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Sujets - Tyria Stukov

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Tekhos Metropolis / Un client bien spécial [Theorem & Ishtar]
« le: jeudi 25 juin 2015, 15:29:45 »

Tekhos Metropolis. Une ville immense à la technologie bien au-delà de celle de la Terre. Un endroit où l'impossible est rendu possible par la maîtrise de capacités parapsychiques et de nanotechnologies. Un monde entier de nouvelles possibilités.

 Et pour Tyria Stukov, la mine d'or qui fait grandir sa fortune petit à petit via les brevets sur des technologies récupérées ici qu'elle dépose sur son monde d'origine. Elle aurait pu s'en réjouir, sa fortune, déjà grande, héritée de sa famille et de générations de Stukov avant elle depuis la découverte de ce portail, dans cette banlieue abandonnée d'une ville japonaise, n'avait jamais cessé de croître. La ville avait depuis grandi, même si la banlieue en question était devenu le lieu de nombreuses demeures plus fortunées les unes que les autres. Et la maison des Stukov n'y faisait pas exception. Un grand domaine situé dans le creux d'une vallée, en bas d'un imposant manoir victorien appartenant à elle ne savait qui.

Mais Tyria était à peine satisfaite de sa situation. Il ne se passait pas un jour sans que la maison sur terre ne lui rappelle que ses parents y avaient fui en l'abandonnant aux mains d'une gouvernante adepte des enseignements du marquis de Sade. Et si la maison sur Terre avait été vidée de tout ce qui pouvait lui rappeler ses parents honnis, elle n'en demeurait pas moins une immense coquille vide. Elle ne s'y sentait pas chez elle. Pas plus que l'ancienne maison en Angleterre qu'elle avait liquidée en même temps que nombre d'autres de ses actifs du Royaume-Unis.

Elle passait désormais le plus clair de son temps libre sur ce nouveau monde où elle n'avait pas de mauvais souvenirs pour la hanter. Les pièces y étaient plus à son goût, les ayant faite refaire dans un style qui lui convenait mieux. Elle possédait la tour entière mais n'en habitait réellemen que le dernier étage. Les cinq en-dessous avaient été refaits dernièrement pour une nouvelle activité qu'elle avait ouvert dernièrement.

Ses parents avaient des esclaves dans ce monde où cela était autorisé. Le concept même l'avait répugnée. Jusqu'à ce qu'elle réalise qu'en réalité, les esclaves en question étaient traités comme des rois en échange de satisfaire les petits caprices de ses parents.

Qu'ils l'aient traité elle, leur propre fille, bien pire que la manière dont ils traitaient les esclaves qui étaient leur propriétés alors qu'elle était de leur sang l'avait énervée au dernier degré et l'avait fait les haïr, tous jusqu'au dernier. Elle avait fait rénover les cinq étages en-dessous du sien pour les transformer en harem, un bien joli nom pour une maison de passes. Et depuis, elle assouvissait sa vengeance en prostituant de force les ancien protégés de ses parents.

L'endroit avait été rénové pour convenir à l'usage qu'elle souhaitait en faire, elle avait de surcroît changé la sécurité pour s'assurer d'éviter les tentatives de fuites de ses esclaves. Elle s'était dotée de robots de sécurité pour surveiller son cheptel, équipé d'armes pouvant varier entre le non-létal et le létal. Afin de garantir plus de sécurité encore, elle avait fait implanter sous la peau dans des endroits aléatoires pour chaque esclave des puces de localisation et ils portaient tous un QR-code tatoué à l'arrière de la nuque permettant aux robots de les identifier à plus facilement ainsi que de collier à serrure magnétique portant leur numéro. Les anciens esclaves de ses parents étaient surtout des numéros à ses yeux. Ce n'était pas de vrais personnes. Du moins, c'est ce qu'elle ne cessait de se répéter. En cas de doute, de numéro étrange ou de QR-code illisible, les robots n'avaient pas de retenue à se servir de leur équipement et c'était bien ce que recherchait Tyria. Des gardiens froids et insensibles, silencieux comme la mort et fidèles jusqu'au dernier souffle.



Mais pour le moment elle avait affaire à un cas pour le moins particulier. Pas plus tard qu'une heure plus tôt, un genre de créature qu'elle n'avait jamais vu avant avait demandé à obtenir rendez-vous spécifiquement avec elle en se présentant au Harem. Intriguée, elle avait accepté avant de voir débarquer dans son grand bureau une sorte de créature à mi-chemin entre l'humanoïde et le reptile ailé. Portant une tenue de cuir à l'allure très martiale, elle, car il s'agissait probablement d'une femelle à son apparence, était suivit de près par une autre créature à l'origine... Indéterminée. Elle ressemblait à un Terranide. Ou une Terranide, Tyria n'aurait su dire. La créature avait des traits vaguement masculins mais féminisés à l'extrême et une tenue le rendant quasi-androgyne. Ses cheveux roux et ses oreilles étrangement poilues ne l'aidaient pas des masses. Il ou elle semblait avoir une main vaguement normale tandis que l'autre figurait plus une patte d'animal.

