Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Sophia Monroe

Pages: [1]
1
Centre-ville de Seikusu / Vos papiers (Alessandra Visonti)
« le: dimanche 04 février 2018, 08:03:36 »
La soirée s'annonce pas trop mauvaise pour une fois, le temps d'un mois, j'étais détachée auprès d'un commissariat de quartier en manque d'officier. La journée est calme et rapidement, je commence doucement à m'ennuyer et lorsque la journée se termine, mon collegue du jour me ramène au commissariat. Je prends même pas le temps de me changer et je démarre ma voiture de service afin de regagner le commissariat central. Il fait doux en cette belle soirée et l'heure de pointe commence à se dissiper dans le traditionnel bruit de passage de véhicules de toutes sortes. Malheureusement pour moi, un chantier de route créa un bouchon dans Seikusu et me voilà bloquée dans la circulation. Des petits regards des autres conducteurs sur moi afin de voir ce que je faisais, je les regarde à mon tours et certain semblait nerveux, alors pourquoi il me regarde celui-là... Bref, le temps passe et on avance petit à petit dans cette artère de la ville qui semble interminable avec ces travaux.

Pour passer le temps, j'observe les gens sur les trottoirs, entre les gens qui cours après leur bus ou métro, certain chine afin de trouver quelque chose à acheter. Soudain, mon regard est attiré dans une petite rue par la présence d'une tête bien connue, une jeune fille de la pègre, une gueule d'ange avec des intentions diabolique, Alessandra Visconti en personne.

- Mon jour de chance, tu es moi, pétasse.

Je parviens à mettre ma voiture sur le côté et j'en sors tout entre réajustant mon uniforme, je place mon couvre chef et me voilà en marche vers Alessandra. Elle était dans une rue perpendiculaire à celle que je traverse, une rue plus ou moins tranquille mais elle était souvent au coeur de problème de dealeur. J'ai ma raison de la coffrer si elle a ne fus que un sachet, je m'approche d'elle, regardant qu'elle ne sort rien pendant ma progression et je me surprends à aimer son physique. Elle est très jolie la Visconti, dommage qu'elle soit dangereuse. A son contact, j'y vais cash.

- Ben tient, qui voilà, Mademoiselle Alessandra Visconti, vos papiers s'il vous plaît!

2
Centre-ville de Seikusu / De surprise en surprise(PV:Alix Sable)
« le: dimanche 26 novembre 2017, 14:30:54 »
Vingt heure, enfin la fin de cette journée de merde de paperasse qui s'est enchaînée. J'avais besoin de décompresser un peu et de plus, on est vendredi et j ai le week end de libre donc une soirée de shoots et cocktails s'offre à moi. Ni une, ni deux, je suis changée, douchée et prête pour une soirée entre moi et moi. Vingt heure trente, je suis dans ma voiture et en route pour un bar disco où j'ai mes petites astuces pour boire moins cher. Vingt une heure, je gare ma voiture et je le rends à l'entrée du bar qui est gardée par un véritable gorille à qui j'ai déjà rendu pas mal de service lorsqu'il appeler la police pour des indésirables.

Le garde me salue et le demande si tout va bien, après une brève petite discution, je rentre dans la salle et la musique bat déjà son plein, je m'acoude au bar et commande un bon verre de rhum, je commence toujours par du rhum. Le temps file et les verres d'alcool se font pas prier. Puis à ma droite, une nana, jolie visage, brune et garçon manquée. Mon style de nana, et pourquoi finir cette soirée et la nuit avec elle. Je lui souris tout en reajustant mon t-shirt pour laisser mon décolté visible. Je fixe après mon verre et je le termine cul sec avant de demander un autre. Par réflexe, je regarde à nouveau le corps de cette nana et des idées folles me viennent rapidement dans la tête, peut être à cause de l'alcool mais j'ai envie d'elle.

Le temps continue sa course et puis un verre de plus, je m'approche de la nana.

- Hey, comment ça va? Tu attends quelqu'un? Je peux te tenir compagnie?

Je fais signe au barman de remettre la même chose à la jeune femme et à moi même. Je me pose de telle façon d'avoir le corps vers la piste de danse et je la regarde.

3
Centre-ville de Seikusu / En apesanteur... (pv:Lucy Wings)
« le: dimanche 26 novembre 2017, 00:26:33 »
Encore une réunion fastidieuse dans une haute tour de Seikusu. Une réunion sur un événement d'envergure où tout le gratin du pays serait présent. Quatre piste de danse, quatre djs, deux restaurants et trois bars, vous voyez le tableau. Et comme il y aura des ministres à la sauterie, on demande à la police de fournir des hommes afin d'encadrer ces bourgeois. On attend pas moins de cinq cents personnes sur le toit de cette fichue tour. Donc me voilà à parler chiffre et d'effectif avec des fils à papa qui en temps ordinaire crachent sur mon uniforme. Mais ici, non, ils sont mielleux et même trop gentils avec moi. Mais je m'en fous royalement, j'ai trente hommes de dispo et je peux même monter à cinquante si nécessaire. Les modalités sont finis et je prends congé de ses messieurs. Lorsque je referme la porte, je hurle énormément d'insultes dans ma tête comme pour libérer cette pression accumulée pendant les trois heures de réunion à la con. Je me rends aux ascenseurs afin de quitter définitivement ces lieux. Je me vois dans le reflet des portes d'ascenseur et je suis contente d'être en civil pour une fois, je vais pouvoir rentrer directement à la maison. Le rapport attendra bien une nuit. Les portes s'ouvrent et j'appuie directement sur le zéro, étant au vingt-troisième étages, j'ai le temps d attendre.

Quelques étages plus bas, les portes s'ouvrent et une jolie petite rousse rentre, étant contre la parois du fond, je suis derrière elle et je profite totalement de la vue de ce jolie petit lot. Naturellement, je penche la tête à gauche pour accentuer ma vue sur ce petit cul bien rebondit. La vache, je la croquerai bien la rousse. Mais soudain, un freinage sec de l'ascenseur et nous voilà bien bloquées elle et moi.

- Fais chier, c'est pas vrai...

Je me place devant la console de commande et je frappe le bouton ouverture de porte très vite mais c'était inutile... Je soupire et me replace dans mon coin, regardant la jolie demoiselle, je lui souris.

- Bon ben, on est amenée à rester un moment ensemble. J'espère que vous n'êtes pas clostrophobe...

4
La zone industrielle / La bleue et la rouge (Pv:Doutzen)
« le: samedi 25 novembre 2017, 11:34:55 »
Cela faisait tellement longtemps que je suis en charge d'un dossier important concernant une famille mafieuse d'origine russe. Étant capitaine, pour le moment mon rôle n'était qu'administratif et c'était par moi que tous les dossiers les concernant passaient, et de moi, il transitait vers le juge d'instruction afin qu'il puisse se faire une idée de l'ampleur tentaculaire de l'affaire. Le réseau russe s'était diversifié depuis 1920, de simple passeurs, ils sont à la tête de plusieurs commerces tous plus illégales. Trafic d'armes, de stupéfiants, prostitution, corruption et je passe les tous les assassinats qui ciblent généralement des rivaux. Mais maintenant, c'est assez. On va donner une énorme coup de pied dans la fourmilière afin de voir ce qu'il en retourne.

