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Sujets - Violette Baudelaire

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Un battle pouvait s'annoncer difficile et on en ressort jamais vainqueur par moment, tout peut se jouer, dans le cas de Violette, elle est vraiment une trouble-fête, passant son temps a sécher les cours, elle n'en tirera rien de mieux que de glander, le lycée de Seikusu est assez grand et vaste avec un pan de structure de quatre étage, il n'y a que l'embarras du choix pour savoir ou traîner. Violette avait une sainte horreur de gratter les papiers, elle joue a ds jeux sur son tel en traînant près d'un casier, des élèves passaient en devant celle-ci en murmurant tous bas (et bien que miss Baudelaire le remarqua plusieurs fois déjà), elle ne levait pas un œil dans leur direction pour les interpeller, parce que ce sont des gens faibles et ignares, il aurait suffit qu'elle leur lance coup de pression pour les brutaliser et casser leur morale bien que franchement elle perdait son temps, elle les laissa donc courir sans suite. Tôt dans dans la matinée, elle avait voulu monter sur le toit pour se faire péter un joint mais manque de bol, il y avait une meuf qui l'a devançait et qui jouait un air solo avec une guitare de ses morts ! Il y avait très peu de fille qui pouvait avoir la "grosse tête" mais pour ce qui est d'être garçon manqué, seule miss Baudelaire peut se permettre de se la jouer comme elle veut pour l'instant, le problème et il fallait bien faire décamper cette femme de son nid. Violette commença alors a monologuer avec cette dernière mais aux premières constatation, il est clair que l'inconnue ne sembla nullement impressionner et l'ignora même royalement ! La provocation fut à sa limite, la brunette lui attrapa l'instrument et le cassa volontairement contre le sol comme le ferait un rockeur. Bien que le dénouement allait bientôt prendre fin, Violette se remémora la dernière scène, peu avant la fin de la confrontation:

J'avais eu un petit moment de répit lorsque Blondie était partit se changer, je n'avais pas trop compris pourquoi elle avait eu des vêtements de rechange, avait-elle prévu de se battre ? Ne serais-ce que j'eu repris un peu d'énergie, le problème fut qu'elle se jeta sur moi, me faisant tomber sur le ventre et frappant mon dos.

Je serra les dents et les poings de douleur, de fines larmes commencèrent à monter, mais je me devais de ne rien montrer. J'étais à la merci de mon adversaire, mon dos me faisait de plus en plus mal, ma cicatrice allait-elle s'ouvrir ? Aucune idée. Avoir eu une petite pause ne m'avait pas permis de récupérer de l'énergie.

Mes yeux commençaient à se fermer, mon corps devenait de plus en plus lourd, il ne devenait plus qu'un pantin sans vie. A ce moment la, j'étais sûre de ne pas gagner ce combat, je n'avais pas assez de force ou du moins, mon corps refusait de m'en donner.

"Alors ? C'est tout ce que t'a ?! "


En colère contre moi-même, de ma faiblesse, j'avais craché ces mots. Je respira longuement sous les coups de la blonde. Mes yeux se fermèrent doucement, ma respiration devint calme, et je sombra dans le sommeil.
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Volette la vit déclarer forfait, elle sembla présumée de ses forces puisse qu'elle s'évanouit sans tenir le coup, pour Violette ce fut une déception et elle en fut totalement dégoûtée, elle refusa de prendre cet abandon en tirant profit comme d'une victoire, une victoire facile ? Hors de question ! ça ne pouvait en être autrement cependant... Une idée lui traversa alors l'esprit, elle se mit à califourchon sur son assaillante qui paraissait endormie comme la belle au bois dormant, les seins se trouvant sous son bustier noir toucha alors la poitrine de la fille en s'écrasant sur les siennes, ses cheveux dorés et désordonnées caressa le visage de la sauvageonne, elle approcha ensuite son visage du sien et se mit à l'embrasser langoureusement en tournoyant sa langue sur celui d'elle en ondulant sa tête de léger mouvement comme si elle lui faisait un "french kiss" pendant dix bonne minute et se releva doucement d'elle avec un vilain sourire en biais du coin des lèvres.

Allez debout, gamine ! tu tiens déjà ta victoire et je ne te pardonnerais jamais si tu refuse de saisir cet ouverture que t'offre !

Elle vit alors le bout d'un bâton de bois cassé provenant du balai de la taille d'un couteau de chasse non loin d'elle, elle la saisit et le plaça sur la main droite de la fille en prenant soin de bien refermer ses doigt sur sa prise, elle resta au-dessus de son abdomen en attenant qu'elle se réveille, elle se lissa le talon gauche jusqu'au bout rond tout en caressant sa poitrine opulente à travers les rayons du soleil. Et oui c'est donnant-donnant ! malheureusement, personne ne s'accorderait une victoire facile après avoir viser un point faible si le combat n'est pas correctement terminée pour ce qui concerne l'adversaire d'Iori, elle lui donna sa chance de se rattraper elle n'avait pas intérêt à abdiquer.
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Perdu dans mon esprit, la désagréable sensation d'un baiser me fit faire une légère grimace de dégoût. C'était encore Blondie, qu'avait-elle encore ? Me voir presque abandonner le combat ne lui suffisait-il pas ? Il en fallait qu'elle en rajoute une couche ? J'en fit d'autant plus surprise par ses mots et le bout de bois qu'elle me mis entre les mains.

Bien que mon corps était engourdit, je remarqua qu'elle était toujours sur moi, qu'elle me faisait encore une fois un contact physique, chose que j'abhorrais. Je la regarda dans les yeux avant de pousser un cri de rage en lui balançant mon poing toujours fermer sur le bout de bois dans sa mâchoire. Sa tête se penchant d'un côté, j'utilisa son point d'appui maintenant sur le côté pour la renverser sur le dos.

"Espèce de petite conne, c'est la dernière fois que tu m'embrasses et me touches, c'est clair !"


Je lui asséna un second coup de poing, puis saisi le bâton fermement et l'enfonce dans l'abdomen de mon adversaire. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi elle m'avait "aidé" en quelque sorte, théoriquement elle avait gagné le combat. J'arrête de me poser des questions sur son acte, d'un geste rageur je lui pris ces cheveux et l'a tira vers la porte avant de la balancer contre celle-ci. Ma main lui pris brusquement sa mâchoire, et je la fixa d'un regard froid, neutre.

Un léger sourire apparu avant que je reprenne le bout de bois et que je le lui assène dans l'estomac de toutes mes forces qui m'étaient données pour l'instant. Mes poings suivirent, puis je me releva, le corps de Blondie gisant au sol, mon pied vint s'écraser sur son estomac avec rage une dernière fois.

"La prochaine fois, je n'aurais pas besoin que tu me réveille pour te faire bouffer le sol."




Je pris les restes de ma guitare que je posa délicatement dans sa housse, avant de me diriger vers la porte et donc de la délinquante. Ma cigarette en bouche, je prie la direction des escaliers. La sale garce m'avait amoché, vachement même. Je ne l'a regarda pas pour autant, me contentant de l'ignorer et de reprendre mon air froid. Lorsque je fus descendu, j'avisa un surveillant qu'une élève se trouvait sur le toit et qu'elle n'était pas au mieux de sa forme. D'un côté, ce combat avait été passionnant, je devais m'entraîner plus. Et m'acheter une nouvelle guitare par la même occasion.
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Violette songea un instant qu'elle avait gagner la bataille mais elle s'était réjouie un peu trop vite et apparemment l'intruse n'avait pas perdue connaissance et la pilote de ligne avait commit l'erreur de lui laisser le bout de bois dans la main car celle-ci s'en servit justement pour lui donner une méchante tape au visage, la douleur cinglante la fit déséquilibrer, elle crut voir alors durant une fraction de seconde quelque chose de blanc qui sortit presque de sa poche, c'était une carte d'identité et le nom de la joyeuse fille en question fut Sidney Crisis et vu comment elle réagi à son insu, cette garce ne fut probablement ou certainement pas le genre de fille qui accepterait de recevoir un baiser de la part d'une autre fille (ce qui explique sa réaction). La jeune femme n'en attendit pas moins d'elle et puis ce n'était pas la fin du monde si elle avait embrasser une fille en plein sur la bouche mais si elle avait un certain penchant pour l'amour d'un sexe non opposé comme le terme de lesbienne qui se désigna si bien.