Tyria pour sa part portait un tailleur féminin trois-pièces foncé avec pantalon, cravate et gants assortis. Seule entorse aux règles de la mode, elle ne portait pas des chaussures ordinaires ou des talons hauts, mais des rangers.

Elle avait réussi à conserver une expression neutre, même quand la créature faisant penser à une sorte de dragonne noire s'était assise dans son fauteuil pour lui expliquer être amiral d'une nation dont elle ignorait tout et être ici pour ses loisirs.

Étant directrice d'entreprise sur terre et officiellement simple gestionnaire de Harem sur Terra, Tyria ne douta pas un instant que la créature et son... second l'avait-elle appelé ? Ne pouvaient que difficilement être chez elle pour autre chose. Elle pensa qu'ils souhaitaient une spécialité, même si elle ne voyait pas bien laquelle, son Harem n'offrant au final que des services relativement génériques.

Dire que la demande la surprit fut un euphémisme. Elle ne parvint pas à cacher son trouble qu'on vienne lui demander une chose pareille. Surtout considérant qui devait être ainsi traité.

Les explications furent un peu longues et fastidieuses, mais au final, Tyria se rendit compte qu'elle rentrait plus que dans ses comptes avec cet arrangement et que cela ne sortait pas vraiment, au final, d'un service d'ordre sexuel un peu étrange mais pas si improbable que cela. Et considérant qu'elle débutait dans ce genre d'affaires, commencer à refuser ce genre de propositions pourrait nuire à son image, surtout vu que son interlocutrice semblait avoir une certaine importance.

Elle accepta. Un acompte fut versé et elle raccompagna la dénommée "Ishtar" à la sortie, son second, un certain Théorem, demeurant quatre pas en arrière, cernés par quatre robots de sécurité. Il y eut un dernier échange d'adieux et la porte se referma. Tyria se tourna alors vers le nouveau venu et revint le regarder de plus près. Malgré qu'elle-même ne soit pas très grande, elle dominait légèrement le vice-amiral.

- Je me demande bien ce que tu as fait pour mériter ça... Marmonna-t-elle en fronçant les sourcils plus pour elle-même que pour entamer une réelle discussion.

Puis elle poussa un soupir et gifla subitement le roux d'un revers bien senti de la main. Tyria n'était de loin pa aussi fragile que sa carrure ne le laissait à supposer. Elle pratiquait le systema, un art martial russe inventé à la base pour les forces spéciales de l'ex-URSS, les Spetsnaz et se classait dans les dix meilleures combattantes de cet art du japon. Elle n'osait pas le pratiquer en compétition plus haut, parce qu'hélas, ayant déjà tué, elle avait un manque d'hésitations face à un adversaire à utiliser des coups létaux qui perturbait déjà énormément son professeur.

- SR-8, SR-6, emmenez-le, dit-elle à des deux machines. Qu'il dépose ses affaires au vestiaire... Enfin, s'il en est toujours capable... Dit-elle en sortant le pistolet à chocs du holster d'un des robots et en le réglant sur une puissance particulièrement douloureuse mais pas mortelle avant de faire feu sans sommation sur la créature, son "client".

Le roux hurla de douleur et tomba à la renverse, son corps agité de spasmes incontrôlables. Elle rendit ensuite son arme au robot et laissa les autres trainer le corps encore agité de convulsions en direction des vestiaires.

Tyria  se tourna ensuite vers le robot à sa droite, légèrement en retrait.

- Vas me chercher N°001, 002, 003 et 004. Et si N°003 fait encore sa précieuse, choque-le, dit-elle d'un ton froid. Je les veux dans la salle aux carrelages dans trois minutes. Et aussi court vêtu que possible, termina-t-elle.

Le robot attendit encore quelques secondes pour s'assurer de ne pas manquer une autre instruction et parti à son tour tandis que Tyria prenait elle aussi le chemin de ladite salle. Contrairement à ses esclaves, les salles avaient des noms. Une idée à elle dans le but de bien montrer à ses esclaves dans quelle estime elle les tenait.

Elle entra dans une grand salle carrelée de blanc, sentant légèrement le désinfectant. Elle ne contenait rien d'autre qu'un grand lit recouvert d'un sommier en matière imperméable. L'endroit avait été conçu pour pouvoir être nettoyé à grande eau entre deux clients. Probablement ce qui se rapprochait le plus dans son imagination d'une salle d'interrogatoire. Ou de tortures, ce qui n'était pas si éloigné.

