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Sujets - Cimbaeth shadowalker

Pages: [1]
1
Les contrées du Chaos / Aide extérieure [Pv]
« le: mardi 13 octobre 2015, 15:01:35 »
Cimbaeth se demandait où étaient ses commanditaires. Il n’avait pas beaucoup de précisions quant à ce pourquoi on lui avait dit qu’il était là… c’était stupide sans doute, mais il pensait beaucoup à la situation. Il sourit néanmoins en pensant au brio avec lequel il avait été contacté… on n’avait pas simplement pris contact avec lui, il avait pris une minuscule rouste au passage :  on avait réussi à passer avant lui, et sans rien voler, on lui avait laissé un mot sur ce qu’il devait voler. Il sourit à cette idée. C’était absurde, n’est-ce pas ? Il sourit et regarda encore une nouvelle fois le mot. Puis il le rangea dans sa tenue de cuir léger, dans une des nombreuses poches qui étaient fort bien dissimulées.

On s’était montré presque aussi doué que lui. Oui, presque, pour la simple et bonne raison qu’on ne pouvait être plus doué que lui, n’est-ce pas ? Il sourit et regarda un ^peu plus la pièce. Il ‘agissait d’un salon privé d’une auberge, et il attendait qu’on vienne le voir. Il avait ouvert la fenêtre, jusqu’au cas où. Il ne voulait pas se retrouver sans sortie, et la fenêtre, à une dizaine de mètres du sol, ne semblait clairement pas en être une. Qui sait, cela s’avèrerait peut-être nécessaire… et imprévisible, en effet, sortir et sauter de cette hauteur était sans doute dangereux… aucun risque que pour lui !

Faisant fi de l’heure qui avançait, il sortit un couteau qui était logé conte son mollet et commença à le nettoyer, pensif en attendant. Quand enfin la porte s’ouvrit pour laisser passer l’interlocuteur/trice présumé, il ne leva pas les yeux, et ne cessa pas avant d’avoir fini. Puis il rangea son arme à la bonne place avant de finalement dire sur un ton à la fois nonchalant et un peu sec.

« Ce n’est pas trop tôt. »

Il se releva sans un regard pour autant pour elle ou lui avant de rajouter.

« Je m’appelle Cimbaeth, tu le savais déjà, mais qui es-tu ? »

Il n’avait jamais vouvoyé personne. Il n’allait pas commencer aujourd’hui !

2
Ville-Etat de Nexus / Un défi à la hauteur ? [Pv]
« le: mercredi 01 juillet 2015, 14:32:33 »
Quand on est le fils du dieu des voleur, on a certains avantages, comme par exemple l'impression de savoir quand quelqu'un se prépare, par exemple, à commettre un vol, ou un cambriolage… bon, il évitait donc, vous vous en doutez, les bas-fonds des villes où il frémissait d'indignation tant le vol n'avait rien à voir avec l'art ; Il estimait qu'il était homme unique en son genre, capable de voler n'importe quoi, n'importe quand, à) n'importe qui. Et si il réalisait des choses impossibles, ce n'était pas parce qu'il était à la hauteur pour qu'elles soient possibles c'était justement parce qu'elles étaient impossibles, ni plus, ni moins ! Voilà comment se résumaient les choses. Et là, installé sur un toit, il attendait quelque chose. Il attendait le petit frisson qui ferait de lui un homme heureux, le frisson d'un défi intéressant à réussir. Et le vent le lui porterait. Le vent lui indiquerait où aller. Alors en attendant, il patientait, il attendait. Car la patience était une vertu qu'il devait beaucoup utiliser !  Il jeta un petit œil en bas avant de retourner dans son espèce de transe méditative, jusqu'à ce qu'enfin, il entende le vent lui porter les nouvelles. c'était un vent du midi, chaud et joueur qui était là, à jouer avec lui, à vouloir le taquiner.

Il lui apportait une nouvelle, un défi qu'il lui serait amusant de regarder, au moins, au lieu de simplement agir. Il agirai s'il le voulait, mais rien ne l'y obligerait, il regarderait un peu ce qui se passerait et il aviserait. Se déplaçant vers la direction que lui indiquait le vent. Aller vers le sud, logique ! Il se mit en route. La ville de Nexus était sa destination. Pourquoi ? Rien n'était précis, mais il le saurait bien assez vite. Il le sentirait. Tout simplement !