"Elle mérite bien son sur nom de sauvageonne, celle-là ! vu comment elle est brutale, j'ai raison de le dire"

Violette fut terrasser et se retrouva sur le dos, la position la plus inconfortable durant une lutte, n'importe qui peut alors alors aisément prendre le dessus, ce qui revient a une position de vulnérabilité ouvert a l'ennemi ! Iori reçut un coup si terrible dans le creux ventrale que la pilote de ligne en perdit presque connaissance même que le bout de bois s'y ficha sans bouger de son abdomen vers un coté, la jeune femme plaça encore sonné par le coup plaça ses mains sur l'objet pour tenter de l'extraire doucement d'elle mais son adversaire fut plus rapide qu'elle et lui attrapa les cheveux désordonné et la fit heurter méchamment une porte, elle eut assez mal mais heureusement que le crane ne fut pas fendue sinon quoi tous l'hémoglobine aurait couler de sa blessure et elle aurait sans doute finie a l'hosto... A travers un halètement saccadée, ses yeux s'agrandirent quand elle vit que l'intruse avait saisit le bout de bois et l'enfonça une nouvelle fois dans le ventre, elle prit un malin plaisir a s'acharner sur son point faible et ce fut encore un coup de chance énorme que l'estomac de Iori n'en fut pas transpercer par le geste cruel de Sidney, elle vomit une dernière fois une belle flaque maronnasse avant que celle-ci ne devienne transparente en étant imbibé de salive et ne put s’empêcher de rire sadiquement comme si elle l'incitait à continuer.

"C'est tout ce que tu as chère amie ? visiblement tu n'a rien dans le ventre"

Les coups successifs arrivèrent comme de la pluie, Iori ne put bénéficier d'aucun répit puisque le geste interdit qu'elle avait commise ne pouvait être pardonnable alors que sa superbe mini-veste noire fut taché par la poussière du béton et son jean Bootcut cirait le sol sous les mouvement de ses jambes, elle tenta d'administrer un coup de talon Patent sur son ennemie mais Sidney colérique comme elle était la devança et dans sa hâte à vouloir répliquer une attaque, elle avait totalement oublier que le bout de bois avait laisser une belle trace stomacale (car il était encore debout), le coup de pied fut correctement centrer sur l'instrument qui s'enfonça en profondeur, voire presque à la transpercer mais non, elle n'en mourra pas mais elle fut mise totalement hors-jeu par un fulgurant "Knock Out" la jambe de la fille toucha le bout de bois qui pénétra la chair de la miss avant de toucher son estomac et de la faire s'évanouir avec un important filet de salive qui en sortit de sa bouche qui resta entrouverte, ses yeux se révulsèrent en arrière et son corps devint inerte comme un cadavre.


Violette ne s'était jamais autant amuser par le temps en générant un premier conflit personnel mais qui n'avait rien de dangereux dans ce quel venait de faire ce fut la première fois qu'elle avait déclencher une embrouille et c'était bien réussi ! La jeune pilote toussa bruyamment en clignant des yeux a cause du soleil qui commençait presque a se coucher, elle ne sut pas combien de temps elle fut rester étaler sur le sol mais la sale garce avait foutu le camp depuis belle lurette, elle se releva un peu difficilement en vomissant un peu en regardant le sol puis les alentours et parti rejoindre sa piaule sans en sortir un commentaire, il est sure que si elle devait encore croiser le chemin de Sidney , elle prendra grand plaisir à lui monter la tête car cette fille fut devenue une amie assez particulière pour elle. Un surveillant fut alors informé de l'incident ayant eut lieu sur le toit plusieurs heures, en remontant vite sur les lieux, il vit que celle que la déchet et au lieu de la conduire a l'infirmerie, il l'a souleva comme si il avait devant un cadavre de cerf et l'a laisser tomber sur un canapé en velours, il leva les mèches de la blondasse punk qui s'est teinturiser les cheveux endormie et lui cracha au visage avant de s'en éloigner, son sort est a présent entre les mains du grand chef ! Miss Baudelaire ne savait pas que le surveillant l'avait conduit directement dans le bureau du proviseur, ce dernier ne s'y trouvait pas encore mais il ne tarderait surement pas a revenir (se trouve t-il dans une salle au fond de son bureau a faire des papiers ?) et une fois qu'il aura identifier cette salope avec sa dégaine de pute, il est certain qu'il ne lui fera pas de cadeau. Aussi afin que la garce ne puisse s'échapper, le surveillant a verrouiller la porte derrière lui et maintenant la voici prise au piège ! Qui sait ce qu'il adviendra d'elle maintenant ?...

 



 

 

2
La chance sembla jouer en la faveur de miss Baudelaire, ce matin précisément elle devait avoir cours mais un professeur était absent et manqua à l'appel mais il n'était pas signalé dans le registre qu'il le serait officiellement pour cet journée, ce fut pourquoi les élèves qui avaient cours aujourd'hui préférèrent attendre mais pour pour ce qui est du cas de l'adolescente, cela lui était complètement égale, c'est vrai que ces derniers jours, elle s'assombrissait de jour un peu et se comportait comme un voyou, les raisons qui l'ont poussée a devenir ainsi fut la tragédie d'avoir perdu la famille... Certes, elle a respecter la dernière volonté de sa mère en arrivant ici mais il n'était pas dit dans son contrat qu'elle devait avoir un comportement exemplaire surtout pour une personne arrogante comme elle qui l'école buissonnière et la maison de correction. Bon, fermons la porte du passé et revenons à nos moutons, il n'y avait rien de mieux à faire pour aujourd'hui, elle sortit dans la cour et respira un bon bol d'air quand quelque chose lui vint en tête, elle décida de passer par le toit et de se laisser baigner par la chaleur vu qu'ici il n'y avait que de la pénombre.

Bon ben je vote pour le toit

La demoiselle monta directement là-haut en passant par le hall avant d'y accéder par les escaliers, c'est long et pénible, dommage que ce bâtiment n'était pas pourvue d'ascenseur, la montée n'en aurait pu être que de facilité, et une fois qu'elle aura atteinte la zone souhaitée, elle pourra se détendre en prenant une pause, de toute manière il ne devait probablement pas y avoir grand monde (a cause du soleil qui tape) pour ce jour d'été, alors c'est chouette. Moins il y a de monde et mieux elle se porte, ses yeux s'agrandirent soudainement, elle pensa ne trouver personne sur les lieux mais un gibier inconnu se trouva par ici et empiétait sur son territoire, une autre fille était là et jouait de la guitare sans public devant elle, elle n'a pas l'air hostile mais il va bien falloir la demander de partir, la cosplayeuse préféra faire résonner le son des talons de ses escarpins Patent a bout rond jusqu'à elle plutôt que de lui parler pour la faire à ses oreilles qu'il y avait une autre personne qui venait d'arriver, elle toucha son épaule avec un petit doigt.

Salut, ma chérie ! je ne voudrais pas te dérangée en plein show mais serait-il possible que tu décampe d'ici ? j'ai besoin de me détendre au soleil mais avec toi dans les parages actuellement, ça ne va pas trop le faire si tu vois ce que je veux dire

Violette n'attendit qu'une réponse qui pourra clore le topic sans réaction négative et avec un peu de chance, tout devrait bien se passer et la demoiselle ne devrait pas être trop longue à donner une réponse convenable.