La porte s'ouvrit derrière elle quelques instants plus tard et elle regarda son chronomètre. Les trois minutes était épuisée depuis au moins deux bonnes minutes.

Elle se tourna ensuite pour regarder qui venait d'entrer. Il s'agissait des N° 001 et 004. De leurs vrais noms, Lirinëlle et Sodoka. Lirinëlle était une superbe elfe blonde cinq fois plus âgée que Tyria, mais ayant passé sa vie en esclavage depuis sa naissance. Achetée par sa mère comme cadeau pour son père, elle ne s'était pourtant pas privée de satisfaire aussi l'ex-maîtresse de maison. Sodoka était une esclave Neko qui avait été donné à son père par un partenaire commerciale de Tekhos, mais elle était arrivée trop tard pour avoir connu son père ou sa mère plus que par quelques mots échangés. Elle était celle que Tyria terrifiait le plus pour avoir tué ses parents alors qu'elle en gardait le souvenirs de personnes gentilles.

Fort heureusement pour elles, toutes-deux étaient habillées de micro-bikinis, conformément à ses ordres.

- C'est ça que vous appelez "dans trois minutes" ? Demanda la jeune esclavagiste avec la chaleur d'un iceberg.

- Nyah, Maîtresse Stukov, il fallait qu'on se change... Tenta de plaider 004.

Tyria détendit son bras d'un coup et agrippa la Neko par la mâchoire, ce qui la fit se figer de terreur.

- Je n'ai pas demandé d'excuses, 004... Fit remarquer Tyria en la toisant d'un regard inexpressif.

La petite Neko se mit à trembler violemment de peur. Tous les anciens esclaves avaient assisté à la démonstration qu'elle avait faite en écrasant à coups de poings la gorge de 003 qui avait cru pouvoir se comporter de manière familière avec elle sous le prétexte qu'il était le favori de sa mère, ce malgré qu'il faisait trente centimètres et quarante kilos de muscle de plus qu'elle. Il était désormais connu de toute la maisonnée que Tyria pouvait tuer à mains nues si l'envie lui en prenait et que les robots ne feraient rien pour l'empêcher.

Elle relâcha la petite Neko qui tomba à genoux, tremblante comme une feuille. Celle-ci fut rejointe par l'elfe qui la prit dans ses bras pour la rassurer.

La porte se rouvrit, laissant le passage à 002, Classa. Qui elle aussi portait un sling-bikini, l'air aussi contente d'être là que d'avoir croqué dans un citron. Tyria n'avait pas réussi à définir à quelle race appartenait cette créature, simplement qu'elle avait du sang de démon quelque-part dans ses ancêtres.

- Tu arrives un peu tard 002... Commenta Tyria.

- Votre machine a tiré sur Korus à deux reprise, dit-elle en ne cachant pas son dégoût. Il fallait bien que quelqu'un l'empêche d'avaler sa langue.

- Korus... Ha, 003... Réfléchit Tyria à haute voix. J'imagine qu'il a encore désobéi...

- Il a juste demandé pourquoi il devait venir aussi ! Siffla Classa en montrant les dents, une grimace de colère à peine contenue sur le visage.

- Il a fait sa précieuse donc... Commenta Tyria.

Classa fit un pas en avant en serrant le poing. Le robot au côté de Tyria dégaina et braqua son pistolet à chocs sur sa tête dans le dixième de seconde qui suivit.

- Tu es plus obéissante que ça d'ordinaire 002... Constata Tyria. Est-ce que tu commencerais à t'apitoyer sur le sort de 003 par hasard ?

La porte se rouvrit à nouveau et le robot envoyé chercher les esclaves poussa à l'intérieur de la pièce 003, Korus de son vrai nom, quoique Tyria doutait fort que ça soit sa véritable identité. Actuellement vêtu d'un simple slip de bain moulant rouge assorti à la couleur de ses cheveux, 003 avait été doté, de manière onéreuse par sa mère, d'attributs masculins particulièrement développés. Il pratiquait qui plus est le fitness à un bon niveau pour conserver une musculature saillante. De tous ses esclaves, c'était celui pour lequel Tyria avait le plus de mépris et dont elle se méfiait le plus. Très beau parleur, Korus avait été le préféré de sa mère en son temps et il avait largement profité de cet état de fait à l'époque. Il était tombé de très haut quand Tyria avait repris les rênes et s'il avait été enjôleur au début, il avait cédé une fois à la violence et levé la mains sur elle. Ce qui en avait résulté en sa défaite publique devant les autres esclaves et la démonstration des compétences au close-combat de Tyria. Mais il demeurait très fier et très con de l'avis de sa propriétaire.

