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Sujets - Hanabi x Yasuhiro

Pages: [1]
1
Vous nous quittez déjà ? / Absences et ralentissements
« le: mardi 12 septembre 2017, 20:46:38 »
Coucou, ça fait grosso-modo une semaine que je me tape une espèce de sinusite bien violente. Au début je pensais que ça allait passer en trois ou quatre jours donc, je pensais que ça ne servait à rien de poster une absence. Sauf que de fait, je suis toujours malade et infoutu de me concentrer suffisamment pour écrire au rythme habituel.

J'annonce donc que je répondrais au compte goutte encore quelques jours, le temps de retrouver ma forme habituelle.

2
De temps en temps, Hanabi aimerait bien que Yasuhiro se trouve une autre occupation que de la surprendre à longueur de journées pour lui péter les fesses. Ce n'est pas qu'elle n'aime pas ça, c'est juste qu'il faut un peu de variété dans la vie pour rompre la monotonie du quotidien. Il y a cette petite salope au lycée, connue de tous pour sa perversité assumée et son endurance devenue légendaire. Cette fille, Rin Shibuya, est au centre de son attention depuis un petit moment, elle fera un défouloir idéal pour son Yasu', ainsi qu'une nouvelle copine de baise. Sans parler des nouvelles perversions qui les attendent à son contact. Comme d'habitude, c'est sa petite Foufie qui se charge de jouer les éclaireuses. Sa maîtresse lui a ordonné de créer un blog cochon pour relater leurs aventures il y a peu et une interview de la célèbre Rin sera un bon moyen de le faire connaître au sein du lycée.

Kumiko se pointe donc, avec sa feuille pleine de questions écrites par sa maîtresse et qu'elle a interdiction formelle de lire avant le début de l'interview. Elle va les découvrir en même temps que celle qu'elle vient interroger. Connaissant sa maîtresse, les questions auront spécialement été préparées pour être embarrassantes et elle appréhende presque autant qu'elle s'impatiente. Elle s'imagine déjà devoir poser des questions indiscrètes ou même lui demander de mimer certains gestes, elle va probablement passer pour une tordue et ... et ... Aaaah, pourquoi ça tombe encore sur elle ? Choupette n'a qu'à écarter les cuisses pour satisfaire Yasuhiro elle, pourquoi c'est toujours Foufie qui doit se taper les choses bizarres ou embarrassantes ? Bon après, c'est vrai que Choupette n'est pas une lumière et qu'elle n'en serait tout simplement pas capable ... Pense-t-elle pour se glorifier intérieurement.

Quoi qu'il en soit, elle vient d’apercevoir Rin au détour d'un couloir et cours un peu pour la rattraper. Elle ralentit en arrivant à sa hauteur et lui fait coucou de la main : "Bonjour Rin, je m'appelle Kumiko, du club de journalisme et je me demandais si tu accepterais une petite interview pour mon blog ?". À cause de brouhaha, l'esclave n'entend pas bien la réponse de Rin mais, elle part du principe que n'ayant aucune raison de refuser elle a probablement accepté. Elle lui prend donc la main pour l'emmener un peu à l'écart de la foule des élèves, lui expliquant : "Allons trouver un endroit plus calme pour discuter.". Elles sortent du bâtiment et se dirigent vers l'un des bancs disposés à l'extérieur où Kumiko l'invite à s'asseoir en lui expliquant : "Voilà, ici on sera tranquilles. Je vais te poser quelques questions.". Sur ces mots elle sort sa feuille tout en l'invitant à s'asseoir sur le banc, pour la suivre immédiatement après.

"Alors ... De quelle couleur est ta petite culotte aujourd'hui ?", ça commence bien ...

3
Tout comme il y a la saison des amours, il y a la saison du renouveau, de la nouveauté, du changement. Pour Hanabi et Yasuhiro, cette saison arrive lorsqu'ils se sont lassés d'une esclave ou que la pauvre fille est devenue complètement folle. Il est alors temps de jeter les vieilles choses aux ordures pour aller en obtenir des neuves. C'est la saison des choix, de l'audace, des stratégies tordues, la plus excitante de toutes les saisons. Le déchet qu'ils laissent derrière eux s'appelle Hairi, une étudiante fauchée qui a demandé un prêt au père de Yasu', une idée stupide qui lui a coûté très cher. Elle a été plutôt résistante, sa seule qualité mais, le problème de la résistance tant mentale que physique, c'est qu'aussi haute soit elle il suffi de frapper plus fort pour qu'elle éclate en mille morceaux. Sur sa fin, un savant mélange de drogues et le fait de la contraindre à se prostituer ont finalement eu raison de sa santé mentale. Aujourd'hui, elle n'est plus qu'un trou à jouir sans vie, la pauvre petite ne réagit même plus, comme une sorte de poupée gonflable en mieux. Sa carcasse est condamnée à servir de vide-couilles aux pervers qui paieront pour elle, sans espoir de retour à la normale.