Donc ça faisait longtemps, on a réussi à plusieurs reprises à infiltrer cette belle et gentille famille russe et même à la placer sur écoute. Malgré cela, il fallait décrypter le langage et le code qu'ils avaient mis en place pour parler de leur "commerce". Et après tant d'effort, nous avons réussi à localiser l'un des entrepôts de cette mafia et ce soir, je vais pouvoir procéder à une petite perquisition dans ce fabuleux entrepôt.

Il était quinze heure quand la colonne de véhicules de police faisait route vers la zone industrielle de Seikusu, sur place il y avait déjà une dizaine de policiers pour espionner les allers et venues de l'entrepôt. Après vingt minutes de routes, nous voilà dans la zone.

- C'est le quel?

Là, je m'adresse à mon chauffeur, l'avantage d'être officier, et il me pointe le plus grand entrepôt de la zone.

- Celui là, Capitaine.

En le regardant bien, j'ai des flashs de mon passée et de l'assassinat de mon ancienne binôme. J'inspire profondément et me frotte les yeux pour oublier ces visions d'horreur. Le chauffeur arrête le véhicule et je peux déjà voir les unités d'élite du grand banditisme prendre possession des alentours. Je sors de la voiture et me dirige vers le commissariat mobile, une énorme camionnette qui sert de base avancée pour la police. Plusieurs Sergents m'attendent là et me saluent lorsque je rentre dedans.

- Bien, sait on combien ils sont et sont ils armés?

L'un d'eux me répond qu'ils sont une dizaine et armés bien entendu. On revoit très rapidement le plan d'action et je donne l'ordre d'y aller. Les hommes en armures ne se font pas priés et pénètrent dans un gros boum l'entrepôt. On peut suivre l'intervention via les radios et les caméras de certains collègues et c'est une véritable poudrière. Même pas après trente seconde, des échanges de coups de feu résonnent. Mais techniquement et tactiquement, la police a le dessus et nous parvenons même à choper un capo de cette famille russe.

Après quelques vérifications, les intervenants nous confirment que l'on peut entrer dans le bâtiments sans danger. Je m'y engage la première, comme pour montrer l'exemple, et je remercie et salue chaque policiers qui sont intervenus. Pour finir, je monte les escaliers et tombe dans un petit bureau où il y a cinq policiers et un gars menotté sur une chaise.

- C'est qui?

L'un des hommes en armures me déclare qu'ils ne savent pas mais, lorsqu'ils sont entrés dans le local, ce cher russe détruisait des documents, il sait directement mis au sol les mains sur la tête.

- Et chier...

Je chope une chaise et m'installe devant lui, le fixe de haut en bas.

- Bon, je suppose que tu ne sais rien et que je perds mon temps... Moi, je veux juste savoir les noms de tes patrons et où ils sont?

Le gars me regarde en rigolant.

- Je ne savais pas que la police japonaise engagait des étrangers, tu perds ton temps ma mignonne. Mais, ton visage est maintenant retenu... Je ferais attention à toi maintenant. Si elle...

Là le mec, il s'arrête net de parler, il venait de se rendre compte qu'il en avait trop dit. Je lui souris au visage.

- Qui ça elle? Le chaperon rouge?

L'homme menotté se fige totalement.

- Mais, nous savons très bien qui fait parti de quoi... Je viens pas ici sur un coup de tête et surtout le jour d'aujourd'hui, nous savons que c'est aujourd'hui que tu viens prendre la recette de la semaine.

Le gars essaie de me sauter dessus mais les entraves aux poignets et la chaise le retiennent.

- Et sois en sur que je ferais passer le message que toutes mes infos viennent se toi... Collabore et je peux te faire oublier de la Russie. Refuse, et je débarque chez mademoiselle Kroes Doutzen en grande pompe et je te balance comme indic à la police.

Échec et mat pour lui, il lâche l'adresse de cette Doutzen. C'était tellement facile ce bluff... car oui c'était du bluff, sauf pour le chaperon rouge. Car à l'heure actuel, nous ne savons pas vraiment qui fait quoi. Nous savons qu'ils existent, qu'ils participent mais on ne sait pas à quel degré.

Je ressors de l'entrepôt pour rejoindre le post de commandement. L'adresse est localisée et je décide d'envoyer une patrouille pour voir si l'occupante et toujours chez elle. En chemin, je téléphone au juge pour l'informer du dossier et je confirme mes soupçons sur Doutzen Kroes, mais il m'informe qu'il n'a pas assez d'élément pour me donner un mandat de perquisition. Bon ben, espérons qu'elle soit de bonne humeur et qu'elle me laisse rentrer chez elle.

Fini les zones industrielles et bonjour les beaux quartiers de la ville. Ma voiture s'arrête devant une villa énorme, le luxe transpire de cette bâtisse, je demande aux hommes de rester aux véhicules et je me présente  à la porte qui est bien loin de la route. Je réajuste mon uniforme et sonne à la porte.

5
Centre-ville de Seikusu / Laquelle va tirer l'autre? (Pv:Reisen U. Inaba)
« le: vendredi 14 juillet 2017, 01:14:44 »
Cela devenait frustrant ces histoires, deux mois que je cours après un fantôme qui s'amuse à me laisser des cadavres de gens plus pourris les uns comme les autres. Encore aujourd'hui, un homme abattu d'une balle en pleine tête, dans sa chambre d'hôtel, une suite grand luxe avec balcon,jaccuzzi et autres joyeusetés de riches. Mais le cadavre est Miji Onuru, un homme d'affaires pas très clean. Pots de vin, corruption à tout niveau, blanchiment d'argent venant de Yakuza et même des Triades. Cet homme avait fait fortune dans l'immobilier dans des sociétés écrans et j'avais commencé une enquête contre lui mais les preuves se faisaient rares. Maintenant, mon enquête est terminée et sa vie aussi. Parlant d'enquête, c'était ma première depuis que je suis capitaine et donc ma première sans mon armure et retour de l'uniforme bleu d'intervention, mais ce n'est pas si désagréable que ça, plus léger et plus souple.

Il était 18h25 quand le corps a été retrouvé par le service d'étage qui apportait le dîner dans sa chambre, la 901, de l'hôtel Conrad, hôtel luxueux et hors de prix de Seikusu mais surtout que toute la haute sphère de la pègre se donnait rendez vous ici. Tous sans exception, si tu voulais commencer un enquête sérieuse sur un chef de gang, c'était ici qu'il fallait commencer. L'unité du labo terminait ses dernières relevées pour l'enquête, quatre hommes en tenues blanches s'amusaient à relever chaques détails, chaques objets utiles pour l'enquête. La balle avait traversé la tête du gars et s'était logée dans une commode.

- C'est du 7,62, Capitaine.

