Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Mika Suzuki

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Sujets - Mika Suzuki

Pages: [1]
1
Dictature d'Ashnard / Oui Maîtresse ! [Mélinda]
« le: jeudi 13 novembre 2014, 01:43:33 »
Cela fait déjà quelques temps que j'ai des problèmes d'argent. Je trouve de moins en moins de travail, mes parents restés à la campagne ne se portent pas très bien non plus. Ma mère est malade, mon père doit gérer la ferme familiale seul et se débrouiller pour payer les médicaments. La seule manière pour moi de me rendre utile c'est de rapidement trouver de l'argent pour les aider à distance, je ne peux rien faire d'autre. Je me suis donc résolue à intégrer une guilde de servants, en espérant qu'on m'embaucherait plus facilement. Mais à chaque fois que quelqu'un vient pour recruter j'ai droit à l'éternel : "Ah ... Vous venez de la campagne !", sous-entendu : "Alors quel effet ça fait de découvrir la civilisation ?". J'ai dû me débattre seule pour apprendre à lire à peu près correctement, à parler sans accent, à ne rien faire qui puisse choquer ces messieurs les citadins et même en faisant tout ça je reste la petite bouseuse de la campagne à leurs yeux. Ils me toisent toujours comme si je leur étais inférieure, ça me met mal à l'aise, je déteste ces regards. Je veux juste qu'on me donne une chance de prouver que je suis capable de bien faire mon travail, rien de plus. Et surtout je n'ai pas le temps d'attendre, il me faut cet argent tout de suite. Je n'aime pas l'idée mais, quelque part je comprends ceux de la campagne qui en arrivent à voler. Ils se retrouvent probablement dans des situations où ils n'ont plus vraiment le choix. Je n'aimerais pas en arriver là et risquer d'être réduite en esclavage pour ce genre de bêtises.

Ici à la guilde, ceux qui cherchent un servant ou une servante ont le luxe du choix, il y a des dizaines de candidats suffisamment désespérés pour accepter n'importe quoi. Il n'est pas rare qu'un client se pointe en criant bien fort qu'il cherche une jolie servante qu'il paiera le double si elle accepte de dormir dans sa chambre. Et il n’est pas rare non plus qu'une pauvre fille dans une merde noire accepte de se prostituer de la sorte pour survivre. J'ai décidé que quoi qu'il arrive je refuserais ce genre de choses, même au plus bas je ne vendrais pas mes fesses à un vieux dégueulasse pour m'en sortir, c'est hors de question. Contrairement à d'autres guildes, ici il n'y a pas d'annonces on vient recruter sur place. Je suppose que les clients n'ont pas envie d'être importunés chez eux par des dizaines de candidats à la moindre annonce passée. Les recruteurs ne s'annoncent pas, ils viennent, ils regardent, si quelqu'un leur plait ils commencent à discuter, il n'y a pas de planning, de rendez-vous ou quoi que ce soit du genre. Il suffi de signaler à la guilde qu'on a un nouveau contrat en partant et c'est bon, ils ne s'occupent de rien d'autre, enfin si, d'empocher les sous bien sûr. Pour un peu on pourrait prendre l'endroit pour un marché aux esclaves, avec les cages et les coups de fouet en moins.

C'est un bâtiment prévu pour être fonctionnel, il y a un grand hall central où les recruteurs font leur choix parmi les candidats présents. Puis ils peuvent aller discuter au calme dans de petits salons à l'écart du bruit. Une vieille dame à l'accueil se charge de noter les noms des personnes ayant signé un contrat, en général elle tricote dans un petit local et s'interrompt pour tenir le registre. La décoration est réduite au minimum, il y a juste de quoi ne pas faire passer ce lieu pour une étable, un peu de mobilier bon marché et quelques tableaux quelconques. Beaucoup finissent par prendre leurs aises à force d'attendre, ils se prennent un verre, certains jouent aux cartes ou aux fléchettes. Parfois ça ressemble plus à un vieux bar très fréquenté qu'à une guilde. Pour ma part, pas question de me laisser-aller, je suis debout près de l'entrée, en tenue, bien coiffée et je passe mes journées à saluer poliment les gens pour qu'ils me remarquent.