Hanabi presse sa poitrine contre le dos de Yasuhiro, l'enlaçant tendrement et s'exclamant d'une voix douce : "Yasssu' ! Tu t'ennuies ?" "Oui !", répond-t-il, un peu énervé. "Pourquoiiiii ?" "Choupette est au travail et Hairi n'est plus là." "Tu aurais pu la garder, elle est encore en vie." "J'appelle pas ça être en vie, les cadavres ça m'excite pas." "Pourtant, je t'avais prévenu que la drogue et la prostitution en même temps c'était trop." Le jeune-homme tourne la tête pour ne voir que les cheveux de sa compagne et commence à perdre patience : "Elle passait son temps à me défier ! Il fallait bien que je lui montre qui commande !" "Ce n'est pas la première que tu brises en cherchant à montrer qui commande ...". Yasuhiro se retourne brusquement pour pousser Hanabi sur le lit, lui sautant littéralement dessus pour lui arracher sa petite culotte, ouvrir son pantalon et commencer à la baiser sauvagement. Elle l'énerve tellement, toute autre fille osant lui parler comme ça finirait à l'hôpital, pourtant, peu importe jusqu'où elle va il est incapable de lui faire le moindre mal. Il l'écrase de tout son poids, collant ses lèvres aux siennes tout en bourrant frénétiquement sa chatte, ses couilles fouettant son entrejambe à chaque coup de rein. Après de longues minutes de défouloir, le jeune-homme se vide en elle en grognant. Hanabi halète un peu, souriant en lui demandant : "Ça va mieux mon chéri ? Tu es calmé ?", pour seule réponse il l'embrasse, elle prend ça pour un oui. "Bien, je sais quel genre de salope il te faut, il te faut une égocentrique, une hautaine, une arrogante. Une femme qui ne résistera pas forcément très bien mais, qui se reconstruira toujours, incapable de se contenter d'une existence de vide-couilles. Tu pourras lui faire mal autant que tu veux, la briser autant que tu veux, elle s'en remettra toujours. Tu vas voir, tu vas adorer. Je vais demander à Foufie de te chercher ça, elle s'est beaucoup améliorée pour filer les gens et récolter des informations tu sais.", Yasuhiro regarde sa copine avec des yeux rond et répond désemparé : "Mais ! Je t'ai dis il y a cinq minutes que ce genre de filles m'énerve !", Hanabi le regarde en pouffant de rire puis, lui répond : "Baaaaaka ! Laisse-moi faire, fais moi confiance, je sais de quoi tu as besoin bien mieux que toi. Ça t'énerve que j'en sache autant, hein ? Que j'ai toujours raison à ton sujet ... Et que je sache déjà que tu vas me faire taire en me fourrant ta bite dans la bou-humph !". C'est ainsi que l'étudiante fut agrippée par les cheveux et gavée comme une oie jusqu'au retour de Choupette.

Une semaine plus tard, Seikusu, Lycée Mishima :

Kumiko Watanabe, alias Foufie, a reçu l'ordre de sa chère maîtresse de suivre discrètement plusieurs proies potentielles pour récolter des informations sur elles. Une certaine Mélinda Warren en fait partie et l'esclave s'est très vite concentrée sur elle, jugeant cette dernière parfaitement conforme aux critères qu'elle a reçue, à croire qu'ils ont été écris pour la décrire. Cette demoiselle a la beauté envoutante et à l'ego disproportionné rode déjà depuis peu autour du couple, c'est l'autre raison pour laquelle elle est devenue leur cible prioritaire. Intriguée, Hanabi a envisagé la possibilité qu'elle prépare peut-être elle aussi un coup fourré. Donc autant faire d'une pierre deux coups, apporter à Yasu' l'esclave de ses rêves et se débarrasser d'une fouineuse embarrassante.

Cela fait plusieurs jours qu'elle traque sa proie avec d'infinies précautions, dégageant immédiatement au moindre doute sans laisser de traces, comme une pro de la filature. L'esclave a également investi dans un dispositif permettant d'écouter et enregistrer les conversations à travers les murs. Jusque là, à part sa vie sexuelle très active et quelques soupçons à son sujet, Foufie n'a pas grand chose sur la mystérieuse Mélinda Warren. Il lui faut du concret, un secret gênant, une discussion compromettante, un délit, un crime, une trahison, qu'importe, il lui faut du lourd. Le minimum acceptable qu'elle peut présenter à sa maîtresse sans rougir de honte sont les éventuelles faiblesses de Mélinda, des moyens de faire pression sur elle efficacement ou de la séduire. Toute information utile en somme. Alors en dehors des cours, elle continue à la chercher, à la trouver tant elle commence à connaître ses habitudes et à espérer qu'elle dérape en sa présence. Car au moindre pas de travers, la petite arrogante tombera.

C'est la pause de midi, les élèves entrent et sortent du réfectoire ou vont manger leurs bentos et Foufie suis sa proie après avoir rapidement enfilé son sandwich. Le comportement de celle qu'elle suit semble avoir changé. Quelle qu'en soit la cause, elle ne perdra pas une miette de ce qui se dira dans les prochaines minutes, tout sera consciencieusement enregistré en double exemplaire. L'esclave se poste à distance de sécurité, sort son matériel et prie pour que quelque chose d’intéressant se passe enfin.

4
Prélude / Plus on est de putes, plus on jouit ! [Validarthé]
« le: dimanche 27 août 2017, 20:11:15 »
Il y a dix-neuf ans, ville de Seikusu, Japon.

Un homme marche nerveusement le long de la rangée de sièges d'un couloir d'hôpital. Il s'est déjà habitué aux allers-retours des infirmières et à l'odeur des médicaments. De temps à autre, il se masse les tempes et passe ses deux mains dans ses cheveux d'un même geste. Son estomac le brûle, il a toujours mal à l'estomac quand il est stressé. Cela fait déjà près d'une heure que sa femme est dans le bloc opératoire. La cause ? Une infection causée par une césarienne mal menée, lors de la naissance de sa première fille quelques jours plus tôt. Son bébé aussi est à l'hôpital et heureusement elle n'a rien, elle attend seulement le retour de sa mère à ses côtés. « Monsieur Suzuki ? », l’interpelle-t-on, « Votre femme vient de sortir du bloc, elle va bien mais, elle ne pourra plus jamais avoir d'enfants. Je suis désolé. ». L'homme hoche seulement la tête dans un premier temps, avant de demander : « Je peux la voir ? », « Pas maintenant, elle est en salle de réveil. Je viens vous chercher dès que vous pourrez la voir. », lui répond le médecin avant de repartir. Ipei Suzuki soupire longuement, avant de s'asseoir enfin. Quand il revoit enfin Kaede, sa femme, il est le seul des deux à pleurer. Ironiquement, c'est celle qui est clouée au lit et qui vient d'apprendre sa nouvelle stérilité qui le réconforte, curieuse inversion des rôles. Une infirmière amène le bébé dans la chambre, rappelant ainsi au couple ce qu'ils ont et les empêchant de penser à ce qu'ils n'ont plus. Ils lui ont donné le nom d'Hanabi, ça veut dire « feu d'artifice » en japonais et ils espèrent bien que ce prénom festif déteindra sur sa personnalité. En attendant, la petite a faim et réclame le sein de sa mère en braillant. Ipei et Kaede se regardent, ils n'ont déjà plus besoin de mots pour ce genre de choses, quitte à n'avoir qu'une seule enfant ils donneront tout pour elle.