Ah, intéressant, du 7,62 millimètres, l'assassin devait utilisé une arme russe, genre SVD, ou chinoise, type 89, et surtout, la portée de cette balle est maximale  de huit cents mètres. En dessous, si nous avons à faire un tireur d'élite, l'homme n'avait aucune chance de sans sortir autrement qu'avec une balle dans la tête. Et vu la trajectoire donnée par le labo, le tireur était juste en face de l'hôtel, sur le toit du bâtiment, de l'autre côté de la rue.

- Il doit déjà être loin maintenant, c'est ma veine, encore.

Un sergent se présente à moi, me salue et me déclare qu'on le demande à la radio. Merde, j'avais coupé cette dernière pour pouvoir réfléchir en paix et pas entendre le dispatching demander toutes les trente secondes ce qu'il se passait. Je prends ma radio de mon ceinturon et le porte à ma bouche.

- Taurus one, j'écoute.

Rapidement, le dispatching réplique.

- Oui Taurus one, on vous demande auprès de Leader trois pour complément d'informations.

La suite, le dispatching me donne le lieu de rendez vous, dans un quater tout près. Je confirme l'adresse et je confie la fin de l'investigation à une autre patrouille. Je prends l'ascenseur pour redescendre au rez-de-chaussée. Après deux petites minutes me voilà aux portes d'entrée, je les franchis et je passe un cordon de sécurité qui était déjà harcelé de journalistes en manques de sensations. Je me fraye un passage difficile vers ma voiture et je m'y réfugis au plus vite.

- Putain de vautour...

Je demarre tranquillement le véhicule et je pars vers l'adresse donnée plus tôt. Le trajet est calme et il faisait doux pour l'été, d'habitude étouffant, pas besoin de climatisation. Après quelques minutes, me voilà à l'entrée d'une place... Je sais pas pourquoi ici mais soit, Leader voulait dire au dessus de capitaine, donc tu te tais Sophia. Confirmant mon arrivée par la radio du véhicule que je quitte, je me dirige vers la place qui était quasi vide. Faut dire que les récents assassinats ont refroidi les gens à sortir de chez eux après le boulot et que la peur gagnait la population. Le leader était debout au centre de la place qui elle même était entourée de trois bâtiments tout autour. Je me place à ces côtés et le salue, protocole oblige, avant de lui parler.

- Capitaine Monroe, vous m'avez faite demander.

Le supérieur me salua à son tour et rentra immédiatement dans le vif du sujet.

- Oui Capitaine, l'enquête piétine, aucuns indices, aucunes preuves, rien de rien. J'attends mieux de vous et je veux des résultats

C'était clair et limpide, j'allais prendre chère si je ramenais, enfin je lui tendis mes notes sur la dernière scène de crime.

- Comme vous pouvez le voir, Monsieur, nous avons trouvé une balle de calibre 7,62 sur les lieux et je peux vous affirmer que l'assassin était dans les environs immédiats.

- Qu'est ce qui vous fait dire ça?

- Ma connaissance dans les armes et les munitions, le 7,62 a une portée courte mais une trajectoire parfaite pour les tireurs d'élite. Je vais donner l'ordre aux patrouilleurs de ratisser la zone et de voir sur les caméras des environs.

- Bien, déjà un bon début Capitaine. Continuez.

Soudain, un sifflement et un bruit d'impact, le bruit venait du crâne de Leader trois qui fut propulsé vers moi avant de tomber au sol lourdement. Par réflexe, je lève la tête et je vois quelqu'un sur le toit de l'immeuble d'en face. Putain, c'est lui, l'enfoiré de fils de pute. Je chope man radio et je cours comme une folle vers l'immeuble face à moi.

- Taurus one en priorité, Leader trois à terre, je suis à la poursuite du tireur, besoin de renfort et d'une ambulance à l'adresse ASAP.

J'entends, alors que je cours, que le dispatching demande a toutes les unités disponibles de faire route en urgence sur ma position. Je suis dans le bâtiment, un immeuble d'appartement, il y a un ascenseur mais il semble caler au deuxième étage, rapidement, je fonce dans la cage d'escalier que je grimpe quatre à quatre jusqu'au toit, je ne sais pas combien de temps j'ai mis mais j'ai pété un score d'endurance et de vitesse. Je stoppe net devant la porte du toit mais avant je sors mon arme de service et je l'arme avant d'enfoncer la porte. Là ça été trop vite, quand la porte s'était ouverte, la silhouette que j'ai aperçu en bas se tourna vers moi, une femme, et directement cette dernière me braque mais je n'ai pas le temps de voir avec quoi que je me jetes au sol derrière un gros tuyau d'aération, un bruit d'impact de balle et de course à pied. Je sors de ma cachette et je vois que la femme est déjà de l'autre côté du toit.

- Putain, elle carbure à quoi elle...

Je la course mais rapidement je dois me rendre à l'évidence, elle est bien trop rapide pour moi et sur ce gigantesque toit, je la perds de vue et le bruit d'une porte m'informe qu'elle est déjà en train de descendre. Je fais mon possible pour la suivre mais lorsque j'arrive en bas essoufflée, je me trouve nez à nez avec les renforts qui me demande où est le tireur.

Après avoir donner toutes les informations de ce qu'il venait de se passer, les patrouilles partent faire un ratissage rapide des lieux, quand au supérieur, il n'avait pas survécu à la blessure... Fait chier.

6
Sophia était arrivée au commissariat avec de l'avance, début de service à 13h, à 12h, elle était déjà en tenue prête à prendre son service. Elle vérifia ses deux armes de poing avant de vérifier ses documents d'intervention. Ce jour du mois de juin, elle devait faire une perquisition dans le centre ville dans la maison d'un chef d'un groupe de Yakuza. La mission comportait des risques mais rien d'insurmontable pour elle et son équipe. Une taupe de l'organisation avait faire parvenir les plans de l'habitation, elle avait étudié minutieusement chaques détails. Lorsqu'elle termina toute la check liste, Sophia alla dehors griller la seule cigarette qu'elle s'autorisa. Elle attendait dans son coin du petit parc à l'arrière du commissariat, elle salua un caporal qui passait par là et qui la salua. La sergent major termina sa dose de nicotine et regagna le chemin vers le baraquement, lorsqu'elle remarqua un autre sergent, simple sergent, lui courir après.

- Sergent Major, changement de programme, vous n'êtes pas sûr la mission, vous êtes convoquée au commissariat central auprès de la directrice, Madame Road.

- Qui a donné l'ordre sergent?

- Madame Road en personne d'après le Capitaine, Major.

Sophia lâcha un juron peu gracieux mais bon avec elle, on ne pouvait pas s'attendre à un poème, elle détestait être retirée d'une mission. Donc retour au vestiaire pour changer de tenu, passant de l'uniforme d'intervention à celle d'apparat. Un tailleur jupe bleu roi avec son képi, ses grades d'épaulettes en cinq gallons argentés. Elle n'aimait pas cela mais elle allait se présenter devant la directrice, c'est pas la foire à la saucisse.

Sergent Major Monroe prit une voiture de service et se dirigea ai QG central de la police de Seikusu, quinze minutes après, elle coupa le contact de la voiture dans le parking. Elle prit l'ascenseur du moins un au quatrième étages. Elle arriva devant le secrétariat de la directrice, la secrétaire, une caporal, une jeune femme brune assez coquette où Sophia se présenta. Ma secrétaire demanda à la sergent d'attendre un instant.

