Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Asuka Kahori

Pages: [1]
1
Centre-ville de Seikusu / [FINI] Invocation démoniaque [Desmina]
« le: lundi 11 décembre 2017, 00:49:31 »
« Azalam Masshaï Hilohim... »

Rien ne se passa, bien évidemment, et je secouais la tête, soupirant de ma propre idiotie. Mais, hey ! J’étais une Japonaise pure souche, vous savez. Du genre à craindre qu’Hanako-san ne débarque de la cuve des toilettes en empruntant la mauvaise cabine ! Ou à être convaincue que des yōkai hantaient les arbres d’Aokigahara, la forêt maudite. C’était le grand paradoxe du Japon, pays très avancé dans des recherches avant-gardistes, comme la robotique, et en même temps très ancré dans les superstitions. Et moi, ben, je venais de la campagne profonde, après tout ! Et, là, ce soir, dans ma chambre, j’étais vainement en train d’essayer l’impossible, à savoir invoquer une succube ! Il ne fallait pas rire, car Toshi, mon client, m’avait assuré que ça marcherait, qu’en suivant la formule inscrite dans le grimoire de sa mère, et en dessinant le sceau sur le sol, j’invoquerai un démon ! La vache !

En fait, je ne pourrais pas trop expliquer pourquoi, ce soir, j’avais décidé de tracer le sceau, d’allumer les bougies, et d’invoquer le démon. C’était une blague, une plaisanterie. Je voyais Toshi d’ici une heure pour une nouvelle séance de bondage, et je voulais m’assurer d’avoir un bon gros motif pour le punir, et pour le frustrer. Mes petites affaires marchaient plutôt bien. En-dehors des subventions publiques qui m’aidaient à pouvoir vivre dans ce petit studio, les commissions que je recevais pour faire du kinbaku m’avaient permis d’acheter de nouvelles cordes, de décorer un peu mon studio, et même d’avoir de l’équipement high-tech !

Ce soir, je portais déjà ma tenue de travail, à savoir ma combinaison rose moulante en latex. Quant au studio, il était peint en rose, avec pas mal de peluches. Ouais, tout ça faisait très kawai, et je n’avais même pas parlé des posters avec des chats tout mignon dessus ! Il ne faudrait sans doute pas le crier sous les toits, mais je faisais partie de ces gens qui adoraient les chansons de Kyary Pamyu Pamyu. D’ailleurs, si on cherchait dans mes albums photos, on verrait que, quand j’avais dix ans, j’enfilais des cosplays issus de Sakura Card Captor, alors... Avec un tel curriculum vitae, mon sort était tout tracé !

Enfin... Tout ça ne changeait rien à la situation actuelle. J’avais tracé à la craie les sceaux d’invocation, sans savoir que, en grande amatrice que j’étais, il y avait des brèches ici et là... Et, de toute manière, je n’avais clairement pas l’expérience nécessaire pour invoquer et contrôler un démon. Mais bon, pour moi, tout ça était du délire, une mise en scène que je comptais utiliser pour punir ensuite fortement Toshi. J’imaginais déjà tout ce que j’allais lui faire subir ! En la matière, je frissonnais vraiment d’idées en tout genre !

*Bon... Essayons au moins encore une fois, histoire de ne pas avoir fait tout ça pour rien...*

Je répétais donc à nouveau la formule :

« Azalam Masshaï Hilohim... »

Avant de terminer :

« DESMINA ! »

Je pensais que rien ne se passerait... Mais, au lieu de ça, je sentis brusquement un courant d’air soulever mes cheveux, et éteindre plusieurs des bougies que j’avais soigneusement entreposées ici et là.

« Hein ?! »

Avais-je oublié de fermer une vitre ? De la fumée s’éleva brusquement des bougies, et j’écarquillai les yeux sous la stupeur, en tombant sur les fesses.

« Mais... Mais... Mais c’est quoi ce délire ?! »

Mais qu’est-ce qui se passait, là ?!