Autre lieu, autre époque, c'est l'anniversaire des douze ans de la petite Hanabi, avec ses parents un peu en retrait et beaucoup d'amis. La petite les avait beaucoup inquiétés quelques années auparavant, justement parce qu'elle n'arrivait pas à s'entendre avec les autres enfants. Difficile de croire que leur petite princesse règne désormais sur une cour aussi large, c'est surprenant. Elle qui détestait tant aller à l'école. Aujourd'hui elle semble s'y sentir très à l'aise, quelque chose a radicalement changé chez elle, pour sûr ! Il faut la voir rire et jouer avec ses amis, elle est adorable, tous la suivent aveuglément. C'est elle qui a décidé à quel jeu ils vont jouer à l'instant, un jeu où il faut mentir et manœuvrer les autres pour gagner. Un jeu de cartes où le but est de survivre à une série d'assassinats ou bien d'assassiner tous les honnêtes villageois suivant le camp auquel on appartient. Chacun a un rôle bien précis, des compétences différentes, des intérêts différents et chacun doit s'en sortir au mieux en fonction des cartes qu'il tire. Princesse Hanabi a tiré la carte de la sorcière, un rôle important, qui force un joueur à lui montrer ses cartes une fois par tour et le force donc à lui révéler son rôle. Pourtant, elle n'exploite pas à fond son personnage, trop occupée à jouer à un autre jeu, un jeu secret. Car son jeu préféré, c'est de jouer à la princesse qui s'assure que sa cour s'amuse, quitte à perdre à tous les autres jeux. Les jeux virtuels ne l’intéressent pas, elle a toujours aimé les vraies récompenses et les jeux ancrés dans la réalité. Alors, elle marque tranquillement ses points, les uns après les autres, pour que les autres soient de plus en plus attachés à elle, de plus en plus dépendants d'elle. Après cela ils iront jouer dans le jardin, histoire de satisfaire les goûts de tout le monde et afin qu'ils meurent d'envie de revenir l'année prochaine. Surtout que princesse Hanabi se prépare à passer au niveau suivant de son jeu préféré : le collège. Elle a hâte d'y être, pour ce faire plein de nouveaux amis et progresser davantage encore.

Quelques mois plus tard, ça y est, elle rentre au collège avec de nouveaux défis à relever, notamment celui de s'intégrer au mieux dans sa nouvelle classe. Il y a aussi le choix du club qui sera important pour la suite de sa scolarité. Dans ce nouveau lieu elle a tout à faire, tout à construire à partir de pas grand chose. Sa marge de progression et donc son excitation, n'en sont que plus grandes. Sans perdre de temps, elle va discuter avec toutes les personnes qui se démarquent du groupe dans le bon sens du terme. Elle prend soin d'observer les élèves les plus populaires pour percer leurs petits secrets, pour se rapprocher d'eux par la suite aussi. Princesse Hanabi comprend très vite l'importance de l'hypocrisie, aimer ce que tout le monde dit aimer, faire ce que tout le monde considère comme de bons actes. Tout en conservant par ailleurs suffisamment de personnalité pour ne pas être ennuyante mais, juste ce qu'il faut et toujours sur des sujets sans importance pour lesquels personne ne bataillera. Qui lui reprochera d'aimer les pommes de terre ou la j-pop ? Hum ? Personne. Bref, ne prendre que les positions les moins risquées et marquer des points, rendre des services, s'amuser, charmer. La méthode s'avère pour le moins efficace et bien qu'elle agace les plus intelligents du lot, la plupart des gens sautent à pieds joints dans ses filets. Notamment une fille, Asami Nakamura, passionnée par le volleyball, athlétique, trop occupée à s’entraîner pour participer aux embrouilles ou aux concours de popularité, aimée de tous. La petite princesse se rapproche beaucoup d'elle, étant très intéressée par son charme naturel et son aptitude à faire consensus. Elle va commencer à la copier de manière discrète, en commençant par rejoindre le club de volleyball du collège. Hanabi mange avec elle, s’entraîne avec elle, passe ses pauses avec elle, sort en ville avec elle parfois. Il faut dire qu'elle n'a pas besoin de se forcer beaucoup, Asami est une fille adorable et elle l’apprécie elle aussi. Au fil du temps, elle apprend à son contact, elle assimile ce qui fait son succès puis, le modifie à sa sauce pour l'appliquer à elle-même. La copier bêtement ne lui apporterait pas autant de connaissances, elle doit comprendre les raisons de son succès, en profondeur. Sans même s'en rendre compte, elle en arrive à s’entraîner autant qu'elle et commence même à lui faire de l'ombre sur le terrain. Comme son amie se fout complètement de ces choses-là, elles n'entrent pas en conflit et leur amitié se renforce petit à petit. Au final, on peut dire qu'Asami est probablement l'une des seules réelles amies qu'elle ait, raison pour laquelle elle a fini par se confier. Elle lui dit tout sur ses vraies passions, sur son obsession de la popularité, sur le fait qu'elle s'est servie d'elle au début et la volleyeuse pour toute réponse, éclate de rire en lui disant : « C'était évident depuis le début, baaaaka ! ».

