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Ville-Etat de Nexus / Un excès de zèle pittoresque ( Pv Vine )
« le: jeudi 09 janvier 2014, 01:31:34 »
Roulé en boule dans le creux d'un quelconque arbre, totalement nue mais cela n'avait rien d'inhabituel, cette sublime créature à la peau violacé profitait d'un sommeil agité comme pouvait en témoigner ses grondements et les coups de pieds que son corps offrait à l'improviste. Très jeune elle avait perdue l'habitude de se suçoter le pouce vu la terrible capacité de sa mâchoire à broyer pratiquement tout. C'est d'ailleurs ce qui la tira des bras de Morphée. Alors que dans le monde des rêves elle tenait entre ses dents et mâchouillait à la dérobé une pièce d'un matériel incassable, dans la réalité ses dents surnaturelles s'étaient refermer sur l'une des branches qui assuraient son appuie. Elle eut tôt fait de ceder entre l'habile travail de ces dents surpuissante et la terranide se réveilla en sursaut, au sol, sur les fesse, un restant de branche auquel s'attachait désespérément une petite feuille entre les dents. Elle le recracha d'un air désintéresser et s'étira afin de soulager ses muscles qui venaient tout de même d'en prendre un coup. Elle jeta un coup d'oeil à l'arbre et se décida à y regrimper. Toutefois, c'est son estomac qui protesta. Visiblement, la collation de minuit était un luxe qu'elle devrait accorder ce soir à cet organe bien bruyant. La nuit jetait un voile sombre sur nexus qui était encore déchiré par les lumières tardives de la cité. Faire changement de la nourriture de la foret n'était pas une mauvaise chose, elle se dirigea vers les lueurs dorés, a pas feutré jouant parfaitement le chat en chasse.
Elle avisa une petite villa un peu en retrait, surement une résidence secondaire d'une personne qui avait les moyens de se permettre le luxe de la proximité de la nature, surement qu'il n'y aurait que des serviteurs et des esclaves... Et dire qu'elle en avait presque qu'été réduite à cela... Une cage et des maîtres, comme si quiconqui voudrait se faire servir par cette bouche remplis de couteau qui se pavanait nue en grognant. Mais bon Lelath n'était pas méchante, mais devoir obéir à qui que se soit n'avait jamais été son fort, et ce ne le serait probablement jamais alors valait mieux pas introduire les gens de cette façon.
Elle était dissimulé dans l'ombre de la maison, elle en fit furtivement le tour. S'en était presque trop facile. Pas de clôture, simplement une haie de cèdre. Quelques chiens rodaient encore autour de leur niches, mâchouillant leur nonos. Lelath eut un sourire attendrit en les regardant, comprenant parfaitement le plaisir qu'ils éprouvaient a user de leurs jolies dents toutes pointues. C'était une chaude nuit, l'un des volets d'une fenêtre en hauteur, donnant sur une pièce inconnue, était resté ouvert. La fenêtre était petite et difficile d'accès, surement les domestiques la pensaient-ils inutilisable comme entré pour le commun des mortels. Lelath avait cette manie de glisser entre les doigts de tout le monde pour se réfugier dans des endroits saugrenue, mais même pour elle, cette entrée semblait être un défi. Profitant de la distraction des chiens, elle s'élança contre le mur et utilisa ses orteils pour tirer avantage de la maçonnerie. Ses deux mains s’agrippèrent au rebord de la fenêtre et elle se hissa jusqu'à passé la moitié de son corps. Si ses seins avaient protester à se faire ainsi écraser, ses hanches quant à elles refusait catégoriquement d'accepter cela. Lelath était coincé, à moitié à l'intérieur et ces jolies fesses toujours offertes à la vue de Fido et Médor. Elle s'agita dans tout les sens, un peu à l'image d'une crevette mauve et lorsqu'elle se résigna a comprendre que ce n'était pas la bonne solution, elle regarda ou elle se trouvait. Ou du moins où le haut de son corps se trouvait.
Il y avait des tissus et des paniers partout. Lelath était rarement entré dans les habitations du temps ou les terranides l'avaient garder avec elle, mais cela semblait correspondre à l'idée qu'elle se faisait d'une salle de lavage. L'endroit qui servait principalement à laver des vêtements, ces satanés objets de torture d'un inconfort incommensurable! Elle chercha de quoi s'aider a se hisser hors de la fenêtre, mais c'est une ombre sous la porte qui lui faisait face qui la mise au garde à vous. Elle tenta de faire marche arrière, mais peine perdue, elle était coincé, ni totalement à l'intérieur, ni totalement à l'extérieur.
Elle avisa une petite villa un peu en retrait, surement une résidence secondaire d'une personne qui avait les moyens de se permettre le luxe de la proximité de la nature, surement qu'il n'y aurait que des serviteurs et des esclaves... Et dire qu'elle en avait presque qu'été réduite à cela... Une cage et des maîtres, comme si quiconqui voudrait se faire servir par cette bouche remplis de couteau qui se pavanait nue en grognant. Mais bon Lelath n'était pas méchante, mais devoir obéir à qui que se soit n'avait jamais été son fort, et ce ne le serait probablement jamais alors valait mieux pas introduire les gens de cette façon.
Elle était dissimulé dans l'ombre de la maison, elle en fit furtivement le tour. S'en était presque trop facile. Pas de clôture, simplement une haie de cèdre. Quelques chiens rodaient encore autour de leur niches, mâchouillant leur nonos. Lelath eut un sourire attendrit en les regardant, comprenant parfaitement le plaisir qu'ils éprouvaient a user de leurs jolies dents toutes pointues. C'était une chaude nuit, l'un des volets d'une fenêtre en hauteur, donnant sur une pièce inconnue, était resté ouvert. La fenêtre était petite et difficile d'accès, surement les domestiques la pensaient-ils inutilisable comme entré pour le commun des mortels. Lelath avait cette manie de glisser entre les doigts de tout le monde pour se réfugier dans des endroits saugrenue, mais même pour elle, cette entrée semblait être un défi. Profitant de la distraction des chiens, elle s'élança contre le mur et utilisa ses orteils pour tirer avantage de la maçonnerie. Ses deux mains s’agrippèrent au rebord de la fenêtre et elle se hissa jusqu'à passé la moitié de son corps. Si ses seins avaient protester à se faire ainsi écraser, ses hanches quant à elles refusait catégoriquement d'accepter cela. Lelath était coincé, à moitié à l'intérieur et ces jolies fesses toujours offertes à la vue de Fido et Médor. Elle s'agita dans tout les sens, un peu à l'image d'une crevette mauve et lorsqu'elle se résigna a comprendre que ce n'était pas la bonne solution, elle regarda ou elle se trouvait. Ou du moins où le haut de son corps se trouvait.
Il y avait des tissus et des paniers partout. Lelath était rarement entré dans les habitations du temps ou les terranides l'avaient garder avec elle, mais cela semblait correspondre à l'idée qu'elle se faisait d'une salle de lavage. L'endroit qui servait principalement à laver des vêtements, ces satanés objets de torture d'un inconfort incommensurable! Elle chercha de quoi s'aider a se hisser hors de la fenêtre, mais c'est une ombre sous la porte qui lui faisait face qui la mise au garde à vous. Elle tenta de faire marche arrière, mais peine perdue, elle était coincé, ni totalement à l'intérieur, ni totalement à l'extérieur.
