Sujets

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Gymnase en plein air et piscine / Renversement de situation [Tsuna]

« le: lundi 20 octobre 2014, 16:17:05 »

C’était un jour normal. Du moins au début. Tout a très bien commencé. Shenji s’est levé de bonne humeur, il est parti de chez lui à l’heure, il n’y a pas eu de problème sur la route et il est arrivé à l’heure, et même en avance, pour son premier cours de la matinée.

Toute la matinée s’est très bien passée aussi. Il a suivi les cours, il a discuté avec ses quelques amis, il a un peu frimé en racontant la prochaine scène qu’il écrira dans son manga… Il faut bien  sûr préciser que personne n’est au courant qu’il vit vraiment toutes ces aventures. Mais tout le monde aime bien écouter ses récits extravagants, alors il continue de les raconter avec passion.

Tout s’est très bien passé jusqu’à environ 15h. Et maintenant, il est dans la merde.

Shenji a un trou entre deux cours assez conséquent, alors il s’est permis d’aller au gymnase pour pouvoir prendre l’air sans sortir de l’enceinte de l’école. Il a marché un peu, et puis il  croisé un ami alors il a continué (à la demande de ce dernier) le récit qu’il avait dû interrompre un peu plus tôt. Mais il ne se doutait pas qu’ils étaient épiés… Aussi lorsque son ami doit partir il se contente de s’asseoir contre le mur pour rêvasser tranquillement.

-Eh, morpion.

Shenji lève  la tête vers le  type qui vient de parler. Un gars…normal. Mais qui a avec lui deux gros bras. Le cerveau et les deux muscles. Il fait un effort de mémoire et parvient à déterminer qu’ils ont deux ans de plus que lui.

-On t’a pas appris à être poli ?
-Tu fais un peu trop le malin, toi, ça risque de te jouer des tours.

Avec un demi-sourire narquois, Shenji se lève. Il essaie de s’avancer vers le « cerveau » mais les deux autres lui bloquent la route.

-Moi au moins je me planque pas derrière mes potes. T’es jaloux que les gens m’écoutent, c’est ça ?

L’autre siffle de mécontentement. Bingo. Mais Shenji voit à son expression faciale qu’il est dans la merde. Et il n’a pas son livre…

-Montrez-lui ce que ça fait de se foutre de notre gueule.

Aussitôt les deux « muscles » avancent. Forcé de reculer, Shenji se rend bien vite compte qu’il s’est mis dans un coin du mur et que, par conséquent, il est dans la merde.

-Tu parles d’un courageux ! Allez-y, les gars, tabassez-moi, ça fera bien sur votre CV !

Il se prend un coup dans l’estomac et se plie en deux. Un autre coup, au visage, le plaque contre le mur. Il ne peut pas riposter. Sans le Livre, c’est juste une grande gueule, il ne peut que subir. Et pour la première fois depuis très, très longtemps, Shenji a peur.

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Les alentours de la ville / Malédiction ou machination ? [La Chaîne (de télé) qui fait Peur]

« le: mercredi 14 mai 2014, 18:42:13 »

Minuit, l’heure du crime. Yeah, ça y est, je l’ai enfin dit à minuit, youhou !!! Car oui, en ce moment, il est très exactement minuit et quelques secondes ! Et c’est l’heure où il m’arrive un truc absolument génial, mais avant ça je vais discuter un peu, et donc revenir quelques minutes en arrière.

Moi, Shenji Kazita, jeune apprenti mangaka, je suis devant la télévision à une heure où mes parents sont persuadés que je dors à poings fermés. Eux oui, mais pas moi. Pas aujourd’hui. Ou plutôt pas hier-soir-puis-ce-matin. Et donc je suis devant la télé à pas d’heure. Pourquoi ? Pour une expérience.

Voilà le topo : il y a des rumeurs qui circulent comme quoi la télévision (en général, pas juste la mienne) serait maudite. Or, tout le monde sait que le chiffre 4 porte malheur, et que minuit est l’heure des mystères, l’heure où il se passe des choses… Donc logiquement, regarder la chaîne 4 de la télé à minuit devrait déclencher cette fameuse malédiction, si malédiction il y a. Et en tant que mangaka-personnage, je me dois d’élucider ce mystère en déclenchant cette malédiction moi-même ! Avec mon carnet et mon stylo pour noter tout ce que je pourrai, bien sûr.

Et voilà, retour à minuit, l’heure du crime. Héhé, j’adore dire ça, c’est vraiment drôle…

-Bon, ce serait cool qu’il se passe vraiment quelque chose, parce que cette émission est nulle…

Emmitouflé dans ma couverture, bâillant à m’en décrocher la mâchoire, une bouteille de Coca (la troisième) posée à côté de moi, je continue de m’arracher la rétine devant cette aberration qu’est la télé, et c’est encore pire la nuit apparemment.