Lors des deux dernières années de collège, après l’entraînement, Hanabi et Asami se retrouvent à l'écart pour un drôle de jeu. Encore un jeu où il faut mentir et manœuvrer les autres, auquel son amie participe. Le but ? Entraîner la petite princesse à être réellement crédible dans ses mensonges, à tromper les autres efficacement. Pour sa camarade le but est tout à l'inverse, elle veut être capable de détecter efficacement les mensonges et les analyser avec son amie est la méthode la plus efficace qu'elle ait trouvé. Curieux duo que celui-ci, une fille honnête et droite cherchant à se préserver des mensonges des autres, acoquinée avec une manipulatrice souhaitant parfaire son art. Le principe du jeu est simple, on mène une conversation où la moitié des sujets abordés sont faux et où l'autre moitié est vraie. Le but ultime de la menteuse est de faire passer tous les mensonges pour des vérités sans dénigrer la vraie vérité et le but ultime de l’enquêtrice est de trancher avec justesse entre vrai et faux. Avec le temps, le jeu évolue de manière à ne plus dire combien de sujets sont vrais pour ne pas fausser les résultats. Comme avec tout entraînement mûrement réfléchi et assidûment mené, leurs efforts finissent par payer. Ainsi, en dernière année, toutes deux étaient sûres d'avoir bien progressé dans leurs voies respectives, se promettant alors de se retrouver au lycée et de continuer.

Les deux amies se retrouvèrent bien dans le même lycée, le lycée Mishima et surtout dans la même classe. Toutes deux continuèrent leurs activités, rejoignant à nouveau le club de volleyball et continuant leurs entraînements secrets. Tous les élèves de la classe apprécient le duo d'entrée de jeu, tous sauf un ! Yasuhiro Tanaka, c'est son nom, a déjà une réputation qui le suit depuis qu'il est entré à l'école. Il est considéré par tous comme un voyou violent, colérique et irrespectueux, ainsi que comme un fils à papa qui a toujours compté sur son père pour étouffer les affaires qu'il sème derrière lui. Pisser sur tout le monde à longueur de temps semble d'ailleurs être une technique efficace pour marquer son territoire, puisqu'il continue à le faire impunément. Au début, Hanabi le considère comme son exact inverse, un homme vulgaire, qui se fout totalement de ce que les autres peuvent penser ou du mal qu'il peut causer autour de lui. Le pire dans cette histoire, c'est qu'il est de notoriété publique que son père est un généreux donateur du lycée Mishima, ce qui le rend pratiquement intouchable dans l'enceinte du lycée. Les profs n'osent rien lui dire, même s'il semble se calmer face à certaines personnes sans raison apparente. Quoi qu'il en soit, elle ne l'aime pas et visiblement c'est réciproque, tant mieux. La princesse va donc continuer tranquillement sa petite routine, sans se préoccuper davantage du cas social de la classe. Pour son plus grand bonheur, elle va même être élue déléguée de sa classe, étant la seule avec Asami à faire l'unanimité et son amie n'ayant toujours aucun attrait pour ces choses-ci. Au club de volleyball, les deux jeunes-filles sont vite remarquées pour leur assiduité et leur niveau, elles s'intègrent rapidement. On leur propose d'abord de petites compétitions sans grand intérêt pour voir ce qu'elles valent en condition réelle puis, petit à petit, on les fait grimper en difficulté, cran à cran. Les deux amies deviennent de vraies petites stars au sein du lycée et reçoivent toutes les deux de nombreuses lettres de félicitations ou de déclaration d'amour. Hanabi est heureuse comme jamais, à la place qu'elle a toujours rêvé d'avoir, sa vie est comme un rêve lors de cette première année, un rêve que rien ne vient troubler. Jusqu'à ce jour où elle croise Yasuhiro qui est en train de s’entraîner avec ses gants de boxe à l'extérieur, découvrant par la même son appartenance au club de boxe du lycée. La salle du club est en train d'être rénovée et d'après les rumeurs, il ne supporte plus de s’entraîner au milieu de ce foutoir, quand bien même tous les autres membres semblent s'y faire. Alors, le voilà, seul à frapper sur un arbre autour duquel il a accroché une sorte de matelas. La jeune-fille ne peut pas s'empêcher de pouffer de rire, trouvant là un excellent prétexte pour ridiculiser celui qui la déteste tant. Elle le prend en photo avec son téléphone portable et s'empresse de la poster sur internet avec la mention : « Yasuidiot devient végétarien, les élèves peuvent dormir tranquilles. ». Comme elle connaît tout le lycée pratiquement, l'image devient très rapidement populaire parmi les élèves. Yasuhiro n'est jamais venu la voir pour le lui reprocher de son côté, donc elle estime, soit qu'il s'en fout, soit qu'il ne l'a pas vu. Et elle continue sa vie.

Lors de la deuxième année de lycée, à la veille des vacances d'été, Yasuhiro est absent et personne ne s'en plaint. Hanabi ne s'en porte que mieux, appréciant la fin du cour dans la sérénité jusqu'à ce que le professeur lui demande de rester à la fin. Elle ne s'en inquiète pas sur le coup, cela doit être lié à son poste déléguée de classe pour lequel elle a été réélue sans forcer. Le professeur attend que tous les élèves soient sortis et s'adresse à elle : « Sukuzi-chan ? Tu pourras apporter ses devoirs de vacances à Tanaka-kun s'il te plaît ? Comme il a été absent il lui en manque une bonne partie. ». Moi comme le professeur, nous savions très bien qu'il ne les ferait pas de toute façon mais, il fallait bien les lui apporter, ne serait-ce que pour la forme. « Oui monsieur, je m'en charge, bonnes vacances. », a-t-elle répondu avant de s'éclipser avec le sac contenant les devoirs en question. En sortant du lycée, Hanabi s'est directement dirigée chez lui avec une boule au ventre, c'est qu'ils s'entendent très mal. Elle espère que ça va aller vite et qu'il ne lui fera pas d'histoires. Chose pratique, elle n'a même pas besoin de prendre les transports en commun, vu que Yasuhiro habite juste à côté du lycée. Au bout de cinq minutes, elle se trouve devant la porte de son appartement et sonne. Elle n'a pas besoin d'attendre très longtemps pour voir la porte s'ouvrir et son « camarade » apparaître sur le pas de la porte : « Et merde, j'avais commandé une pizza moi … Rentre Hana, il faut qu'on parle de ta petite photo, ça fait longtemps que ça me démange. ». Se sentant fautive dans cette histoire elle est entrée, avant de s’installer où il lui indique de s'asseoir. Il passe dans son dos, à distance, pour aller prendre quelque chose dans un tiroir, elle ne prête pas attention. Puis, elle se retrouve agrippée par derrière, un mouchoir imbibé de chloroforme plaqué sur son visage. Elle lutte en vain pendant quelques secondes, avant de s'endormir.

