Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Anaé

Pages: [1]
1
Bureau de la direction et infirmerie / Aux petits soins [vs Shiro Ishimi]
« le: dimanche 15 mars 2015, 15:29:32 »
Anaé adorait la natation, c'était une vraie championne. Elle aimait sentir l'eau couler sur son corps, la porter, glisser sur elle sans agressivité, épouser ses formes, rafraîchir son corps. Elle aurait pu nager pendant des heures sans se lasser et sans quitter son adorable sourire...

Par contre, en arrivant sur le stade ce matin, elle savait que le sport allait prendre une mauvaise tournure. Finie la piscine, bonjour le volleyball. Et évidemment, elle se sentait bien moins à l'aise, même si sa tenue était parfaite : un bloomer bleu marine plutôt moulant et un petit t-shirt un peu trop court et large, qui avait tendance à se soulever sous les coups de vent et à venir agacer sa poitrine engoncée dans une brassière rose, assortie à son slip plissé. Mais le sport n'était pas affaire de beauté, comme se plaisait à lui rappeler l'enseignante de sport. Peu importait pour Anaé, comme pour la plupart des autres filles : il était impensable d'aller se salir sur le sol en terre battue. Par contre, Anaé se moquait éperdument de ses vieilles baskets. Mal lui en prit, ce furent elles qui la trahirent.

Un saut, un pied qui dérape, une douleur, une chaleur, une chute, un cri... Anaé se retrouva par terre sans comprendre autre chose que la douleur qui irradiait de sa cheville sûrement foulée. Ses yeux se perlèrent de larmes lorsqu'elle s'empara de sa cheville, comme pour empêcher la douleur d'irradier. L'enseignante la redressa d'une main ferme, vérifia qu'elle pouvait claudiquer, et lui indiqua la direction de l'infirmerie, avant de renvoyer les filles au match. Anaé se sentit un peu abandonnée, seule avec sa douleur et son bloomer tâché de terre battue.

En titubant, elle parvint jusqu'à la porte de l'infirmerie. C'était la première fois qu'elle y allait, mais elle n'avait pas trop peur des médecins. Elle lut la plaquette et frappa à la porte.

"Madame Shiro Ishimi ?"

2
Dortoirs et douches / Prise et surprise [vs Mai]
« le: samedi 14 mars 2015, 07:03:49 »
Il se faisait tard, Anaé le savait. Elle avait encore trop tardé à la piscine, dans laquelle elle venait nager après les heures normales de fermeture. Cette fois-ci, la porte anti-incendie qu'elle empruntait habituellement avait refusé de s'ouvrir, et elle avait dû se glisser par un soupirail des vestiaires pour s'extraire de là. En attendant, il faisait froid, son pull était en lambeaux après s'être pris dans des échardes de métal du soupirail, et ses cheveux étaient encore trempés. Et en plus, elle avait oublié de prendre des sous-vêtements de rechange, elle portait donc son petit maillot trempé sous ses vêtements. Avec le froid ambiant, elle ne parvenait pas à se réchauffer, sa peau était hérissée d'une insatiable chair de poule et ses tétons lui faisaient mal à force d'être dressés. Et pour finir, son maillot avait imprimé de larges tâches humides sur son short bleu et sur son chemisier blanc, aux endroits stratégiques...

Une fois de plus, Anaé contourna le grand bâtiment du dortoir des filles et trouva la porte de sortie de secours, aussi mal fermée que d'habitude. Le dortoir était d'un silence pesant, et Anaé avait l'impression de faire un bruit d'enfer en claquant des dents, en frissonnant et en marchant comme un robot, tant le froid était pinçant. Heureusement, les surveillants n'étaient pas des foudres de guerre, ils devaient déjà dormir à cette heure-là. Peut-être même qu'ils seraient assez endormis pour lui permettre de prendre secrètement une douche bien chaude. Et puis, Anaé irait se glisser dans ses couvertures en serrant son ours en peluche , un véritable cocon de chaleur. La libération était proche.

<clic>

La lumière s'alluma dans la salle commune et Anaé se retrouva en face d'une jeune femme au regard d'acier, qui la regardait d'un air soupçonneux...