Répugnant les rues il préféra monter les;le premier toit pour rester en l'air et ainsi, non seulement il dominant le commun, mais en plus la légère brise était en train de le caresser et de l'entraîner. Il connaissait le vent,, il ne soufflait jamais dans une direction hasardeuse, alors il se laissa ainsi guidé, tel une feuille. Il était une feuille en fait. Il se laissait entraîner par la brise, jouant avec le vent comme on jouerait amoureusement avec une amante. Voilà qui était clairement amusant ; Il sourit et devant un vide trop vaste pour qu'il soit possible de le franchir d'un bon, il se laissa glisser à bas du toit, semblant glisser le long du mur comme le ruissellement de l'eau et il se décida à entrer dans le bâtiment qu'il voyait. Une auberge apparemment.

Il fut assailli par les odeurs de sueur, de pieds, et de bières pas fraîches, il savait déjà ce qu'il ne boirait pas !  Subtilisant une bourse au passage, il paya l'aubergiste pour avoir accès à un salon privé et s'y installa en commandant juste de la vinasse. Il ne commanda pas à manger, il n'avait pas faim. Il sortit de SON salon pour aller uriner et c'est en passant devant la porte de l'autre salon qu'il  entendit quelques mots qui lui firent glisser un frisson tout le long de l'échine. On parlait de préparer un cambriolage.. ; enfin pas en ces termes, mais parler de récupération, d'absence de la majeure partie des gardes, de timing serré… il sourit. Était-ce ce pourquoi il était là ? Peut être !  Il alla finir la dernière gorgée de son vin et il se dirigea vers  l'extérieur… si il ne se trompait pas dans le sens de l'orientation…

Il escalada l'arrière cour pour remonter sur le toit, se dirigea jusqu'au bon pan de mur, se suspendit à la gouttière, et se laissa tomber sur le bon rebord de fenêtre pour finalement toquer et attendre que l'on ouvre.

« Bonjour, on parle de cambriolage ? « 

Il éclata de rire et  se glissa dans la pièce comme un courant d'air.

3
Prélude / Cimbaeth Shadowalker [Valilouvée!]
« le: jeudi 07 mai 2015, 22:31:01 »
Identité : Cimbaeth, dit l'intouchable, ou encore le marcheur d'ombre
Âge : une trentaine d'années
Sexe : Masculin
Race : Demi-dieu
Sexualité : Hétérosexuel

Physique :
Comment parler de ce que l'on ne voit pas ? Non pas  qu'il soit invisible, bien que ce soit ce que l'on suppose de lui, cet homme de taille plus que moyenne et à la faible carrure, chose surprenante, est insaisissable, pas dans le sens où l'on ne pourrait pas le tenir dans ses bras, non, bien sur, mais dans la mesure où il semble ne pas pouvoir être arrêté, voleur de grand renom, presque autant que celui d'un roi ou d'un prince qui a mené à la victoire ses soldats maintes et maintes fois, avouez le, vous vous attendiez à autre chose de lui ? Et pourtant… pourtant sous la cape dissimulant une armure de cuir souple se cache une musculature sèche et efficace, assortie de plusieurs et jolies cicatrices et différents tatouages. La musculature est logique si vous prenez en compte le fait qu'il s'entraîne depuis son enfance pour cela, les cicatrices aussi dans la mesure où on n démarre pas en haut du panier, et les tatouage… considérez juste que les lignes et motifs abstraits qui couvre son dos, son torse et ses bras ne veulent pas dire grand-chose, c'est juste quelque chose de purement esthétique, de son point de vu.
Des yeux marrons sur un visage loin d'être doux, quoique sans être taillés à la serpe, il ne possède aucun cheveu sur le caillou, et pareil sur tout le corps :  pas de prise, même infime, possible sur le corps de notre voleur, cela fera peut être sortir des exclamations sur un certain genre de sexualité qu'il doit pratiquer, mais cela a un effet pratique, tout simplement… pas la moindre prise, pas la moindre résistance à l'air de ce côté là.
Il dispose sur l'épaule d'un tatouage d'oiseau en envol.