Quand elle se réveille, elle a un goût atroce dans la bouche et ne peut pas bouger. Ce n'est qu'après quelques secondes de flou qu'elle se rend compte qu'elle est attachée et bâillonnée avec des chaussettes sales. En regardant autour d'elle, elle voit qu'elle est complètement nue, attachée à un lit et qu'on lui a écrit au marqueur sur le ventre « trou à bites ». Elle se débat, tente de geindre malgré le bâillon, quand la voix de son bourreau la coupe : « Arrête de brailler, mon appartement est complètement insonorisé, mon père a fini par payer les travaux à force de recevoir des plaintes des flics pour tapage nocturne. Personne ne t'entendra, comme les autres. J'ai vu que tu es toujours vierge, c'est bien, je savais que tu te réservais pour moi, j'apprécie. Je vais prendre ta virginité donc et plein de jolies photos. Pour le titre que penses-tu de : « Hanabitch devient une salope, elle ne pourra plus dormir la chatte vide » ? Je trouve ça très bien personnellement, c'est créatif, c'est rigolo. Tiens au fait. ». Il lui montre son téléphone portable où un message de sa mère apparaît, elle a du mal à lire dans son état mais, son gentil camarade de classe va l'aider : « J'ai copié tes smileys habituels, trouvés dans ton historique, ainsi que ta façon de t'exprimer, même tes fautes d'orthographe. Ta mère n'a pas vu la différence, pour elle tu passes tout le week-end chez Asami. Merveilleux non ? On va bien s'amuser tous les deux ! ». Il lui saute dessus, enfournant directement sa queue entre ses cuisses, déchirant son hymen sans la moindre préparation. Il jongle d'un téléphone portable à l'autre, prenant plein de photos. « Je prends aussi des photos avec le tien, ça te fera de beaux souvenirs de ta première fois. Je vérifierais régulièrement que tu ne les effaces pas, donc assure-toi bien que personne ne les voit, tu passerais pour une sacrée pute. À partir d'aujourd'hui tu es mon trou à plaisir, le précédent est cassé et tu fais une remplaçante potable. Tu vas m'obéir bien sagement, jusqu'à ce que je me lasse de toi ou que je te brise et tu ne diras rien, parce que tu auras trop honte pour risquer que ces photos se retrouvent sur le net. » dit-il, hilare, car même si elle tente de le dénoncer, il a encore les moyens de la faire taire de manière plus musclée encore. Ensuite, il va se taire et la baiser encore et encore et encore, souillant son corps à maintes reprises. Après chaque éjaculation dans son vagin, il continue de la stimuler frénétiquement à l'aide d'un énorme gode qui peinait à rentrer au début. À aucun moment il ne la laisse souffler, c'est une sportive après tout, autant profiter de son endurance. Même la nuit elle n'a aucun répit, elle comprend vite qu'il va la violer pendant tout le week-end non-stop. En tout, elle n'aura que six courtes pauses pour manger avec ses orifices bardés de jouets vibrants.

Après deux nuits et deux jours de viol ininterrompu, Hanabi est méconnaissable, elle est épuisée et en transe, son vagin et son anus complètement noyés de sperme tiède. Le pire, c'est qu'elle adore ça, la sauvagerie sans bornes de Yasuhiro, lui aussi a eu mal et s'est donné à fond. C'est au-delà d'un simple viol, il a voulu la soumettre, la marquer, en faire sa chose et il est en train de réussir. Il faut dire qu'il a déjà fait ça à d'autres filles, une fois qu'elles sont complètement brisées, il les envoie à son père qui organise des combats illégaux dans sa salle de boxe. De jolies filles qui se démolissent avant de violer sauvagement la perdante, avec participation du public, des billets d'entrée et des paris qui s'envolent, une affaire en or. C'est comme ça que finira Hanabi selon ses plans, elle devra se battre, gagnera un temps peut-être puis, elle perdra, elle se fera souiller encore et encore, jusqu'à en crever dans l'indifférence générale. Pour la dernière nuit, il la laisse prendre une douche et dormir à ses côtés, elle est déjà marquée et en proie à la confusion, il sait qu'elle ne tentera rien de stupide. Pendant toute la nuit, malgré la fatigue, Hanabi va parler d'une voix douce et entêtante à l'oreille de Yasuhiro. Elle meure d'envie de dormir mais, elle va se forcer à rester éveillée une troisième nuit pour accomplir sa vengeance. Le jeune-homme va être conditionné par ses soins, il lui a volé sa première fois et une partie de son âme, alors elle va faire en sorte que lui aussi se souvienne toujours d'elle. « Quand tu regarderas Hanabi demain en te réveillant, tu la trouveras magnifique, tu auras une envie incontrôlable de la serrer dans tes bras et de l'embrasser.», elle a répété la même phrase en boucle, pendant près de cinq heures, avant de s'effondrer de fatigue. Le lendemain matin, alors qu'elle dort encore, elle est réveillée par Yasuhiro qui la serre contre lui en l'embrassant à pleine bouche. Elle ouvre les yeux, lui-même ne semble pas comprendre ce qu'il lui a pris puis, elle se rendort, satisfaite du résultat. Il l'a peut-être marquée de manière indélébile mais, lui aussi a été marqué, à son insu. Depuis ce week-end de début de vacances, Yasuhiro et Hanabi n'ont plus cessé de se voir, le jeune-homme a pris l'habitude de la surprendre et de la baiser dans des lieux improbables sans lui demander son avis. De son côté, la jeune-fille continue son conditionnement mental à chaque fois qu'elle en a l'occasion.

