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Sujets - Deisui Kichigai

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Tekhos Metropolis / Ivresse charnelle
« le: vendredi 07 février 2014, 23:58:02 »
Je haïssais cette ville... Mais je n'avais pas le choix, il fallait que j'y sois pour recevoir les directives de mon dernier commanditaire.

Et contrairement à nombre de mes humeurs, je ne détestais pas cette cité pour des raisons gratuites et futiles. La première d'entre elle était que je possédait et maniait un équipement plutôt archaïque, qui n'avait nullement sa place dans cette métropole dédiée à la technologie, de fait je me retrouvais contraint à avoir en ma possession des outils qui ne m'étaient nullement familier et que je n'appréciais guère en dépit du fait que je savais pertinemment en faire usage, sans même compter le fait que les robots étaient bien moins sensible à certains arguments ou traitements que les humains et que je ne possédais malheureusement pas les talents appropriés pour les neutraliser. La seconde était la main mise que les femmes avaient sur cette ville. Non pas que je sois misogyne, bien au contraire, mais justement pour avoir toujours, de mon point de vue, respecter les femmes à l'égal des hommes il m'étaient pénible de voir ces dernières me regarder d'un air condescendant et supérieur.

Quant aux hommes n'en parlons pas, la plupart étaient de véritables larves, enfin du moins de mon point de vue. Sous les ordres de la gent féminine, mais même pas renforcer par des travaux physiques, dont les robots s'acquittaient à leur place. En somme ce n'était à mes yeux même pas des êtres vivants, juste des spectres, qui heureusement reprenait un peu de substance avec quelques verres dans le nez. Ainsi je fréquentais tant que possible les rares bars où la gent féminine  se faisait absente, ou presque. Et c'était justement à la sortie d'un de ces bars que je fis une curieuse rencontre. Ce qui m'attira ce fut les multiples chocs répétés que j'entendis, et reconnus. Des coups de poings, ou de bâton peut être. Un bref coups d’œil autour de moi m'informa de l'absence de robots qui  aurait pu mettre un terme à cette altercation. Chose rare... Mais si j’avais l'occasion de me dérouiller sans risque...

Ce son venait d'une ruelle et de fait je n’attendais nullement pour y pénétrer un large sourire aux lèvres. J’étais à vrai dire d’autant plus enthousiaste de par l'alcool qui m'animait , et peut être manquais je d'un peu de prudence, mais peu importe. J'aperçus rapidement les silhouettes dans la demi pénombre. Trois individus  en entourait un autre, visiblement dans les vapes après quelques coups bien sentis. Je n’étais pas un sauveur ou un protecteur mais des individus assez misérable pour se battre à trois contre un constituaient une part non négligeable de la pâture que je jetais à Morte-Dame. Néanmoins je n’étais pas ici au nom de la ville des morts de fait je m'abstiendrai pour eux d'un sort si cruel... Et à vrai dire ils ne me laissèrent même pas profiter pleinement de ce plaisir, ne me voyant deux d'entre eux détalèrent et l'autre s'avança, une barre en métal à la main. il semblait éméché, bien plus que moi même et ne semblait même pas dangereux, juste sottement agressif. Je n'eus même pas à dégainer mes armes, que j'avais de toute manière laissées à ma planque, il s'élança vers moi, j'esquivais son assaut puis lui saisit la gorge, et profitant de l'élan l'amenait à une des poubelles, le projetant brusquement dans une de ces dernières.

"Panier à trois points !"

Le type fut déjà bien sonné, mais en plus cette ville avait certains atout appréciable. Comme ces poubelles qui amenait les déchets à une décharge par un complexe système de tuyauterie. quand il dégrisera le type n'aura pas qu'une gueule de bois, mais aussi une odeur des plus rances ! Enfin au moins n'allait il pas plus me déranger. Je m'apprêtais d'ailleurs à quitter la ruelle, quand je me souvins de la victime de ces voyous, et je me décidais de m'en approcher. Je le détaillais alors brièvement. Il avait eu de la chance, emplis comme des outres ses agresseurs n'avaient pas frappé aussi efficacement que possible, et les dégâts s'avéraient moindre  que ce qu'aurait pu laisser craindre l’agressivité de ses détracteurs. Il avait quelques bleus au visage, probablement d'autres sur le reste du corps, ses habits étaient un peu déchirés, mais hormis quelques coupures et contusions il n'y avait rien à signaler, ce qui aurait d’ailleurs été dommage vu la gueule d'ange qu’il avait. Qui plus est il avait une carrure des plus frêles, sans pour autant être apathique comme celle de bien des habitants de cette ville, d’où le fait qu'il semblait s'être à peine défendu. Je songeais un instant à le laisser là se remettre de lui même, mais à vrai dire si les robots mettaient encore du temps à mettre leur patrouille et que d'autres ivrognes se pointaient il risquait bien pire que ce qu'il avait déjà vécu.