Caractère :
Cet homme n'est pas franchement doué pour jouer les caméléons. Certes, il est manipulateur, et très doué en la matière, question de travail, un pli à prendre, je vous assure, et il est même bon acteur, mais voilà, difficile de cacher sa suffisance, difficile de cacher son plaisir à ne pas être démasqué, à ne pas être arrêté, à voir les bourgeois trembler quand sonne le temps du poignard… ah oui, peut être devrait-on le préciser. Il est tellement suffisant qu'il aime prévenir ses cibles avant de les détrousser, parfois des semaines à l'avance, parfois une petite heure, cela dépend du défi qu'il souhaite pour son cambriolage…
méticuleux et appliqué, sans les dons qu'il dispose il resterait un homme très adroit de ses mains, très sur de ses gestes, on sent, quand il agit une sorte de charme quelque eu animal, peut être que cela vient de sa façon de parler, ou de sa manière de se mouvoir, peut être des deux, mais une chose est sure :  quand il s'y met, il est charismatique, captivant même
Très porté sur les joutes verbales, il estime avoir beaucoup de répartie, à tort ou à raison d'ailleurs, mais il semble avoir une affinité particulièrement aigüe avec le sarcasme et l'ironie, avec un ascendant très noir, quant à l'humour.
Dénué de scrupule, il n'a aucun problème à accomplir le pire pour réussir à atteindre le but qu'il s'est fixé. De plus, conscient de sa divinité, il en profite souvent pas mal...

Histoire :
Hum, que dire au début ? La naissance ? Oui, sans doute… on dit que la vie est une pute… mère aussi en était une… au sens propre. Vous me trouvez dur de parler de ma mère ainsi ? Moi je l'adore ma mère !  Mais il faut savoir appeler un chat un chat et une pute une pute…  elle vendait ses charmes et son corps, vous appelez ça comment ? Et même pas pour cher… enfin bref… elle a pas eu de bol, un client a payé, a tiré son coup et je suis né à cause de ça. Plus possible de racoler en étant enceinte. Au moins j'ai eu plus de chance que beaucoup d'autres :  j'ai pas grandi dans les rues, mais bien au chaud, entouré de femmes, elles me traitaient bien et en échange, très vite, je devins leur saute-ruisseau ( vous appelez ça des coursiers maintenant je crois -  allant chercher le médecin et autres personnes dont elles pourraient avoir besoin. Je ne vais pas vous dire que la vie des putains n'étaient pas choquantes, mais vous savez, à partir du moment où on voit ça dès le plus jeune âge, on trouve vite que cela se banalise.
Bref, l'enfance, rien à redire.

Je devais avoir six ans quand il est arrivé quand j'y repense. Il s'agissait d'un homme pas très grand, mais au pas souple et silencieux, il se dégageait de lui une impression de dangerosité si marquée que je ne pouvais m'empêcher de frissonner, et plus encore… c'était tellement… tellement captivant… je ne pouvais le lâcher des yeux. Il était tellement… mes genoux tremblaient de peur.. et tremblèrent encore davantage quand il me regarda et se pencha vers moi pour me passer la main dans les cheveux. Il me sourit même et son sourire, la chaleur de celui-ci me surrpris, me gagna et je souriais aussi. Quand il repartui, je crois que s'il 'avait demandé de le faire j'aurai abandonné ma mère pour le suivre malgré mon très jeune âge… étrange comme impression, non ? Quand il m'avait regardé, j'avais eu l'impression d'être transpercé et plus encore… c'était un regard… je crois que je n'en reverrais plus de comme ça… et je crois qu'encore aujourd'hui, j'en frissonne rien qu'à y penser.
Pendant deux ans j'ai rêvé et cauchemardé rien qu'à l'idée de revoir ce regard…

Et je le revis, j'avais sept ans alors quand il est venu… il s'est entretenu seul avec mère avant de me parler. Je n'eut droit qu'à deux phrases :  « prends tes affaires. On part. » et sans même réfléchir, j'ai pris mes maigres affaires, le peu d'argent que Mère avait mis de côté pour moi et il m'emmena. Je ne sais plus si j'ai pleuré ou pas… je pense, oui, mais je crois aussi qu'un seul regard de sa part m'a fait taire. Tout simplement.

