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Sujets - Wakana Queen

Pages: [1]
1
Ville-Etat de Nexus / Ça existe, les pirates ? (Capitaine Crochet)
« le: mardi 04 février 2014, 00:35:20 »
Pirates des Caraïbes, la célèbre tétralogie avec comme héros "Jack Sparrow" incarné par Johnny Depp, passait à la télé ce soir. Le premier opus d'abord. A savoir, La malédiction du Black Pearl. Bien installée dans son canapé, avec une tasse de chocolat chaud et une boîte de mikado, Wakana regardait le film avec attention. C'était la première fois qu'elle le voyait aussi. Elle était captivée. Le capitaine Sparrow était délicieusement drôle et sexy. Loufoque aussi.

Emmitouflée dans une couette, la mannequin ne se lassait pas des déboires des héros.

Et le film se termina.

Elle finit son chocolat, éteignit la télé, lava la tasse, jeta le paquet vide de mikado et décida qu'il était l'heure de se coucher. Elle était en week-end le lendemain, mais elle aimait tellement dormir que l'heure à laquelle elle se couchait importait peu. Qu'il soit vingt heures ou minuit, elle ne se lèverais pas avant au moins midi. Voire quatorze heures.

Délaissant la couette du canapé, elle monta dans sa chambre. Elle voulut d'abord passer à la salle de bain, pour se brosser les dents, mais quelque chose d'étrange se produisit. D'abord, la porte refusa de s'ouvrir. Ensuite, il y eut comme un chuintement. Et la porte céda soudainement, emportant la jeune femme à sa suite.

Comme dans un rêve, Wakana se retrouva dans une taverne semblable à celle qu'elle venait de voir dans le film hollywoodien. Des hommes empestant l'alcool buvaient et chantaient. Des femmes en petite tenue offraient leurs services ou faisaient le service. Et la musique discordante du lieu englobait le tout.

Quand Wakana avait cru entrer dans sa salle de bain, elle avait en fait poser le pied sur le plancher de la taverne.

Sa surprise était telle qu'elle trébucha. Et la poignée de porte lui resta dans la main.

Le bruit (puisque ce n'était décemment pas de la musique) et les rires s'arrêtèrent peu à peu quand on se rendit compte de sa présence. Tous les regards se tournèrent vers elle.

En même temps, elle n'était pas spécialement passe-partout. Surtout à cet instant. Elle portait une ravissante robe dentelle bleue, qui ne cachait rien de ses charmes étant donnée qu'elle était quasi transparentes. Les épaules nue de Wakana se raidirent alors tandis qu'elle se rattrapait aussi bien que possible au bar qui était tout près.

Stupéfaite, elle se retourna pour chercher à revenir chez elle, mais il n'y avait plus de porte. Elle ne voyait que d'autres clients, tout aussi éméchés et sales que les précédents. La seule preuve de l'existence de son chez elle, c'était la poignée métallique qu'elle tenait encore dans la main.

- Sorcière !

Ce cri du coeur était lancé par une des serveuse, en aussi petite tenue que les prostituées.

- Ouais, elle est venue de nulle part, c'est une sorcière !

Et ce cri fut bientôt repris par toute la taverne. Terrifiée, Wakana observa l'un des ivrognes se lever et s'avancer vers elle. Il essaya de l'attraper par le bras pour l'immobiliser, mais elle réagit vivement en abattant sa poignée de porte sur le bras qu'il tendait, et fila hors d'atteinte. Elle grimpa lestement sur le bar, se disant qu'en hauteur, elle pourrait mieux se défendre.

- Je n'suis pas une sorcière ! Hurla-t-elle.

Elle n'eut, en réponse, que des huées et des ricanements grivois.

Elle shoota, pieds nus, dans une cruche. Qui alla s'écraser dans la face d'un autre assaillant.

La panique la gagnait, et elle ne voulait qu'une chose : Se réveiller. Parce que c'était un rêve, n'est-ce pas ? Même si la douleur dans on pied est lancinante, après son coup de pied, ça ne peut pas être réel. Si ?