Un instant semblait rapidement devenir une éternité, Sophia voulu partir quand la secrétaire demanda à la sergent d'entrée dans le bureau. Elle s'exécuta sans broncher, elle frappa à la porte et une voix féminine lui demanda de rentrer. Sophia entra et tomba avec une jeune fille rousse arborant tellement de décoration et de dorure sur son buste qu'elle en était quelque peu jalouse.

- Sergent Major Sophia Monroe de l'unité spéciale de la police de Seikusu, vous m'avez fait demander Madame?

Sophia analysa la pièce rapidement des yeux, la pièce était l'image de la directrice, sobre et classe, décoré avec finesse mais rappelant bien que c'était le bureau du chef.

7
Depuis quelques jours, j'ai découvert un nouveau petit café super où l'on sert de bons cafés du monde entier. Je prenais le temps de m'arrêter afin de découvrir la carte et les choix spéciaux qui se renouvellaient souvent. Et puis, il fallait dire que l'emplacement était chouette: les beaux quartiers de Seikusu. Ici, en civil, personne ne me reconnaissais et donc j'étais pénarde pour siroter mon kawa.

Ce matin, je métais assise au comptoir et la serveuse, mignonne, se présente à moi.

- Un café brésilien avec deux sucres et pas de lait s'il vous plaît, sur place.

La jeune femme se mettait immédiatement au travail me tournant le dos ainsi, j'avais le champs libre pour la mater. Malgré une poitrine discrète, elle avait un fessier qui donnait envie de lui donner une bonne claque en guise de punition. Une coupe de cheveux carré noire qui englobait un visage de poupée perverse. Elle me donnait des envies pas très douces mais des envies quand même. Le cafe était peu fréquenté ce matin et cela me permettait de faire un peu d'exploration sur ce corps. Alors qu'elle terminait mon café, elle s'était penchée en avant laissant voir un beau strings de son pantalon, j'ai soupirais de surprise. Elle était revenue juste après avec le café et la note.

- Tenez et gardez la monnaie pour votre jolie sourire miss.

8
Bureau de la direction et infirmerie / Un réseau tentaculaire [PV: Iki Ota]
« le: dimanche 15 janvier 2017, 01:33:09 »
La journée avait bien commencé pour moi, après deux enquêtes terminées dans les réseaux de prostitution et un joli coup de filet de la veille, je me sentais d'humeur joyeuse. Une journée comme celle-ci, rien ne pouvait la gâcher... Sauf quand votre téléphone de votre bureau se mettait à sonner avec le numéro interne d'un Lieutenant du commissariat. Merde, pourquoi il devait m'appeler? En une fraction de seconde, je fais l'inventaire de ce que j'aurais pu faire comme connerie mais j'en avais aucune idée de ce que j'avais fait de mal. Après l'avoir laissé sonner, je m'étais dit que j'avais l'obligation de le faire car si il descendait, j'en prendrais pour mon grade.

- Sergent Major Monroe, j'écoute...

Une voix dure d'un homme qui aimait imposer son autorité surtout envers les femmes était à la limite de hurler dans le combiner.

- Sergent dans mon bureau immédiatement.

Après avoir répondu par l'affirmative, j'avais raccroché le téléphone et je m'étais levée de ma chaise de bureau. Mon assistant me demandait ce que je faisais et je lui avais expliqué que l'officier m'avait appelé dans son bureau. Je me dirigeais vers la porte de mon bureau et m'engageais dans le couloir du bâtiment à droite, il avait les ascenseurs et je profitais qu'il s'ouvrait pour m'engager dedans avec un Adjudant. Je l'avais salué et remerciais de m'avoir attendue pour l’ascenseur. J'avais choisi le quatrième étage sur six et la cage de fer s’élevait en créant cette sensation de vide comme à chaque fois. Au quatrième étage, j'étais sortie en souhaitant une bonne journée à l'Adjudant, je parcourais les derniers mètres qui me séparaient de la porte du bureau du Lieutenant. Devant la porte, je pouvais voir la plaquette "Lt Akahiko Honda", comme quoi, les lieutenants était des gens pas mégalo... J'avais frappé à la porte et la même voix qu'au téléphone m'ordonnait d'entrer. Je m’exécutais afin de me placer au garde à vous devant le Lieutenant Honda.

- Sergent, votre dernier coup de filet a fait mouche et certains suspects m'ont informé que certains de leurs clients vont maintenant chercher de la chair fraiche dans le collège de Seikusu. La plus part des gamines sont mineurs et d'après eux, les suspects, certaines filles sont violées et droguées... Vous allez immédiatement sur les lieux et vous allez auditionner profs, élèves et le directeur, Monsieur Ota, il vous attend. Vous pouvez disposer.

Pendant son discours, j'avais remarqué que le chef était nerveux, très nerveux. J'avais l'impression qu'il avait chaud et froid en même temps. Mais bon soit, il me demandait de partir immédiatement et je le saluais en sortant de son bureau. Quinze minutes après, j'étais dans ma voiture, tenu civil et arme sous mon pull, le collège de Seikusu était à vingt minutes du commissariat et après ce court voyage, je stationnais ma voiture sur le parking visiteur de l'école. Après avoir regardé le bâtiment pendant quelques secondes et je m'étais dirigée vers l'entrée de l'école. J'étais accueillie par une secrétaire à lunette brune, un peu ronde mais avec un joli visage.

- Bonjour et bienvenue dans le collège de Seikusu, que puis-je pour vous?


Je m'étais appuyée sur le comptoir et je saluais la dame tout en montrant ma plaque de police.

- Bonjour Madame, je suis Sergent Major Monroe, police de Seikusu. Je suis ici dans le cadre d'une enquête sur un possible réseau de prostitution dont certaines élèves sont victimes.

J'avais cru que la secrétaire allait s'évanouir sur sa chaise mais je me démontais pas et continuais.

- Serait-il possible d'avoir les noms des professeurs et des élèves féminines s'il vous plait? Et où est le bureau du directeur, Monsieur Ota?

La brune m'avait expliquée où il était et je la remerciais pour cela. Après cela, je me dirigeais dans le couloir indiqué vers la porte au fond, le couloir était fort lumineux pour une école et les grandes vitres qui donnaient sur la cours rendaient les lieux immenses. Aux pieds de la plaque de bois, je frappais trois fois attendant la réponse des prémices de cette enquête qui me semblait déjà longue.