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Un moment paisible, calme, magique..... Évanouit en un claquement de doigt. Enfin plutôt par un claquement irritant de talon. Pourtant je continuais de jouer, espérant que la personne irait plus loin, ou même se casserai du toit. Mais non, la détentrice de ces talons la toucha, chose que je n'aimais pas.

Salut, ma chérie ! je ne voudrais pas te dérangée en plein show mais serait-il possible que tu décampe d'ici ? j'ai besoin de me détendre au soleil mais avec toi dans les parages actuellement, ça ne va pas trop le faire si tu vois ce que je veux dire


Ce genre de personne pour moi ne mérite même pas un regard. Pour qui se prenait-elle au juste ? Je m'étais arrêtée de jouer, et la regarda du coin de l'œil, le regard las.

"Le toit est assez grand pour nous deux."

Je soupira doucement, je fis quelques accords avant de l'allumer une cigarette et de fermer les yeux. Je ne supportais pas les personnes qui commençaient par les "chérie", les "poupées", les "ma jolie". Alors pourquoi cette pimbêche se permettait-elle de me parler ainsi ?

Ne pouvait-on pas être un peu tranquille ? Au lieu d'être une matinée calme, cela allait se finir en une putain de matinée . Mieux valait qu'elle aille plus loin, je n'avais pas l'intention d'aller autre part.

"Va plus loin si tu veux être seule. Je ne bougerai pas d'ici je te le dis direct..... Et évite les "chérie", tu n'es pas à mon goût, je préfère les hommes."


Si j'aurais été seule je me serais tapée la main contre mon front. Mais qu'est ce qu'il m'a pris de lui dire ça ? C'était complètement stupide et non fondé. Enfin, après ce n'était pas péjoratif, c'était juste à titre d'indication.

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Cet fille avait du répondant, elle été "cash" mais ce n'était pas suffisant pour dissuader la fille et cela ne l'a aucunement impressionnée, quoique il est vrai que le toit était gras et spacieux pouvant au moins accueillir une quinzaine voire une vingtaine d'élève mais là n'était pas la question, le véritable but de sa motivation fut de se forger une réputation et pour cela, il fallait quelle qu'elle se fasse craindre et respecté, elle n'avait pas la carrure ni l'étoffe pour y parvenir pour l'instant mais tout n'est que question de temps, ça allait être dure il faut de la ténacité parfois. Elle ne savait même pas qui était cet fille, ni dans quelle classe elle appartenait mais peu importe, pour sa sécurité elle n'avait pas intérêt à la soûler, déjà quelle n'avait pas peur des hommes et ce n'est pas des filles aux allures de garçon manqué qui allait dicter sa conduite. Quoiqu'il en soit, ce n'est pas parce qu'elle a réagi de cet manière que Violette lui obéirait docilement, elle garda les mains sur ses hanches en la fusillant du regard.

Désolée mon minou. Je t'appelle comme je veux, ok ? ça ne fera aucune différence. Et qu'est-ce que peut te faire que je ne t'attire pas, j'en rien à cirer et si toi c'est pas le cas de tes goûts relationnel, laisse-moi te dire que si je devais jouée dans le gout sexuelle avec les hommes et les femmes, cela me conviendrait amplement et toi, t'est en en-dessous de ma botte et tu ne m'atteint pas. et puis, merde. Tu va me casser les oreilles avec ton chant à l'eau de rose.


Violette arracha la guitare des mains et la balança de l'autre coté du toit, un étrange bruit s'ensuivi comme si l'instrument de musique aurait heurter une surface dure et qu'elle a fissuré, bah que lui importe, ça ne changeait rien à l'affaire puisque maintenant les dé sont jetés et que peut-être toutes deux allaient passer aux choses sérieuses.

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Hautaine... La voilà qui se croyais au dessus de moi. Et pourquoi ? Pour que dalle en réalité.

"Moi mon truc c'est de faire ça, tout le monde ne joue pas les gros dure tu sais."

Blanc..... Un blanc.... Un temps d'arrêt... Ma guitare. Mon cadeau. Comment avait-elle osé... Cette pimbêche blonde avait balancé ma guitare comme on se débarrasse d'un vieux mouchoir dégueulasse. Je pouvais encaisser beaucoup de chose, j'avais une grande patience pour ce genre de personne, mais là.... Mon sang ne fit qu'un tour. Je me releva doucement, bien que la blondasse faisait deux têtes de plus que moi, je n'avais pas peur d'elle, loin de la. Maintenant face à elle, je l'a regarda dans les yeux froidement, ma cigarette toujours entrain de se consumer lentement.

"Ce n'est pas parce que tu te crois plus forte que les autres que ça te donne le droit de nous traiter comme de la merde. T'es pas la reine, ni une personne influente ici, alors redescend un peu. Tu ne fais peur à personne...."


Ma cigarette fini je soupira avant de la regarder à nouveau dans les yeux. Le bleu de ses prunelles contre le gris des miens. L'eau contre l'acier, ma patience prenait fin. Mais j'avais arrêtais les conneries, finis les drogues, finis les problèmes et les bagarres. Je ne devais pas perdre le peu de sang froid que j'avais. Sinon cela allait se retourner contre moi.

"....Au contraire tu attises leur pitié."


Bon... Là j'avais fais une bourde, je le sais. C'était venu tout seul, comme ça, tout simplement et sans intonation particulière. Bien qu'au fond de moi je commençais à perdre patiente.


"Ramasse ma guitare, et on en reste là."


C'était direct, froid, et sans appel.

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En avait-elle trop fait ou sinon cette fille d'apparence frêle serait plus forte qu'elle ?... Il ne vaudrait pas mieux lui chercher des crosses surtout qu'elle ne possède pas d'objet pour se défendre, en revanche l'autre idiote peut très bien se servir des débris de son instrument musical pour lui rayer le visage ou pire que ça, qui sait ?... Elle ravala péniblement sa fierté et partit récupérer les restes de la guitare et l'a lui tendit sans mot dire, elle fuya son regard et ne préféra pas le croiser (par mesure de précaution ?). Elle s'attendit probablement à recevoir une méchante tape au visage mais il ne se passa rien, elle entendit seulement des bruits de pas s'éloigner du toit et la claquement sec d'une porte se refermer après un passage. Il s'en est fallu de peu et personne ne peut prévoir ce qui peut arriver si jamais on tombe sur plus fort que soi... La jeune femme sortit alors une clope de sa poche, se posa sur une marche d'escalier le regard perdue dans le vide et en alluma une clope en inspirant une bouffée d'air avant de l'éjecter oralement.