3
Gymnase en plein air et piscine / Humidité résiduelle [pv avec Kjersti]
« le: jeudi 27 novembre 2014, 22:57:26 »
Anaé avait pris l'habitude de venir à cette heure bien tardive à la piscine. Il suffisait d'arriver au moment de la sonnerie du dîner et de s'enfermer dans les vestiaires environ 5mn pour que le gardien ferme derrière lui, laissant la piscine disponible à la petite maligne. Au moins, seule sous la vague lumière des éclairages de sécurité, Anaé n'avait pas peur de se montrer en bikini, de nager et parfois de s'offrir un bain complètement nue, qui lui offrait des sensations qu'elle essayait pourtant toujours de réprimer. Lorsqu'elle avait fini, elle se rhabillait discrètement et sortait par les portes de sécurité, qui ne s'ouvraient que de l'intérieur, et le tour était joué. Bien sûr, elle ne pouvait pas bénéficier des bains chauds ou des douches chaudes, mais elle pouvait toujours se doucher à l'internat en rentrant.

Ce soir, elle était un peu en retard. Elle avait esquivé de justesse le gardien et s'était enfermée en hâte. Elle avait entendu avec soulagement la grande porte se refermer, et elle avait en hâte retiré ses habits pour revêtir son nouveau et joli bikini à rayures blanches et rouges. Au contact de la matière, elle comprit son point faible : l'eau le rendrait sûrement vite transparent, surtout au niveau du blanc. Mais cela ne faisait rien : il n'y avait personne d'autre qu'elle ici.

Ses pieds dans l'eau résiduelle froide, Anaé s'engagea dans le couloir, trempa ses pieds par réflexe dans le bain de pieds, et retrouva la piscine, illuminée sommairement comme sous un clair de lune. Elle posa sa serviette de bain sur un banc, à côté de ses sous-vêtements, d'un jogging et d'un sweat-shirt à capuche, pour ne pas risquer de prendre froid à la sortie. Puis, décidée, elle glissa dans l'eau en silence, en harmonie avec l'ambiance de la piscine, et commença à nager sur le dos, les yeux fermés, goûtant à la caresse de l'eau et au silence des lieux...

4
Le quartier de la Toussaint / Essayages en toute intimité [pour Ai Aihana]
« le: samedi 25 octobre 2014, 17:19:22 »
C’était inespéré et tellement bienvenu ! A force de la voir traîner dans son magasin du centre commercial, la jolie patronne de la boutique de lingerie « Mesmérisme » avait décidé de l’embaucher. Oh, ce n’était que pour quelques heures par semaine, mais cela permettrait à Anaé de sortir du lycée, de voir en avant-première les nouveaux arrivages et en plus de se faire un peu d’argent de poche, qu’elle pourrait dépenser dans une boutique où elle aurait sûrement des prix avantageux.

Pour une fois, Anaé arriva en toute confiance pour son premier jour de travail et se retrouva sous la direction d’une vendeuse morne, qui préférait passer son temps à pianoter sur son téléphone portable plutôt que de conseiller la clientèle ou de s’extasier sur les modèles de luxe. Anaé n’était pas prête à faire cette erreur. Ici, elle était dans son élément.

La porte de la boutique tinta à nouveau et Anaé lorgna sur l’autre vendeuse qui, ostensiblement, préféra regarder ailleurs, puis annoncer à la petite lycéenne qu’elle prenait sa pause déjeuner...avec une heure d’avance. Anaé haussa les épaules pour elle-même et reposa le joli corset sur lequel elle avait flashé.

-J’arrive, j’arrive !

5
Le coin du chalant / Qui me prendra par la main ?
« le: samedi 25 octobre 2014, 08:29:14 »
Bonjour à tous et à toutes

Je cherche des compagnons de jeu (mâles mais surtout femelles, mais j'apprécie tout) pour découvrir le monde. Voici plusieurs trames proposées, et n'hésitez pas à me contacter par MP.

*Vu que je viens d'arriver au lycée, il faudrait que je remplisse beaucoup de papiers et je n'y connais rien, vu mon passé. Une bonne âme pourra-t-elle m'aider (et tirer parti de son aide) ?

*Je suis une fan de lingerie et je suis sûre que le centre commercial regorge de magasins de vêtements et de sous-vêtements. Quelqu'un voudrait-il faire une virée shopping avec moi ?

*Je ne connais quasiment rien du vaste monde urbain, ayant toujours vécu à la campagne ou enfermée dans une chambre. Je suis sûre que quelqu'un sera heureux de me faire découvrir le monde de la nuit...

*J'aime l'eau, c'est mon côté zen. Alors, qu'il s'agisse d'une piscine ou une virée au bord d'une pièce d'eau du parc, je suis preneuse, pour ceux et celles qui veulent faire ma connaissance...

