je sens que le fond m'attire, m'aspire. J'essaie d'arracher ma bure, comme je peux, sous le regard des trois immondes.
"Ah voilà, t'es mieux comme ça! Eh les mecs, matez ses dessous. Excitant, ça!"
Ce gros porc me répugne. Je vais mourir, et lui, tout ce qu'il attend, c'est de m'enculer.
Je bats des bras à qui mieux mieux. J'agite les jambes comme je peux. Je surnage. Je survis. Je m'épuise.
"Aidez-moi! Aidez-moi!", même ma voix faiblit.
"Alors, ton cul, c'est oui non?"
"Jamais!". Je n'ai vraiment pas de chance. J'ai été envoyée ici parce que je me suis faite sodomiser, et je vais mourir noyée parce que je refuse de me faire encore sodomiser. En d'autres circonstances, ç'aurait été risible, pas là.
Pourtant, j'essaye tout, tandis que les trois abrutis se sont assis au bord de la jetée, à peine un mètre au dessus de moi, mais hélas hors de portée de mes bras, tant je faiblis et n'ai plus assez de ressort.
Ces trois immondes ont a présent la queue sortie, pas un mieux que l'autre. Rien que d'imaginer ces trois choses dans mon cul, ça me file la nausée.
"Dépêche-toi de te décider, nous, on est prêts", ricane le lourdaud en chef.
"Jamais!" lui redis-je encore, mais ma voix porte moins, mon souffle s'épuise.
"Dommage, tu vas mourir ici, sous nos yeux".
Et je sais qu'il a raison, qu'il voit mes forces diminuer, qu'il voit mes mouvements ralentir, que je bois la tasse plus souvent, que je hoquette de mal en pis.

Je vais lâcher, noyée loin de chez moi, sous les regards impassibles de trois déchets de la société. Une dernière pensée pour une coloc, qui m'avait beaucoup fait rire, lorsqu'elle m'avait parlé de sirènes. Je ne l'ai pas convaincue que ça n'existait que dans les livres. Mais, là, j'aimerais plutôt être convaincue que ça existe dans la réalité !

6
Le coin du chalant / (Im)pureté d'une nonne
« le: dimanche 01 juillet 2018, 00:42:19 »
Bonjour,

Je regroupe ici :

Les aventures que je vis :

Avec Sayuki Caldo : Un autre univers
http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=21292.0

Avec Leona : Montée au (7ème) ciel
http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=21293.0

Avec Le Diablotin : L'invocation
http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=21299.0

Avec Akira Fubuta : A la croisée des religions
http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=21333.0

Avec Akira Fubuta : Renouer avec le passé
http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=21353.0

Les aventures que j'aimerais vivre :
(je complèterai bientôt)

Les aventures que vous pourriez me faire vivre :
(à vous d'oser...)

7
Le parc et son sous-bois / Montée au (7ème) ciel (PV Leona)
« le: samedi 30 juin 2018, 08:46:02 »
Ce dimanche matin, messe, non pas à la chapelle du couvent, mais à l'Eglise Saint Martin, surprenante autorisation de construire un tel édifice dans ce pays, autorisation spécifique du fait de la présence de nombreuses confréries chrétiennes. Il semble que cela soit lié à l'histoire de Seikusu qui, pendant des années, aurait été lieu de repli méditatif pour nombre de croyants.

Mais, pour moi, c'est aussi l'occasion de sortir de cette prison qu'est le couvent, en plein jour et de manière officielle. Il faut que je voie le prêtre en aparté, que je lui explique que je suis retenue contre ma volonté, qu'il doit organiser mon retour en France, que je suis majeure et qu'on n'a pas le droit de me faire ça. C'est quand même fou que personne ne puisse m'aider.

Les rues qui nous mènent au saint lieu sont parfois très petites, et font écho au silence obligatoire de notre petite troupe, juste brisé par nos moches chaussures basses qui martèlent le sol. Pire qu'à l'armée ! Qu'ai-je fait pour mériter ça ? Moi, je veux juste vivre, m'éclater, découvrir. Et j'espère que je ne suis pas la seule à penser ainsi, dans ce troupeau de brebis soumises.