3
Le lycée de Seikusu est une bonne école pour pas mal de gens mais le pire de tous ça, c'est que le logement dans laquelle y résidait la jeune fille chez ses parents adoptifs se trouvait à coté de l'école en question donc pas besoin d'alarme pour l'éveiller puisque la sonnerie résonna comme une cloche à ses oreilles, bien qu'elle ne calcula pas ses proches provisoire, le chef de famille l'avait inscrite dans l'établissement dé Seikusu et elle devait faire ses débuts de nouvelle élève aujourd'hui. La jeune fille grogna pour elle-même et s'entreprit d'aller se lever et se changer, elle avait la flemme de porter l'uniforme scolaire mais le port de cette tenue est obligatoire et fait parti intégrante dans le règlement. Bien que pour son âge, elle devrait se trouver avec les quatrième ou troisième année mais comme ses résultats en cours ne fut pas des excellentes, le conseil de classe a juger bon de la faire redoubler malgré son age de grande. Comme à son habitude, elle prit toujours sa besace qu'elle garda en bandoulière au lieu de se contenter d'un cartable qui ne devait normalement contenir que des cahiers, d'une trousse et de son plateau-repas mais non, c'est uniquement ses fringues de rechanges à la place de plus son uniforme la serre un peu et lui bloque les bras si bien qu'elle ne peut pas se mouvoir pleinement. Enfin bref qu'importe ! La jeune femme jeta un œil dans son emploi du temps au dos de son carnet de correspondance et vit qu'elle avait E.P.S, au moins, elle n'allait pas s'ennuyer, les mecs pervers avait souvent ce genre de pensés dans l'attente que les filles se change pour se rincer l’œil dans les vestiaires mais flashait notamment sur la russe mais miss Baudelaire avait toujours de l'avance sur eux et avait déjà tout porter sur elle en partant de chez elle. Le prof bien carré leur annonça qu'aujourd'hui, ils allaient devoir sprinter en faisant travailler leurs jambes dans une course à pied, malheureusement dans le groupe féminin, les filles ne figurait pas tellement dans la liste des sportives et vu leur niveau, elle sont là pour ne pas figurer dans la listes des absentes ou sinon elles employaient la tactique habituelle avec un mot de l'infirmerie qui leur prétexta qu'elle ne pouvait pas participer, ainsi elles évitaient de se fatiguer et pouvait rester tranquillement sur le banc de touche.

"Enlevons vite ce tas de chiffon coloré et préparons-nous a frotter le sable "

Elle faisait allusion à sa tenue d'écolière, alors qu'elle se déboutonna haut blanc avec le col bleu, elle crut sentir un parfum pas loin de son périmètre, elle ne s'était pas parfumer en venant ici et se dit que ça devait être une des filles du cours qui sentait la rose, elle s'en ficha et tout en nouant les cheveux, elle crut voir une fille aux cheveux de feu... Non, le soleil l'avait éblouie et sur une couleur blonde qui bougea en ondulant, elle aperçu une fille qui se prépara elle aussi pour la course de la matinée en s'échauffant, c'est qui elle ? Comment Violette le saurait ? (vu qu'elle ne savait même  pas combien d'élève déjà comptait l'établissement de Seikusu), elle ne lui adressa pas encore la parole ni cherchant a lui faire signe pour attirer son attention mais se contenta seulement de l'observer en silence après avoir fini de nouer son élastique sur la tête pour former une queue de cheval. Elle ne savait pas si elle était aussi meilleur qu'elle mais la garce de cité en avait du gallon dans les jambes, pour peu qu'on la prendrait comme un cheval si elle devait courir que sur une ligne droite mais qu'en est-il des capacités de sa voisine ? Est-elle forte ou l'adolescente ne lui viendrait pas a la cheville ? Chose qui ne tarderait pas a s'affirmer tout à l'heure.

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Le quartier de la Toussaint, quel drôle de nom étrangère dans un pays ou vivent les bridés, enfin ça change bien de l'environnement sociale épuisant ou sévissent les bourgeois et les innocents qui respectent la Loi mais cet univers a Toussaint et l'ambiance sinistre qui y règne convient parfaitement pour la métisse au sang mêlée, vu que c'est la première fois qu'elle y foulait le sol de ses bottes mais se trouver un refuge en moins d'une journée n'est pas chose facile et encore moins accueillie avec la racaille et les bandes rivaux qui l'en peuplait quand il verrait une blanche venir dans ce coin interdit de la ville. Bon bref ! La garce ne s'est pas rendue par ici pour se balader dans ce trou paumé comme une touriste mais afin de préparer un grand coup et le but de sa quête fut d'entrer dans la cour des grands en volant une bagnole ! Bien qu'elle n'a pas obtenue son permis via une auto-école (d'ailleurs, elle ne s'est jamais inscrite), ça ne devrait pas être compliquer non plus pour conduire une voiture. Miss Baudelaire fut arriver a bon port en fraudant dans un bus, elle avait prit avec elle un sac de transport qui est enfaîte une espèce de besace qu'elle porte en bandoulière, il ne contient bien sure aucun objet de valeur, juste l'essentiel de ce qu'elle a besoin autrement dit le parfait accoutrement de la voleuse à la tire pour se mêler à la masse, quand on commet un forfait, il faut passer incognito après tout... Violette avait ouïe dire que les bandits particuliers (ou voleurs expérimenté) qui exerçait le plus beau métier qu'était le vol se passait généralement à la nuit tombée et quand ils étaient fixé sur un objectif, il fallait faire vite et discrètement avant de détaler du lieu du crime. La jeune fille n'était encore que débutante dans le milieu mais elle apprend vite, par contre, tenter de voler une caisse de luxe peut rapporter gros dans la revente mais c'est chaud de réussir la manœuvre sans équipement manuel et de contacts et c'est pourquoi la meuf de cité se focalisait sur de vieux coucous genre par exemple une Renault 5 GTR couleur beige, un ancien modèle qui doit surement dater des années 90' !



La jeune femme n'avait pas traîner à coté du véhicule mais ne l'avait pas pour autant perdue de vue, et c'est pourquoi tout en prenant un café et avoir fait semblant de faire la causette avec des voyous nippon en costard (probablement des hommes de mains de yakusa de quartier) bien qu'elle avait du mal a parler correctement sa langue maternelle, elle fut surtout chanceuse que ces types qui la draguait de près savait causer en anglais. Ils voulurent s'échanger leurs numéros respectifs pour se revoir un jour prochain lorsque l'un d'eux aurait un moment de libre mais c'est peine perdue car elle n'avait pas de portable sur elle, elle vit que le deuxième type avait arquer un sourcil (genre il commençait a se douter quoi) mais elle le rectifia qu'elle sauterait en fin de journée dans une boutique de téléphonie et qu'elle se procurerait un cellulaire, sur ces paroles les hommes sortirent du café en remettant leur lunette de soleil avec un sourire plein d'espoir. La jeune femme grimaça de dégoût en fanant les bouts de papier et en sortant, elle les mit à la poubelle. La lune ne tarda pas a se montrer et qui s'accompagna de la nuit, la fille avait élue temporairement domicile dans un hôtel bas de gamme pour approximativement deux jours, correspondant à la durée courte de son action pour embarquer la bagnole et voir si elle est vraiment faite pour ce métier... Résident dans le rez-de-chaussée, elle pouvait facilement sortir par la fenêtre qui donnait dans la rue d'en face là ou était garé son objectif qui n'avait guère bouger de son parking, elle ne comptait pas porter de fringue tape-à-l’œil mais voulu tester la mode Tomb Raider en se regardant dans le miroir, sweat-shirt gris à capuche surmontée d'une écharpe autour du cou avec un petit haut noir en tissu et plusieurs harnais la ceinturant le haut-du-corps et bien au niveau de sa poitrine, queue de cheval pour ne pas se masquer la vue, pantalon en jean de type "bootcut" avec les bottes à talons argentés assortie en claquant le sol et petite brassière sombre ajustés aux mains, elle était prête !

"Ma chérie, ce soir tu sera Lara Croft !"

Violette jeta un œil à la pendule qui afficha une heure quinze du matin, malgré la soirée tardive et la nuit qui porte conseille, elle ne sentait pas la fatigue et semblait en pleine forme comme un bébé ! Elle s'étira en prenant soin de fermer la porte de sa chambre avant de partir et sortit de la pièce en ouvrant la fenêtre délicatement, une fois dehors, elle prit la direction de l'autre parking qui se situait dans la rue d'en face et se posta de l'autre coté de la voiture, elle regarda en tout sens en espérant ne pas se faire prendre, elle remarqua une espèce d'allée noire derrière elle, intriguée, elle voulu y jeter un coup d'oeil mais constatant que c'était qu'enfaite qu'une ruelle débouchant sur un cul-de-sac avec pour seul objet des bennes a ordure et de grosse corbeille à poubelle avec des couvercles en plastique d'ou s'échappa une odeur nauséabonde qui ferait gerber rien qu'en l'inhalant, elle revint sur ses pas et entreprit de faire glisser une tige mince sur le rebord de la portière entre le caoutchouc pour actionner un petit bout de métal qui est supposer faire levier sur la pièce afin que la portière droite s'ouvre à travers ce silence macabre.