2
Une musique d'ambiance animait le défilé. Une sorte de "boum boum" régulier, un peu électro, un peu jazz. Les mannequin défilaient avec un visage quasi inexpressif, comme c'était la coutume dans le milieu. Grandes, informes et longilignes silhouettes avec un sourire de Joconde, juchée sur des talons vertigineux et moulées dans des créations hors de prix d'un goût parfois douteux.

C'était ça, des défilés communs. Mais parmi ces mannequins trop fines et trop maquillées, sur ce tapis noir qui s'étalait tout le long de l'estrade, une petite blonde fit alors son apparition. Petite, mais également perchée sur des talons haut d'au moins douze centimètres. Petite, mais pas aussi fine que ses collègues. Voluptueuse serait le mot. Elle, c'est Wakana Queen, égérie Barbie. Elle mélange le charme asiatique et le charme anglo-saxon. Elle respire la gaieté, et c'est un grand sourire qui orne son visage alors qu'elle clôt le défilé.

Un grand sourire qui, toutefois, s'efface bien vite quand des tirs résonnèrent, coupant la musique et faisant tomber d'un coup un silence de plomb.

Et puis, tout aussi rapidement, des cris effrayés et affolés commencent à exploser les tympans de Wakana.

Et ceux des tireurs.

Il s'agit d'un groupe de braqueurs bien organisé. L'un d'eux vient menacer les mannequin, et prend même la blonde Barbie en otage. Un autre s'occupe de maintenir en respect les gardiens de l'ordre et autres vigiles. Un troisième et un quatrième se répartissent la grande salle en deux, et vont d'invités en invités avec un gros sac pour récolter billets, bijoux et objets de valeur.

C'est le chaos. Barbie est tétanisée.


• • • • • • •

- [...] C'est pour ça que tu dois accepter cette protection rapprochée. Le maire ne veut pas que la grande "Barbie" qui réside dans sa ville se fasse tuer. Imagines le scandale ! ... Hé, Waka', tu m'écoutes ?
- Mmh ? Oui oui. Protection, maire inquiet, scandale...
- Tu vas accepter alors ?

Wakana hocha la tête, s'attirant un sourire satisfait de la petite brune asiatique qui discutait avec elle. Cette brune, c'était le commissaire de la ville. Wakana s'en était faite une très bonne amie au fil de ses visites au commissariat, pour venir évaluer l'état psychologique de certains témoins ou de certains suspects.

- Je t'ai attribué un homme de confiance, même s'il paraît... Brut, au premier abord. Il ne devrait pas tarder. Sois gentille avec lui, d'accord ?
- Je suis toujours gentille je te signale... J'ai quand même soigné les blessures de mon preneur d'otage pour ne pas que ça s'infecte.. Je suis incapable de faire du mal.
- Je crois que je commence comprendre pourquoi même les pires détenus finissent par se confier à toi...

La psychothérapeute-mannequin rit doucement, et étendit ses longues jambes devant elle. Pour rencontrer son futur garde du corps, elle s'était habillée simplement. Un jean, couleur sombre, avec un chemisier un peu bouffant, blanc, et une veste en jean de même teinte que son pantalon. Une tenue sobre, classique, qui mettait en avant sa chevelure dorée et son teint d'albâtre. Aux pieds, elle portait ces nouvelles basket à talons compensés qu'on voyait dans tous les magasins du centre-ville. Et sa crinière était maintenue en place par un petit serre-tête noir.

- Tu es sûre que ça n'embêtera pas ton gars, de veiller sur moi constamment comme une nourrice ? Il doit sûrement préférer aller sur le terrain, ou quelque chose comme ça, non ?

Son amie esquissa un sourire énigmatique.

- Il suivra mes ordres, ne t'en fais pas.

Ça n'avançait pas beaucoup Wakana. Elle craignait le pire.