2
Salles de cours et bibliothèque / Enseignement ancestral [Jeff Alvory]
« le: lundi 03 avril 2017, 00:07:56 »
Les Long-Nez, ainsi qu’on qualifiait si sympathiquement (ironie) les Occidentaux, avaient toujours eu pour habitude de dédaigner les cultures étrangères. C’était normale, et je serais de mauvaise foi en affirmant que nous n’en faisions pas autant. Lévi-Strauss en avait parlé. L’ethnocentrisme, je crois. Une théorie selon laquelle l’Autre est toujours, non seulement différent, mais aussi moins bien que vous. Je ne savais pas jusqu’à quel point tout ça était vrai, n’étant pas anthropologue. Ce que je savais, en revanche, c’est que, quand on évoquait l’art séculaire du kinbaku, les Occidentaux se contentaient de hausser les épaules, en y voyant un simple plaisir sexuel.

Le sexe, il y en avait forcément dans le kinbaku, mais ça n’avait rien à voir avec du simple bondage. Enfin, si... Mais pas que ! Disons que c’était une forme de bondage considérablement amélioré, permettant de faire des trucs incroyables. Ce n’était pas pornographique, mais davantage érotique et sensuel. De fait, il n’y avait même pas forcément de sexe, car on pouvait dissimuler les parties sensibles du corps humain à travers les cordes, et certains ne pratiquaient le kinbaku que comme un massage, un peu comme quand on allait voir un kiné’ pour détendre vos muscles.

Dans ce domaine, j’étais particulièrement assidue. Là, par exemple, alors que j’étais censée réviser mes mathématiques à la bibliothèque de Mishima, j’avais eu la chance de trouver un ouvrage traitant du kinbaku. Seikusu disposait d’un dojo sur le kinbaku ! Dingue, non ? J’avais genre totalement halluciné en voyant ça, et je comptais bien m’y inscrire. J’étais la fille d’un grand-maître en la matière, mais il fallait toujours se perfectionner, parce que le kinbaku était un art difficile, et dangereux.

Le Tori (terme désignant la personne qui agissait, et mettait les cordes) se devait d’être bon. Autrement, l’Uke pouvait avoir des problèmes médicaux. Vomissements, syncopes, ou, dans les pires des cas, lésions des nerfs. Par exemple, il était rigoureusement interdit d’attacher une personne avec un seul bras. Le kinbaku, c’était un art de l’harmonie, de la patience, de la maîtrise de soi... Alors, somme toute, c’était vraiment typique du Japon. Les expériences pouvaient durer des heures, que ce soit pour attacher l’Uke, ou pour lui laisser apprécier ce qu’il vivait. Chaque Uke participait à ça pour des raisons différentes. Certains voulaient juste assouvir un fantasme sexuel, d’autres y voyaient une forme d’épanouissement spirituel permettant d’atteindre le Do. Moi ? Eh bien... C’était clairement l’option sexuelle !

J’étais douée, hein ! De ça, il ne fallait pas douter. Ici, à Mishima, j’avais déjà pu me faire quelques clients. J’avais mémorisé tous les enseignements de mon père, notamment sur l’importance fondamentale de vérifier le bon état des cordes. Tout ça, c’était donc très compliqué, et ça nécessitait vraiment de nombreuses années de formation. Il était donc toujours utile de se mettre à jour sur ses connaissances, de se rafraîchir la mémoire.

En fait, j’observais surtout la partie du livre sur les figures. J’étais plongée dedans, caressant du doigt les cordes, connaissant ces formes par cœur.

À cet instant, je ne pouvais pas savoir que ma tranquille séance de détente à la bibliothèque allait me réserver de solides surprises...

3
Complexe d'études secondaires et supérieures / Premiers clients [Ryujin]
« le: mercredi 14 octobre 2015, 10:03:47 »
Finalement, le lycée Mishima n’était pas si mal. Pour un établissement qui portait le même nom qu’un suicidé, je devais bien admettre que l’ambiance n’était pas trop... Déprimante. Quand j’étais arrivée au lycée, il y a encore quelques semaines, j’étais encore une jeune fille assez naïve, quelqu’un qui pensait que ce lycée était comme n’importe quelle autre lycée, un endroit chiant où on bâillait aux corneilles en cours en devant respecter religieusement le corps enseignant. Un endroit où on vous apprenait que, si vous étiez un clou dépassant de la rangée, il fallait bien se remettre à sa place, car il ne fallait pas être excentrique, original, mais rentrer dans les petites cases que la société tissait pour vous. L’image classique du lycée, quoi ! Au lieu de ça, j’avais rapidement rencontré Alexanders-senseï, et cette rencontre avait été... Woaw ! J’en étais encore sur le cul, et, comme je continuais régulièrement à la voir, et qu’elle avait manifesté un grand intérêt pour les parties anales du corps humain... Disons que j’étais littéralement sur le cul !