Ainsi, en désespoir de cause, je me décidais à l'emmener à ma planque, le relevant doucement, tout en le secouant pour essayer de le réveiller un peu. Dans le fond, agir ainsi ne me dérangeait pas vraiment. a vrai dire contrairement à certains de mes congénères je n'enveloppais pas mes planques d'une nappe de mystère. Au pire si j'étais trahi je pourrai toujours en trouver une autre, et c’était après tout en se mêlant à al foule qu'on se dissimulait le mieux. Ce qui était particulièrement vrai dans la ville de Tekhos. Alors que d’ordinaire j'appréciais avoir une planque dans les bas fond ou un bar sordide, il s'avérait ici que j'avais acheté un appartement respectable, bien qu'isolé, auquel n'importe qui d'un peu habile aurait pu accéder. Mais, de par ma défiance à l'égard de la technologie je prêtais assez peu d'attention aux choses qui s'y trouvaient..Et de toute manière la criminalité en cette ville était des plus basses et si la police me soupçonnait elle avait des moyens plus efficaces de me retrouver que de fouiller ma planque ! Alors l'un dans l'autre un peu de confort ne pouvait pas nuire, surtout à mon grand blessé !

Alors que je le sortais de la ruelle et le menait à ma demeure, essayant d'éviter tant que possible les robots pour éviter une situation embarrassante je le sentis s'agiter faiblement, reprenant conscience.

"Ah, tu te réveilles enfin, gueule d'ange. Ne t'en fais pas je ne suis pas une de ces brutes qui t'as attaqué, bien au contraire. Mais dit moi par curiosité, mêmes saoul ces type sont des larves qu'as tu fais pour t'attirer leur ire ?"

Oui j'étais indiscret, mais j’allais l'héberger j'avais bien le droit à cette réponse !

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Les bas fonds / Rencontre chimérique (Pv Linda)
« le: vendredi 06 décembre 2013, 14:39:11 »
Les bas-fonds.

Un lieu dans lequel il ne fait pas vraiment bon-vivre, j'en convenais parfaitement.

Cependant c'était ce genre de lieu qui me faisait vivre et ce pour plusieurs raisons.

Premièrement, C'était dans les bas-fonds qu'on pouvait trouver pas mal des aventuriers et mercenaires les plus méprisables qui soient, et qui, donc, me permettait de trouver des individus à amener se faire joyeusement tuer à Mortedame, mais je n'étais présentement pas ici pour cela.

Secondement, il y avait aussi plein d'autres individus qui n'étaient pas des aventuriers qui seraient intéressés pour visiter un donjon, mais qui étaient tout aussi méprisable. Voyous, meurtriers ou trafiquants, toute une horde d'individus dont la mort me rapporterait un petit pécule. Dans ce domaine le plus dangereux ce n'étaient pas les proies bien souvent, mais les autres chasseurs, d'autant plus que si je les éliminais je me retrouvais avec des ennuis plein les bras, et je ne parle même pas de la paperasserie administrative !