"Les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnais", disait un proverbe français. Tyria se méfiait particulièrement de lui car il semblait avoir décidé de lâcher l'idée de devenir un collabo pour tenter celle de martyr. Et le pire étant probablement que cela semblait fonctionner.

- 003... Encore à faire des tiennes... Commenta Tyria tandis que le jeune homme se relevait en se massant les bras.

- J'en suis navré... grinça ce dernier d'un ton tout sauf désolé.

- Nous en reparlerons... Commenta l'esclavagiste en se tournant vers le robot qui venait d'entrer. Va me chercher un chaise dans le salon noir.

Le robot parti sans un mot, fermant la porte derrière lui, laissant Tyria et l'autre robot dont l'arme était toujours braqué sur le front de 002 seule avec 001, 003 et 004. Classa finit par se retirer pour aller voir Korus qui l’accueillit avec un regard humide de chien battu du plus bel effet. Le robot revint avec une chaise capitonnée de cuir noir qu'il posa devant sa maîtresse et où elle s'assit.

- Où est notre client ? demanda Alors Lirinëlle.

En guise de réponse, la porte se rouvrit une nouvelle fois et deux robots soutenant Théorem dans sa tenue de soumise par les épaules entrèrent.

- Le voici, dit Tyria en désignant le Terranide Roux que les robots laissèrent tomber au milieu de la pièce sans guère de douceur, encore légèrement tremblant de la décharge qu'il avait reçue quelques minutes plus tôt.

Les esclaves se regardèrent avec des airs d'incompréhension qui auraient pu être comiques dans d'autres circonstances.

- Nyah, vous avez fait choquer un client maîtresse ? S'horrifia Sodoka.

- Ce sont les termes du contrat, répliqua-t-elle. Cette petite salope que vous voyez là doit être martyrisée jusqu'à ce que sa maîtresse revienne le chercher.

- Martyrisé comment ? demanda 002 d'un ton soupçonneux.

- Quand tu auras besoin de le savoir, je te le dirais, répliqua sèchement la jeune Stukov. Injection A-1 pour les numéros, dit-elle en se tournant vers le robot le plus proche.

Celui-ci ouvrit sa plaque pectorale sur un compartiment de stockage réfrigéré et sorti un tube de liquide bleuâtre qu'il chargea dans un injecteur hypodermique fixé à son avant-bras et l'ensemble des esclaves, surnommés les "numéros" par leur propriétaire frémirent en reconnaissant le produit : un aphrodisiaque plutôt léger par rapport à nombre d'autres présent dans le harem, mais qui avait le détestable effet secondaire de donner des maux de ventre.

Malgré tout, aucun ne protesta ou ne se déroba quand le robot passa de personne en personne pour en injecter une dose dans le creux du coude de chacun. Le robot revint ensuite se placer au côté de la maîtresse de maison qui regarda ses esclaves commencer à doucement se mettre à transpirer et avoir de plus en plus chaud alors que le produit faisait son office. Elle constata que les tétons des filles se mirent à pointer dans leurs maillots qui s'humidifièrent légèrement par le bas tandis que le seul homme de la pièce commençait pour sa part à avoir une trique énorme qui commençait à déborder de son slip de bain.

- 002, tu vas maintenir la petite pute contre toi en passant ton coude sous sa gorge et en retenant sa patte griffue à l'aide d'une clé de bras. Veille à bien plaquer ta poitrine contre son dos. 001, 004, vous allez frotter vos poitrines contre le torse de la petite pute et en profiter pour lécher ses tétons piercés.

Elle se tourna ensuite ver le seul esclave mâle de la pièce.

- Quant à toi 003, tu va aller frotter ce qui te sers de deuxième cerveau contre la figure de la petite pute.

- Aux dernières nouvelles, je suis hétéro, protesta en geignant Korus.

- Félicitation, tu viens de devenir bi, grinça Tyria d'un ton aussi froid qu'un blizzard sybérien. Exécution...

L'esclave baissa le regard et s'avança avec les autres, obéissant malgré tout, la présence des quatre robots de garde équipés de pistolets à choc aidant probablement beaucoup dans ce sens. sans compter qu'à poings nus, attaquer leurs blindages n'avait pas de grandes chances de réussite et ils étaient insensibles à leur propres armes.

Classa tordit donc le bras poilu de Théorem et le relva en passant un bras sous son cou comme si elle cherchait à l'étrangler, plaquant son opulente dotation mammaire contre le dos du soumis. Lirinëlle et Sodoka vinrent à leur tour plaquer leurs poitrines durcies aux tétons tendus contre l’abdomen du Terranide avant de commencer à lécher avec chaleur ses tétons piercés. Personne ne fit de commentaire sur la cage pénienne du soumis et finalement, Korus vint frotter avec un grognement dégouté son membre turgescent contre la figure de Théorem.