- Tu sais que je n'aime pas être une charge pourtant...

Elle ne put en dire plus, car la porte venait de s'ouvrir.

3
- Docteur Queen ?

Le nez plongé dans un immense traité de médecine parlant de la schizophrénie, le docteur Queen ne répondit pas. Elle ne semblait même pas avoir entendu la voix du responsable de l'institut carcéral de Seïkusu.

- Docteur Queen !
- Mmoui ?

L'homme, penché par l'embrasure de la porte, ouvrit cette dernière complètement et entra, se redressant  de toute sa haute stature.

- Vous avez un message qui vient du commissariat.
- Du commissariat ?
- Ils veulent que vous fassiez une évaluation psychologique de l'un des leurs, et que vous ayez un suivi sur le long terme...
- Je vois.

Hochant la tête, l'homme sortit après avoir déposé une feuille sur le bureau de la psychologue, et il sortit.

Restée seule, Wakana reposa l'épais traité, en prenant soin de marquer sa page, et lu rapidement le message laissé.

Citer
Docteur Queen.

Je suis le Commissaire Principal de Seïkusu.

Je souhaite faire appel à vos services pour évaluer l'état psychologique de l'un de mes hommes.

Pouvez-vous venir au Commissariat vers quatorze heures, aujourd'hui ?

Cordialement,

***

Le nom de l'émetteur du faxe était illisible. L'encre avait bavé.

- Je suppose que je devrais y aller.

Elle parlait dans le vide, comme souvent. Réprimant une envie de bâiller, et refermant le traité où sa page était marquée, elle jeta un coup d'oeil à sa montre. Treize heures. Le temps de prendre ses affaires, de passer au drive chercher quelque chose à manger, et de se rendre au commissariat, il serait quatorze heures. Elle ne devait pas traîner si elle voulait être à l'heure.

Prenant son sac à main, la blonde verrouilla son bureau et sortit. Elle passa devant le parloir, où certains de ses patients parlaient à leur famille, et salua la réceptionniste.

Le trajet jusqu'en ville fut rapide. L'attente au drive d'une grande enseigne de restauration rapide fut plus long. Au final, quand elle arriva au commissariat, il était quatorze heures dix, et elle n'avait pas encore mangé.

Son sac en papier à la main, elle se présenta à l'accueil du commissariat.

- Bonjour. Je suis le docteur Wakana Queen, psychothérapeute. Le Commissaire a demandé mes services. Je suis un peu en retard, je suis désolée. Où dois-je aller pour m'entretenir avec mon client ?

La blonde avait débité tout ça d'une traite, en présentant sa carte à la réceptionniste.

4
Le coin du chalant / (bis) Call me Barbie ~
« le: mardi 21 janvier 2014, 01:33:58 »

Un petit mot pour vos prétendants ?

Euh... Heureusement, il n'y a pas de minimum imposé là.

Disons... Si vous voulez jouer/parler/me rencontrer/faire autre choses et ainsi de suite avec moi, n'hésitez pas à poster sur mon profil (ici) ou dans ma boîte à mots doux. Je vous répondrais toujours, même si c'est par la négative !



Trames :

--- > Une première idée consisterait à faire de vous un homme (ou une femme, bien que Wakana soit hétérosexuelle) qui ait par hasard vu son profil sur Love Arrow, le site de rencontre pour adultes consentants sur lequel Waka' s'est inscrite un peu par désespoir, et sur insistance de sa meilleure amie. De là, plusieurs possibilités.

1# Vous souhaitez la rencontrer, sans vraiment la connaître en tant que mannequin, pour voir si des affinités peuvent se créer. Possibilité d'une rencontre -torride- sans lendemain, si les affinités ne se crééent pas.
2# Vous souhaitez juste communiquer par le biais des mots doux du site, et une correspondance peut s'installer entre vous. Ce peut devenir une grande amitié, jusqu'au jour où vous vous sentirez prêts à vous rencontrer. Et là, adviendra ce qui adviendra.
3# Vous ne cherchez pas l'amour, mais plutôt à remplir votre tableau de chasse. Vous vous dites que Waka' est parfaite. Une mannequin dans son palmarès, c'est le pied, non ?
4# Si vous avez d'autres idées en rapport avec le site de rencontre, je suis toute ouïe !