En fait d'église, c'est un bâtiment très anodin, dont l'entrée donne sur le parc mais du côté opposé au couvent, et avec un truc discret qui fait office de clocher. Il ne doit pas carillonner souvent, celui-là ! Nous entrons silencieuses, répartition disciplinée sur les bancs de bois. Ça fait mal au cul, ces trucs ! Pourtant, j'ai mis une jolie culotte de soie, l'une des rares sauvées du massacre de ma garde-robe ; ce sera utile, s'il faut argumenter auprès du curé.
Justement, il arrive, et... ben, c'est la désillusion. Vieux à ne pas avoir d'âge ! Il doit être incapable de faire quoi que ce soit pour m'aider, et je ne suis même pas sure que la vue de ma petite culotte lui fera le moindre effet. En plus, il est triste à mourir, ses chants sont nuls, l'ambiance est sinistre. Je ne sais pas si la foi apporte de la joie, mais, là, c'est raté.

Pour me remonter le moral, je repense à Léa, même si c'est fini. Un jour, dans une petite église de Limoges, où nous nous étions abritées de la pluie, elle m'avait entraînée dans le confessionnal et avait ordonné que je lui fasse un cunnilingus. Sur l'instant, ça m'avait choquée, mais c'était un ordre, et je risquais bien pire à refuser. Alors, je m'étais appliquée, je lui avais bouffé la chatte comme jamais, j'avais mis son petit abricot dans un état incroyable, je m'étais délectée de son nectar, et j'ai gagné lorsque je l'ai vue mordre le rideau pour ne pas troubler le silence ambiant par sa jouissance. Pour me remercier, elle m'a troussée sur le premier banc venu, et mes fesses ont rosi de ses claques répétées, résonnant comme autant de délices dans l'édifice.

Rien que d'y repenser, ça me met dans un de ces états d'excitation. Il faut vraiment que je trouve de quoi me soulager. Pas avec celle qui est à côté sur le banc, c'est une grenouille de bénitier 100% pur jus constipé. Pas un joli mec dans l'assistance non plus. Bon allez, le prêtre, vieux et moche, si c'est tout ce que j'ai à me mettre sous la langue. Pourtant, j'accepterais tout autre chose, tiens même une vieille rombière, ou la gothique qu'il m'a semblé apercevoir tout à l'heure. En fait, celle-là, c'est sa tenue noire qui a attiré mon regard, et surtout ses yeux, perçants comme jamais je n'ai vu. En fait, c'est comme si elle avait ainsi traversé mon stupide habit de nonne.

A ainsi laisser mes pensées divaguer, je n'ai pas vu le temps passer ; ça rendait presque la messe supportable. La Mère sup a annoncé la fin de la récré, sortie sans désordre, rassemblement sur le parvis. Je laisse se mettre en rang les ouailles obéissantes. Dernière de la file, au moment de sortir, je me glisse derrière une statue, j'espère que c'est un saint protecteur. La vieille peau n'a pas compté les rangs, et j'entends « en route, mesdemoiselles, le labeur dominical nous attend ».

Ouais, c'est ça, allez prier, allez biner, allez méditer, moi je vais aussi aller le faire, mais à ma manière. En attendant que cette troupe soit hors de vue, et que je puisse sortir, je vais faire un tour dans l'église. Si je croise le curé, je négocierai peut-être une pipe contre de l'entraide ; mais je n'y crois pas trop. Alors, je vais me fier au destin, et voie ce qu'il m'apporte...

8
Centre-ville de Seikusu / Un autre univers (PV Sayuki Caldo)
« le: vendredi 29 juin 2018, 23:07:56 »
Il ne m'a fallu qu'une semaine pour mémoriser le plan du couvent. Les sages promenades entre religieuses sont autant d'opportunités pour observer les alentours, déterminer les moyens de sortir sans passer par les portes, repérer les défauts dans la grille du parc. Garder la tête baissée sous la capuche n'empêche pas les regards fuyants, tandis que le silence conforte la mémorisation Ce sera plus difficile que de m'enfuir de ma chambre, chez mes parents, mais ce n'est pas impossible, tant qu'aucune de mes colocs ne me trahit. Si elles veulent profiter de la vie, elles n'ont qu'à oser sortir !