- Excitez-le-moi, ordonna Tyria d'un ton autoritaire tout en sortant de sa poche un petit projecteur holographique portable qu'elle posa sur son oreille avant d'en déployer l'écran devant un de ses yeux. Par contre le premier qui me le fait jouir, je le fais jeter par le balcon.

Les esclaves eurent un mouvement de surprise synchronisé, puis reprirent leurs caresses de plus belle, désormais très concentrés sur leur affaire malgré que tous n'aient qu'une envie très visible dans leurs regards : baiser comme des animaux.

De son côt, Tyria se mit à consulter quelques rapports financiers et sa correspondance mail tout en suivant les ébats d'un oeil distrait.

Elle n'arrivait pas à aimer le sexe et ce qu'elle voyait pour le moment la rebutait plus que ça ne l'intéressait.

Vouloir se faire maltraiter, voilà bien une chose qu'elle ne parvenait pas à comprendre.

2
Prélude / Tyria Stukov future esclavagiste [Validémonisée]
« le: lundi 15 juin 2015, 00:04:16 »
IDENTITÉ

NOM & PRÉNOM : Stukov Tyria
ÂGE : 18 ans
SEXE : Féminin sans rien de plus (pour le moment)❤
RACE : ♪ Humaine ♫
SEXUALITÉ : Tout ce qui me plaît  et que je trouve mignon ! (Mais c'est plus souvent des filles je dois admettre ❤)



PHYSIQUE

Tyria est aujourd'hui une très jolie jeune femme avec bien plus de formes que la plupart de ses camarades. Bien que d'origine Russe, elle est la quatrième génération de Stukov depuis l'immigration de la première en Angleterre pendant la révolution Russe de 1917. Elle n'a jamais mis les pieds en Russie, mais si elle parle le russe par son père, l'anglais par sa mère, le français grâce à l'école, l'italien grâce à son oncle et le japonais par son ex-prof particulière. Elle est brune, pas très grande, environ un mètre soixante-dix, pèse soixante kilos, a un physique fin mais athlétique, de longue jambes fuselée et une poitrine bien développée pour son âge.

Son visage est rieur et elle aime sourire même s'il n'en a pas toujours été ainsi. Elle a de très beau yeux bruns profond et porte ses cheveux longs sans prendre vraiment la peine de les coiffer car elle fait beaucoup de sport et trouve très pénible de passer son temps à se recoiffer.



CARACTÈRE

Tyria est une jeune fille qui semble assez bipolaire à qui la connaît. Quand elle est en publique c'est une jeune fille rieuse, aimable, bonne vivante, et très ouverte. Elle a tendance à tourner assez facilement les choses à la plaisanterie et fait parfois un peu la folle pour faire tomber les tensions.

Mais en affaire, c'est une personne relativement froide et qui ne conserve son côté joueuse que dans le sens d'un chat aimant jouer avec une souris avant de l'achever. Elle déteste qu'on se moque d'elle ou qu'on tente de la doubler sous le prétexte qu'elle est jeune. Pas très expérimentée peut-être, mais stupide, ça certainement pas ! Elle a beau être encore à l'école, elle a hérité de l'entreprise de ses parents et ce n'est pas pour rien. Tyria a le sens des affaires même si parfois les questions juridiques lui échappent un peu. Et même si souvent la morale de ce qu'elle demande est plus que discutable. Pour elle, la vie est une salope prête à te planter un couteau dans le dos dès que tu baisses ta garde et qu'il faut dompter si on veut avoir un jour la chance de pouvoir la vivre correctement.

Enfin en amour, Tyria a tendance a être une dominante à tendance sadique. Ayant été très longtemps soumise par une famille qui a étouffé sa personnalité, elle a depuis énormément de peine à se laisser aller et éprouve le besoin de tout contrôler quand elle se sent aussi vulnérable que quand elle est nue.



HISTOIRE

Tyria est née dans une famille qui a fait fortune grâce à un secret très jalousement gardé depuis la fin de la deuxième guerre mondiale. En effet, l'un de ses grand-oncle a immigré au japon dans un ancien domaine abandonné de Seikusu et a trouvé dans un ancien puit une chose incroyable : Un portail permanent vers un nouveau monde où la technologie est bien plus avancée que sur Terre. Grâce à cela, cet oncle a fondé une société basée sur la recherche et le développement de nouvelles technologies.