9
La zone industrielle / Une mise à jour... (PV: Aya Chitsuki)
« le: lundi 26 décembre 2016, 08:13:33 »
Aujourd'hui, pas de mission, pas de patrouille et pas d'administration pour moi, aujourd'hui, c'est une journée de formation à la nouvelle puce qui va équiper nos armures d'intervention. Et avant de pouvoir enfiler la combinaison 2.0, une formation de quatre heures sur le comment du pourquoi et aussi faire une belle publicité pour la société qui fabrique et qui vend à prix d'or ce petit composant qui vaut la peau des fesses pour être polie. Et voici que je te montre un beau powerpoint avec la description de la puce alors que trois quarts de la salle s'en foutent totalement mais bon, faut bien faire cela si on veut une ristourne sur la commande. L'homme à la présentation de ce "magnifique" diaporama, qui aurait pu être ses photos de vacances que cela aurait été pareille, est vraiment méticuleux et insiste bien sur la fiabilité et les "ingrédients" qui composent cette magnifique puce de trois centimètres carré. De temps en temps, un crétin d'assistant lève la main pour demander des précisions sur telles ou telles choses, youhou, et le présentateur recommence le point demandé. Merde...

Après ces quatre heures de pure folie, on peut enfin se lever pour aller se dégourdir les jambes, pause de midi pendant une heure et, alors que tous le monde ce dirige vers la cantine, je chope mon assistant pour lui demander d'aller voir ma nouvelle armature de combat.

- Non Sophia, j'ai faim, commence pas, tu la verras après.

Faisant une bouille de petite fille suppliante devant un parent.

- Mais s'il te plait, comme ça je peux déjà m'y habituer et montrer qu'on forme une bonne équipe.


Ataru soupire pendant une seconde.

- Bon, comme je vois tu me lâcheras pas tant que je t'ai pas dis oui.

Ataru est arrivé depuis peu, il est nouveau et plus conciliant que l'ancien qui a été muté dans un autre service. Et en peu de temps, il avait compris que je n'étais pas une fille qui lâche l'affaire aussi facilement que ça. On sort des messes et immédiatement après, on prend l’ascenseur pour descendre au rez-de-chaussée où ce trouve les armures. Pour ce faire, nous entrons dans notre armurerie personnelle et au milieu de la pièce, dans l'armoire vitrée, mon armure de kevlar. Bon, à vrai dire, j'ai tiré un peu la tête car c'est toujours la même armure.

- Ben quoi? Tu t'attendais à quoi?

Ataru se met à rire dans mon dos ce qui à le don de m'énerver un peu mais il faut dire que j'ai un peu trop fantasmé ce moment.

- Ton armure reste la même, la seule chose qui change, c'est que certaines articulations ont été renforcées par des barres d'aluminium renforcées pour te permettre de développer une plus grande puissance lors des interventions. Quand à la puce, il est raccordé à mon pc pour que je puisse voir ton état de santé et l'état de ton armure...

Coupant la parole.

- Cool, une puce gps, avec ça je suis tracée comme un chien, cool et moi dans tout ça?

Ataru soupire de nouveau.

... si tu me coupais pas la parole, je t'aurais expliqué que la firme donne aux agents intervenant des lunettes qui permettent de voir l'état de tout ce que j'ai décrit il y a quoi, trente secondes...

Il me donne une paire de lunette de couleur noir pour les branches et des verres qui réagissent en fonction de la luminosité du lieux, et ça s'est pratique en service. L'assistant pousse un bouton et un petit point verre s'illumine au centre du plastron de l'armure.

- Voilà, l'armure est allumée tu peux mettre les lunettes, elles s'activeront sur ton nez.

Enfin quelques choses d'intéressant et machinalement, je pose les lunettes sur mon nez et... rien...

- Euuuuh ouiiiiii, et?

Ataru fait une grimace.

- Tu vois rien?

Je fais une geste négatif avec la tête et il vient prés de moi, prend les lunettes et lui aussi fait une tête bizarre.

- Et merde... Ben voilà, on peut renvoyer ta puce chez eux.

Je hausse les épaules.

- Bah je m'en passerais pour le moment.

Mais au vue de la tête de Ataru, j'ai compris la signification immédiatement.

- Ooooh non non non, me dis pas que je vais devoir rester à l'intérieur tant que je n'ai pas une armure hightech?

Ataru avec une tête grimaçante de pitié hoche la tête de haut en bas.

- Mais qu'il aille se faire enculer avec leur connerie de puce... Je veux pas attendre un jour de plus...

- Quinze jours

Je le fixe avec les yeux qui allait sortir de ma tête.

- Quinze jours??? Quinze putain de jour??? Mais ils ont pété les plombs, il est hors de question que je reste quinze jours à ne rien faire. Je vais aller les voir ces connards de chez Seikusu Technologie mes genoux.

La colère monte en moi et me voilà à tourner en rond dans l'armurerie en criant, insultant et dégageant tout objet devant moi.

- Mais attend, j'ai une solution pour toi et elle va te plaire j'en suis sur.

Je me stoppe net sur place, me tourne vers lui et fais un geste de moulinet avec mon poignet droit.

- Marche...

Ataru cherche un papier dans sa poche.

- Tu vas à cette adresse avec l'armure, elle s'appelle Aya Chitsuki, elle est se qu'on peut appeler une génie de la mécanique. Rien ne lui résiste longtemps, elle va pouvoir remettre ta puce en état de fonctionnement en un rien de temps.

Mes yeux s'illuminent directement mais s'éteignent immédiatement après.

- Oui mais ça va me couter combien? Et surtout, pour la démonstration?

L'assistant se met à rire encore.

- Pour la démo, tu n'es pas celle qui la fera, c'est Ayame qui la fait, Sergent Ayame. Pour le prix, tu t’arrangeras avec elle.

Ayame, petite salope, encore elle qui va prendre tout les honneurs, enfin, ça lui changera des coups de bit[tousse]. En peu de temps qu'il n'en fallait, l'armure est chargée dans l'arrière d'une camionnette neutre et je prends le volant pour la zone industrielle de Seikusu. Après trente minute de route, je me gare devant un dépôt immense. Je sors du véhicule et me dirige vers la porte d'entrée, enfin du moins ce qui y ressemble. Je frappe à la porte mais après quelques secondes aucune réponse. Mince, tout ça pour ça, c'est con, tant pis me dis-je, je rentre en poussant la porte. Et me voilà tomber dans une immense salle, j'y vois pas le fond, avec des fabrications abracadabrantesques et divers. La plupart des objets présents me sont totalement inconnus mais, au loin, j'entends des bruits de pas et après des coups de ce qui ressemble à un marteau à l'oreille. Je me rends vers l'origine du bruit, enjambant trucs et objets. Après quelques instants, je vois une silhouette, grande pour une femme, mais au vue des hanches je me surprends à pousser un petit soupir de gourmandise, pas mal foutue la brune, un corps élancé et proportionnel, pas de grosse poitrine ou de hanche sur développée mais devant moi, dos à moi, une femme avec des attributs parfaits, je suis jalouse. Je racle ma gorge pour prévenir de ma présence mais elle ne réagis pas.

- Excusez moi, pardons de vous dérangez, je me suis permise de rentrer. Je suis Sophia Monroe, vous devez être Aya Chitsuki.

10
Le quartier de la Toussaint / Maitre corbeau... (PV: Violette Baudelaire)
« le: jeudi 10 novembre 2016, 13:59:19 »
J'adore quand les jours de travail commencent par des réprimandes de Capitaines qui restent des journées entières le cul assis sur une chaise. Bref, après une matinée sous les foudres des officiers, mon assistant se pointe devant moi.