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Quel bled pourrit que peut représenter le retour de la miss dans sa terre natale, elle n'avait pas prévue de revenir au Nippon et pourtant, elle y fut contrainte par ces nazes de parents adoptive qui s'étaient bien payer sa tête, et en prime, elle a perdue son passeport pour un départ éventuel dans les prochains jours en Europe et sans ça, elle était condamnée a errer sur le territoire japonais et comment pouvoir se débrouiller si l'on avait pas la notion linguistique du pays dans la bouche ? (a moins de savoir parler le japonais, oui il y aurait des chances) et n'étant pas méga douée en anglais, elle était paumée et ne savait plus quoi faire... Comme quoi les études aurait pu lui servir mais n'aimant pas l'école, ce n'est pas la peine d'insister. Elle pouvait aisément se faire passer pour une touriste mais ne possédant pas grand chose en bagages si ce n'est qu'une valise et d'une besace XXL quelle garde en bandoulière avec comme seule effet personnel, ses fringues perso et ses cuissardes en cuir et escarpins Patent. La jeune femme n'avait malheureusement pas la même couleur de peau que semblables, ni les yeux bridée mais elle avait bien du sang japonais qui coule dans ses veines, il serait plus aisé de penser que ses vieux adoptif aura dûment remplie la fiche d'état civile et après s'être arranger avec l'état grâce a des connaissances qui bossent dans les mairies communaux, il serait simple pour eux d'effacer le nom de la petiote de la famille parmi laquelle, elle avait toujours parue a leurs yeux comme une étrangère (en un mot, elle est devenue orpheline pour de bon, quoi)...   

Bref ! Pas le temps de traîner en parole anxieuse et go explorer un peu le terrain, le monde paraissait vraiment différent qu'en France ! La plupart des collégiennes et lycéenne (tout comme la gente masculine) ne cessait de la reluquer en passant et en se murmurant des trucs louche entre eux. Elle n'est pas une alien ou un animal en liberté, purée ! Et c'est comme si elle était raciste non plus mais sauf que la façon dont les gens la voyait commença a l'agacer hautement. Elle continua son chemin et un marchant qui vendait des aliments glacés et c'est exactement ce qu'il lui fallait pour surmonter la chaleur infernale du soleil qui la tapait sur le système, elle sortit alors une pièce de deux euros de sa poche, ne possédant pas de "yens", elle crut que le commerçant allait lui refuser mais bien au contraire, il en fut ravi et lui remit un mister Freeze gout cola. Alors qu'elle se trimbalait son matos en claquant du talon de ses cuissardes, tout en essayant de mordiller le bout transparent de sa "sucette" glacé, elle vit son reflet de blondasse dans une vitrine. Bien que la coloration de ses cheveux n'était qu'une teinture et quelle est châtaine d'origine, elle comprit pourquoi les passant la matait , c'est juste a cause de sa tenue vestimentaire, pour la miss, elle ne voyait rien de troublant mais pour les autres, ils la voyait comme une pute... Y en avait marre de ces conneries ! Violette tira sa valise sur roulette et marcha d'un pas décidé vers un genre de parc et quitta les chemin de promenade pour s'aventurer vers l'extrémité d'un lac dont la limite des pavés se limitèrent par un ponton de bois munis d'une barrière de sécurité qui la séparait des embarcations en bois et barque amarré sur la rive, elle poussa un soupir et se posa sur un banc avec ses affaires sur la planche de bois et fixa le lac avec les canards qui bouffait des mie de pain flottant a la surface, lancer par les promeneurs et les cygnes qui nageait majestueusement et avec grâce sur le lac, le regard perdue dans la vague.

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Identité : Violette Baudelaire









Âge : 18 ans
Sexe : Femelle
Race : Humanité
Sexualité : Bibisexuelle

Physique : Violette serait une femme d'apparence admirable si elle avait pu faire un effort en soignant sa tenue en devenant modèle ou dans le domaine du mannequinat, mais malheureusement ça ne sera jamais le cas puisqu'elle s'habille habituellement comme un garçon. C'est une fille assez grande, mais ce n'est pas une sportive de haut niveau (voire athlète), elle a visage ovale avec des yeux d'un bleu profond, une chevelure châtaine mi-longue (quelle teint souvent en blond ou en y ajoutant de la coloration si ça lui chante) lui descendant sur le dos et elle les laisses comme elle sont car n'ayant pas de style de coiffure en particulier, cela ne lui posait pas problème, elle a une silhouette plutôt fine, mais n'est pas "maigrichonne" pour autant ! D'une poitrine pas volumineuse mais peu grosse de visuel qui donnerait vers un "Bonnet C". Elle mesure près d'un mètre soixante-treize pour peser soixante kilos seulement, elle n'a jamais voulu devenir ronde et obèse malgré quel aime manger en général, mais comme elle voulait être forte, elle a bu plein de lait et seul ses seins ont légèrement prit du galon. Pour ce qui compose sa garde-robe, dans sa jeunesse, elle pouvait être variée, mais elle a décidé de corriger ça suite à un incident par le passé... Il est vrai que les filles aiment se sentir plus féminine et belle d'apparence mais c'est justement un défaut une fois en extérieur et surtout avec les hommes, les types que peuvent être les voyeurs ou pervers en tous genre s'amusèrent souvent à la mater, comme par exemple en prenant le train et comme eux restaient assis et que le wagon était bondé par les voyageurs, ils pouvaient être faciles pour eux de mater les parties sensibles du bas-du-corps de la femme comme leur culotte sous les jupes/robes et de prendre des photos et depuis ce regrettable incident, elle a décidé de changer sa tenue vestimentaire.

Cependant quand elle doit se battre contre des types véreux (ou les racailles qui joue les machos), elle porte un justaucorps opaque avec des brassières noirs surmonté d'une mini-veste en jean avec un genre de collant grésillé sur des cuissardes plateforme coréenne. Elle peut afficher un style punk quand elle s'adonne à la drogue mais ça dépend de son humeur de toxico ou avoir un look fille de banlieue quand elle doit se défiler en passant devant des gars afin de les faire baver.

Pour le coup, elle ne porte quasiment que des vestes ou mini-blouson de cuir noir façon rebelle sous un top ou t-shirt sombre, et de pantalon évasé de type "Bootcut" (dont elle raffole) comme les jeans a patte d’éléphant avec des escarpins Patent a bout rond bien noir ou encore à la mode des années soixante-dix avec les pantalons en mode "Flare" qui sonnait rétro, mais couramment porté à l'époque disco, ou encore d'un ensemble unique qui est un vêtement une-pièce qui commence par un t-shirt qui maintiens sa poitrine fermée par une braguette en son centre, une couleur naturelle presque ébène avec des manches courtes au niveau de l'avant-bras alors que le reste du textile se prolonge jusqu'au bas-du-corps par-dessous les bottes plateforme chausser sur ses pieds dont sa pointure est le 40. Elle l'accompagne souvent d'un petit foulard au cou ou qu'elle noue sur sa tête comme avec un "Head-band" en attachant ses cheveux avec des lunettes de soleil. Elle ne porte pas vraiment de bijoux, mais se contente de soit d'un bracelet et d'un simple collier fantaisie avec des lunettes de soleil orange.