Je reste ouverte à toute suggestion.  :)

6
Le parc et son sous-bois / Retour aux sources [libre]
« le: mercredi 22 octobre 2014, 12:08:55 »
Anaé sentit un profond soulagement en entrant dans les allées terreuses du parc, sous la couverture ombreuse des arbres et le souffle du petit vent qui venait soulever parfois quelques feuilles mortes. Il faisait bon, comme une douce soirée d'été, mais les couleurs de l'après-midi commençaient à faire rougir lentement les arborescences. Une certaine quiétude régnait en ces lieux qui lui rappelaient tant sa jeunesse, qui avait été si insouciante jusqu'à...jusqu'au grand vide qui lui avait coupé presque une année de vie. Les moines avaient été gentils, et il l'avaient très vite laissée s'occuper du jardin zen, d'aller cueillir des baies, des champignons et des herbes aromatiques dans la forêt.

Elle se souvenait de chaque balade qu'elle y faisait, seule, et du plaisir qu'elle ressentait en s'allongeant dans les herbes fraîches, à humer les odeurs de la Nature. Combien de fois s'était-elle assoupie sans prévenir et s'était-elle réveillée, la culotte trempée par l'herbe fraîche, l'obligeant à rentrer honteuse au monastère pour faire sa lessive ?

C'est avec un grand sourire qu'elle découvrit une petite fontaine zen, qui menait, par un sentier, à un petit calvaire. Quelques vieux encens demeuraient là, et Anaé regretta de ne pas en avoir apporté. Elle le ferait la prochaine fois. Le lieu méritait son attention, et sa confiance. Elle lissa sa petite jupe et s'allongea dans l'herbe, comme autrefois, et plongea son regard dans le ciel, tentant de distinguer quelque message dans le ciel aux nuages moutonneux.

7
Dortoirs et douches / Toute nouvelle, toute chaude [hentaï libre]
« le: mardi 21 octobre 2014, 07:28:18 »
Le surveillant la laissa là et Anaé poussa la porte, un peu anxieuse. La chambre n'était pas bien grande, un vague carré à l'angle du bâtiment, une ancienne chambre de surveillant d'internat, à ce qu'elle avait cru comprendre...mais bénéficiait de la douce lumière qui traversait deux fenêtres, dont une au-dessus du lit. Une armoire, un bureau, une petite étagère, un chevet et de la place pour, au cas où, accueillir une autre interne de dernière minute.
Beaucoup auraient rechigné à la vue de cette chambre trop sommaire, mais Anaé eut un large sourire d'enfant heureuse. C'était bien mieux que sa cellule de prière auprès des moines, et moins...bizarre que de dormir dans le lit des gens chez qui elle avait été placée. Elle trépigna sur place, sans prendre gare à tenir sa petite jupe qui voletait, révélant à qui passerait son tanga imprimé en tartan bleuté.
Elle entra et huma l'air. La chambre était humide, en raison de la présence des douches à côté, et des tâches à l'angle du plafond témoignaient de la mauvaise isolation de la tuyauterie, mais Anaé se délecta surtout de l'odeur de gels douche, de shampooings, de crèmes pour le corps et de féminité qui embaumait l'endroit. Une fois de plus, elle trépigna, posa son sac de voyage et sa valise sur le bureau et jeta un coup d'oeil par les fenêtres. D'un côté, elle pouvait voir la magistrale silhouette du lycée, les courbes de la bibliothèque ou peut-être de l'administration - elle était un peu perdue. Par l'autre fenêtre, elle pouvait voir le gymnase et le stade où s'entrainaient encore quelques pom-pom girls... Peut-être tenterait-elle de les rejoindre un soir, juste pour savoir comment on fait...
Puis, elle détacha son sac à dos et le posa sur le lit. Anaé sortit Ghûl de sa cachette et lui fit découvrir la pièce, avant de le gratifier d'un bisous sonore et de le poser sur le lit. Elle était enfin chez elle !
Elle se lança sur le lit et y resta allongée en souriant benoîtement, sans se soucier de sa jupe relevée, de son tanga qui moulait son entrecuisse et de la porte ouverte.


"On va être heureux ici, Ghûl !"