En quelques nuits, j'ai aussi mémorisé plusieurs chemins de sortie et donc de retour aussi, les ai testés, juste sortie pour aussitôt rentrer, puis allée un peu plus loin, encore un peu plus loin. La Mère supérieure est si sûre de ses garde-chiourmes qu'elle n'imagine même pas les failles de sa forteresse. Pas de vidéo, juste deux gros lascars qui patrouillent à heure fixe sur un parcours fixe. C'est presque plus facile que quand je quittais ma chambre en pleine nuit ! Mais ça devient surtout urgent, car le manque me ronge.

J'avance de plus en plus, les lumières de la ville de Seikusu sont plus attirantes que l'extinction des feux dès vingt heures au couvent. Si je me suis vite habituée au Japon, je n'en suis qu'aux balbutiements quant aux coutumes locales. Je ne sors pas pour boire ou manger, c'est déjà ça. Non, je ressens de plus en plus cette frustration, ce manque, ce corps qui implore. Il n'y a plus ni Léa ni Maxime, il me faut autre chose, et vite! Mais, attifée en bonne soeur...

Car, côté accoutrement, le mien pourrait détonner, mais j'ai appris qu'il y a plusieurs communautés chrétiennes dans cette ville, et que nul ne se pose de questions. J'aimerais bien sortir avec les tenues sexy que mon père à détruites dans mon armoire, mais tout ça, c'est le passé. Bon, je me suis débrouillée, et il y en a juste deux que j'ai sauvées, et garde secrètement entre matelas et sommier, les enfilant juste sous ma tenue quand je sors.

Mais, ce soir, on dirait que le paroxysme du débridé est atteint. Comme dans un gigantesque carnaval, je croise toutes sortes de déguisements. Et, plus j'approche de la place où j'ai repéré le cinéma local, plus il finit par y avoir davantage de passants déguisés que de badauds habillés normalement. Sur la place même, c'est comme une nuée, amassée devant un panneau où, mon inculture en japonais étant totale, je peux lire quelques mots dans un anglais, que je traduis par convention cosplay mangas animes hentaï.
Mangas, je connais ; Yohan, le frère de Maxime, le baise-mou quoi, en était fan, et il m'avait montré ces trucs, des bandes dessinées crues. Bon, celui-là, vu ses perfs au plumard, il pouvait continuer à se branler sur ses bouquins. Et, vu la vidéo qu'il avait osé tourner de moi, il pouvait même se broyer à queue à se branler aussi souvent !

Mais, pour en revenir à Seikusu, ce devait donc être un rassemblement de tous les fans. De là à venir déguisés, quand même ! Bon, ceux qui ont juste une veste ou une jupe un peu décalés, voire un maquillage parfois très sophistiqué, ça peut aller. Mais d'autres ! Il y en a qui ont dû passer des heures à se réaliser. Il y a aussi autant de belles choses que de trucs peu ragoûtants, sans oublier un nombre incroyable d'excentricités, peut-être banales ici. Ca va d'immenses cornes qui ont du mal à se frayer un chemin même en hauteur, à des tenues rose bonbon comme les poupées que j'avais il y a longtemps, sans parler de nudités sous toutes les formes plus ou moins dévoilées, du pantalon moulant aux seins apparents. Mais, au moins, eux savent s'amuser ; ils n'ont pas de parents fans des Saintes Ecritures.

Ils croient même que je suis des leurs. Un espèce de cosmonaute à l'oeil masqué me dit même, dans un français très approximatif "hey vous costume joli". Je n'en reviens pas; mon uniforme strict à pleurer en devient soudain une tenue de carnaval. Au moins, je ne détonne pas!
Tout ce monde grouille, et semble se diriger vers l'immense bâtiment, coincé entre le cinéma et un hôtel, et qui ressemble à une salle de spectacle. Je trouve un banc pour m'asseoir, au milieu de cette marée humaine colorée et joyeuse, s'amusant à toujours s'enthousiasmer pour un nouveau costume, pour un nouveau délire. C'est mieux que de dormir, mains jointes, au couvent !