--- > Une seconde idée consisterait à faire de vous un(e) patient(e) de Waka'. Je sais qu'elle est principalement une psychothérapeute en milieu carcéral, mais elle peut accepter, de temps en temps, un petit extra. Rien n'empêche que vous soyez un prisonnier, cependant. Plusieurs variantes également :

1# Vous la voyez régulièrement, au moins une fois par semaine, mais pas forcément pour le côté psychologique de la chose. Possibilité d'une relation charnelle entre adultes consentants, sur une longue durée, mais sans réels sentiments. Avec en prime, une analyse gratuite. Ou pas, d'ailleurs, si vous payez la séance.
2# Vous ne voulez pas aller voir un psy', mais votre mère/femme/amie/homme/père/ami/frère/soeurs/[insérez ici la mention voulue] vous pousse à y aller, et vous prenez contact avec Waka'.
3# (Milieu Carcéral) Vous êtes un prisonnier, ou un gardien, et on vous envoie voir le psy' de la prison parce que l'un des détenus s'est suicidé, et qu'il faut un suivi psychologique de tous le monde. L'entretien peut tourner au vinaigre si vous le désirez hein.
4# Pareil, si vous avez des idées en relation avec son travail de psy', je suis toute ouïe.


--- > Une troisième idée serait de jouer sur le côté "mannequin" de Waka'. Elle pourrait participer à un gala de charité, à un défilé pour une grande occasion, ou que sais-je d'autre. Plusieurs possibilités, donc :

1# Vous êtes (ou vous vous prétendez) agent, et vous aimeriez voir un défilé privé de Waka pour lui proposer "peut-être" un contrat pour une nouvelle ligne de sous-vêtement. Là, il y a une grande possibilité de relation charnelle hein. Si tant est que vous correspondez à un ou plusieurs critères de la blonde.
2# Un psychopathe qui a toujours voulu décapiter "Barbie" pour de vrai (ou autre idée tordue) prend Waka en otage alors qu'elle est dans sa loge, à se préparer à jouer les poupées aux côté de Ken pour un anniversaire d'enfant. Vous pouvez être ce psychopathe, ou bien un héros à la rescousse, comme vous voulez !
3# Ben si vous avez des idées, encore une fois, proposez !


--- > Une quatrième idée, ça serait de la placer dans un contexte normal. Oui, il faut bien que ça arrive des fois. Plusieurs variantes :

1# Elle fait ses courses, et libre à vous d'imaginer ce qui peut arriver en faisant ses courses.
2# Elle va à la fête d'une amie. Une méga-grande fête, à laquelle beaucoup sont conviés, alors même que ladite amie ne les connaît pas. Pourtant, l'entrée est uniquement sur invitation.
3# Elle va chercher le fils d'une amie au lycée.
4# Elle va à la banque.
5# Elle va en boîte de nuit, dans le quartier de la Toussaint. Elle peut boire un peu trop, ou boire un verre offert par un inconnu qui serait drogué (le verre, pas l'inconnu), ou tout un tas de choses qui arrive en boîte dans un quartier qui craint un peu. Soyez qui vous voulez !
6# J'vais pas tout proposer non plus, mais si vous voulez , faites-le vous !


--- > Une cinquième idée serait de la faire découvrir Terra. Pas quinze mille possibilités dans ce cas, puisqu'il y aura une seule découverte. Proposez, si vous l'osez !

--- > Si vous avez d'autres idées, postez ! :D

(PS : Comme vous le voyez, je n'ai pas une grande inspiration pour les titres. Ça ne me gênes pas de commencer, loin de là, mais si vous aviez des idées pour le titre de notre RP, je prend !)