- Ils te voulaient quoi?

Lui faisant signe de par rester sur mon chemin et de sortir de mon bureau.

- Eh oh, Sophia fait pas chier encore, ils sont encore après cette histoire de drogue et de petite délinquance?

Je me retourne vers lui, le visage rempli de colère, je déteste être en position de faiblesse vis à vis de lui.

- Oui, maintenant sors de là.

Mais, l'assistant ne sort toujours pas et pose une feuille A4 sur mon bureau avec des informations dessus.

- Un mois que le maire nous casse les couilles, un mois qu'on pédale dans la semoule, un mois qu'on arrête des gens mais que rien ne s'arrête... Putain, un mois que je baignes chez les toxicos, j'ai même l’impression que mon armure sent le joins. C'est quoi ça?!?


Je prends la feuille et commence à la lire. De plus en plus attentivement, cela parle de vas et viens dans un bâtiment désinfecté, de personnes louches.

- Depuis quand tu as cette info?

L'assistant remplace ses lunettes sur son nez.

- Depuis ce matin, c'est arrivé pendant que tu en prenais plein la gueule.


Je me lève de ma chaise et fonce vers mon casier, j'enfile mon pare-balle sous ma veste civile.

- Et ton armure?

Je le pousse de mon chemin.

- Envoie la au pressing pour la faire laver, pour enlever cette odeur de cannabis.


L'assistant tente de dire quelque chose mais je suis déjà dans le parking auprès de ma voiture personnel. Je démarre et fonce vers l'adresse donnée par un témoin anonyme. Après vingt minutes de conduite, je me trouve dans un cul de sac où un bâtiment en forme de U m'accueille en son sein. Un bâtiment qui devait servir d'appartement il y a un moment et qui maintenant sert de taudis au rebuts de la société. Lorsque je sors de ma voiture, une odeur de sale et d'urine se fait sentir très fort.

- Mouais, encore un bel endroit pour moi.


Devant moi, une immense porte en verre qui sert d'entrée au bâtiment, je me dirige dessus et une fois au contact, je sors mon arme de service de son holster. La lumière est encore bien présente, pas besoin d'allumer une lampe torche. Je m'engage dans les couloirs écoutant au porte pour distinguer le moindre bruit. Mais pour le moment, choux-blancs. Je passe d'un étage et recommence la même technique afin de repérer le moindre criminel présent ici. Mon portable vibre, c'est mon assistant, je raccroche directement, pas le temps de répondre ou d'attendre les renforts. Et puis, je n'aime pas partager la gloire...

- Putain, je plaignais de l'odeur du joints mais l'odeur de la pisse est encore pire.


Un bruit de pas se fait entendre derrière moi, je me retourne et braque dans la direction du bruit, mais un clodo crie et pars en courant.

- Merde, l'effet de surprise est foutu.

Je continue ma route dans l'aile gauche du bâtiment et au bout de la dixième porte de cette aile, j'entends un bruit, un bruit de pas et de souffle.

- Toi, qui que tu sois, je vais te faire passer un sale quart d'heure.


Je me recule et enfonce la porte déjà chancelante à grand coup de pied et braque une forme humaine.

- Bouge plus, police.

11
Le coin du chalant / Mais que fait la police???
« le: vendredi 16 septembre 2016, 12:03:01 »
Bonjour à tous, voilà pour la politesse c'est bon...

Bon, avant toute chose, s'il vous plait, veuillez lire la fiche de mon personnage pour voir ce qu'il en retourne un peu dans sa tête blonde.

Quand au trame, les voici, attention que toutes les trames ne doivent pas être nécessairement que du sexe ou que de la baston. De toute façon, Sophia est lesbienne donc si votre perso est un mâle, elle ne s'intéressera pas à lui.

Trame 1

- Vous avez besoin de l'aide de la police pour un problème grave et qui requière l'intervention de l'unité spéciale et Sophia débarque en grande pompe.

Trame 2

- Vous êtes un malfrat en quête d'un braquage mais manque de pot, vous tombez sur Sophia qui passait par là. Pas de panique, à la fin de l'histoire vous êtes libre  ;)

Trame 3

- Vous êtes témoin d'un fait grave commis par un groupe très dangereux et ces personnes veulent votre peau mais Sophia assure votre protection jusqu'au jour du procès.

Tram 4

- Vous en avez à Sophia pour une histoire ancienne et l'heure de l'explication est venue.

Trame 5

- Vos idées sont mes idées (enfin si elles me conviennent).^^

Toutes les trames se passent sur Terre, mon perso n'a pas la faculté de voyager entre les mondes^^

Voilà si vous êtes intéressés par mon personnage, ne vous gênez pas, je suis pas difficile dans l'écriture mais cela doit être concordant et surtout logique  ;D

Bon amusement.

12
Prélude / Sophia la fliquette [Violidée ~♥]
« le: jeudi 15 septembre 2016, 15:46:27 »
Identité : Sophia Monroe
Âge : 28 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Sexualité : Lesbienne ou femme ayant un pénis ne la gène pas du tout.
Expérience : Pas mal d'expérience avec les filles, aucune avec une transsexuelle et ni avec un homme

Physique :
Sophia est une jolie jeune femme grande et élancée, elle mesure un mètre septante (1m70) pour cinquante cinq kilos. Poitrine correcte pour sa corpulence qui se termine par des tétons roses et petits, son tour de poitrine et son bonnet font du 85c même si son uniforme ne met pas ses formes en valeurs. Sophia est blonde et ses cheveux arrivent juste en dessous de ses omoplates, elle a les yeux verts et légèrement en amendes. Petit nez souligné par deux lèvres épaisses pour une femme blanche. Ses oreilles sont petites et toujours cachées par ses cheveux ou une oreillette. Une peau douce qui demande que la caresse, même si dans son métier, elles sont assez rares, deux mains agrémentées de doigts assez fin et ongles coupés. Elle a une ceinture abdominale dessinée mais sans exagération qui ouvre sur une chute de hanche qui attise le regard des hommes, même si elle s'en moque d'eux. Sophia a des cuisses musclées car elle est douée dans la course à pied et elle possède un très bon jeu de jambe dans les sports de combat. Pour finir, Sophia chausse du trente-huit même si elle préfère les bottes de l'uniforme que les escarpins des habits civils.