Troisièmement, c'était le lieu idéal pour installer une planque. Pour peu qu'on sache où se placer et comment faire pour éviter de se faire fréquemment cambrioler il n'y avait pas meilleur endroit pour organiser une petite planque avec out le nécessaire pour organiser les détails nécessaire à l’accomplissement de mes missions, quel qu'elles soient. Or j'en avais une dans ces lieux, et je devais lui reconnaître deux choses. Elle réussissait l'exploit d'être encore plus vétuste et inconfortable que celles que j'avais pu concevoir en pleine nature, mais il s'agissait aussi de la meilleure quand il s'agissait de récolter des informations sur n'importe qui. Les informateurs fourmillaient en ces lieux, et pour peu qu'on se montrait un tant soit peu généreux avec les mendiants on était certain qu'il n'en serait pas trop dit sur notre compte. Ainsi j'avais pu m'installer sans crainte dans une demeure constitué de bois humide et vermoulue, aussi pathétique à l'intérieur qu'à l'extérieur. L'ameublement se résumait à une planche de bois me servant de lit, à un tabouret miséreux et à un bureau usé, dans lequel je stockais des poignards de jet, du matériel d'entretien pour mes lames  et mes protections de cuir, des vivres,  de quoi écrire, ainsi qu’une carte de la ville et du pays et du matériel divers, dont une partie était répandue à même le bureau. Il y avait aussi un râtelier avec quelques armes. Ces dernières n'étaient jamais de bonnes qualités, pour que leurs disparitions ne soient jamais une grosse perte, mais il  y avait bien des situations ou un armement différent de mes deux épées étaient plus adéquats, bien qu'il restait toujours archaïque selon certains critères.

Quatrièmement, et enfin, un détail mais pas des moindres... Il s'agissait de l'endroit de la ville où il était le plus facile de trouver de l'alcool. Oh bien sûr c'était loin d'être des liqueurs raffinées, mais au moins avais-je toujours les moyens de m'en procurer  et les fournisseurs ne posaient jamais de questions, ce que j'appréciais particulièrement. Le seul point regrettable était peut-être la qualité de la compagnie, mais une fois qu'on commençait à boire ça comptait assez peu alors...

Bref, j'étais présentement à la ville-Etat de Nexus, ce n'était pas la première fois, et ça ne serait surement pas la dernière. En même temps, à moins de mourir, cela serait difficile, au vu du véritable carrefour que c'était, ce qui faisait de ce lieu un passage pratiquement obligatoire pour rejoindre d'autres territoires, mais aussi que des plus grandes concentrations de tâches dont un individu comme moi pouvait s'acquitter. Or une d'entre elles m'avait particulièrement intéressé.

 Un aventurier avec lequel j'avais travaillé avait mal tourné. Il avait tué son commanditaire, un noble, peu avant le début de la révolution qui agitait présentement la ville, et s'était caché dans les bas-fonds. Or il s'avérait que premièrement, une révolution ne faisait pas oublier les rancœurs, bien au contraire elle les exacerbait, secondement ça permettait aux gens comme moi de travailler sans avoir à se soucier des forces officielles, bien assez occupées comme cela et troisièmement je connaissais exactement son visage, ses habitudes, ses talents et faiblesses, une tâche facile, si ce n'était que les connaissances que j'avais sur lui, il avait les mêmes à mon égard, mais une rapide investigation m'avait appris où chercher, un atout précieux quand on est le chasseur, et qui m'avait permis de le remporter... Et à vrai dire je devais une fière chandelle à cette révolution ! Elle avait rendue mon entrée difficile, et à vrai dire j'avais bien moins pu étancher ma soif que je ne l’avais escompté, mais le trouble ainsi causé m'avais grandement aidé, même si présentement je me retrouvais cloitré dans ma planque afin d'éviter d'être pris dans ces élans de violence qui ne me concernaient pas. Je pouvais déjà m'estimer heureux que ma plaque ait été encore intact quand je l'ai retrouvé.

Ainsi la traque, était fini, et j'avais empoché mon paiement, que j'avais déjà dépensé à moitié, comme le témoignait les bouteilles, encore pleines, posées sur ce qui me servait de table, et j'escomptais bien leur faire un sort. En fait je comptais bien rester quelques temps ici. Oh pas longtemps, deux, peut être trois jours, mais pour moi c'était déjà beaucoup, mais il me fallait du tmeps pour m'organiser et sortir sans courir trop de risques. Et puis...Ce n'était pas le moment de ralentir, pas maintenant.