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Prélude / Religion n'est pas chasteté [Keiralidée]
« le: jeudi 28 juin 2018, 23:22:00 »
Bonjour,

Je me nommais, à la naissance, Alix de Verset Lignon. Un nom prestigieux dans le Limousin, une famille de haute lignée, une noblesse dont on cite encore les aïeux qui ont combattu les infidèles. Même si cela vous importe peu à la naissance, les années vous montrent très vite la vénération à apporter à tous ces ancêtres sur les tableaux, dans le vestibule, dans le salon, dans le boudoir, partout quoi.

Mais les jeux de cape et d'épée, je laisse ça à mes deux frères aînés ; ils reprendront la tradition familiale, cours d'escrime obligatoires, présence à toutes les réunions de la bonne société locale, et autres joyeusetés. Mais peut-être aurais-je dû envier leur place !

Car, si mon père a des idées très strictes sur l'éducation des garçons, ma mère en a tout autant sur celle des filles. Et être fille unique, dans cette lignée, c'est perpétuer la tradition de l'aînée qui entre dans les ordres. Catéchisme, aumônerie, et autres sacrements, j'ai été contrainte à tout. A mes 17 ans, ma mère m'assurait : « ma petite Alix, tu finiras mère supérieure du Couvent du Saint Sacrement ».

Pour un joli brun de fille, avec une belle crinière châtain et des yeux clairs, et une poitrine à faire se damner tous les saints du couvent, il y a mieux comme avenir. Alors, c'est là que j'ai décidé de prendre mon destin en mains, malgré mon jeune âge. J'ai commencé à chercher comment détourner l'attention des deux garde-chiourmes qui ne me quittaient jamais. Ce ne fut pas facile, mais, pour un peu de liberté, j'étais prête à tout, ou presque. Et je pris ainsi l'habitude de m'enfuir par la fenêtre, quand l'extinction des feux sonnait à vingt-et-une heures.

Et ce fut avec étonnement que copains et copines de lycée me virent débarquer en pleine nuit. Un plaisir auquel je pris très vite goût ; c'était mieux que de faire semblant de dormir, après avoir récité trois psaumes. C'est Théo, ce garçon beau comme un dieu, que toutes les filles s'arrachaient, qui eut ma virginité, cachés derrière l'église, alors que minuit sonnait. Un sacré pied de nez à toutes les grenouilles de bénitier qui tenaient compagnie à ma mère. Je suis sure que mes cris sont montés jusqu'au ciel.

Mais Théo, c'est Théo, et, si ce n'était pas moi, c'était une autre ; il avait fanfaronné de me dépuceler, avant de passer à une autre chatte. Mais, au moins, je savais ce que c'était, et ça me faisait rigoler, quand ma mère me rappelait les vœux de chasteté de toute religieuse. D'ailleurs, après Théo, il y eut Maxime, et ça a duré quelques mois, jusqu'aux vacances en fait. Il se barrait deux mois dans le midi, alors que moi j'avais pris goût au sexe. Tant et si bien que je me rabattis, pour me venger et lui faire mal, sur son frère aîné, Yohann, mais mal m'en prit tant celui-là, c'était un nul, un vrai nul. Une fois, pas plus !

Mais le feu bouillonnait dans mon bas-ventre, et, plus ma mère me parlait de Dieu et de la fidélité à lui consacrer, plus le Diable s'invitait entre mes jambes. Au point que, un soir, faute de mieux, je cédai à Léa, qui me dévorait des yeux depuis des mois. Une artiste, cette Léa ! Une merveille aux doigts agiles et à la bouche ensorceleuse. Au point que je ne rentrai pas au domicile familial le lendemain matin. Mais, fournir l'excuse d'être avec Léa, une copine de classe, pour les devoirs de vacances, ça efface tout soupçon chez les culs-bénis.

Mieux même, mes parents m'encouragèrent à travailler avec Léa; je mis d'ailleurs ce bon conseil à exécution, pour devenir une experte en jeux saphiques de tous ordres. Léa n'avait pas que ses doigts et sa bouche de surdoués, elle leur ajoutait une imagination débridée. Nous fîmes l'amour en tous lieux, elle me fit apprécier toutes les sculptures qui avaient quelque aspect phallique. Elle m'épuisa toute une nuit à me prendre comme un homme avec un gode ceinture, et, au moins, elle, elle ne fatiguait pas. Elle me fit découvrir tant de choses, le plaisir des liens, la caresse de la cravache, sortir nue sous une légère robe d'été. Mais ces deux mois se terminèrent très mal; si j'étais très attachée à Léa, elle était folle de moi, et l'inéluctable rupture me fit autant souffrir qu'elle.