○ • • • • • • • • • ○

-> Evaluation psychologique ou discussion à coeur ouvert ? (Nathan Joyce)
-> Rapproche pas trop ta protection hein ! (Gabriel Valmy)
-> Ça existe, les pirates ? (Capitaine crochet)

5
Prélude / Call me Barbie ~ [Valimercenarisée !]
« le: lundi 20 janvier 2014, 14:16:30 »
Questionnaire d’Inscription « Love Arrow »

Inscription : 1ère étape --

Vous êtes : Une femme.
Votre date de naissance : 13 Juillet 1989. J’ai 24 ans.
Votre adresse e-mail : wakana.queen@japmail.com

Inscription : 2nde étape --

Nom : Queen.
Prénom : Wakana Guenièvre.

Votre pseudonyme : Guenièvre.
Mot de passe : ********
Confirmation : ********
Pays : Japon.
Ville : Seïkusu.

Inscription : 3ème étape --

Photo de profil : http://i58.servimg.com/u/f58/17/48/78/51/sans_t33.png
Taille : 1m60.
Poids : 52 kilos.
Yeux : Bleus.
Cheveux : Blonds.
Silhouette : Pulpeuse.
Alcool : Occasionnellement.
Tabac : Occasionnellement.
Sport : Occasionnellement.

Profil : 1ère étape --

A quoi ressemblez-vous physiquement :

Bon. Je vois qu’il faut au moins trois cents mots, alors je vais essayer.

Je suis plutôt petite, plutôt pas grosse, et plutôt pulpeuse. J’ai des formes, je les assume. Heureusement, elles sont placées où elle faut. Dans la poitrine, dans les fesses et presque pas dans les cuisses ou sur le ventre. Mes hanches sont plutôt étroites pour une femme, mais ça n’empêche pas qu’on remarque que ma taille est vraiment fine.

J’ai les cheveux longs et blonds, et les yeux bleus. J’ai une peau assez pâle aussi, mais quelques jours d’exposition au soleil me donne un teint hâlé.

Les trois cents mots vont être difficiles à atteindre. Que pourrais-je rajouter ?

J’ai un grain de beauté sur la fesse droite, en plein milieu. Détail inutile, je sais, mais ça meuble. J’ai aussi une cicatrice, qui ne se voit pas en public. Elle fait trois centimètres de long, sur un demi-centimètre de large, et elle se situe sur la peau tendre de ma cuisse droite. Non, ce n’est pas un vestige de chirurgie esthétique. C’est un coup de couteau.

Que rajouter encore ?

Je porte souvent des vêtements près du corps, et j’ai un style assez varié. Mon immense garde-robe contient des tenues BCBG, chic, bohème, sexy, intimes, classiques, sportives… Mais également un large éventail de costume et déguisements en tout genre. On est très cosplay au Japon, et en plus, je suis mannequin, alors ça aide.

Pour finir, je suis sûre que vous êtes en train de vous dire « Oh, c’te Barbie ! »…

Et bien vous avez raison. Je suis l’égérie « Barbie ». Non, pas l’originale, mais l’actuelle. C’est moi qui pose pour les dessins, pour les magazines… Parfois avec « Ken », parfois sans. Mais oui, je suis « Barbie ».

Et trois cents mots !

A quoi peut-on s’attendre avec vous ? :

Là aussi il faut trois cents mots… Bon.

Je me considère comme une femme relativement normale. Je suis plutôt honnête. Je ne sais pas mentir de toute façon. Je déteste cacher des choses aux gens. Que je les connaisse ou pas. Je déteste aussi les hypocrites et ceux qui mentent en permanence. Je trouve plus logique d’être honnête en tout temps, même si la vérité peut blesser. Autant souffrir sur l’instant, et en guérir, plutôt que de souffrir à rebours, et avoir des tas de regrets après. Du genre « Pourquoi ne m’as-t-on rien dit avant ? ».