Je découvrais donc Mishima et ses joyeusetés, sous le conseil d’Alexanders-senseï, qui avait l’air d’en connaître un rayon là-dessus. Elle m’avait ainsi parlé de cette élève, Warren-san, une superbe femme aux cheveux châtains, en me disant de me rapprocher d’elle... Et, même mis à part Alexanders-senseï, il y avait également d’autres profs qui me faisaient fantasmer, généralement du sexe féminin... Il y avait Ichtora-senseï, par exemple, ou encore Kurokawa-senseï. Tant de beautés circulaient dans ce lycée que c’en était à peine croyable ! Et, suite à ma rencontre avec Alexanders-senseï, j’avais enfin trouvé une manière d’exercer mes talents du kinbaku auprès des élèves de Mishima. Pour ça, il suffisait de faire confiance à cette chose, au lycée, cette chose fascinante et horrible, qu’on appelait la rumeur. Avec mon nom, qui faisait référence à un grand artiste du kinbaku, je m’attendais à ce que d’autres personnes, autres qu’Alexanders-senseï, fassent le rapprochement, et, grâce à mes quelques amis, j’avais commencé par m’ouvrir aux autres, proposant mes services à ceux qui suivaient les « consignes ». Des consignes non-écrites, mais qu’on pouvait apprendre en écoutant les bruits de couloir et en surprenant les rumeurs. Certains en parlaient peut-être sur l’Intranet du lycée, sur les réseaux de discussion instantanée, mais je n’avais pas spécialement le temps de les chercher.

Ma stratégie était donc de venir chaque matin près de mon casier, de l’ouvrir, et de voir si j’avais reçu des petits mots pour devenir mes cobayes. Il y a trois jours, j’avais reçu un mot avec une adresse mail, et j’en avais envoyé un, en donnant un lieu de rendez-vous. C’était un homme, un lycéen, et je l’avais attaché pendant des heures, jouant avec lui, utilisant mes techniques anciennes, ainsi que celles que j’avais pu apprendre auprès d’Alexanders-senseï... Et ça avait été bon. Très bon... Super bon, en fait ! Je l’avais fait couiner en le masturbant, jusqu’à le faire jouir sur lui, sans même avoir à le masturber avec mes doigts au début, simplement en frottant avec les cordes. Le pénis était une zone extrêmement fragile, car il fallait secouer ce machin pour lui faire cracher sa semence, tout en sachant aussi que, si on serrait trop, la douleur était terrible. Il fallait donc bien le ligoter, et, tandis que je l’avais attachée, j’avais vu son membre se dresser en mettant la corde le long de son sexe, pour remonter sur le reste de son corps.

Ça avait été un moment exquis, et, ce matin, je me rendais vers mon casier, en me demandant si j’avais reçu un mot hier...