"Bonjour monsieur, vous cherchez une servante ? Bonne journée monsieur. Bonjour mad ... Au revoir madame. Bonjour madame vous cherchez une servante ? Bonne journée madame."

Et c'est toute la journée comme ça. Le pire, c'est de se forcer à sourire et à avoir l’œil vif alors qu'on passe son temps à s'ennuyer à mourir. Mais qui sait, il suffi d'un seul recruteur intéressé pour que ma vie devienne tout à coup beaucoup plus facile. Enfin, c'est ce que je crois en tout cas.

"Bonjour madame, vous cherchez une servante ?"

2
Prélude / Les inavouables envies d'une servante [Valimercenarisée !]
« le: mercredi 12 novembre 2014, 04:56:05 »
Nom : Suzuki

Prénoms : Mika

Surnoms :

Âge : 20 ans

Race : ESPer

Orientation sexuelle : Pansexuelle mais, elle ne le sait pas encore.

Description physique : Haute d'un mètre quatre-vingt-six et svelte, Mika est ce qu'on appelle familièrement une grande perche. On aurait presque peur de la casser en deux en la prenant dans ses bras. Ses cheveux sont bruns, longs et raides, descendant jusqu'à sa chute de reins. Chose peu courante, ses yeux sont orange mais, puisqu'ils s'accordent bien avec la couleur de ses cheveux elle en est contente. Sa poitrine, qui fait un bon 90D et ses petites fesses lui offrent une silhouette tout à fait charmante. Au niveau de sa posture et de sa démarche, elle essaye d'avoir un pas assuré et une démarche féminine sans être vulgaire. Son but est d'être agréable aux clients tout en restant neutre, vu qu'elle est habituée à enchaîner les petits boulots dans les bars et restaurants. Souvent les uniformes standards sont trop petits pour elle, ce qui fait que les jupes ont tendance à être trop courtes quand elle les enfile. Vous la verrez donc souvent tirer l'arrière de sa jupe vers le bas pour ne pas qu'on voit ses fesses, c'est devenu une sorte de toc, elle le fait même quand ce n'est pas nécessaire. Toujours pour paraître agréable, elle sourit presque en permanence et utilise une voix douce pour s'adresser aux gens.

Mika est une ESPer et comme son pouvoir concerne son physique il sera ici ! Elle dispose d'un odorat sur-développé, à tel point qu'il est même supérieur à celui des chiens. Contrairement à beaucoup d'ESPer, son pouvoir est plus un handicap qu'un avantage. Imaginez l'Enfer pour elle de travailler dans des lieux où les odeurs de bonne nourriture sont permanentes. Elle doit faire des efforts surhumains pour ne pas se baver dessus. Il lui est même arrivé plusieurs fois de s'évanouir après qu'un client indélicat ai lâché un pet. De plus, elle est irrésistiblement attirée par les odeurs corporelles agréables, elle adore renifler les vêtements sales pour s'en imprégner. Si elle est contrainte de rester très proche d'une source d'odeurs agréables, elle finira par sortir la langue en retroussant son nez, avec les yeux révulsés et larmoyants. Comme si elle voulait éternuer sans le pouvoir pendant plusieurs minutes. (ce qui lui donne à peu près cette tête là - et oui j'ai mis en boucle pour que cette musique et cette image violent votre esprit !)

Caractère : Mika est une jeune-fille enjouée, volontaire, pleine de vie, une brave fille quoi. Très soucieuse de son image, elle fait tout pour se mettre en valeur et ne jamais faire de faux pas. Elle se met énormément de pression à ce niveau-là, elle doit paraître intelligente, polie, gentille, douce, tout ce qui contredit ce rôle est à bannir. Ce qui nous mène à son principal problème : elle est incapable d'être elle-même. La vraie Mika est beaucoup moins brillante et parfaite que ça, c'est une soumise, une masochiste, une fétichiste des sous-vêtements. Cette face cachée est systématiquement refoulée, enfouie, voire carrément niée, elle n'a pas le droit d'exister. C'est sa boite de Pandore, à n'ouvrir sous aucun prétexte, sauf au risque de décevoir considérablement les gens qui pensent la connaître. Le fait de refouler ses envies profondes a aussi des conséquences sur sa vie sentimentale. Elle a tellement peur qu'on se moque d'elle en entendant ses fantasmes, qu'elle a préféré rester seule jusque-là, elle est encore vierge. Pour tout ce qui touche de près ou de loin au sexe, elle est très vite gênée, son visage devenant écarlate à la moindre question ou demande déplacée.