Grâce à cette société, Les Stuckov firent main basse sur des éléments de la vie de tout les jours de ce coin de Terra qu'est Tekhos, s'attaquant surtout au marché des produits de tous les jours afin de les étudier, de les comprendre, puis de proposer leur version de ces nouvelles technologies à la constructions sous licence par d'autres entreprises. Ils s'attaquèrent aussi bien à la technologie d'avant-garde informatique, électronique, mécanique, mais aussi chimique, cosmétique et pharmacologique. Afin d'éviter d'attirer l'attention, la firme fit toujours le nécessaire pour ne pas proposer d'avancées trop foudroyantes, quitte à aller chercher certaines étapes dans les musées Tekhans tout en s'assurant de conserver toujours plusieurs années d'avance sur leurs concurrents directs et indirects, profitant même à certaines occasion de proposer leurs découvertes en sous-main aux grands groupes déjà implantés dans les divers domaines.

Ainsi, tout en appliquant une stratégie commerciale discrète mais efficace, la compagnie accumula doucement une fortune colossale qu'elle se garda bien de dévoiler tandis qu'elle poursuivait tout doucement son pillage des ressources industrielles de Tekhos. L'entreprise dépensa surtout énormément pour conserver le secret au sujet de leur "puit des merveilles" et fit construire sur lui une immense demeure aux alentours des années 1970 dans laquelle la famille de son grand-oncle s'installa. Avec le temps, l'affaire devint familiale et c'est ainsi que les parents de Tyria finirent par en prendre la tête quand l'unique fils du fondateur mourut sans laisser d'héritier reconnu.

Hélas pour Tyria car ses parents avaient longtemps convoité l'entreprise familiale de son oncle. Ceux-ci, en vrai vautours, l'avaient d'ailleurs conçue presque uniquement pour donner une bonne raison au frère de son père de le nommer héritier de l'entreprise. Née en Angleterre, elle vit ses parents partir pour le japon sitôt que son oncle fut enterré. Elle avait trois ans et fut confiée à une gouvernante anglaise de la pire espèce, de l’aveu de ses parents, la plus stricte qu'ils aient pu trouver.

Plus sèche que dans les plus grotesque caricatures de dessins animés, l'éducatrice n'hésitait pas à faire appel aux punitions corporelles pour diriger la jeune demoiselle. Dès ses quatre ans, la jeune Tyria découvrit le baiser de la cravache sur ses fesses en guise d’accueil quand elle traînait trop les pieds. Très vite terrorisée par sa gouvernante, Tyria vécu dans la peur constante de l'échec qui se soldait immanquablement par des coups et des cris. Elle eut de nombreux précepteurs qui se chargèrent de son éducation scolaire tandis que sa gouvernante lui faisait aussi subir des cours sur le maintient, des cours de danse ainsi que ce que sa gouvernante appelait des "cours de conversation en bonne société".

Mais malgré tous ses efforts, il ne se passait pas une semaine sans que la cruelle gouvernante ne trouve l'un ou l'autre moyen pour la punir, que ce soit en la cravachant parfois au sang ou en l'enfermant dans "la boîte", une sorte de casier métallique étroit, sans lumière et où il était impossible de bouger. Elle ne découvrit que vers ses douze ans le sens du mot "sadique" et se rendit compte qu'il collait parfaitement à la vieille dame, qui prenait sans conteste un plaisir pervers à lui ordonner de soulever sa jupe pour qu'elle puisse cravacher ses petites fesses jusqu'à ce que la jeune fille ne les sente plus et ait les yeux si inondés de larmes qu'elle ne voyait plus rien.

Mais dès ses premiers sang, le comportement de la gouvernante changea. Ses punitions se firent plus alambiquées. Plus humiliantes. Cela commença par lui confisquer ses habits pour des journées entières, la forçant à assister nue à certain de ses cours dont les précepteurs, largement rémunérés pour leur silence, ne firent aucun commentaires. Puis à la boîte se substitua des punitions d'immobilisation longue durée avec un masque qu bloquait sa vue, son odorat, son ouïe et son goût, souvent retenue dans des positions humiliantes et difficiles pour son corps dont elle ressortait toujours courbaturées et les muscles douloureux.

Elle tenta d'alerter ses parents des traitements immoraux dont elle était la victime, mais découvrit que ceux-ci étaient parfaitement au courant et cautionnaient le traitement qu'elle subissait. Dès lors, ses parents ayant accordé carte blanche à sa gouvernante pour la remettre dans "le droit chemin", celui de l'obéissance aveugle envers leur autorité, celle-ci confisqua toute forme d'appareil électronique afin de murer encore plus la demoiselle hors de tout contacts externes. La cravache devint un martinet, puis un fouet dont elle dégusta hebdomadairement la morsure. Elle n'avait plus droit qu'à des résultats de cent pourcent sur ses tests, sinon la punition tombait plus dru que jamais.