Il commença alors à m'apprendre des choses, à m'apprendre à être comme lui, comme si c'était tout ce qui devait compter, et si il me faisait peur, il m'apprenait des choses qui m'étonnaient et qui m'étaient de plus en plus familières… il m'apprenait à escalader, à me placer sur des vires si fine qu'un coup de vent les aurait démoli, il m'apprit à nager, à couler comme un animal en chasse, à me faire oublier au point d'avoir le pas si léger que j'aurai pu briser une brindille en marchant dessus. Il cessa de me faire homme, il me fit Vent, il me fit Eau, il me fit Fluidité, il me fit Souplesse…. J'apprenais à bouger, à agir comme si je n'étais pas un homme, à grimper comme l'ombre grime sur un mur au rythme du soleil. J'appris à faire moult choses, à crocheter des serrures, à me battre aussi,  je devais me battre comme je vivais, en souplesse, en précision, en agilité, bref, pas le combat qui déploie de la testostérone, le pouvoir de se battre dans un mouvement, souple et agile,d e se glisser contre son arme, comme le vent qui caresse la peau avant de frapper. J'appris l'art du poignard, l'art du combat à main nue, l'art de tirer à l'arc aussi… je m'entraînais sans relâche, voyageant beaucoup, voyageant souvent, suivant les envie de mon maître. Il m'initia à tout ce que je devais savoir… il m'apprit même à parler aux vents, à les entendre raconter ce qu'ils avaient à dire, tout comme écouter l'eau et ses histoires…

Je crois que j'ai aimé cette vie comme j'ai rarement aimé des choses… toujours en découverte de choses diverses et variés. Et ce jusqu'à mes vingt ans… là, il m'entrava poings et pieds avec des chaînes et me fit escalader une falaise si haute, si longue, si et si lisse que les prises devaient presque être crées… l'air était froid, l'air était d'un vif, et je montais jusqu'à avoir les mains en sang, je le voyais toujours plus haut, comme dansant sur la roche plus qu'en escaladant. C'était frustrant...et en même temps, c'était magique… nous passâmes trois heures à grimper et j'étais vermoulus quand je m'écroulais en haut, respirant bruyamment alors qu'il semblait encore frais comme un gardon.

C'est là haut, dans le vent, qu'il me parla, qu'il m'expliqua tout, qu'il me raconta chaque menu détail, qu'il me du la vérité. Il était mon géniteur et tant de plus que cela : il était le seigneur des voleur, leur dieu et il m'avait appris tout ce qu'un père apprendrait à son fils, tout ce qu'il pouvait savoir et tout ce qui pouvait s'apprendre… je ne tombait pas des nues, je l'écoutais jusqu'au bout, avant de lui rire au nez… le vent m'avait murmuré tant de choses que la majeure partie m'était déjà connue et s'il n'avait été mon père biologique, il avait gagné cette affection filiale au court des années. Toujours fut-il que je lui tournais le dos et descendait par la face opposée à laquelle j'étais monté.

Une fois en bas, je me mis à voyager. Je ne prenais pas la peine de prendre de l'argent, je volais ce dont j'avais besoin, quand j'en avais besoin, ou quand j'en avais envie. Loin d'être cupide, j'étais attiré par tous les défis, ne travaillant pour personne si ce n'est pour moi, je commençais à avoir une solide réputation… on raconte même – bon, ça je ne l'ai jamais fait -  que j'aurai volé la couronne de Nexus pour deux jours avant de la rendre sans même être vu. Mais je devrai le faire, un de ces jours, qui sait, ça pourrait être amusant… mais je crains qu'il n'y ait pas de défi à a hauteur à faire cela… enfin, qui sait, j'aurai peut être quelque chose  d'intéressant à le tenter… ou alors aller voler le turban du sultan des sables blancs… oui, un nom bien con pour un sultanat. Bonjour je suis le roi de l'herbe verte et je vous présente ma copine, la reine du ciel bleu ! Enfin bref. Inutile d'en rajouter.

Je finis par avoir une réputation, tous sont à ma recherche, mais je suis insaisissable, complètement impossible à arrêter… car je fais l'impossible… selon les personnes qui m'ont vu, et quelle vue ! Ils ne voient d'une ombre quand c'est déjà trop tard… on me surnomme ainsi, ou on m'appelle l'ombre voleuse parfois. Qu'importe, toujours est-il que je ne suis localisable ni par magie, ni de vue, personne ne m'a trouvé, et personne ne me trouvera. Parce que le vent murmure les bons mots à mon oreille, que l'eau me raconte le passé des choses et que pour le reste, mon habileté suffit très largement…

Je suis en manque de défi…


Autre :
Il ne se ballade jamais sans un médaillon de cuivre, cadeau de son père.
Il est vêtu d'une armure de cuir en général, très souple et qui ne contrarie aucun mouvement
Niveau pouvoir, il est capable :
  - De se fondre dans les ombres
  - D'entendre le vent et l'eau (courante) lui apporter des informations comme des espions
  - Il a une agilité surdéveloppée
  - Il peut légèrement hypnotiser sa cible, mais juste pour l'empêcher de bouger grâce  un chant
  - Il est beaucoup plus rapide, souple et agile que la moyenne

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