Que dire d’autre ? Je suis plutôt confiante de nature, et un peu naïve sur certaines choses. Je ne pense pas que le mal existe vraiment. Je pense plutôt que ceux qui « font le mal », le font pour une raison, pas gratuitement. L’homme qui dévalise une bijouterie, c’est peut-être pour régler ses dettes, pour faire un cadeau à sa femme qui menace de le quitter, ou que sais-je d’autre ? Un type qui en tue un autre, c’est sûrement pour se défendre, ou pour se venger.

Je ne dis pas que la vengeance est une bonne raison. Mais, comment puis-je imaginer que quelqu’un ferait du mal juste… Juste comme ça ? Pour son propre plaisir ? Non, je pense qu’il y a toujours une raison en-dessous.

Ce besoin de savoir comment fonctionne les gens, j’en ai fais mon métier. J’adore aider les autres à aller mieux, je suis une bonne oreille. On peut s’épancher tant qu’on veut avec moi, ça reste entre nous. Je suis aussi donc, non seulement mannequin, mais aussi psychothérapeute. Et pas n’importe quelle psychothérapeute, attention. J’exerce dans le milieu carcéral, car je pense que c’est ceux qui ont besoin de mon aide en priorité.

Et trois cents mots aussi.

Quelles sont les choses qui vous attire chez un homme :

Chez un homme ? Hm… Je regarde d’abord sa stature. Je suis très attirée par les hommes plus massifs que moi. Pas des gros, hein ? (Désolée, je ne veux pas être blessante !) Mais ceux qui sont musclés, dont on ressent la puissance rien qu’en les regardant. J’aime me sentir en situation d’infériorité physique.

Pas que j’aime me faire maltraiter, ou autre. Mais j’ai toujours eu besoin de me sentir protégée par la stature d’un homme.

Et puis je regarde aussi ses mains. J’aime les mains puissantes, aux doigts agiles. J’ai connu un bucheron. Il avait les mains calleuses, mais il se montrait doux avec. C’est étonnant, parce qu’on aurait cru qu’il se serait montrer rude et qu’elles seraient rugueuses.

J’aime aussi la vue de dos, quand ils sont torse nu. J’aime voir les muscles de leurs épaules rouler sous la peau, j’aime voir leur nuque puissante et dégagée. Je crois que ça m’excite immédiatement.

Et puis il y a la voix aussi. Quand elle est grave, rauque ou rocailleuse… Quand elle est profonde et puissante, qu’elle me fait vibrer… J’adore me sentir fondre sous leurs mots, qu’ils soient doux ou osés. La voix fait tout !

Bien sûr, il y a aussi leurs traits. Leur physionomie. Qu’elle soit agréable, et un peu virile. Peu m’importe les cicatrices. C’est l’impression générale qui compte, le charme et le charisme !

Quels sont vos envies inavouées :

Ben, le principe d’une envie inavouée, c’est justement qu’elle n’est pas avouée, hm ?

Mais je joue le jeu.

Je ne suis pas dominatrice par nature, néanmoins, je ne suis pas non plus soumise par nature. J’aime à me situer entre les deux. C’est-à-dire que ne pas avoir le contrôle ne me gêne pas trop, mais que j’aime quand même, de temps en temps, prendre un peu le dessus. Je n’irais pas jusqu’au fouet, hein. Mais.. Comment expliquer ça…

J’aime la puissance que dégage un homme à la virilité exacerbée. Comme j’aime me sentir protégée, j’aime parfois, justement, me sentir impuissante.

Autrement, je ne vois pas ce que je pourrais avoir comme désir inavouable.

Parlez-nous de votre vécu :

Oh, cinq cents mots ? C’est plus un questionnaire là, c’est un rapport en trois exemplaires !