Un homme marche nerveusement le long de la rangée de sièges d'un couloir d'hôpital. Il s'est déjà habitué aux allers-retours des infirmières et à l'odeur des médicaments. C'est son premier enfant, une fille et les parents de sa petite-amie refusent de le laisser rentrer, furieux contre lui qui a engrossé leur fille chérie à seize ans. Pour la première fois de sa vie, le jeune-homme sent le poids de ses actes peser sur ses épaules. Suite au viol sauvage d'Hanabi, il s'est laissé séduire petit à petit sans trop comprendre comment. Il se demande ce qu'il fout là, ça ne lui ressemble pas de s’inquiéter du sort des autres comme ça. Pourtant, il n'arrive pas à s'en aller et à oublier, il meurt d'envie de la voir, de la baiser encore et encore comme ils en ont pris l'habitude. Ce n'est qu'à la fin qu'on consent à le laisser entrer, Hanabi tient déjà Aiko dans ses bras, c'est comme ça qu'elle a appelé leur fille. Ça veut dire « enfant de l'amour », ironique pour une petite issue d'un viol. Enfin, personne n'est au courant de ça, c'est leur petit secret, dans l'histoire officielle tout le monde est consentant. Depuis, Yasuhiro sort officiellement avec la jeune-fille et lui a promis de l'épouser quand ils seront en âge de le faire. Il ne sait plus trop pourquoi il lui a promis ça d'ailleurs, ça ne lui ressemble pas non plus.  Le lycéen se penche au-dessus de sa future femme pour faire mine de lui embrasser le front, chuchotant : « J'ai vraiment envie de baiser là … ». La lycéenne lui chuchote alors, en guise de réponse : « Comporte-toi bien au moins dix minutes dans ta vie. On aura tout le temps après, espèce de sauvage. ». Alors, il a pris sur lui, bien obligé de suivre les directives de madame.

Quelques jours plus tard, le jeune couple est de retour au lycée, la petite Aiko étant gardée par ses grands-parents. Hanabi et Yasuhiro sont au centre des discussions les plus sulfureuses et la jeune-femme déteste ce genre de publicité. Qu'elle le veuille ou non, son copain et elle sont désormais difficilement dissociables alors, il va falloir qu'il se force un peu pour mieux se comporter. Ils sont en classe, c'est bientôt la fin du cours et son mâle a été sage, cela mérite une récompense. Le professeur referme le manuel d'exercice servant à leur donner leurs devoirs et conclu : « C'est bon, vous pouvez y aller. ». Les élèves se lèvent les uns après les autres, sortant par groupes d'affinité de la pièce et la petite princesse vient prendre la manche de son étalon entre ses doigts, lui susurrant : « Il faut qu'on parle, suis-moi. ». Le couple profite de la pause pour s'isoler derrière un bâtiment servant à stocker le matériel de sport et Hanabi tend son portable pour montrer une photo. Elle s'explique : « Natsumi Satou, un an de moins que nous, membre du club de natation, faible caractère, cul énorme, gros seins, timide. Elle ferait un bon animal de compagnie, non ? Et un bon défouloir sexuel. ». Yasuhiro bave devant la photo, elle lui plaît beaucoup oui, elle sera parfaite, il répond enjoué : « Donc, si je me comporte bien tu m'aides à dresser des salopes ? », « Tout un harem si tu le souhaites, je réfléchis aussi à créer un club SM clandestin à Mishima ou à le rejoindre s'il en existe déjà un. », répondit elle. Le jeune-homme est très excité à cette idée, tellement qu'il plaque sa petite amie contre le mur, baissant sa petite culotte et son pantalon avant de la prendre par derrière. « Aaaah ! Je prends ça pour un oui … Espèce de sauvage ! Mais, retiens-toi ! J'ai déjà tout préparé. » répond Hanabi en montrant du doigt Natsumi qui est arrivée par derrière, le visage complètement rouge. La jeune-fille poursuit : « Je l'ai dressé ces dernières semaines pour récompenser tes efforts, je lui ai appris à aimer les filles et à faire une fellation correctement. J'ai déjà pris sa virginité mais, tant que tu as un trou à fourrer tu t'en fous, non ? ». Sans plus de cérémonie, Yasuhiro à empoigné la chevelure de leur nouvelle chienne, avant de la mettre cul nu pour la prendre à sec. « Hum … Même si son cul est énorme, elle est bien serrée, elle est obéissante, elle aime la bite, félicitation, t'es adoptée Nats-... », commença le jeune-homme avant d'être coupé par sa copine : « Non, non, non, Natsumi n'est pas un bon nom pour une chienne, je l'ai appelé Choupette. Choupette ? Dis bonjour à ton deuxième maître. », « W… Wouf … », « Ah ah, trop mignonne, elle est encore toute gênée de le faire avec d'autres personnes que moi. Enfin, l'important c'est qu'elle te plaise, ne l’abîme pas trop par contre j'ai envie de la garder longtemps. ».

Durant tout le reste de la troisième et dernière année de lycée, Choupette a été l'esclave favorite de Yasuhiro. Humiliée, torturée, baisée, la pauvre petite nageuse s'est résignée à son statut de sac à foutre presque sans lutter. Néanmoins, Hanabi sent bien que Natsumi préfère les hommes et qu'elle prend moins de plaisir avec elle, ce qui la frustre légèrement. Elle aussi a envie d'avoir une esclave personnelle mais, de toutes les jeunes-filles qu'ils violent ou humilient, aucune ne lui tape réellement dans l’œil. Soumettre un lycéen est la solution idéale mais, son copain étant strictement hétéro, il refuse absolument qu'ils aient des esclaves hommes. La petite princesse a bien tenté d'imposer son caprice par la manipulation comme d'habitude mais, quand quelqu'un est totalement opposé à une idée la suggestion semble ne pas fonctionner. Elle prend donc son mal en patience en attendant de trouver la perle rare. Finalement, leur vie de lycéens se termine avant qu'elle ne trouve chaussure à son pied. Yasuhiro et Hanabi sont tous les deux admis à l'université Mishima à l'équivalent japonais de sport-étude, qui se trouve sur le même site que le lycée du même nom. Yasuhiro souhaite reprendre la salle de boxe de son père à terme et continuer ses activités illégales, quant à Hanabi, elle souhaite passer volleyeuse pro avec son amie Asami. Leur esclave Choupette arrête après le lycée pour sa part mais, continue de servir ses maîtres après son travail de serveuse dans un maid café et pendant ses congés.