Anaé se leva et retira sa veste, puis ouvrit la fenêtre. Avec la vapeur des douches, il faisait chaud, au point qu'elle décida également de retirer son chemisier. Après tout, elle était dans sa chambre. Anaé ouvrit sa valise et rangea les quelques livres qu'elle avait réussi à sauver de l'incendie, essentiellement des cadeaux des moines, et aussi sa "pochette spéciale", en réalité un gros classeur où elle rangeait les plus belles photos de ses mannequins lingerie préférées. Puis, ce fut au tour du sac de voyage, et Anaé en sortit ses vêtements et sous-vêtements en masse, faisant des aller-retours entre le bureau et l'armoire, laissant tomber ça et là des culottes et des soutien-gorges tout en chantonnant et en lançant des sourires à son ours en peluche.

8
Prélude / Possédée...ou presque [Valimutée]
« le: lundi 20 octobre 2014, 14:59:01 »
Bonjour, je suis récemment arrivée ici, et, comme il est de coutume, je me présente, ou plutôt, je présente :

ANAE

Nom : Okuro
Prénom : Anaé
Surnom : "chaud et froid"
Age : 18 ans théoriquement, 16 ans à peine suite à son éducation humaine, beaucoup plus lorsque "Elle" se réveille
Race : humaine (plus ou moins possédée)
Orientation sexuelle : bisexuelle, plutôt à tendance lesbienne

Description physique : De taille moyenne, Anaé pourrait passer pour une fille commune si elle n'avait pas ce "petit quelque chose" de surnaturel. Est-ce le fait de ses yeux aux couleurs rosâtres ou violacées ? De sa peau qui semble luire parfois ? De son odeur douce pouvant devenir bestiale et chargée d'hormones ? Ou encore de ses formes d'adolescente qui semblent se muer en celles d'une femme lorsque le désir pointe son nez ? Dans tous les cas, c'est une fille que l'on remarque en passant, avec un mélange de désir et d'incertitude. Elle aime s'habiller sagement, mais adore porter une jolie lingerie, tantôt stricte, tantôt très affriolante. Anaé a pris l'habitude, chez les moines, de ne porter qu'une vague robe informe et découvre peu à peu que certains vêtements lui vont bien. Candide, elle a tendance à oublier le désir que peuvent inspirer des fesses à peine couvertes d'une jupe trop courte, qu'un bloomer trop serré crée des passions ou qu'un chemisier mal fermé peut révéler son goût immodéré pour la lingerie de qualité mettant sa poitrine en valeur plus qu'il ne faudrait.

Caractère : Anaé a toujours appris à être gentille, serviable et posée. On lui a répété pendant des années qu'il ne fallait pas que les grandes émotions s'emparent d'elle, car des choses mauvaises pouvaient en sortir. Aussi tente-t-elle de se faire discrète, de ne pas s'exposer aux passions qui l'embrasent. Mais si c'est le cas, elle devient sauvage, nymphomane, perverse et exhibitionniste, et se complait dans toute la luxure du monde. Et le pire, c'est qu'à son réveil, Anaé a oublié les épisodes les plus pervers de sa crise de stupre. Anaé est plutôt du genre renfermée, sûrement à cause de son enfance auprès des moines, qui l'ont très vite laissée partir lorsqu'elle s'est mise à "avoir des formes". Elle ne garde aucune rancoeur envers eux, et leur attribue même son goût pour la solitude, la musique classique et zen, les balades en forêt et le souci de faire le Bien. Son plus grand ami est son ours en peluche, Ghul, à qui elle confie ses secrets sans se douter de tout ce que Selena la succube a pu faire avec cette douce peluche.