4
Bureau de la direction et infirmerie / L'experte [Tessia]
« le: dimanche 06 septembre 2015, 09:26:12 »
Alexanders-senseï. Je lisais avec une certain anxiété l’inscription sur la porte, tout en m’approchant, mordillant craintivement mes lèvres. J’étais déjà là depuis moins d’une semaine, quand, ce matin, en finissant le cours, Alexanders-senseï, une superbe femme, prof’ magnifiquement bien roulée, avec une belle natte de cheveux, m’avait abordé pour me demander de venir la voir ce soir, après mes cours. Qui étais-je pour refuser ? Elle était belle, terriblement sexy, mais… Ben, ça restait une prof’, moi une élève, et, à mon corps défendant, à ce moment, je n’étais même pas depuis moins d’une semaine à Mishima ! J’avais déjà pu remarquer un trait commun à la plupart des senseïs du lycée : ils étaient tous d’une beauté redoutable. Il y avait Alexanders-senseï, mais aussi cette professeur de mathématiques, Ichtora-senseï, dont le costume court dévoilait ses longues jambes fuselées, à la limite de l’indécence, sans parler de la manière dont elle s’appuyait sur les épaules des élèves, afin d’observer leurs avancements sur les travaux qu’elle leur donnait. Je parlais en connaissance de cause, car j’y avais personnellement eu droit, en sentant les seins de la femme s’enfoncer contre ma nuque. J’avais mouillé sur place, et, à la pause, je m’étais enfermée dans les toilettes pour me masturber généreusement, balançant des filaments de mouille en me mordant fort les lèvres.

Une simple recherche sur Internet m’avait permis d’apprendre que le lycée Mishima avait une solide réputation, et avait plusieurs fois été poursuivie par des associations de parents d’élèves. Une association spéciale avait même été créée pour attaquer en justice le lycée Mishima, mais toutes ses actions avaient échoué. C’était comme si une sorte de petit ange, ou de kami, protégeait Mishima. Et moi, je venais de débarquer là-dedans… Je vous l’avoue franchement ; j’étais TOUTE EXCITÉE ! On dit qu’un déménagement est l’une des principales sources de stress, mais ça, pour moi, c’est tout un tas de conneries. Je quittais enfin mon bled ! Un trou paumé du fin fond du Japon pour rejoindre la ville, pour rejoindre le vrai Japon ! Tout ce que j’espérais, c’était de me faire sauter, et je me masturbais chaque soir en pensant aux garçons et aux filles de ma classe, ainsi qu’à mes cordes… Père m’avait confié aux bons soins de mon oncle, mais il travaillait fréquemment au port, un travail de nuit, ce qui faisait que, concrètement, j’étais toute seule chez lui… Avec mes cordes.

Le premier soir de mon arrivée, je m’étais attachée les chevilles puis les bras, en reliant le tout à mon corps, avec une corde glissant entre mes lèvres intimes, et je m’étais… Hum… Frottée. Est-ce que vous pouvez imaginer le bonheur que ça fait ? Nan, vous pouvez pas, et, si vous dites le contraire, vous êtes un sacré menteur ! Parce que ça, ce genre de trucs, c’est ces trucs empiriques qu’on ne peut que ressentir en les vivant. Aucun mot couché sur papier ne pourra jamais retransmettre avec exactitude ce moment intense où on sent tout disparaître, où c’est comme si tout votre corps, tous vos instincts et tous vos sens, qui se regroupent en un seul point. Une petite mort… Et putain, c’était bon ! J’avais joui comme une folle, les yeux dans le vague, des larmes coulant le long de mes joues. Jouir, putain, JOUIR ! Oh, j’avais tellement envie de me faire défoncer, tellement envie de sentir des grosses queues en moi… Ou de sentir l’expertise d’une femme. Je m’imaginais mes profs’ en train de me prendre, se glissant dans mon dos, tirant sur la corde pour caresser ma vulve, approchant un martinet de mes fesses, me frustrant. Avec le sexe, on voulait toujours aller vite, on voulait toujours sauter les préliminaires, mais moi, les préliminaires, c’est ça qui me faisait jouir… Imaginer ces moments précédant l’orgasme, cette tension, ces mots doux, les mots salaces qu’on s’échangeait, l’assurance de la Maîtresse, l’odeur rafraîchissante du latex qui se mélangeait à la sueur et au latex… Comment vouliez-vous que je ne jouisse pas en pensant à ça ?!

Et voilà donc où je me trouvais, face à la porte d’Alexanders-senseï, sans savoir ce qu’elle me voulait… J’avais entendu dire que le lycée était rempli de nymphomanes et de pervers, et qu’Ichtora-senseï éduquait sexuellement ses élèves. Une telle chose, à vrai dire, ne me surprenait guère, car j’avais bien vu les regards qu’on lui disait… Ou le fait que l’un de ses élèves se masturbait en plein milieu de son cours. Bordel ! Un mec avait JOUI à côté de moi ! Il avait soupiré, basculant sa tête en arrière, sans que rien ne semble surprendre Ichtora-senseï… Médusée, j’avais observé cette scène, sans vouloir la croire… Et j’en avais joui le soir en y repensant.