Caractère :
Si vous le voulez, vous pouvez répondre aux questions suivantes :
– Quelles sont les qualités de votre personnage ? Ses défauts ?
Sophia est courageuse, fougueuse et loyale, elle possède un code d'honneur qui fait d'elle une policière de la vieille école comme lui font remarquer ses collègues, elle n'hésitera pas à faire des nuits blanches pour un dossier qu'elle estime prioritaire. Elle ne pourra pas, de toute façon, dormir. Têtue et parfois trop exigeante envers ses collègues, elle n'a pas beaucoup d'amis au sein de son effectif et elle est souvent isolée et de toute manière, cela l'arrange mieux comme ça.
– De quoi a-t-elle peur, ou n'aime-t-elle pas ?
Sophia avait une seule et unique peur. La peur de perdre sa collègue et c'est malheureusement arrivé, sa collègue a été tuée devant elle lors d'une perquisition qui devait se passer sans problème.
– Au contraire, quelles sont les choses qu'elle apprécie, par quel projet est-il motivé ?
Sophia adore son job, la musique agit de manière apaisante sur ses nerfs et lorsqu'elle a eu une journée trop éprouvante, niveau sensation, elle aime plus que tout se mettre sur le balcon de son appartement pour fumer une cigarette avec un verre de vin rouge. Elle fume que dans cette unique occasion, ce rite lui permet de relativiser tout ce qu'elle a vécu ou ce qu'elle a fait en mission, bref, cela lui permet de vider sa tête à la même vitesse que son verre de vin.
– Comment se comporte-t-elle avec les autres ? Quelle est sa vision de la société ?
Sophia est assez froide avec les personnes qu'elle ne connaît pas, elle n'est pas très sociable et même à l'académie de police, elle n'avait qu'une amie avec qui elle partageait tous ses secrets. Sophia adorait sa collègue bien plus qu'elle voulait le faire croire. Quand à sa vision de la société, elle est assez sombre mais pas impossible à changer. C'est pour cela qu'elle s'est engagée dans les forces de l'ordre comme son père avant elle.


Histoire :


– Qui étaient les parents de votre personnage ? Comment et où a-t-il grandi ?


Sophia Monroe a eu une enfance plutôt tranquille dans les quartiers sud de Londres. D'un père anglais policier qui adore son métier et qui était un bon flic (à la retraite maintenant) pour Interpol, Sophia a une grande admiration pour tout le travail que son père a fait pour Interpol et le nombre de dossiers qu'il avait clôturé durant toute sa carrière. Et d'une mère grecque comptable dont Sophia hérita du prénom de sa grand mère maternelle. La maman de Sophia est née à Athènes et est venue en Angleterre lors d'un échange universitaire et elle ne repartit jamais de Londres car elle trouva l'amour sur place. De cette amour est née la petite Sophia. Alors que Sophia avait trois ans, son père eu une promotion mais pour cela, la petite famille devait quitter les quartiers sud de Londres pour le Japon, à Kyoto pour être précis, et Interpol leur donna une maison dans la ville de Seikusu dans la périphérie de Kyoto. En un mois, les trois années de vie de Sophia se trouvaient dans quatre cartons et même si elle était jeune, Sophia avait un pincement au coeur. Le lendemain, elle se trouvait dans sa nouvelle maison, un peu moins spacieuse mais beaucoup plus moderne. Sophia continua son apprentissage dans la rigueur japonaise qui ne la changeait pas trop de la rigueur anglaise. A ces dix-huit ans, Sophia eu la nationalité japonaise et passa ses tests pour l'académie de police de Kyoto. Très bonne élément et surtout en présence de Miharu, élève elle aussi dans l'académie de Kyoto, Sophia se lia d'une amitié forte avec cette dernière. Leur première rencontre s'était faite lors du deuxième jour de cours où, alors que les cours commençaient à 14h, Sophia allait dans la salle de fitness afin de s’entraîner, elle fut un brin étonnée de voir que Miharu l'avait devancée. Elle lui lâcha un bonjour vite fait bien fait pour la forme et se changea afin d'être plus alaise pour le sport. Sophia ne regarda pas une seule fois Miharu pendant son cardio sur le vélo. Ensuite, elle se coucha sur un banc de poids, après avoir placé les poids sur la barre, et elle commença ses levées. Miharu s'arrêta son entraînement et se plaça à la tête de banc afin de garantir la sécurité de Sophia en cas de problème.

- Euuuh tu fais quoi là ?

Sophia se stoppa elle aussi afin de regarder Miharu au dessus elle, de sa position, Sophia avait une vue montante sur le corps de sa protectrice, elle en fut troublée par se jolie corps car Miharu était très belle à regarder et que Sophia n'avait pas eu une adolescence normale au niveau hormonale. Ces dernières la poussaient plus facilement vers les filles que vers les garçons. Miharu soupira un instant.

- Cela ne m'amuse pas plus que toi mais il y a ce maudit règlement qui nous oblige à être deux pour cette machine... Et si un instructeur rentre, on prend un rapport et il est hors de question que je sois blâmée parce que tu joues perso dans ton coin... Pourquoi tu es venue ci tôt ?


Sophia eu un sourire, enfin quelqu'un qui avait un point commun dans l'académie. Elle reposa l'altère sur le socle et se releva pour faire face à sa collègue. Sophia tendit la main vers elle.

- On a pas encore eu le plaisir de se présenté formellement. Je suis Sophia Monroe et si je suis ici c'est que je préfère être dans mon coin pour m’entraîner sans être dérangée, en fait, je pensais qu'il y aurait personne à cette heure.

Miharu se mit à rire et empoigna la main de Sophia avec rigueur, Sophia fut surprise par cette poignée de main plutôt dure au vue du corps de Miharu.

- Je pense que pour le personne c'est foutu je pense. Je suis Miharu Ojiwa, je suis dans ta classe si tu l'avais pas encore remarquée. Moi aussi je suis venue plus tôt pour être tranquille mais en faite ta compagnie ne me gène pas et je pense que nous avons beaucoup de point commun. On devrait se mettre en binôme pour le restant de l'année et pour les exercices pratiques, je pense que cela devrait le faire.

Sophia eu un sourire taquin.

- Je devrais alors ralentir le rythme pour que tu puisses suivre alors...


Miharu eu une bouille un peu boudeuse et fit une tape sur l'épaule gauche de Sophia qui se mit à rire. Elles reprirent l’entraînement tout en discutant de leur passé respectif et ne remarquèrent pas la présence d'un supérieur en visite dans l'établissement et il fut agréablement surpris de voir le rythme soutenu des deux jeunes femmes. L'année s écoula tranquillement, Sophia et Miharu sortirent de l'académie avec les honneurs. Elles furent mobilisées toutes les deux dans le même commissariat dans la section recherche et enquête. Bref, tout va bien dans le meilleur des mondes.

– Quel(s) événement(s) marquant(s) ont fait de votre personnage ce qu'il est aujourd'hui ?

Deux années se sont écoulées depuis l'académie de police, Sophia et Miharu forment toujours le binôme de l'académie et elles font du bon boulot selon elles, selon leurs chefs, elles sont trop personnelles et un peu tête brûlée mais leurs résultats sont très très bons et donc ils ne peuvent pas trop les blâmer pour cela.

Mais un jour, alors qu'elles enquêtaient depuis plus d'un mois sur un réseaux de trafic de stup', Sophia et Miharu devaient effectuer une perquisition dans un entrepôt au main d'un cartel de drogue, Sophia avait repéré les lieux depuis quelques jours et Miharu arrivait avec une unité d'élite de la police de Kyoto, elle profita de l'attente pour envoyé un texto à sa binôme lui demandant qu'après la mission, elle aimerait boire un verre pour discuter d'une chose qui lui tenait à coeur. Sophia voulait lui déclaré sa flamme qui la consume depuis un moment déjà. Miharu lui répondit par l'affirmatif pour le verre. Sophia sentit déjà un poids en moins sur ses épaules. Cinq minutes après, la colonne de voiture de police arriva devant l'entrée de l’entrepôt. Sophia replaça son pare-balles correctement et alla vers le chef de l'unité d'élite.