Ce n'est que quelques mois après la reprise des cours que la chance va enfin sourire à la petite princesse, qui a désormais dix-huit ans. Elle rend visite à Yasuhiro après son entraînement et trouve Choupette livrée à elle-même dans le salon. « Tiens, ton maître ne s'occupe pas de toi ? Il s'est passé quelque chose ? Je t'autorise à répondre en langage humain. », demande Hanabi à leur chienne, qui répond immédiatement : « Le Maître est avec une autre fille Maîtresse. », « Oh ? Qui il a ramené cette fois ? Vas te masturber Choupette, bonne fille. », « Wouf ! ». Elle se dirige vers la chambre, ouvrant la porte pour découvrir une petite rouquine attachée et ballonnée, pleurant à chaudes larmes tandis que Yasuhiro la fourre sauvagement. « Hum, elle n'a pas l'air de beaucoup t'aimer Yasu', c'est rare. » commente la jeune-femme, son copain la regarde, un brin désemparé : « Trois quarts d'heures que je la tringle et elle est toujours aussi sèche que le Sahara, j'ai jamais vu ça. », « Hé hé, elle doit vraiment te détester. Comment elle est arrivée là ? », « Elle nous suivait en prenant des photos alors, j'ai fait semblant d'aller de l'autre côté de l'immeuble pour la forcer à se rapprocher et je l'ai poussé à l'intérieur en vitesse dès qu'elle s'est ramenée. Elle est du club de journalisme il me semble, je l'ai déjà vu à l'université. Kumiko Watanabe je crois. », « Je vois, tu me la laisse ? Choupette t'attend en bas et elle elle est toute mouillée. ». Yasuhiro n'a pas hésité, sortant de la chambre sans demander son reste, laissant la rouquine en pleurs sans état d'âme. « CHOUPETTE !? », « Wuf ? », « Lève tes fesses ! », « Wuf ! … Ahouuu … Wuf ! Wuuuf … Aaaaarf ! », Hanabi soupira en se frottant les yeux : « Humph … Toujours aussi bourrin. Bon, à nous deux ma mignonne ! », la petite rouquine s'est un peu calmée depuis que son violeur est sorti de la pièce, ça va faciliter les choses pense-t-elle. « Ce n'est pas bien de prendre des photos de mon copain, il est un peu susceptible comme tu as pu le voir. Et puis, en lui résistant comme ça tu vas juste le pousser à être encore plus violent … Hum, à moins que tu n'aimes pas les hommes ? On va faire un test, si j'arrive à te faire mouiller je te dresserais personnellement, sinon tu finiras avec les autres déchets. Tu n'as pas envie de savoir où, crois moi. » La captive s'est un peu agitée suite aux menaces, avant de se faire assaillir par les doigts d'Hanabi en commençant à gémir malgré elle. « Et bien voilà, on a trouvé une petite fontaine dans le Sahara, c'est juste que tu préfères les maîtresses. Tu es trop mignonne, je vais te garder pour moi et tu t’appelleras, hum, Foufie ! Je vais bien te dresser ma chérie, on va devenir inséparables ! ».

Après une longue nuit de léchouilles, de tendresse et de conditionnement, Foufie est déjà devenue beaucoup plus coopérative. Débarrassée de son bâillon, elle lèche docilement l'intimité d'Hanabi qui sait qu'elle ne se rebellera plus à présent. Haletante d'avoir jouit à de nombreuses reprises, la rouquine fini par se coucher sur le dos, exténuée et s'endort dans les bras de sa maîtresse. Celle-ci va poursuivre son conditionnement toute la nuit, en lui parlant pendant son sommeil : « Quand je verrais ma maîtresse demain au réveil, je ressentirais une envie incontrôlable de lécher et sucer son clitoris. ». Hanabi répète la même phrase en boucle pendant des heures, jusqu'à ce qu'elle se taise et fasse semblant de dormir, sentant son esclave se presser contre elle et mettre sa tête entre ses cuisses. Fatiguée, Hanabi se prélasse, avec l'agréable sensation des coups de langue de Foufie qui n'arrive plus à s'arrêter. « Bonne fille Foufie, bonne fille. Tu t'améliores vite avec ta langue, je crois que ça va devenir ta spécialité. Une bonne petite suceuse. », dit sa maîtresse en lui caressant les cheveux. Les mois suivants, Foufie et sa maîtresse vont beaucoup se rapprocher, la rouquine finira même par lui avouer être une ESPer disposant de pouvoirs surnaturels. Elle lui fera une démonstration de sa télékinésie, capable de déplacer tout objet de moins de vingt kilos et lui expliquera qu'elle était incapable d'utiliser ses pouvoirs contre Yasuhiro à cause d'un bijou en obsidienne qu'elle porte pour ne pas utiliser son pouvoir involontairement. Par son biais, le couple obtient de nombreuses informations sur Terra, les portails, les différents types de créatures qui le peuplent, la magie et la possibilité d'utiliser l'obsidienne pour priver ces créatures de leurs pouvoirs magiques. Leur but étant désormais de trouver certaines de ses créatures pour les soumettre à l'aide de cette substance et aller toujours plus loin dans la voie qu'ils ont choisie.

Aujourd'hui, Yasuhiro et Hanabi sont en deuxième année universitaire à Mishima et sont âgés de dix-neuf ans chacun. Yasuhiro est toujours membre du club de boxe, il étudie pour reprendre la salle de boxe de son père et le business des combats illégaux qui s'y déroulent. Hanabi est toujours amie avec Asami et elles sont toutes deux bien parties pour devenir joueuses pros de volleyball. Kumiko Watanabe est aussi à l'université pour des études de journalisme, elle est devenue l'esclave personnelle d'Hanabi et répond au nom de Foufie. Natsumi Satou a quitté Mishima après le lycée et s'est trouvé un emploi de serveuse dans un maid café, elle est toujours l'esclave personnelle de Yasuhiro et répond au nom de Choupette.