Sérieusement, c’était quoi ce lycée de tarés ?! Le pire, c’est que j’étais loin d’être au bout de mes surprises, et j’allais le voir ce soir… Avec Alexanders-senseï. Je me rapprochais de la porte, me mordillant les lèvres… Avant de taper légèrement à cette dernière, puis de l’ouvrir.

« A… Alexanders-senseï ? hasardais-je. Vous… Vous vouliez me voir ? »

À ce moment, j’étais loin de me douter que la belle femme avait fait des recherches sur moi, et qu’elle avait lu un interview de mon père dans une revue spécialisée axée sur le sadomasochisme, et qui avait fait un numéro spécial sur le kinbaku. Tout ce que je savais, c’est qu’elle voulait me voir… Et j’ignorais bien pourquoi, à ce moment précis.

5
Le coin du chalant / Recherche Maître/Maîtresse
« le: vendredi 04 septembre 2015, 11:19:07 »
Boooonjour !!

Maintenant que je suis validée, il est temps, pour moi, de faire ma demande de RP.

C'est très simple, alors je vais faire court : j'ai envie d'un Maître ou d'une Maîtresse qui apprécie et le bondage et les gros nichons pour me sortir de ma misère sexuelle :(

Qui se dévoue ?!

6
Prélude / Asuka Kahori, petite masochiste [Valisuccubisée]
« le: vendredi 04 septembre 2015, 00:53:49 »
Identité : Asuka Kahori
Âge : 16 ans
Sexe : Femme !
Race : Humaine

Physique

Salut, les loulous ! Alors, pour commencer à me présenter, je dirais que… Hum… Et ben, comme vous avez déjà dû voir mon visage, vous devez avoir une petite idée de mon look, nan ;) ? Comment me présenter simplement ? J’ai de longs cheveux bruns, et j’adore les sentir remuer dans mon dos quand je fais mon sport le long de la plage. J’ai également de magnifiques yeux bleus sombre (^_^), qui sont hérités de ma mère, un joli visage légèrement ovale, de belles lèvres que j’entretiens régulièrement avec des pommades pour éviter qu’elles ne se craquèlent et ne se fissurent (BEURK !). Bref, j’adore mon visage, tout simplement, et… Hum… Ah oui, vous l’avez peut-être remarqué, mais j’adore le ROSE… Mais genre ouais, je KIFFE, quoi ! C’est sexy, et j’ai très souvent (*tout le temps*) des sous-vêtements roses, sans parler de ma combinaison de plongée, super-moulante, qui moule à la perfection mon joli cul et ma taille de guêpe, qui est rose et violette. Ouais, on pourrait croire que ça fait de moi une fleur bleue, mais… Hum… C’est un truc qui est plus à prendre dans le genre « Petit Chaperon Rouge », si vous voyez de quoi je parle =).

Par ailleurs, et vous l’avez peut-être aussi remarqué, mais, pour une Asiat’, j’ai aussi une jolie paire de nibards ! J’adore mes nichons, et, comme je sais que ce que les mecs adorent regarder, ben… Ben ouais, je me fais plaisir à les exhiber quand il le faut ! Mais, hey, pas comme une genre de pute, hein, allez pas vous faire des idées, nan mais oh è_é ! Non, mais, comme j’aime bien aller sur la plage, ben quand y a des mecs qui me matent en douce, j’aime bien ça… J’fais genre que j’les vois pas, mais, si je peux vous confier un petit truc, juste entre nous… Les filles, elles ont un radar sur ce genre de trucs, vi vi. Quand un mec bande sur moi en regardant mon cul trempé, je le sais, mais ils ont pas à avoir honte, car j’adore ça… Se sentir belle et tout.