Bon. Je suis née à Tokyo, il y a vingt-quatre ans. Ma mère était une japonaise dans le vent, surfant sur une vague de célébrité. Elle était mannequin pour une grande marque de lingerie, et elle a rencontré mon père. C’était un homme d’affaire britannique qui venait de s’installer à Tokyo pour étendre la firme multinationale pharmaceutique « Health-Search ». HS, pour les intimes.

Ils se sont plus immédiatement, et ils se sont mariés rapidement. Quelques mois après, je suis née.

J’ai eu le meilleur enseignement possible, mes deux parents ayant les moyens de m’inscrire dans les écoles privées les plus réputées. Très tôt, j’ai été photographiée par un ami de ma mère. Très photogénique, j’ai fini par devenir un mannequin, très jeune, avec l’accord de mes parents.

Mais ça ne m’a pas empêchée de continuer à étudier.  Après le collège, j’ai pris une filière sociale au lycée. Et à l’université, j’ai choisis une filière pour devenir psychothérapeute. Et ça paie ! A peine sortie diplômée, j’ai déjà eu une offre d’emploi.

Pour cela, j’ai quitté Tokyo. Je me suis installée dans la ville où ma mère est née. Seïkusu. J’ai pris poste à la prison, non loin, qui accueille uniquement des prisonniers masculins. La prison pour femme a fermé ses portes.

Je continue toujours le mannequinat, mais moins. Je ne fais plus qu’une campagne. Celle de la somptueuse poupée Barbie. Je suis blonde, comme mon père, avec les yeux bleus. Je suis svelte, et séduisante. Mes cheveux tombe jusqu’en dessous de mes fesses, alors j’étais la candidate parfaite.

Etant donné que j’ai commencé très tôt dans la mode, je suis aujourd’hui très stylée sans faire le moindre effort, et j’ai un compte en banque bien rempli. J’ai pu m’acheter un penthouse de trois étages en comptant le toit-terrasse en centre-ville, et y entreposer mon impressionnante garde-robe. J’ai un étage entier consacré à mes tenues vestimentaires.

Mais, malgré mon succès et mon argent, je n’ai toujours pas trouvé l’homme parfait. J’ai eu quelques conquêtes, sur un plus ou moins long terme, et je suis encore en bon terme avec eux. Mais il me manque l’amour dans ma vie.

Qu’est-ce que je pourrais rajouter d’autre ?

Hm… J’ai adopté un chien l’année dernière. Il a trois ans, et il s’appelle Roar. C’est un croisé Staff et dogue allemand. Il est couleur sable, avec des tâches blanches. Il est impressionnant, mais doux comme un agneau avec moi. Il est aussi dressé à l’attaque et à la protection. Comme c’est un croisement, il n’est pas non plus considéré en catégorie 1. Et il est si mignon !

J’ai eu tout un tas d’animaux quand j’étais petite. Je les adore. Mais la plupart sont morts aujourd’hui. De vieillesse pour la plupart. Certains ont été écrasés, notamment quelques chats. D’autres sont tombés gravement malade et il a fallu mettre fin à leur souffrance par l’euthanasie. Je les ai beaucoup pleurés, mais j’ai avancé, et j’ai toujours trouvé la force de donner mon amour à d’autres.

Qu’est-ce que je peux ajouter ? Je ne sais pas.

Pendant mon temps libre, je lis beaucoup. Je fais aussi les magasins. Je ne suis pas très « paix dans le monde » et ce genre de bêtises de miss. Je ne suis pas engagée dans des actions humanitaires. Mais je le vis bien hein. Je suis déjà pleinement engagée à faire rêver les jeunes filles, et à aider les criminels à aller mieux… Je ne peux pas tout faire non plus. Sans compter que mon j’attends toujours mon prince charmant !

Que recherchez-vous exactement :

Je ne sais pas. Une amie m’a poussée à m’y inscrire. Je ne crois pas que je trouverais le grand amour sur ce site, mais je suis ouverte à toute proposition. Et si ce n’est pas pour la vie, rien n’empêche que ça soit pour une nuit, ou plusieurs !

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