Rôles principaux :

Hanabi Suzuki : Femme humaine, 19 ans, bisexuelle.
Yasuhiro Tanaka : Homme humain, 19 ans, hétérosexuel.

Rôles secondaires :

Asami Nakamura : Femme humaine, 19 ans, ?
Aiko : Bébé fille humaine, 3 ans, nope.
Natsumi Satou alias Choupette : Femme humaine, 18 ans, hétérosexuelle.
Kumiko Watanabe alias Foufie : Femme ESPer, 19 ans, homosexuelle.


Physique d'Hanabi Suzuki : La jeune-femme mesure environ un mètre quatre-vingts et dispose d'une carrure athlétique. Fine et musclée, elle a tout de la jeune sportive, y compris de jolies fesses bien fermes. Comme elle s’entraîne depuis des années pour jouer au volleyball, son endurance tant en match qu'au lit est supérieure à la moyenne. Elle prend grand soin de ses longs cheveux noirs, toujours propres et bien coiffés, sauf après l’entraînement ou le passage de son copain. Ses yeux sont couleur noisette, leur expression oscillant entre la tendresse et l'amusement. Ses lèvres pulpeuses n'attendent que d'être goûtées et au fil du temps elle a bien compris comment les mettre en valeur. Elle n'est pas particulièrement friande du maquillage, optant pour le strict minimum en la matière et considérant qu'une bonne hygiène de vie suffi pour être belle. Sa poitrine est dans la moyenne, un bonnet C tout ce qu'il y a de plus classique. Son corps est totalement épilé, y compris au niveau de son intimité. Une peau blanche et lisse se cache sous son uniforme scolaire, avec souvent une légère odeur de sueur après l’entraînement. Il également utile de noter qu'elle est particulièrement souple.

Physique de Yasuhiro Tanaka : Le jeune-homme mesure environ un mètre quatre-vingt-dix et dispose d'une musculature imposante sans être excessive. La pratique de la boxe lui a forgé une véritable armure naturelle, lui conférant également souplesse, force et agilité. Tout comme sa copine il a de jolies fesses, bien musclées mais, dans son cas hors de question d'y glisser quoi que ce soit. En terme d'endurance sexuelle ou sportive, elle est encore plus développée chez lui que chez Hanabi. Il est notamment capable de baiser des journées entières, sans interruption et aime faire dans la surenchère pour rendre ses proies totalement accroc à sa verge. Qui mesure environ vingt centimètres au passage. Ses yeux sont de couleur verte, leur expression oscillant entre l'irritation, l'ennui et l'envie de sexe. Ses cheveux bruns sont propres mais, rarement coiffés, il les laisse en bataille en trouvant ça très bien ainsi. Bon combattant au corps-à-corps, il n'hésite pas à botter des culs lorsque le besoin s'en fait sentir. Pour mieux les bourrer par la suite s'ils appartiennent à des femelles répondant à ses critères.

Mental d'Hanabi Suzuki : Notre petite princesse a été très marquée par son enfance en tant que fille unique. Ses parents étant incapables de concevoir d'autres enfants, l'ont toujours traité comme un être exceptionnel, unique, cédant à tous ses caprices. Lorsque la petite Hanabi s'est retrouvée à l'école, les autres enfants n'ont pas continué à la traiter de la sorte, ce qui lui a value de nombreux problèmes. Elle garde une certaine rancune, estimant que sa place au sommet lui est naturellement dû. C'est une femme arrogante, manipulatrice, égoïste mais, qui comprend que les autres ont eux aussi des besoins et qui s'emploie à les satisfaire pour les rendre accrocs. Car Hanabi est incapable de vivre sans être admirée, chouchoutée, louée, trouvant dans toutes les démonstrations d'amour une nourriture psychique délicieuse. Narcissique vous dites ? Très probablement oui. Quoi qu'il en soit, elle aime gagner, dominer mais, sans trop combattre, par la manipulation mentale, par la stratégie, par la tromperie et par la séduction. Elle ne l'admettra pas mais, elle est accroc au sexe depuis que son copain lui a sauvagement pris sa virginité. Il ne faudrait pas qu'elle lui reconnaisse trop de mérites.

Mental de Yasuhiro Tanaka : Fils unique d'un propriétaire de salle de boxe, Yasu' a grandi au milieu des brutes, de la violence et des combats illégaux. Faire dans la finesse, ce n'est pas son truc, si ça ne passe pas, c'est qu'il n'a pas poussé assez fort. Bourrin et irrespectueux, il suit obstinément sa route sans se préoccuper des autres, à l'exception de sa copine, pour une raison qui lui échappe complètement. Conditionné par cette dernière, il ne parvient plus à se passer d'elle, accroc à ses jolies fesses qu'il aime fourrer à toute heure du jour ou de la nuit. Obsédé sexuel notoire et identifié par tous et toutes comme étant violent et sans limites, il semble toutefois s'être un petit peu calmé depuis qu'il est avec Hanabi. Il sait être couvert par les généreux dons de son père à la fondation Mishima et continue d'en profiter pour violer impunément les autres élèves de sexe féminin. Particulièrement excité par le fait de corrompre les filles jusqu'à les rendre complètement folles, il n'hésite pas, après les avoir brisées, à les faire combattre dans la salle de son père dans des combats où la perdante se fait sauvagement violer par le public. Bizarrement il a peu d'amis mais, il n'en a pas besoin, ses amis ne lui suceront pas la bite et quand bien même ils le voudraient, il n'est pas intéressé.

Photos :

- Asami Nakamura
- Aiko
- Natsumi Satou alias Choupette
- Kumiko Watanabe alias Foufie

Autre :

- Leur esclave Foufie a le pouvoir de déplacer les objets de moins de vingt kilos par la pensée et possède un bijou en obsidienne pour inhiber son pouvoir en temps normal.
- Le couple a réussi à faire l'acquisition de plusieurs bijoux en obsidienne pour se lancer dans la capture et le dressage de créatures magiques.

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