Mine de rien, j’entretiens mon corps, bien loin de toutes ces conneries de canons de beauté sur la maigreur et tout. Moi, je bouffe ! Je m’en prive pas ! Hey, comment j’pourrais avoir de tels nichons, autrement ?! J’bouffe, mais j’fais GRAVEMENT attention à ma ligne. Genre, je me pèse chaque semaine, j’ai des courbes, et je choisis strictement ce que je dois manger, et je fais beaucoup de sport pour entretenir tout ça. J’ai un peu de graisse, mais suffisamment pas assez pour qu’on me traite de « grosse patate »… Et, de toute façon, le premier qui me dit que j’ai un gros cul, je le TUE ! Sans déconner !!


Caractère

Hum… Si je ne vous ai pas encore fait fuir, mes loulous, il est temps de vous en dire un peu plus sur moi… Pas sur mon corps, car, ça, je préfère laisser un peu de mystère (notamment savoir si je m’épile ou pas =P), mais sur ce qu’il y a dans ma tête… Car ouais, je suis pas qu’une paire de nichons avec un bras (ça, ce serait la femme parfaite, LOL !). J’ai une tête, et, croyez-moi, je peux vous assurer qu’elle fonctionne bien. Si vous pensiez que j’étais la blondasse écervelée du quartier, vous pouvez vous foutre cette idée droit au cul, Messieurs-dames… Nan, nan, mes bulletins de note parlent pour moi. Première de ma classe à chaque fois, en Histoire, en maths (et j’adore les maths, vous allez vite comprendre pourquoi ♥), en sciences, en sport (très important !), soit on m’idolâtre, soit on me hait, mais c’est soit l’un, soit l’autre… Et je sais que vous avez envie d’être dans la première catégorie ;-) Sinon, vous me fendriez le cœur 

Doooooooonc… Par où commencer ? Ohlàlà, y a tant à dire ! Ma passion pour les maths, peut-être ? C’est pas le truc banal, ça… On pourrait ouvrir un groupe Facebook sur le nombre d’élèves qui détestent les maths’, et j’suis sûre que, en une journée, notre nombre dépasserait la population d’un petit pays, LOL ! Mais ouais, ouais, j’aime les maths’… Sincèrement. Chaque fois que j’entends des gars me dire que les maths’, ça sert à rien, je suis en mode >_<, et j’ai envie de les gifler ! Les maths, sérieux, c’est la base de TOUT, et ce encore plus quand on a mes goûts… Vous voulez en savoir plus, hein ? Est-ce que j’attise votre appétit de petit coquin ?

Si c’est le cas, un seul mot… Kinbaku.

Does it ring a bell to you, comme dirait nos amis anglais (parce que, OUAIS, je suis douée en langues, hihi !) ? Si ce n’est pas le cas, arrêtez de lire ma présentation, ouvrez Google, et tapez « kinbaku »… Mais genre, faites-le maintenant ! MAINTENANT, OKAY !! Ça y est, vous l’avez fait ? Si vous l’avez fait, voilà ce que vous devriez lire tout en haut : « le kinbaku est un art japonais qui consiste à attacher une personne avec des cordes ». Et, si vous avez vu les images (mais ça, on le fait tous), vous devriez avoir une petite idée de ce qu’est le kinbaku… Le genre de trucs improbables que vous regardez dans les hentaïs, un œil légèrement écarquillé, en vous disant : « Nan mais sééééérieux, c’est quoi ce bordeeeeeel made-in-Japan » ? Ce bordel, Mesdames et Messieurs, c’est le kinbaku, et le kinbaku est autant un art érotique qu’une science du corps humain.