Torturée, seule, isolée, à bout aussi bien physiquement que mentalement, la jeune fille se senti briser petit à petit.

L'année de ses quatorze ans changea tout. Telle Mary Poppins surgie de nulle part, un des précepteurs se fit remplacer par une stagiaire très prometteuse à laquelle il enseignait à l'université. C'est ainsi que la jeune fille entamma sa nouvelle année sous la houlette d'une enseignante nommée Alexanders. Tessia Alexanders.

Dès les premiers contacts, la nouvelle enseignante posa énormément de questions en trouvant le comportement de la jeune fille étrange. Mais pour éviter d'être encore plus âprement disputée, Tyria garda le silence sur ce qui lui arrivait réellement. Malgré tout, sa nouvelle institutrice se révéla intéressante et chaleureuse, si bien que Tyria reprit un peu courage et son heure de cours avec sa prof devint son rayon d'espoir dans les ténèbres de son existence. La gouvernante détesta en revanche la jeune femme, la trouvant trop familière et trop douce avec la jeune fille et la sermonna sur les besoin de promulguer une éducation stricte et de la discipline pour ses élèves.

Tessia ne se laissa pas démonter, mais comprit vite que son stage serait vite écourté. Aussi elle offrit à son élève une petite gemme rouge ainsi qu'une sorte de formule magique. "Quand on veut on peut".

Quelques jours plus tard, Tessia dût faire ses bagages et partir, mais elle laissa ses coordonnées à Tyria qui s'empressa de les cacher précieusement. Quand les punitions reprirent de plus belle, la jeune demoiselle se mit à répéter sans cesse cette formule. "Quand ont veut on peut". Elle se la répéta pendant les heures passées sous le masque ou encore dans les moment d'humiliation et de nudité qui lui étaient imposés.

Puis ce fut la goutte de trop. Après tout ce temps passé à la battre, la gouvernante songea qu'il était temps de passer à l'étape supérieure en s'attaquant à ses trous.

Cette fois la jeune fille, refusa de se laisser faire. Dans un moment où toute sa frustration, toute sa colère et toute sa haine éclata, la gemme répondit à son appel. Ses liens lâchèrent miraculeusement. Soudain libre, la jeune fille attrapa le fouet et se jeta sur sa tortionnaire. Celle-ci s'assurant toujours que la maison était bien vide quand elle punissait sa victime, personne ne put lui venir en aide quand elle se servit de la lanière de cuir pour étrangler la vieille femme. Elle serra comme elle n'avait jamais serré et tint jusqu'à ce que celle-ci ne bouge plus. Et là encore, elle resta immobile plusieurs dizaines de minutes avant de relâcher finalement sa prise.

Elle avait tué pour la première fois, mais se sentait tellement mieux après cela qu'elle ne réussi qu'à rire de soulagement. Son cauchemar était fini. Plus personne ne viendrai la tourmenter... Jusqu'à ce que ses parents lui trouvent une autre gouvernante...

Réalisant cette possibilité, la jeune fille paniqua un moment. Puis se calma et réfléchit. On l'avait poussée à l'excellence pendant des années aussi elle trouva un plan. Elle fit passer la mort de sa gouvernante pour un cambriolage qui avait mal tourné. Elle fit également tout une batterie de photos et récolta un grand nombre de preuves à charge contre sa gouvernante, mais surtout contre ses parents et réclama ouvertement à ceux son indépendance pour la suite, sans pour autant leur révéler son dossier spécial. N'ayant pas encore quinze ans, ceux-ci refusèrent, alors elle leur envoya un échantillon du dossier par mail, comprenant les messages où ils lui avaient bien naïvement écrit noir sur blanc qu'ils savaient tout et s'en moquaient pour les menacer ouvertement d'aller trouver la presse et de les trainer en justice s'ils n'accédaient pas à ses demandes.

Ses parents finirent par accepter pour éviter le scandale que cela créerait autour de la compagnie et les accusation de maltraitance ainsi que de pédophilie que cela aurait entraîné. Ils couvrirent la perte de la gouvernante et laissèrent un temps Tyria avec la bride sur le cou.

Mais elle n'était pas stupide et eux non plus, ça ne pouvait pas durer éternellement et elle devait trouver une solution plus définitive. Elle avait bien senti quelque chose avec la gemme quand elle avait été poussée à bout. Elle rappela alors son ancienne institutrice.

Celle-ci n'avait pas entendu parler de la mort de la gouvernante et s'étonna ouvertement qu'on la rappelle. Tyria n'y alla pas par quatre chemins. Elle savait que la pierre avait fait quelque chose, elle savait que Tessia ne pouvait pas tout ignorer à ce sujet. Elle voulait savoir comment s'en servir.