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Le coin du chalant / Ecritures

« le: mardi 06 mai 2014, 14:20:38 »

Yay, c’est parti ! Alors, est-ce que j’ai tout ? Carnet, OK. Crayon, OK. Gomme, OK. Taille-crayon, OK. Livre, OK. Partenaires… Oh shit. Il me faut des partenaires pour pouvoir partir en RP ! Un volontaire dans l’assistance ?


Sur Terre

Possibilité 1 : au lycée ou dans les environs, vous me croisez en train de gratter comme un fou sur mon carnet. Vous faites quoi ? (Base : social)
Possibilité 2 : quelque part en ville, on se croise. Point. Le hasard l’a voulu ainsi. Mais vous, comment voulez-vous cette rencontre ? (Base : social)


Sur Terra

Possibilité 3 : le Phénix Bleu est dans la place ! Vous avez cherché les ennuis, je vous les apporte sur un plateau d’argent, il suffisait de demander ! (Base : baston)
Possibilité 4 : je me balade, vous aussi, et bim ! Une rencontre de plus ! (Base : social)
Possibilité 5 : vous fuyez, que ce soit un assassin, un esclavagiste ou je-sais-pas-qui, et moi j’arrive et je vous sauve. Marché conclu ? (base : baston/social)


Si vous avez mieux, je suis à l’écoute. Les meilleures histoires sont parfois celles qu’on n’écrit pas entièrement soi-même…

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Prélude / Ecrire ce qu'on vit ou vivre ce qu'on écrit ? Ou bien les deux ? [Validora !]

« le: samedi 03 mai 2014, 12:36:22 »

Nom/Prénom : Kazita/Shenji
Surnoms : Mangaman (au lycée) ; le Phénix Bleu (sur Terra)
Race : Humain
Âge : Une quinzaine d’années, si on arrondit
Sexualité : Un mec attiré par les femmes mais qui n’y a pas encore touché. Rien de bien extraordinaire…

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Physiquement : Vous voyez les personnages principaux de pas mal de shonen ? Assez jeunes, plutôt mignons, maigres…ben Shenji est un peu comme ça. Il est jeune, et à ce titre il n’a pas encore fini sa croissance, donc son mètre soixante-sept ne sera bientôt plus d’actualité. Il est plutôt mignon, faut le reconnaître, et quand je regarde son tour de taille ben…j’ai envie de pleurer. La jalousie, vous comprenez… Mais bon, c’est Shenji, moi, je suis moi, alors je vais arrêter de me plaindre. L’adolescent s’est un jour mis en tête d’écrire un manga sur lui-même, et du coup il a ressenti le besoin de se « déguiser » pour le rôle. C’est donc avec une fierté immense qu’il arbore sa tignasse blonde et noire bourrée de teinture et la mèche faussement rebelle faite à grand renfort de gel, ainsi que ses yeux dont vous ne verrez jamais la vraie couleur puisqu’il porte des lentilles rouge sang. Ouais, parce que ça fait plus classe. Et le regard déterminé, ça fait classe aussi. Et vous le verrez le plus souvent avec sa veste tricolore rouge/noir/blanc, qu’il porte 80% du temps. Les 20% restants, c’est quand il la lave ou qu’il la recoud. Oui, lui-même, il est assez doué en couture. On sait jamais, ça peut servir…

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Mentalement : Encore une fois, vous voyez les personnages de shonen ? Allez, je vous donne des exemples : « Je serai le roi des pirates ! » « Un jour je serai Hokage ! » Vous voyez le genre ? Eh bien Shenji est comme ça, lui aussi. Déterminé à devenir un jour un héros mondialement reconnu, à sortir en fanfare de l’anonymat. Mais il n’est pas pour autan naïf et idéaliste, ça non ! Il sait bien que ça ne peut pas marcher sur Terre, et c’est pour ça qu’il était vraiment content le jour où il est tombé sur (ou plutôt dans) un portail pour Terra. Et il sait aussi qu’il va devoir batailler pour gagner en célébrité, alors il fait de son mieux. Quand il a un objectif, il n’y a pas grand-chose qui peut l’en détourner. Mais à part ça, c’est un garçon vraiment sympa. Loyal envers ses amis, honnête sauf si les circonstances l’exigent, il ne supporte pas l’hypocrisie et la trahison. Il accorde de base toute sa confiance aux gens, mais s’ils la perdent il leur sera très difficile de la regagner. Et enfin, une chose très importante : il est passionné de mangas et en écrit un lui-même, sur…lui-même. Ouais. Du coup il se sent obligé de chercher un peu les ennuis pour avoir de quoi écrire. On ne trouve pas l’inspiration dans son lit, selon lui, mais directement sur le terrain.