Histoire : Il y a environ vingt ans, dans les campagnes reculées de l'Empire d'Ashnard, naissait Mika, fille de Fumiko et Eiji Suzuki. Mes parents n'ont jamais été bien riches : mon père tient encore aujourd'hui une petite ferme familiale et ma mère l'aide à la faire tourner. Ils ont quelques poulaillers et surtout des terres cultivables louées au seigneur du domaine. Il y a bien plus malheureux qu'eux, de nombreuses familles vivent dans la misère et sont contraintes de vendre leurs enfants comme esclaves pour subsister. Ashnard est une terre cruelle et impitoyable pour ceux qui ne naissent pas dans les bonnes familles. Nous étions du bon côté des pauvres en somme, pauvres mais relativement libres. Et sûrement plus heureux aussi en dépit des difficultés.

Mes parents ont eu beaucoup de mal à m'avoir. Peu importe combien de fois ils le faisaient, ils n'arrivaient pas à avoir d'enfants. Lorsque je suis née j'ai été leur petit miracle, leur fille unique, leur trésor. Aussi loin que je me souvienne ils m'ont toujours traitée comme une petite princesse, me donnant tout le peu qu'ils avaient, me surprotégeant sans cesse. Je n'avais pas le droit d'aller jouer dans les champs, pas le droit d'avoir d'amoureux parmi les fils des voisins et mes amis étaient choisis avec soin par mes parents. Parce qu'ils savent ce qui est bon pour moi et que les activités de la campagne ne sont pas assez bien pour leur princesse. En fait, j'ai toujours été habituée à dépendre de quelqu'un d'autre, à ne pas être indépendante. Peut-être est-ce la source de mes envies, particulières ?

Mais j'ai dû me faire violence, couper le cordon et partir vers la ville, seule. Il n'y a rien pour moi dans ces campagnes, rien qui soit digne de Mika la petite princesse de la ferme. Mes parents voulaient que je réussisse en ville, que j'ai une meilleure vie qu'eux. Ils voulaient que je sois la fille parfaite qu'ils ont toujours voulu et que j'ai toujours voulue être aussi. Dès lors j'ai eu la pression, il fallait que je réussisse quoi qu'il arrive, il fallait que je devienne Mika la courageuse petite bouseuse qui a la force de sa seule volonté partit à la conquête de la ville. Existe-t-elle seulement ? À l'âge de quinze ans je suis donc partie vers la ville, avec trois fois rien en poche. J'ai dû apprendre à parler correctement, sans accent, j'ai dû apprendre à lire, à me débrouiller comme je pouvais. Grand choc pour la petite princesse qui a dû se sortir les doigts et se faire accepter. De là j'ai enchaîné les petits boulots, comme j'aime bien travailler dans les restaurants ou les hôtels je me suis surtout intéressée à tout cela. Serveuse, femme de chambre, femme de ménage, c'est ce genre de métiers que j'ai fait jusque là, être au service des autres me plaît. Tous les mois où un salaire tombe, j'en envoie une partie à mes parents. Les salaires de la ville représentent une véritable petite fortune pour les gens de la campagne. Même lorsqu'on ne fait que des petits boulots mal payés comme moi.

À cause de mon odorat sur-développé j'ai dû abandonner le travail dans les restaurants ou les bars où les odeurs sont trop prenantes pour moi. Actuellement je cherche une meilleure place où mon pouvoir gênant sera un moins gros problème. Peut-être devrais-je me faire embaucher comme servante par un riche Ashnardien ? Avec les clients en moins à s'occuper ça devrait le faire. Mais, accepteraient-ils quelqu'un comme moi à leur service ? Les Ashnardiens des villes n'aiment pas les campagnards, ils ont la réputation d'être sales et mal élevés, ce qui n'est pas totalement faux la plupart du temps … Encore une fois tout est histoire d'image, il faudra que je fasse bonne impression, que je montre à tous la petite princesse et que je cache le reste.

Situation de départ : Vierge

Comment avez vous connu le forum : Double compte d'Inuko Sora.

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels : Non

Pages: [1]