La stagiaire institutrice demeura longtemps dubitative aux demandes insistantes de son ancienne élève mais finit par céder quand celle-ci la supplia, arguant que c'était une question de vie ou de mort pour elle. Elle lui confia que sur une émotion très violente la pierre pouvait exaucer une sorte de souhait. Mais que cela consumait de l'énergie dans la pierre et que si celle-ci venait à se briser, elle deviendrait inutile.

Le soir même la pierre se brisa. Le lendemain, les autorités japonaises appelaient la demeure pour l'informer que ses parents avaient été retrouvés morts suite à une explosion de gaz dans leur maison du japon. Tyria ne pleura leur mort que pour la forme. Elle hérita de la fortune familiale et rechercha sa prof pour la remercier. Celle-ci avait cependant entendu parler de l'incident et ne voyait pas du tout d'un bon œil l'usage qui avait été fait de son cadeau. Mais ignorant les raisons de l'acte de la jeune fille, que celle-ci se refusait toujours à lui dire, elles se brouillèrent toutes les deux. Malgré tout, la demoiselle reconnaissante offrit à son ex-institutrice une rente à vie alimentée par un fond de placement dans la banque internationale de Londres. L'argent lui étant versé de toute façon, celle-ci grommela mais accepta le cadeau pas vraiment de gaieté de cœur, elle en avait besoin pour poursuivre ses études.

Dès lors la jeune demoiselle se mit très sérieusement à bâtir sa vie et surtout à comprendre les affaires familiales. Pour cela, elle vendit la maison dans laquelle elle avait tant souffert en angleterre et se rendit au japon. Elle fit rénover l'ancienne maison de ses parents après avoir prit connaissance de ce qui se trouvait au sous-sol. Découvrant un monde entier de possibilité, elle convoqua les quelques hommes qui avaient été envoyés de l'autre côté pour explorer et voulu apprendre tout ce qu'ils savaient.

C'est ainsi qu'elle découvrit Terra et qu'elle s'y rendit en quelques occasions. Elle découvrit la "deuxième demeure" de ses parents de l'autre côté du portail. Elle découvrit aussi les nombreux esclaves qui s'y trouvaient. Au début, elle les plaint jusqu'au moment où elle comprit que, contrairement à elle, leur propre fille, ses parents faisaient mener une vie de rois à des esclaves d'un autre monde.

Elle entra dans une profonde colère et résolu de se venger de ceux qui profitaient des largesses de ses parents pendant qu'elle souffrait le martyr. Elle fit construire une annexe à la maison se trouvant à Tekhos et ouvrit un harem où elle força ses esclaves à se prostituer pour lui rapporter de l'argent, mais surtout les humilier et les punir d'avoir si bien vécu là où elle subissait outrages et mauvais traitements.

Ayant depuis emménagé au japon, Tyria s'incrivit au lycée pour pouvoir avoir des contacts socials avec des gens et retrouver un peu confiance en elle. Elle s'inscrivit aussi à des cours intensif de systema, un art martial russe dont elle avait entendu parler. Avec le temps, elle apprit à avoir quelques façades avec les gens autour d'elle et elle guérit doucement ses blessures. Sa pratique de l'art martial sculpta son corps, la rendant vive et alerte en même temps que forte et sure d'elle. Malgré tout, elle souffre de problèmes de confiance en autrui et si elle a déjà poussé certain et certaine de ses esclaves à essayer de la satisfaire, elle n'a jamais osé aller jusqu'au bout et demeure vierge. Elle ne se sent pas à l'aise avec les ancien esclaves de ses parents et a résolu de commencer à s'en acheter des pour elle et les dresser pour pouvoir avoir confiance en eux et pouvoir peut-être se laisser aller entre leurs bras. Mais pour le moment rien n'est fait. Elle doit encore se lancer dans ce projet. Tout en allant au lycées à côté, sous l’œil inquisiteur d'une enseignante qui a remarqué son arrivée et se demande ce qu'elle peut bien trafiquer dans le secteur.



AUTRE

Tyria possède une société florissante mais discrète du côté terrestre qui lui apporte une santé financière plus qu'enviable. Sur Terra, elle n'est qu'une rentière excentrique qui a ouvert dernièrement un harem de luxe dans une aile de sa maison à Tekhos.

Elle n'est qu'une simple humaine, mais ne désespère pas de devenir plus un jour. Après tout, vivre un siècle c'est trop peu ! Elle a déjà usé de magie par le passé, peut-être pourra-t-elle recommencer à l'avenir ?

Elle fait partie du top 10 du japon des combattante de systema qu'elle pratique trois fois par semaine et a une forme physique ainsi qu'une souplesse exemplaire.

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