Je pensais me consoler avec Maxime. Hélas, j'ai fait une grossière erreur. Quand il revint, je le laissais un moment me supplier, un plaisir délicieux de le voir ainsi m'implorer. Et, un soir, parce que j'étais vraiment en manque, je lui accordai ce qu'il demandait, mais en fixant mes exigences, à savoir le rejoindre dans sa chambre, mais aussi les positions, car Léa m'avait offert un joli exemplaire du Kamasoutra, qui, combiné à quelques sites cochons, m'avaient donné plein d'idées. Ce fut une nuit torride, même si je regrettai qu'il ait joui dès ma cravate de notaire, et que j'aie dû mettre mes talents en œuvre, pour le rendre apte à une suite qui m'a portée à l'extase.

La seule chose que je n'avais pas prévu, je la découvris, lors du repas dominical suivant, quand Hugo, mon frère aîné, lança, devant l'assemblée : « Eh bien, petite sœur, vu ce que Yohan a mis sur FB, tu as l'air d'aimer te faire enculer, mais je ne sais pas si ça fait partie de l'éducation religieuse ». Et, aussitôt, il posa son smartphone sur la table, montrant la queue de Maxime qui s'activait dans mon cul, et ne laissant aucun doute vu les cris que je poussais. Ma mère poussa un hurlement, aussi strident que fut tonnant celui de mon père, tandis que je devins rouge écarlate.

La grosse poigne de mon père me souleva de terre et me traîna jusqu'à ma chambre. Mes armoires furent mises à sac, et tous ces trésors cachés de lingerie et de jupette furent jetés par la fenêtre.  J'étais terrorisée, je ne bougeais pas de mon lit, je n'avais jamais vu mon père ainsi. Il hurla des ordres à mes frères, qui clouèrent les volets, tandis que mon père sortit, fermant à clef la porte de ma chambre.

Prisonnière ! Majeure, mais prisonnière, le comble. Une semaine comme ça, enfermée, sans aucun moyen de communiquer avec l'extérieur. Maxime semblait m'avoir oubliée. Mais le comble est que Léa, se présentant comme une bonne copine, eut le droit de venir me voir dans ma chambre. Pas de chance, encore une fois, j'étais occupée à lui dévorer le minou, quand ma mère entra, et eut la vision de mes fesses nues, ondulant au rythme des soupirs de Léa.

Si elle fut reconduite sans ménagements, moi, par contre, j'avais signé mon arrêt de mort, et, dès le lendemain, mon père m'emmena en voiture jusqu'à l'aéroport, vêtue comme une péquenaude, et avec une valise ridicule, avant de quasiment me forcer à prendre un avion. Ca devait faire un moment qu'il avait manigancé cela. Le voyage fut interminable.

A l'arrivée, une vieille japonaise toute fripée, flanquée de deux gros lascars, nous chargea, moi et trois autres filles, dans un fourgon, et je vis juste, en franchissant la grille, le fronton orné d'un « Couvent de Sainte Espérance - Seikusu ». Merde, mes parents m'avaient piégée ! Mais, s'ils imaginaient que les Ordres éteindraient le feu diabolique qui grondait en moi, ils se gourraient.

Pourtant, la douche froide d'accueil, la tenue uniforme sinistre, les hurlements de la vieille peau, tout cela était de mauvaise augure. Pire que le bagne ! Impossible même de se caresser sous la couverture, le soir. Il fallait pourtant que je me soulage, que je trouve de quoi combler mes manques. Après tout, j'avais si souvent enjambé la fenêtre de ma chambre, j'allais bien en faire de même avec le mur d'enceinte de ce couvent.

Le Japon, c'est joli, et il doit y avoir de quoi s'amuser...

(à noter que ce forum m'a été indiqué par une amie)

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