Histoire : Il y a des années, alors qu'elle ne devait avoir que 11 ans, Anaé fut possédée par une succube qui souhaitait s'incarner en elle, pour prendre le contrôle du village par le sexe, la corruption et la perversion. Heureusement, la jeune fille fut prise en charge par les moines de son village et de grands prêtres firent venir un exorciste, qui lutta jours après jours contre la démone. Ce fut une gigantesque lutte, qui provoqua de nombreuses pertes, car la Succube, Selena, savait semer les graines du désir et de la jalousie. Des moines succombèrent à la tentation, les parents d'Anaé se suicidèrent pour échapper à leurs désirs interdits et l'exorciste lui-même fut frappé de certaines faiblesses, qui furent sûrement la cause de son travail imparfait. Finalement, la succube fut chassée. C'est du moins ce qu'il fut dit, mais l'exorciste révéla aux prêtres que la corruption avait peut-être déjà germée en Anaé, et qu'elle devrait apprendre à maîtriser le démon en elle. Anaé fut élevée par les prêtres, recluse et surprotégée. On lui appris le yoga, la maîtrise de l'art zen, la lecture des agiographies et des haikus zens, et surtout à apprécier le Bien en tout être et en toute chose. Ce furent des années de paix et de sérénité, loin du monde et de ses turpitudes, dans une ambiance molle et paisible, qui prit fin lorsque l'ordre commença à péricliter et que le grand prêtre, voyant que la maturité d'Anaé menaçait la paix des moeurs de son temple, n'envisage de la remettre dans le monde d'aujourd'hui.
Le cas dura un peu jusqu'à ce qu'une inspectrice des services sociaux vienne la placer dans un foyer. Personne n'a su dire comment sa mère adoptive et l'agent des services sociaux en sont venues à s'entretuer et à mettre le feu à la maison, mais l'enquête de police, rapidement classée, fait état d'une crise de jalousie entre les deux femmes, d'un père adoptif un peu trop proche, d'une mère adoptive aux moeurs débridés insoupçonnables, et d'une inspectrice des services sociaux dangereuse pour la santé morale de sa profession.
On trouva plus sain de transférer Anaé dans une école où elle pourrait suivre la vie de n'importe quelle étudiante. Une étudiante normale, comme son aspect le laisse, à tort, croire...
Elle s'est donc installée dans une petite chambre dans les dortoirs du lycée. Tout est heureusement financé par l'état, qui tente de venir ainsi en aide à une fille orpheline dans le besoin, et Anaé a plus d'argent qu'il n'en faut. En découvrant la ville, elle a aussi eu la grande révélation : elle adore flâner dans les centres commerciaux ! En particulier les jolies boutiques, où les filles sont montrées sur de grands posters, à moitié nues. C'est en regardant ces posters qu'elle a ressenti ses propres attirances, les siennes propres. Elle est consciente qu'elle dépense désormais trop d'argent dans sa lingerie et trop de temps à regarder les photos des mannequins, et il lui arrive très souvent de vouloir se punir de ses pensées et de ses caprices. Elle sait qu'elle ne doit pas succomber au feu qui s'agite en elle, mais Anaé commence à comprendre que quelque chose en elle va se réveiller tôt ou tard, et que ce sera plus grave que le sentiment d'humidité qui s'immisce entre ses cuisses lorsqu'elle croise une jolie fille ou lorsque sa nuit a été agitée par des rêves inavouables.
Dernièrement, des rêves étranges et gênants lui viennent, des rêves qui lui font voir des femmes et des hommes, à la fois sinistres et séduisants, qui lui font découvrir un plaisir bestial et condamné, la couvre de fluides brûlants et délicieux, et la font se joindre aux cris de plaisir qui résonnent tels des hurlements de bêtes. Elle s'est réveillée plus d'une fois la main dans sa culotte, ses draps trempés de sueur et de son intimité, son traversin entre ses cuisses, ses tétons dressés et des cris honteux au bord des lèvres. Et bien qu'elle se sente sale de ces pensées, chaque nuit qui vient lui apporte un vague sentiment d'appréhension et de désir d'interdit. Elle a entendu parler de vidéos ou de photos que l'on peut trouver sur Internet, mais Anaé n'y connaît rien en informatique. Elle serait heureuse qu'on lui montre ceci, pour qu'elle puisse savoir ce à quoi ses rêves la pousse. La question est : pour les combattre ou pour les embrasser ?

Situation de départ : Anaé est totalement novice dans l'amour, mais n'est plus vierge, à son grand étonnement. Mais, lorsque la succube en elle, Selena, prend les commandes, elle devient extrêmement expérimentée !
Autre : Toute excitation sentimentale ou sexuelle peut provoquer l'apparition de Selena, qui prend le contrôle d'Anaé. Le changement est immédiat : ses yeux deviennent violacés, sa poitrine semble gonfler, ses fesses s'arrondissent, sa salive devient abondante, de même que sa liqueur intime. Et ses pensées deviennent hautement lubriques. Selena n'a qu'un seul but : regagner sa puissance, mise en sommeil par l'exorciste. Pour cela, elle doit corrompre pleinement Anaé, en faire un réceptacle de luxure et contaminer son esprit par des pensées si condamnables qu'elles rendraient jalouses les pires démons des Enfers. Chaque goutte de désir qui vient s'écraser dans les fonds de culotte d'Anaé est un pas vers la libération de Séléna, qui fait tout pour développer le corps désirable d'Anaé et pour la faire suivre ses tentations perverses.


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