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Maintenant, il reste encore à savoir comment il en est arrivé là. Pour commencer, il faut savoir que son père est mangaka. Pas très connu mais plutôt doué. Sa mère, nous n’en parlerons pas parce qu’elle est morte quand il avait quatre ans. Allez-y, sortez vos mouchoirs, pleurez un bon coup et puis revenez lire cette fiche, pas la peine de s’attarder là-dessus. Shenji a donc grandi avec son père et sa belle-mère. Et là, je vous vois venir, vous allez me balancer des histoires de mésentente, de belle-mère chieuse qui déteste son beau-fils et blablabla… Eh bien non ! Il se trouve que madame Kazita bis est très gentille et très complice avec le garçon, ils s’apprécient beaucoup mutuellement. Na. Y a des clichés partout dans cette fiche, mais pas ici !

Âge : six ans.
-Papa ! Papa !
-Qu’est-ce qu’il y a mon grand ?
Le garçonnet court rejoindre son père qui était assis dans l’herbe, un manga dans les mains. Tout bouleversé, il lui montre ses mains tendues, dans lequel se trouve un petit rongeur.
-Regarde, il est blessé ! Tu vas le soigner, hein papa ?
-Je ne sais pas soigner les animaux, désolé.
-Mais… Mais dans ton manga t’as soigné le petit chat ! Et le lapin ! Pourquoi tu fais pas pareil pour lui ?
Son père ferme son livre et, avec une expression grave, pose une main sur la tête de son fils.
-Ecoute, Shenji. Il y a une grande différence entre les livres et la réalité, tu comprends ? Ce que je fais, c’est écrire et dessiner. Rien de plus. Je ne suis pas le personnage de mes écrits, j’en suis simplement l’auteur. Je ne sais pas faire ce que mes personnages font. Tu comprends ?
Shenji comprend. Il hoche la tête. Il caresse tristement le dos de l’animal.
-Pardon. Je voulais t’aider mais papa peut pas te soigner finalement. Tu dois le faire tout seul.

Âge : neuf ans.
Son père est tombé malade hier. On l’a emmené à l’hôpital. Mam’ (c’est le surnom de sa belle-mère) est avec Shenji à la maison. Elle lui lit un roman. Un roman occidental. Un roman génial, avec de la magie, des dragons et plein d’aventures extraordinaires. Son fils est suspendu à ses lèvres, dévorant le moindre de ses mots. Il adore ça, au moins autant que les mangas.
-Dis, mam’ ?
-Oui ?
-Tu crois que moi aussi je pourrai vivre des aventures comme ça un jour ?
Elle rit. De sa main libre elle ébouriffe les cheveux du garçon.
-Si tu découvres un monde où tout ça est possible, pourquoi pas… Mais tu as bien compris que c’était très dangereux, n’est-ce pas ?
Il acquiesce. Il a très bien compris, mais les rêves d’enfant son bien souvent plus forts que la raison. Ce qu’il ne sait pas, c’est que demain il tombera à travers un portail et découvrira Terra.

Âge : quinze ans.
-Par les ailes du Phénix !
Dans le dos de l’adolescent apparaissent deux ailes de flammes bleues. Elles se transforment et viennent frapper l’homme qui est en face de lui, le brûlant gravement. Puis elles disparaissent.
-À l’avenir, ne t’en prends plus à des gens sans défense quand le Phénix Bleu est dans les environs.
Sur ces belles paroles, il range son livre et s’en va, sans accorder un regard aux trois jeunes Terranides qu’il vient de sauver. Il va s’assoir dans un coin sombre d’une ruelle et, une fois certain que personne ne le voit, il sort son carnet et note sa dernière phrase.
-Celle-là était vraiment bien, je m’améliore.
Il referme son carnet et ferme les yeux avec un soupir.
-Aah, c’est cool… Un esclavagiste traumatisé de plus, trois fans potentiels supplémentaires, et une phrase qu’a trop la classe. Une belle journée.

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Autres : Voyageant entre sa Terre natale et Terra aux mille promesses, Shenji a appris la langue de cette dernière et est maintenant parfaitement bilingue, à force de pratique.
Il possède un livre très spécial, un livre de magie qui au début ne contenait qu’un seul sort : les ailes du Phénix. Ce livre lui sert à se défendre puisqu’il ne sait pas très bien se battre. Il a appris des sorts supplémentaires au fil de ses errances. Ces sorts apparaissent aléatoirement sur les pages du livre, mais une fois qu’ils y sont ils y restent. Une simple formule suffit pour les lancer, à condition qu’on soit le propriétaire du livre. Or, Shenji ayant ramassé le livre abandonné, il en est maintenant le propriétaire.

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Comment avez-vous connu le forum : Google is not my friend.
Avez-vous des moyens de faire connaître le forum ? Nope.