Et comme pour me donner du courage, je débouchais une bouteille. Je préférais boire avec autrui, c'était toujours plus gai, mais là j'avais simplement la flemme de me traîner à la taverne la plus proche et j'avais soif alors... Mais à cet instant j'entendis un craquement, tout près, au pas de ma porte. L'avais-je laissé ouverte ? C'était bien possible, mais de toute manière il n'aurait pas été bien dur de l'ouvrir. Bah de toue faon je ne m'inquiétais pas et finissais calmement ma boisson. Ce qu'il y avait de bien avec un bois aussi vermoulu ce que même le plus discret des individus ne pouvaient s'approcher sans se faire remarquer, et s'il me voulait du mal, soit il se serait déjà jeté sur moi, causant un bruit encore plus intense, soit il m'aurait déjà tiré dessus, ou encore se serait-il enfui. Or ce n'était apparemment nullement le cas. L'intrus sembla simplement rester là, et moi je finissais ma gorgée sans sourciller.

Je savourais brièvement l'alcool amer, puis reposais doucement la bouteille sur la table. Je n'avais presque rien bu, mais cela était assez pour que je puisse prêter un peu d'attention à ce nouvel arrivant. Je me levais alors du fragile tabouret sur lequel je me tenais avant de me retourner vers l'ouverture de ma demeure. Une donzelle, nullement adulte apparemment, mais je savais que sur Terra les apparences étaient trompeuses... D'autant plus au vu de son physique. En fait, elle semblait à peu près humaine, mais ses oreilles et sa queue la trahissait. Une sorte de femme couplée avec un animal, c'était assez fréquents ici, même si en la regardant j'avais l’impression que quelque chose ne collait pas, il manquait certains détails, ou il y ne avait trop, je ne saurai le dire.

Je pose alors négligemment mes mains sur les gardes de mes épées, restées à ma ceinture, mais je ne me fais nullement agressif. Je remarque un autre détail, ses habits ne laissent nullement présager qu'elle a l'habitude côtoyer les bas quartiers. Il y avait donc deux solutions, soit elle s'était perdus, soit elle était venue avec une raison bien précise. Et je préférais mettre les choses au clair.

"Hm ? Qu'est-ce qu'une jouvencelle comme toi vient faire ici, surtout par les temps qui courent ? Tu pourrais tomber sur des individus pas vraiment fréquentables. Ah mais qu'est-ce que je raconte ? C'est déjà fait !"

Je riais alors amplement, en effet je ne me considérais pas comme quelqu'un de fréquentable, même si j'aimais bien côtoyer les gens. Il suffisait de voir le nombre de personnes que j'avais mené à la mort, avec un tel tableau de chasse on ne pouvait pas être fréquentable. Je finis néanmoins rapidement par me calmer, lui demandant d'une voix un peu plus calme, mais toujours aussi nonchalante.

"Plus sérieusement, tu veux quelque chose de moi ? Sinon il vaudrait mieux que tu partes. Oh je ne te menace pas, mais si tu me demandes rien ou que tu es venue sans raison tu perds tout bonnement ton temps, après c'est vrai que ceux de ton espèce en ont souvent bien plus que les miens."

Cette remarque n'était pas vraiment anodine. Certes c'était un fait que bien des races humanoïde vivaient plu longtemps que les humains, mais décidément, même si j'essayais de ne pas le montrer, son apparence m'intriguait, et je me demandais si elle allait réagir à ce commentaire, bien que sa réponse à ma première question m’intéressait tout autant.

Après tout en l'espace de deux ou trois jours je pouvais facilement accomplir un nouveau travail.

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Nom/Prenom/Surnom : ???/???/ Deisui Kichigai (ou le fou ivre)

Âge : 33 ans

Sexe : Masculin

Race : Humain

Orientation sexuelle: Bisexuel.

Description physique : Humain assez grand, mesurant approximativement un mètre 90, Deisui est doté d'une carrure large qui trahit une musculature plutôt conséquente. De fait il n'est pas vraiment du genre à passer inaperçu, en dépit des bizarreries variées habitant le monde de Terra. Cependant, cela n'est pas tant dû à sa stature, ni à ses cheveux d'un blond vif ou ses yeux àl'éclat grisâtre et encore moins à sa nature humaine. La raison en est "l'aura" qu'il dégage, sa façon de marcher et son attitude générale, qui trahissent un individu doté de capacités martiales notables... Mais encore plus celui sous l'emprise d'alcool ! En effet, il marche rarement en ligne droite et son visage porte fréquemment les traces de l'alcool, sans pour autant que ce dernier n'en soit ravagé.