Caractère : Violette n'est pas une fille ordinaire, elle se moque du système social et la Loi, elle la bafoue ou s'assoit dessus. Si elle faisait un minimum d'effort dans la vie de tous les jours (ou dans son quotidien), elle s'en verrait améliorer en apportant du changement, mais non, sa personnalité est unique, elle n'a aucune retenue ni de discrétion et n'hésite pas à dire ce quelle pense, et parfois même dans son délire de maniaque, elle prend toujours de haut les personnes qui l'entoure, ce n'est pas qu'elle aime rester seule (où à s'isoler dans la solitude avec les ados) mais disons là ou elle passe, elle sème le trouble et la zizanie auprès des jeunes d'un chouia près dans son âge (jeunes de 17 à 19 ans), et pour y parvenir, rien de plus simple, elle fait propager des rumeurs fausse à propos d'une personne qui peut être n'importe qui (ou elle s'adresse directement à l'intéresser) et lui conte des conneries en se montrant persuasif et en insistant sur les détails, résultat des courses quand il y a une baston ou une embrouille, elle ne peut que se réjouir et s'exciter de voir pareil scène de conflit.

Vous l'avez deviné ? Une vie paisible et calme l'ennuie à mort ! D’où le fait quelle s'arrange pour déclencher elle-même des hostilités et histoire en tout genre basé sur la violence qui peut la rassasier pleinement. Elle a pour habitude de se faire craindre et de se faire respecter par la domination et la force, bien sûr ça ne marche pas à tous les coups avec tout le monde et ne baisse jamais les yeux devant un bonhomme, quitte a ce que soit l'effet l'inverse de son attitude joué par son adversaire et de se prendre des coups-de-poing stomacaux en se pliant de douleur et gerber sur le bas des manches de son pantalon "Bootcut" et sur ses bottes plateforme, elle continuera de faire un vilain sourire en encaissant les coups au ventre de son mieux au fur et a mesure de la provocation incessante et c'est là qu'une ouverture se formera quand son opposant est vidé de son énergie par la fatigue et elle inflige un solide coup de talon dans le service trois pièce de ce dernier. Parfois quand elle n'est pas plonger dans son délire sarcastique, il lui arrive de retrouver le sourire a l'abri du monde en s'endossant d'une panoplie d’héroïne sauveuse du monde a ses heures perdues dans sa chambre.

Miss Baudelaire se fiche éperdument de ce qu'elle apporte autour d'elle et de l'avis des autres, si elle n'a pas d'ami(e)s, ce n'est rien et la vie continue ! Pourquoi ne pas faire endurer ce calvaire dans sa nouvelle demeure que sera la pension ou le campus avec les autres élèves ? Ce qui restera à voir, bien entendue.


Histoire : Miss Baudelaire vit le jour au pays du soleil levant au sein d'une famille ordinaire mais avant de relater sa vie, il vaux faire un bond dans le passé soit vingt-ans en arrière d'ou l'histoire se passe vers la fin des années quatre-vingt-dix. Nous sommes en 1994, le pays prospérait avec son tourisme et les étrangers amoureux du pays comme pour leur bazar de babiole technologique en tous genre ou pour leur patrimoine culturel et traditionnel. Ce jour-là, un homme russe du nom de Sergei Dragunov qui était alors photographe pour un magasine de culture avait fait escale au Nippon, son rédacteur en chef l'avait envoyer sur place afin de pécher des news sur ces fameuses demoiselles qui portait des panoplies de héroïnes fictive et c'est en prenant des photos d'une de ces modèles qu'il fit la connaissance d'une femme du nom de Nami Tamaki habillée en "Race Queen", et il apprit que la jeune femme ne faisait pas ce job par passion ou par plaisir, elle essayait de réunir du fric pour pouvoir se tirer de ce pays et partir en Europe ou en Amérique, elle était diplômée d'un B.E.P en commerciale, mais elle n'a pas réussi à trouver de job dans les affaires du monde sociale parce que les patrons ne recrutaient que des hommes pour ce genre de poste, et ayant un loyer a rendre, elle n'eut que le choix que de s'intégrer a contre-cœur. Le jeune homme avait tisser un étroit lien d'amitié avec la dame et puis un beau jour, ils ont décider de construire une vie ensemble et fonder une famille et se marièrent deux ans plus tard, le jeune couple avait alors décider de s'installer au Japon et lui promit que tout deux n'auront jamais aucun souci financier et coulèrent des jours heureux.

L'an suivant naquit une fille qui combla les parents de joie, mais ce fut aussi là, le premier problème qui a germé à partir de rien, juste pour un simple prénom... La mère voulait lui donner un prénom de son origine, mais le mari fut contre cet avis et proposa plutôt de l'appeler par un prénom féminin occidental. Les parents eurent alors une longue conversation qui vira à la dispute, mais comme elle constata que son mari devenait rouge de colère et peut-être qu'il l'aurait involontairement levé la main contre son insu, abdiqua et laissa son époux baptiser leur fille qui se nommera finalement Violette.


Les cinq années se succéderont par la suite, mais sans aucune amélioration quelconque au sein de la petite famille, les tensions s’accroît a partir de rien alors qu'encore avant la naissance de leur gamine, cela n'avait jamais exister, le couple se demanda si par hasard l'origine de ce conflit ne pouvait qu'être du à l'arrivée de cette enfant et si il ne fallait pas s'en débarrasser... Cela était complètement stupide ! Bref, un jour d'été comme un autre, la famille avait prévu de faire une ballade au parc de la commune, ils s'étaient dits que leur progéniture s'amuserait bien et aura l'esprit détendue en l'absence de conflit et que peut-être par le biais de cette action, le couple pourrait se remettre l'un et l'autre en confiance et cesser leur jérémiade de tous les jours, mais le destin décida les choses autrement, car "Death" alias le Faucheur de l'ombre n'était pas loin. La famille se trouvait malheureusement sur un passage piéton et n'avait pas fait attention au feu vert qui annonçait le passage des véhicules, alors que les parents étaient en train de débattre sur leur queue de cerise habituelle, la petiote avait aperçu un papillon et en laissant tomber sa poupée pour aller essayer d'attraper l'insecte volant, le bruit des moteurs de camions rugirent en roulant, la mère de famille ayant remarqué la main vide et que l'enfant ne l'a tenait plus en main fut prise de panique en la voyant sur la route alors que les voitures se trouvaient à moins de dix mètres de la gosse (bien que quelques automobilistes eussent freiné leur véhicule à l'avance, mais ceux qui se trouvaient devant eux n'avait pas eut le temps) et c'est dans la précipitation que les parents se ruèrent pour attraper leur enfant et le lancer directement sur le trottoir, l'enfant fut blessé à la tête du choc qui l'avait heurté due au frottement sur le sol, mais son père et sa mère eurent moins de chance et décédèrent sur le coup après avoir un poussé un cri douloureux puis le silence.

Dix ans après le drame, l'enfant fut placer en famille d’accueil et transférer en France afin quelle poursuive sa scolarité et qu'elle apprenne à communiquer en langue étrangère (le français notamment) car le tribunal a jugé mieux qu'elle ne grandisse pas dans le pays ou elle a vu ses proches mourir sous ses yeux (de crainte, qu'elle ne devienne dépressive et se décide à mettre fin à ses jours...) par les assistants sociaux et avait du passé de famille en famille du fait de son instabilité et de son comportement qui ne faisait pas bonne figure, les tuteurs se plaignaient sans cesse qu'il n'y avait absolument aucune chance que cette fille ne parvienne a s'intégrer dans le monde sociale et se faire des amis en plus de vivre une vie normale (ce qui apparemment est bien trop demander pour elle), elle aimait bien faire régner la terreur en s'en prenant a plus petit quelle et, si jamais l'un d'eux qui tentait de se rebeller de ou la désobéir, elle leur en faisait voir de toutes les couleurs, malgré que la plupart des parents adoptifs quelle a rencontrer au cours de sa vie avait une grosse envie de lui coller une tarte pour son attitude et son manque de respect mais ils ne pouvait rien faire (sinon, ils seraient puni par la Loi) si ce n'est que céder a ses caprices. (sinon, ils seraient punis par la Loi)si ce n'est que céder a ses caprices.