Le kinbaku, ça, j’pourrais vous en tartiner des briques sur des kilomètres à vous en arracher les yeux de la tête. C’est ma grande passion, et ce parce que mon père est un spécialiste du kinbaku… Vi, vi ! Et il m’a toujours dit que cet art n’était rien de plus qu’un mélange de physique et de maths’. Regardez les figures composant le kinbaku… Elles ne sont possibles que grâce aux mathématiques, aux angles droits, aux chiffres, qui permettent de déterminer si le corps va tenir, à partir de la résistance de la corde, du nombre de nœuds, des points d’attache, du poids de la cible… Bref, tout un tas de trucs ! Mon père a tout un tas de schémas et de détails techniques, mais… CHUUUUUT =X ! Je ne peux pas en dire plus, parce que… Hum… Et bien, vous connaissez le truc… Un magicien conserve toujours ses secrets ;-)

Donc, ouais, j’aime les maths’, parce qu’elles sont pour moi le moyen de pratiquer le kinbaku, et, quand on pratique le kinbaku, on n’a pas envie de pratiquer autre chose. Le sexe classique me semble primaire, rustre… Pas sans intérêt, non, parce que, à la simple idée de sentir une queue me défoncer la chatte, j’en mouille ma culotte, mais je veux pas juste me contenter de baiser, nan… Je veux baiser de manière artistique, avec un garçon qui appréciera le kinbaku (ou avec une nana)… Malheureusement, pour l’heure, les garçons du village étaient tous des ignares, et, si c’est moi qui les attachait et les dépucelait, aucun n’a réussi à me soumettre… Alors, voilà une petite devinette pour vous… Suis-je une masochiste ou une dominatrice ? Je fantasme à l’idée de me faire fouetter, de me faire attachée dans tous les sens, de sentir les mains brutales et viriles d’un homme me peloter le cul… Mais, pourtant, c’est toujours moi qui ait fouetté des culs  Je traîne sur Internet dans l’espoir de tomber sur un vrai dominateur, mais, hélas, pour l’heure, je fais chou blanc ^^’‘ C’est triste, hein ? *SNIF SNIF*

Alors, oui, j’ai déjà couché… Mais sans coucher. Disons que j’attache mes amants après leur avoir expliqué la manière dont j’envisage le sexe, et eux se laissent attacher. J’ai appris avec mon père, et, croyez-moi, j’ai une sorte de talent inné pour ça. Donc, pour en revenir à nos moutons (si vous ne l’aviez pas remarqué, je me disperse beaucoup !), j’attache les mecs (ou les femmes !), je les suspends dans ma grange pendant plusieurs heures, et je les masturbe avec mes gants en latex… Ou alors, je me contente de les pincer, de les fouetter, de les insulter… Tout dépend du profil et de mes envies du moment. Parfois, je leur mets un gag-ball sur la bouche, je les attache bien, puis je les laisse accroché pendant plusieurs heures. Le mieux, c’est de le faire avec les femmes, en leur laissant des vibromasseurs dans le cul.

Maintenant, et c’est là que ça devient cool, j’adore le faire sur moi-même… Je vous l’ai dit, je suis douée ! J’adore m’attacher, sentir le frisson et la caresse des cordes glisser sur ma peau, les marques rouges dessinant des toiles d’araignées sur ma peau. J’ai l’impression de me faire baiser par Pythagore en faisant ça, LOL ! Mais genre, j’adore à un point maladif ! Je suis une putain de perverse, ouais… Mais, à moins de me connaître, vous ne vous en rendrez jamais compte.

Ben ouais, vous imaginez quand même pas que je me promène dans la ville avec une pancarte accrochée autour du cou en mode : « GROSSE VIERGE EN CHALEUR ADEPTE DE BONDAGE ET DE GROSSES BITES DANS LE CUL », hein ? Tsss-tssss… Nan, en apparence, je suis une fille modèle, qui lit beaucoup… Parce que, ouais, j’adore lire. Je lis beaucoup, mais, attention, n’allez pas croire que je me drogue à des conneries comme « Twillight » (*UUUUGHHH !!*, ou encore « Cinquante Nuances de Grey » (*AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHH !!*). Je milite pour le vrai bondage, moi, pas pour les fantasmes traînards de sexagénaires qui pètent au lit parce qu’elles se font chier avec leurs maris, gras et gros.

Donc, voilà, je crois que j’ai un peu fait le tour… À l’heure actuelle, j’ignore si je préfère les femmes ou les mecs… J’pensais que les nanas seraient un peu plus calmes que les mecs, mais, en fait, dès qu’on pousse un peu, et qu’on les fait couiner… C’est comme si des hyènes en chaleur venaient de débarquer !