Sa tenue est composée d'habits en tissu noir aux bordures noires, auxquels s’ajoutent des protections de cuir au niveau des articulations. Sur son torse est placée en bandoulière une lanière de cuir dotée d'étuis contenant des petits poignards de jet. A sa ceinture sont rangées deux épées, liées par une chaîne qui, lorsque les lames ne sont pas dégainées, est rangée dans une sorte de sacoche au niveau de la ceinture. Le lien est assez grand pour pouvoir offrir une allonge considérable à Deisui et surtout pour ne pas entraver ses mouvements quand il manie ses deux lames simultanément.

Caractère : A première vue Deisui est un vulgaire ivrogne errant, dont le seul but est de vider tant que possible chaque taverne se dressant sur sa route... Et à seconde vue c'est aussi le cas, avec cependant quelques petites différences notables. Ainsi on peut facilement se rendre compte que ce n'est pas un individu qui se préoccupe de choses telles que l'honneur ou la fidélité, qui lui paraissent être des principes certes respectables, mais absurdes face à ce qu'il appelle la nécessité. Cette dernière se résume, en bref, à la tâche qui lui est assignée. Ainsi ses exactions ne débordent généralement jamais du cadre de cette dernière, ce qui n'est néanmoins pas si restrictif qu'il puisse être imaginé puisque les tâches qu'il évoque lui sont bien souvent assignées par lui même, bien qu'il n'ira pour autant jamais s'en prendre gratuitement à un innocent, en dépit du  fait qu'il semble apprécier le combat.

Il est à noter d’ailleurs que pour la "nécessité" il est prêt à  s'infliger à lui même ce qu'il peut faire subir à d'autres, n’hésitant pas à se blesser lui même  ou à se priver d'alcool  pour s'acquitter de sa tâche ! Il est même des fois advenu qu'il n’hésite pas à partager la couche de quelqu'un pour accomplir la "nécessité". Il y prend néanmoins plaisir, qu'il s'agisse d'un homme ou d’une femme, et ne refuse jamais pareille chose, à condition que cela ne nuise nullement à ses tâches. Cela, ajouté à une beauté moyenne et aux effets de l’alcool a finalement limité ses expériences dans le domaine. En dehors de cela c'est un individu plutôt bavard, même sans être sous l'effet de l’alcool, bien que ne parlant jamais de lui même, et il semble prendre tout ce qui arrive avec une certaine légèreté, même les choses les plus graves. Pour que quelque chose parvienne à le déconcerter il faut que cela soit de taille, suffisant pour l'amener à oublier une bouteille d'alcool à portée de main !

Histoire :  Comme dit plus haut Deisui parle assez peu de lui même, du moins de sa vie privée, et ce même sous l'emprise de l'alcool. Néanmoins deux choses ont fini par transparaître sur sa personne. Ainsi il serait originaire de la terre, avant de s'être établi sur Terra depuis une époque indéterminée,  et de fait il aurait, au vu de son apparence, une ascendance européenne. Détail corroboré par le second fait qui est que Deisui Dichigai n'est qu'un surnom donné par une de ses premières rencontres sur Terra, et que ses véritables nom et prénom sont entièrement inconnus. Par contre ce qui est plus connu c'est son parcours atypique en tant que mercenaire. Doté d'un armement archaïque et présentant une absence totale de pouvoir il ne semblait pas disposé à cette vie, et pourtant il fit une entrée fracassante dans ce monde en tuant sans hésitation deux autres mercenaires, un esper et un démon qui l'avaient dérangé durant une de ses beuveries, aidé en grande partie par le fait que ses opposants l'avaient sous-estimés. On suppose par ailleurs que c'est ce jour là qu'il a acquis son surnom.