Les familles d’accueil n'avait hâte que d'une seule chose, c'est qu'elle foute le camp au plus vite. La jeune fille alors âgée d'une quinzaine d'années fut placée provisoirement dans un foyer masculin (faute d’indisponibilité de son assistante sociale par manque de temps pour son suivi de dossier), elle ne fut pas étonnée de savoir qu'il n'y avait pas d'autres filles dans la structure, mais ça elle s'en ficha, car désormais, elle pensa qu'elle pourra s'amuser avec les gars qui se prenaient pour des machos de ce foyer.(comme l'extinction des feux en chambre et l'heure du couvre-feu ou ne rentrant pas à l'heure, etc) Les éducateurs firent de leur mieux pour ne pas se laisser, emporter et garder un "self-contrôle" avec une bonne maîtrise de soi mais ce n'était pas évident...


Dans sa, dix septièmes année d'anniversaire (peu avant sa majorité), la jeune femme avait grandi et gagné et beauté comme en charme et pas mal de gars avec qui elle a eut une mauvaise entente tentèrent de la séduire mais c'était peine perdue, toute les demandes quelle recevait par lettre dans son casier et bien, elle les foutait à la poubelle. Un beau matin alors quelle fume une cigarette derrière la cour, elle se surprit à entendre une infos confidentiel entre des mecs de son hall (voisins de chambre de même étage) et apparemment le leader d'une bande de racaille au sein même du foyer (et celui qui avait aussi tenter de sortir avec elle et qui s'est fait rejeter comme un malpropre quand il s'est vu décliner sa proposition) aurait reçu une belle somme d'argent de son dernier travail et son chèque est arriver et ce fut un de ses amis qui est parti le chercher et de le remettre à l’intéressé, et le montent estimé d'après les dires serait de deux-mille euros !

Une petite somme rondelette pour une seule soirée, mais une incroyable aubaine pour la miss si elle disposait de cet argent durement acquis par un autre, alors qu'elle restait dans son délire imaginaire à se voir faire du shopping et dévaliser les magasins avec le pognon, elle entendit que le gaillard était supposé rentrer en fin d'après-midi de sa sortie, la jeune femme eut alors une sombre idée et s’éclipsa avant de se faire repérer et s'enferma dans sa piaule pour le reste de la journée en guettant par le trou de la serrure la porte d'en face (qui est la chambre du propriétaire du chèque) et elle avait planifier un plan infaillible digne des films de cambriolage...

Vous l'aurez deviné, elle compte voler le chèque à la nuit tombée (voire tardive) mais il était hors de question de se faire remarquer avec les couleurs criardes de ses fringues et quand une voleuse passe a l'action dans la nuit, il doit se fondre dans son élément en étant invisible, elle s'habilla instantanément en noir et elle avait justement ce qu'il lui faut,une combinaison-pantalon "Bootcut" en cuir et des bottes plateforme à talon aiguille de quinze centimètres opaque avec des brassières ajustés sombre quelle porta avec des lunettes de soleil et un masque noir sur la bouche pour agir dans la plus grande discrétion !   

La jeune voleuse ouvrit doucement la porte et marcha chez son voisin comme un chat et comme les portes n'était jamais verrouillés, n'importe qui pouvait accéder facilement (pour rappel, il n'y a jamais eut de cambriolage dans le foyer), la jeune fille ouvrit la porte discrètement et avait prit soin de retirer l'ampoule au passage et le poser sur un étagère comme ça aucun risque de se faire prendre, elle se servit de sa mini-lampe torche et pensa subtiliser enveloppe qui est supposer se trouver sur la table ou sur la surface de la commode, mais elle ne trouva rien... Elle entendit le ronflement et se tourna vers le gus qui ronfla et vit un bord de l'enveloppe froissé qui dépassa de sous son oreiller du côté droit, elle ne s'attendit pas a ce que la situation paraisse aussi compliquée et songea à faire demi-tour, mais étant arrivé jusqu'au bout, autant finir la besogne. La jeune femme ne s'avoua pas vaincu et comme il était encore que deux heures et demi du matin passé, il fallait faire vite avant qu'un éducateur fasse une ronde et quelle se fasse attraper...

Violette n'eut pas le temps d'agir en finesse et tenta le tout pour le tout, alors qu'elle se pencha rapidement, elle ne remarqua pas que sa poitrine opulente chatouilla le nez de l'endormi alors qu'elle tendit pour tirer l'enveloppe, le gus s'éveilla immédiatement et crut voir une ombre bouger furtivement et il eut juste le temps d'agripper le poignet fermement, miss Baudelaire qui n'avait pas prévu cette ouverture tenta de retirer sa main, mais elle fut bloquée alors que l'individu sortit précipitamment du lit. Vu que le gars exerçait de la lutte, il savait ce qu'il devait faire, il vint se placer derrière la jeune femme et bloqua ses bras en ceinturant le corps de la métisse avec les siens et pratiqua un "Reverse Bearhug", ce qui avait pour but de bloquer l'arrivée d'air au poumon de l'intrus et de l'empêcher de respirer, la jeune femme qui ne s'attendit pas a un retournement de situation et tout en peinant a respirer de l'oxygène, elle s'agita nerveusement en tout sens comme un cafard, son assaillant descendit ses bras musclés sur son ventre et accentua la pression ventrale jusqu'à ce quelle n'en puisse plus. Violette vomit sans aucune hésitation tellement elle se sentit bien

(...)
     
Violette était paré à toute éventualité et pour le moment, son voisin ne l'avait pas encore identifié (vu que la scène se passait dans le noir) mais elle devait rapidement lui échapper sinon ça craint et comme son agresseur ne pouvait l'identifier (par le fait que la scène de lutte se passait dans le noir total et que l'idiot ait pu la surprendre dans la pénombre), elle avait encore une chance de s'en sortir, mais pour le moment, il fallait qu'elle se tire d'affaire. Facile a dire qu'à faire, car le vilain matou tenait bon ! Le gus n'avait pas imaginé qu'il tomberait sur Violette mais il avait parfaitement joué le jeu de celui qui ne savait rien du visiteur nocturne et encore moins qu'il aurait cette excentrique un jour dans les bras, mais maintenant que c'est le cas alors autant pour lui d'en profiter pour lui rendre la monnaie de sa pièce pour les vacheries et humiliation quelle a pu lui faire subir depuis son arrivée. Le garçon était un lutteur (pas professionnel) mais il allait enfin lui faire mordre la poussière et pour s'y faire, il fit exprès de la mettre en déroute en changeant de position avec un des bras qui monta sur la poitrine de celle-ci tout en lui pétrissant un sein par-dessus le cuir.

La jeune femme fut surprise par la gêne avant de rougir en secouant la tête, jamais elle ne parut se sentir si bien que maintenant, mais elle se ressaisit, le type la malmenait et elle fut incapable de réagir pendant une bonne minute. En plus de ça la chaleur torride qui régna dans cette pièce en cette saison n'arrangeait rien, même que ses vêtements de cuir devinrent moites et collèrent à sa peau, gonflée par la sueur, la jeune femme n'opposa aucune résistance vue que son assaillant était plus fort qu'elle et elle fut épuisée physiquement, le macho ne s'attendant pas à ce quelle déclare forfait, refusa alors sa soumission et augmenta son étreinte ventrale de plus en plus fort, ses intestins se faisaient vilainement compresser de l’extérieur par la pression de la constriction... La jeune femme eut alors comme une montée de nausée suivie d'une vilaine envie de gerber et du s'appliquer la main sur la bouche comme si elle avait le mal de mer. Violette fit un pas en avant comme si elle se penchait puis d'un seul coup, elle se redressa pour lui faire un coup de tête et au vu du cri et juron qu'avait pousser l’énergumène, elle en profita pour lui écraser le pied du talon de sa botte.