Mais breeeeef, j’crois en avoir assez dit sur moi pour le moment… Du moins, sur ce qui concerne ma personne.

Petite note finale, tout de même, mon petit bonus : j’adooooooore me foutre à poil devant ma webcam !


Histoire

Ne vous attendez pas à un roman palpitant, à la grande histoire d’Asuka Kahori. Mon histoire, en réalité, est chiante comme c’est pas possible, la seule originalité venant du fait que mon père a un métier peu banal… Dans notre village, il est un senseï très respecté, et presque tout le monde vient le voir, notamment les femmes (dont ma propre senseï). Sa spécialité ? Ben, si vous avez lu jusqu’ici, vous devriez le savoir… Il saucissonne les clients, et les laisse pendouiller pendant plusieurs heures. Aucune pénétration, tout se fait dans les règles de l’art. Il attache les femmes nues, les laisse là pendant des heures, offrant à chacune un catalogue permettant de savoir ce qu’il propose. C’est un art ancestral dans sa famille, mais, comme ma défunte mère est morte peu de temps après m’avoir mis au monde (ne soyez pas désolée, je ne l’ai jamais connu), il a dû se rabattre sur moi pour transmettre son art, plutôt que sur un garçon inexistant. Il m’a tout appris, tout ce qu’il y avait à savoir, et, dès que j’avais trois ou quatre ans, j’apprenais à faire des nœuds, et à en faire des solides. À six ou sept ans, je savais faire des nœuds de marin. Lui m’expliquait que son art se retrouvait partout, y compris dans le fait d’attacher des prisonniers pour la police. Puis, ensuite, chaque soir, après les cours, et après avoir fait mes devoirs, et chaque week end, on s’entraînait ensemble sur des mannequins. À l’époque, je n’y voyais aucune attirance sexuelle, juste… Un truc barbant, quand je voulais sortir avec les copines, et que lui me forçait à m’entraîner au gymnase.

Maintenant, ouais, je remercie mon vieux, parce que ce qu’il m’a filé… Merde, quand j’entends dire à côté de ça que des gosses sont contents parce qu’ils ont passé tout le Dimanche après-midi à se faire chier au bord d’un lac pour capturer un gros poisson, j’ai envie de rire, quoi ! Moi, j’apprenais à ficeler des gens ! Et mon père me répétait ô combien cet art était dangereux, car on pouvait tuer quelqu’un en l’attachant, en lui coupant la circulation, tout ça, tout ça… Alors, pour faire clair, ‘ME FAITES PAS CHIER è___é !!

Donc, j’ai grandi dans ce petit village, et, à l’âge de la puberté, faire des cordes commençait à m’exciter, surtout que mon Papa me laissait voir certaines vidéos où il attachait des femmes… Et merde, c’était… Waaw O__O Je me suis masturbée devant ces vidéos, puis, peu à peu, j’ai décidé d’avoir une approche plus moderne du kinbaku. Alors, j’ai commencé à jouer avec mes doigts de fée, et j’ai utilisé Internet (mon père n’y connaissait rien, et c’était moi qui avais créé un site Web pour notre boutique) pour acheter différents objets supplémentaires : vibromasseurs, pinces à seins, etc… Et, comme j’étais assez populaire au collège, j’ai joué avec les élèves de ma classe… Ou avec des individus du lycée.

Et puis, est arrivée la fin du collège… J’étais toujours foutrement vierge (*BOUHOUHOU !!*), et mon père m’a envoyé à Seikusu. Le kinbaku, mine de rien, ça ne permet pas tant de payer les factures, et, comme il avait sa sœur là-bas… Ben, ça permettait de m’héberger chez elle. J’ai donc été à Seikusu…

…Et, cette fois, j’espère bien trouver la perle rare ♥ !

Pas vous ?


Autre : spécialiste en kinbaku !

RPs

1°) L'experte [Tessia] [EN COURS]
2°) Premiers clients [Ryujin] [EN COURS]
3°) Enseignement ancestral [Jeff Alvory] [EN COURS]
4°) Invocation démoniaque [Desmina] [TERMINÉ]
5°) New Life In Hell [Desmina] [EN COURS]

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