Ce petit fait prit suffisamment d'ampleur pour qu'en dépit de ses prédispositions, à première vue défavorables, il trouve un travail dans la ville qu'il visita après et l'accomplit avec brio, ce qui le fit un peu connaître dans une autre ville, et ce ainsi de suite. Il put en conséquence se faire enrôler assez facilement dans bien des régions, ce qui lui fournit l'argent nécessaire pour se payer son alcool et lui permit d'améliorer ses talents, en particulier face à des adversaires bénéficiant d'un avantage au niveau de l'armement ou d'aptitudes physiques et magiques.

Sa vie aurait pu se dérouler aussi facilement que cela, jusqu'à ce qu'une mission tournant mal mette fin à sa vie ou qu'il soit obligé de raccrocher ses lames. Mais il finit par pénétrer à Mortedame, seul, en quête de la fameuse boisson qui réveillerait même les morts. En vérité, il parvint assez aisément à mettre la main dessus, n’ayant même pas besoin de pénétrer dans le donjon pour cela, chaque bar de la ville la servant...Et ce fut en la dégustant qu'il fit une rencontre qui allait changer le cours de son existence. Un des employés du donjon lui proposa un travail un peu particulier. Le donjon s'enrichissait grâce aux aventuriers qui venaient y périr en y amenant tout leur argent, mais justement il fallait que ces aventuriers viennent et c'était là que Deisui intervenait. Il ne ressemblait aucunement à un habitant de Mortedame et de fait il n'éveillerait pas les soupçons. Il lui suffisait de parler du donjon, d'amener des aventuriers à y pénétrer, voire même a les y accompagner, et les laisser y mourir ensuite, en échange de quoi il lui serait alloué autant d'alcool de Mortedame qu'il désirerait.

Cette tâche ingrate ne déplut nullement à Deisui, surtout au vu de son paiement. Il savait très bien que les autres mercenaires ou les aventuriers étaient bien souvent des individus méprisables, de fait en éliminer quelques uns ne lui posait nullement problème. Ainsi depuis deux ans  il sert de "rabatteur" pour le donjon, racontant à qui veut l’entendre l'histoire de Mortedame et de ses trésors, les invitant à s'y rendre, s'offrant même à y guider les intéressés, mais veillant toujours  à ne laisser nulle trace  de ces escapades à autrui que ses compagnons, qui ne revenaient jamais pour en parler. Personne ne se rend compte réellement de leur disparition, puisque Deisui choisit justement des individus dont on ne peut que souhaiter la disparition.  Dans le même temps il ne se prive pas pour continuer à exécuter quelques missions en tant que mercenaire, afin d’accroître ses finances, ou par simple jeu.

Situation de départ : Quelques expériences.

Autres :

-Connaissances avancées du combat à l'épée et à mains nues qui lui permettent de tenir tête dans une certaine limite à un individu aux talents martiaux inférieurs et qui se reposent sur des capacités surhumaines ou un meilleur équipement.
 
-Une grande résistance à l'alcool, qui va même jusqu'à lui permettre de se battre efficacement tout en étant saoul.

-Suite à une rencontre avec la déesse Karuta, il a obtenu de sa part trois cartes dont il peut invoquer les personnages qu'elles représentent à sa guise, avec cependant certaines restrictions. La première est qu'il ne peut invoquer qu'une seule carte à la fois. La seconde est que si le personnage d'une carte meurt il devient indisponible pendant un certain temps. Enfin la troisième est qu'après avoir invoqué une carte et l'avoir rappelé il doit attendre une heure avant de pouvoir la réinvoquer.

Les cartes sont les suivantes.

-Dimitri: Spécialiste de la défense, c'est un individu particulièrement redoutable dans les duels et qu'il est très difficile de tuer par des moyens physiques, mais qui n'hésitera pas un instant avant de vous éliminer.



-Val: Spécialiste de la magie explosive, elle est particulièrement efficace face  à de grands groupes de créatures, mais elle peut aussi constituer un adversaire redoutable contre les mages car elle s'avère immunisée à la magie



-Gardienne du miroir: Dénuée d'aptitude offensive ou défensive, elle est la détentrice d'un miroir indestructible et empreint d'une puissante magie qui force toute personne le regard à dire la vérité quand il parle.



Comment avez vous connu le forum : Via un ami, et au vu des allusions à Mortedame je ne pense pas trahir un secret en disant que c'est via Trizox :p

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: Non

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