La jeune femme était une battante et elle n'était pas le genre de fille qui fuirait par peur et elle s'avança tranquillement vers la sortie en marchant comme une mannequin (comme pour le narguer) mais son voisin ne fut pas de cet avis et l'attrapa pour la balancer de force sur sa couchette et sauta sur elle en la regardant avec un vilain sourire, la jeune femme fit mine de se débattre, mais elle lui fit un clin d’œil en lui rendant son sale sourire. Une provocation de plus et là, c'en était trop ! Il leva alors son poing musclé et percuta de force l'abdomen qui se cachait sous le revêtement de cuir, Violette crut qu'une balle de revolver l'avait pénétré, mais le second coup aura raison d'elle, elle devint blême en toussant alors qu'elle avait les poumons en feu et que cela lui avait coupé de peu sa respiration... La fille évita in extremis le coup véloce qu'elle aurait pu recevoir pour la troisième fois en plongeant de côté et se servit de ses bottes pour les plaquer contre le torse de son ennemi afin de faire levier et détendra ses jambes tel un ressort sur son assaillant qui se verra projeter contre un mur et s'écroulera par-terre, elle ne prit même pas le temps de vérifier si son acolyte allait bien ou non et quittera simplement la pièce avec la même démarche que tout a l'heure.

La jeune femme soupira et dire quelle était à deux doigts de récupérer la somme, mais visiblement le propriétaire n'avait dormi que d'un œil, elle dut donc faire une croix dessus... Alors qu'elle tourna le loquet de la porte pour l'ouvrir, un bruit suspect parvint derrière elle et le temps qu'elle se retourne pour voir, elle eut alors le souffle coupé avec les pupilles qui se dilatèrent au même moment, le coup fut précis et soigneusement porter avec violence a l'estomac, Violette ne comprit qu'après ce qui lui arriva, son agresseur n'était pas tombé dans les pommes et lui en voulait a mort comme qui dirait. Les restes de son dernier repas n'avait pas tenu le choc et remonta instantanément depuis l’œsophage, elle eut le réflexe de fermer la bouche mais pas pour longtemps car son opposant lui administra un nouveau coup de poing encore plus fort que les fois précédentes et miss Baudelaire ne put y résister alors que son corps ne tint plus debout, celle-ci bascula en avant en sentant la poitrine s'écraser contre le torse du gars avec le sang provenant de la blessure a la tête du mec blessé se tâcha sur le cuir. La jeune femme prit appui sur les épaules du mec pour se redresser en toussant mais une nouvelle attaque la fit gerber au sol, alors que la vomissure macula les bouts ronds de ses bottes plateforme, elle perdit l'équilibre et tomba a la renverse par-terre. Violette avait comme le tournis et avait l'air sonné en haletant bruyamment, le col et la bouche emplie de trace de gerbe, sa poitrine se leva et se baissa comme s'il avait parcourue un marathon, le gus se redressa en se tenant la tête d'une main, il songea à faire demi-tour estimant en avoir finie avec cette traînée, mais il revint sur ses pas en levant la jambe et de sa basket droite, il le plongea sur le ventre de la jeune femme qui nageait dans les vapes comme s'il écrasait un cafard, la jeune femme eut comme un hoquet en couinant alors que ses bras ne lui obéissaient plus, puis ce fut la fin, elle perdit connaissance avec un filet de bave qui s'écoula de sa bouche sur le cou pour la nuit.

Les années passent vite, mais en dépit des sanctions instauré par le foyer contre elle, cela ne l'affecta aucunement et a présent, l'adolescente rebelle a grandi en atteignant la majorité, mais son comportement tout comme son attitude est resté le même vis-à-vis de l'autorité et du respect et ce coup-ci, ses parents adoptifs furent entièrement dépassés des rapports qu'ils reçoivent de la part de ses profs au lycée, du voisinage, etc. Et avaient étudier sur quel moyen (ou solution) qu'il pouvait y avoir afin de "dompter" cette sauvageonne et l'un d'eux tombèrent sur une brochure reçue dans leur boite à lettre et quand ils virent qu'une pension existait et accueillait des jeunes en difficulté scolaire a tous âges, ils se dirent que ça pouvait être une chance pour eux de l'envoyer vivre là-bas et de ce fait peut-être qu'elle changera sa manière de voir le système sociale ? Quoiqu'il en soit bon débarras comme on dit !

Ils allèrent annoncer leur nouvelle à leur fille adoptive (celle-ci passait le weekend comme d'habitude avant de repartir en semaine au foyer), celle-ci mâchonnait une sucette en gardant en pianotant son tel, elle écarta les manches de son jean Bootcut en décroisant les escarpins plateforme du pied pour voir les parents qui glissa un dépliant de l'île de Rosebury à travers l’entrebâillement de la porte de sa chambre. La jeune femme visionna vite fait les pages de l'île et n'avait absolument rien capter de son mode de fonctionnement, mais ça pourrait être mieux qu'ici ou dans son foyer, et sans doute, ça lui fera découvrir d'autres horizons. Violette fit une petite recherche dans le net pour pêcher des infos sur la fameuse île, bon d'accord et après cinq bonnes minutes de temps alloué, elle trouva les renseignements qui parlait de cet atoll perdu au large de l'Australie, et apparemment, ça serait un genre d'institution qui héberge sur place les adolescents et autres loupiots ayant lâché l'école afin de les favoriser en bonne entente dans un milieu paisible et reculé du monde et aussi afin qu'ils puissent reprendre les études, etc. Miss Baudelaire avait un niveau S en scientifique et cela aurait pu lui convenir, mais ne l’intéressa pas pour autant (du moins pas immédiatement) mais elle trouva un truc qui attira son attention et d'après les infos, l'on raconte que l'île serait soi-disant hanté par les âmes damnées d'il y a plusieurs siècles qu'ils se manifesteraient à la nuit tombée...

Si elle pouvait s'attendre à ça, pour n'importe qui, ça ne pouvait être que du bidon, mais pour elle, c'est un super scoop ! Alors pourquoi ne pas se fondre dans la masse des étudiants dans la foulée (et bien sûr en enfreignant quelques règles de base du règlement intérieur de l'île) et partir à la recherche de ces esprits sombre qui se baladerait à la nuit tombé ? Que craindrait-elle franchement ? Et puis, les visites nocturnes, ça la connaît largement ! La jeune femme finit par donner son approbation au grand soulagement de ses parents qui prirent plaisir à s'occuper des formalités de départ ainsi que de ses papiers comme de ses affaires (seule partie ou la jeune femme préféra s'en charger en personne). Du jour au lendemain, elle arriva par bateau après avoir fait un long et ennuyeux voyage par avion avec le cap pour L’Australie en quittant la France. Elle savait que sans doute, ça allait être strict dans ce trou paumé et que le personnel n'aurait pas des têtes à rigoler, mais tant mieux, elle ne s'en foutait pas totalement, mais savait parfaitement faire double-jeux quand il faut en présence du personnel avec un air innocent et angélique avant de devenir une "démone" pour accomplir ses objectifs comme ses méfaits voire sinistre besogne. Le fille rebelle n’atterrira pas à l’île de Rosebury comme prévu car le dépliant n'était qu'une façade mais sera envoyer dans son pays natale au Japon ou s'y trouve a Seikusu, un genre d'institution de redressement pour les cas désespérés, la jeune femme ne se rendit compte de rien mais prendra un avion pour rejoindre le sol qui a vu ses parents disparaître et c'est sans avec aucune once d'émotion dans le visage quelle foulera la terre Nippone du talon de sa botte et prête a faire face au monde hostile.



Autre : Elle a apprit le Karaté japonais lors d'une inscription dans un club d'activité, au temps ou elle fut scolariser au collège en sixième

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