- Bonjour Monsieur, je suis l'Inspectrice Monroe Police de Kyoto, du quatrième arrondissement, merci d'être venu nous aider.


Sophia termina sa phrase par un salut traditionnel. Le chef du groupe lui demanda les renseignements utiles à la mission et Sophia discuta avec lui pendant cinq bonnes minutes. A la fin de la discutions, le responsable leur demanda de rester en retrait tant que ses hommes étaient en action. Elles acquiescèrent et  se placèrent en retrait. Pendant un quart d'heure, Sophia et Miharu entendirent les cris des hommes qui fouillèrent tout l’entrepôt et firent choux blanc. Ils trouvèrent un entrepôt vide, complètement vide. Le chef s’adressa à Sophia pour le compte-rendu. Le supérieur déclara qu'ils étaient venus pour rien car l’entrepôt avait été vidé avant leur arrivée. Sophia ne comprenait pas comment c'était possible une telle chose car son indic lui avait dit qu'il avait vu du mouvement il y a quatre heures. Miharu et Sophia entrèrent dans l’entrepôt, elles avancèrent quelques mètres avant de s'arrêter et se faire face.

- Je n'y comprends rien Mimi, mon indic ne m'a jamais trompé...
- Peut qu'il avait remarqué la présence de la police au alentour.

Soudain un sifflement se fit entendre et Miharu reçu une balle en pleine tête, éclaboussant de sang le visage de Sophia. Pendant un instant, qui paru une éternité pour Sophia, le temps semblait s'être figé et elle mit une seconde à tourné la tête à droite pour voir le corps de Miharu gisant à deux mètres d'elle. Sophia sentit une présence sur sa gauche et alors que se tourna vers le danger, elle voyant une ombre et une deuxième déflagration vers elle. Sophia sentit une douleur énorme en dessous de ses seins et elle fut propulsée deux mètres en arrière. Elle était touchée par balle mais son gilet l'avait sauvée. Alors qu'elle gisait au sol à semi consciente, endolorie et lutant pour ne pas perdre connaissance, l'ombre se plaça au dessus d'elle, sa vue se troubla et donc elle ne pouvait pas voir correctement le type et mais l'entendait parfaitement. L'homme la traita de salope, de fouineuse et de fouille merde avant de vider tout son chargeur sur Miharu. Les larmes coulèrent sur les joues de Sophia qui était impuissante. L'homme se moqua d'elle et quitta les lieux après lui avoir craché dessus. Quelques instants plus tard, Sophia tomba dans les pommes.

Sept heures plus tard, elle se réveilla dans une chambre d’hôpital et remarqua de suite la présence d'une infirmière. Cette dernière lui sourit et lui demanda de pas bouger de toute manière Sophia ne voulait pas bouger, elle n'avait plus le goût à bouger. Elle venait perdre la seule personne au monde qu'elle aimait, en dehors de ses parents. L'infirmière sortit de la chambre et directement après sa mère entra en pleure suivie de son père le visage fermé. Ils restèrent à son chevet pendant trois heures pour laisser la place aux enquêteurs pour sa première déclaration. Après cela, elle posa elle aussi des questions aux enquêteurs qui y répondirent avec beaucoup d'amertume dans la voix, il est jamais facile d’annoncer le décès d'un collègue. Sophia se mit à pleurer de rage et les enquêteurs durent appeler le personnelle soignant pour lui administrer un sédatif. Elle tomba dans les vapes après quelques secondes.

Trois jours plus tard, elle sorti de l’hôpital et regagna son appartement. Si physiquement elle était en bonne santé, mentalement elle était ravagée. Tous les jours, elle se baladait dans son appart en t-shirt bretelle et boxer. Elle se lavait habiller et passait des heures à pleurer dans son fauteuil. Plus tard, elle se mit à boire d'abord du vin ensuite du scotch, vodka et whisky. Elle sombrait petit à petit et ne sortait plus du tout. Le visage de Miharu la hantait pendant deux ans...

Puis un jour, sans savoir pourquoi, elle se leva, se coupa les cheveux qu'elle estimait trop long et pris une douche, une vraie, elle remarqua même la cicatrice sur le dessous de son seins droit qu'avait laissé l'impact de la balle qu'elle a reçu dans son pare-balles. Elle serra le poing et frappa dans le miroir qui explosa sous l'impact du coup. Elle sorti et se pointa dans une salle de sport et repris les entraînements de plus en plus intensifs. En deux moins, elle avait récupéré la condition qu'elle avait avant l'incident. Et quatre mois plus tard, elle se pointa dans le bureau de son chef pour reprendre du service. Mais là, un hic énorme attendait Sophia. En effet, elle était mutée dans un service spéciale de la police du Japon. Un service d'élite en cours de formation dont les responsables cherchaient les meilleurs éléments du Japon et Sophia en faisait partie. Le lendemain, elle se présenta à l'adresse donnée par son ancien capitaine de brigade. Elle fut accueillie par du personnels civiles qui lui expliqua le but de cette unité : Traquer tous les groupes et organisations criminelles qui infestes le Japon.
Sophia trouvait son compte dans les missions de cette nouvelle unité et en cadeau elle reçu un équipement à la hauteur de ses ambitions : Un nouveau pistolet 9mm avec lunette de précision et équipé d'un petit compartiment sous le canon qui permet d'envoyer une décharge électrique, d'une armure en kevlar et pare-balles qui recouvre tout son corps sauf la tête, d'une matraque télescopique placée dans une poche dans son bas du dos, d'une sacoche qui contient chargeurs et autre équipements d'appuis et pour finir une deuxième arme à feu à sa cheville droite. Sophia s’entraîna pendant cinq mois avec ses futurs collègues même si elle préfère être solitaire et encore plus depuis la mort de Miharu. Elle termina sa formation et maîtrisa sa nouvelle armure facilement malgré le poids de cette dernière. Elle attendait impatiemment sa première mission.

Sept ans plus tard, Sophia cherche encore l'assassin du Miharu et elle ne trouvera pas le repos avant de l'avoir trouvé...

– A-t-il eu l'occasion de se faire des amis, des ennemis, des connaissances, de lier des relations amoureuses ?
Sophia n'avait qu'une seule et unique amie Miharu... Quand à ses ennemis, ils sont nombreux par le fait de son travail.
– Fait-il ou a-t-il fait partie d'une organisation, d'un club, ou d'un corps d'armée ?
Elle fait partie du groupe d'intervention du grand banditisme du Japon comme Sergent Major ce qui fait d'elle une sous-officiers de la police.


Autre :
Pour vous aider, vous pouvez répondre aux questions suivantes :
– Votre personnage possède-t-il des pouvoirs, des connaissances ou des compétences particulières ? Est-il sportif ?
Sportive, elle excelle dans les sports de combat et elle est très douée au tir avec armes à feu, spécialité l'arme au poing.

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